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Procédé de. soudure et appareil pour l'application de ce procède.
L'invention concerne d'une façon générale, l'art de la soudure électrique et elle vise plus particulièrement un procé- dé et un appareil pour la soudure à résistance dans son application à la soudure de métaux, ce procédé et cet appareil étant tels que l'on donne à l'onde de toute impulsion unique de courant de soudure ou à celle d'impulsions multiples la forme convenant le mieux pour les caractéristiques du métal à souder, une charge équilibrée étant empruntée à une ligne d'alimentation à courant alternatif polyphasé.
Les systèmes de soudure usuels comprenant l'applica- tion de courant alternatif de 60 périodes aux électrodes de soudure sont Inefficaces sous bien des rapports et ne donnent par conséquent pas satisfaction. Abstracttion faite de ce que l'appel de courant est grand, parce que le facteur de puissance est peu élevé, et que la charge de soudure détruit l'équilibre des lignes d'alimentation triphasées, la forme de l'onde n'est pas celle qui convient le mieux pour produire des soudures de haute qualité avec n'importe quel de-
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gré d'efficacité. La montée jusqu'à la pointe pendant la pre- lière alternance est si rapide que la fusion se produit avant que le métal n'ait été chauffés suffisamment entre la tôle et l'électrode pour assurer un contact uniforme.
Il en résulte un appel de courant excessif sur les électrodes et une tendance à la production de soudures de forme irrégulière. Ba outre, la na- ture de la matière est telle que, bien que la fusion complète puisse être obtenue après la première alternance, si l'arrivée du courant est interrompue subitement, le métal deviendra poreux à l'endroit de la soudure. C'est pourquoi il est nécessaire de maintenir la chaleur plus longtemps dons la soudure en augmentait la durée du passage du courant. Cela signifie que le métal envi- ronnant est excessivement chauffé, ce qui a pour résultat un ef- fet nuisible sur les propriétés concernant le traitement thermi- que, en même temps que cela provoque un gauchissement et donne naissance à un fort appel' de courant sur la pointe des électrode..
Il y a longtemps que l'on a reconnu que certaines formes d'ondes du courant de soudure sont supérieures au courant alternatif de 50 périodes pour la soudure de métaux par le procé- dé à résistance. Toutefois, tous les dispositifs antérieurs pour la production d'ondes de différentes formes ont été limités à une seule forme d'onde, ou tout au plus à une légère variation d'une forme d'onde. Le système de soudure qui fait l'objet de l'inven- tion est un perfectionnement notable apporté sous ce rapport, car l'appareil qui fait l'objet de l'invention est capable d'être ré- glé de telle façon que l'on puisse faire varier la forme de l'onde du courant de soudure suivant un nombre quelconque de combinaisons.
Ainsi qu'on le verra par la fig. 13, on peut obtenir, après un laps de temps donné quelconque, un courant de soudure de toute grandeur désirée entre les limites du dispositif. Inversement, après que le courant a passé pendant un laps de temps désiré quel- conque, on peut obtenir toute valeur donnée pour le courant de sou- dure.
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Plus spécialement, le procédé de soudure qui fait l'ob' jet de la présente invention est capable de produire un courant de chauffage préalable, un courant de soudure et un courant de chauf- fage subséquent pour chaque impulsion de soudure dans toute com- binaison de grandeur et de rapport de temps entre les deux.
Une autre caractéristique du procédé de soudure per- fectionné en question réside dans le fait qu'il n'y a aucun chan- gement de sens du courant qui passe pendant la. durée d'une impul- sion quelconque. En d'autres termes, le cour nt de chauffage préa- lable, le courant de soudure et le courant de chauffage subséquent se fondent tous lestroisl'un dansl'autre sansaucun changement de sens et sans chute instantanée de l'intensité.
Par suite de l'application d'un courant de soudure du type qui vient d'être décrit à des feuilles de métal ou des tôles, dans le but de souder ces feuilles ou ces tôles, les pointes des électrodes seront amenées à venir en contact intime avec la sur- face du notai, parce que la montée jusqu'à la pointe est relative- ment lente. L'addition d'un courant de chauffage préalable améliore aussi cet état de choses encore davantage. Il convient d'insister sur le fait que la forme du courant peut être réglée jusqu'à ce qu' on obtienne presque toute forme désirée, mais le courant monte tou- jours lentement juqqu'à la pointe.
Lorsque cette pointe a été at- teinte on peut ensuite laisser tomber le courant brusquement jusqu' à zéro ou le aire baisser lentement jusqu'à zéro à peu près sui- vant une forme d'onde désirée quelconque. Le règlage de ce courant de chauffage subséquent permet d'utiliser pour le courant de soudur des laps de temps plus courts que ceux qui seraient nécessaire sans cela. Ce résultat est obtenu parce que la soudure se refroidit len- tement au lieu que toute la chaleur soit éliminée immédiatement.
En raison de ce qui précède, l'un desbuts de l'in- vention consiste à créer un appareil à souder fonctionnant suivant un procédé perfectionné permettant de donner à l'onde de l'impul- sion de courant, pour chaque opération de soudure, la gorne qui
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convient le mieux pour les caractéristiques du métal à souder.
Un autre but de l'invention, but qui est encore plus typique, consiste à créer un procédé de soudure permettant de donner au courant de soudure, pour chaque opération, une forme d'onde pro- duisant un courant de chauffage préalable, un courant de soudure et un courant de chauffage subséquent dans toutes combinaisons de grandeurs désirées quelconques et de relations de tempsentre eux.
Un autre but consiste à créer un appareil de soudure à résistance pour la soudure de métaux, appareil tel qu'on puisse faire varier la forme de l'onde du courant de soudure et d'emprum- ter une charge équilibrée à une source d'alimentation en courant alternatif polyphasé.
Suivant le procédé de soudure qui fait l'ebjet de la présente invention, des impulsions successives de courant continu sont appliquées à l'enroule-rient primaire d'une transformateur de soudure. Toutefois, les sens du courant qui passe pendant chaque impulsion est renversé, ce qui a ce résultat désiré qu'il est pos- sible d'appliquer le voltage plus longtemps pour chaque impulsion sans saturer le noyau de fer du transformateur.
En conséquence, un autre but de l'invention consiste à créer un procédé de soudure suivant lequel à soudure est effec- tuée au moyen d'un courant alternatif de basse fréquence produit par des impulsions successives de courant continu passant dans l'un- roulenent primaire d'un transformateur de soudure, le sens du cou- rant qui passe dans cet enroulement primaire étant renversé pour chaque impulsion.
Dans ces buts, ainsi que dans d'autres, l'invention peut être constituée par certaines nouvelles caractéristiques de construction et de fonctionnement qui vont être décrites en détail et qui seront exposées d'une façon particulièrement minutieuse dans la description et dans le résumé, et représentées dans les dessins ci-joints:
Dans ces dessins, qui représentent un mode de réalisa-
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tion du dispositif de l'invention et dans lesquels les mêmes numéros de référence désignent les mêmes pièces dans toutes les figures: - La fig. I est une vue schématique d'un appareil de sou- dure foncitonnant suiv nt un mode de réalisation du procédé qui frit l'ojet de l'invention.
