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Marcel Marceau

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Marcel Marceau
Marcel Marceau en 1971.
Biographie
Naissance
Décès
(à 84 ans)
Cahors
Sépulture
Cimetière du Père-Lachaise, tombe de Marceau (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Marcel Mangel
Surnom
Bip
Le mime Marceau
Pseudonymes
Bip, Le mime MarceauVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Domiciles
Strasbourg (-), Limoges (à partir de ), Lille (à partir de )Voir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Activités
Période d'activité
Conjoint
Autres informations
Membre de
Arme
Conflit
Taille
1,73 mVoir et modifier les données sur Wikidata
Influencé par
Distinctions

Marcel Marceau, dit le mime Marceau, nom de scène de Marcel Mangel, né le à Strasbourg et mort le à Cahors, est un mime et acteur français. Il a connu une célébrité internationale avec son personnage silencieux de Bip, créé en 1947.

Né à Strasbourg (Bas-Rhin) dans une famille juive, il est le second fils de Charles Mangel (né le à Będzin, dans le sud de la Pologne), un boucher casher[1] qui aurait aimé être chanteur, et d'Anna Werzberg, une mère passionnée par les livres[2].

En 1926, la famille part s'installer à Lille pour des raisons professionnelles. À cette époque, sa tante Fanny, sœur de son père, lui fait découvrir l'univers du cinéma et les films de Charlie Chaplin. L'influence du personnage de Charlot sur le jeune Marcel est immense et ne le quittera plus durant toute sa vie.

Son père baryton l'emmène fréquemment à l'opéra ou à la boxe. Partageant son enfance entre deux régions, la famille retourne vivre à Strasbourg où, jusqu'en 1938, Marcel fait ses études au lycée Fustel-de-Coulanges. Pendant l’année scolaire 1938-1939, il a comme camarade Germain Muller, qui, le , lui remettra un Bretzel d'or[3]. L'évacuation de 1939 les sépare. Ils ne se retrouveront qu’après la guerre. Selon Charles Muller, son professeur de français[4], il était le meilleur élève en récitation et en poésie.

Sa famille d'origine juive polonaise est évacuée comme le reste de la population strasbourgeoise au début de la Seconde Guerre mondiale. Elle s’installe d’abord à Chancelade puis à Périgueux, et en 1941, à Limoges où Marcel poursuit ses études au lycée Gay-Lussac pendant le second trimestre ; il y apparaît comme un bon élève ; il intègre en parallèle l’école des arts décoratifs de Limoges où il s'exerce à la céramique[5]. Le proviseur du lycée Gay-Lussac, Joseph Storck, un Juste parmi les nations, protège les élèves juifs.

En 1942, Marcel Mangel est moniteur de théâtre à Montintin (Haute-Vienne), dirigé par le docteur Raymond Lévy, de Reims, et à la maison d'enfants du couple Hagnauer à Sèvres, un internat qui cachait une centaine d'enfants juifs, où il est connu sous son nom de totem : « Kangourou »[6]. Yvonne Hagnauer recevra le titre de Juste parmi les Nations en 1974. Grâce à son talent d’acteur, il donne des cours de théâtre aux enfants juifs pour leur permettre de dédramatiser une situation tendue et de conjurer leur peur[5]. En compagnie de son cousin germain Georges Loinger, il participe même à la fuite d’une trentaine d’enfants juifs vers la Suisse[5]. Sous l'influence de ce cousin germain, grand résistant, et de son frère Simon Mangel, Marcel rejoint la Résistance en 1942 à Limoges au sein du secteur FTP Dordogne Nord. Il prend alors le pseudonyme de Marceau. Il raconte l'avoir « pris dans la Résistance à cause du vers de Victor Hugo, dans Les Châtiments : "Joubert sur l'Adige/ Marceau sur le Rhin". J'étais né dans le Bas-Rhin et je voulais bouter les Allemands hors de France »[7].

