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Costas Dimitriadis (1879-1943) est l’artiste grec le plus célèbre sur le plan international de la première moitié du XXe siècle, entre Paris et Athènes. Par ses fonctions, il contribua à la création et à la modernisation des institutions... more
Costas Dimitriadis (1879-1943) est l’artiste grec le plus célèbre sur le plan international de la première moitié du XXe siècle, entre Paris et Athènes. Par ses fonctions, il contribua à la création et à la modernisation des institutions artistiques publiques grecques, en assumant de 1930 à sa mort, la direction de l’École Supérieure des Beaux-Arts d’Athènes. Dans cette thèse, nous racontons la vie de Dimitriadis en Roumélie Orientale, où il est né, et puis à Athènes, dans le premier atelier libre où il fit son apprentissage et ses études à l’École des Beaux-Arts. Ensuite, nous suivons la trace de ses premiers pas en Europe ainsi que le rôle déterminant qu’ont joué dans sa survie artistique certains membres éminents des cercles parisiens tels que Jean Moréas et Jean Pischari, de même que son mécène, le marchand d’armes Basil Zaharoff. En passant par Paris et Londres, nous déterminons les processus qui l’ont conduit à des commandes en France, en Angleterre et en Grèce. Nous recherchons aussi de quelle façon Dimitriadis se rangea du côté des gouvernements grecs pro-venizelistes (1922-32) en vue de la modernisation de l’État grec par l’européanisation des institutions artistiques et quelle fut sa contribution à l’exercice de la diplomatie culturelle. Finalement, nous examinons l’évolution décroissante de son rôle protagoniste, interrompu par la politique d’intervention du dictateur Ioannis Metaxas ainsi que par l’Occupation jusqu’à sa mort, en octobre 1943. Sans exclure les analyses thématiques, nous avons choisi pour ce travail de suivre une structure chronologique accompagnée d’un catalogue raisonné de l’oeuvre du sculpteur.                                             

Costas Dimitriadis (1879-1943), who lived and worked in Athens and Paris, was the most famous Greek artist of the first half of the twentieth century. Through his directorship of the School of Fine Arts in Athens (1930-1943), he defined the role and viewpoint of public art institutions in Greece to this day. This dissertation traces Dimitriadis’ life and work. It begins with his youth in Eastern Roumelia followed by an examination of his studies in Athens both as an apprentice and in the School of Fine Arts. The dissertation continues with an exploration of his early career in Europe and the role Paris intellectual circles played in his artistic development, mainly the prominent members Jean Moréas and Jean Pischari, and his patron, the arms dealer Basil Zaharoff. In addition, this dissertation establishes the process by which Dimitriadis established ateliers in Paris and London, as well as a leading role in the art life of these cities as well as in Greece. His political viewpoints are also examined; for example, his support to the Venizelist Governments (1922-1932), which promoted modernization of the Greek state through the Europeanization of art institutions and his role in cultural diplomacy are documented and discussed. Circumstances that limited Dimitriadis’ leading role are also examined, including policies of the dictator Ioannis Metaxas and the Occupation of Greece during World War II. Although chronological in structure, the dissertation also explores thematic issues. It includes moreover a Catalogue Raisonné of the artist.
