[go: up one dir, main page]

CH328793A - Machine à calculer - Google Patents

Machine à calculer

Info

Publication number
CH328793A
CH328793A CH328793DA CH328793A CH 328793 A CH328793 A CH 328793A CH 328793D A CH328793D A CH 328793DA CH 328793 A CH328793 A CH 328793A
Authority
CH
Switzerland
Prior art keywords
key
lever
machine
cycle
keys
Prior art date
Application number
Other languages
English (en)
Original Assignee
Ncr Co
Priority date (The priority date is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the date listed.)
Filing date
Publication date
Application filed by Ncr Co filed Critical Ncr Co
Publication of CH328793A publication Critical patent/CH328793A/fr

Links

Landscapes

  • Input From Keyboards Or The Like (AREA)

Description


  Machine à calculer    L'objet de l'invention est une machine à  calculer capable     d'effectuer    des opérations de  répétition, comprenant des touches de montant  pouvant être enfoncées partiellement pour dé  terminer les entrées dans la machine et pou  vant être enfoncées complètement pour déclen  cher un cycle d'opérations de la machine, des  dispositifs de verrouillage pour verrouiller les  touches de montant utilisées dans leur position  enfoncée, et un mécanisme de rappel de tou  ches fonctionnant à un instant vers la fin du  cycle pour libérer normalement les dispositifs  de verrouillage.

   Elle est caractérisée par des  pièces empêchant la mise au repos des -dispo  sitifs de verrouillage lorsqu'une touche de mon  tant enfoncée complètement est maintenue ma  nuellement dans cette position au-delà de l'ins  tant auquel fonctionne ledit mécanisme de rap  pel des touches.  



  Le dessin annexé représente, à titre d'exem  ple, deux formes d'exécution de la machine  faisant l'objet de l'invention.  



  La     fig.    1 représente une vue en élévation  du côté droit d'une première forme d'exécution  de la machine, avec son     coffre    enlevé ;  la     fig.    2 représente en perspective deux des  touches d'un clavier de montant, montrant un    cliquet de la touche et un .organe déclenchant  le fonctionnement de la machine;  la     fig.    3 représente, en élévation, une coupe  partielle d'un mécanisme de verrouillage et de  rappel d'une touche représentée en     fig.    1 ;  la     fig.    4 est une vue en plan d'une bar  rette de rappel de touches, montrant les rap  ports de cette dernière avec l'organe de déclen  chement ;

    la     fig.    5 représente une vue en coupe, sui  vant la ligne 5-5 de la     fig.    4 ;  la     fig.    6 représente une vue en élévation  du côté droit d'une deuxième forme     d7exécu-          tion    de la machine, avec le     coffre    enlevé ;  la     fig.    7 représente un détail de l'organe de  verrouillage d'une touche de montant, tel qu'on  le voit de     l'arrière    de la machine ;

    la     fig.    8 représente une vue en perspective,  avec une coupe partielle de     l'organe    de ver  rouillage des touches et son mécanisme     d'ac-          tionnement    ; .  



  la     fig.    9 représente une vue de détail mon  trant le mécanisme de déclenchement de la ma  chine et ses rapports     avec,les    touches de com  mande de la machine.           Dans    les formes d'exécution représentées,  l'ensemble de la machine est de construction  classique et comprend un clavier comportant  un certain nombre. de     rangées    de touches de  montant 10, touches pouvant occuper trois po  sitions, c'est-à-dire une position non     enfoncée,     une position partiellement enfoncée et une posi  tion complètement enfoncée.

   La tige 11       (fig.    3) de chaque touche de montant est main  tenue vers le haut par un ressort 12 et est  munie d'une -ouverture allongée 13, que tra  verse pour chaque rangée de touches une pla  quette coulissante 14. De plus, la tige 11 de  chaque touche est munie d'une paire de crans  15 (voir     fig.    2) séparés l'un de l'autre par une  arête-came 16.  



