Books by Adrian Zimmermann
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Pourquoi trois jeunes horlogers sont-ils morts le 14 novembre 1918 à Granges ? Ils ont été abattu... more Pourquoi trois jeunes horlogers sont-ils morts le 14 novembre 1918 à Granges ? Ils ont été abattus par des balles de l’armée suisse, alors qu’ils participaient à la Grève générale, comme 250 000 autres travailleurs. Évènement majeur de l’histoire sociale et économique suisse au xxe siècle, la Grève générale fait l’objet d’une synthèse nouvelle et audacieuse.
Quelles ont été les raisons et les particularités de la Grève générale de 1918, notamment en Suisse romande ? Quels ont été ses effets à court et à long terme ? N’a-t-elle pas façonné le programme de la gauche politique et syndicale tout au long du xxe siècle ? Telles sont les questions auxquelles tentent de répondre les auteurs de cet ouvrage, lesquels replacent cette expérience ouvrière et syndicale unique dans une perspective de long terme.
Malgré la « paix du travail » mise en place dès 1937 dans les conventions collectives de travail de l’horlogerie et des machines, on a assisté, lors de la crise du milieu des années septante et au début du xxıe siècle, à une recrudescence des grèves en Suisse. Alors que la grève était à l’origine utilisée surtout en Europe et en Amérique du Nord, elle est devenue une arme planétaire, comme en témoignent les grèves générales qui ont eu lieu au Brésil ou en Inde, sans parler de la vague de grèves qui se développe actuellement en Chine.
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Papers by Adrian Zimmermann
Manchester University Press eBooks, May 26, 2017
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Les Pays-Bas et la Suisse sont souvent décrits comme ayant des relations entre travail et capital... more Les Pays-Bas et la Suisse sont souvent décrits comme ayant des relations entre travail et capital similaires, marquées par des négociations et le compromis. La conviction est courante dans les deux pays qu'il y a une tendance constante au consensus et au compromis dans l'histoire nationale. Cette thèse livre une comparaison historique du développement des relations de classe dans la 1ers moitié du 20eme siècle. Une attention particulière est donnée aux confrontations sévères et partiellement violentes entre les classes qui ont eu lieu pendant et juste après la Première Guerre Mondiale. Dans la crise des années trente, les deux pays ont longtemps maintenu l'attachement à une politique de déflation, ce qui a mené à une nouvelle accentuation des tensions sociales. Dans ce contexte, loin d'être prêts à faire des concessions au mouvement ouvrier, d'importantes composantes du patronat néerlandais et suisse sympathisaient avec un corporatisme autoritaire comme il était ...
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Uploads
Books by Adrian Zimmermann
Quelles ont été les raisons et les particularités de la Grève générale de 1918, notamment en Suisse romande ? Quels ont été ses effets à court et à long terme ? N’a-t-elle pas façonné le programme de la gauche politique et syndicale tout au long du xxe siècle ? Telles sont les questions auxquelles tentent de répondre les auteurs de cet ouvrage, lesquels replacent cette expérience ouvrière et syndicale unique dans une perspective de long terme.
Malgré la « paix du travail » mise en place dès 1937 dans les conventions collectives de travail de l’horlogerie et des machines, on a assisté, lors de la crise du milieu des années septante et au début du xxıe siècle, à une recrudescence des grèves en Suisse. Alors que la grève était à l’origine utilisée surtout en Europe et en Amérique du Nord, elle est devenue une arme planétaire, comme en témoignent les grèves générales qui ont eu lieu au Brésil ou en Inde, sans parler de la vague de grèves qui se développe actuellement en Chine.
Papers by Adrian Zimmermann
Quelles ont été les raisons et les particularités de la Grève générale de 1918, notamment en Suisse romande ? Quels ont été ses effets à court et à long terme ? N’a-t-elle pas façonné le programme de la gauche politique et syndicale tout au long du xxe siècle ? Telles sont les questions auxquelles tentent de répondre les auteurs de cet ouvrage, lesquels replacent cette expérience ouvrière et syndicale unique dans une perspective de long terme.
Malgré la « paix du travail » mise en place dès 1937 dans les conventions collectives de travail de l’horlogerie et des machines, on a assisté, lors de la crise du milieu des années septante et au début du xxıe siècle, à une recrudescence des grèves en Suisse. Alors que la grève était à l’origine utilisée surtout en Europe et en Amérique du Nord, elle est devenue une arme planétaire, comme en témoignent les grèves générales qui ont eu lieu au Brésil ou en Inde, sans parler de la vague de grèves qui se développe actuellement en Chine.
Based on up to now rarely used sources from the international organizations of the labour movement, mainly the International Trade Secretariats (ITS), the International Federation of Trade Unions (IFTU) and the Labour and Socialist International (LSI), this paper reconsiders the (in-) activity of the international labour movement during the two world wars.
Die Beziehungen zwischen Arbeit und Kapital in Niederlande und die Schweiz werden oft als ähnlich und stark von Verhandlungen und von Kompromissen geprägt beschrieben. In beiden Ländern ist die Auffassung weitverbreitet, dass es in der nationalen Geschichte eine konstante Tendenz zum Konsens und zum Kompromiss gebe. Diese Dissertation bietet einen historischen Vergleich der Entwicklung der Klassenbeziehungen in der ersten Hälfte des 20. Jahrhunderts. Thematisiert werden insbesondere die ernsthaften und teilweise gewalttätigen Zusammenstösse zwischen den Klassen, die sich während und unmittelbar nach dem Ersten Weltkrieg ereigneten. In der Krise der Dreissigerjahre hielten beide Staaten lange an der Deflationspolitik fest, was erneut zu einer Verschärfung der sozialen Spannungen führte. Vor diesem Hintergrund lehnten weite Teile der schweizerischen und niederländischen Grossunternehmer Konzessionen gegenüber der Arbeiterbewegung ab. Vielmehr sympathisierten sie mit einem autoritären Korporatismus, wie er von den faschistischen Bewegungen und Regimes vertreten wurde. Allianzen zwischen der sozialistischen Arbeiterbewegung und Teilen der Mittelschichten gelang es zwar, diese autoritären Tendenzen aufzuhalten, nicht aber ihre eigenen Alternativkonzepte durchzusetzen. Erst nach der Schwächung der radikalen Rechten in der Zeit zwischen der zweiten Hälfte der 1930er Jahre und der unmittelbaren Nachkriegszeit nach dem Zweiten Weltkrieg fand sich eine Grundlage für einen stabilen Klassenkompromiss. Generell ermöglicht es der vergleichende Ansatz der Dissertation, die nationale Geschichte in ihrem europäischen und globalen Kontext zu sehen und so eine Sicht auf die Geschichte eines einzelnen Landes als ,,Sonderfall" zu überwinden