FR3038866A1 - Vehicule automobile decapotable - Google Patents

Abstract

L'invention concerne un véhicule (1) automobile décapotable comportant un compartiment intérieur (5) dans lequel est ménagée une ouverture (3) ainsi qu'un dispositif de toit décapotable (10), adapté à obturer ou libérer au moins partiellement ladite ouverture (3). Selon l'invention, ce dispositif de toit décapotable (10) comprend : - un volet (100) comportant une pluralité de lattes (1000A, 1000B, 1000C), et - des moyens d'actionnement permettant de dérouler et d'enrouler le volet (100) autour de son axe d'enroulement (801), entre une configuration déroulée dans laquelle il est déployé de manière à obturer au moins partiellement ladite ouverture (3) du toit (2) du compartiment intérieur (5), et une configuration enroulée dans laquelle il est enroulé autour de son axe d'enroulement (801) de manière à libérer au moins partiellement cette ouverture (3), - ledit axe d'enroulement (801) étant disposé à l'arrière et en partie inférieure dudit compartiment intérieur (5).

Description

Domaine technique auquel se rapporte l'invention

La présente invention concerne un véhicule automobile décapotable.

Elle concerne plus particulièrement un véhicule automobile décapotable comportant un compartiment intérieur dans lequel est ménagée une ouverture ainsi qu’un dispositif de toit décapotable, adapté à obturer ou libérer au moins partiellement ladite ouverture.

Arriere-plan technologique

On connaît de tels véhicules automobiles dans lequel le dispositif de toit décapotable permet de couvrir et découvrir un compartiment intérieur du véhicule, par exemple son habitacle. Circuler dans un véhicule automobile découvert est particulièrement agréable, notamment l’été. L’habitacle d’un véhicule automobile découvert est en effet ventilé naturellement et offre une vue panoramique particulièrement dégagée à ses usagers.

Afin de pouvoir alternativement couvrir et découvrir un véhicule automobile, il est connu de l’équiper d’une capote en tissu, par exemple une capote en tissu montée sur un mécanisme repliable et escamotable dans le coffre du véhicule. Mais un tel toit décapotable est technologiquement complexe, coûteux et fragile. En outre, une fois plié dans le coffre du véhicule, il occupe un volume important de ce dernier, voire occupe complètement le coffre du véhicule qui ne peut alors plus être utilisé pour recevoir des objets à transporter.

Objet de l’invention

Afin de remédier aux inconvénients précités de l’état de la technique, la présente invention propose un nouveau véhicule automobile décapotable comprenant un dispositif de toit décapotable robuste, peu coûteux, et peu encombrant lorsqu’escamoté.

Plus particulièrement, on propose selon l’invention un véhicule automobile tel que défini en introduction, dans lequel le dispositif de toit décapotable comprend : - un volet comportant une pluralité de lattes disposées les unes à côté des autres, parallèlement à un axe d’enroulement du volet, et - des moyens d’actionnement permettant de dérouler et d’enrouler le volet autour de son axe d’enroulement, entre une configuration déroulée dans laquelle il est déployé de manière à obturer au moins partiellement ladite ouverture du compartiment intérieur, et une configuration enroulée dans laquelle il est enroulé autour de son axe d’enroulement de manière à libérer au moins partiellement cette ouverture, - et dans lequel ledit axe d’enroulement est disposé à l’arrière et en partie inférieure dudit compartiment intérieur.

Ainsi, grâce à l’invention, une partie très importante de l’habitacle du véhicule peut être découverte, ou recouverte par ledit volet.

Un tel dispositif de toit décapotable est par ailleurs structurellement simple, facilement enroulable et déroulable, et donc peu coûteux.

De plus, l’utilisation de lattes rend ce dispositif de toit particulièrement robuste. D’autre part, la structure en lattes de ce volet permet de moduler facilement sa forme. En particulier, la forme du volume qu’il occupe dans sa configuration enroulée peut être adaptée au mieux aux volumes disponibles dans le compartiment interne du véhicule, grâce à quoi l’encombrement du volet dans sa configuration enroulée est réduit, laissant ainsi dans le compartiment interne du véhicule un volume libre avantageusement grand, pouvant par exemple recevoir des objets ou bagages à transporter.

Par ailleurs, comme l’axe d’enroulement du volet est situé à l’arrière du véhicule automobile, en plaçant le volet dans une configuration intermédiaire entre sa configuration déroulée et sa configuration enroulée, une partie de ladite ouverture est libérée du côté de l’avant du véhicule, tout en maintenant le compartiment intérieur partiellement fermé.

Libérer partiellement cette ouverture du côté de l’avant du véhicule est particulièrement intéressant dans le cas d’un compartiment intérieur comprenant l’habitacle du véhicule, car elle permet une aération de cet habitacle plus efficace qu’une ouverture partielle par l’arrière. En outre lorsque le conducteur du véhicule est seul présent dans l’habitacle, ou lorsqu’il est présent dans ce dernier en compagnie seulement d’un passager avant, une telle ouverture partielle par l’avant lui permet de bénéficier d’une vue panoramique dégagée, tout en ouvrant de manière limitée la partie supérieure de l’habitacle.