  Lorsqu'une touche n'est pas enfoncée,       comme,    par exemple, la touche de droite de  la     fig.    2, le cran     inférieur    15 est en prise avec  un cliquet 17 commun à toutes les touches  d'une rangée et monté sur une tige 18 placée  dans la rangée. Cependant, lorsqu'une touche  est partiellement enfoncée, l'arête-came 16 fait  basculer le cliquet hors du cran inférieur 15 et  le fait pénétrer dans le cran supérieur, comme  le montre la position de la touche de gauche  en     fig.    2.  



  Chaque plaquette coulissante 14 est munie  d'un certain nombre d'encoches-cames 19       (fig.    2 et 5) disposées sur son bord supérieur,  une pour chaque touche, de telle sorte que,  lorsqu'on enfonce une touche au maximum, le  bord supérieur de l'ouverture 13 s'engage avec  la partie oblique de l'encoche 19 correspon  dante, poussant ainsi vers l'avant la plaquette  coulissante 14.  



  Lorsqu'on a composé sur le clavier les  valeurs d'une entrée donnée, on appuie un peu  plus sur n'importe laquelle des touches de mon  tant partiellement enfoncées, poussant ainsi vers  l'avant la plaquette coulissante 14 correspon  dante, comme expliqué ci-dessus, et ce mouve  ment permet à un prolongement inférieur 20       (fig.    2 et 5) de la plaquette 14 de déplacer un  étrier 21     (fig.    1 et 6) et, par conséquent, d'ef  fectuer, de façon classique, la fermeture d'un       interrupteur    placé dans le circuit d'un électro  aimant (non représenté).

      L'excitation de l'électro-aimant produit, à  la manière connue, par le déclenchement d'un  cliquet (non représenté), la fermeture d'un in  terrupteur normalement ouvert, placé dans le  circuit du moteur de commande (également  non représenté) et ce moteur, à son tour, fait  tourner un arbre de transmission principal 22.  On a utilisé des liaisons entre l'armature de  l'électro-aimant et l'interrupteur de ce dernier  grâce auxquelles. l'interrupteur s'ouvre au mo  ment du fonctionnement de l'armature et le  circuit de l'électro-aimant est ainsi de nouveau  ouvert.  



  Comme les touches de montant 10 sont  conçues de façon à être verrouillées dans leur  position enfoncée pendant toute la durée d'un  cycle de la machine, ainsi qu'on l'a expliqué  plus haut, il faut s'arranger pour les déverrouil  ler presque à la fin d'un cycle, et ceci est réalisé  de la manière suivante, d'ailleurs connue en  soi : .  



  Une plaquette de commande 23, montée  sur l'arbre de transmission     principal    22, est  ajustée de façon que celui-ci la fasse basculer  dans le sens     senestrorsum        (fig.    1 et 6). Articu  lée à une extrémité de la plaquette de com  mande 23 se trouve une bielle 24 articulée à  son autre extrémité à une deuxième plaquette  de commande 25     fixée    sur un arbre 26.  



  La seconde plaquette de     commande    25 est  munie d'un ergot 27 qui, lorsque la plaquette  est dans sa position de repos     (fig.    1 et 6), est  placée juste au-dessous d'un talon 28 d'un  levier de rappel de touche 29 articulé sur un  ergot 30 et ayant     tendance    à tourner dans le  sens     dextrorsum    par suite de l'effet d'un res  sort 31 fixé, par une extrémité, à un bras di  rigé vers le haut 32 du levier de rappel de  touche 29 et, par son autre     extrémité,    à un  ergot 33     (fig.    1). ,L'extrémité antérieure du  levier de rappel de touche 29 est munie d'un  cliquet d'échappement 34.

   De cette façon, le  mouvement     senestrorsum    de la première pla  quette de commande 23 sera transmis à la  seconde plaquette 25,     écartant    ainsi l'ergot 27  du trajet du talon 28 et permettant au ressort      31 de faire basculer le levier de rappel 29 dans  le sens     dextrorsum.     



  Un tel mouvement du levier de rappel,  dans la forme d'exécution représentée en     fig.    1  à 5, fait que le cliquet d'échappement 34 s'ef  face derrière un goujon 35 fixé sur un levier  36, articulé sur un goujon 37 lui-même monté  sur un bâti de droite 38 du clavier. Pendant  la dernière moitié du cycle opératoire, les pla  quettes de commande 23 et 25 tournent dans  le sens     @dextrorsum    et un tel mouvement de la  deuxième plaquette 25 fait que son ergot 27  ramène le levier de rappel de touche 29 dans  le sens     senestrorsum,    jusqu'à la position repré  sentée en     fig.    1.

