FR2767745A1 - Dispositif destine a fixer des rubans pour fermer des livres - Google Patents

Abstract

A la figure 1 : (1) est le rouleau du ruban, (3) est le canal de positionnement du ruban, (2) est le dispositif qui attire le convoyeur, (12) est la lame tranchante destinée à couper le ruban, (5) et (8) permettent de percer le carton et a enfoncer le ruban après une rotation de 180degre permise par le mécanisme (7), (9) permet le transfert du carton, (10) est la lumière d'entrée dans le carénage (6), (11) est l'armoire électrique. Ce destine de préférence à l'industrie de l'imprimerie.

Description

FIXA TION DE RUBAN DESTINE A FERMER DES LIVRES
La présente invention concerne les reliures de livres avec une préférence pour les agendas.

Malgré l'invention des ordinateurs de poche et autres dispositifs destinés à mémoriser des noms ou à servir d'agendas : le livre de compte ou l'agenda sur lequel on note jour par jour les choses que l'on se propose de faire, n'est pas prêt d'être délogé.

L'avantage ne provient pas seulement du fait que l'on peut faire rapidement une consultation rétro-active mais aussi réside dans l'action d'écrire, laquelle consiste déjà à mémoriser les faits.

Il faut préciser qu'en cette fin de vingtième siècle, I'impression de tel document par les imprimeurs qualifiés facilite beaucoup leur utilisation.

Mais; il n'existe pas que l'agenda comme document souvent utilisé, dans certains livres standards dotés d'une excellente couverture, l'utilisateur trouve un avantage.

Il existe une certaine catégorie de livres pratiquement indispensable et dont le renouvellement est quotidien, ce sont les livres de bord, livres de compte ou livres de commerce... sans oublier les livres d'or, d'enregistrement, les grands livres, livres de messes, livre d'images ou de poésie, les livres de recette, les livres scolaires
Les livres pré-cités ainsi que bien d'autres sont dotés d'une couverture en carton particulièrement soignée dans la qualité substancielle du produit également au niveau de l'impression.

Cette technique est appliquée pour deux raisons.

La première a pour but d'attirer le consommateur, et la seconde de retenir son attention sur les côtés pratiques de ce livre.

Un aspect très pratique pour l'utilisateur consiste à se servir d'un livre comme d'un classeur et pour ce faire d'y glisser des feuilles.

Cela devient même indispensable dans le domaine de la comptabilité, de la gestion administrative et même dans la vie courante.

Le problème est que les feuilles s'éparpillent aussitôt que l'on bouge le livre et dans tous les cas, chaque fois que l'on manque de vigilance.

Certains industriels ont tenté de parer à ce problème par la fabrication de couvertures compliquées qui donne au livre l'apparence d'une valise.

La présente invention a pour but de faciliter ce problème de fermeture sans préjudice esthétique et à moindre frais.

Des industriels proposent depuis longtemps aux consommateurs des livres dotés de rubans élastiques permettant une fermeture destinée à relier les feuilles entre elles y compris celles ajoutées à l'intérieur du livre.

Le problème réside dans le coût de cette prestation manuelle qui consiste à découper plus ou moins industriellement des rubans à la bonne longueur et enfin de les placer sur la reliure du livre à travers deux fentes pratiquées à l'aide d'un objet tranchant pour ensuite coller les extrémités à l'intérieur du carton avant le façonnage définitif.

Cette réalisation manuelle ne peut répondre à la demande des consommateurs ne serait-ce qu'au niveau des agendas qui se renouvellent chaque année à raison de dizaines de millions d'exemplaires en France.

L'agenda de poche est le document le plus concerné par la présente invention car c'est a' I'intérieur de ce document nonobstant ses dimensions que l'on glisse le plus de feuilles avec le souci de ne pas les perdre.

La présente invention a pour but de faciliter la fixation de ruban généralement élastique destiné à refermer les deux couvertures d'un livre.

Dans une des applications de l'invention non limitatives, le dispositif comprend deux rouleaux superposés dont la mécanique s'apparente à celle d'un tapis roulant.

