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CH321938A - Machine à calculer - Google Patents

Machine à calculer

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Publication number
CH321938A
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CH
Switzerland
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carriage
pawl
key
pin
machine according
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English (en)
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Ncr Co
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Publication date
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Publication of CH321938A publication Critical patent/CH321938A/fr

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    • GPHYSICS
    • G06COMPUTING; CALCULATING OR COUNTING
    • G06CDIGITAL COMPUTERS IN WHICH ALL THE COMPUTATION IS EFFECTED MECHANICALLY
    • G06C23/00Driving mechanisms for functional elements
    • G06C23/02Driving mechanisms for functional elements of main shaft

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Physics & Mathematics (AREA)
  • Computer Hardware Design (AREA)
  • Computing Systems (AREA)
  • General Physics & Mathematics (AREA)
  • Theoretical Computer Science (AREA)
  • Input From Keyboards Or The Like (AREA)

Description


      Machine    à calculer    L'invention a pour objet une machine à  calculer à clavier réduit, comprenant un méca  nisme de déclenchement, un chariot mobile à  broches permettant de fixer la position de barres  d'arrêt, ce chariot étant à déplacement pas à  pas, et des touches de montant ayant un premier  stade d'enfoncement pour actionner des broches  correspondantes, ainsi qu'un deuxième stade  d'enfoncement pour actionner en outre le méca  nisme de déclenchement.

   Elle est caractérisée  par un mécanisme d'avancement pas à pas qui  communique un déplacement complet au chariot  à broches par l'enfoncement d'une touche  quelconque, et par un organe intermédiaire  pivotant porté par chaque tige de touche pour  amener les broches à des positions données,  organe permettant le mouvement libre du  chariot à broches de la rangée décimale immé  diatement inférieure à la position voulue, au  fur et à mesure que le chariot avance, même  lorsque la touche de montant enfoncée est  maintenue dans le deuxième stade d'enfonce  ment.  



  Le dessin annexé représente, à titre d, exemple,  une forme d'exécution de la machine à calculer  faisant l'objet de l'invention.  



  La     fig.    1 en est une vue perspective.  



  La     fig.    2 est une représentation schématique    en élévation de face d'un chariot à broches et  de sa relation avec des barres d'arrêt.  



  La     fig.    3 est un plan, vu par-dessus, du socle  de la machine, montrant la commande de  déclenchement manuel et électrique.  



  La     fig.    4 est une coupe de la machine à  droite des touches et du chariot à broches.  La     fig.    5 est un détail montrant une touche  en position enfoncée, avant le mouvement  indicateur du chariot à broches.  



  La     fig.    6 est une vue en plan du chariot à  broches, montrant les tiges des touches et le  mécanisme indicateur du chariot à broches,  certaines pièces étant représentées avec arrache  ment partiel.  



  La     fig.    7 est une élévation de face des neuf  touches de montants.  



  La     fig.    8 est une vue de détail montrant une  touche en relation avec le chariot à broches.  La     fig.    9 est un détail du chariot à broches  et de son mécanisme indicateur, et d'un contac  teur actionné par la touche pour amorcer le solé  noïde pour déclencher la machine à l'aide des  touches de montants, et comprenant le circuit  électrique accessoire.      La     fig.    10 est une vue en plan des commandes  de rappel du chariot à broches, et  La     fig.    11 est une vue en élévation de l'en  semble représenté à la     fig.    10.  



  Pour contrôler le mouvement de barres  d'arrêt<B>118</B>     (fig.    4) dans les enregistrements  suivant la valeur du montant, la machine  représentée comprend un chariot à broches  comportant une plaque supérieure<B>161</B>     (fig.    2,  4, 6, 8, 9 et 10), une plaque inférieure 162       (fig.    2, 4, 8 et 9), une plaque de côté droit 163       (fig.    2), une plaque de côté gauche 164     (fig.    2,  4, 10 et 11), une plaque antérieure 165     (fig.    4  et 9), et une plaque postérieure<B>166</B>     (fig.    2, 4  et 8).

   Ces plaques sont     fixées    ensemble pour  former une boîte, et la plaque supérieure 161  présente à l'arrière un prolongement 167       (fig.    4 et 6) sur lequel se trouvent des     chiffres     indicateurs   1   à   9   (comme représenté  à la     fig.    6) qui peuvent être vus par une ouver  ture 168     (fig.    1), afin de donner à l'opérateur  une indication de la position du chariot à  broches, telle que repérée rangée par rangée.  



