Terreur

Met de weerzinwekkende aanslagen op de luchthaven van Zaventem en het metrostation van Maalbeek werd België in een nieuw tijdperk geloodst. Europa reageerde – zeer begrijpelijk – met onbegrip, angst, ongeloof en woede. Indien men zulke aanslagen in de toekomst wenst te vermijden, mag het echter niet bij gevoelens en emoties blijven. Er moeten serieuze vragen gesteld worden en duidelijke antwoorden voorgelegd worden door mensen die een grondige kennis van de islam, de Europese getto’s en de moslimwereld bezitten. In deze reeks vraag-en-antwoorden wordt een oplossing geboden voor het bestrijden van radicalisme binnen de moslimgemeenschap.

Pour le philosophe Jean-Pierre Faye la formule : « Robespierre régna par la terreur » représente la « version standard de la terreur » opposée aux Droits de l’Homme et du Citoyen de façon mécanique . Pour savoir comment et quand cette « version standard » a pu naître, nous proposons ici une brève excursion dans les traditions historiographiques en privilégiant celle qui se développa à la Sorbonne. L’approche est limitée à la définition et à la chronologie retenues pour parler de « la Terreur ». L'enjeu est de modifier les points de vue sur la période.

Supporting the campaign against terrorism without doing any propaganda of terrorist organizations and informing people is one of the main duties of media. How can media achieve it? This is the question for which this study has been prepared to search for an answer. The study focuses on the subjects of “Terror”, “Terrorism”, “Relations Between Media and Terror”, “Use of Notions Regarding Terrorism on Press”, “Positive Aspects of Giving Place to the News Regarding Terrorism on Press”, “Negative Aspects of Giving Place to the News Regarding Terrorism on Press” and “How Should News About Terror be Announced on Press” and it tries to exhibit how the news of terrorism should be announced without terrorist propaganda.

La terreur n'est pas plus que la peur, elle est autre chose, surtout quand on est Français. La terreur renvoie en effet toujours à "la Terreur" imputée à Robespierre en 1794. Même si cette réalité est en train de changer irrémédiablement, notamment depuis 2001, elle demeure un des épisodes marquants de notre mémoire collective.

Analyse précise et fine de La Terreur, Perrin, Coll. Vérités et Légendes par Arnaud Malaty, étudiant en Master 2, quui est parue dans la revue en ligne du Centre Georges Chevrier de l'Université de Bourgogne, dirigée par Philippe Poirrier. Présentation du problème, rappel des faits et leçon à en tirer sont les grands parties de cette recension.

La Terreur est à la mode, parmi les livres qui traite de ce moment ou comme je le pense de cette invention prise pour une période, je propose ce compte rendu du livre de Ronen Steinberg, The Afterlives of the Terror. Facing the Legacies of Mass Violence in Postrevolutionary France, Ithaca, Londres, Cornell University Press, 2019. En remerciant l'auteur pour son envoi.

Dans son ouvrage Nouvelle histoire de la Révolution française paru en 2012, l’historien fait le point sur les avancées de la recherche, tout en remettant en cause l’habituelle vision de la « Terreur », le rôle prédominant de Robespierre, ou la fatalité de la violence.

La mort abominable de Samuel Paty est un choc pour la communauté nationale. Pour la communauté des enseignants d'histoire elle a une dimension particulière : parce que notre collègue a été tué pour avoir présenté des caricatures et avoir appelé à la liberté d'opinion à propos de croyances et de violences, nous nous devons, nous lui devons, de réfléchir ensemble sur la façon dont nous enseignons les épisodes violents de l'histoire de France.

Axe 2. Héritage historiques, culturels, et repentir.