Costas Dimitriadis (1879-1943) est l’artiste grec le plus célèbre sur le plan international de la première moitié du XXe siècle, entre Paris et Athènes. Par ses fonctions, il contribua à la création et à la modernisation des institutions... more
Costas Dimitriadis (1879-1943) est l’artiste grec le plus célèbre sur le plan international de la première moitié du XXe siècle, entre Paris et Athènes. Par ses fonctions, il contribua à la création et à la modernisation des institutions artistiques publiques grecques, en assumant de 1930 à sa mort, la direction de l’École Supérieure des Beaux-Arts d’Athènes. Dans cette thèse, nous racontons la vie de Dimitriadis en Roumélie Orientale, où il est né, et puis à Athènes, dans le premier atelier libre où il fit son apprentissage et ses études à l’École des Beaux-Arts. Ensuite, nous suivons la trace de ses premiers pas en Europe ainsi que le rôle déterminant qu’ont joué dans sa survie artistique certains membres éminents des cercles parisiens tels que Jean Moréas et Jean Pischari, de même que son mécène, le marchand d’armes Basil Zaharoff. En passant par Paris et Londres, nous déterminons les processus qui l’ont conduit à des commandes en France, en Angleterre et en Grèce. Nous recherchons aussi de quelle façon Dimitriadis se rangea du côté des gouvernements grecs pro-venizelistes (1922-32) en vue de la modernisation de l’État grec par l’européanisation des institutions artistiques et quelle fut sa contribution à l’exercice de la diplomatie culturelle. Finalement, nous examinons l’évolution décroissante de son rôle protagoniste, interrompu par la politique d’intervention du dictateur Ioannis Metaxas ainsi que par l’Occupation jusqu’à sa mort, en octobre 1943. Sans exclure les analyses thématiques, nous avons choisi pour ce travail de suivre une structure chronologique accompagnée d’un catalogue raisonné de l’oeuvre du sculpteur.                                             

Costas Dimitriadis (1879-1943), who lived and worked in Athens and Paris, was the most famous Greek artist of the first half of the twentieth century. Through his directorship of the School of Fine Arts in Athens (1930-1943), he defined the role and viewpoint of public art institutions in Greece to this day. This dissertation traces Dimitriadis’ life and work. It begins with his youth in Eastern Roumelia followed by an examination of his studies in Athens both as an apprentice and in the School of Fine Arts. The dissertation continues with an exploration of his early career in Europe and the role Paris intellectual circles played in his artistic development, mainly the prominent members Jean Moréas and Jean Pischari, and his patron, the arms dealer Basil Zaharoff. In addition, this dissertation establishes the process by which Dimitriadis established ateliers in Paris and London, as well as a leading role in the art life of these cities as well as in Greece. His political viewpoints are also examined; for example, his support to the Venizelist Governments (1922-1932), which promoted modernization of the Greek state through the Europeanization of art institutions and his role in cultural diplomacy are documented and discussed. Circumstances that limited Dimitriadis’ leading role are also examined, including policies of the dictator Ioannis Metaxas and the Occupation of Greece during World War II. Although chronological in structure, the dissertation also explores thematic issues. It includes moreover a Catalogue Raisonné of the artist.
Costas Dimitriadis (1879-1943) est l’artiste grec le plus célèbre sur le plan international de la première moitié du XXe siècle, entre Paris et Athènes. Par ses fonctions, il contribua à la création et à la modernisation des institutions... more
Costas Dimitriadis (1879-1943) est l’artiste grec le plus célèbre sur le plan international de la première moitié du XXe siècle, entre Paris et Athènes. Par ses fonctions, il contribua à la création et à la modernisation des institutions artistiques publiques grecques, en assumant de 1930 à sa mort, la direction de l’École Supérieure des Beaux-Arts d’Athènes. Dans cette thèse, nous racontons la vie de Dimitriadis en Roumélie Orientale, où il est né, et puis à Athènes, dans le premier atelier libre où il fit son apprentissage et ses études à l’École des Beaux-Arts. Ensuite, nous suivons la trace de ses premiers pas en Europe ainsi que le rôle déterminant qu’ont joué dans sa survie artistique certains membres éminents des cercles parisiens tels que Jean Moréas et Jean Pischari, de même que son mécène, le marchand d’armes Basil Zaharoff. En passant par Paris et Londres, nous déterminons les processus qui l’ont conduit à des commandes en France, en Angleterre et en Grèce. Nous recherchons aussi de quelle façon Dimitriadis se rangea du côté des gouvernements grecs pro-venizelistes (1922-32) en vue de la modernisation de l’État grec par l’européanisation des institutions artistiques et quelle fut sa contribution à l’exercice de la diplomatie culturelle. Finalement, nous examinons l’évolution décroissante de son rôle protagoniste, interrompu par la politique d’intervention du dictateur Ioannis Metaxas ainsi que par l’Occupation jusqu’à sa mort, en octobre 1943. Sans exclure les analyses thématiques, nous avons choisi pour ce travail de suivre une structure chronologique accompagnée d’un catalogue raisonné de l’oeuvre du sculpteur.                                             

Costas Dimitriadis (1879-1943), who lived and worked in Athens and Paris, was the most famous Greek artist of the first half of the twentieth century. Through his directorship of the School of Fine Arts in Athens (1930-1943), he defined the role and viewpoint of public art institutions in Greece to this day. This dissertation traces Dimitriadis’ life and work. It begins with his youth in Eastern Roumelia followed by an examination of his studies in Athens both as an apprentice and in the School of Fine Arts. The dissertation continues with an exploration of his early career in Europe and the role Paris intellectual circles played in his artistic development, mainly the prominent members Jean Moréas and Jean Pischari, and his patron, the arms dealer Basil Zaharoff. In addition, this dissertation establishes the process by which Dimitriadis established ateliers in Paris and London, as well as a leading role in the art life of these cities as well as in Greece. His political viewpoints are also examined; for example, his support to the Venizelist Governments (1922-1932), which promoted modernization of the Greek state through the Europeanization of art institutions and his role in cultural diplomacy are documented and discussed. Circumstances that limited Dimitriadis’ leading role are also examined, including policies of the dictator Ioannis Metaxas and the Occupation of Greece during World War II. Although chronological in structure, the dissertation also explores thematic issues. It includes moreover a Catalogue Raisonné of the artist.
