[go: up one dir, main page]

Aller au contenu

Saint-Marcouf (Manche)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Saint-Marcouf
Saint-Marcouf (Manche)
L’église Saint-Marcouf de Saint-Marcouf.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Jean-Claude Legoupil
2020-2026
Code postal 50310
Code commune 50507
Démographie
Gentilé Saint-Marculfiens
Population
municipale
351 hab. (2021 en évolution de +2,63 % par rapport à 2015)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 28′ 23″ nord, 1° 17′ 27″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 36 m
Superficie 13,38 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Valognes
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Marcouf
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Marcouf
Géolocalisation sur la carte : Manche
Voir sur la carte topographique de la Manche
Saint-Marcouf
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Saint-Marcouf

Saint-Marcouf (officieusement Saint-Marcouf-de-l'Isle) est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 351 habitants[Note 1].

Géographie

[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Cotentin et à l'ouest du département de la Manche, frais, humide et pluvieux, où les contrastes pluviométrique et thermique sont parfois très prononcés en quelques kilomètres quand le relief est marqué[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 10,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 730 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Sainte-Marie-du-Mont à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 890,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Saint-Marcouf est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].

La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[13]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d'urbanisme le prévoit[14].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (79,5 %), terres arables (11,1 %), zones urbanisées (4,6 %), zones agricoles hétérogènes (3,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,6 %), eaux maritimes (0,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Vers le VIe siècle de notre ère, Saint-Marcouf est mentionnée sous la forme latinisée Nantus[16].

Le nom actuel fait référence à saint Marculf, fondateur d'une abbaye en ce lieu. Le gentilé est Saint-Marculfiens[17].

Il semble que la forme moderne Nanteuil, que l'on rencontre parfois dans les écrits, soit issue d'une confusion avec l'abbaye Notre-Dame de Nanteuil en Charente, puisque cette forme n'apparait nullement dans les anciennes attestations concernant Saint-Marcouf. Dans la Vita Marculfi B, il est écrit : « fiscum in pago Constantino qui Nantus dicitur ». Le martyrologe sénonais parle quant à lui d'« in Onellico Nanto monasterio depositio Marculfi abbatis ». Chez Wace, dans son Roman de Rou, on trouve : « A saint Marcoust en la rivière, riche abaie et planière, Nantes a cel jour avoit non cele contree d'environ ».

L'ancien nom de lieu de Nantes est un type toponymique d'origine celtique (gaulois) commun en France, qui représente le mot gaulois nantu-, nanto- « val, ruisseau » (cf. gallois nant, francoprovençal savoyard nant, même sens). Il est attesté dans le glossaire de Vienne qui traduit en latin des mots gaulois : nanto : valle ; trinanto : tres valles et dans l'Inscription de Cajarc : ...in uertamon nantou(s) « ...au sommet de la vallée ». Il reste très fréquent en toponymie : Nant, Nans, Namps-au-Mont, etc.[18]. Cependant, comme il n'y a pas de vallée à Saint-Marcouf, il désigne un ruisseau.

Micro-toponymie

[modifier | modifier le code]

Crisbecq est à l'origine le nom scandinave du ruisseau qui a pu se substituer à celui de Nantes, disparu. Il procède du norrois bekkr « ruisseau » et de l'élément norrois [?] cres(s) / cris- déjà repéré dans les Cristot, Crétot, Cresseveuille de Normandie. Son sens est obscur.

Remarque : les anciens anthroponymes terminés par -wulf, -wolf (germanique continental) et -ulfr, -olfr (scandinave) se retrouvent sous la forme d'une terminaison -ouf spécifique au Cotentin et à une partie de la Basse-Normandie, alors qu'ailleurs en Normandie, elle a évolué en -ou(l)t, -ou, ainsi Ingouf correspond à Ygout ou Gounouf à Gounou, etc. Ainsi saint Marcouf est-il connu également sous le nom de saint Marcou(lt).

Au VIe siècle saint Marcouf y fonde une abbaye connu sous le nom de abbaye de Nantus ou de Nanteuil[19],[20] sur un terrain au lieu-dit le Fisc de Nant concédé par le roi Childebert et la reine Ultrogote[21] ainsi que les deux îles Doulimones qui prirent le nom de Saint-Marcouf. Le monastère est détruit au Xe siècle lors des raids vikings et est déserté en 906[22], un prieuré lui succède fondé par l'abbaye de Cerisy[23].

