Goudet
Goudet | |||||
La Loire et le château de Beaufort. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Haute-Loire | ||||
Arrondissement | Le Puy-en-Velay | ||||
Intercommunalité | CC Mézenc-Loire-Meygal | ||||
Maire Mandat |
Jean-Claude Massebeuf 2023-2026 |
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Code postal | 43150 | ||||
Code commune | 43101 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
66 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 15 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 53′ 24″ nord, 3° 55′ 35″ est | ||||
Altitude | Min. 733 m Max. 1 018 m |
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Superficie | 4,5 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Le Puy-en-Velay (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Mézenc | ||||
Législatives | 1re circonscription de la Haute-Loire | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | http://village-goudet.com/ | ||||
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Goudet est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Goudet se situe à 30 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[1], et à 51 km du Chambon-sur-Lignon[2].
Goudet se trouve dans l'Aire d'attraction du Puy-en-Velay, ainsi que dans la zone d'emploi et dans le bassin de vie de cette ville[I 1]
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Arlempdes, Le Brignon, Saint-Martin-de-Fugères et Salettes.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 4,50 km2 ; son altitude varie de 733 à 1 018 mètres[3].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le principal cours d'eau de la commune est le fleuve la Loire, qui prend sa source à 35 kilomètres en amont, au mont Gerbier-de-Jonc.
Elle est également drainée par deux ruisseaux, l’Holme — grossi des eaux du Ruisseau Blanc ou Riou Blanc — et la Fouragette, ses affluents.
De part et d’autre des plages de sable de la Loire, on trouve des orgues basaltiques.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 209 mm, avec 9,2 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Landos-Charbon », sur la commune de Landos à 9 km à vol d'oiseau[6], est de 7,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 799,0 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Une colonie de la grandes noctules, plus grande espèce de chiroptères d’Europe, a été identifiée en 2019 dans la commune[10].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Dans le village, on distingue le clocher avec ses tuiles polychromes, jaunes, vertes et rouges disposées en écailles.
Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Goudet est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Puy-en-Velay, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 59 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (84,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (34,3 %), zones agricoles hétérogènes (9,6 %), prairies (5,5 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]Le berceau du village actuel avec sa petite place, le Marchadial, le Balcon, la Grande Rue, la route de Salettes est appelé la « Bourgeade ».
Lieux-dits, hameaux et écarts
[modifier | modifier le code]Aux alentours, le Rénier au-dessus des Orgues, le Chambonnet, les Cousserts, la Valette, les Ribeyroux, Bonnefont, les Pradeaux, Chantegrail, le Roule, les Iversins, etc.
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 127, alors qu'il était de 130 en 2015 et de 125 en 2010[I 3].
Parmi ces logements, 22,8 % étaient des résidences principales, 71 % des résidences secondaires et 6,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3 % des appartements[I 4].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Goudet en 2020 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (71 %) supérieure à celle du département (16 %) et à celle de la France entière (9,7 %).
Typologie | Goudet[I 4] | Haute-Loire[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 22,8 | 71,6 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 71 | 16 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 6,2 | 12,4 | 8,2 |
Risques naturels et technologiques
[modifier | modifier le code]La commune est confrontée à un risque d'inondations lors des crues d’automne et de printemp, telles que celles qui ont eu lieu en 1852, 1866, 1878, 1980 et 2017[15].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire
[modifier | modifier le code]Les populations de ces périodes s'installent quasi exclusivement dans les zones basses. La proximité des gués semble particulièrement appréciée. Ces installations légères aménagées dans les abris rocheux constituent de rares et précieux témoignage d'un mode de vie fondé sur la cueillette, la pêche, la chasse aux chevaux, aux rennes mais aussi aux marmottes. Les populations demeurent itinérantes, et leurs implantations varient sur de longues distances, au gré des déplacements de la faune sauvage. L'Homo sapiens couvre des distances incroyables à cette époque.
Certains traits de la géographie humaine commencent alors à se fixer. L'homme sort peu à peu des vallées pour coloniser les plateaux, et l'appropriation du milieu montagnard se fait progressivement plus complète et plus uniforme. Les vallées sont toujours privilégiées, mais, avec l'exploitation agricole, la fertilité des plateaux volcaniques devient un atout, rapidement repéré. et si les hommes vivent encore dans les abris rocheux, ils peuvent aussi s'installer en plein air (surtout l'été), ou dans des cabanes comme à Godet[16].
Antiquité
[modifier | modifier le code]On présume que l’établissement du village remonte à l’époque romaine. En effet, le pont de la Loire était dans l’Antiquité un important point de passage du fleuve.
Ainsi les légions romaines stationnées sur le plateau (camp d'Antoune) surveillaient l’ouvrage privilégié à partir d’un poste de garde fixe situé sur le rocher du Pipet (la tour du Pipet).