Ιστορικοί της Τέχνης που εργάζονται σε κρατικούς ή και ιδιωτικούς φορείς (μουσεία υπαγόμενα στο Υπουργείο Πολιτισμού, δημοτικές πινακοθήκες στην Αττική ή/και την επαρχία, επιμελητές σε συλλογές ιδιωτικών τραπεζών, ανεξάρτητοι επιμελητές)... more
Ιστορικοί της Τέχνης που εργάζονται σε κρατικούς ή και ιδιωτικούς φορείς (μουσεία υπαγόμενα στο Υπουργείο Πολιτισμού, δημοτικές πινακοθήκες στην Αττική ή/και την επαρχία, επιμελητές σε συλλογές ιδιωτικών τραπεζών, ανεξάρτητοι επιμελητές) συζητούν για ζητήματα πολιτιστικής διαχείρισης με φοιτητές του Παντείου Πανεπιστημίου. Ζητούμενο είναι ο διαμοιρασμός εμπειριών από την πλευρά των ειδικών και η σύνδεση της ακαδημαϊκής παιδείας με την επαγγελματική ενασχόληση στο πεδίο του πολιτισμού.
Διοργάνωση: Εταιρεία Ελλήνων Ιστορικών Τέχνης
Τόπος διεξαγωγής: Αμφιθέατρο Σάκη Καράγιωργα ΙΙ, Πάντειο Πανεπιστήμιο Κοινωνικών και Πολιτικών Επιστημών

Ομιλητές:
Δρ Θοδωρής Κουτσογιάννης, έφορος συλλογής έργων τέχνης, Βουλή των Ελλήνων
Δρ Χριστόφορος Μαρίνος, ιστορικός της τέχνης, επιμελητής εκθέσεων και δράσεων του ΟΠΑΝΔΑ
Δρ Τίνα Πανδή, επιμελήτρια, Εθνικό Μουσείο Σύγχρονης Τέχνης
Μαρία Πούλου, Μ.Α. επιμελήτρια – Δημοτική Πινακοθήκη Νίκαιας-Ρέντη
Δρ Νικολέτα Τζάνη, ιστορικός της τέχνης – αρχαιολόγος, Τμήμα Παιδείας & Διά Βίου Μάθησης, Απασχόλησης και Πολιτισμού Δήμος Βόλου
Δρ Δέσποινα Τσούργιαννη, υπεύθυνη συλλογών, Alpha Bank

Συντονισμός: Δρ Σπύρος Μοσχονάς, ιστορικός της τέχνης
Program in Hellenic Studies, Columbia University 2021 marks the bicentenary of the Greek uprising against the Ottoman Empire. For this occasion, the Program in Hellenic Studies and SNFPHI introduced a one-time seminar course that... more
Program in Hellenic Studies, Columbia University

2021 marks the bicentenary of the Greek uprising against the Ottoman Empire. For this occasion, the Program in Hellenic Studies and SNFPHI introduced a one-time seminar course that brings together faculty from Hellenic Studies, History, Italian, and English as well as guest speakers to consider the revolution and its various legacies.

