Medailles

In una recente asta numismatica di una rinomata Casa d'aste italiana, è stata esitata all'incanto una rara medaglia d'argento datata 1646 e dedicata a Jean Armand de Maillé-Brézé, l'ammiraglio che guidò la flotta francese nella spedizione contro lo Stato dei Presidi nel 1646, trovandovi la morte, a soli 27 anni, nel corso di una battaglia navale contro gli Spagnoli.

Giovan Francesco Caroto, pittore veronese attivo a Milano e a Casale Monferrato, fu anche medaglista. Di questa sua attività rimane un'unica medaglia descritta da Giorgio Vasari nelle Vite nella quale ritrae il giovane futuro marchese del Monferrato, Bonifacio II Paleologo. Tra gli amici veronesi di Caroto vi era anche il nobile Giulio Della Torre, giurista di professione, ma artigiano del bronzo per passione. Una sua medaglia ritrae Giovanni, il fratello di Giovan Francesco Caroto. L'articolo ricostruisce le fonti dell'ispirazione iconografica delle due medaglie.

Cette communication porte sur un certain nombre de médailles, représentant le couple royal grec, Constantin et Sophie, commandées par la cour auprès du sculpteur grec Costas Dimitriadis durant  la décennie allant des guerres balkaniques à la chute de la dynastie royale en 1924. Ces médailles sont de deux catégories ; représentant la famille royale (ex. à l'effigie de la princesse Eleni de Grèce [1906], à l'effigie de la reine Sophia des Grecs [1914], de la Célébration des noces d'argent du couple royal grec [1914]) ou bien frappées dans un contexte de guerre (ex. de la Campagne d'Asie Mineure [1921]).
Le sculpteur et médailleur Costas Dimitriadis, dont l'oeuvre reste de nos jours assez méconnue, surtout en Europe, fut l’artiste grec le plus célèbre sur le plan international de la première moitié du XXe siècle. Il vécut entre Paris et Athènes comme un «citoyen européen». Hormis des membres de la famille royale grecque, presque toute la haute société athénienne : politiciens, commerçants, banquiers, hommes de lettres ou du monde des arts, ainsi que de hautes personnalités en France (ex. Aristide Briand, Basil Zaharoff, Marie Bonaparte, Jean Moréas, Stasia Napierkowska) et en Angleterre (ex. Edouard, Prince de Galles) ou ailleurs (ex. Roumanie) défila dans ses ateliers de Paris, d’Athènes et de Londres.
A travers les archives personnelles du sculpteur Dimitriadis, dans des collections privées et publiques en France et en Grèce, nous allons aborder dans un premier temps des questions liées au processus des commandes pour la production de ces médailles. Dans un deuxième temps, nous allons nous interroger sur la façon dont la cour royale grecque utilisait ces produits artistiques pour commémorer l'Histoire. Nous allons aussi définir la relation esthétique entre les monnaies grecques
(les drachmes), dont quelques épreuves ont été exécutées par le même sculpteur, et les médailles commémoratives de cette période. Même après la fin de la Grande Guerre, durant la Deuxième république grecque (1924-1935) et la période de la dictature d'Ioannis Metaxas (1936-1940), les gouvernements grecs et la Banque de Grèce, voire les « puissants », ont continué à commander auprès de Dimitriadis des médailles et des plaques commémoratives à diverses occasions.

L'article présente une médaille en argent de Louis XV déposée dans la première pile du nouveau pont de Compiègne le 11 mai 1732 et retrouvée dans l'Oise suite à la destruction dudit pont en 1914, puis s'intéresse tout particulièrement aux dépôts de fondation liés à la construction de nouveaux monuments sous les règnes de Louis XIV et de Louis XV.