En outre, comme l’axe d’enroulement du volet est situé à proximité du plancher du compartiment intérieur, le volet dans sa configuration enroulée laisse avantageusement libre la partie supérieure du compartiment intérieur. Ainsi, dans le cas d’un compartiment intérieur comprenant l’habitacle du véhicule, le champ de vision d’un conducteur du véhicule n’est pas limité par le volet dans sa configuration enroulée, qui ne gène par non plus des usagers de ce véhicule qui bénéficient ainsi d’un large espace libre au niveau de leur tête.

De manière générale, le fait que l’axe d’enroulement du volet soit disposé à l’arrière, en partie inférieure du compartiment intérieur permet de loger le volet enroulé au fond et à l’arrière de ce compartiment, dans une zone disposant habituellement d’un espace de stockage.

De plus, un tel dispositif de toit décapotable peut être installé sur un véhicule automobile classique ne disposant pas d’un habitacle découvrable, sans nécessiter pour cela de modifier la structure de l’habitacle de ce véhicule automobile. Il suffit pour cela de ménager une ouverture dans le toit de celui-ci-avant d’installer ledit dispositif de toit décapotable. Cette propriété est particulièrement intéressante, car le véhicule selon l’invention peut ainsi être réalisé facilement à partir d’un modèle déjà existant de véhicule automobile. D’autres caractéristiques non limitatives et avantageuses de ce véhicule conforme à l’invention sont les suivantes : - ledit dispositif de toit décapotable comprend en outre deux rails de guidage qui s’étendent parallèlement entre eux le long de deux bords opposés de ladite ouverture, et dans lesquels le volet est adapté à coulisser ; - ledit volet comprend au moins une latte comportant des moyens de roulement, situé à une extrémité de la latte et engagés dans une gorge de l’un des rails de guidage de manière à guider ladite latte en coulissement le long de ce rail de guidage ; - lesdits rails de guidage présentent chacun, à l’une de leurs extrémités, une partie en forme de spirale adaptée à guider l’enroulement du volet autour de son axe d’enroulement ; - chacune desdites parties en forme de spirale présente une forme aplatie, plus longue dans une direction parallèle à un plancher du compartiment intérieur que dans une direction perpendiculaire à ce plancher ; - chaque rail de guidage comprend au moins deux tronçons de rails assemblés l’un à l’autre ; - le compartiment intérieur est fermé à l’arrière par un hayon ; - le hayon comprend un vitrage monté mobile en coulissement dans un panneau de hayon entre une position d’ouverture dans laquelle il est logé dans ce panneau de hayon, et une position de fermeture dans laquelle il s’étend au dessus du panneau de hayon ; - lesdits moyens d’actionnement comprennent des moyens de traction flexibles reliés au volet, pour tirer sur le volet de manière à l’enrouler ou à le dérouler ; - ledit compartiment intérieur comprenant un logement à bagages situé à l’arrière du véhicule, l’axe d’enroulement du volet est situé au fond de ce logement à bagages.

Description detaillee d’un exemple de réalisation

La description qui va suivre en regard des dessins annexés, donnés à titre d’exemples non limitatifs, fera bien comprendre en quoi consiste l’invention et comment elle peut être réalisée.

Sur les dessins annexés : - la figure 1 est une vue schématique en perspective d’un véhicule automobile décapotable selon l’invention, dont le volet est en configuration déroulée, - la figure 2 est une vue schématique en perspective du véhicule automobile de la figure 1, sur laquelle le hayon du véhicule n’est pas représenté, - la figure 3 est une vue schématique en perspective d’une partie du véhicule de la figure 1 montrant plus particulièrement un logement à bagages situé à arrière de ce véhicule, le volet de ce véhicule étant dans sa configuration enroulée, - la figure 4 est une vue schématique en perspective du véhicule automobile de la figure 1, sur laquelle le hayon et le volet du véhicule ne sont pas représentés, - la figure 5 est une vue schématique en perspective d’un rail de guidage du volet du véhicule de la figure 1, - la figure 6 est une vue schématique en coupe transverse du rail de guidage et du volet du véhicule de la figure 1, - la figure 7 est une vue schématique partielle, en perspective avant, du volet du véhicule de la figure 1, - la figure 8 est une vue schématique en perspective arrière d’une extrémité d’une latte du volet du véhicule de la figure 7, - la figure 9 est une vue schématique de côté du rail de guidage de la figure 5 et de premiers et deuxièmes moyens de traction flexibles du dispositif de toit décapotable du véhicule de la figure 1, - la figure 10 est une vue schématique en perspective des premiers moyens de traction flexibles de la figure 9, - la figure 11 est une vue schématique en perspective détaillée des premiers moyens de traction flexibles de la figure 10, et - la figure 12 est une vue schématique en perspective des deuxièmes moyens de traction flexibles de la figure 9. L’avant d’un véhicule automobile est défini ici par rapport à son sens de déplacement courant, en marche avant.

Dans la suite de la description, les termes « avant » et « arrière » seront utilisés en référence avec les parties avant et arrière du véhicule dans le sens de marche normale de celui-ci.