The Greek Revolution of 1821 and its Legacies: Interdisciplinary Perspectives on Primary Sources
Instructor: Nikolas P. Kakkoufa
GRKM 4821
Mondays, 4:10pm-6:00pm

2021 marks the bicentenary of the Greek uprising against the Ottoman Empire—an event that captured European and American popular imagination and led to the founding of the Greek nation. The Greek Revolution became a site for enduring discussion of much larger questions about the international order, democracy, empire, nationalism, collective rights, slavery, monumentality, and the contemporary place of classical Hellas. In this seminar Hellenic Studies faculty and guest speakers take 1821 and its enduring legacies as a vantage point to examine the use of primary sources (including texts, songs, paintings, and films) across different disciplines (history, anthropology, comparative literature, architecture, political science, and queer studies), and reflect on the nature of evidence and how it features in public discourse and contemporary cultural politics. Lectures by Dimitris Antoniou, Stathis Gourgouris, Nikolas P. Kakkoufa, Paraskevi Martzavou, Mark Mazower, Neni Panourgiá, Karen Van Dyck, Konstantina Zanou, Nikoleta Tzani, and others.
The lecture examines the formative influence that the Byzantine revival, the cultural phenomenon of the so-called “Byzantinism” had on the Greek artistic production at the end of the 19th and the first half of 20th century. It traces the... more
The lecture examines the formative influence that the Byzantine revival, the cultural phenomenon of the so-called “Byzantinism” had on the Greek artistic production at the end of the 19th and the first half of 20th century. It traces the gradual shift from the rejection of Byzantine traditions to the positive reappraisal of Byzantine artistic achievements both in Europe and Greece. Through analyses of selected artworks by painters such as Gyzis, Parthenis, Contoglou and Engonopoulos, the lecture situates the interest of Greek artists, who lived and studied in Europe, within the general aesthetic and artistic discourse of Modernism.
C'est un poète d'origine grecque, Jean Moréas, qui rédigea en 1886 le Manifeste du Symbolisme. Néanmoins, le Symbolisme ne fut réellement porté en Grèce que par un petit cercle d'écrivains et à un plus petit nombre encore d'artistes. De... more
C'est un poète d'origine grecque, Jean Moréas, qui rédigea en 1886 le Manifeste du Symbolisme. Néanmoins, le Symbolisme ne fut réellement porté en Grèce que par un petit cercle d'écrivains et à un plus petit nombre encore d'artistes. De plus, les manuels d'histoire de l'art européen ont laissé dans une certaine obscurité les artistes grecs qui participèrent à cette aventure symboliste. Plus « invisibles » encore sont les sculpteurs, négligés par les historiens de l'art. Au cours du XIXe et de la première moitié du XXe siècle, les courants artistiques européens en général arrivèrent en Grèce avec quelques décennies de retard. Pour comprendre ce délai, il est nécessaire de mentionner les circonstances historiques et les particularités du pays. Ensuite, avec ce travail, nous allons tâcher d'examiner les deux sculpteurs grecs les plus importants qui firent rayonner ce mouvement dans leur pays et sur la scène internationale : Costas Dimitriadis (1879-1943), directeur à l'École supérieure des beaux-arts d'Athènes, et Thomas Thomopoulos (1873-1937), professeur de sculpture à la même École. Le premier partageât sa vie entre la France et la Grèce et reçut une éducation française et le second une éducation plutôt germanique. Tous deux, qui dominèrent la sculpture grecque de leur époque, formèrent des générations de jeunes artistes et réalisèrent des monuments publics, principalement en Grèce.
This paper examines aspects of the work and the aesthetic values of Tonis Spiteris (1910-1986), originally from Corfu, for Modern Greek art, mainly through his permanent column in the Athenian daily journal “Ελευθερία”... more
This paper examines aspects of the work and the aesthetic values of Tonis
Spiteris (1910-1986), originally from Corfu, for Modern Greek art, mainly
through his permanent column in the Athenian daily journal “Ελευθερία”
[Eleftheria/Liberty] for a period of twelve years, from April 1955 until the ban of the
newspaper in June 1967 by the Junta of the Colonels (1967-1974). Through his
writings this paper traces the dual role of Spiteris: that of the internationally
renowned art critic, who could inform systematically his public about the
contemporary European artistic movements and, secondly that of art historian,
who could present writings about artists and movements of the past.
