Combat Contre Le Sionisme
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Ce livre fait l’histoire de l'abolition des mutilations sexuelles féminines et masculine en Égypte lors de l'utopie hédoniste d'Akhenaton. Il fait la preuve par la Bible, plutôt que par les comparaisons interculturelles des Secrets de... more
Ce livre fait l’histoire de l'abolition des mutilations sexuelles féminines et masculine en Égypte lors de l'utopie hédoniste d'Akhenaton. Il fait la preuve par la Bible, plutôt que par les comparaisons interculturelles des Secrets de l’Exode (2000), qu'Abraham (Genèse 15 : 8) et Moïse (Deutéronome 29 : 1-5) étaient des pharaons, et les Hébreux des Égyptiens. L’immense découverte de Messod et Roger Sabbah est cette fois-ci indiscutable. Les deux auteurs sont partis d’un double constat. Premièrement, l’absence de preuves archéologiques de la présence d’une importante population étrangère dont la Bible prétend qu’elle aurait été maintenue en esclavage pendant des centaines d’années ; les Hébreux n’ont laissé aucune trace tout simplement parce qu’ils étaient égyptiens, appartenant à la secte d'Akhenaton, soit Abraham, qui s'est exilée pour coloniser la Palestine. Deuxièmement, ils s’appuient sur de multiples comparaisons interculturelles. Une campagne de dénigrement journalistique a attaqué ce livre au prétexte qu’il manquerait de preuves “scientifiques”. Mais impliquant que l’histoire n’est pas une science exacte, Desroches Noblecourt a mis fin aux médisances, en deux temps. En 2004, en multipliant les rapprochements interculturels entre les Hébreux et les Égyptiens dans Le fabuleux héritage de l’Égypte, elle a adopté la démarche d’historiographie comparée des Sabbah. En 2005, elle déclara magistralement dans une interview : “Les Égyptiens nous ont apporté… l'alphabet…” Enfin, en 2009, Davidovits a découvert une preuve égyptologique absolue que les auteurs de la Genèse ont aussi dessiné des hiéroglyphes à Karnak. La véritable raison du tollé provoqué par Les secrets de l’Exode est son incompatibilité avec le sionisme.
Cependant, faire de pharaon le dieu unique renforçait plutôt le pouvoir pharaonique. Mais nous appuyons la thèse des Secrets de l’Exode par une découverte exégétique qui montre que la grande raison de l’exil des Hébreux fut moins leur monothéisme que leur abolition des mutilations sexuelles féminines et surtout masculine. La tyrannie pharaonique les considérait, à juste titre, indispensables pour maintenir le peuple en quasi-esclavage. Les fidèles d'Akhenaton se sont exilés parce que les féodaux et les religieux ont voulu, après vingt ans d’abolition des mutilations sexuelles à Akhetaton, remettre en vigueur la circoncision en y soumettant les bébés. Il s’agissait d’imposer la raison du plus fort à des êtres sans défense en la gravant dans l’inconscient de façon indélébile par un traumatisme opérant par la terreur et à vie. Moïse maintint cette abolition pendant les quarante années de l’Exode mais Séthy 1er, à Gilgal, mit fin à celle de la circoncision en négligeant l’excision. La conséquence est de transformer en mythes quatre grands dogmes judaïques : la déité du “Seigneur”, l’élection divine, la circoncision par ordre divin et le don divin du pays de Canaan. Cependant, la réinterprétation de l'ensemble des grands passages de la Bible sur la circoncision montre que pour la remettre en vigueur après le décès de Moïse, l’élite religieuse soumise aux pharaons falsifia, de façon particulièrement évidente en Genèse 34, le Deuxième Commandement qui l’interdit. La vérité historique rend la circoncision incompatible avec la religion des grands libérateurs humanistes que furent Abraham et Moïse ; les pères égyptiens du judaïsme étaient catégoriquement opposés à la tradition antique des mutilations sexuelles. Nous expliquons ainsi pourquoi Abram et Moïse n'étaient pas circoncis et comment le vizir Amenhotep a imposé par la force la circoncision à Abraham et, une fois devenu pharaon, au fils de Moïse. Abram-Akhenaton a aboli la marque de l'esclavage dans la ville qu'il a dirigée pendant une trentaine d'années. En le faisant déchoir de son titre de pharaon dans sa vieillesse, les féodaux de la 18ème dynastie l'ont réinstaurée, pour les deux sexes. Les Hébreux ont maintenu l'abolition de l'excision mais la circoncision fut le prix de l'aide de Séthy 1er (Josué) pour envahir la Palestine.