Les figures 1 à 4 représentent schématiquement un véhicule 1 automobile selon l’invention, ici un véhicule 1 de tourisme.

Ce véhicule 1 comporte un compartiment intérieur 5. Ce compartiment intérieur comprend ici un habitacle destiné à accueillir un conducteur et des passagers du véhicule 1 ainsi qu’un logement à bagages 51 situé à l’arrière et en partie inférieure, de ce compartiment intérieure 5.

Dans une variante non représentée, le véhicule automobile selon l’invention est un véhicule utilitaire tel qu’une camionnette. Le compartiment intérieur du véhicule peut alors par exemple correspondre à une benne distincte de l’habitacle du véhicule.

Ce compartiment intérieur 5 est délimité ici latéralement par deux parois latérales 7, 8 du véhicule, en partie inférieure par un plancher 6 et en partie supérieure par un toit 2. A l’avant, il est délimité partiellement par un pare-brise 9 (figure 4) et à l’arrière par un hayon 4 (figure 1).

Le compartiment intérieur 5 est ici ouvert dans sa partie supérieure et à l’arrière.

Une ouverture 3 est ainsi ménagée dans le toit 2 du compartiment intérieur 5.

Cette ouverture 3 se prolonge ici à l’arrière du compartiment intérieur 5.

Plus précisément, cette ouverture 3 épouse ici à l’avant la forme du toit 2 de l’habitacle, tandis qu’à l’arrière, elle épouse le contour du hayon 4.

Ici, l’ouverture 3 s’étend de l’avant du toit 2 jusqu’au voisinage du plancher 6 du compartiment intérieur 5.

La surface du toit 2 du compartiment intérieur 5 est ici presque totalement occupée par l’ouverture 3.

Ainsi, cette ouverture 3 comprend ici une partie supérieure 3A sensiblement horizontale, au niveau du toit 2 du compartiment intérieur 5, et une partie arrière 3B sensiblement verticale, ou inclinée par rapport à la verticale, en partie arrière du compartiment intérieur 5 (figure 1,2 et A).

La partie arrière 3B de l’ouverture 3 est ici adaptée à être au moins partiellement obturée par le hayon 4 du véhicule.

En variante, l’ouverture du compartiment intérieur peut s’étendre sur une surface réduite du toit de ce compartiment intérieur.

Par ailleurs, le véhicule 1 comprend également un dispositif de toit décapotable 10 adapté à obturer ou libérer au moins partiellement ladite ouverture 3.

De manière remarquable, le dispositif de toit décapotable 10 du véhicule 1 automobile comprend : - un volet 100 comportant une pluralité de lattes 1000A, 1000B, 1000C disposées les unes à côté des autres, parallèlement à un axe d’enroulement 801 du volet (figures 1 à 3), et - des moyens d’actionnement (figures 9 à 12) permettant de dérouler et d’enrouler le volet 100 autour de son axe d’enroulement 801, entre une configuration déroulée (figure 1) dans laquelle il est déployé de manière à obturer au moins partiellement ladite ouverture 3 du toit 2 du compartiment intérieur 5, et une configuration enroulée (figure 3) dans laquelle il est enroulé autour de son axe d’enroulement 801 de manière à libérer au moins partiellement cette ouverture 3, - ledit axe d’enroulement 801 étant disposé à l’arrière et en partie inférieure dudit compartiment intérieur 5. L’axe d’enroulement 801 du volet, qui correspond ici à la direction d’enroulement du volet sur lui-même, s’étend transversalement par rapport au véhicule 1, perpendiculairement à un axe longitudinal X du véhicule s’étendant d’avant en arrière du véhicule 1 (figures 1 et 2).

Cet axe d’enroulement se situe ici de manière remarquable à l’arrière dudit compartiment intérieur 5, c’est-à-dire du côté de l’arrière du véhicule 1, et en partie inférieure de ce compartiment, c’est-à-dire à proximité du plancher 6 de ce compartiment intérieur 5.

Cet axe d’enroulement 801 se situe ici au fond du logement à bagages 51.

Dans le cas d’un véhicule utilitaire dont le compartiment intérieur est une benne, l’axe d’enroulement du volet est situé au fond et à l’arrière de cette benne, au lieu d’être situé dans un logement à bagages.

Dans la configuration enroulée du volet 100 (figure 3), la partie supérieure 3A de l’ouverture 3 est libérée : le compartiment intérieur 5 est alors découvert et celui-ci communique largement, sans séparation, avec l’environnement extérieur du véhicule 1. Ici, puisque le compartiment intérieur 5 comprend l’habitacle du véhicule 1, le conducteur et les passagers de ce véhicule 1 bénéficient, dans la configuration enroulée du volet, d’une vue panoramique particulièrement dégagée et d’une ventilation naturelle de l’habitacle.

Dans la configuration déroulée du volet 100 (figure 1), celui-ci est déployé dans ou contre l’ouverture 3, et recouvre ici complètement la partie supérieure 3A de l’ouverture 3 du compartiment intérieur 5. Ici, lorsqu’en outre le hayon 4 ferme la partie arrière 3B de l’ouverture 3 du compartiment intérieur 5, ce dernier est alors fermé et étanche.