The research on the construction and the inauguration of the bust of the poet Ugo Foscolo (1778-1827) in his birthplace in Zakynthos in 1927 has served as a case study for analysis of how art, and in particular public sculpture, has been... more
The research on the construction and the inauguration of the bust of the poet
Ugo Foscolo (1778-1827) in his birthplace in Zakynthos in 1927 has served as
a case study for analysis of how art, and in particular public sculpture, has been
utilized as a vehicle of exertion of foreign policy by Venizelist and pro-Venizelist governments during the interwar period and how an artist, the famous
sculptor Costas Dimitriadis (1879-1943), could contribute to such an aim. The
available sources have revealed that this initiative fit into a general foreign
policy model, which attached great importance to cultural diplomacy as a means
of improving and normalizing bilateral relations between countries, in this
instance, between Greece and Italy.
Cette communication porte sur un certain nombre de médailles, représentant le couple royal grec, Constantin et Sophie, commandées par la cour auprès du sculpteur grec Costas Dimitriadis durant la décennie allant des guerres balkaniques à... more
Cette communication porte sur un certain nombre de médailles, représentant le couple royal grec, Constantin et Sophie, commandées par la cour auprès du sculpteur grec Costas Dimitriadis durant  la décennie allant des guerres balkaniques à la chute de la dynastie royale en 1924. Ces médailles sont de deux catégories ; représentant la famille royale (ex. à l'effigie de la princesse Eleni de Grèce [1906], à l'effigie de la reine Sophia des Grecs [1914], de la Célébration des noces d'argent du couple royal grec [1914]) ou bien frappées dans un contexte de guerre (ex. de la Campagne d'Asie Mineure [1921]).
Le sculpteur et médailleur Costas Dimitriadis, dont l'oeuvre reste de nos jours assez méconnue, surtout en Europe, fut l’artiste grec le plus célèbre sur le plan international de la première moitié du XXe siècle. Il vécut entre Paris et Athènes comme un «citoyen européen». Hormis des membres de la famille royale grecque, presque toute la haute société athénienne : politiciens, commerçants, banquiers, hommes de lettres ou du monde des arts, ainsi que de hautes personnalités en France (ex. Aristide Briand, Basil Zaharoff, Marie Bonaparte, Jean Moréas, Stasia Napierkowska) et en Angleterre (ex. Edouard, Prince de Galles) ou ailleurs (ex. Roumanie) défila dans ses ateliers de Paris, d’Athènes et de Londres.
A travers les archives personnelles du sculpteur Dimitriadis, dans des collections privées et publiques en France et en Grèce, nous allons aborder dans un premier temps des questions liées au processus des commandes pour la production de ces médailles. Dans un deuxième temps, nous allons nous interroger sur la façon dont la cour royale grecque utilisait ces produits artistiques pour commémorer l'Histoire. Nous allons aussi définir la relation esthétique entre les monnaies grecques
(les drachmes), dont quelques épreuves ont été exécutées par le même sculpteur, et les médailles commémoratives de cette période. Même après la fin de la Grande Guerre, durant la Deuxième république grecque (1924-1935) et la période de la dictature d'Ioannis Metaxas (1936-1940), les gouvernements grecs et la Banque de Grèce, voire les « puissants », ont continué à commander auprès de Dimitriadis des médailles et des plaques commémoratives à diverses occasions.
Research Interests:
Νικολέτα Τζάνη / Nikoleta Tzani, «Κώστας Δημητριάδης / Costas Dimitriadis», κατ. έκθεσης "Το Εργαστήριο του γλύπτη / In the sculptor’s studio", Γιάννης Μπόλης (επιμ.), MOMus-Μουσείο Άλεξ Μυλωνά, Αθήνα 2022, σ. 24-31.