Le 19 février 1944, le père de Marcel Mangel est arrêté à Limoges dans la boucherie où il est employé[8] et déporté depuis la gare de Bobigny dans le convoi n° 69 du 7 mars 1944[9] à Auschwitz où il est assassiné. À la Libération, Marceau s'engage dans la Première armée du général de Lattre et fait la campagne d'Allemagne[10].

Le mime : « Je serai mime ou rien »

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Marcel Marceau en 1962.

Après avoir fréquenté l’École nationale des arts décoratifs de Limoges, qui lui laisse le goût du dessin et de la peinture, Marcel Marceau devient l’élève de Charles Dullin, de Jean-Louis Barrault et d’Étienne Decroux qui établit la « grammaire » de l’art du mime qu’il appelait la « statuaire mobile ».

C'est parce qu'il a une voix de gorge, sourde, voilée, très handicapante pour son futur métier de comédien qu'il décide de devenir mime[11].

Pour Marcel Marceau, l'art du mime puise sa force poétique dans cet engagement de tout le corps pour donner forme à l'invisible, créer la métaphore au travers des gestes et du regard. Au théâtre de Poche Montparnasse, le , jour du 24e anniversaire de l’artiste, sort de l’ombre des coulisses un drôle de personnage, Pierrot lunaire, « hurluberlu blafard » à l’œil charbonneux et à la bouche déchirée d’un trait rouge, un drôle de haut-de-forme sur la tête, une fleur rouge tremblotante servant de panache à ce Don Quichotte dégingandé en lutte contre les moulins à vent de l’existence : « Bip » était né, aussi indissociable de Marceau que Charlot de Chaplin. « La parole n'est pas nécessaire pour exprimer ce qu'on a sur le cœur » disait-il. En hommage au personnage de « Pip (en) » du roman Les Grandes Espérances de Charles Dickens[12] : « Bip est un personnage intemporel, tout en étant proche de mes rêves d'enfants. Il se cogne à la vie qui est à la fois un grand cirque et un grand mystère, et j'aime à dire qu'il finit toujours vaincu, mais toujours vainqueur… Il est tout ensemble l'homme de la rue, un vagabond du quotidien et l'homme universel affrontant le tragi-comique de l'existence… Il est l'homme tout simplement, se montrant dans la nudité et la fragilité de son être. »[13]. Inspiré par « le Paris de l'après-guerre avec ses vieilles rues, ses becs de gaz jaunis par le temps et le cri des faubourgs »[14], Marcel Marceau va enrichir son personnage en puisant expressivité des traits et personnification des caractères dans le théâtre no, le kabuki, les masques du théâtre oriental ou de la commedia dell'arte.

En 1947, il fonde sa propre compagnie, la « Compagnie Marcel Marceau », et inscrit au répertoire des mimodrames et des pantomimes : Le Manteau, d'après Nicolas Gogol, Le Joueur de flûte, Exercices de style, Le Matador, Le Petit Cirque, Paris qui rit, Paris qui pleure.

Marcel Marceau en Bip le Clown en 1974.

Il rencontre, à cette époque, l'un des grands décorateurs de théâtre de l'après-guerre : Jacques Noël, qui devient très vite le créateur de tous les décors et scénographies des mimodrames de la compagnie.

Marcel Marceau, en Bip, en 1977.

En 1952, il engage dans sa compagnie Pierre Verry[15] (1913-2009), élève avec lui d’Étienne Decroux, qui sera son partenaire attitré jusqu'en 1979. Pierre Verry accompagne Marcel Marceau en tournée dans le monde entier, présentant ses numéros par ses célèbres pancartes. Le , les archives de Pierre Verry sont entrées à la Bibliothèque nationale de France, département des Arts du spectacle[16]. Adriano Sinivia remplace Pierre Verry en 1980 à l'occasion de l'inauguration de la biennale de Venise à la Fenice. De 1969 à 1971, Marcel Marceau fonde et dirige à Paris la première école internationale de mime, dont il confie la direction à Pierre Verry, au théâtre de la Musique, ancienne Gaîté-Lyrique. Il rencontre et engage à cette époque l'artiste chilien Alejandro Jodorowsky, qui utilisait déjà le mime dans son premier film Fando et Lis. Il lui demande de publier un album sur Pietrolino, dont Jodorowsky prépare le synopsis, mais la publication n'aura lieu qu'en 2007 sur un dessin d'Olivier Boiscommun[17].