Le dispositif de toit décapotable 10 du véhicule 1 comprend en outre deux rails de guidage 300, 400 (figures 1 à 5) qui s’étendent parallèlement entre eux le long de deux bords opposés de ladite ouverture 3, et dans lesquels le volet 100 est adapté à coulisser.

Ici, chaque bord opposé de l’ouverture 3 s’étend longitudinalement par rapport au véhicule 1, le long du toit 2 du compartiment intérieur 5 puis d’un côté arrière de la paroi latérale 7, 8 du véhicule correspondante (figure 4).

Plus particulièrement, chaque rail de guidage 300, 400 s’étend ici depuis l’avant du toit 2 du compartiment intérieur 5, jusqu’en partie arrière de ce dernier, au niveau de son plancher 6 (figure 4), en suivant le contour intérieur de l’ouverture 3.

Chaque rail de guidage 300, 400 comprend ici une pluralité de tronçons 402A, 402B, 402C de rails (figure 5) assemblés entre eux. Ils sont ici assemblés les uns aux autres par emboîtement. Cette structure facilite la fabrication des rails de guidage 300, 400 et leur installation dans le véhicule 1 .Chaque rail de guidage 300, 400 est ici constitué d’un profilé avec un fond 409 et deux parois latérales 404, 405 s’étendant à partir de ce fond 409 et délimitant une gorge 403 s’étendant le long du rail, dans laquelle le volet 100 est adapté à être guidé en coulissement (figure 6).

Cette gorge 403 est ouverte en direction de l’extérieur du compartiment intérieur 5.

En variante, les gorges des rails de guidage pourraient s’ouvrir en vis-à-vis l’une de l’autre.

Les parois latérales 404, 405 du rail de guidage 300, 400 comprennent à leur extrémité libre un retour 404’, 405’ vers l’intérieur de la gorge 403, de manière à délimiter une ouverture de cette gorge 403.

Chaque rail de guidage 300, 400 comprend également des moyens d’évacuation d’eau, ici une gouttière 406 s’étendant le long de ce rail 300, 400 (figures 5 et 6). Cette gouttière est délimitée entre une paroi additionnelle 411 et l’une des parois latérale 405 du rail de guidage 300, 400, du côté du rail orienté vers l’extérieur du véhicule 1.

Les rails de guidage 300, 400 sont ici formés en matière plastique.

En variante, les rails de guidage sont formés dans une quelconque autre matière rigide, par exemple un métal.

Chaque rail de guidage 300, 400 est ici logé dans un support 420 constitué d’un profilé en U s’étendant le long du rail de guidage 300, 400. Ce profilé en U comprend un fond et deux ailes latérales 421 s’étendant depuis ce fond.

Le fond 409 du rail de guidage 300, 400 est fixé sur une face intérieure de l’une des ailes latérales 421 du support 420. Cette aile latérale 421 du support 420 est fixée sur sa face extérieure au toit 2 du compartiment intérieur 5. Il est fixé, par exemple par collage, par vissage, ou au moyen d’une soudure.

Le support 420 porte extérieurement un enjoliveur 430 qui s’étend le long de ce support 420, par exemple un enjoliveur 430 formé d’une portion de tube cylindrique.

En outre, chaque rail de guidage 300, 400 présente ici, au niveau d’une extrémité arrière 408 de ce rail (figures 5 et 9), une partie en forme de spirale 401 enroulée autour d’un axe central (figures 2, 4, 5 et 9) transversal au véhicule 1. Cet axe central de la partie en forme de spirale 401 des rails de guidage 300, 400 définit l’axe d’enroulement 801 du volet.

Plus précisément, chaque partie en forme de spirale 401 est logée ici au fond du logement à bagages 51, et s’appuie sur le plancher 6 du compartiment intérieur.

Chaque partie en forme de spirale 401 présente ici une forme aplatie, plus longue dans une direction parallèle au plancher 6 du compartiment intérieur 5 que dans une direction perpendiculaire à ce plancher 6. Plus précisément, chaque partie en forme de spirale 401 est aplatie contre le plancher 6 du compartiment intérieur 5.

Dans sa configuration enroulée, le volet 100 est enroulé entre les deux rails de guidage 300, 400, au niveau de leurs parties en forme de spirale 401 (figure 3).

Ainsi, grâce à la forme de chacune de ces deux parties en forme de spirale 401, aplatie contre le plancher 6 du logement intérieur 5, le volet 100 dans sa configuration enroulée (figure 3) occupe un volume 52 également aplati (figure 9), ici de forme sensiblement parallélépipédique, situé contre le plancher 6 du compartiment intérieur 5, et présentant un encombrement réduit dans la direction perpendiculaire à ce plancher 6.

Le volet 100 dans sa configuration enroulée est donc particulièrement peu encombrant et laisse avantageusement libre la partie supérieure du compartiment intérieur 5, ce qui évite ainsi notamment de limiter le champ de vision des usagers du véhicule 1.

Il encombre en outre particulièrement peu le logement à bagages 51, et libère dans celui-ci un volume utile important, pouvant recevoir des bagages ou des objets à transporter (figure 3).