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Vers l’an 850 est fondé un ermitage par un personnage nommé Didier, après avoir été en partie démoli il a donné place à un quartier de Goudet appelé le Clos (on retrouve dans ce quartier des traces de cet ermitage).
En 869, le roi de France Charles le Chauve ratifie le don, fait à l'abbé Geilon et aux moines de Saint-Philibert, du lieu nommé Godit, dans le diocèse du Puy, pour y fonder un monastère[17].
Au XIIIe siècle, Goudet devient une place forte grâce au château de Beaufort, construit pour Lambert de Goudet, qui est détruit durant la guerre de Cent Ans, et reconstruit XVe siècle.
Temps modernes
[modifier | modifier le code]Le château défend Goudet pendant les guerres de Religion.
Au XVIe siècle, Antoine La Tour de Saint Vidal,propriétaire du château, renforce sa position stratégique en y adjoignant à l’ouest un bastion et une tour, protégées globalement par une fausse braie complétée de trois murs d’enceinte[18].
Henri III érige Beaufort en vicomté en 1580[18].
Au XVIIIe siècle, Goudet avait le seul pont sur la Loire entre le mont Gerbier-de-Jonc et le Puy-en-Velay[15].
Révolution française et Empire
[modifier | modifier le code]Lors de la Révolution française, le château est vendu comme bien national[18].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Louis XVIII ordonne en 1824 le démantellement du château[18].
Au XIXe siècle, les habitants vivent de trois activités : l'agriculture (élevage), la dentelle à carreau dite du Puy et la fabrique de chapeaux (feutres) en poil de chèvres.
Le , Goudet est dévasté par la montée des eaux du Riou Blanc et de l’Holme qui s’échappent de leur lit, charriant arbres et rochers et traversent le village, envahissant les maisons[19],[15].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement du Puy-en-Velay du département de la Haute-Loire[I 1].
Après avoir été le chef-lieu d'un fugace canton de Goudet entre 1793 et 1801, elle faisait partie depuis lors du canton du Monastier-sur-Gazeille[3]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton du Mézenc[I 1].
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de la Haute-Loiredepuis le redécoupage électoral de 1986[20].
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Goudet était membre de la communauté de communes du Mézenc et de la Loire Sauvage, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1994 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes Mézenc-Loire-Meygal, dont est désormais membre la commune[I 1].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants sont les Goudetois et le s Goudetoises.
Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].
En 2021, la commune comptait 66 habitants[Note 3], en évolution de +11,86 % par rapport à 2015 (Haute-Loire : +0,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La commune est l'une des moins peuplées du département, bien que fréquentée par de très nombreux estivants[15].
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 20 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 41,7 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 33 hommes pour 25 femmes, soit un taux de 56,9 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (49,13 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
[modifier | modifier le code]Emploi
[modifier | modifier le code]Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 9] | 11,8 % | 11,1 % | 8,3 % |
Département[I 10] | 6,3 % | 7,7 % | 7,7 % |
France entière[I 11] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 35 personnes, parmi lesquelles on compte 66,7 % d'actifs (58,3 % ayant un emploi et 8,3 % de chômeurs) et 33,3 % d'inactifs[Note 4],[I 9]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était supérieur à celui de la France en 2008.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction du Puy-en-Velay, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 12]. Elle compte 17 emplois en 2018, contre 16 en 2013 et 19 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 24, soit un indicateur de concentration d'emploi de 69,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,8 %[I 13].
Sur ces 24 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 10 travaillent dans la commune, soit 40 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 64 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4 % les transports en commun, 20 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 12 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- le château de Beaufort Inscrit MH (1994)[32], perché sur son promontoire, en cours de restauration par ses propriétaires[18],[33] ;
- l'église, restaurée au XIXe siècle et son remarquable clocher aux tuiles vernissées, qui serait située sur l’emplacement de l’ancien réfectoire des moines du prieuré médiéval de l'abbaye Saint-Philibert de Tournus[15] ;
- la tour du Pipet ;
- La Loire qui traverse une partie du village offre de nombreuses plages, qui permettent de profiter du soleil, de la baignade et du canotage, certaines situées en aval et en amont permettant l'isolement et la tranquillité[34].
Les plus aventureux se lancent quelques kilomètres en amont dans une descente de la Loire en randonnée (canoë-kayak), en suivant les étapes du GR 3, pour découvrir les châteaux de la Loire dont celui de Goudet est le deuxième.
Depuis le passage de l'écrivain aventurier Robert Louis Stevenson en 1878 des structures d'accueil pour les randonneurs et vacanciers se sont organisées, entre autres : un camping trois étoiles de 90 emplacements, un hôtel, La Loire, (non classé) de 20 chambres, un gîte d’étape et une auberge rurale du Pipet, un restaurant, La dentelle, des chambres et tables d’hôtes[15] ;
- Goudet est depuis longtemps un lieu d'étape pour les randonneurs de tous types et de séjour pour les vacanciers. L'écrivain Robert Louis Stevenson a probablement été le premier en 1878 ; à la suite de son passage, il a écrit Voyage avec un âne dans les Cévennes. Après avoir lu son livre, les premiers randonneurs sont apparus pour faire le même parcours, aujourd'hui le GR70 est aussi appelé chemin de Stevenson.