- La fig. 2 est un schéma de connexions représentant le dispositif employé pour changer le sens des impulsions de courant successives envoyées dans le primaire du transformateur de soudure.
La fig. 3 est une vue schématique représentant un type de redresseur comprenant des Ignitrons et assurant le réglage du vol- tage des impulsions de courant continu appliquées au primaire du trans formateur.
- La fig. 4 est un schéma de connexions montrant une ma- nière d'amorcer l'allumage des lampes ignitrons du redresseur.
- La f i g. 5 est un schéma de connexionsreprésentant une autre manière permettant de retarder l'amorçage de l'allumage des ignitrons.
- La fig. 6 est une vue schématique représentant le pas- sage du courant dans l'enroulement primaire pendant les impulsions successives et le courant alternatif induit passant dans le circuit secondaire.
- La fig. 7 est une vue schématique représentant une va- riante de l'objet de l'invention.
- La fig. 8 est une vue schématique représentant une autre variante de l'invention.
- La fig. 9 est une vue schématique représentant un sys- tème de soudure complet comprenant un circuit déphaseur pour obtenir un courant de chauffage préalable, un courant de soudure et un courant de chauffage subséquent pour chaque opération de soudure.
La fig. 10 est un graphique représentant des courbes de courant par rapport au temps pour différentes opérations de soudure dont quelques unes comprennent des périodes de chauffage préalable, et des périodes de chauffage subséquentes.
- La fig. II est un graphique représentant des courbes
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bes semblables à celles de la fig. 10, mais dans lesquelles l'am- plitude de pointe et la durée des périodes de chauffage préala- ble et de chauffage subséquent ont été changée s.
- La fig. 12 est une reproduction d'un oseillogramme effectif de courants obtenus dans une opération de soudure effectuée par le procédé de l'invention.
- La fig. 13 est un diagramme représentant la manière de donner la forme voulue à une impulsion de courant de soudure par des variations du voltage et de la fréquence.
On considérera d'abord le mode de réalisation de l'in- vention représenté dans la fig. I. La pièce 10 à souder est pla- cée entre l'électrode fixe II et l'électrode mobile 12 de ma ma- chine à souder. Une pression pneumatique est appliquée sur le pis- ton 13 à partir de la conduite d'air 14 par lamanoeuvre de la aou- pape 15, ce qui a. pour effet que la pièce est soumise à une pres- sion mécanique entre les électrodes II et 12, qui sont reliées électriquement à l'enroulement secondaire 16. Cet enroulement et les connexions avec les électrodes constituent le circuit secon- daire 17 du transformateur de soudure représenté dans son ensem- ble par le numéroode référence 18. L'enroulement primaire 20 est relié électriquement par les contacteurs 2I et 22 à un redresseur
23.
Une extrémité du circuit primaire, comprenant le relais à cou- rant maximum 24 est reliée au redresseur en un point neutre 25, et l'autre extrémité de ce circuit primaire est reliée au redres- seur, par exemple en 26. La source de courant pour ce redresseur
23 est indiquée par le numéro de référence 27 et elle est consti- tuée par un réseau usuel à courant alternatif triphasé. Le redres- . seur 23 comprend, pour le réglage du voltage, des i@nitrons 30 qui seront décrits en détail plus loin.
Lorsque les contacteurs 31 et 32 sont fermés et ou- verts successivement, le courant du réseau alternatif triphasé 27 passe dansle redresseur 23 et le courant continu ainsi produit passe ensuite dans l'enroulement primaire 20. Chaque fermeture et
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chaque ouverture des contacteurs produit une impulsion de courant continu qui passe dans l'enroulement primaire 20. Les impulsions successives de courant continu induisent dans le circuit secondai- re un c@@urant alternatif qui est envoie aux électrodes II et 12 et dansla pièce 10 pour produire la soudure despièces en métal.
Le schéma de connexions de la fig.' 2 représente le dis- positif actionnant les contacteurs pour fermer et couper le circuit primaire par une succession rapide d'opérations et pour renverser à chaque impulsion le sens du courant qui passe dans l'enroulement primaire. L'interrupteur 31 qui est monté en série avec la bobine
32 est relié aux bornes d'une source de courant indiquée par L1-
L2. La fermeture @@ eet intarapteur a pour effet d'exciter la bo- bine 32 et de fermer le contacteur double 33.
Ceci excite l'une ou l'autre des bobines 34 ou 35 suivant que c'est le contacteur 35 ou ()le contaoteur 37 qui est fermé; on remarquera que le contacteur 36 ) est monté en série avec la bobine 34 et que le contacteur 37 est monté en série avec la bobine 35, chaque série comprenant une bo- bine @@ un contacteur étant montée en parallèle entre les bornes du réseau LI- L2.
Comme le montre la fig. 2, le contacteur 36 est fermé, la bobine 34 est donc excitée de façon à provoquer la fer- meture du contacteur 21,Il en résulte que le courant passe par une partie du circuit primaire comprenant le relais à courant maximum constitué par la bobine 38, le contacteur 21 et la moitié supérieu- re 39 de l'enroulement primaire 20, le courant retournant au &edres- seur par le conducteur 40.
Lorsque l'impulsion de courant qui descend dans la moitié supérieure 39 de l'enroulement primaire atteint une valeur déterminée d'avance, la bobine 38 du relaisà courant maximum est excitée et provoque la fermeture du contacteur 41. Ce contacteur est relié, avec sa bobine en sériie 42, aux bornes du réseau d'ali- mentation L1- L2. Immédiatement après la fermeture du contacteur.41 la bobine 42 est excitée et le bras 43 du relais à roehet est ac- tionné de façon à faire tourner le rochet 44 et l'arbre 45 fixé à
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rochet. Les canes 46 et 47 sont aussi fixées à l'arbre 45 et montées sous les contacteurs 36 et 37 respectivement.
De cette façon l'entrée en action du relaisà rochet provoquera l'ouver- ture du contrôleur 36 et la fermeture du contacteur 37. La bo- bine 34 cesse donc d'être excitée et la bobine 35 est excitée de façon à provoquer maintenant la fermeture du contacteur 22.
Immédiatement après l'ouverture du oontaoteur 21, la bobine 38 du relais à courant maximum cesse d'être excitée et le bras 43 du relais à rochet revient à sa position initiale. Le courant qui passe dans le primaire change de sens, car il passe mainte- nant par le contacteur 22 et monte dans la moitié inférieure 49 de l'enroulement primaire pour retourner au redresseur par le conducteur commun 40, relié à une prise au centre de l'en- roulement primaire.
Cette impulsion de courant continu qui passe dans l'enroulement primaire en sens inverse de celui de l'impulsion précédente peut atteindre la même valeur déterminée d'avance et mesurée pr le relais à courant maximum. qui est excité le cas échéant, ce qui provoque la fermeture du contacteur 41, l'excitation de la bobine 42 et l'entrée en action du relais à rochet de la manière décrite ci-dessus. Cette nouvelle en- trée en action du relais à rochet changera la position des oa- mes de façon à ouvrir le contacteur 37 et à fermer le contao- teur 36.