Un coffret de rangement (non représenté) est prévu ici au fond du logement à bagages 51 pour recevoir lesdites parties en spirale 401 des rails de guidage 300, 400, et le volet 100 dans sa configuration enroulée.

En variante, le logement à bagages est prévu sans coffret de rangement, mais comprend une plaque, s’étendant parallèlement au plancher du compartiment intérieur, et recouvrant les parties en spirale des rails de guidage, et le volet dans sa configuration enroulée. Cette plaque sépare ainsi le volet dans sa configuration enroulée, et le volume laissé libre dans le logement à bagages.

Selon une autre variante, le logement à bagages est prévu sans coffret de rangement, et sans la plaque mentionnée ci-dessus, le volet dans sa configuration pouvant alors servir directement de support pour des bagages placés dans le logement à bagages.

Une partie du volet 100 du dispositif de toit décapotable 10 est représenté schématiquement figures 7 et 8.

Comme on peut le voir sur ces figures, chaque latte 1000A, 1000B, 1000C de ce volet présente ici une forme globalement parallélépipédique très allongée selon un axe longitudinal Y et légèrement incurvée autour d’un axe parallèle à cet axe longitudinal Y de la latte. Chacune de ces lattes présente une face externe 1014 et une face interne 1013, tournées respectivement vers l’extérieur et vers l’intérieur du compartiment intérieur 5 dans la configuration déroulée du volet 100. Ces faces externes et internes sont reliées par deux faces latérales longitudinales avant et arrière 1001, 1002 dans la direction longitudinale de la latte. Chaque latte 1000A, 1000B, 1000C, 1000D, 1000E présente enfin une première et une deuxième faces d’extrémité 1020, 1021.

Ici, chaque latte 1000A, 1000B, 1000C présente par ailleurs une structure creuse (figures 6 et 7) qui réduit la quantité de matière nécessaire pour former cette latte, réduisant ainsi avantageusement son poids et son coût. Les lattes 1000A, 1000B, 1000C dudit volet 100 sont articulées entre elles le long de leur axe longitudinal Y par des moyens d’articulation.

Plus précisément, les moyens d’articulation de deux lattes 1000A, IOOOB, 1000C voisines de ce volet comprennent ici une pièce de liaison 1100A, 1100B, 1100C qui s’étend le long de chaque latte 1000A, 1000B, 1000C, entre la face latérale longitudinale avant 1001 de l’une de ces deux lattes, et la face latérale longitudinale arrière 1002 de l’autre de ces deux lattes 1000A, 1000B, IOOOC.

Chaque face latérale longitudinale avant ou arrière 1001, 1002, est ici pourvue d’un moyen d’accrochage adapté à coopérer en pivotement avec cette pièce de liaison 1100A, 1100B, 1100C.

Cette pièce de liaison 1100A, 1100B, 1100C est pourvue à cet effet de moyens d’accrochage complémentaires adaptés à coopérer en pivotement avec lesdits moyens d’accrochage des lattes.

En pratique, ici, les moyens d’accrochage de la latte et les moyens d’accrochage complémentaires de la pièce de liaison forment des charnières entre chaque pièce de liaison 1100A, 1100B, 1100C et les lattes 1100A, 1100B, 1100C voisines.

Ces charnières sont réalisées par la coopération entre des rebords complémentaires 1003, 1004, 1103, 1104 dont le profil est légèrement spiralé.

Ce mode de liaison entre deux lattes 1000A, 1000B, 1000C voisines du volet, par l’intermédiaire d’une pièce de liaison 1100A, 1100B, 1100C étroite et de deux charnières, facilite l’enroulement du volet 100 autour de son axe d’enroulement 801.

Chacune de ces charnières, puisqu’elle est ainsi formée de deux rebords 1003, 1004, 1103, 1104 légèrement spiralés engagés l’un dans l’autre, forme par ailleurs une chicane assurant l’étanchéité de cette charnière et participe ainsi à l’étanchéité du toit 2 du compartiment intérieur 5 lorsque le volet 100 est dans sa configuration déroulée.

Dans une variante non représentée, la jonction entre deux lattes voisines du volet est assurée par des moyens de liaison quelconques connus de l’homme du métier, par exemple par un joint flexible.

Les lattes 1000A, 1000B, 1000C et pièces de liaison 1100A, 1100B, 1100C du volet 100 sont ici formées d’aluminium. Le volet 100 est ainsi à la fois robuste et léger.

En variante, le volet est formé d’une quelconque autre matière rigide, par exemple de matière plastique.

Chaque latte 1000A, 1000B, 1000C du volet 100 est montée mobile en coulissement sur les deux rails de guidage 300, 400 du volet, à chacune de ses extrémités. Elle s’étend entre ces deux rails de guidage 300, 400, selon une direction perpendiculaire à ces rails de guidage 300, 400. Elle comporte à cet effet des moyens de montage à coulissement dans les rails de guidage 300, 400.

Plus précisément, chaque latte 1000A, 1000B, 1000C du volet comporte ici deux chariots 1030 fixés contre la face interne 1013 de cette latte, aux extrémités de cette latte (figures 6 et 8).