Au cours de sa longue carrière, Marcel Marceau va porter l'art du mime sur les scènes du monde entier, brisant les frontières de la langue et redonnant à cet art une envergure cosmopolite et populaire. Que ce soit d'une façon soliste ou en tant que dramaturge au travers de sa compagnie de mimodrame, il ne cessera de questionner l'art théâtral par le parti pris du silence.[réf. nécessaire][18]. Il disait : « Dans mes mimodrames et dans mes pantomimes au théâtre, je peux construire un monde tel que je voudrais qu’il soit, montrer la déchirure, le mal, en ne montrant pas l’abandon mais un cri d’espoir. Je crois à la rédemption humaine à travers le théâtre ».

Marcel Marceau a créé un personnage, mais aussi un style original, pratiqué par lui-même et par sa compagnie, puis enseigné dans son école. Son ouverture d'esprit lui a permis de rejoindre le Comité d'honneur du Festival Mimos, composé de Jean-Louis Barrault, Jacques Lecoq, Bob Wilson, Kazuo Ohno, pendant quelques années Maguy Marin puis Josef Nadj[19]. La réunion de ces personnalités exceptionnelles, très différentes les unes des autres, montrait que le mime avait atteint les sommets de la créativité[20].

Éternellement vêtu d'un pantalon blanc à pattes d’éléphant remonté au-dessus de la taille, d'une marinière, d'un caraco gris à gros boutons ronds et d'un chapeau claque rapiécé d'où émerge une fleur écarlate, avec son maquillage caractéristique (le visage enfariné avec du blanc qu'il fabrique lui-même, les sourcils en accent circonflexe, les yeux cerclés de noir et les lèvres de sang), le mime Marceau devient au fil des années un des artistes français les plus connus dans le monde. Ses tournées aux États-Unis créent une vraie révolution théâtrale dans les années 1950, où a beaucoup été évoqué, notamment, son mouvement de la « marche contre le vent », à l'origine du moonwalk de Michael Jackson.

En France, il joue en 1975 dans la prestigieuse Cour d'honneur du palais des papes pour le Festival d'Avignon.

En 1978, il crée à Paris une école internationale de mimodrame, située dans les sous-sols du théâtre de la Porte-Saint-Martin au no 17 rue René-Boulanger, avec la volonté et l’espoir farouche de réaliser une de ses aspirations les plus profondes : l’art comme point de rencontre de toutes les cultures où des élèves de plus de vingt nationalités, de 18 à 25 ans, se côtoient. Alors que cette école devait initialement voir le jour à New York, le maire de Paris Jacques Chirac et son conseiller culturel Marcel Landowski permettent son ouverture le [21]. Des cours de mime, de danse classique, d'acrobatie et d'art dramatique y sont dispensés par une douzaine de professeurs dont sa femme et disciple Anne Sicco. « Il ne suffit pas d’utiliser une technique, de sortir d’une école pour devenir artiste. Il faut créer un esprit et une méthode dramatique qui fassent évoluer l’élève[22]. »

Tombe de Marcel Marceau à Paris, au cimetière du Père-Lachaise (division 21).

Vingt-sept ans plus tard, en 2005, l'école de Marcel Marceau ferme définitivement ses portes en raison des économies demandées par la mairie de Paris[23], ayant pour projet la création d'une autre structure (qui deviendra l'ESAD en 2007 sous la direction de Jean-Claude Cotillard).

Vie privée

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En avril 1959, Marcel Marceau divorce d'Huguette Mallet (1930-2010), danseuse, mime, comédienne et chanteuse, épousée le 4 septembre 1953 à Périgueux avec qui il a deux fils, Michel (né en 1950) et Baptiste (né en 1953)[24]. Il divorcera également d'Ella Jaroszewicz et d'Anne Sicco, avec qui il a deux filles, Camille et Aurélia[25].