  Les plaques supérieure et inférieure 161 et  162 du chariot à broches sont munies de neuf  séries de fentes alignées, dans     lequelles    sont  montées des broches 169     (fig.    8) mobiles, chacune  d'elles ayant une position     inefficace      en haut    et une position     efficace      en bas  , dans lesquelles  elles contrôlent les barres d'arrêt 118, avec les  quelles elles sont alignées, dans une opération  de la machine.  



  Revenant à la     fig.    8, les broches 169 sont  représentées à leur position     inefficace      en haut  ,  le contour pointillé 170 montrant l'extrémité  inférieure lorsqu'elles sont en position     efficace       en bas  . Chaque broche présente, sur ses  côtés, des encoches 171, par lesquelles elle est  maintenue     élastiquement    en position haute ou  basse, par le moyen de ressorts 172 logés entre  les plaques supérieure 161 et inférieure<B>162.</B>  En position basse, le sommet de la broche 169  dépasse légèrement la plaque supérieure 161.

    La base de chaque broche est chanfreinée en 173  de sorte que, par suite du mouvement vers la  droite du chariot à broches, qui reprend sa  position dans la dernière moitié d'un cycle,    comme expliqué plus loin, les broches en posi  tion basse sont ramenées à la position haute en  rencontrant une arête d'une plaque-came 174,  à mesure que le chariot à broches se déplace  vers sa position de retour, dans le sens de la       flèche.     



  Le chariot à broches est monté à coulisse  sur un arbre 188     (fig.    4, 10 et 11) afin de pouvoir  le déplacer perpendiculairement aux barres  d'arrêt 118, un galet<B>189</B>     (fig.    4 et 9), roulant sur  un chemin de came 190 fixé entre des plaques 30  et 31 de châssis, supporte l'extrémité avant  du chariot.  



  A la     fig:    2 sont représentées les extrémités  avant des barres d'arrêt 118 qui représente  les puissances de dix, 10  à 109, respectivement,  commençant par la droite et allant vers la gauche,  dans leur relation avec les rangées de broches  169 du chariot à, broches, après deux pas de  mouvement à partir de sa position de droite.  On voit que la première rangée de broches est  en alignement avec la barre d'arrêt 101 et que  la seconde rangée est en alignement avec la  barre d'arrêt 10 . Les rangées sont indiquées  par des     chiffres    arabes cerclés. Si aucun nombre  n'a été composé, c'est-à-dire le chariot à broches  étant en position normale, la première rangée  de broches est en ligne avec la flèche.  



  Un ressort 201     (fig.    10) tend à ramener  constamment le chariot à broches vers la  gauche (en     fig.    2), mais tout mouvement vers  la gauche est commandé par un mécanisme d'é  chappement comprenant des cliquets 202 et  203     (fig.    9) qui coopèrent avec le bord avant  entaillé de la plaque supérieure 161 du chariot  à broches. On voit mieux ces entailles à la     fig.    6.  



  Revenant à la     fig.    9, on voit que le cliquet  203 pivote en 204 sur un support 205,     fixé    à  la plaque latérale de gauche 30, et que le cliquet  202 pivote sur ce support en 206. Le cliquet 203  est muni d'un goujon 207. Entre le pivot 206 et  le goujon 207 se trouve un ressort 209 qui exerce  sur le cliquet 203 une traction tendant à le faire  tourner dans le sens     senestrorsum,    de telle sorte  que son bec pénètre dans l'entaille de la plaque  161 qui se trouve en alignement avec lui. L'extré  mité droite du bec vient en prise avec le côté  droit de l'entaille par suite de la traction du      ressort 201     (fig.    10).

   Le cliquet 202 est muni  d'un goujon 210 et un ressort 211 est tendu  entre ce goujon et le goujon 207, pour maintenir  le bec de l'extrémité droite du cliquet 202 en  contact avec la face supérieure de la dent qui  est immédiatement à droite de l'entaille dans  laquelle le cliquet 203 est engagé. Si le cliquet 203  tourne légèrement dans le sens     dextrorsum    à  partir de la position représentée, son bec échappe  de l'entaille dans laquelle il était engagé, et dans  l'entaille suivante va s'engager le bec du cliquet  202 qui dépasse très légèrement sur la droite  le bec du cliquet 203. Le mouvement du chariot  à broches qui en résulte est     suffisant    pour amener  les broches de la première rangée en alignement  avec la prochaine barre d'arrêt sur la gauche.