Le contacteur 22 s'ouvre et le contacteur 21 se re- ferme de façon à faire passer l'impulsion de courant suivante par ce contacteur, à la faire descendre dans la moitié supérieur re 39 de l'enroulement primaire et dans le conducteur 40 par lequel elle retourne au redresseur.
Des impulsions successives de courant continu sont ainsi envoyées au primaire du transformateur de soudure tant que l'opérateur maintient l'interrupteur 31 dans sa position de fermeture et, suivant l'invention, le sens du courant qui passe dans le primaire est inversé à chaque Impulsion, Cette
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action de renversement du sens du coupant a pour effet d'annuler tout magnétisme qui pourrait persister dans le noyau en fer. Elle permet aussi d'appliquer le voltage plus longtemps à chaque impul- sion sans possibilité de saturation du noyau de fer du tronsfor- mateur.
La fig. 6 montre que le courant d'aimantation I'pest fonction du temps, ce qui résulte de l'application d'un voltage de courant continu au primaire lorsque le circuit secondaire est ouvert. La courbe Ip montre la variation du courant primaire lors- que le secondaire est ferme. De To à Tl le courant primaire s'é- tabllt jusqu'à ce qu'une valeur maxima soit atteinte au moment T1, après quoi le relaisà courant maximum est actionné pour in- terrompre le courant primaire qui, en conséquence, disparait sui- vant une courbe exponentielle. La courbe Isreprésente le courant de soudure induit. Si le courant primaire était interrompu par exemple en T2 ce courant aurait atteint une très haute valeur.
Il est important, suivant la présente invention, d'interrompre le cou- rant en T1, car cette interruption aura lieu, par conséquent, avant que le noyau de fer du tr nsformateur ne soit saturé. Il en résulte qu'on évite toute accumulation d'énergie excessive et qu' on supprime l'apparition d'un survoltage au moment de l'interup- tion. En utilisant un noyau de fer ayant les dimensions exactes et constitué par du fer de haute perméabilité il est possible d'appliquer le voltage pendant une période de temps notable sans provoquer la saturation.
La fige 6 montre également les applica- tions successives des impulsions de courant continu à l'enroule- ment primaire du trans formateur pour obtenir un courant alter- natif secondaire pouvant être utilisé pour souder de grosses piè- ces qui exigent un temps de chauffage relativement long.
La fig. 9 est un oscillogrramme effectif du courant primaire et du courant secondaire qui sont obtenus au cours dtune opération de soudure. Le courant primaire est représenté sous la forme d'impulsions positives successives. Ceci est correct, car
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l'oscillographe peprésente le courant primaire dans le conduc- teur de retour 40 et chaque impulsion de courant passe naturel- lement dans le même sens. Ceci se distingue de la fig. 6 qui re- présente schématiquement le courant passant par l'enroulement primaire 20, le courant d'une impulsion passant dans un sens et le courant de l'impulsion suivante passant dans le sens epposé.
Le courant secondaire est un courant alternatif de basse fréquen- ce comprenant des poussées positives et des poussées négatives d' amplitude sensiblement égale. Le nombre de périodes du courant secondaire, qui détermine la duée totale du temps de soudure, , suivant l'épaisseur et les caractéristiques du métal à souder, peut être cèglé au moyen d'un régulateur chronométrique.
Le redresseur est représenté en détail dans la fig.
3. Ce redresseur permet de modifier la forme de l'onde du courait secondaire, car on peut faire varier le voltage des impulsions de courant continu. A cet effet, le redresseur comprend des lam- pes ignitrons indiquées par le muméro de référence 30, chaque lampe comprenant une anode 51, une cathode à mercure 52 et une tige d'amorçage 53. Le circuit allant de l'anode à la cathode en passant par l'intérieur de la lampe n'est pas conducteur tant que le mercure n'est pas vaporisé.
Le -eroure est vaporisé par la tige d'amorçage 53 qui pénètre dans la lampe et qui vient en con- tact avec la cathode à @ercure. Lorsque le circuit qui passe par la tige d'amorçage est fermé par la fermeture du contacteur 54 le courant passe par la lampe à commande therme-ionique 55 pour ar- river à la tige d'amorçage, ce qui a pour effet que le mercure contenu dans la lampe ignitron est immédiatement vaporisé et que le courant passe alors de l'anode 51 à la cathode 52. Le courant ne passe dans ce sens que pendant l'alt rnance positive du cou- rant alternatif d'alimentation.
Lorsque l'alternance négative est atteinte, la lampe ignitron cesse d'être conductrice et la même opération se répète pour l'alternance positive suivante, à con- dition que le contacteur 54 reste fermé.
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Le circuit de la lampe de commande 55, dont le rôle est de distribuer le voltage total fourni par les ignitrons, est re- présenté dans la fig. 4. Dans ce circuit la grille 56 est reliée directement à la plaque 57 et elle a la même polarité que cette plaque. La lampe de commande passe donc le cournt immédiatement au début d'une alternance positive du courant alternatif. La lam- pe ignitron devient donc conductrice dès le début de chaque al- ternance positive du courant alternatif d'alimentation et, en con- séquence, on obtient le voltage potal pour le courant redressé qui est distribué.
Dans la fig. 5 la grille 56 de la lampe de commande est reliée à la plaque 57 par une résistance variable 59, et cette gril- le est reliée à la cathode par le condensateur 60. Lorsque le con- t acteur 54 est fermé, la lampe de commande ne passe pas le courant immédiatement à la. cathode, car la grille conserve un potentiel négatif par rapport à la plaque pendant un certain temps.
Le régla- ge de la résistance variable 59 commande la longueur de ce laps de temps avant que la grille ne devienne assez positive pour permettre au courant de passer dans la lampe de commande et d'amorcer ainsi l'allumage de l'ignitron. Plus le retard apporté à l'allumage par la lampe de commande 55 est long, plus la proportion d'alternative cassée par l'ignitron est petite et le voltage du courant redressé est par conséquent d'autant plus petit.
La variante représentée dans la fig. 7 fonctionne de la même façon que celle qui vient d'être expliquée pour la fig. I et relativement à la construction cette variante est la même , sauf que les contacteurs sont remplaoés par des ignitrons. La. lampe ignitron 61 remplace le contacteur 21 et la lampe ignitron 62 rem- place le contacteur 22,''contacteurs qui sont représentés dans la fig. u et qui ont été décrits à propos de cette figure. La lampe i- gnitron est .unie d'une tige d'amorçage 63 et des bobines 64 et 65 sont combinées avec des contacteurs 66 et 67 qui ont pour but d'é- tablir et de couper le circuit qui passe par la tige d'amorçage au
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moyen de laquelle les ignitrons sont commandés.