Ces tapirs roulants superposés sont fixés de telle sorte qu 'il existe un espace entre le tapis supérieur et le tapis inférieur.

Cet espace correspond à l'épaisseur d'un carton standard généralement utilisé dans les reliures de livres.

Les composants du tapis roulant sont en matériau souple afin de tolérer les différentes épaisseurs formées par les reliures des livres.

Ces reliures de livre sont introduites dans le dispositif dans le sens convenable avant le façonnage du document à relier.

Ces tapis roulants sont au nombre de deux trains.

Le premier train a pour effet d'avaler le carton et le second a pour but de l'évacuer.

Ces bandes transporteuses tournent dans le même sens.

Leur mise en route du premier train s'effectue aussitôt que le carton effleure le rouleau.

Un second interrupteur arrête ce mouvement dès que le carton a rejoint la place compatible à l'opération de fixation du ruban.

Le ruban en provenance d'un rouleau de stockage mobile a été préalablement amorcé sur une longueur qui correspond à celle compatible pour le carton et dans un rail prévu à cet effet.

Ce rail est destiné à recevoir le ruban bien à plat afin qu'il ne subisse aucune défoJmation.

Un dispositif appelé convoyeur est doté de deux lames tranchantes.

Ces deux lames sont fixées sur un bras qui tournent sur 1800 après chaque opération.

La première opération va consister à faire pénétrer ces deux lames tranchantes dans le carton en vue d'effectuer des passages dans lesquels le ruban va être introduit.

Dès leur mouvement ascentionnel, ces lames tournent de 1800 de sorte que la nouvelle extrémité placée au dessus des perforations venant d'être effectuées, sont prédisposées pour introduire le ruban dans la fente par leur mouvement descendant.

Le convoyeur glisse sur le rail et couvre la longueur souhaitée dont la dimension est prédisposée par celle du rail.

Plusieurs orifices à l'intérieur du convoyeur aspire le ruban afin de le plaquer à l'intérieur d'un logement compatible.

Aussitôt, le convoyeur retourne à la place initiale et surmonte le carton en retenant le ruban.

Instantanément, un dispositif tranchant sectionne le ruban à la limite de la surface du carton.

Les pièces descendantes ayant repris leur place initiale : deux rouleaux imprégnés de colle avancent sous le carton à l'endroit où se trouvent les extrémités du ruban ayant traversé le carton.

Cette action a pour effet de plaquer les extrémités du ruban sous la partie intérieure du carton.

Aussitôt, le deuxième train de roulement se met en marche et relayant le premier, expédie le carton ainsi dotez d'un ruban.

Dans une des applications de l'invention, à titre indicatif et non limitatif, à la HG.(l):
(l) est l'armoire électrique dotée de cadrans lumineux ainsi que de cerveaux commande pour les actions mécaniques simultanées et synchronisées.

Dans une des applications de l'invention, le courant électrique est de basse tension.

L'armoire électrique (1) reçoit un interrupteur général pour la mise sous tension du dispositif.

(28) est l'ouverture dans le carter (8), ouverture qui s'apparente à celle d'une boîte aux lettres en ce sens qu 'elle ne dépasse que très peu l'épaisseur du carton.

(3) est un interrupteur qui entraîne aussitôt les deux rouleaux (26) et (27). Cet entraînement s'arrête par l'interrupteur (37) de la FIG. (2).

Aussitôt les lames tranchantes (68) et (73) traversent le carton formant un passage compatible pour le ruban.

Instantanément, après leur mouvement ascensionnel, ces lames décrivent une rotation de 1800 et ce sont les platines (7) et (21) qui surmontent les passages venant d'être pratiqués dans le carton.

A cet instant, le convoyeur (56) glisse sur un double rail (33), à l'intérieur duquel est prévu le passage du ruban en provenance du rouleau (2).

Le passage de ce ruban implique une amorce avant démarrage, avant mise sous tension jusqu'à la portée (34).

Cette portée (34) est au dessus du niveau des surfaces (44) et (43).

Le niveau (34) se trouve ainsi supérieur à celui du carton car cette différence de niveau est supérieur à l'épaisseur d'un carton standard.