Nous renforçons aussi la thèse des Secrets de l’Exode en rappelant quelques comparaisons interculturelles ; plusieurs arguments exégétiques mis en regard avec la culture égyptienne, confirment la thèse de Messod et Roger Sabbah. Nous avons tout d'abord mis en lumière l'identité du nom : “l'Éternel” pour le Dieu égyptien, soit les pharaons, et pour le Dieu biblique, notamment dans deux passages de la Bible dans lesquels “l'Éternel” ne peut être qu'un pharaon : le père d'Abram en Genèse 15 : 18, Moïse lui-même en Deutéronome 29 : 1-5. Nous avons ensuite rappelé deux passages de la Bible qui relient directement d'un côté les Hébreux, de l'autre les fidèles d'Akhenaton ou le pouvoir pharaonique : l'identité entre le Joseph de Genèse 41 : 42 et Amenhotep fils de Hapou, les similarités entre le psaume 104 et le Grand hymne à Aton d'Akhenaton. L'identité de l'histoire de Joseph et la femme du pharaon et du conte égyptien des deux frères va dans le même sens.
Cependant, faire de pharaon le dieu unique renforçait plutôt le pouvoir pharaonique. Mais nous appuyons la thèse des Secrets de l’Exode par une découverte exégétique qui montre que la grande raison de l’exil des Hébreux fut moins leur monothéisme que leur abolition des mutilations sexuelles féminines et surtout masculine. La tyrannie pharaonique les considérait, à juste titre, indispensables pour maintenir le peuple en quasi-esclavage. Les fidèles d'Akhenaton se sont exilés parce que les féodaux et les religieux ont voulu, après vingt ans d’abolition des mutilations sexuelles à Akhetaton, remettre en vigueur la circoncision en y soumettant les bébés. Il s’agissait d’imposer la raison du plus fort à des êtres sans défense en la gravant dans l’inconscient de façon indélébile par un traumatisme opérant par la terreur et à vie. Moïse maintint cette abolition pendant les quarante années de l’Exode mais Séthy 1er, à Gilgal, mit fin à celle de la circoncision en négligeant l’excision. La conséquence est de transformer en mythes quatre grands dogmes judaïques : la déité du “Seigneur”, l’élection divine, la circoncision par ordre divin et le don divin du pays de Canaan. Cependant, la réinterprétation de l'ensemble des grands passages de la Bible sur la circoncision montre que pour la remettre en vigueur après le décès de Moïse, l’élite religieuse soumise aux pharaons falsifia, de façon particulièrement évidente en Genèse 34, le Deuxième Commandement qui l’interdit. La vérité historique rend la circoncision incompatible avec la religion des grands libérateurs humanistes que furent Abraham et Moïse ; les pères égyptiens du judaïsme étaient catégoriquement opposés à la tradition antique des mutilations sexuelles. Nous expliquons ainsi pourquoi Abram et Moïse n'étaient pas circoncis et comment le vizir Amenhotep a imposé par la force la circoncision à Abraham et, une fois devenu pharaon, au fils de Moïse. Abram-Akhenaton a aboli la marque de l'esclavage dans la ville qu'il a dirigée pendant une trentaine d'années. En le faisant déchoir de son titre de pharaon dans sa vieillesse, les féodaux de la 18ème dynastie l'ont réinstaurée, pour les deux sexes. Les Hébreux ont maintenu l'abolition de l'excision mais la circoncision fut le prix de l'aide de Séthy 1er (Josué) pour envahir la Palestine.