Chacun de ces deux chariots 1030 porte des moyens de roulement 1031. Ces moyens de roulement comprennent par exemple deux roulettes montées sur un axe de ce charriot parallèle à l’axe longitudinal Y de la latte correspondante.

Les moyens de roulement 1031 de chacun des chariots 1030 de cette latte sont engagés dans la gorge 403 du rail de guidage 400 correspondant (figure 6).

Comme les parois latérales 404, 405 des rails de guidage comportent des retours 404’, 405’ orientés l’un vers l’autre, les moyens de roulement 1031 sont fermement maintenus à l’intérieur de la gorge correspondante. Ceci limite les risques d’arrachement de la latte.

Ici, les moyens de roulement 1031 sont en contact, d’une part, avec une face interne desdits retours 404’, 405’, et, d’autre part, avec une paroi interne 410 du rail de guidage 300, 400 parallèle au fond 409 de ce rail. Les moyens de roulement roulent ainsi sur cette face interne desdits retours 404’, 405’ et sur la paroi interne 410 du rail de guidage.

La face interne 1013 de chaque latte du volet couvre en partie les rails de guidage 300, 400 sur lesquels elle est montée (figure 6). Chacune des première et deuxième faces d’extrémité de cette latte est située sensiblement à l’aplomb de la gouttière 406 du rail 400 correspondant.

Ce recouvrement des rails de guidage 300, 400 par chacune des lattes 1000A, 1000B, 1000C du volet 100 assure efficacement l’étanchéité du toit 2 lorsque le volet 100 est dans sa configuration déroulée, puisque de l’eau ou des projections qui seraient reçues sur le volet 100 seraient alors guidées par ce dernier vers les gouttières 406 des rails de guidage 300, 400.

Cette étanchéité est encore améliorée par chacun des supports 420 des rails de guidage 300, 400, qui recouvre en partie le volet 100 dans sa configuration déroulée (figure 6), au niveau du rail de guidage correspondant 300, 400.

En variante, tout autre montage en coulissement des lattes du volet sur les rails de guidage peut être envisagé, par exemple un montage selon lequel l’extrémité de chaque latte est directement engagée dans la gorge de l’un des rails de guidage, lorsque les gorges des deux rails de guidage s’ouvrent en vis-à-vis.

Les moyens d’actionnement de ce dispositif de toit décapotable 10 comprennent ici des moyens de traction flexibles reliés au volet 100, permettant de tirer sur ce dernier de manière à l’enrouler ou à le dérouler.

Ces moyens de traction flexibles comprennent ici des moyens de traction flexibles avant 500 et des moyens de traction flexibles arrière 600, fixés tous deux au volet 100.

Plus précisément, les moyens de traction flexibles avant 500 comprennent un premier et un deuxième câbles avant 501, 502, métalliques (figures 9 à 12), fixés à l’avant du volet, respectivement à proximité de chaque extrémité d’une latte avant du volet.

Les moyens de traction flexibles arrière 600 comprennent également un premier et un deuxième câbles arrière 601, métalliques, fixés à l’arrière du volet, respectivement à proximité de chaque extrémité d’une latte arrière du volet.

En variante, un seul moyen de traction flexible est fixé le long des extrémités des lattes, le long d’un des côtés du volet, ce seul moyen de traction flexible jouant le rôle à la fois du premier câble avant et du premier câble arrière.

En variante encore, les moyens de traction flexibles avant et arrière comprennent des sangles au lieu de câbles métalliques flexibles.

Les moyens d’actionnement de ce dispositif de toit décapotable 10 comprennent également des moyens d’entrainement avant et arrière 500, 600 desdits moyens de traction flexible.

Les moyens de traction flexibles avant 500 et arrière 600 relient le volet respectivement : - aux moyens d’entrainement avant 510 situés à l’avant du compartiment intérieur 5, et - aux moyens d’entrainement arrière 610 situés à l’arrière du compartiment intérieur 5, à proximité du plancher 6 de ce dernier.

Les moyens d’entrainement avant 510 comprennent une roue d’entrainement avant 511 et un moteur électrique avant 512 adapté à commander cette roue d’entrainement avant 511 en rotation.

Les moyens d’entrainement arrière 610 comprennent une première roue d’entrainement arrière 611, une deuxième roue d’entrainement arrière (non représentée), et un moteur électrique arrière 612, adapté à commander les première et deuxième roues d’entrainement arrière 611 en rotation.

La première roue d’entrainement arrière 611 est située à proximité de l’extrémité arrière 408 de l’un des rails de guidage 300, 400, et la deuxième roue d’entrainement arrière est située à proximité de l’extrémité arrière de l’autre rail de guidage 300, 400.

Les premier et deuxième câbles avant 501, 502 relient l’avant du volet 100 à la roue d’entrainement avant 511 sur laquelle ils sont enroulés en partie.

Chacun des premier et deuxième câbles avant 501, 502 chemine depuis le volet 100, le long du rail de guidage 300, 400 correspondant, jusqu’à une extrémité avant 407 de ce rail de guidage 300, 400 (figure 9). Ce premier ou deuxième câble avant 501, 502 est ensuite guidé jusqu’à la roue d’entrainement avant 511 par une gaine de protection correspondante 503 (figures 10 et 11).

