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Philo

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La violence est-elle un outil au service du politique ?

S’il semble que la violence est terrible moins bien, la violence est terrible, mais pas de négation, elle
apparaîtrait néanmoins comme un outil au service du politique. Quand le souverain ne serait plus
capable de faire régner l’ordre par d’autres instruments comme la persuasion, il pourrait utiliser la
violence au titre d’un outil. Bien Il n’est ici plus question de condamner l’utilisation de la violence,
mais de reconnaître que son usage est nécessaire et justifiable dans l’exercice du pouvoir. Bien Mettre
une liaison : par exemple En avril 1470, une révolte éclate dans la ville de Prato. Abrupt Les bourgeois
vont développer une jalousie à l’égard des Florentins et vont fomenter une révolte qui échoue. A
condenser Laurent le Magnifique va organiser une répression qu’il confie au Podestat de Prato. Ce
dernier décapite l’instigateur de la violence et pend de 25 complices. Ensuite, Laurent le Magnifique
donne l’ordre au Podestat de suspendre ces actes de violence. Ainsi, non seulement ne pas faire de
phrase longue et compliqué avec non seulement Laurent le Magnifique démontre sa puissance par sa
violence qui oblige le ralliement de tous les autres complices qui veulent éviter une exécution, mais il
a la réputation d’être magnanime. Un Prince habile sait utiliser la violence mais à propos, il sait aussi
la suspendre “Les hommes doivent être caressés ou anéantis” (Machiavel *). En suspendant la
violence par calcul stratégique, il empêche la révolte des bourgeois sans être détesté du peuple. La
violence n’est ni bonne ni mauvaise mais elle est au service du politique. Elle quoi tient à deux
éléments qui sont les moyens et l’apparence. L’apparence est celle d’un pouvoir sans limite, de
magnanimité. Récitation de cours Pas de lien, et ça sort de nulle part Pour Machiavel, les régimes se
corrompent dans le temps. on ne voit pas le lien Il applique une représentation médicale au corps
politique en justifiant le délitement de la Cité à cause d’un bizarre mauvais équilibre entre deux
humeurs qui sont les « grands » et le « peuple ». : Les Grands “désirent commander et opprimer le
peuple” tandis que le peuple “désire ne pas commander ni être opprimé des grands”. (Chapitre 9).
Pour Machiavel, il faut condamner ces violences qui ruinent la Cité. Pour autant, Machiavel justifie la
violence dans le cadre d’une virtù, c’est-à-dire de la capacité à saisir le bon moment. Le politique est
légitime d’utiliser la violence pour conserver le pouvoir. Abrupt

 Première phrase à revoir


 Un seul auteur
 Le deuxième exemple n’est pas lié à la politique
 Citation : sort de nulle part ?, explique evn, il faut faire en phrase, il sait la suspendre, en effet
… (voir *)
 Tu racasses le cours à la fin

S’il semble que la violence est terrible, elle apparaîtrait néanmoins comme un outil au service du
politique. Quand le souverain ne serait plus capable de faire régner l’ordre par d’autres instruments
comme la persuasion, il pourrait utiliser la violence au titre d’un outil. Il n’est ici plus question de
condamner l’utilisation de la violence, mais de reconnaître que son usage est nécessaire et justifiable
dans l’exercice du pouvoir. Par exemple, en avril 1470, une révolte éclate dans la ville de Prato. Les
bourgeois vont développer une jalousie à l’égard des Florentins et vont fomenter une révolte qui
échoue. Laurent le Magnifique va organiser une répression qu’il confie au Podestat de Prato. Ce
dernier décapite l’instigateur de la violence et pend de 25 complices. Ensuite, Laurent le Magnifique
donne l’ordre au Podestat de suspendre ces actes de violence. Ainsi, non seulement Laurent le
Magnifique démontre sa puissance par sa violence qui oblige le ralliement de tous les autres
complices qui veulent éviter une exécution, mais il a la réputation d’être magnanime. Un Prince
habile sait utiliser la violence mais à propos, il sait aussi la suspendre “Les hommes doivent être
caressés ou anéantis” (Machiavel). En suspendant la violence par calcul stratégique, il empêche la
révolte des bourgeois sans être détesté du peuple. La violence n’est ni bonne ni mauvaise mais elle
est au service du politique. Elle tient à deux éléments qui sont les moyens et l’apparence. L’apparence
est celle d’un pouvoir sans limite, de magnanimité. Pour Machiavel, les régimes se corrompent dans
le temps. Il applique une représentation médicale au corps politique en justifiant le délitement de la
Cité à cause d’un mauvais équilibre entre deux humeurs qui sont les « grands » et le « peuple ». : Les
Grands “désirent commander et opprimer le peuple” tandis que le peuple “désire ne pas commander
ni être opprimé des grands”. (Chapitre 9). Pour Machiavel, il faut condamner ces violences qui ruinent
la Cité. Pour autant, Machiavel justifie la violence dans le cadre d’une virtù, c’est-à-dire de la capacité
à saisir le bon moment. Le politique est légitime d’utiliser la violence pour conserver le pouvoir.

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