    Cet alignement n'est pas détruit si on laisse  le cliquet 203 revenir à la prochaine entaille,  ce qui repousse le cliquet 202 hors de l'entaille  parce que le bec du cliquet 202 dépasse seule  ment de très peu celui du     cliquet    203. Le cliquet  202 est repoussé hors de l'entaille par un doigt  212 du cliquet 203 qui vient en contact avec  un doigt 213 du cliquet 202. Chaque fois que le  cliquet 203 tourne dans le sens     dextrorsum,    le  chariot à broches avance d'un pas vers la gauche  sous l'action de son ressort 201.

   Chaque fois  que le cliquet 203 est mû dans le sens     dextrorsum     au-delà du point nécessaire pour faire avancer  le chariot à broches, son goujon 207 fermera  un micro-interrupteur 293     (fig.    3 et 9), norma  lement ouvert, pour déclencher un cycle de la  machine, comme il va être décrit. Pendant la  dernière moitié d'une opération, le chariot  à broches est ramené à sa position de repos par  des moyens de commande principale, comme  cela va être décrit.  



  D'après la     fig.    10, on voit qu'une équerre 225  est fixée sur la plaque latérale de gauche 30  et porte un axe 226 sur lequel est monté un  manchon 227 (voir     fig.    11) portant, fixé à son  extrémité supérieure, un levier 228 dans une  fente duquel circule un goujon 229 fixé au côté  gauche de la plaque supérieure 161 du chariot  à broches. Le manchon 227 porte,     fixé    à son  extrémité inférieure, un levier coudé 230 (voir  aussi     fig.    10) articulé en 236 à un crochet 231  qui se prolonge vers l'arrière. Ce crochet 231    présente à son extrémité     libre    une partie crochue  232, et porte à sa partie moyenne une proémi  nence 233 jouant le rôle de came.

   La machine  étant au repos après un cycle, les pièces se trou  vent telles que représentées aux     fig.    10 et 11.  A mesure que le chariot à broches se déplace  vers la gauche, le crochet 231 est tiré en avant.  La came 233, reposant sur un goujon 234, main  tient normalement la partie 232, l'empêchant de  venir en prise avec un goujon 235 d'une plaque  85, mais comme le crochet 231 est tiré en avant,  il est libre d'osciller légèrement dans le sens       senestrorsum    sur son pivot 236.

   Comme la pla  que 85 est tournée dans le sens     dextrorsum,    par  un arbre principal d'entraînement 70, pendant  la première moitié d'un cycle, le goujon 235  passe alors derrière la partie crochue 232 et, du  rant la seconde moitié du cycle, le crochet 231  est tiré en arrière, ramenant le chariot à broches  à sa position normale, vers la droite. Le crochet  231 se dégage du goujon 235 lorsque la came  233 vient en contact avec le goujon 234.  



  Selon la     fig.    11, une plaque latérale gauche  241 du bloc de clavier, décrit plus loin, présente  un axe 242 sur lequel pivote un levier de répé  tition 243 se prolongeant par un doigt 244  qui passe à travers une fente de la plaque supé  rieure 245 du bloc de clavier et par une fente  à travers le     coffre    de la machine (voir     fig.    1).  Ce levier se prolonge vers l'arrière par un bras  fourchu 246 et par une face inférieure à deux en  coches coopérant avec un goujon 247     fixé    à un  levier 248 monté à pivot sur la plaque 241. Le  goujon 247 est maintenu en contact avec le levier  243 par un ressort 249.

   Le bras fourchu 246  embrasse un goujon 250 disposé à l'extrémité  d'un levier coudé 251 pivotant sur un axe 252  se trouvant sur la plaque latérale gauche 30.  Ce levier 251 porte un goujon 253 placé de ma  nière à appuyer contre le champ inférieur du  crochet 231. Le goujon 253 n'intervient pas dans  l'accouplement du goujon 235 et du crochet 232  lorsque le crochet 231 est tiré vers l'avant, mais  si le levier de répétition 243 est mû dans le sens       dextrorsum,    c'est-à-dire vers sa position effective,  le goujon 253 est soulevé et entraîne le crochet  231 vers le haut, de telle sorte que le chariot  à broches ne soit pas renvoyé dans la dernière      moitié d'un cycle.