En variante, les moyens d’entrainement avant comprennent deux roues d’entrainement avant, associées respectivement aux premier et deuxième câbles avant, au lieu d’une seule roue d’entrainement avant.

Les premier et deuxième câbles arrière 601 relient l’arrière du volet 100, respectivement à la première et la deuxième roue d’entrainement arrière 611.

Chacun des premier et deuxième câbles arrière 601 chemine depuis le volet 100, le long du rail de guidage 300, 400 correspondant, jusqu’à l’extrémité arrière 408 de ce rail de guidage 300, 400. Ce premier ou deuxième câble arrière 601 s’enroule ensuite directement sur l’une des première ou deuxième roues d’entrainement arrière 611, correspondant à ce câble (figures 9 et 12).

En variante, les moyens d’entrainement arrière comprennent une seule roue d’entrainement arrière, sur laquelle s’enroulent les premier et deuxième câbles arrière, au lieu d’une première et d’une deuxième roue d’entrainement arrière.

Pour dérouler le volet 100 depuis sa configuration enroulée (figure 3) vers sa configuration déroulée (figures 1 et 2) : - le moteur électrique avant 512 commande en rotation la roue d’entrainement avant 511 de manière à tirer sur le volet 100 vers l’avant par l’intermédiaire des premier et deuxième câble avant 501, 502, et, conjointement, - le moteur électrique arrière 612 commande en rotation la roue d’entrainement arrière 611 de manière à libérer progressivement le premier câble arrière 601.

De manière comparable, pour enrouler le volet 100 depuis sa configuration déroulée (figures 1 et 2) vers sa configuration enroulée (figure 3) : - le moteur électrique arrière 612 commande en rotation la roue d’entrainement arrière 611 de manière à tirer sur le volet 100 vers l’arrière par l’intermédiaire du premier câble arrière 601, et, conjointement, - le moteur électrique avant 512 commande en rotation la roue d’entrainement avant 511 pour libérer progressivement les premier et deuxième câbles avant 501, 502.

Ces moyens d’actionnement du dispositif de toit décapotable 10 permettent aussi de placer le volet 100 dans une configuration intermédiaire, partiellement enroulée, dans laquelle il libère partiellement la partie supérieure 3A de l’ouverture 3 du compartiment intérieur 5.

En variante, les moyens d’actionnement du dispositif de toit décapotable du véhicule sont réalisés d’une quelconque manière connue de l’homme du métier, par exemple sous forme d’une poignée d’actionnement manuel fixée sur la face interne de la latte avant du volet.

Grâce à ces moyens d’actionnement, un des usagers du véhicule 1 peut commander l’enroulement ou le déroulement du volet 100, de manière à couvrir ou découvrir la partie supérieur 3A de l’ouverture 3 du compartiment intérieur 5.

Quant à la partie arrière 3B de cette ouverture 3, celle-ci est adaptée à être fermée par le hayon 4. Ce hayon 4 comprend un panneau de hayon 41, monté mobile en pivotement sur la carrosserie du véhicule 1, par rapport à un axe s’étendant transversalement par rapport au véhicule 1, perpendiculairement à l’axe longitudinal X de ce véhicule 1. Ce hayon 4 est monté ainsi en bordure de la carrosserie du véhicule 1, au niveau d’un bord arrière inférieur 31 de l’ouverture 3 (figure 2 à 4), situé au niveau du plancher 6 du compartiment intérieur 5 et délimitant cette ouverture 3 à l’arrière.

Ce panneau de hayon 41 est ainsi mobile entre : - une position d’ouverture dans laquelle il libère la partie arrière 3B de l’ouverture 3 et s’étend sensiblement horizontalement, et - une position de fermeture dans laquelle il s’étend parallèlement à ladite partie arrière 3B de l’ouverture 3, et l’obture en partie inférieure.

Le hayon 4 comprend également, ici, un vitrage de hayon 42 monté mobile en coulissement dans le panneau de hayon 41 entre une position d’ouverture dans laquelle il est logé dans ce panneau de hayon 41, et une position de fermeture dans laquelle il s’étend au dessus du panneau de hayon 41.

Lorsque le panneau de hayon 41 et le vitrage de hayon 42 sont tous deux dans leur position de fermeture, ils obturent la partie arrière 3B de l’ouverture 3 du compartiment intérieur 5. Ainsi, dans cette situation, lorsque le volet 100 est en outre dans sa configuration déroulée (figure 1), l’ouverture 3 est obturée aussi bien au niveau de sa partie supérieure 3A que de sa partie arrière 3B, ce qui permet de fermer hermétiquement le compartiment intérieur 5.