S’être repenti d’avoir été le fourrier de la Révolution française en en devenant son grand adversaire a de quoi être singulier ; Jean-Jacques d’Eprémesnil (1745-1794) fut la figure éponyme d’un repentir exemplaire au milieu de tous ceux qui ont avancé dans cette année 1789 et en ont regardé, avec stupeur, effroi ou admiration, l’infernal enchaînement. La plupart, une fois engagés dans le processus, ont eu à rejeter tout sentiment de repentir ou de remords, ou à se défendre de telles accusations, le plus célèbre étant Jean-Joseph Mounier, l’un des pères fondateurs de la première révolution du Dauphiné, fuyant le royaume dès les journées d’octobre. L’un des adversaires judiciaires sous l’Ancien Régime de d’Eprémesnil, rival dans l’ordre de la noblesse et choqué par les violences de l’été 1789, Trophime Lally-Tollendal, écrit à Edmond Burke, chef de file des écrivains contre-révolutionnaires, en 1791 : « Sans doute je suis accablé de mes souvenirs, plongé dans l’amertume, navré de douleur : mais le repentir m’est aussi étranger que le remords, et celui qui loue mon repentir outrage mon innocence  ». Cette innocence, Jean-Jacques d’Eprémesnil, ne s’en est jamais servie comme bouclier moral ou politique, il a assumé jusqu’à la fin de sa vie un repentir sincère, quasi christique, dont le spectacle, la publicité et la durée constituent une grille de lecture exemplaire de l’événement révolutionnaire, dans le sens « fabricant et fabriqué, constructeur et construit »,  de ce « morceau de temps et d’action mis en morceaux, en partage comme en discussion  ». Ce repentir intrigue et éclaire.
Jean-Jacques Duval d’Eprémesnil représente encore à ce jour la trahison d’une noblesse qu’il avait à peine intégrée à la veille de la Révolution. Homme d’affaire et parlementaire imbu de sa classe, ambitieux et étourdi par une popularité ascendante, il est l’homme qui arrive au plus mauvais moment de l’histoire de la monarchie française. Détesté par Marie-Antoinette et redouté de Louis XVI, conservateur et catholique fervent, mais désireux d’une évolution constitutionnelle prudente à l’anglaise, il devient le champion de la convocation des Etats généraux pour se retrouver piégé puis emporté par la bourrasque émancipatrice de la campagne électorale de 1788-1789. Ainsi fait, il ne cesse d’expier sa faute tout au long de la Révolution, intégrant la classe politique en 1789-1791 dans le camp aristocratique, cherchant à retourner le repentir du côté des révolutionnaires (accusation d’Alexandre de Lameth à la tribune de la Constituante le 29 septembre 1790), accusé de regretter plutôt amèrement sa popularité perdue tandis qu’il criait haut et fort qu’il ne serait pas le dernier à subir les anathèmes de l’opinion. Fuyant sans cesse les affres de la Terreur, souffrant jusqu’à l’échafaud le 22 avril 1794, il aurait pu cent fois quitter le royaume pour l’Amérique, mais il n’en fit rien, cherchant éperdument à se rattraper, poussant le repentir jusqu’à la caricature.
Le repentir de d’Eprémesnil fut à la fois raillé et instrumentalisé par la presse révolutionnaire, par l’Assemblée, fustigé par les royalistes contre-révolutionnaires, comme si au creuset de la fin d’un monde, un homme avait pu porter seul le poids de la chute. Victime ? Coupable ? La vie ce magistrat au qualificatif facile et systématique « d’homme de l’Ancien Régime », la médiatisation outrancière et cruelle de sa « faute », sont à l’image des rapports de force politiques à un grand tournant de la culture politique française. Entre l’Ancien Régime que l’on regrette et les violences révolutionnaires qui divisent en nombre, le repentir incarné de cet homme étrange,  joue le rôle d’aiguillon des identités où le vaincu ne cède pas, quitte à passer pour un fou, un écervelé, en ces temps où se dessinent les compromis modernes des conflits, plus près d’une opinion publique appelant aux repentances, distribuant les oublis et les réconciliations que des absolutions et grâces royales, où le repentir avait un rôle public essentiel.
Le repentir d’un homme comme d’Eprémesnil est d’un tout autre aloi que celui de tous les révolutionnaires. Le premier regrette d’avoir été trop loin par un effet volontaire de changements « à pas comptés », et son repentir est contraire à son bonheur tandis que son remords, selon l’expression d’Antoine Barnave « est la douleur produite par le sentiment des maux qui ont suivi ou qui peuvent suivre une faute commise  » ; quant aux seconds, ils ont soit refusé de se repentir pour ce qu’ils avaient provoqué, conduisant le pays sur les voies salutaires de l’avènement des droits et de la liberté, parfois au prix du sang ; d’autres, au contraire, ont été parcourus de remords et/ou de repentir d’avoir cédé à la tentation de l’opinion et de la foule ; tous en ont joué souvent, pour le meilleur d’une reconstruction politique mais aussi d’une relecture de l’histoire, créatrice de perspectives d’avenir. Dans un pamphlet dont il est la cible, après l’heureuse révolution de 1789 et l’union des ordres, on prête à d’Eprémesnil la prévision de la pire des anarchies qui pourrait succéder à 800 ans de monarchie que l’on disait liberticide: « Un long repentir suivra bientôt cette funeste union  ». Le repentir de d’Eprémesnil, c’est le transfert de celui, peu avoué dès ses origines, d’une monarchie française impatiente de réformer ses sujets, consentant bien malgré elle, puis à ses dépens, de couper les racines de ses fondements les plus reculés.

