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BE427019A - - Google Patents

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BE427019A
BE427019A BE427019DA BE427019A BE 427019 A BE427019 A BE 427019A BE 427019D A BE427019D A BE 427019DA BE 427019 A BE427019 A BE 427019A
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BE
Belgium
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frame
comb
retraction
chain
foot
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Publication of BE427019A publication Critical patent/BE427019A/fr

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    • DTEXTILES; PAPER
    • D03WEAVING
    • D03DWOVEN FABRICS; METHODS OF WEAVING; LOOMS
    • D03D29/00Hand looms

Landscapes

  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Textile Engineering (AREA)
  • Looms (AREA)
  • Auxiliary Weaving Apparatuses, Weavers' Tools, And Shuttles (AREA)

Description


   <Desc/Clms Page number 1> 
 



  Perfectionnements aux petits métiers à tisser portatifs. 



  Cette invention a pour objet des perfectionnements apportés aux petits métiers à tisser   portatif s,en   vue de faciliter le montage et   Inexécution   des travaux susceptibles d'être   effec-   tués avec ce genre de métier. 



  Le but de cette invention est de réaliser une disposition de peigne et de lisses présentant l'avantage de simplifier le rentrage des fils de chaine. C'est ainsi que le peigne sera très rigide et articulé tout en pouvant se retirer rapidement de sa position de travail pour être placé horizontalement sur le bâti et que les lisses seront aménagées en deux groupes pour être enfilées sur des tringles fixées provisoirement sur le bâti afin de les amener successivement pour leur ordre de travail devant les intervalles existant entre les dents du   poigne,pour   le rentrage rapide des fils de chaîne,chacun des deux groupes de lisses étant repris par une autre tringle rem- plaçant la première pour les rendre solidaires du mouvement de lève et baisse utile pour former la foule. 



   , Ce but est entièrement atteint par le dispositif qu'on va décrire qui comprend: 

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 1 - Un peigne métallique à armatures en bois,l'armature supérieure démontable pour le rentrage.L'armature inférieure est formée de deux parties longitudinales et l'une de ces parties est pourvue de rainures ou traits de scie dont l'écartement répond au pas qu'on veut former. 



  Ces rainures- servent à loger des lamelles métalliques de longueur appropriées qui seront maintenues à demeure et recouvertes par la seconde partie rendue solidaire de la première par'collage ou d'autre   façon.Ce   peigne est monté sur deux bras latéraux,coudés dans le bas pour   pivbter   dans des alésages pratiqués dans les pieds du bâti,et filetés dans le haut pour recevoir des éorous de serrage fixant l'armature -supérieure ou cape. 



  2 - Une combinaison de lisses, chacune d'elles formée d'une lame métallique pliée en U dont les deux faoes latérales sont percées de deux lumières superposées et de section correspon-   danted   à celle d'une tringle également métallique sur laquelle elles doivent s'enfiler. 



  Ces deux lumières sont destinées,celle du bas,à maintenir toutes les lisses utiles en position verticale sur une tringle retenue en place sur la partie horizontale du bâti, dans des rainures,pour opérer le rentrage,celle du haut,servant à les reprendre sur une autre tringle,une fois le rentrage terminé, pour les placer,après avoir enlevé la première tringle,dans les encoches de supports dépendant d'un levier articulé ouvrant alternativement la foule pour le passage de la duite. 



  Les figures 1 à 7,jointes à la présente description se rapportent à l'ensemble des perfectionnements faisant l'objet de l'invention. 



  La figure 1 représente une vue en élévation du métier montrant la disposition du peigne articulé sur le bâti,et l'aménagement des deux groupes de lisses,en position d'attente pour le rentrage et en position de travail pour le changement de pas. 



  La figure 2 est une vue en plan montrant le peigne couché sur 

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 le bâti,l'armature supérieure enlevée pour abaisser simultanément les fila de ohaine entre ses dents et dans les deux groupes de lisses   coulissant   sur les tringles les fixant à cet effet sur le bâti. 



  La figure 3 est une vue en élévation et profil en coupe   partielle,montrant   l'assemblage des dents,le montage des bras d'articulation et la liaison de l'armature supérieure amovible. 



  Les figures 4 à 7,se rapportent à une variante du dispositif des figures 1 et 2 en vue de rendre le oadre ou bâti du métier extensible et disposé pour pouvoir tourner sur un pied,pour son garnissage et rentrage en fils de   chaîne.en   lui imprimant un mouvement continu de rotation. 



  La figure 4 montre une vue en élévation du pied disposé pour le mouvement tournant du cadre. 



  La figure 5 est une vue du pied déployé pour amener le cadre en position horizontale de travail. 



  La figure 6 montre le mode d'assemblage des   traveBses   avec le cadre pour la fixation de ce dernier en position de tourillonnement et en position stable horizontale obtenue par l'ouverture des croisillons de droite et de gauche constituant le pied tel qu'il est compris pour répondre à cet usage. 