Lorsque le volet 100 est dans sa configuration enroulée, que le panneau de hayon 41 est dans sa position de fermeture, et que le vitrage de hayon 42 est dans sa position d’ouverture, la partie supérieure 3A et le haut de la partie arrière 3B de l’ouverture 3 sont dégagés. Grâce au caractère mobile de ce vitrage de hayon 42, le compartiment intérieur 5 du véhicule 1 peut ainsi être découvert encore plus largement, ce qui présente ici un agrément supplémentaire pour des usagers de ce véhicule 1 ayant pris place dans ce compartiment intérieur 5. En outre, lorsque le vitrage de hayon 42 est dans sa position d’ouverture, le logement à bagages 51 est accessible particulièrement facilement : des bagages ou objets peuvent y être placés ou en être retirés sans avoir à ouvrir le panneau de hayon 41 pour cela.

En variante, le volet est adapté, dans sa configuration déroulée, à fermer non seulement la partie supérieure de l’ouverture du compartiment intérieur, mais aussi sa partie arrière.

Il est alors possible de prévoir que, dans une configuration intermédiaire dans laquelle une première partie du volet est enroulée et une deuxième partie du volet est déroulée, la partie déroulée du volet obture uniquement la partie arrière du compartiment intérieur, jouant ainsi le rôle du hayon. Le véhicule peut alors ne pas comprendre de hayon distinct du volet.

Dans une autre variante, l’ouverture du compartiment intérieur est ménagée seulement au niveau du toit de ce compartiment intérieur. En variante encore, l’axe d’enroulement peut être un arbre d’enroulement autour duquel le volet est adapté à être enroulé. Cet arbre d’enroulement est alors logé à l’arrière du compartiment intérieur et dans sa partie inférieure.

Claims (10)

1. REVENDICATIONS

   1. Véhicule (1) automobile décapotable comportant un compartiment intérieur (5) dans lequel est ménagée une ouverture (3) ainsi qu’un dispositif de toit décapotable (10), adapté à obturer ou libérer au moins partiellement ladite ouverture (3), caractérisé en ce que le dispositif de toit décapotable (10) comprend : - un volet (100) comportant une pluralité de lattes (1000A, 1000B, 1000C) disposées les unes à côté des autres, parallèlement à un axe d’enroulement (801) du volet (100), et - des moyens d’actionnement permettant de dérouler et d’enrouler le volet (100) autour de son axe d’enroulement (801), entre une configuration déroulée dans laquelle il est déployé de manière à obturer au moins partiellement ladite ouverture (3) du toit (2) du compartiment intérieur (5), et une configuration enroulée dans laquelle il est enroulé autour de son axe d’enroulement (801) de manière à libérer au moins partiellement cette ouverture (3), - ledit axe d’enroulement (801) étant disposé à l’arrière et en partie inférieure dudit compartiment intérieur (5).
2. 2. Véhicule (1) automobile selon la revendication 1, dans lequel ledit dispositif de toit décapotable (10) comprend en outre deux rails de guidage (300, 400) qui s’étendent parallèlement entre eux le long de deux bords opposés de ladite ouverture (3), et dans lesquels le volet (100) est adapté à coulisser.
3. 3. Véhicule (1) automobile selon la revendication 2, dans lequel ledit volet (100) comprend au moins une latte (1000A, 1000B, 1000C) comportant des moyens de roulement (1031), situé à proximité d’une extrémité de la latte (1000A, 1000B, 1000C) et engagés dans une gorge (403) de l’un des rails de guidage (300, 400) de manière à guider ladite latte (1000A, 1000B, 1000C) en coulissement le long de ce rail de guidage (300, 400).
4. 4. Véhicule (1) automobile selon l’une des revendications 2 et 3, dans lequel lesdits rails de guidage (300, 400) présentent chacun, à l’une de leurs extrémités, une partie en forme de spirale (401) adaptée à guider l’enroulement (801 ) du volet (100) autour de son axe d’enroulement 801.
5. 5. Véhicule (1) automobile selon la revendication 4, dans lequel chacune desdites parties en forme de spirale (401) présente une forme aplatie, plus longue dans une direction parallèle à un plancher (6) du compartiment intérieur (5) que dans une direction perpendiculaire à ce plancher (6).
6. 6. Véhicule (1) automobile selon l’une des revendications 2 à 5, dans lequel chaque rail de guidage (300, 400) comprend au moins deux tronçons (402A, 402B, 402C) de rails assemblés l’un à l’autre.
7. 7. Véhicule (1) automobile selon l’une des revendications 1 à 6, dont le compartiment intérieur (5) est fermé à l’arrière par un hayon (4).
8. 8. Véhicule (1) automobile selon la revendication 7, dont le hayon (4) comprend un vitrage (42) monté mobile en coulissement dans un panneau de hayon (41) entre une position d’ouverture dans laquelle il est logé dans ce panneau de hayon (41), et une position de fermeture dans laquelle il s’étend au dessus du panneau de hayon (41).
9. 9. Véhicule (1) automobile selon l’une des revendications 1 à 8, dans lequel lesdits moyens d’actionnement comprennent des moyens de traction flexibles reliés au volet (100), pour tirer sur le volet (100) de manière à l’enrouler ou à le dérouler.
10. 10. Véhicule (1) automobile selon l’une des revendications 1 à 9, dans lequel ledit compartiment intérieur (5) comprenant un logement à bagages (51) situé à l’arrière du véhicule (1), l’axe d’enroulement (801) du volet est situé au fond de ce logement à bagages (51).