Nous renforçons aussi la thèse des Secrets de l’Exode en rappelant quelques comparaisons interculturelles ; plusieurs arguments exégétiques mis en regard avec la culture égyptienne, confirment la thèse de Messod et Roger Sabbah. Nous avons tout d'abord mis en lumière l'identité du nom : “l'Éternel” pour le Dieu égyptien, soit les pharaons, et pour le Dieu biblique, notamment dans deux passages de la Bible dans lesquels “l'Éternel” ne peut être qu'un pharaon : le père d'Abram en Genèse 15 : 18, Moïse lui-même en Deutéronome 29 : 1-5. Nous avons ensuite rappelé deux passages de la Bible qui relient directement d'un côté les Hébreux, de l'autre les fidèles d'Akhenaton ou le pouvoir pharaonique : l'identité entre le Joseph de Genèse 41 : 42 et Amenhotep fils de Hapou, les similarités entre le psaume 104 et le Grand hymne à Aton d'Akhenaton. L'identité de l'histoire de Joseph et la femme du pharaon et du conte égyptien des deux frères va dans le même sens.
Dans l’un de mes articles consacré aux circonstances de la dissolution - aussi subite qu’inexpliquée -, par le Saint-Siège, dans les années 1920, de l’association sacerdotale « Amici Israel » (Amis d’Israël) , j’avais dûment documenté... more
Dans l’un de mes articles consacré aux circonstances de la dissolution - aussi subite qu’inexpliquée -, par le Saint-Siège, dans les années 1920, de l’association sacerdotale « Amici Israel » (Amis d’Israël) , j’avais dûment documenté l’état d’esprit ecclésial hostile aux sionistes établis en Palestine. La raison pour laquelle je reproduis aujourd’hui quelques extraits de mon étude d’alors est la consonance frappante entre cet événement, qui remonte à un siècle, et un autre, tout récent , dont voici quelques détails significatifs.
«Jérusalem est une ville juive, chrétienne et musulmane. Elle doit rester un patrimoine commun et ne doit jamais devenir le monopole exclusif d’une seule religion». C’est ce qu’affirment les évêques de la Coordination de Terre Sainte (en anglais, Holy Land Coordination), originaires d'Europe et d'Amérique du Nord, qui ont achevé ce 26 mai leur visite dans la région. […]
Les cinq jours de rencontres et de colloques se sont ainsi tenus dans le contexte du récent décès de Shireen Abu Aqleh, journaliste chrétienne palestinienne, abattue dans la ville de Jénine le 11 mai dernier. Citant les paroles du patriarche Pizzaballa, selon lequel «il est de notre droit et notre devoir de chrétiens de soutenir l’ouverture et l’universalité de la ville », les évêques de la Coordination de Terre Sainte rappellent que «la communauté chrétienne est essentielle pour l’identité de Jérusalem, à la fois maintenant et à l’avenir». Sa présence permanente est pourtant menacée par l’occupation et l’injustice […] et «beaucoup de ceux que nous avons rencontrés doivent faire face à la violence et à l’intimidation des groupes de colons, à des restrictions à leur liberté de mouvement ou à la séparation de leurs familles en raison du statut qui leur est accordé» […]
«Jérusalem est une ville juive, chrétienne et musulmane. Elle doit rester un patrimoine commun et ne doit jamais devenir le monopole exclusif d’une seule religion». C’est ce qu’affirment les évêques de la Coordination de Terre Sainte (en anglais, Holy Land Coordination), originaires d'Europe et d'Amérique du Nord, qui ont achevé ce 26 mai leur visite dans la région. […]
Les cinq jours de rencontres et de colloques se sont ainsi tenus dans le contexte du récent décès de Shireen Abu Aqleh, journaliste chrétienne palestinienne, abattue dans la ville de Jénine le 11 mai dernier. Citant les paroles du patriarche Pizzaballa, selon lequel «il est de notre droit et notre devoir de chrétiens de soutenir l’ouverture et l’universalité de la ville », les évêques de la Coordination de Terre Sainte rappellent que «la communauté chrétienne est essentielle pour l’identité de Jérusalem, à la fois maintenant et à l’avenir». Sa présence permanente est pourtant menacée par l’occupation et l’injustice […] et «beaucoup de ceux que nous avons rencontrés doivent faire face à la violence et à l’intimidation des groupes de colons, à des restrictions à leur liberté de mouvement ou à la séparation de leurs familles en raison du statut qui leur est accordé» […]