Le relais à courait maximum 24, qui comprend la bobine 38, est utilisé de la facon dé- crite à propos de la fig. I pour déterminer la durée des impulsions de courant primaire, et le relais à courant minimum 68, qui com- renverser rend la bobine 69, est utilise pour @ le sens du courant.
Le fonctionnement de la variante représentée dans la fig. 7 est le suivant. La pièce à souder 10 est placée entre l'électrode fixe II et l'électrode mobile 12. Une pression pneuma- tique est appliquée sur le piston 13 à opartir de la conduite d'air
14 par la manoeuvre de la soupape 15, ce qui a pour effet que la pièce est soumise à une pression mécaniiquee entre les électrodes
II et 12 qui sont reliées à l'enroulement secondaire 16. L'enrou- le,ment primaire comprend en son centre une prise destinée à servir de connexion pour le conducteur commun 40 et la moitié supérieure
39 de cet enroulement primaire est reliée en série à la lampe igmi- tron 61, tandis que la moitié inférieure 49 de l'enroulement pri- maire est monté en série avec la lampe ignitron 62.
Lorsque le contacteur 66 est fermé, la lampe ignitron
61 devient conductrice dès que le courant passe. Alors, en allumant les ignitrons 30 du redresseur on emprunte une charge équilibrée à la ligne 27 d'alimentation en courant alternatif, ce courant étant transformé en courant continu par le redresseur et envoyé dans la lampe 61 et dans l'enroulement supérieur 39 du primaire.
Les lampes 30 du redresseur sont coupées lorsque le courant atteint une v leur céterminée d'avance, mesurée par le relais à courant maximum qui comprend la bobine 38. Le courant continu qui passe dans le circuit primaire cesse par conséquent et ceci constitue une impulsion de courant. Lorsque le courant atteint une valeur déterminée d'avance, qui est la valeur à laquelle la lampe 61 n' est plus conductrice, le relais à courant minimum, qui comprend la bobine 69, fonctionne de façon à ouvrir le contacteur 66, ce qui empêche la lampe 61 de devenir conductrice de nouveau et pro- voque la fermeture du contacteur 67.
La fer-eture du contacteur
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67 rend la lampe 62 conductrice et lorsque les ignitrons du redres seur sont allumées de nouveau l'impulsion suivante de courant con- tinu passe dans la lampe 62 et dans l'enroulement 49 du primaire.
Toutefois, pour cette deuxième impulsion, le sens du courant n'a pas été inversé par rapport à celui de la première impulsion. Les lanpes 61 et 62 fonctionnent donc alternativement, ce qui inverse chaque foisle champ magnétique établi dans le noyau de fer du transformateur. Cette inversion empêche la saturation du noyau de fer de nuire à l'efficacité de chaque impulsion suivante.
Dans la variante représentée par la fig. 8 chaque impul- sion de courant continu passe dans la totalité de l'enroulement primaire et en même temps le sens du courant est inversé pour cha- que impulsion. En conséquence, danscette variante l'enroulement primaire ne comprend aucune prise en son centre. Quatre lampes ignitron sont reliées au circuit primaire, qui comprend l'enroule- ment primaire 70. Le redresseur 72 est le même que celui qui a été décrit précédemment et il est relié en 73 à une borne du cir- cuit primaire en série avec le relais à courant maximum 74 qui comprend la bobine 75. L'autre borne du circuit primaire est re- liée au redresseur en 76, cette connexion comprenant le relaisà courant minimum 77, qui comprend la bobine 78.
La variante de la fig. 8 diffère de celle de la fige 7 par l'utilisation de quatre lampes ignitrons indiquées par les nu- méros de référence 80, 81, 82 et 83 et comprenant chacune une tige d'amorçage 84 reliée en série à un mntacteur 85,86, 87 et 88 res pectivement. Lorsque le contacteur d'une lampe particulière est fermé, l'ignitron est rendu conducteur, à condition que du courant soit fourni par le redresseur 23.
Lorsque les bobines 90 et 93 sont.excitées, les contac- teurs 85 et 86 combinés avec elles se ferment et les lampes 80 et 83 sont mises en état de fonctionnement. Alors, lorsqu'on allume les lampes du redresseur une charge équilibrée est empruntée au réseau d'alimentation à courant alternatif polyphasé, le courant étant envoyé au redresseur pour être transformé en courant continu qui passe
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ensuite d'3.n le circuit primaire. Il en est de :aime pour les lampes 80 et 83 et de 1¯'-nroulenent primaire 70. En. o=pé4t-letr2, la.'D.oe du redresseur lorsque le courant atteint une valeur déterre. minée d'avance réglée par le relais à cair nt maximum 74, on f3it cepser le passage da coir-int.
Lorsque le coir,-înt atteint une va- leur minima, qui est la v7Elear à laquelle les lampes 80 eut 83 ne sont plup can3zetriea, le r:1.iii µ courent minimum entre en e+ tion àe fagon à ouvrir les contacteurs 85 et 88 et en m$me temps à fermer les cont.cte.trs 86 et 87 pir ItexcitatiorÉ des bobines
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91 et 92. Les lampes 81 et 82 sont alors mises en état de fane-
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tio:lll':L1ent. Loixque lex lampes du redresseur sont -allumée.9 de namsxu, l'impuls'ion suivants de cO'2r¯mt continu, )a3ee d'3.ns les lampes SI et 82 et d'3.:î l' !!Dr8:1.1::1.ent primaire 70. Cette fois, cepn-::1,t, on r3ia.rq'.).'?r ga le c;.lr',nt parre 3.ns l'enroule'sent pri:!J::Üre en sena inverse d- cclui de 1. première impulsion.
Le r:lwi: , coir nt ;axi:um fonctionne conne prcédem9nt pour in- teiionpre l"':1.rrivée du. courant vl'l'!2.nt du redresseur lorsqu'une TT,,1 u.r àsteriin4e èt'.>v,=cc est ttirite, et lorsque la v Jlur ;1;in> ept 'tu!?i'1't , le r?lir :. courAnt minimum -ntre en action polir ouvrir l<;p :)..r:t.;.ct.lr5 86 et 37 et frser de.- nO'JVea.u. 1?8 cnt-cteur!?' 85 -t E8, ce qui fait que l'opération décrite plus hisit sa r6pèt.,. LR+ 1n:1.X séries de iinpes 80, 83 et 81, et 82 fonctionnant donc '3.1 t"'rn'J.tiVe';1ent pour palper du coir nt qui r3"iv?rae le C2J.'ïlp ':l <.;néti:J...l établi 3,ns le tr.n8for:n3.teu.r pour choqua 1;p'alPion.