   Comme le cliquet d'échappe  ment 34 ne peut tourner dans le sens     dextror-          sum,    il     entraîne    le goujon 35, amenant avec  lui le levier 36. A l'extrémité du bras dirigé  vers le haut du levier 36 se trouve un bossage  39     (fig.    1 et 4) sur lequel est montée une ex  trémité d'un ressort 40 travaillant à la com  pression et dont l'autre extrémité est montée  sur un bossage identique 41, porté par un bras  42 placé sur l'extrémité de droite d'une bar  rette de rappel de touche 43, placée en avant  le long du clavier et articulée à son     extrémité     de droite sur le goujon 37 et à son extrémité  de gauche sur un goujon identique 44     (fig.    5).

    Ainsi, le mouvement dans le sens     dextrorsum     du levier 36     oblige    le ressort 40 à transmettre  un mouvement semblable à l'étrier de rappel  de touche 43 contre l'action d'un ressort. Cet  étrier 43 est muni d'une série de paires de  doigts 45     (fig.    3 et 4), chaque paire étant pla  cée, comme le montre la     fig.    3, entre la détente  de touche 17 et un cliquet d'arrêt de zéro 46,  d'une rangée particulière de touches de mon  tant.

   Lorsque l'étrier de libération de touche  43 bascule dans le sens     dextrorsum,    les doigts  45 viennent en prise avec les détentes 17 des  touches verrouillées et les cliquets d'arrêt de  zéro 46 qui leur sont associés et permettent aux  touches de montant 10 enfoncées de revenir à  leur position initiale sous la pression de leurs  ressorts individuels 12. Une butée (non repré  sentée), contre laquelle vient buter un goujon  47     (fig.    1 et 4), empêche l'étrier de rappel de  touche 43 de continuer de tourner dans le sens         dextrorsum    à partir de sa position représentée  en     fig.    1.  



  D'après la description précédente, on voit  que, si l'on doit répéter une opération, il faut  s'arranger pour empêcher le retour à la posi  tion de repos des détentes de touches 17, à  l'instant précis du cycle où une touche de mon  tant 10 est maintenue complètement enfoncée  après     l'instant    auquel fonctionne le levier de  rappel 29.  



  On atteint ce but, dans la forme d'exécu  tion de la machine représentée sur les     fig._    1  à 5, en ajoutant une plaquette à encoches 48       (fig.    1, 4 et 5) à l'étrier de rappel de touches  43, qui, étant fixée à la face supérieure de  l'étrier 43, sert à raccourcir la longueur des  fentes 49 formées entre les doigts 45 et à l'in  térieur desquelles doivent se déplacer les extré  mités antérieures des plaquettes coulissantes  14. Les parties raccourcies des fentes 49 sont  représentées en 50 sur la     fig:    4.  



  Dans les précédentes constructions de ma  chines de ce type, les fentes 49     étaient    suffi  samment profondes pour que le mouvement  vers l'avant des plaquettes coulissantes 14 ne  contrarie pas le fonctionnement de l'étrier de  rappel de touches 43, d'où il résulte que, si  l'on doit effectuer une somme de plusieurs       chiffres    sur le clavier et si l'on     enfonce    une  touche de montant au-delà de sa position de  verrouillage à la fin d'un cycle de la machine,  toutes les touches de montant revenaient, ex  cepté celle ou celles maintenues enfoncées par  l'opérateur.  



  Cependant, si par suite du raccourcisse  ment des -fentes 49, comme .on l'a décrit plus  haut, on maintient une touche de montant 10  au-delà de sa position de verrouillage, à sa  position de déclenchement, le bord avant 51       (fig.    2 et 5) des plaquettes coulissantes 14 cor  respondantes bute sur le bord antérieur de la  fente 49 correspondante. En conséquence, le  maintien en position complètement enfoncée  d'une touche, au moment où le levier de rappel  de touches 29 tend à déplacer l'étrier de rap  pel 43 dans un mouvement de libération de      touche, permet à la plaquette coulissante 14,  associée à ladite touche maintenue enfoncée,  de bloquer le mouvement de l'étrier 43.

