Queyrières
Queyrières | |||||
Panorama général | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Haute-Loire | ||||
Arrondissement | Le Puy-en-Velay | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Mézenc-Loire-Meygal | ||||
Maire Mandat |
Jean-Pierre Sabatier 2020-2026 |
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Code postal | 43260 | ||||
Code commune | 43158 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
354 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 25 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 04′ 23″ nord, 4° 05′ 56″ est | ||||
Altitude | Min. 949 m Max. 1 436 m |
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Superficie | 13,95 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Le Puy-en-Velay (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Emblavez-et-Meygal | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Queyrières est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Commune de moyenne montagne située au milieu du pays des Sucs et au pied du versant occidental du massif du Meygal, Queyrières héberge le rocher de Queyrières, en plein cœur du village (1 170 m) le mont Ranc (1 255 m d'altitude, dont elle partage les pentes et le sommet avec la commune limitrophe du Pertuis), la Mézère (1 203 m), le mont Chabrier (1 230 m), la roche Girard (1 233 m), le Montivernoux (1 371 m, second sommet de 1 364 m), et le Testavoyre, dont le flanc nord-ouest appartient à la commune et qui en constitue, avec ses 1 436 m d’altitude, le point culminant, et aussi celui du Meygal.
Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Queyrières se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Elle se situe à 21 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[1], préfecture du département, et à 8 km de Saint-Julien-Chapteuil[2], bureau centralisateur du canton d'Emblavez-et-Meygal dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[3] : Saint-Hostien (4,0 km), Le Pertuis (4,1 km), Saint-Julien-Chapteuil (5,1 km), Bessamorel (5,4 km), Saint-Pierre-Eynac (5,8 km), Araules (6,2 km), Montusclat (6,9 km), Saint-Étienne-Lardeyrol (7,6 km).
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 6,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 990 mm, avec 10 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Pertuis_sapc », sur la commune du Pertuis à 4 km à vol d'oiseau[6], est de 8,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 918,7 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La rivière Sumène prend sa source aux Chalayes, un peu au nord-est de Monedeyres, au pied du mont Chabrier.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Queyrières est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Puy-en-Velay, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 59 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (53 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,8 %), prairies (40,8 %), zones agricoles hétérogènes (6,5 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 272, alors qu'il était de 265 en 2013 et de 259 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 50,4 % étaient des résidences principales, 38,2 % des résidences secondaires et 11,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,2 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Queyrières en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (38,2 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 83,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (81,9 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Queyrières[I 2] | Haute-Loire[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 50,4 | 71,5 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 38,2 | 16,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 11,4 | 12,4 | 8,2 |
Toponymie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]La singulière butte basaltique, autour de laquelle sont disposées les maisons du bourg de Queyrières, était surmonté dès le XIe siècle par un château, dont il ne subsiste aucun vestige.
Dans le haut Moyen Âge, des ateliers monétaires auraient été établis à Monedeyres, situé alors dans le mandement de Chapteuil, première capitale (capitole) du Velay.
En 1841, Monedeyres fut détaché de la commune de Saint-Julien-Chapteuil et incorporé à celle de Queyrières.
Lors de la Seconde guerre mondiale le Maquis Wodli, regroupant des FTPF auraient caché une partie des évadés de la prison du Puy de la nuit du 1er au 2 octobre 1943.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune de Queyrières est membre de la communauté de communes Mézenc-Loire-Meygal[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Saint-Julien-Chapteuil. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[14].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement du Puy-en-Velay, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Emblavez-et-Meygal pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la première circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[15].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]La commune englobe, outre le bourg-centre qui lui a donné son nom, les villages et hameaux suivants : Monedeyres (de loin la localité la plus importante en nombre de foyers), le Fournial, la Chaud, Raucoule, les Combes, le Coudert, les Hautes, Raffy, la Varenne, le Bouchit, les Drayes, etc.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[18].
En 2021, la commune comptait 354 habitants[Note 4], en évolution de +15,31 % par rapport à 2015 (Haute-Loire : +0,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,1 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 162 hommes pour 157 femmes, soit un taux de 50,78 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (49,13 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
[modifier | modifier le code]Revenus
[modifier | modifier le code]En 2018, la commune compte 154 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 354 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 480 €[I 9] (20 800 € dans le département[I 10]).
Emploi
[modifier | modifier le code]Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 11] | 4,5 % | 9,7 % | 6,3 % |
Département[I 12] | 6,3 % | 7,7 % | 7,7 % |
France entière[I 13] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 190 personnes, parmi lesquelles on compte 76,3 % d'actifs (70 % ayant un emploi et 6,3 % de chômeurs) et 23,7 % d'inactifs[Note 6],[I 11]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction du Puy-en-Velay, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 14]. Elle compte 41 emplois en 2018, contre 34 en 2013 et 44 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 136, soit un indicateur de concentration d'emploi de 30,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,8 %[I 15].
Sur ces 136 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 28 travaillent dans la commune, soit 21 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 83,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,7 % les transports en commun, 8,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Église de Queyrières
La chapelle castrale de Queyrières fut remplacée en 1414 par une nouvelle chapelle, placée sous le vocable de saint Dompnin, et construite au pied du château, à peu près à l’emplacement du chevet de l’église actuelle. Dotée de fonts baptismaux, elle évitait aux habitants une partie de leurs déplacements vers l’église paroissiale de Saint-Hostien, distante du village d’environ cinq kilomètres. Après avoir été érigée en paroisse autonome en 1820, Queyrières fit alors construire une église à part entière, dédiée cette fois à Saint-Jean-Baptiste. l’église, se dégradant ensuite progressivement, dut subir en 1887 une importante réfection, qui lui donna son aspect actuel.
« Église » de Monedeyres
Le village de Monedeyres dépendait à l’origine, tant du point de vue administratif qu’ecclésiastique, de Saint-Julien-Chapteuil, mais les habitants, se plaignant de l’éloignement, obtinrent de dépendre d’abord de la paroisse, puis de la commune de Queyrières, respectivement en 1824 et en 1841. Jugeant Queyrières encore trop distante, les habitants, en dépit des réticences de l’évêché à élever le village en paroisse autonome, prirent eux-mêmes l’initiative en 1887 de faire construire une église. Celle-ci, achevée en 1914, ne fut cependant jamais consacrée et ne vit jamais un prêtre y célébrer la moindre messe ; elle fait actuellement office de salle des fêtes.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Roger Nicolas, L’architecture rurale sur le plateau du Mézenc : in Cahiers de la Haute-Loire 1980, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire, (lire en ligne)
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Queyrières ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Queyrières » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Queyrières - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Queyrières - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Queyrières (43158) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Queyrières » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Queyrières » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Queyrières » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Stephan Georg, « Distance entre Queyrières et Le Puy-en-Velay », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Queyrières et Saint-Julien-Chapteuil », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Queyrières », sur villorama.com (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Queyrières et Le Pertuis », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Le Pertuis_sapc », sur la commune du Pertuis - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Le Pertuis_sapc », sur la commune du Pertuis - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Puy-en-Velay », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « communauté de communes Mézenc-Loire-Meygal - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 28 août 2014).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.