Les éléments présentés ici répondent à une interrogation récurrente, leur intérêt est d'abord pédagogique. Ils présentent synthétiquement des arguments développés notamment dans le livre paru chez Perrin, _Robespierre. La fabrication d'un monstre_.

Le Terreur de Robespierre serait le modèle quasi indépassable car matriciel du nazisme et du stalinisme. Et pourtant, la Terreur en tant que telle n'a jamais existé. Si la Révolution fut violente, meurtrière, elle n'a jamais mis la Terreur à l'ordre du jour et cette notion a été inventé de toute pièce après la mort de Robespierre par ceux, Tallien, Barrère et Fouché, qui voulaient sauver leur peau et préserver leur avenir en gommant leur passé.

Jean-Clément Martin en fin connaisseur de la question et de la période nous conduit avec ce livre/enquête sur le chemin qui mène à l'invention de la Terreur.

Résumé de Myriam Tsimbidy: « Pierre Michon, dans Les Onze, titre d’un tableau aussi fictif que son peintre François-Élie Corentin, repose le problème du pouvoir démiurgique qui fait « surgir les figures du néant » en associant à l’artifice un trompe-l’œil qui est « ce quelque chose » qui provoque l’adhésion du lecteur. Philippe Sarrasin Robichaud montre en quoi ce roman réinterroge l’écriture de l’histoire qui, comme la fiction, est traversée par ce qui procède de la révélation et du désir de reconnaître. La reconnaissance, c’est tout d’abord cet accord entre l’artiste et le commanditaire : le peintre, qui a besoin de toucher pour croire comme saint Thomas, conclut « un marché juteux ». Une fois la commande payée, la révélation survient. La vision du tableau intitulé Les Onze procède, explique Philippe Sarrasin Robichaud, d’un kaïros et d’une pétrification. Ce roman joue sur la multiplicité des références connues pour envoûter un lecteur en perte de repères. Il est une mise en scène de l’impuissance de l’Histoire comme désir d’objectivité car elle est affaire de croyance, d’hallucination, voire d’hypnotisation « comme l’oiseau va au serpent ».

Ces deux dernières œuvres conduisent à réfléchir au statut épistémologique et ontologique des discours sur le passé dont on ne peut plus mesurer la fausseté ou l’irréalité tant ils s’appuient sur des modalités référentielles hétérogènes, en mêlant connu et inventé, et jouent sur le désir du lecteur de croire en ce qu’il lit, c’est-à-dire de « reconnaître » ce qu’il est en train de découvrir… au point même que ne connaissant ni l’œuvre ni le peintre dans le cas des Onze, il se précipite au Louvre pour admirer le célèbre tableau de Corentin ! »

https://www.fabula.org/colloques/document6175.php

Ce simple relevé des occurrences de « terreur » permet donc de faire ce récit, sans doute minimaliste et répétitif, de la façon dont la Révolution française s’est emparée du mot « Terreur » et l’a transformé quand à partir de Thermidor an II, la mort de Robespierre, elle a relu tout ce qui avait eu lieu avant pour qualifier de « Terreur » des événements, sans doute « terribles », mais qui n’avaient été pris dans un système législatif quelconque. Notre imaginaire national aura été imprégné de cette mutation qui fait oublier l’indécision du mot et le coup de force politique.

Face aux événements récents, on peut se poser une question, quand on est artiste et écrivain : peut-on, doit –on continuer à écrire et à créer après la terreur et le choc qu’on créé ces attentats ? Est-ce que l’horreur et la consternation qu’on soulevé ces attentats  ne rendent-elles pas vaines et futiles nos tentatives de création, doit-on s’interdire de créer à face ces centaines de morts et de blessés ?