Le renversaient du sens des impulsions d courant contint.), a encori cet -3.va-,tige qu'il annule taat magnétisme réma- nent po.rn.'1.t rester ding le noyau, de fer, ce qui pemet une ip# pàie&1õn plus longue du "'roI td.5$ pour oi-tq;Le impulsion sans ?3,tur'-'.tion du noyau de fer du tr one:formateur. Lt ampli t'.Hle des poasréms de co.zrnt pscondirs peut tr rèslée par le réglage d voltage d?s impulsions de C0r1.nt, ainsi qu'on lta décrit pou: l?s fig. 3, 4 t 5. On 1;naiqura qu'il f.a,at deux impulsions de
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courant primaire pour induire une période du courant alternatif secondaire ou, en d'autres termes, que la fréquence du courant
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primaire d'inversion, fig. 6 est la mtme que celle du coar',nt secondaire induite
On peut régler la fréquence en réglant la fr quen- ce des impulsions primaires.
Dans les fig. I et 2 la fréquence de
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des Impulsions primaires est détgrinÓ9 par les caractériptiques du circuit, car la bobine 42 a une constante temps, ausai bien que la bobine du relais à courant maximum. Dans les fig. 7 et 8 la fréquence des impulsions de courant primaire est réglée par
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un r7s,,-,ulateur chronométrique relié aux c0ntacteJ.r du redues-eux et réglant ainsi l'allumage des lampes ignitrons de ce redres- seur.Dé J6<t rfaçàn. le courant alternatif induit dans le circuit de soudure peut avoir une fréquence allant de moins de 1 période à environ 30 périodes par seconde..
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La figo 9 repr6e;']t'" sch'niltiq.':tAr111.t un t7j>= .le d8ph'),ssur pour les ignitrons du r;dresË01:tr, ce déphaseur pr'pt# t nt de proiuirs un cair)nt de ch',uff'3,ge préwla.b7.e, an courant de Jox4.are et in cour-'nt de chauffage subséquent pour chaque opération de soudure, afin d'engendrer ainsi diLfére-n-tp,-4 v.le¯1re et dÍff6rntes durées de production de,. chaleur pour Inapplica- tion à 1 aoidure suivant 1s c :rctéri: tiqas da métal -);rti# culier qu'il s'agit de sOl<9.'!'r.. Dùns le typa de diaponitif .le commande riprégenté ici à titre d'exemple de réalisation '1 c'ttt' car8.ctérietiqJ.s de l'invention, las iznitrons 50 du rc3rQ:r^ur sont commandëq pzr des thyratrons I00, qui sont normalement maintenus non conducteurs par une polarisation négative de gril- le, ds la façon qui va µtre décrite.
Toutefois, rm r'3l1.'t nt les thyratrons conducteurs dans le but d'amorcer l'allumage dq5 i- ignitrons à des momonte déterminés d'avance 1 ne les alt minces positives du voltage du courant -j.7.tern.;,tif dl"ÜiY1'"nt.,tion, on produit différentes vR1su.rs de co zr.nt second'ira t l'on peut obtenir presque toute combin"ison cn es qui concerne la dir4e c-t
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l*3Niplitude du courant de c2aaf"aôe préalable, du coù.r3..nt à* 8o:.Llû.re et da courant de ch ;iû.ff<J.!;8 eubméquent.
:)-:-ne5 la fig. 9 le circuit principal de soudure e cat 1'\":;tbl"lbl", à celui qui nat r¯=.i,réssnt3 d-inf la fig. 7, f pt lorsque des éléments identiques vont employés, les mtmem numê-. ros !3" réf'.rncP iniiquent ins me3 pièces. Ce circuit de mou- dure eat cciptitue par le conducteur 29 qui relie le point nez- tre de l' e!lroul"1.;mt 9co"ld.dre 23 du transformateur aux lam- pes i;nitrons 61 et 62, aux conducteurs qui relient les piques des ignitrons au pril1:Üre 39 t 49 du tr :1.8for.natQr de soudu- re le con3zctawr dc retour 40 rt.nt relie aux cathodes des igni trôna 30 -du redresseur, et le cozr3nt revenant en pssnt par cms 1:1.-:1 cp 3. l'snrouloncnt r;con4=.iro 23 du troensfornatear.
:zrc: 1# coav==t l,l' ltnrnztizTc.nQnt p-.r ce ch\9llin cLinc 1 las 1";.ipes g#nitronv 61 t 62 ct -en m0ne temps la? lampes irni- tron 3C du r"5resp'?ur sont rendues :altmrnativeT?nt conductrices et non co;1-ictriceeo Ceci fiit p'Her une impulsion de CO'1r"1nt continu à. tr-i7r-rm l'enroulement pri'-lir 39 du tr'Jrl8forn3.teur de soudure, cuisez. tr lvr8 l'enroulaient prii-iire 49 de ce tran fomteur pour induire dans le secondaire 16 un courant qui P'3.. 3.1 tr'1.';:' ti V:1 n t d'abord dans un 8enS,. puis d '3.ne l'autre.
L'allunaga des ignitrons 30 est cO1l3.ndé par los thyratrons ICG et l'al1u.:nage des ignitrons 61 et 62 est com- :n.,,"1.ié Inr les thyratrons ICI et 102. En 1 tabeence dallumage les thyratrons ICO sont intn:J.3 non conducteurs par la pola- ris =.t.i on négative de grills sous la forme de la batterie II2.
Le positif de cette batterie est rlié p3X le conducteur 142 alix cathodes des redresseurs 30, le circuit étant complété par les tiges d t allu.'"1:.:.ge I4I, qui sont reliées aux cathodes des thyratrons I00. Le négatif de la batterie est relié aux gril- les dus thyratrons 100 par les ecoJaire3, montés en série* des tr1n3foa.teur3 II3 114 et 115 et les résistances I05 li:itmt le coj.r3.nt. Les trnsfot.À.r3 II3f II4 et 115 sont
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sans effet dans ces conditions, c-jr,7.eurs pritn ir np. "'O'1t reliém à aucune source (le voltage, .ainsi qu'on, 14 varru clvi- retirent au fur et à me72ure que lot description ce poursuivra.
Les condensateurs 104 montés entr- lx cathode et la, grills due lampes 100 n'ont d'autre effet que de servir de dérivation pour les courants de transition qui pourraient se pré-entt-rb Les thyratrons ICI et 102 sont mintnu3 non conductears au moyen de la polri8stion négative de grille due à une batterie III. Le positif de cette batterie rrt r- lié aux cathodes des lampes ignitron 61 et 62 et par l'inter- médiaire de ces lampes le circuit cO'11prr.m.d les 9,11'.1'11 -:u:b'$:!!! 63 et les cathodes des thyratrons 101 et 102. Le# grille"' 7m ces thyratrons mont reliées wu nfg'3,tif de 1=" batterie par l."' résistances 10710 I09 et I08 iso respectivemont.
Lee deux batteri C8 III et 112 sont rrnmdusq tout juste fI'lffi 8r1.'11Tnt nsg itivea pour empêcher l''allumage dt,-5 thyratrons 1001 ICI et 102 pendant les 2:l.ltrm,nces positive/') de la tenfion-plaque avec une t3.rge de etireté convenable*
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Ainsi qu'on l'a déjà dit, on provoque l'allumage
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des ignitrons en rendant positive 10/5 grilles des thyratrons 100 à un mo'nent déterminé d'avance d"me les '3.1 t""rmm.c )')of"1-
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tives du voltage du courant alternatif apoliqu -,aux bornes des lampes.