- Plusieurs chemins de grandes et petites randonnées (PR & GR) se croisent à Goudet, ce sont les GR 3 (sentier de la Loire Sauvage), GR40 et le chemin de Stevenson (GR70)[15] ;
- Goudet est un haut lieu de la pêche à la truite dite fario, que ce soit dans la Loire ou dans les ruisseaux l'Holme et la Fouragette[35] ;
-
Le Château.
-
Le Château
-
La Loire au pied du château.
-
Randonneurs sur le GR 70.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Françoise de La Conterie, Antone en Velay - microtoponymie appliquée au site fortifié du camp d’Antoune : in Cahiers de la Haute-Loire 1976, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire, (lire en ligne)
- Mélinda Bizri, Pouvoir et territoire en Velay au Moyen Âge : l’exemple de Goudet : in Cahiers de la Haute-Loire 2006, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire,
- Françoise de La Conterie, Souvenirs sur la Révolution à Goudet : in Cahiers de la Haute-Loire 1990, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire,
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- « Dossier complet : Commune de Goudet (43101) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, (consulté le ).
- « Goudet » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- « Commune de Goudet », Code Officiel Géographique au 1er janvier 2024, sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Goudet ».
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Goudet - Section LOG T1 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Goudet - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 dans la Haute-Loire - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Goudet (43101) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Goudet » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Goudet » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Stephan Georg, « Distance entre Goudet et Le Puy-en-Velay », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Goudet et Le Chambon-sur-Lignon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Goudet et Landos », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Landos-Charbon », sur la commune de Landos - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Landos-Charbon », sur la commune de Landos - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « L'une des rares colonies françaises de la plus grande chauve-souris d'Europe identifiée à Goudet (Haute-Loire) », La Montagne, (lire en ligne , consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Puy-en-Velay », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Jérôme Bay, « La commune de Goudet veut créer la maison de la Loire », L'Éveil de la Haute-Loire, (lire en ligne , consulté le ).
- Laurent Wauquier et Yannick Faure, La Haute-Loire, de ses origines à nos jours, Le Puy-en-Velay (Haute-Loire), éditions Jeanne-d'Arc, , 262 p. (ISBN 978-2-362-62008-9), p. 25
- Pierre Antoine Chifflet, Histoire de l'Abbaye de Tournus..., 1664, pp 209 à 211 des preuves annexées à l'ouvrage.
- « Château de Beaufort », Activités et visites, sur myhauteloire.fr (consulté le ).
- Lionel Ciochetto, « Le président a annoncé, vendredi, le déblocage dans un mois et demi, de 90 % de l’avance promise », L'Éveil de la Haute-Loire, (lire en ligne , consulté le ).
- « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- « Les maires de Goudet », sur francegenweb.org (consulté le ).
- « Les Émotions de Marc Piguet », L'Éveil de la Haute-Loire, (lire en ligne, consulté le ).
- Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 27 août 2014).
- Manuel Cladière, « Municipales : à moins de deux mois du premier tour, des communes n’ont toujours pas de candidats », L'Éveil de la Haute-Loire, (lire en ligne, consulté le ) « Une liste vient tout juste d’être bouclée », se réjouit également Joël Lacour, maire sortant de Goudet qui a décidé de ne pas briguer un nouveau mandat ».
- « Liste des maires » [PDF], Préfecture de la Haute-Loire, (consulté le ).
- Manuel Cladière, « Le maire de Goudet, Didier Bourdelin, a démissionné de son poste », L'Éveil de la Haute-Loire, (lire en ligne , consulté le ).
- « Jean-Claude Massebeuf a été élu maire de Goudet », L'Éveil de la Haute-Loire, (lire en ligne , consulté le ) « Après un début d’année compliquée, suite à la démission d’un élu et du maire, Didier Bourdelin, les habitants du village de Goudet se sont rendus aux urnes, dimanche 26 mars, afin d’élire une personne, pour compléter le nombre de conseiller municipaux ».
- « Une démographie croissante », L'Éveil de la Haute-Loire, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Château fort de Beaufort », notice no PA00132734, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Depuis plus de dix ans, Jean-Jacques et Émina Julien restaurent le château de Beaufort à Goudet », L'Éveil de la Haute-Loire, (lire en ligne , consulté le ).
- « Les plages de Goudet », Activités et Visites, sur myhauteloire.fr (consulté le ).
- Site de l'Association Agréée de Pêche et de Protection du Milieu Aquatique (AAPPMA) de Goudet-Arlempdes.