  La figure 7 montre l'assemblage des tringles porte-lisses avec les crochets articulés aux extrémités des bras latéraux et médian de l'arbre oscillant de lève et baisse des deux groupes de lisses ainsi que la façon de les retenir en place par simple verrouillage de ces crochets. 



  En s'en référant à ces dessins on voit que le peigne est formé de deux armatures longitudinales en bois A et B . 



  L'armature inférieure B comprend deux éléments juxtaposés b et ±',dont l'un reçoit des rainures ou traits de soie verticaux c dont l'écartement correspond au pas du peigne,ainsi qu'une rainure longitudinale   ce.Ces   rainures servent à introduire des lamelles métalliques telles que C terminées par un crochet ou   repli e   entrant dans la rainure   .2'afin   d'empêcher 

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 ces lamelles de sortir de leur logement lorsque b sera reoouvert par b' et que ces deux parties seront solidarisées par collage ou autrement. 



  L'armature A présente une rainure longitudinale a servant à emprisonner les extrémités libres des lamelles C ou dents du peigne.Deux bras D servant à articuler ce peigne sur le bâti du métier,sont coudés à cet effet en d et filetés dans le haut pour pouvoir retenir en place l'armature mobile A à l'aide d'   écrous 15   moletés, Ainsi constitué ce peigne est très rigide,ses dents conservent toujours un écartement fixe même quand l'armature supérieure est enlevée et de plus,il présente cet avantage d'être non seulement articulé pour un meilleur   fonctionnement,à   l'instar d'une Véritable échasse.mais encore de pouvoir se déplacer aisément pour se placer en bonne position sur le bâti lors du rentrage des fils de chaîne. 



  Les lisses H utilisées avec ce peigne sont formées par des lames métalliques pliées en forme d'U et chacune de leurs branche est pourvue de deux lumières ou mortaises h et h' superposées dont la section correspond à   celle   de tiges en métal   I.Les   lumières du bas servent à l'enfilage de ces lisses spéciales dur la tige 1 afin qu'elles puissent être maintenues en position verticale sur le bâti en introduisant les extrémités   de !   dans des rainures pratiquées sur   le'dessus   du bâti. 



  Les lumières supérieures h servent à passer une autre tringle semblable à la première,quand le rentrage des fils de chaîne a été   effectué,pour   les   placer,après   avoir retiré la tringle du bas,dans des pièces articulées sur des bras de levier J montés   à   droite et à gauche d'un axe L pouvant osciller dans des encoches de   supports 14   dépendant du bâti horizontal! , à l'aide d'un levier central 0. 



  Opération du rentrage des fils de chaîne.- La disposition des lisses et du peigne permet de rentrer les fils de chaîne enroulés sur une ensouple ou sur bobines,par abaissement de ceux-ci 

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 légèrement tendus pour les faire entrer simultanément dans les lisses voulues et dans les intervalles correspondant des dents du peigne. 



  Pour cela le peigne est enlevé de sa position de travail soit de tourillonnement en d sur les pieds P,l'armature supérieure A retirée en dévissant les   écrous   pour coucher ce peigne en   1   alors que tourillonnant en d'i est maintenu en place conve nable au dessus du rouleau enrouleur Q du   tissu.Cette   première opération terminée on enfile un nombre de lisses H correspondant à la moitié des fils à rentrer sur une   tige!   entrant dans les lumières   h'que   l'on place dans les rainures de ! en H1, puis l'autre moitié enfilée dans les mêmes conditions et placée en H2. 



  Pour rentrer les fils de chaîne enroulés sur l'ensouple R , il suffit de prendre le fil 1 du rouleau R, d'amener la première lisse du groupe Hl devant le premier intervalle du peigne pour descendre ce fil dans la lisse et dans l'intervalle du peigne et l'attacher ensuite sur le rouleau   Q.   On opére de la même façon pour le fil 2 en prenant la première lisse du groupe H2 et le second intervalle du peigne et ainsi de suite pour tous les fils à rentrer (voir   fig.2,fils   1,2,3,4,5,6,...) Pour pouvoir commencer à tisser,il ne restera plus qu'à faire prendre aux deux groupes de lisses Hl et H2 leur position de travail.

   A cet effet on enfilera les lisses par les lumières supérieures sur tige I semblable à celles sur lesquelles elles reposent et qu'on   retire/après,afin   que les fils tombent dans le fond des   lisses,11   soit facile de les suspendre en   bonne position sur les bras J de l'arbre L o   Le peigne sera alors muni de son armature A maintenue sur son bras D par les vis et celui-ci remis en position de travail en introduisant les extrémités coudées d dans les alésages des pieds P. 