Michel, son fils aîné, a été un temps célèbre à Hollywood en y devenant, à 19 ans, chanteur avec d'autres jeunes, fils et filles de stars du cinéma américain[26].

Marcel Marceau meurt le à Cahors (Lot). Il est inhumé à Paris au cimetière du Père-Lachaise (division 21)[27].

Dispersion de son patrimoine

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Marceau aurait voulu que sa maison à Berchères-sur-Vesgre (Eure-et-Loir) devienne, après sa mort, un musée du mime. Après des années de procédure, le tribunal de commerce de Paris ordonne, en mai et novembre 2009, la vente aux enchères de tout son patrimoine artistique et de tous ses biens à l’hôtel Drouot[28]. Souhaitant que les objets lui ayant appartenu soient rassemblés dans un musée en France[29], le ministère de la Culture et de la Communication a préempté certaines pièces désormais conservées à la Bibliothèque nationale de France : des archives, des dessins, des maquettes et des photographies, notamment un Bip sur scène[30]. D'autres ont été achetées par l'association Un musée pour le mime[31], créée par d'anciens élèves de Marceau, qui les proposent sous forme d'expositions.

Publications

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  • Les Sept Péchés capitaux, Atelier Pons, 1965.
  • La Ballade de Paris et du Monde, Aline Elmayan Éditeur, 1968.
  • Die Weltkunst der Pantomime, entretiens de Marcel Marceau avec Herbert Jhering, Arche, Zürich, 1972.
  • L'Histoire de Bip, l'École des loisirs, 1976.
  • Le Troisième Œil, Lithoprint Delcourt, 1981.
  • Pimporello, Belfond, 1987.
  • Bip piégé dans un livre, La Martinière, 2002.

Filmographie

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Marcel Marceau interprétant La Cage, dans la 1ère partie du spectacle d'Alejandro Jodorowsky, en 1963.
Photographie par Erling Mandelmann.
Marcel Marceau en 2004.

Émissions radiophoniques

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Le , Marcel Marceau passe dans l'émission radiophonique Le Tribunal des flagrants délires diffusée sur France Inter. Le réquisitoire prononcé par Pierre Desproges est disponible sur le disque Les réquisitoires du tribunal des flagrants délires (volume 3) du coffret intégral aux éditions Tôt ou Tard paru en 2001.

Marcel Marceau évoque longuement son maître Etienne Decroux au micro de Jean-Pierre Pagliano dans l'émission de France Culture "Profils perdus: Etienne Decroux" (5 et 12 novembre 1992).

Hommages et distinctions

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Décorations

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Récompenses

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Jean Prodomidès a composé nombre de partitions pour La Compagnie du mime Marceau.