Emmanuelle Huisman-Perrin reçoit Jean-Clément Martin, professeur émérite de l'université Paris 1, ancien directeur de l'Institut d'histoire de la République Française  pour évoquer son dernier ouvrage Les échos de la Terreur. Vérités d'un mensonge d’État 1794 2001

Centraal in mijn verhaal staat de periode van de jaren tachtig. Bedoeling is de crisis in het functioneren van de Belgische Staat en maatschappij die haar hoogtepunt vond aan het einde van 1985 te analyseren en van achtergrondfeiten te voorzien. Het gaat hier om een crisis die tot nu toe weinig is geanalyseerd. Terugredenerend van die crisis kan men pas goed de verschillende elementen onderscheiden die de maatschappij hebben meegesleurd in de huidige zeer diepe en bijna uitzichtsloze crisis.
Een paar feiten die de situatie van eind 1985 moeten duiden...Een ganse reeks factoren komen bij elkaar en spelen op elkaar in. Er is ten eerste een dynamische, maar in hoofdzaak pascifistische mobilisatie van voorop de jongeren voor de vrede; een mobilisatie die op dat moment vooral draait rond het al of niet plaatsen van Amerikaanse kruisraketten in België. In de periode oktober 1984-december 1985 treedt een organisatie naar buiten die zich als extreem links aandient, de Cellules Comunistes Combattentes. Deze pleegt geweldaden, aanslagen die niet tegen mensen gericht zijn, maar waar toch een slachtoffer bij valt. De CCC komt als het ware uit het niets, zou afkomstig zijn uit extreem-linkse kringen en bestaat hoogstens uit 6 á 10 personen. Ze zorgen ervoor dat geweld in toenemende mate onderwerp wordt van het maatschappelijk debat. Op het einde van 1985 volgt de arrestatie van 4-5 verantwoordelijken voor de door hen geclaimde aanslagen. Tegelijkkertijd doet zich een zo mogelijk nog ernstiger maatschappelijk drama voor. In de eerste helft van de jaren tachtig vindt op allerlei terreinen een destabilisatie van de staat plaats. Er wordt een klimaat van spanning gecreëerd. Die spanning onder ganse bevolking wordt vooral gedragen door tot op de dag van vandaag onbekend gebleven personen die van lieverlee zijn bekend geworden als de "bende van Nijvel". Ook daar een geweldsspiraal die zeker vanaf 1983 optreedt en niet toevallig zijn hoogtepunt bereikt aan het einde van 1985. Er is sprake van terreur, van ogenschijnlijk crimineel geweld, die in zijn methodiek en in zijn timing tot in de kleinste details wijzen op politieke oogmerken.
[...] In de eerste helft van de jaren tachtig doet zich nog een derde fenomeen voor....In het verlengde van de Koude Oorlog is de Belgische overheid te raden gegaan bij de bondgenoot over de plas. Enige van de beste speurders uit de Belgische politie-wereld (rijkswacht en gerechtelijke politie) werden naar de V.S. gestuurd om daar een opleiding te krijgen in undercover-werk. Die scholing had een dramatisch effect. Men kreeg -net zoals in veel andere Europese landen- een training die alleen paste in het kader van de Amerikaanse wetgeving. Die Amerikaanse wetgeving staat veel meer toe dan in elk ander Europese democratie gebruikelijk is. Ze kwamen terug met een formidabele opleiding die alleen paste in de Amerikaanse context, maar totaal onwettelijk was in het Belgische kader.
[...] De dynamiek die de Belgische staat de laatste tijd wél vertoond heeft lag op een heel ander terrein, namelijk op het terrein van de decentralisatie om de tegenstellingen tussen de Vlaamse en de Waalse gemeenschappen op te vangen evenals de ongelijkmatige economische ontwikkeling tussen het geïndustrialiseerde, traditioneel socialistische zuiden en het Vlaamse noorden waar de rijkdom zich steeds meer accumuleerde, terwijl de traditionele industriële structuur in Wallonië in een zeer diepe crisis is beland. Die ongelijkmatige ontwikkeling heeft de staat verplicht tot een zeer ver gaande decentralisatie die in de hoofden van sommigen zou moeten uitlopen op een afscheiding (zoals de Lega Nord wil in Italië). Het is vooral extreem rechts die daar op aan stuurt. Het Vlaamse Blok voert systematisch een politiek offensief dat maar een doel heeft: de democratie afschaffen via de omweg van het barsten van België in twee stukken. Wanneer men ziet bij die ontwikkeling wat er nog van over is aan essentiële functies van de oude unitaire staat -en dat zijn in de eerste plaats justie, binnenlandse zaken, politie-diensten, leger- dan moet men constateren dat het precies die sectoren van de oude staatsstructuur zijn die onderhevig zijn aan een diepe crisis; een crisis die voor de democratie een grote bedreiging vormt.
Wat blijft er dan aan alternatief over voor de oude unitaire structuren nu de aandacht van de politiek en van de bevolking meer uitgaat naar de nieuwe gewestelijke structuren; nu de oude staat ondermijnd is door de antidemocratische krachten, afkomstig uit de Koude Oorlog, terwijl de vorming van de nieuwe regionale staten mede aangedreven wordt door extreem rechts; een extreem rechts dat het thema van het nationalisme centraal in het vaandel voert en de afkeer van alles wat de natie niet eigen zou zijn met alle discriminitoire ondertonen vandien. België staat voor een dilemma en voor een complexe situatie die mede het gevolg is van wat misgroeid is in een aantal westerse democratieën als gevolg van wat de Koude Oorlog genoemd werd.