   Dans ces conditions, le chariot  à broches demeure en action dans le cycle suivant  pour répéter l'enregistrement qui y a été composé  sauf si cet enregistrement a été modifié par l'u  sage des touches de montant.  



  On voit en     fig.    4 que l'ensemble de clavier  comprend la plaque supérieure 245 déjà men  tionnée, la plaque de gauche 241, une plaque  latérale de droite (non représentée), et une  pièce transversale 255 assemblées en bloc ayant  forme de boîte, qui est supporté à sa partie  arrière par un axe 124 et à sa partie avant par  un axe 256 de la plaque latérale de gauche 241  et un goujon (non représenté) de la plaque  latérale de droite. A la face inférieure de la  plaque 245 du clavier est fixé un godet 258  en forme     d'U.     



  Les touches de montants 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7,  8, 9 et 0 ont leurs têtes disposées comme repré  senté à la     fig.    1, c'est-à-dire qu'elles font saillie  à travers un couvercle 259 de protection contre  la poussière. La partie supérieure de chacune  des tiges, sur lesquelles les touches sont     fixées,     passe à travers une fente de la plaque 245       (fig.    4 et 5). La partie moyenne de chaque tige  est recourbée de façon à passer au travers de  l'une d'une série de fentes alignées du godet 258,  ces fentes formant une rangée et constituant la  station de mise en place des broches, au-delà  de laquelle le chariot à broches est déplacé  rangée par rangée.

   Chaque tige de touche possède  aussi une partie disposée de manière à être  en contact avec une barre universelle 262 (voir  aussi     fig.    4, 6, 7, 8 et 9) commune à toutes les  touches. A la     fig.    6 toutes les têtes de touches  sont indiquées en pointillé et les     différentes     courbures et conformations des tiges de touches  sont représentées en trait plein et en coupe,       comme    on peut le voir dans la vue en plan.

    Par exemple, la touche   1   260 a une tige 261  dont la partie moyenne est disposée de manière  à passer d'abord à gauche, ensuite vers     l'arrière     de la machine, et     enfin    à droite où elle croise la  barre universelle 262, et finalement vers le bas,  formant une branche 263 (voir     fig.    7) qui porte,  monté à pivot, un cliquet de dérivation 264,  qui se trouve directement au-dessus de la  position   1   du poste de réglage du chariot    à broches. Chaque touche, à l'exception de celle  du   5   a, toujours prenant la touche   1    comme exemple, une tige de guidage 265  directement en-dessous de la touche, autour  de laquelle un ressort de rappel est enroulé,  qui guide la tige pour entrer dans une fente de  guidage pratiquée dans le godet 258.

   La touche    5   n'a besoin d'aucune tige de     guidage     séparée, car elle est placée directement     au-          dessus    de la position   5   du poste de réglage  du chariot à broches. Le cliquet de dérivation 264  de chaque touche se trouve sous le godet 258, et  chaque cliquet présente un épaulement de gau  che 266 (en se reportant à la touche   1   de  la     fig.    7 comme exemple) et un épaulement  de droite 267, ces deux épaulements, lorsqu'une  touche est dans la position haute, reposent contre  le fond du godet, empêchant ainsi le cliquet  de pivoter (voir     fig.    8).

   Quand une touche, la  touche   5   268 par exemple, est abaissée,  comme représenté à la     fig.    5, le bas 269 du  cliquet, se déplaçant vers le bas, est au point  mort et ne remonte pas avant de toucher et en  foncer la broche 270 qui est en face de lui.  Ses épaulements 271 et 272 cessent d'être en con  tact avec le fond du godet 258, de sorte que le  cliquet peut osciller dans le sens     dextrorsum     ou en sens inverse. Dans la mesure où le chariot  à broches, comme déjà décrit, se déplace vers  la gauche alors qu'une touche est abaissée pour  mettre la broche enfoncée en position active,  la série de broches suivante arrive en position  de mise en place des broches.