des Gallois de La Tour une médaille dont la description est la suivante : « Médaille en cuivre de 56mm par Dupré, tranche lisse sans poinçon. L'avers comporte l'inscription suivante : C.J-B DES GALOIS DE LA TOUR PR. PRESIDENT AU PARL. ET INTENDANT DE PROVENCE et montre son buste à droite dans une couronne de lauriers. Le revers, sur lequel on peut lire : DECERNEE PAR L'ASSEMBLEE DES COMMUNES DE PROVENCE EN 1788, représente un homme debout levant une couronne de lauriers et tenant un caducée et une pelle; à côté une stèle portant un globe et une balance, à laquelle sont appuyée un compas, une équerre et une épée; dessous, ces mots: LE TIERS ETAT DE PROVENCE A CHARL. JEAN. BAP. DES GALOIS DE LA TOUR INTENDANT DU PAYS SON AMI DEPUIS PLUS DE QUARANTE ANNEES. ». Qui était l'homme ainsi honoré ? Né à Paris le 12 mars1715, il devint à 20 ans conseiller au Parlement d'Aix, puis, successivement, maître des requêtes, conseiller au Grand Conseil, président (en 1738), puis succéda à son père comme Intendant de Provence en 1744 et, en 1747, comme premier président du Parlement. Le Parlement d'Aix était à peu près l'équivalent de l'actuelle Cour d'appel, mais, en cette époque où la séparation des pouvoirs était loin d'être parfaite (c'est un euphémisme), il avait aussi le pouvoir d'édicter des règlements et de participer à l'administration de la province; en outre, son premier président était le plus souvent l'Intendant de Provence (on dirait aujourd'hui le préfet de région). A ce titre, Charles Jean-Baptiste des Gallois de La Tour créa des canaux dérivés de la Durance, procéda à des endiguements de cette rivière et du Rhône, à des améliorations des ports de Tarascon, Bouc et Antibes, à l'assèchement des marais de Fréjus, à la restauration des monuments romains de Saint-Rémy, à la construction d'un palais de justice et de prisons à Aix, etc. Cette activité d'aménageur et de bâtisseur explique la présence d'un compas et d'une équerre sur la médaille ci-dessus décrite. Lorsqu'en 1768 Louis XV annexa au royaume de France Avignon et le Comté Venaissin, il alla en prendre possession avec le procureur général, de Monclar, et neuf conseillers. Il exerça également les fonctions d'inspecteur du commerce et de président de la Compagnie royale d'Afrique. A Marseille, il fit aménager un nouveau quartier sur les terrains occupés précédemment par l'arsenal des galères. A l'approche de la Révolution française, il dut réprimer des troubles dans la cité phocéenne. Il survécut à la tourmente révolutionnaire (mais les coins de cette médaille furent brisés lors de la Terreur) et mourut à Saint Aubin sur Loire le 21 janvier 1802.

In una recente asta numismatica di una rinomata Casa d'aste italiana, è stata esitata all'incanto una rara medaglia d'argento datata 1646 e dedicata a Jean Armand de Maillé-Brézé, l'ammiraglio che guidò la flotta francese nella spedizione contro lo Stato dei Presidi nel 1646, trovandovi la morte, asoli 27 anni, nel corso di una battaglia navale contro gli Spagnoli.

CAT: Una reflexió sobre la medalla commemorativa del 1900 amb exemples dels principals autors. Revista Serra d'Or, núm. 664, Barcelona, 2015.
ES: Una reflexión sobre la medalla conmemorativa del 1900 con ejemplos de los principales autores. Revista Serra d'Or, núm. 664, Barcelona, 2015. En catalán.
UK: Commemorative medals in 1900 with examples of the main authors. Serra d'Or magazine, no. 664, Barcelona, 2015. Written in Catalan.
FR : Une réflexion sur la médaille commémorative en 1900 avec des exemples des principaux auteurs. « Serra d'Or », pas. 664, Barcelone, 2015. Écrit en Catalan.

Dissertation. Studien zur profanen Ikonographie 2
Hg. Hans Holländer  ISBN-10: 3786116369
9783786116363 3786116369  OCLC-Nummer: 962738296

Eine systematische Uebersicht bildlicher und plastischer Darstellungen der Baumeister und Architekten von 1450 bis 1800 unter ikonografischen Gesichtspunkten mit einem Katalog der wichtigsten Bildwerke dieses Themas.
"Die hier vorliegende Arbeit beschäftigt sich ausschlieβlich mit der rein bildlichen Form der Darstellung eines Berufsstandes: der Architekten und Baumeister. Ihr Ziel ist eine typengeschichtliche, und ansatzweise ikonologische Untersuchung der  Bilder  von  Baumeistern und  Architekten in graphischen Porträts, Gemälden und Plastiken von 1450 bis 1800. Sie hat Bestandsaufnahmecharakter, gruppiert die zusammengetragenen  Beispiele unter Beibehaltung der Chronologie thematisch, und versucht die Genese einzelner Darstellungstypen zu ermitteln. .....
Durch  die  systematische  Gliederung  ... die unter thematischen Gesichtspunkten entstand, liegt ein Katalog der wichtigsten  Bildwerke dieses Themenkreises  vor. Die zeitliche Eingrenzung,  mit dem Ausgangspunkt  um 1450,  ergibt  sich  in  Anlehnung  an  bestehende  wissenschaftliche  Forschungsergebnisse.  Im  Hauptteil werden die wichtigsten und interessantesten Porträt- und Bildnistypen der Epoche des "Vitruvianismus", des Zeitraums zwischen der Mitte des 15. Jahrhunderts  und dem Ende des 18. Jahrhunderts,  betrachtet. Mit dem Ausklang dieser Epoche endet mein Betrachtungszeitraum. Der  geografische  Raum  ist  eingegrenzt  auf  die  deutschsprachigen  Gebiete  und  Norditalien. Bereits ausführlich dokumentierte Porträts groβer Künstler-Architekten sind ausgeklammert.