   Ainsi,  le cliquet d'échappement 34, placé sur le levier  de rappel 29, fait simplement, par     suite    de la  liaison flexible 40 placée entre le levier 36 et  l'étrier 43, basculer ce levier 36 sans déplacer  l'étrier. Par conséquent, la     machine    effectue de  façon continue des cycles qui dureront aussi  longtemps que la touche de montant sera main  tenue manuellement complètement enfoncée  et, comme l'étrier     dë    rappel de touches 43 est  au repos     pendant    tout ce fonctionnement, les  touches enfoncées choisies, correspondant aux       valeurs    à enregistrer ne reviennent pas à leur  position     normale.     



  On remarquera que l'adjonction de la pla  quette 48 n'est pas essentielle, mais elle est  simplement utile, pour la transformation de  machines     existantes    afin     d'obtenir    des opéra  tions de répétition sous la commande directe  du clavier. L'étrier de rappel de touches 43  peut lui-même être conformé de façon que les  fentes 49 qu'il comporte soient de profondeur  telle qu'elles empêchent un mouvement     dans     le sens     dextrorsum    de l'étrier lorsque les fentes  touchent le bord antérieur 51 de la plaquette  coulissante 14 associée à la touche de montant  maintenue manuellement complètement en  foncée.  



  Dans la deuxième forme d'exécution de la  machine, représentée aux     fig.    6 à 9, on utilise  d'autres moyens pour verrouiller les touches de  montant 10, soit en position non enfoncée, soit  en position enfoncée, de façon qu'il soit im  possible de manipuler ces touches pendant le  fonctionnement de la     machine    et . également  pour permettre des entrées répétées.

       Ces     moyens sont     commandés    par un levier de dé  clenchement de la machine 60- (fi-.<B>6</B> et<B>9)</B>  fonctionnant     comme    on va le décrire ci-des  sous, et comprennent un curseur de verrouil  lage à mouvement de va-et-vient 61     (fig.    7  et 8) normalement maintenu dans sa position  de repos par un ressort 62.  



  Le côté inférieur du curseur de verrouillage  61 est muni d'un certain nombre de crans 63         (fig.    7), un par rangée de touches de montant,  et chacun d'eux coopérant avec un volet de  verrouillage 64 qui est     basculable    et monté  avec jeu sur une plaque de base 65 du clavier.  Ainsi, lorsque les touches de montant 10 sont  amenées dans leur position d'enfoncement  intermédiaire et lorsque le curseur de verrouil  lage 61 se déplace jusqu'à sa position de fonc  tionnement, par des moyens que l'on va dé  crire, les volets 64 basculent     afin    de s'engager  sur une saillie 66 portée par la tige de touche  11 de chaque touche enfoncée et la verrouil  lent.

   Dans le cas de touches 10 non enfoncées,  au moment du mouvement du curseur de ver  rouillage 61 jusqu'à sa position active, les vo  lets 64 se déplacent jusqu'à une position immé  diatement au-dessous des     saillies    66 des tou  ches qui leur sont associées, ce qui empêche  l'enfoncement des touches de montant non en  core enfoncées. La touche de droite de la     fig.    8  est en position non enfoncée, tandis que ses  voisines sont représentées verrouillées en posi  tion partiellement enfoncée.  



  Le curseur de verrouillage 61 est muni d'un  galet 67     (fig.    7 et 8), monté sur une de ses       extrémités,    et d'une fente verticale 68     (fig.    7).  Comme on peut le     voir"d'après    les     fig.    6, 8 et  9, le levier de déclenchement 60 comporte un  bras 69 s'étendant en haut et vers l'arrière et  terminé par un ergot 70     (fig.    8) placé au-des  sus d'une extrémité d'un levier 71 articulé sur  un ergot 72 lui-même fixé sur la partie droite  du bâti 73 de la machine.  