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hes transformateurs II3, II4 et 115 sont des tra.nqfcrm jtpa.rs de pointes, c*est-à.-f3ire qae 1s TTolt3.m xecon- d'aire se résente sous 1-1 forme d'une perte de pointep a.1.t<r- native.'fient positives et nég:ztirn .-z7ant la a#t= fréquonca qu" le voltige de c,)arj,nt llt"'rn'J.tif -zp;li7a :au pri'l i re.
En ce qui concerne le réglage de 18. fig. 9 le voltage pri.:1'-:ir", ap- pliqué est celui du co-arint alternatif à onde l:1inl1.oi(h18 ap- plique aux bornes des lampes 100. Il y a trait: jeux de tr'ins!- formatsursf. un pour chaque ignitron et les pri ;}':.ir"s de chaque jeu sont reliés aux bornes de lear lampe thyratron corrpon dante 100e cathode et circuit de plaque, et il est, bien enten-
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-du que cette connexion est Ù tern8.tivYent établie et coupée, ainsi
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qu'on le verra plus loin.
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Le irolt.2ge der oour-nt 'cilt"r:1a.tif 'appliqué aux enrou# le'::1t pri-zires d?' ' tr3.n(3for"l¯t"'-lr II3, II4 =t 115 peut être d-4plasé p r rapport sa voltage cathode-plaque des 1:..p4s 100 au "ion de * ,3ipoQitif: consx;s<itairs-ré>1>t.nces II6-II7, II6-II8 et II6-II9. T nr O:1C'<t:1.tep cce circuits sont telles qu'en fai- sant varier les ré8incc II7, II8 et II9 on ne produit qu'-an 1#ph;5:1ge :.0.8 flire varier l'amplitude du voltige .ppli:3ut On conçoit lonc que lorsqu'on f.it varier ims réi?tlnce II7, 118 et II9 il en résulte que l".:
pointas produites p r 1nN second- ires des tr:for8t.ur3 II3, 114 et 115 a.pp'-iraisKnt à des moments dif- i5r;t5 dJ.:l 195 :.tlt-rl1.':,ncs positiveo du volt'lge applique ':LUX bornes des lJ.:np<::8 IC00 Jes pointes f:'ecoo.:1Ür ont une amplitude suffisante pour r-1Ïncre et au-delà 1-i polari pation négative de grill'! r 1 ,. batterie II2. En conséquence, on peut provoquer l'al- l,a^.âe d8 l';.:J.p 100 en un point quelconque au moyen des pointes positives p,ari8nt xlar leurs grilles.
Un moteur 137 est relié à.la ligne électrique d"ali* mentstion 143 gr '"interrupteur I46, qui est actionne '3. la main, et ce "Mteur apt tel qu? sa vitesse soit op-4stantes Un arbre 128 en m.t ,1 approy,)ri6 quelconque tel qu'il comprenne un conducteur lectriqae porte le? plots I21, I22. I23 et 124, la roue dentée motrice 125 et 1;. cine 148 qui est montée sur cet arbre de façon à ne pouvoir tourner. Cet irbre 128 est relié mécanique en au moteur 137 P--r an accouplement I34 La gr'rl.tur..1. l'interrupteur a p6dale 128 provoque l'excit"-'tion de la bobine 136 et, par loin- ter 4di3.ire d'un 6c nisne assujetti quis*ra décrit plus loin, elle a cour effet q la timonerie 135 actionne l'accouplement 134 de> façon à faire tourner l'arbre 128 à la mttne rite4ss que le mo- teur 137.
Le fonctionn---ient de l'app-ireil est tel que toutes les fois que l'accouplement 134 est débrayé les contacts I22. 123 et 124 occupent une position telle que les balais de contact électri....
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ques 129, 130 et 131 soient en prise avec la partie isolée des contactsrespectifs.
Lorsque l'accouplement 134 est embrayé, l'arbre
128 tourne dans le sens indiqué, ce qui a pour effet d'amener les balais 129 en contact avec la partie conductrice des contacts
122, 123 et 124. A ce moment la connexion électrique est complète entre les primaires des transformateurs 113 et les lampes 100.
Le circuit est le suivant. Les cathodes des lampes 100 sont re- liées à un côté des primaires 113 par les allumeurs 141, les con- ducteurs 142 et 144, le balai 120, le contact 121, l'arbre 128,. les contacts 122, 123, 124, les balais 129, les condensateurs
116 et les résistances 119. L'autre côté des primaires est relié directement à la plaque des lampes 100. En conséquence, les lam- pes 100 et, par suite, les allumeurs 30 s'allument au moment où la pointe secondaire positive se produit dans chaque alternance apparaissant aux bornes des lampes 100.
L'ignitron 61 s'allume en même temps, parce que la grille du thyratron 101 est devenue neutre par rapport à la ca- thode. Le circuit est le suivant. La cathode de la lampe 101 est reliée par l'allumeur 63, le conducteur 140, l'arbre 139, le con- tact 126 claveté sur cet arbre le balai 132 qui à ce moment est en contact avec la partie conductrice du contact 126 et finale- ment la résistance 108 qui est reliée à la grille de ce thyratron ' IOI. En conséquence, au lieu d'être reliée au négatif de la bat- terie III, la grille est neutralisée par rapport à sa cathode et, le thyratron s'allume pour provoquer à son tour l'allumage de l'ignitron 61, qui amorce le passage du courant continu dans l'enroulement primaire 39 du transformateur de soudure, ce cou- . rant retournant par le conducteur de retour 40.
On conçoit que le contact 126 est entrafné au -moyen de la roue dentée 125 à une vitesse égale à la moitié de celle de l'arbre 128. Pendant que le balai 132 est en contact avec la partie conductrice de ce contact 126, on conçoit que la grille du thyratron 102 est reliée au né- gatif de la batterie III, le balai 133 étant en contact avec la
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partie inalé- I27 du contact.
L'arbre 128 continu nt sa rotation, les balais 130o puis 1^s balais 131 viennent es contact avec lu Jrtie condae- trice dee contacts 122, 12 et in Cette opération produit, de son cté, des pointes positives 8ecn1irs dans 1-s trinsgomnateirs II4 et II5 ces pointes ap? r:ÜI!9.1t sur les grille; d,"5 l-'.:rlpel3 100 pend-3nt cha- que alt rn.nce pofitivs d- l tnion-pl3.que. L' ::rbre I08 conti- nuint à toirncr, 1 8 balais IC9 visnnent le c>is échéant en con- tact 3.ver la partie isolée 127 dns contacts I22, 123 et 124 et après cette action les balais 130 viennent en contact &vec cette partie isolée et finalement ce sont les balais 131 * Les pointes secondaires .:li3parais::oent donc dans les tr',nsforfu8.te-r3 1131 II4 et 115 et lem 1 3mpeq 100 sont de nouveau r:F1.Íntenu.es non conduc- triées pr la polarisation négative de grille II2.