  On se rend parfaitement compte que ce métier ainsi équipé, l'introduction de la trame dans la foule ou pas   s'effeotura   

 <Desc/Clms Page number 6> 

 en aotionnant le levier 0 d'avant en arrière et d'arrière en avant pour faire lever alternativement les fila de chaîne com- me il convient. 



  Une variante de ce dispositif pourrait se présenter comme indiqué ci-dessous pour permettre l'enroulement continu de la chaine sur le cadre ou bâti et rentrer en même temps les lis- ses et le peigne en imprimant un mouvement de rotation au cadre.De plus, disposer les lisses dans de meilleures   aondi-   tions pour leur faire prendre,plus rapidement et plus aisément leur position de travail. 



  On voit que cette variante fig. 4 et 5,ne comporte plue d'en- souple ni de rouleau enrouleur.Le cadre est rendu extensible et toujours rigide quelle que soit sa longueur,les éléments N et N' munis l'un d'une rainure n et l'autre d'un ergot r avec déplacement d'entretoise intermédiaire.Des entretoises d'extrémités R et 3 remplacent l'ensouple et le rouleau enrou- leur de la fig.1, en S l'entretoise intermédiaire. 



  L'enroulement de la chaîne se fait sur les entretoises R et le cadre portant toujours des supports M et pieds droits P. 



  Pour rendre cet ensemble mobile et pouvoir le faire tourner vertivalement,on dispose une traverse !,s'assujettissant sous les éléments N et N', de droite et de gauche,à l'aide de chapes U solidaires de vis à éorou u à oreilles.La traverse T munie de tourillons ou pivots d'extrémités t avec éorou à oreilles de retenue,est montée sur une des branoles X d'un pied   consti-   tué par cette branche X et une autre branche   !, toutes   deux articulées sur une semelle z, la seconde branche Y reliée à la première X à l'aide d'un boulon v. 



  Garnissage du cadre en fils de chaîne et rentrage de ceux-ci dans   les lisses   et le   peigne par   rotation du cadre. 



  On commence d'abord par enfiler sur une tringle 1 des lisses H en nombre voulu pour constituer le premier groupe de lisses H1, par leur lumière du bas h'. On introduit alors cette tringle I dans les lumières ou mortaises pratiquées en Il sur les sup- porta latéraux !!,entre   oeux-oi   en passant un bout dans l'une 

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 rentrer devant constituer la nappe ou ohaine à travailler, nouant l'extrémité de la dernière spire en Q. 



  Il reste maintenant à placer le cadre garni de sa chaîne, lisses et peigne   rentrés,en   position de travail,ce que l'on obtient en réglant d'abord la traverse T après avoir desserré les   éaroua v   de fixation en position initiale(voir fig.5). 



  Puis fixant ensuite une seconde traverse T' avec chape   ,±'et   éorou de serrage u', en bonne place sur le cadre et dans les mêmes conditions que pour T, amener la   branche X     en 'l'et   la solidariser à l'aide de la tige filetée et éorou t',entrant dans son encoche. 



  Tous les écrous des boulons d'articulation et d'arrêt des deux croisillons de droite et de gauche étant serrés,le cadre se trouve parfaitement stable et en position horizontale de travail. 



  On fera remarquer que des encoches à coupes obliques x   et 1-   pratiquées sur les semelles z, arrêtent X et ! à leur inclinaison convenable X' et Y', deux traverses W maintiennent l'écartement des semelles Z. 



  Pour pouvoir commencer le tissage,on remet en place   l'arbre L   portant les bras de suspension des deux groupes de lisses (voir fig.5 et 7) en posant ses extrémités dans les encoches   de M   et en serrant légèrement les   éorous s   pour une certaine friction. 



  On amène les guides avant de   l'axe   de telle façon que ses lumières f,f', correspondent avec les mortaises I'l des supports M et prenant une tringle !,semblable à celle supportant les lisses des groupes H1 ou   H2,on   la passe en   1*1$puis   soulevant le curseur k de F pour laisser le passage libre,on pousse cette tringle à travers toutes les ouvertures h des lisses,compris celle f' du bras médian F', jusqu'à la rencontre du curseur opposé de l'autre guide extrême F. 



  A ce moment le curseur ou premier guide s'abaisse automatiquement,n'étant plus soutenu par la tringle qui se trouve de ce fait verrouillée. 

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 des mortaises Il du support de droite ou de gauche,pour rentrer ensuite l'autre bout dans la mortaise correspondante. 



  On opére de même pour l'autre tringle devant former le second le groupe H2 pour/placer en 12 et on introduit dans   l'un*   des des supports   M,une   goupille   ±,dans   des trous pratiqués à cet usage pour fixer les tringles en place pendant le garnissage du métier. 



  Le peigne primitivement articulé en d sur les pieds droite P est retiré de cette position et son armature supérieure A enlevée,ce dernier est couché en d'l,ses dents libres reposant sur Q, alors qu'un   croohet g   le retient. 