Avant de retourner à la place initiale, le convoyeur (56) aspire le ruban par des orifices tels que (74) et (84). ces orifices sont reliés à un tube (75) en provenance d'une arrivée d'air souple (77).

Une vanne (85) commandée par un boîtier (76) règle l'ouverture et la fermeture à chaque position demandée.

Le ruban ainsi entraîné se trouve placé parfaitement au-dessus du carton grâce aux différences de niveau telles que (51) et (34).

(51) prend la forme d'un U renversé destiné à faire un logement pour le ruban afin d'éviter toujours sa déformation
Par leurs mouvements descendant, les platines (17)et (21) font glisser le ruban dans les logements pratiqués aussitôt après que la lame tranchante (16) ait sectionné le ruban dans la limite du carton au niveau du repère (34).

La valve (85) arrête l'aspiration d'air. Aussitôt deux rouleaux (73) et (78) entrent en action pour faire plaquer le ruban sous le carton par un mouvement longitudinal.

Des injecteurs de colle (81) et (82) ont préalablement injecté quelques gouttes de colle là où le rouleau va presser le ruban.

La fm de course des rouleaux (80 et (78) enclenchent l'inertie des deux trains de roulement destinés à éjecter le carton dans le sens opposé à celui de l'introduction.

A la FlG.(l): (4) sont des rouleaux destinés à favoriser le mouvement du full. (5) est le moteur électrique pour entraînement des tapis roulants. (29) est la gorge du rail. (88) est le carter. (9) est l'interrupteur de treuil. (10) est le treuil de traction de dispositif (15). (12) et (19) sont les tiges d'acheminement. (61) sont des ressorts de rappel.

(145 est l'interrupteur du vérin électromagnétique (69. (72) est la platine de la lame tranchante (lu). (71) est le coulisson dans lequel passe le pivot (70). (62) et (63) sont les amarres des tiges (12) et (19). (64) est l'interrupteur du moteur (66).

(65) et (67) sont les bras du parallélogramme déformable. (18) est le vérin électromagnétique.(49) et (38) sont les lumières pratiquées dans le dispositif (26).

(48) et (40) sont les chaînes d'entraînement des bandes transporteuses. (41) et (47) sont les moteurs électriques d'entraînement. (32) est le support du rail. (57) est le passage pratiqué entre les bandes transporteuses. (54) et (55) sont les extrémités du dispositif entrée/sortie. (83) représente un carton de reliure de livre avant façonnage et (84), le ruban élastique destiné à sa fermeture.

Claims (1)

RE VENDICA TISONS

1. Dispositif destiné à fixer un ruban sur la couverture extérieure d'un livre, et à coller ses deux extrémités sur la couverture intérieure après t'avoir traversée convenablement, cette réalisation permettant de tenir le livre fermé grâce à ce ruban de préférence élastique, caractérisé par le fait qu'il comprend deux tapis roulants superposés (26), (27) et (35), (36) dont la superposition permet le passage d'un carton et le mouvement de rotation grâce à l'interrupteur (3) qui entre en contact dès la présentation du carton sous l'ouverture (28) dont l'avancement linéaire s'arrête par l'interrupteur (37) qui provoque aussitôt la descente des lames (68) et (73) et instantanément le déplacement du convoyeur (56) sur un rail (33), à l'intérieur duquel a été amorcé jusqu'en position (34) le ruban (2), des aspirateurs (74) et (85) entrant aussitôt en action pour bloquer le ruban grâce aux lames qu'ils retiennent permettant ainsi le mouvement du ruban au dessus du carton grâce à la différence de niveau telle que (7), un mouvement de rotation de 180 positionnant les platines (17) et (21) au-dessus des orifices pratiqués et dont le mouvement de descente va introduire les extrémités du ruban après que la lame tranchante (16) l'ait sectionné dans la limite du carton tel que repère (34), le mouvement rotatif des tapis roulants étant aussitôt actionné grâce aux automates situés dans l'armoire t afin d'éjecter le carton, après que les injecteurs de colle (81) et (82) soient entrés en action et que les rouleaux (80 et (78) aient décrit un mouvement linéaire destiné à faire plaquer le ruban contre la partie interne du carton.