Dario Castiglione et Johannes Pollak (ed), Creating Political Presence. The New Politics of Democratic Representation, Chicago University Press, p. 141-161, 2019
The standard opposition between political representation and participation is based on an exclusi... more The standard opposition between political representation and participation is based on an exclusionary conception of representation, in which representatives monopolize power. But representation can also be inclusive when it enables the represented to become present and act directly on the political stage. This chapter discusses different forms of inclusive representation. First, inclusion by representation may happen through the partisan politicization of citizens, when they observe, judge and acquire the language of professional politicians. Citizens can also become politicized through autonomous representative devices outside the institutions of representative government. Taking social domination into consideration, inclusive representation may concern dominated social groups: as they are specifically excluded by the institutions of representative government, they may require distinctive means of representation, inside or outside the institutionalized political field. However, collective inclusive representation may well be accompanied by extreme forms of exclusionary representation, when groups are spoken for with no possibility for their members to directly enter the political stage. This risk is especially high when dominated social groups are not fully recognized as such and may rely on representation in their processes of collective subjectivation. In all these cases, only direct participation of the represented, sometimes against their representatives, is a criterion of inclusive representation.
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Alors que la démocratie contemporaine est fondée sur le débat d’idées, il est parfois difficile de s’y retrouver entre les différents courants : libéralisme, conservatisme, socialisme, républicanisme, communisme, fascisme, national-socialisme, etc.
Ce manuel décrit et analyse ainsi, des révolutions du XVIIIe siècle jusqu’à nos jours, les soubassements sociaux, institutionnels et théoriques des idées politiques contemporaines et de leurs regroupements dans des idéologies en compétition.
Il propose une histoire des idées politiques en contexte, en les réinscrivant dans les sociétés et les grands débats de leur temps et en les resituant dans les transformations sociohistoriques plus amples de l’État et des structures sociales, économiques et techniques.
Pour les étudiant.e.s des 1er et 2e cycles en droit, en science politique, en histoire et en sociologie ainsi que pour les doctorant.e.s en sciences sociales.
par un ensemble de positions antagonistes sur le concept de travail.
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Dans ce colloque, nous proposons de revisiter la citoyenneté industrielle de façon transversale à partir de ses ancrages localisés. Cette approche offre un cadre d’observation empirique qui permet d’étudier la manière dont l’organisation du travail structure les pratiques collectives, sans être prisonnier de la coupure entre le dedans et le dehors des lieux de production. Ainsi, la citoyenneté industrielle peut être observée dans des espace-temps diversifiés, au Nord comme au Sud, dans le passé comme dans le présent, et donne l’occasion d’un dialogue entre historiens, sociologues, politistes, anthropologues, juristes ou encore économistes.
9h30 Introduction à la journée
9h45 Table-ronde 1 « La revue comme lieu de pouvoir »
(présentée et coordonnée par S. Hayat)
13h30 Table ronde 2 « Économie et production matérielle de la revue » (présentée et coordonnée par N. La Valle)
16h30 Table-ronde 3 « Formats, diffusion, réception »
(présentée et coordonnée par A. Damerdji)