Notes et références

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  1. (en) Elie Feuerwerker. Words for a mime. The Jerusalem Post. 7 October 2007.
  2. Alain Vincenot, La France résistante. Histoires de héros ordinaires, Éd. des Syrtes, , p. 498.
  3. Germain Muller rend hommage au Mime Marceau.
  4. Interview de Charles Muller dans Les Dernières Nouvelles d'Alsace, 26 septembre 2007.
  5. a b et c Olfa Ayed, « Le mime Marceau : quatorze ans après sa mort, retour sur son histoire peu connue à Limoges », sur france3-regions, 22 septembre 2021.
  6. Conseil des Communautés Juives des Hauts-de-Seine, À la mémoire des déportés juifs des Hauts-de-Seine, juillet 2005, p. 76.
  7. Marcel Marceau, Valérie Bochenek, « Le Mime Marcel Marceau : entretien et regards avec Valérie Bochenek », sur lamaisondesevres.org, Somogy, (consulté le ).
  8. Doan Bui et Isabelle Monnin, Ils sont devenus Français. Dans le secret des archives, éditions Jean-Claude Lattès, novembre 2010, p. 247.
  9. Beate et Serge Klarsfeld, Le Mémorial de la Déportation des Juifs de France, Paris, 1978.
  10. Christophe Ayad, « Marcel Marceau, 77 ans, mime et créateur de Bip, n'en a pas fini de faire ses adieux à la scène... », sur libération.fr, .
  11. Télé 7 Jours no 102, semaine du 3 au 9 mars 1962, pages 30 et 31, article de Patrick Le fort : "Fou de théâtre, Marceau a choisi d'être mime parce qu'il avait la voix d'Aznavour"
  12. Éric Azan, Le Monde, no 19492, 25 septembre 2007.
  13. Entretien avec François-Brice Hincker, « Marcel Marceau : L'humaniste du silence », Saisons d'Alsace, 2003.
  14. Citation tirée de la préface de l'ouvrage Pimporello de Marcel Marceau.
  15. Pierre Verry sur la Revue du Spectacle.fr.
  16. « Consultation », sur archivesetmanuscrits.bnf.fr (consulté le )
  17. Yves-Marie Labé, « Bonheurs posthumes », Le Monde des Livres,‎
  18. (de) Herbert Jhering, Marcel Marceau, Die Weltkunst der Pantomime : ein Gespräch, (lire en ligne)
  19. Programmes du festival Mimos de Périgueux de 1992 à 2002
  20. Cf. Dictionnaire Encyclopédique du Théâtre, article "Consensus ?"
  21. Éric Azan, « Une école de mime, le long rêve de Marceau », Le Monde, no 19648,‎ , p. 3
  22. « Marcel Marceaujour= », sur academie-des-beaux-arts.fr, Académie des Beaux-Arts (consulté le )
  23. leparisien.fr.
  24. Amis des archives des Landes et Association landaise de recherches et de sauvegarde, bulletin no 28, 2022, Regards historiques et portraits landais, p. 104-127 : "Maria Mallet (1930-2010), une vie de saltimbanque", article de Gilbert Dardey, avec la participation de Françoise Duffour.
  25. Jacques Lafitte, Stephen Taylor, Qui est qui en France, J. Lafitte, , p. 1191.
  26. Paris-Presse, L'Intransigeant, 21 février 1970, p. 19 : "Michel, le fils du mime Marceau devient célèbre à Hollywood en chantant. Michel Marceau commence une carrière aussi surprenant que rapide. Il sera pour quatre semaines l'une des vedettes de Cesar's Palace de Las-Vegas pour une revue baptisée "Le nom est le même", montée par d'autres enfants qui tiennent à faire leurs preuves après leurs parents : Gary Lewis, le fils de Jerry, Dina Martin, la fille de Dean, Tony Coogan, le fils de Jackie Coogan."
  27. « Le mime Marceau va être inhumé au Père-Lachaise », sur tempsreel.nouvelobs.com, Le Nouvel Observateur, (consulté le )
  28. « Les souvenirs du mime Marceau vendus pour 490 000 euros », sur Libération.fr, Libération, (consulté le )
  29. « Un musée pour Bip - Accueil », sur unmuseepourbip.com (consulté le ).
  30. « L’État préempte des objets ayant appartenu au mime Marceau », sur culture.gouv.fr, Ministère de la Culture et de la Communication, (consulté le ).
  31. Un musée pour le mime
  32. La Bague sur Unifrance.org.
  33. « Le mime Marcel Marceau décoré Grand Officier de l'Ordre du Mérite et... », sur Getty Images (consulté le )
  34. Le Mime Marcel Marceau : De l'atelier à la scène, exposition organisée par Christian Paureilhe et Monica Regas, avec la collaboration de François-Brice Hincker
  35. « Le mime Marceau décoré à Cuba », sur Libération.fr, Libération, (consulté le )

Bibliographie

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Biographies

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  • Interviews de Jeanne et Guy Verriest-Lefert, Marcel Marceau ou l'aventure du silence, Éditions Desclée de Brouwer, 1974.
  • (en) Ben Martin, Marcel Marceau : Master of Mime, Paddington Press (UK) Limited, 1978 (ISBN 0-448-22680-4).
  • Valérie Bochenek, Le Mime Marcel Marceau : entretiens et regards avec Valérie Bochenek, Somogy, 1997 (ISBN 2850562629).

Articles connexes

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Liens externes

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