Research Interests:
Η έννοια του αινίγματος δεσπόζει στο εικαστικό και λογοτεχνικό έργο τόσο του Giorgio de Chirico (Βόλος, 1888 – Ρώμη, 1978) όσο και του λιγότερο διάσημου αδελφού του, εξίσου όμως σπουδαίου ανθρώπου των γραμμάτων και των τεχνών,... more
Η έννοια του αινίγματος δεσπόζει στο εικαστικό και λογοτεχνικό έργο τόσο του Giorgio de Chirico (Βόλος, 1888 – Ρώμη, 1978) όσο και του λιγότερο διάσημου αδελφού του, εξίσου όμως σπουδαίου ανθρώπου των γραμμάτων και των τεχνών, Andrea de Chirico (Αθήνα, 1891 – Ρώμη, 1952), γνωστού με το ψευδώνυμο Alberto Savinio.
          Στην έκθεση εκτίθενται επιλεγμένα ζωγραφικά έργα από το Μουσείο Αλέξανδρου Κ. Δάμτσα του Δήμου Βόλου, στα οποία ενυπάρχει οργανικά το στοιχείο του αινίγματος. Για τις ανάγκες της μουσειακής αφήγησης, επιπλέον, παρουσιάζονται σε αναπαραγωγές εμβληματικά έργα των δύο De Chirico, στα οποία το αίνιγμα διαδραματίζει κυρίαρχο ρόλο, καθώς και σχετικά αποσπάσματα από το ανεξάντλητο λογοτεχνικό έργο των ίδιων των καλλιτεχνών.
          Η σκηνογραφική απόδοση του χώρου στα μεταφυσικά έργα των αδελφών De Chirico, η οποία εντείνει το στοιχείο του αινίγματος και της αγωνίας, αποκαλύπτει τις σχέσεις και τους στενούς δεσμούς τους με το θέατρο. Κάτω από αυτό το πρίσμα, τα έργα του Μουσείου Αλέξανδρου Κ. Δάμτσα  “συνομιλούν” με αναπαραγωγές των κοστουμιών που σχεδίασε ο Giorgio de Chirico για τις ανάγκες της περίφημης όπερας “Ορφεύς και Ευρυδίκη” του Christoph Willibald Gluck, η οποία παρουσιάστηκε το 1971 από την Λυρική Σκηνή στο Θέατρο Ηρώδου του Αττικού στο πλαίσιο του Φεστιβάλ Αθηνών, καθώς και πρωτότυπο αρχειακό υλικό από την εν λόγω παράσταση.
          Επιπλέον, στον εκθεσιακό χώρο προβάλλεται αδιάλειπτα το ποιητικό ντοκιμαντέρ για το έργο του Giorgio de Chirico “Aenigma est” (1990) σε σκηνοθεσία Δημήτρη Μαυρίκιου και μουσική Νίκου Κυπουργού, το οποίο παραχωρήθηκε από το Αρχείο της ΕΡΤ.
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          Il concetto di Enigma/Aenigma domina nell’opera artistica e letteraria di Giorgio De Chirico (Volos 1888 – Roma 1978) ma anche in quella del meno noto fratello minore, personaggio tuttavia altrettanto importante delle arti e delle lettere, Andrea De Chirico (Atene 1891 – Roma 1952) conosciuto con lo pseudonimo di Alberto Savinio.
Nella mostra vengono presentate opere di pittura provenienti dal Museo Alexandros K. Damtsas di Volos, opere permeate del concetto di enigma.
          Inoltre ai fini della narrazione museale vengono esposte  riproduzioni di opere emblematiche dei due artisti nelle quali l’elemento dell’enigma svolge un ruolo predominante; nella stessa ottica vengono esposti brani dal loro corpus letterario.
Nelle opere metafisiche dei fratelli De Chirico, la resa scenografica dello spazio, che rafforza l’elemento dell’enigma e dell’angoscia, rivela il loro stretto legame con il teatro. Sotto questo prisma le opere del Museo Alexandros K. Damtsas “dialogheranno” con riproduzioni dei costumi disegnati da Giorgio De Chirico per la famosa opera “Orfeo ed Euridice” di Christoph Willibald Gluck, presentata nel 1971 al Teatro Erode Attico dalla Liriki Skini nell’ambito del Festival di Atene, nonché con materiale originale tratto dall’archivio del medesimo spettacolo.
          Infine verrà proiettato in loop il documentario “Aenigma est” (1990), ispirato all’opera di Giorgio De Chirico per la regia di Dimitris Mavrikios e musica di Nikos Kypourgos, gentilmente concesso dall’archivio della rete nazionale televisiva ERT.
Research Interests:
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