  L'arbre longitudinal L,portant les bras de suspension des lisses est retiré des encoches de M en desserrant les éorous s de friction. 



  Enfin pour que le cadre soit prêt à procéder à son garnissage et rentrage en fils de   chaîne,il   faut chercher sa position approximative d'équilibre sur son pied. 



  Pour cela,faire glisser le cadre,en avant ou en arrière,sur la traverse   T,les   chapes U dégagées en desserrant les écrous, et une fois l'équilibre   obtenu.fixer   solidement les chapes en serrant les écrous u, ce qui permet d'imprimer un mouvement de rotation continu du   cadre,tel   qu'il est équipé,sur les pivots t de traverse. 



  Ceci réalisé on   améne   le cadre horizontalement et la chaîne provenant d'une bobine ou pelotte quelconque,est nouée autour de R,On fait tourner le cadre dans le sens des   flèohes(voir   fig.4) afin d'enrouler d'une façon continue le fil de chaîne G   sur !   et Q, en procédant en même temps au rentrage à chaque tour effectué, c'est-à-dire, en introduisant ce fil dans la première lisse du groupe Hl et dans le premier intervalle du peigne,puis relevant le cadre our le faire tourner suivant la flèche de droite,

  lui faire contourner l'entretoise Q afin de passer sous R et continuer se mouvement de rotation pour l'in- troduire dans la première lisse du groupe H2 et dans le second   tervalle   du peigne et ainsi de suite pour tous les fila à 

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 On retire la tringle inférieure en   2l   et on   opére   pour le groupe de lisses arrière H2 encore en position de rentrage comme on vient de le faire pour le groupe avant H1. 



  Le peigne est   reaouvert   de sa cape A et remis ensuite en position de travail,soit articulé en d   sur P   et comme les deux groupes de   lisses!!!   et H2 ont été mis parfaitement en   place,l'action   du levier 0 ,permet de faire lever et baisser les fils de ohaine pour ouvrir alternativement la foule et passer la duite sans difficulté dans chaque pas formé.

Claims (1)

  1. -RESUME..
    L'invention peut se résumer oomme suit! 1 0 Perfectionnement% aux petits métiers à tisser portatifs en vue de faciliter le rentrage des fils de chaîne,caractérisé en ce que: a/le peigne forme un .ensemble très rigide et oapable d'être articulé sur les pieds droits du bâti,comme une éohasse,son armature supérieure ou cape démontable pour le rentrage des fila de chaîne par abaissement de ceux-ci,légèrement tendus à la main, dans les intervalles de ses dents,ce peigne alors couché sur le bâti.
    b/ les lisses constituées par des lames métalliques repliées en forme d'U dont les deux branches verticales sont pourvues de deux lumières superposées répondant au passage de tringles utilisées pour les enfiler.La lumière inférieure pour les maintenir en position verticale et en deux groupes,sur le bâti, afin de les amener alternativement devant les intervalles ouverts du peigne pour descendre simultanément les fila de chaine dans ces lisses,et dans le peigne,et en ordre de rentrage.
    La lumière supérieure pour la reprise de ces deux groupes de lisses par des tringles semblables aux premières,lesquelles sont ensuite enlevées afin que par des nouvelles tringles,on puisse placer les lisses sur les pièces artioulées dépendant des leviers oscillants aveo leur axe,pour opérer alternativement le changement du pas ou foule et passer la duite dans chaque pas formé. <Desc/Clms Page number 10>
    2 - Agencement du cadre porte chaîne pour le rendre capable de réaliser l'enroulement continu de la ohaine en effectuant simultanément le rentrage des lisses et du peigne en lui imprimant un mouvement de rotation sur un pied.Ce pied oomposé d'éléments amovibles permettant une fois les trois opérations de garnissage,rentrage des lissée et du peigne terminées,d'amener le oadre en position horizontale de travail.Ce cadre primitivement monté sur traverses pourvues de chapes assurant la possibilité de reoheroher sa position d'équilibre pour sa rotation et ensuite de le solidariser avec cette traverse dont les extrémités portent des pivots tourillonnant sur le pied-support.
    Une seconde traverse reliée au oadre,en bonne place, destinée à compléter l'assise utile pour déterminer la position horizontale stable de travail sur'le pied déployé à cet effet.
    3 - Utilisation de mortaises pratiquées dans les supports de l'arbre porte-lisses pour donner aux deux groupes de lisses en position de rentrage,oet important avantage de pouvoir être enfilées,d'un seul coup,très rapidement,une fois le rentrage terminé,sur la tringle devant les reprendre pour les porter et les maintenir en position de travail,sur les pièces articulées à lumières correspondantes sur les bras de l'arbre oscillant porte-lisses*
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