La révolution qaivvnts de l'arbre 128 provoque la répétition t'lot l'action qui vi-nt d'être décrite, snuf que le contact I26, qui tourne 3. une vitesse égale à la moitié de celle -le l'arbre I28 viendra en contict électrique avec le balai 133t n:1.tr'1.li-;'nt -,-inri la. grille du trhyr-atron 102, d sorte que l'ignitron 62 4':.llume, cette fois pour f ire passer l'impulsion de coirznt continu d1.ns l' enroulament primaire z En ce qui concerne l'appareil de commande qui vient tr- décrit, an mode de fonctionn"'1nt typique des contacts poar produire an voltage de pointa dans lei secondaire?' des tram' fOrr'late.1r3 II3 114 et 115 consisterait à faire en sorte que la pointe du transformateur II3 me produise plus tard dans l'alter- nance positive 30e li tnion-plque des 1.:-gsa 100, d8 façon que le rolt-;
cre appliqué ,iux borne# d- 11--nra-il-ment pri"!l9.ire 39 ou 49 du transformateur de o¯ld'J.r soit petit, et produise un cou- rant 8condiÎr faible ou cour:nt de chauffage préalable. qui augmente 1;nt;n=nt pour chauffer préalablement l'endroit de la soudure. Les voltages de pointe produits dtns les secondaires
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des transformateurs 114 liPP.:J.r::J,ttr,J,i'ê'11.t do: bonus heure 3 ns '1. s alternances positives aur les l:fflp 315 100$ pour prù:iu.i 'e un vol- tage d'entrée élevé le primaire du transfDDmateur de sou- dure et un courant second:cire correspond.-jnt intense i:1.g Hm t'3-nt
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beaucoup plus rapidement pour former le coar-nt de soudure.
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Finalement les voltj.ges de pointe pordaits par les* transformas tsurs 115 apparatrs.isnt tird d'ms l'3s '3.1tr.::rrnnci!)S popitivop) du voltage sur la plaque d's lampes 100, ce qui donn.1!r Ü t n"J.i 8- s'mce à un voltage moins élevé '3..".1.S bornée du priu.3,ir du trans- formateur, ce qui, 8. ,,on taur, f"#:=Ü t baisser le c-,,2r,nt secon- daire do la pointe de soi<1-are T. qlque valeur plas bCl",,,,e, cons- ainmi un courant de ch'.uff'3.ga l1.bsqt1."'!nt.
En réglant 1 . vitesse de rotation à 1.' ..1,rorf'! I28 la longueur :le la, pT-rtiecoonduotrice des contacts I22, I23 et 124 et l'écartement entre les balada 129 I3G et I3I, on peut obtenir presque tcute combinaison 6-n ce qui concerne là durée et l'ampli tu.d0 des courants de chauffage préalable, de ^a a.c7:zra et de chauffage subséquent. Lo doit tre tel que chaque fois que Ilinterraptyuir à pédale 138 e,t fertile, 19 '1r. bre 128 fasse un tour* 'Des impulsons de soudure unÜps1" ,"'ont
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ainsi obtenues et on peut donner à l'onde de ces impulsions la
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for-qe désirée t de la, façon décrite ici et rcnré,¯,=té: n dé- tamil dans 1ùS fig. 10 et II. Dans lu fig. 10 le cour'-'nt d2 sou- dure de pointe est le mtàe poar toutes 108 quatre élém0.1tf' d,P- la figura. Dans la fig.
II le courant 1s so-idura de pointe est considérabl'tl')nt moins élevé et la, durée d5:s ,le chauf- fage préalable et de chauffage subséquent a été ..3.ug"o.satée.. La. présente invention permet d'obtenir presque toute cO.nb.:.nd,ison de courvnt de soudure de pointe et de:! durce d'as ç>4;riodeu de chauffage préalable et de chauffage 5ubséqentt de f'3,$on à eut adapter aux caractéristiques particulières du métal qu'il sLa-
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git de souder..
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Il eit égale'n'snt possible, avec le mode de réglage représenté d-3ns li fige 9 de f1.ire to-rner l'arbre I28 d'une f1.çon continue à une viteese constante tant que l'interrupteur à pédale 138 reste f-rifiét, Lorsque le réglage est effectué de cette façon, on obtient des impulsions de sO.1;ur" successives le courant de soudure pvas:zn.t d'abord dans un sens puis dans l'utre, constituant ainsi un CJurJ.nt alternatif de basse fré- quence et tol qu'il est possible de donner la forme désirée à l'onde de ciHQl1.e impulsion, :le lu. façon décrite plus haut.
Pour le fonctionm'T"nt par des impulsions uniques* l'interrupterir 147 est continue1..1ement fer:né. Lorsque l'opé- rt.1r abaisse l'interrupteur 3 pédale I38 la bobine de relais 3 A est excitée, car elle est reliée aux bornes de 1=;. source à coir-mt 143. Le contact AI du relaim 3A, contqEt qui est norvle-ent ouvert, s'a f-rne, b1o:u"'int ainsi le relais dans lx position d'excitation, que l'interrupteur 138 reste abasie- sé ou non. Le contact 3 du relais zs feme égale-lent, ce qui excite le -olénoide 136. Oeci a pour effet de ±-aire moavoir le m1cnisme de co:n1nde I35 de façon à ebr j.,yer l'accouplement 134, après quoi l'arbre 128 tourne d ns le cens indiqué et à un" 1-itese COf!t3.Ylte pO'.1r provoquer It::1l1uQ.ge des ignitrons du redresseur ±ce 1' f"àq-on décrite.
Immq'di-i,t-5,,i-nt --tpr;-9 qae li p-rtie isolée 127 des conte cts 122, 123 eut 124 a p4J.sf':é nous le b9.L..i 131, la p ir4-.ie conductrice 149 da 1'", c-iae 148 f!1r"le le circuit "'1.tre les ba- lais I5C ct I5I. L+ rel'1-Í1." 3B est excité à ce nom=nt p.r le circuit coJ1nriv e;tre 1e CGn'lcte.1r 152 et 153 et passant P-,r l'interrupteur 147 , qui est fermé, le boe4ai 150, 13 pr- ti9 con1ctric 149 de l3 c'3.a 148, le balai 151 et le con- tact fsrné A2 du relais 3Ao Le cont .ct B3 du relais '3E, con- tact lui -5>t nor-.n-.le7q,?nt f''>r:é, e t O"7Te, c" 2ai fiit cesser l'excitation 1 1--i bobine 136 et dégage le mécanisme 135 de façon 9. débrayer Itg,ccoupl::1!lt 134< Le frottenent àe l'arbre
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Il dont l'inertie est petite, fait cesser ifum8dite0nt la rotation -le cet arbre.