   Ce mouvement  n'est pas empêché par la touche enfoncée,  vu que son cliquet peut osciller dans le sens       dextrorsum.    Comme l'opération de machine  commence toujours par l'abaissement d'une  touche de montants, il est nécessaire que le  chariot à broches se mette en marche immé  diatement avant le commencement de l'opéra  tion et cette disposition avec cliquet oscillant  permet à la rangée suivante de broches non mises  en action d'entrer dans le poste de mise en place  sans obstacle. Comme la touche enfoncée est  relevée après que l'opération de la machine  commence, le cliquet est ramené à sa position  normale, puisque ses épaulements viennent  buter contre le fond du godet 258. Toutes les      tiges de touches sont munies d'un tel cliquet  oscillant, à l'exception de la touche   9  .

    Celle-ci ne fait que mettre en marche le chariot  à broches et n'a pas besoin de cliquet de mise  en place de broche. Le cliquet de toute touche  qui en est munie oscille dans l'autre sens,  c'est-à-dire dans le sens     senestrorsum,    si la  touche est maintenue enfoncée jusqu'à la fin  d'un cycle de la machine et est ensuite touchée  par une ou plusieurs broches en position haute  dans le chariot à broches retournant.  



  La barre universelle 262     (fig.    9) est supportée  par un bras avant 279 et un bras arrière 280       (fig.    4) montés sur une barre pivotante 281       (fig.    9) qui tourne dans les extrémités avant et  arrière du godet 258. Le bras 279 possède une  branche 282 dont l'extrémité inférieure appuie  sur le goujon 207. Dès qu'une quelconque des  touches de montants est abaissée, le cliquet 203  tourne, ce qui met en marche le chariot à broches,  ainsi que cela a été décrit.  



  La mise en action d'un solénoïde 60     (fig.    3)  provoque un cycle opératoire de la machine.  Ce solénoïde est représenté schématiquement  à la     fig.    9, dans un circuit comprenant une borne  électrique 291, un interrupteur principal 292  (qui peut être placé à n'importe quel endroit  convenable et accessible du coffre de la machine,  comme représenté à la     fig.    1), un     micro-interrup-          teur    293 normalement ouvert, un     micro-inter-          rupteur    295 normalement fermé (voir aussi       fig.    3) et, enfin une borne d'alimentation 294.

    Si l'interrupteur principal 292 et l'interrupteur  293 commandé par des touches de montants  sont fermés, le solénoïde 60 est mis en action  et la machine fonctionne. Comme représenté  à la     fig.    4, l'interrupteur 293 est monté sur un  peigne 140. L'interrupteur 295     (fig.    3) est monté  sur un élément supporté par le châssis, avec  son armature 296 normalement poussée à l'inté  rieur par un levier 52, de     sorte    que l'interrupteur  est fermé. Dès que la machine est mise en marche  et que le levier 52 pivote dans le sens     senestror-          sum    l'interrupteur 295 s'ouvre interrompant  ainsi le circuit du solénoïde, de façon que la  machine se réarme à la fin d'un cycle.

   Si, pen  dant le mouvement de retour du levier 52,  alors que l'interrupteur 295 se ferme, l'interrup-         teur    293.demeure fermé par suite d'un abaisse  ment prolongé d'une touche de montant, la  machine est à nouveau déclenchée. Cela revient  à dire que tant qu'une touche est maintenue  abaissée à sa position de déclenchement, la  machine continue son opération cyclique. Si  le levier de répétition est à sa position de  répétition, les données posées dans le chariot  à broches sont enregistrées à nouveau. Si le  levier de répétition est à sa position inactive,  le second cycle et les cycles suivants se font à  vide. Si l'on désire faire marcher la machine  par une barre motrice d'addition 102, l'inter  rupteur 292 peut être ouvert.

   Il y a     lieu    de  noter, en se reportant à la     fig.    9, que le cliquet 203  peut être déplacé jusqu'à la position de mise en  marche du chariot à broches, avant que le goujon  207 entre en contact avec l'interrupteur 293 et  agisse sur lui. Il y a lieu de noter également  qu'un ressort supplémentaire 297 est monté sur  l'interrupteur 293, pour avertir l'opérateur que  le point de fermeture de l'interrupteur par la  touche a été atteint, de sorte que, si la machine  ne doit pas être actionnée par ladite touche,  ce point ne soit pas dépassé. Même l'interrup  teur principal 292 étant fermé, le montant  complet peut être posé sur le clavier et la  machine mise en marche par la barre motrice 102.