Vers 1035, Robert, archevêque de Rouen, concède à l'abbaye de Saint-Wandrille la dîme des « poissons gras » (cétacés fournissant du lard : baleines, marsouins, cachalots, etc.) capturés à Saint-Marcouf[24]. Une mention, aux environs de 1120, fait référence à ses mêmes poissons gras pêchés entre la Saire et la baie des Veys par les Waumanni de Saint-Marcouf, Saint-Vaast, Lestre et Quinéville au profit de l'abbaye de Montebourg[24].

Au XIIe siècle, la paroisse a comme seigneur et patron Hervieu Le Berceur (1579-1644)[Note 2], et par la suite Anthoine Le Berseur (1612-1661), chevalier, page du roi Louis XIII, lieutenant en 1632 dans le régiment des Gardes du Roi, année où il est blessé à la bataille de Castelnaudary et lieutenant du Roi en la ville et château de Cherbourg où il se marie en 1634 avec Marie Eustace qui lui apporte la seigneurie de Réthoville[26].

La paroisse de Saint-Marcouf, avec celles de Fontenay-sur-Mer, Émondeville et Azeville, composaient le marquisat de Fontenay[27].

Libération de Saint-Marcouf, le .

Lors de la Seconde Guerre mondiale, sur le territoire de la commune se trouvait la batterie allemande de Crisbecq (aussi appelée batterie de Marcouf) au-dessus du hameau homonyme et une des principales batteries côtières allemandes du mur de l'Atlantique en Normandie. Elle subit plusieurs bombardements aériens alliés à partir d' dont un très important la veille du débarquement, dans la nuit du au . Néanmoins, la batterie restera opérationnelle et ouvrira le feu dès le au matin sur le secteur d'Utah Beach tout proche, coulant l'USS Corry un destroyer de l'US Navy et touchant d'autres navires. Elle ne sera réduite au silence que le après un feu naval de trois cuirassés américains. Elle résistera aux attaques terrestres plusieurs jours et ne sera investie qu'au au matin, sans combats, par l'infanterie américaine, le reste encore valide de sa garnison s'étant replié plus au nord la nuit précédente.

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Armes de Saint-Marcouf

Les armes de la commune de Saint-Marcouf se blasonnent ainsi :
D'azur à deux ancres passées en sautoir celle en barre brochante, les gumènes entrelacées le tout d'argent, au chef bastillé de cinq pièces aussi d'argent chargé d'un sabre d'abordage de gueules en fasce la pointe à dextre[28].

Armes dues à Denis Joulain, officielles depuis le 8 octobre 2009.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1849 1892 César de Moré de Pontgibaud[29]   Châtelain
conseiller général de Montebourg (1852-1892)
1892 1893 Gonzague de Moré de Pontgibaud    
1989 mars 2001 Paulette Philippe    
mars 2001 2005 Henri Sabourin    
2005[30] mars 2008 Joseph Goubert    
mars 2008[31] mars 2014 Brigitte Demange SE Infirmière
mars 2014[32] En cours Jean-Claude Legoupil SE Inséminateur
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[33].

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].

En 2021, la commune comptait 351 habitants[Note 3], en évolution de +2,63 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
646549692844752801811749739
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
701700701676678647628640644
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
684675632562535503545438483
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
492506390371332376334330331
2015 2020 2021 - - - - - -
342345351------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

La commune se situe dans la zone géographique des appellations d'origine protégée (AOP) Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny[38].

Une partie de l'électricité produite par les futurs parcs éoliens Centre Manche 1 & 2 transitera par le poste de Menuel[39], l'atterrage se faisant à Saint-Marcouf[40].

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
La crypte romane de l'église Saint-Marcouf.
L'édifice abrite un tableau sainte Dorothée couronnée par l'Enfant Jésus du XVIIe siècle classé au titre objet[44].
  • Chapelle Notre-Dame-de-Bonsecours aux Gougins du XIXe siècle, avec une verrière du XXe. Elle fut bâti par Elie Leroy (1811-1911) qui a sa statue dans l'église ; Gougins devint paroisse en 1851[41].
  • Château des Biards des XVIIe – XXe siècles.
  • Ferme-manoir d'Ingreville du XVIe siècle.
  • Ferme-manoir de Gourmont des XVIe – XVIIIe siècles.
  • Ferme-manoir de Dodainville des XVIe – XVIIIe siècles.
  • Ferme-manoir de Pierreville et son colombier du XVIe siècle.
  • Vestiges du château de Fontenay du XVIIIe siècle détruit en 1944 et dont il reste un parc entretenu, dessiné par Le Nôtre[45].
  • Ferme d'Avourie du château de Fontenay.
  • Fontaine Saint-Marcouf du XIIIe siècle près du cimetière ayant l'aspect d'une maison en pierre. Saint Marcouf est invoqué pour la guérison des furoncles et des écrouelles[46].
  • Îles Saint-Marcouf appelées anciennement les Deux Limons[21], archipel, site classé depuis le . Elles furent occupées par les Anglais de 1793 à 1802 avant que la France n'en reprenne possession et y fit construire des ouvrages de défenses, dont un fort en 1810[43].