A ce moment 1-,g balais 129}, I3C et I3I sont en contact avec la partie isolée 127 des contacta 122, 123 et 124. Lorsque la partie conductrice 149 est très courte,
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elle peut avoir tourné légèrement et dépassé les cont.ctn 150 et 151 aà moment or l'arbre 128 s'arrête. Le r#1.3.iz 3B rente 2xci té toutefois par le cont-ict ma, qui se ferme lorsque le re- lais eat excité. Si 1'interrupteur d'amorçage 138 est maintenu :.1baÍl:?;é pendant toute 1;. durée du fonctionna ent, la. séqu<:nce est bloquée jusqu'à ce que cet interrupteur soit d'7véq Aurri# ttt que ce dégagement a. lieu, 1= rel^-..i 3A ce-ce d'lItre excité pirc que le contact Bl, qui Pst nor:n,l"'TI,>nt f"r:1é, a 't ou- vsrt dëf que le relais 3B a été excité. Le contact A2 r' ¯:zSrrF é-:;.ù"ment9 ce qui fait cesser l'excitation du r=1<is 58.
Le contact A3 ozvre et le cont'ict B3 ;se f3r'!f! 1 ne cet ')rir':" àe sorte que la bobine 136 du solénoide ces.39 d'tr excitée. 'Jne nor-7-,Dllc f-r etare do l'interrupteur à pédale 138 provoque une nouvelle succession dtop-er3.tions qui ne répètent de 1), façon décrite plus haut, produisant ainsi une nouvelle impulsion de courant de soudure.
Pour des opérations répètées l'interrupteur 147
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reste ouvert. La fermeture de l'interruoteur à pédale 138 et son maintien dans sa position d'abaissement excitent le relais 3A qui ferme le contact Al, bloquant ce relais dons la position d'excitation. Le contact A3 se ferme,ce qui provoque l'exci- tation de la bobine de solénoide 136 et .;et le mécanisme de
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commande 135 en mouvement de façon à embrayer 1 t a.ccoupl<YD.""nt 134 et à faire tourner l'arbre 128 de la mène manière qud colle qui a été décrite pour une opération à une seule impulqion..
Cette fois,cependant, lorsque les balais 150 et 151 sont @@- liés électriquement à la partie conductrice 149 de la came 148, le relais 3B n'est pas excité tant que l'interrupteur 138 est
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maintenu dans sa position d'a,b,, semant, parce que le circuit
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n'a?t pia f-=r;é entre lea lignes 152 et 153. l'interrupteur 147 4t3nt oxrert, En C#13éq.nce, l'-arbre 128 continue -1 tourner à une -7itesre const nte, ce qui provoque an répétition des im- pul ions de cour'mt envoyées âu tranefornateur de aoidire tr'nt que l' i:ltrr.1.ptsu.ii 138 est #Bint?nu dans sa. position d'bai3- sement. Pour arrêter cette opération, on dé8..:Çe l'interrupteur 138 ou. on le r--Ùne à c:i. poi tio'1. J e relre'1.nt.
Alors, aussi- t8t qutzne 9ection da cont'3.cteur 149 'le lc. c"J.ihe 148 vient en con# tact ?3 1¯e? b'1.l ¯i 150 et ISI, le r"1.'u.f '3E est excita. Lu cir cai t est ?1.JrJ fr¯,.é à partir de 13. line 152 p ',r les contacts U' .ri r3 de Pi;1t.""rr.1.ptAr 158, 1'"'8 b',l:3.ift q I5C et ISI, la, p'rtie conductrice 149, le contact f'lr14. A2 et le relais 3B avec rto'.1.r 1-3 lijne 153â L'excitation du rl'3.i 3B provoque alors 1 t onvrture du contact B3 ce qui coupe l'excitation de lui bobine de :jolénoi1e 136 et débr'1.ye l'acco'ple:nent 154* L'tar- br- 128 gt-arrtte ilors dp la m!e manière que celle qui ; eté décrite pour l'opérx.tion à une seald impulsion, 'le -lotte que les balai;? 129, 130 et 131 sont tcr.1.e en contact avec ana partie iaolée 127. L'excitition de 3B provoque aussi lluivert-are du contact Bl, e.zp:t .?,in#1 l'excitation da r=1?1? '3A..
Ceci pro- r:)',.1."! l'o1.'Trt.1.r\": Tu CO:î-;:'3.ct A2 qui de son c6té coupe l' exci- tirion -la r-1 ix 5B et 13 dispositif de com"'J""nda ..t '1.1or pr4t T. frictionner noir an; nazv^7¯le ±naccsmion d'opfritions. Le CO'lt,ct T32, lui rs t,rOl""7" 1 na 1. circuit di relais 3B, ^Art 'i c.:)"l"t ct le bloc ''5 pour c^ r"L".is, àe fort* 1.l 13 coupure d( l'excit tion de 3,3. doit toujours précéder li. d'}excit tion de 33, it il rurt .':.p""i à mai'lt"mir 1'* r1,;i3 3B excité t"n.t 1'1.6 li cc-nt--.ct A2 sst Îer;é, quells que soit ]-',action de la cr¯^e I48.
3n plus ::1e' ':..v':;'!1:':;af' ci-df"f'Q8, guI" l'on obtipnt n .1tili-1.:ît, pour 1'J.. scudun, l'bq>pàreil qui fait l'objet de i-, r'aap i""rn .ion, un .ltre point import nt ,3. corsid.'rer, etc-t l'écono ie d'nrgie rlJ.lis<5e p'ir r pport , celle qui met n#caPs#ire Pair le fJ.ictionr- nnt à -'',1.chines 3. Fonder à
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courant monophasé de 60 périodes. Avec ces manhines l'inductance du circuit secondaire du transformateur de soudure est tellement grande que le facteur de puissance est considérablement réduit, ce qui entraîne un grand gaspillage d'énergie. L'appareil de la présente invention est alimenté par un réseau triphasé et la puis- sance empruntée est égale pour les trois phases.
Dans la fig. 13 les impulsions de courant représen- tées ont des pointes de coursait de différentes valeurs et des durées différentes. On peut obtenir toute intensité d@@irée pour le courant de soudure entre la. limite maxima et la limite minima de l' appareil après tout laps de temps donné tel que les lampes Tl et T2. Inversement, on peut obtenir toute valeur de courmt de soudure après tout laps de temps désiré pour le passage du cou- rant. Cela n'est pas possible vec le courant alternatif ordinai- re, parce que ce courant atteint toujours son maximum après un quart de période. Dans le cas d'un courant de 60 périodes le ma- ximum serait atteint en 0, 0415 seconde.
Pour le temps T1 les Impulsionsde soudure de l'appareil en question peuvent avoir une courant d'une grande valeur représenté par la ligne en traits pleins ou un courant de faible valeur représenté par la. ligne en traits mixtes et il en est de même'pour le temps T2. On obtient la forme désirée pour l'impulsion de soudure en choississant un voltage particulier pour le courant continu qui passe dans l'en- roulement primaire du dispositif de transformation et en règlant sa durée ou sa période de passage. Quant au réglage du voltage des impulsions de courant continu, il est 'effectué par le réglage des ignitrons du redresseur, ainsi qu'on l'a déjà décrit, ou au moyen d'un interrupteur de prise sur le transformateur de soudure ou sur le transformateur du redresseur.