    Dans le cas de la soustraction, une touche 92  est toujours employée pour déclencher un cycle  de la machine.  



  Une touche de correction 300     (fig.    1 et 4)  présente une tige 301 qui se prolonge par  une partie recourbée et évidée 302 (voir aussi       fig.    6) montée sur des goujons de coulisse 303  et 304. La touche 300 est normalement main  tenue     élastiquement    dans une position extrême  gauche par un ressort 305 tendu entre le goujon  303 et une oreille 306 dépendant de la partie  recourbée 302. Une autre oreille 307, se pro  longeant vers le bas à partir de la partie recour  bée 302, est en alignement avec une face 308 de la  plaque supérieure 161 du chariot à broches.

   A  la suite du mouvement de la touche de correc  tion 300 vers la droite, le chariot à broches,  où qu'il se trouve, est ramené à sa position de  départ, rappelant toutes les broches qui auraient  pu avoir été actionnées. Après avoir relâché la      touche de correction, un nouveau nombre  peut être composé sur le chariot à broches.  <I>Fonctionnement de la machine.</I>  



  L'opérateur doit d'abord décider s'il veut  faire marcher la machine en addition, sous le  contrôle des touches de montants, ou non.  Dans la négative, l'interrupteur 292     (fig.    1) est  poussé à sa position d'arrêt. Les montants  sont alors composés avec les touches à la  manière habituelle et l'opération de la machine  est déclenchée par la barre motrice d'addition  102, si l'entrée est destinée à être une addition,  ou par la touche de soustraction 92 si l'entrée  est destinée à être une soustraction.

   Si un  montant composé doit être enregistré à plusieurs  reprises, le levier de répétition 243 est mis à sa  position de répétition avant qu'une opération  de la machine soit commencée, et ensuite on ac  tionne la barre motrice d'addition ou la touche  de soustraction le nombre de fois désiré, ou on  la maintient enfoncée pendant que la machine  tourne de façon continue le nombre de tours  désiré.  



  Si l'opération de la machine en addition  doit être déclenchée, soit par les touches de  montants, soit par la barre motrice d'addition,  l'interrupteur principal 292 de solénoïde est  poussé sur sa position de marche. Le nombre  à enregistrer est alors composé sur les touches,  une à une, en commençant par le chiffre le  plus élevé, comme il est d'usage avec les machines  à additionner à clavier réduit. L'opérateur  doit veiller à n'appuyer sur aucune touche  autre que la dernière touche de chiffre à em  ployer jusqu'au point où l'interrupteur de  solénoïde 293 est fermé.

   Quand la dernière  touche est enfoncée, il faut l'enfoncer à fond,  ce qui déclenche un cycle de la machine dans  lequel le montant composé est enregistré     addi-          tivement.    Si ce montant doit être enregistré       soustractivement,    la touche de soustraction  92 est utilisée pour déclencher l'opération.  Les opérations répétées sont obtenues par  action sur le levier de répétition 243 qui est  poussé à sa position effective avant le commen  cement d'un cycle de la machine. En mainte  nant enfoncée une touche de montant, on    provoque la marche répétée du cycle, tout  comme en maintenant abaissée la barre motrice  d'addition 102, ou la touche de soustraction 92.

Claims (1)