'Terreur sal nie impak op verkiesingsuitslag hê'

Die Burger
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6 Junie 2017

Deur Philda Essop

Die gaping is “taamlik nou” tussen die teenstanders in die Britse nasionale verkiesing wat Donderdag plaasvind, maar dit is “onwaarskynlik” dat die terreuraanvalle ’n impak op die uitslag sal hê.
Die Britse premier en leier van die Konserwatiewe Party, Theresa May, en haar teenstander, Jeremy Corbyn, leier van die Arbeidersparty, sê mekaar die stryd aan in die verkiesing.
Prof. John Stremlau van die departement van internasionale betrekkinge aan die Universiteit van die Witwatersrand was gister onwillig om ’n voorspelling te waag oor wie die verkiesing sal wen.
“Dit het gelyk na ’n uitgemaakte saak vir May van die Konserwatiewe Party, maar Corbyn het ’n baie doeltreffende veldtog gehad wat die gaping aansienlik vernou het.”
Hy meen dit is onwaarskynlik dat die terreuraanvalle ’n impak op die uitslag van die verkiesing sal hê. “Die Britte is veerkragtig en die manier waarop hulle bymekaar gestaan het by Ariana Grande se konsert die naweek was bemoedigend.”
Hy verwag dat die opkoms by die stembus “energiek” sal wees, veral ná die verrassing met die Brexit-referendum.
Chaos is in Junie verlede jaar op die wêreld se finansiële markte gesaai toe die Britte ten gunste daarvan gestem het dat Brittanje hom aan die Europese Unie onttrek.
Prof. Jo-Ansie van Wyk van die departement politieke wetenskap aan Unisa sê die verkiesing is die eerste groot toets vir May omdat sy nie tot premier verkies is nie. Sy het by David Cameron, die vorige premier wat teen Brexit gekant was, oorgeneem toe hy as premier bedank het ná die uitslag van die referendum.
Brexit is volgens Van Wyk en Stremlau ’n uitgemaakte saak. “Wie ook al wen, sal die onderhandelings moet hanteer,” het Van Wyk gesê.

Comment il est possible de voir le 2 octobre 1793  la gravité des luttes d'influence entre factions montagnardes et sans-culottes  dans la conduite des guerres de l'Ouest.
Les rivalités politiciennes sont essentielles et doivent être intégrées dans les jugements sur la Révolution.

On ne tiendra pas compte de la mention "Jean-Claude Martin"....

Ce livre mérite d'être appuyé sur les observations de la police parisienne, faites le 15 mars 1794, au moment où
les meneurs sans-culottes, Hébert, Ronsin, Momoro... étaient envoyés à la guillotine.
L'intérêt porté aux animaux est un prétexte pour dénoncer la politique des sans-culottes, et pour mettre en garde
contre les débordements populaires. Le texte montre aussi que dès mars 1794 la violence était en discussion dans
l'opinion parisienne, contredisant d'avance les accusations qui seront portées, après le 9 Thermidor et la mort de
Robespierre, sur le silence qui aurait accompagné "la Terreur".

Als er één volk tegen wil en dank leerde leven met angst, dan zijn het de Colombianen wel. In de laatste twee decennia van de vorige eeuw bracht een bloederig conflict tussen de staat, drugskartels en linkse guerrilla’s het Zuid-Amerikaanse land naar de rand van de afgrond. Vier Colombiaanse boeken vertellen hoe jarenlang geweld een samenleving kan ontwrichten.