  Un bras 74, s'étendant en haut et vers  l'avant, du levier 71, est muni d'une partie 75  recourbée vers le bas     (fig.    7 et 9) et terminée  par un galet 76 roulant sur une plaquette de  droite 77 du châssis du clavier, tandis     qu'ùne     came 78     (fig.    7 et 8) placée sur la partie recour  bée 75 du levier 71 s'appuie sur le galet 67  monté sur le curseur de verrouillage 61. Le  levier 71 est normalement rappelé dans le sens       dextrorsum    par un ressort 79     (fig.    8).  



  Un levier 80     (fig.    6), articulé sur le pivot  30 du levier de rappel, est muni d'un ergot 81  maintenu au contact du bord supérieur du  levier de rappel 29 au moyen d'un ressort 82      fixé par une de ses     extrémités    au bras 32 qui  s'allonge vers le haut du levier de rappel 29  et par son autre extrémité au levier 80.  



  <I>Fonctionnement de la machine</I>  <I>commandée au moyen des tou-</I>  <I>ches de montant</I>  Lorsqu'on enfonce partiellement une touche  de montant 10, puis, comme on l'a vu pour la  première forme d'exécution, à     partir    de sa posi  tion partiellement enfoncée jusqu'à sa position  d'enfoncement maximum, l'électro-aimant est  mis sous tension, causant le déclenchement du  cliquet de l'interrupteur du moteur, ce qui  ferme le circuit du moteur de commande. Le  déclenchement du cliquet de l'interrupteur du  moteur a pour effet, par des moyens non repré  sentés, de faire basculer le levier de déclenche  ment 60 dans le sens     dextrorsum        (fig.    6 et 9)  déclenchant ainsi le fonctionnement de la ma  chine.

   Le levier de déclenchement 60 reçoit un  léger mouvement dans le sens     senestrorsum     presque à la fin d'un cycle de la machine par  suite de la suppression du courant dans     l'élec-          tro-aimant.     



  Le mouvement de déclenchement, dans le  sens     dextrorsum    du levier de déclenchement  60, fait que son ergot 70 abaisse le levier 71 et  le fait basculer dans le sens     senestrorsum          (fig.    6, 8 et 9) contre l'action du ressort 79. Un  tel mouvement du levier 71 oblige la came 78  à faire avancer vers la gauche le curseur de  verrouillage 61     (fig.    7 et 8) jusqu'à sa position  de travail, verrouillant ainsi les touches de  montant 10, enfoncées et non enfoncées, par  l'intermédiaire des volets 64, et ce pendant la  durée d'un cycle de la machine.  



  Pendant ce cycle, le levier de rappel de  touches 29 bascule dans le sens     dextrorsum,     comme expliqué plus haut au sujet de la pre  mière forme d'exécution et, ainsi, l'extrémité  de droite, représentée en     fig.    6, du levier 80  s'abaisse dans la fente verticale 68     (fig.    7) du  curseur de verrouillage 61 qui, pendant ce  temps, a été amené au moyen de cames dans  sa position de travail par le mouvement de dé  clenchement du levier de déclenchement 60. De  cette façon le levier 80 est maintenu par le    curseur de verrouillage 61 pendant toute la plus  grande partie du cycle de la machine.  



  Comme on l'a montré plus haut, vers la  fin d'un cycle, le levier de déclenchement 60  revient dans le sens     senestrorsum,    permettant  ainsi au ressort 79 de ramener le levier<B>71,</B> sup  primant alors le contact de la came 78 et du  galet 67 monté sur le curseur de verrouillage  61. Après cela, lorsqu'on fait basculer le levier  de rappel de touches 29 dans le sens     senestror-          sum    vers la fin d'un cycle comme dans la pre  mière forme d'exécution, le cliquet d'échappe  ment 34 vient au contact de l'ergot 35 et fait  basculer l'étrier de libération de touche 43 dans  le sens     dextrorsum    de telle sorte que ses doigts  peuvent relâcher les détentes de touches 17 et  les cliquets d'arrêt de zéro 46.

   En même temps  le     levier    80 se libère du curseur de verrouil  lage 61,     permettant    ainsi à ce dernier d'être  rappelé à sa position de repos par le ressort  filiforme 62 et aux volets 64 de revenir à leur  position initiale. Ainsi, comme les détentes de  touches 17 et les volets 64 sont mis au repos  en même temps, les touches de montant 10 en  foncées peuvent revenir à leur position initiale  tandis que les touches non enfoncées sont li  bérées.  