  1. REVENDICATION: Machine à calculer à clavier réduit, com prenant un mécanisme de déclenchement, un chariot mobile à broches permettant de fixer la position de barres d'arrêt, ce chariot étant à déplacement pas à pas, et des touches de montant ayant un premier stade d'enfoncement pour actionner des broches correspondantes, ainsi qu'un deuxième stade d'enfoncement pour actionner en outre le mécanisme de déclen chement, caractérisée par un mécanisme d'avan cement pas à pas (202 et 203) qui communique un déplacement complet au chariot à broches (161 à 167) par l'enfoncement d'une touche quelconque, et par un organe intermédiaire pivotant (264) porté par chaque tige de touche pour amener les broches (169) à des positions données, organe (264)
    permettant le mouvement libre du chariot à broches de la rangée décimale immédiatement inférieure à la position voulue, au fur et à mesure que le chariot (161 à<B>167)</B> avance, même lorsque la touche de montant enfoncée est maintenue dans le deuxième stade d'enfoncement. <B>SOUS-REVENDICATIONS:</B> 1.
    Machine selon la revendication, caracté risée en ce que le chariot à broches (161 à 167) est livré à l'action d'un ressort (201) pour un mouvement pas à pas au moyen d'une plaque entaillée (161) avec laquelle coopère une paire de cliquets (202, 203) disposés, respectivement, au-dessus et au-dessous de la plaque (16l), le bec du cliquet inférieur (203) étant normalement en prise avec une des entailles et placé légère ment à gauche du bec du cliquet supérieur (202), lequel est normalement hors de prise d'avec la plaque entaillée (161). 2.
    Machine selon la revendication et la sous-revendication 1, caractérisée en ce que la tige de chaque touche comprend un prolon gement latéral (26l), normalement en contact avec une barre (262) d'un organe pivotant (279) dont une branche inférieure (282) coopère avec un goujon (207) porté par le cliquet infé rieur (203), de façon telle que lorsqu'une touche est enfoncée à son premier stade, le bec du cliquet inférieur (203) se dégage de la plaque (161) et que le bec du cliquet supérieur (202) vienne en prise avec l'entaille suivante pour permettre au chariot à broches (16l à 167) d'avancer d'un pas. 3.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 1 et 2, caractérisée en ce que le goujon (207) du cliquet inférieur (203) coopère avec un interrupteur (293) normale ment ouvert, de façon telle que lorsqu'une touche est enfoncée à son deuxième stade d'enfoncement, le goujon (207) ferme l'interrup teur et déclenche un cycle opératoire. 4. Machine selon la revendication, caracté risée en ce que l'organe intermédiaire est cons titué par un cliquet (264), chacun des cliquets étant muni d'une paire d'épaulements (266, 267) aménagés pour buter contre la face inférieure (258) du clavier lorsque les touches ne sont pas enfoncées. 5.
    Machine selon la revendication et la sous-revendication 4, caractérisée en ce que l'ex trémité inférieure de chaque cliquet (264) est placée, par le déplacement du chariot à broches (161 à 167), au-dessus d'une broche (l69), et qu'il est aménagé de façon qu'à l'enfonce ment de la touche correspondante, ce cliquet (264) appuie sur la broche (169) qui est alignée avec lui et qui est maintenue en position enfoncée par l'action d'un ressort (172). 6.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 4 et 5, caractérisée en ce que les épaulements (266, 267) du cliquet (264) se dégagent, lorsque la broche (169) est enfoncée, de la face inférieure (258) du clavier, de façon que par la continuation du mouvement du chariot (161 à l67), une broche (169) non-enfoncée dans la rangée suivant celle qui contient une bro che enfoncée, fasse pivoter le cliquet (264) et amène la broche à la position indexée. 7.
    Machine selon la revendication et com prenant un arbre principal d'entraînement, caractérisée par un mécanisme de rappel positif (228) normalement inactif, pour le chariot à broches (l61 à 167), et par un organe de cou plage (231) rendu actif par le mouvement pas à pas du chariot pour coupler le mécanisme de rappel (228) à l'arbre principal d'entraînement (70) et produire ainsi son actionnement. 8.
    Machine selon la revendication et la sous- revendication 7, caractérisée en ce que le mécanisme de rappel est constitué par un bras (228) relié d'une part au chariot à broches (161 à<B>167)</B> et d'autre part à un biellage qui com prend une glissière à crochet (231) normalement inactive, mais qui est déplacée par le mouve ment pas à pas du chariot à broches sur le trajet d'un organe à va-et-vient (85) actionné par l'arbre principal d'entraînement (70) et produisant ainsi le retour du chariot à fa position de repos. 9.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 7 et 8, comprenant un levier de répétition et caractérisée par un bras (251) couplé à ce levier de répétition (244), le bras comprenant un goujon (253) placé nor malement au-dessous de la glissière à crochet (231), la disposition étant telle que lorsque ce levier (244) est amené en position de répétition, la glissière (231) est maintenue en position inactive, débrayant ainsi le bras (228) du chariot à broches (161 à 167).
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