Activité et manifestations

[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Saint-Marcouf dans la culture populaire

[modifier | modifier le code]

La série Les Six Compagnons de Paul-Jacques Bonzon compte un tome Les Six Compagnons et la Bouteille à la mer qui a pour cadre Saint-Vaast-la-Hougue et les îles Saint-Marcouf.

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Population municipale 2021.
  2. Sa dalle funéraire est conservée dans l'église Saint-Marcouf[25].
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2.
  5. « Orthodromie entre Saint-Marcouf et Sainte-Marie-du-Mont », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Ste Marie du Mo » (commune de Sainte-Marie-du-Mont) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Ste Marie du Mo » (commune de Sainte-Marie-du-Mont) - fiche de métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur Insee, (consulté le ).
  10. Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Marcouf »..
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur Insee, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur Insee, (consulté le ).
  13. « Les communes soumises à la loi littoral », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  14. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  16. François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425).
  17. « Ouest-france.fr - Mairie de Saint-Marcouf » (consulté le ).
  18. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, éditions errance 2003, p. 230 - 231.
  19. Jeannine Bavay, « Origines monastiques de Portbail », Vikland, la revue du Cotentin, no 1,‎ avril-mai-juin 2012, p. 16 (ISSN 0224-7992).
  20. Julien Deshayes, L'église paroissiale de Saint-Marcouf et l’histoire de l’abbaye de Nantus, Vikland, , 9 p. (lire en ligne [PDF]).
  21. a et b André Davy, Les barons du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits et introuvables du patrimoine Normand », , 319 p. (ISBN 978-2-91454-196-1), p. 40.
  22. Bernard Beck (photogr. Bernard Pagnon), Quand les Normands bâtissaient les églises : 15 siècles de vie des hommes, d'histoire et d'architecture religieuse dans la Manche, Coutances, Éditions OCEP, , 204 p. (ISBN 2-7134-0053-8), p. 22.
  23. Maurice Lecœur, Le Moyen Âge dans le Cotentin : Histoire & Vestiges, Isoète, , 141 p. (ISBN 978-2-9139-2072-9), p. 83.
  24. a et b Julien Deshayes, « Les Waumanni de la baie des Veys », dans Laurence Jeanne, Laurent Paez-Rezende, Julien Deshayes, Bénédicte Guillot, et la collaboration de Gaël Léon, ArchéoCotentin, t. 2 : Les origines antiques et médiévales du Cotentin à 1500, Bayeux, Éditions OREP, , 127 p. (ISBN 978-2-8151-0790-7), p. 67.
  25. « Dalle funéraire de Hervieu Le Berceur », notice no PM50011926, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  26. Gautier 2014, p. 489.
  27. Jean-Yves Cuquemelle, Montebourg et le pays Cassin, Éditions Heimdal, , 92 p., p. 87.
  28. « GASO, la banque du blason - Saint-Marcouf »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).
  29. Annuaire du département de la Manche, 33e année, 1861, p 102
  30. « Municipales : Joseph Goubert repart », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  31. « Brigitte Demange élue maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  32. « Jean-Claude Legoupil est élu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  33. « Saint-Marcouf (50310) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. AOP Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny.
  39. « Perspectives de développement des réseaux électriques en mer sur la façade normande » [PDF], sur RTE, .
  40. « Le tracé électrique terrestre du parc éolien de Centre-Manche défini », sur Ouest-France, .
  41. a et b Gautier 2014, p. 568.
  42. « Église de Saint-Marcouf », notice no PA00110589, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. a et b Delattre, 2002, p. 212.
  44. « Tableau : Sainte Dorothée couronnée par l'Enfant Jésus, cadre », notice no PM50001342, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  45. Michel Hébert et André Gervaise, Châteaux et Manoirs de la Manche, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 978-2-84706-143-7), p. 95.
  46. Hippolyte Gancel, Les Saints qui guérissent en Normandie, Rennes, Éditions Ouest-France, , 253 p. (ISBN 978-2-7373-4726-9), p. 56-57.

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 212.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 568.

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]