  <I>Opérations de répétition com-</I>  <I>mandées par les touches de</I>  <I>montant</I>  D'après la description précédente, il de  vient évident que si l'on doit répéter une opé  ration, avec le même montant, la machine fonc  tionnera de façon continue tant que l'on main  tiendra manuellement une touche complète  ment enfoncée et     l'utilisation    du levier -80  maintiendra le curseur de verrouillage 61 dans  sa position de verrouillage pendant la plus  grande partie de chaque cycle de la machine  indépendamment de l'enfoncement continu de  la touche de montant, -ce qui empêche ainsi la  libération des volets 64, à l'instant même du  cycle où ladite touche est maintenue complè  tement enfoncée au-delà de     l'instant    auquel le  levier de déclenchement 60 revient à sa posi  tion initiale.

        <I>Fonctionnement de la machine</I>  <I>commandée par la barre motrice</I>  La machine représentée sur les     fig.    6 à 9  peut aussi fonctionner de façon continue si     l'.on     enfoncé une barre motrice d'addition 83     (fig.    9)  sans l'aide de l'électro-aimant. On obtient ce  résultat grâce à un pied 84 fixé à la     barre    mo  trice d'addition 83, qui appuie sur un ergot 85  d'un levier 86 articulé en 87 au levier de dé  clenchement 60. Un ergot 88, fixé sur le levier  86, s'appuie sur le bord supérieur d'un levier  89, articulé lui. aussi en 87 au levier de dé  clenchement 60. Le levier 89 est muni d'une  oreille 90 maintenue contre un bras, s'allon  geant vers le haut, du levier de déclenchement  60, au moyen d'un ressort 91.

    



  Ainsi, lorsqu'on enfonce la barre motrice  d'addition 83, le levier 89 et le levier de dé  clenchement 60 basculent dans le sens     dex-          trorsum        (fig.    9). Ce mouvement déclenche de  façon classique le cliquet de l'interrupteur du  moteur par l'intermédiaire d'une liaison mé  canique (non représentée) fermant ainsi le cir  cuit du moteur. De même, le mouvement     dex-          trorsum    du levier de déclenchement 60 en  traîne le verrouillage des touches de montant  enfoncées et non enfoncées, grâce au curseur  de verrouillage 61, comme on l'a décrit plus  haut.  



  <I>Fonctionnement de la machine</I>  <I>commandée par la touche de</I>  <I>soustraction</I>  La machine représentée sur les     fig.    6 à 9  peut aussi fonctionner à répétition si l'on en  fonce une touche de commande de soustraction  92     (fig.    9) sans l'aide de l'électro-aimant. Ce  résultat est obtenu du fait que la touche 92  présente un pied 93 venant en contact avec  un ergot 94 fixé à une plaquette de     commande     de soustraction 95 articulée en 96 sur le bâti  de droite 77 du clavier     (fig.    8). L'ergot 94  s'appuie sur un bras 97 s'allongeant vers le  haut et vers l'arrière du levier 89.

   Comme il  est bien connu, la plaquette de commande de  soustraction 95 oblige la machine, par son    mouvement dans le sens     dextrorsum,    à effec  tuer des soustractions au lieu d'additions.  



  Ainsi, lorsqu'on enfonce la touche de com  mande de soustraction 92, la plaquette de  commande 95 bascule dans le sens     dextrorsum          (fig.    9), tandis que son ergot 94 fait basculer  le- levier 89 dans le même sens et, par suite, le  levier de déclenchement 60 bascule dans le sens  des aiguilles d'une montre et déclenche la ma  chine exactement comme on l'a décrit ci-des  sus à propos de la     commande    par barre mo  trice.  



  <I>Opérations de répétition com-</I>  <I>mandées par la barre motrice</I>  <I>d'addition ou la touche de sous-</I>  <I>traction</I>  Si l'on désire     effectuer    des opérations répé  tées et les commander avec la barre motrice  d'addition 83 ou avec la touche de commande  de soustraction 92, on maintient enfoncée à la  main l'une quelconque de ces touches, suivant  le type d'enregistrement à     effectuer.    Ceci garan  tit que le levier de déclenchement 60 est main  tenu dans sa position extrême de rotation, dans  le sens     dextrorsum,    et qu'ainsi la machine  fonctionne de façon continue jusqu'à ce que la  pression du doigt sur ladite touche se relâche.

    Par suite de l'action de l'ergot 70 du levier de  déclenchement 60, le curseur de verrouillage  61 sera maintenu en position de travail et le  montant représenté par les touches 10 enfon  cées et verrouillées s'enregistre de façon répé  tée dans le totalisateur (non représenté). Lors  qu'on relâche la pression du doigt de la touche  de libération de la machine qui est enfoncée,  c'est-à-dire soit la barre motrice d'addition 83,  soit la touche de soustraction 92, le mécanisme  de déclenchement est réarmé.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Machine à calculer capable d'effectuer des opérations de répétition, comprenant des tou ches de montant pouvant être enfoncées partiel lement pouf déterminer les entrées dans. la machine, et pouvant être enfoncées complète- ment pour déclencher un cycle d'opérations de la machine, des dispositifs de verrouillage pour verrouiller les touches de montant utilisées dans leur position enfoncée, et un mécanisme de rap pel de touches fonctionnant à un instant vers la fin du cycle pour libérer normalement les dispo sitifs de verrouillage, caractérisée par les pièces (14 ; 80) empêchant la mise au repos des dispo sitifs de verrouillage (17 ;
    61) lorsqu'une touche de montant (10) enfoncée complètement est maintenue manuellement dans cette position au- delà de l'instant auquel fonctionne ledit méca nisme de rappel des touches (43 ; 29). <B>SOUS-REVENDICATIONS :</B> 1.
    Machine à calculer suivant la revendica tion, dans laquelle l'une (14) desdites pièces est constituée par un organe mobile mû par l'en foncement complet de l'une quelconque des touches de montant et déclenchant un cycle de fonctionnement de la machine, caractérisée par le fait que ledit organe (14), lorsqu'il est main tenu dans sa position de travail par l'enfonce ment continu de ladite touche de montant (10), empêche le fonctionnement d'un organe (43) dudit mécanisme de rappel de touches, un cou plage flexible étant disposé entre cet organe (43) du mécanisme de rappel de touches et son mécanisme d'actionnement (29, 30, 34), ce qui permet une opération à vide de ce dernier lorsque ledit organe (43) du mécanisme de rap pel est ainsi bloqué. 2.
    Machine à calculer suivant la revendica tion et la sous-revendication 1, caractérisée par le fait que le couplage flexible comprend un bras (42) fixé à l'organe (43) du mécanisme de rappel de touches et articulé sur le châssis de la machine, un bossage (41) fixé sur ce bras, un levier (36) articulé sur le châssis de la ma chine, un bossage (39) fixé à ce levier, et un ressort travaillant à la compression (40) placé entre les deux dits bossages (39, 41), le méca nisme d'actionnement (29, 30, 34) dudit or gane (43) du mécanisme de rappel poussant ledit levier (36) vers ledit bras (42) et, ce fai sant, rendant ledit ressort 40 capable de faire basculer ce dernier et par suite ledit organe (43) du mécanisme de rappel, jusqu'à sa po sition de travail,
    si le mouvement de ce dernier n'est pas contrarié. 3. Machine à calculer suivant la revendica tion et les sous-revendications 1 et 2, carac térisée par le fait que si le mouvement de l'or gane (43) du mécanisme de rappel de touches est bloqué, le mouvement dudit levier (36) est absorbé par ledit ressort (40) travaillant à la compression. 4.
    Machine à calculer suivant la revendica tion, comprenant un organe de déclenchement du fonctionnement de la machine mû par l'en foncement complet de l'une quelconque des touches de montant pour déclencher un cycle de fonctionnement, et caractérisée par un mé canisme de couplage (70 à 72, 74 à 7.6, 78) entre l'organe de déclenchement (60) et les dispositifs de verrouillage (61) des touches de montant, destiné à déplacer lesdits dispositifs jusqu'à leur position de travail, au moment du fonctionnement de l'organe de déclenchement (60), un dispositif (68, 80, 81) fonctionnant pendant la plus grande partie du cycle de la machine et étant destiné à maintenir les dispo sitifs de verrouillage de touches (61) dans leurs positions de travail,
    indépendamment de l'or gane de déclenchement (60). 5. Machine à calculer suivant la revendica tion et la sous-revendication 4, caractérisée par le fait que les dispositifs de verrouillage de tou che comprennent un organe de verrouillage (61) et un galet (67) fixé sur lui, ledit galet recevant la commande d'une came (78) par l'intermédiaire dudit mécanisme de couplage (70 à 72, 74 à 76, 78) afin de déplacer l'or gane de verrouillage (61) jusqu'à sa position de travail, un ressort (62) étant destiné à rame ner ce dernier organe à sa position de repos lorsque l'organe de déclenchement (60) revient à sa position initiale. 6.
    Machine à calculer suivant la revendi cation et les sous-revendications 4 et 5, carac térisée par le fait que ledit dispositif comprend une fente (68) ménagée dans l'organe (61) de verrouillage des touches, susceptible de co- opérer, quand ledit organe est dans sa position de travail, avec un levier (80) fonctionnant pendant la plus grande partie d'un cycle de la machine, un ressort (82) étant destiné à rame ner ledit levier à sa position initiale vers la fin d'un cycle de la machine. 7. Machine à calculer suivant la revendica tion et les sous-revendications 4 à 6, caractéri sée par le fait que l'organe de déclenchement (60) est disposé de façon à pouvoir aussi fonc tionner par l'enfoncement d'une touche de commande (83, 92).
CH328793D 1954-07-29 1955-07-01 Machine à calculer CH328793A (fr)

Applications Claiming Priority (2)

Application Number Priority Date Filing Date Title
US328793XA 1954-07-29 1954-07-29
US151154XA 1954-11-15 1954-11-15

Publications (1)

Publication Number Publication Date
CH328793A true CH328793A (fr) 1958-03-31

Family

ID=26686970

Family Applications (1)

Application Number Title Priority Date Filing Date
CH328793D CH328793A (fr) 1954-07-29 1955-07-01 Machine à calculer

Country Status (1)

Country Link
CH (1) CH328793A (fr)

Similar Documents

Publication Publication Date Title
FR2940511A1 (fr) Dispositif de declenchement mecanique pour appareil eletrique de coupure de ligne.
EP0143682B1 (fr) Perfectionnements aux interrupteurs à coupure automatique, notamment aux interrupteurs différetiels et disjoncteurs
EP0369844B1 (fr) Mécanisme à serrure pour contacteur-limiteur
CH708999A1 (fr) Dispositif de remise à zéro avec marteaux indépendants.
FR2806523A1 (fr) Commande electrique de disjoncteur
CH328793A (fr) Machine à calculer
EP0657909A1 (fr) Interrupteur électrique à déclenchement par défaut
BE539356A (fr)
EP0569651A1 (fr) Procédé d&#39;assemblage de disjoncteurs de phase et de neutre et disjoncteur de ce type
CH301010A (fr) Machine à calculer.
BE512932A (fr)
CH290939A (fr) Machine de comptabilité.
CH321938A (fr) Machine à calculer
CH307117A (fr) Dispositif de protection pour un moteur électrique.
CH325672A (fr) Machine comptable
CH157085A (fr) Machine à calculer.
CH150650A (fr) Machine à calculer.
CH407575A (fr) Electrophone automatique à présélection de disques
BE370854A (fr)
CH296386A (fr) Machine à calculer.
CH364764A (fr) Appareil pour le classement et la sélection de documents
CH155511A (fr) Dispositif de blocage de machine à calculer.
WO2001069622A1 (fr) Dispositif de commande de disjoncteur
CH221634A (fr) Appareil enregistreur automatique permettant l&#39;impression du deuxième facteur dans une machine à multiplier.
FR2552931A1 (fr) Perfectionnements aux interrupteurs a coupure automatique, notamment aux interrupteurs differentiels disjoncteurs