FR2680642A1 - Dispositif de reglage d'avancee pour chaussure de ski. - Google Patents

Abstract

Chaussure de ski alpin constituée d'un bas de coque destinée à entourer le pied, et d'une tige surmontant ledit bas de coque destinée à envelopper le bas de jambe du skieur tout en lui permettant de fléchir la jambe au moins partiellement vers l'avant, caractérisée en ce que la tige de la chaussure est constituée d'une partie postérieure ou capot arrière monté pivotant sur le bas de coque grâce à une première articulation au niveau de la paroi de talon et d'une partie antérieure, elle-même constituée d'une languette avant coopérant avec une bride avant de recouvrement montée pivotante sur le bas de coque par une seconde articulation, tandis que des moyens de serrage et de fermeture de la tige sont disposés respectivement sur ledit capot arrière et ladite bride avant de recouvrement pour les faire coopérer ensemble en position de fermeture de la chaussure, un dispositif de réglage de l'angle d'avancée de la tige étant disposé entre ladite languette avant et ladite bride de recouvrement en une zone située sur l'avant de la tige.

Description

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DISPOSITIF DE REGLAGE D'AVANCEE POUR CHAUSSURE DE SKI

L'invention concerne une chaussure de ski et plus particulièrement un dispositif de réglage d'avancée La présente invention se rapporte plus particulièrement à une chaussure de ski alpin constituée d'un bas de coque rigide destiné à entourer le pied et d'une tige surmontant ledit bas de coque, destinée à entourer et envelopper le bas de jambe du skieur, tout en lui permettant de fléchir la jambe au moins partiellement vers l'avant sous l'effet de poussées survenant lors de la pratique du ski Cette chaussure de ski qui peut être du type à entrée centrale, c'est à dire par écartement simultané vers l'avant et vers l'arrière de deux parties de tige, ou du type à entrée arrière, possède selon l'invention, un dispositif de réglage de l'angle d'avancée de la tige par

rapport au bas de coque de la chaussure en position d'utilisation.

Il existe sur le marché des chaussures de ski alpin qui comportent de tels dispositifs de réglage destinés à assurer avec la technicité nécessaire, la transmission des efforts appliqués par la jambe du skieur au niveau de la tige, en fonction de la technique de ski pratiquée, de la morphologie des skieurs, voire de la nature du terrain En effet, pour permettre aux skieurs d'utiliser de telles chaussures dans des disciplines différentes du ski alpin, telles que le ski de compétition, hors piste, etc, il est souhaitable, voire même parfois nécessaire de pouvoir faire varier

l'angle d'inclinaison avant ou angle d'avancée de ces chaussures.

De telles chaussures ont été décrites dans les brevets français N O 2 024 700 et 2 276 850 par exemple Cependant, bien que ces chaussures autorisent une variation de l'angle d'avancée, elles sont dans la majorité des cas, inconfortables au niveau de l'appui tibial de la jambe du skieur lors de flexion avant exercées au cours du ski Cet inconfort est engendré par la disposition constructive des dispositifs mis en place, et renforcé par le fait que la manipulation en est malcommode, plus particulièrement lorsque le skieur a la chaussure au pied et qu'il est obligé

de la défaire et de modifier tous ses réglages de fermeture et de serrage.

Ainsi, la chaussure selon le brevet FR 2 024 700 comporte un dispositif de réglage qui permet d'obtenir une modification de l'angle d'avancée en modifiant la position d'accrochage sur la partie antérieure supérieure d'un bas de coque rigide, des ailes relativement souples d'un capot arrière articulé sur ce bas de coque Avec cette chaussure, la flexion avant est essentiellement autorisée à l'endroit d'une languette avant montée articulée sur le bas de coque, et le contrôle de cette flexion ne peut être obtenu que par la coopération par frottement et écartement latéral des ailes souples contre lesquelles s'appuie ladite languette Dans ce cas précis, le réglage de l'angle d'avancée de la tige ne produit d'effets sensibles réels que dans le cas de l'appui arrière de la jambe, du fait que

les ailes souples s'ouvrent à l'écartement vers l'avant.

En ce qui concerne la chaussure de ski selon le brevet FR 2 276 850, le réglage d'avancée est obtenu en modifiant la longueur du périmètre d'enveloppement antérieur du bas de jambe par la tige Cette tige est en fait issue du bas de coque qui remonte vers la zone d'appui tibial en formant une partie antérieure aménagée d'une fente médiane se terminant par un trou Cette partie antérieure de coque-tige est recouverte d'une bride articulée latéralement sur la coque qui s'étend vers l'arrière pour assurer au moyen de crochets, la fermeture de la tige Le réglage de l'angle d'avancée est alors réalisé par l'insertion d'un coin en forme de trou de serrure inversé, dans la fente et le trou dont il écarte les bords, de sorte que le pourtour de la tige se trouve modifié Ce faisant, par le serrage de la bride sur la tige qui se trouve déplacée de la valeur de la dimension du coin, ladite tige voit son angle d'avancée également modifié Dans cet exemple, il est donc nécessaire d'avoir à disposition plusieurs coins de dimensions différentes pour obtenir une variation progressive de l'angle d'avancée De plus, la mise en place de ce coin

sous la bride de recouvrement est malaisée car la matière de la tige-

coque est relativement rigide et se laisse difficilement écarter.

La présente invention vise à remédier aux inconvénients évoqués ci- dessus et a pour objet de réaliser une chaussure de ski munie d'un dispositif de réglage de l'angle d'avancée de la tige qui soit simple de manipulation et de construction, tout en supprimant toute interférence avec les moyens de contrôle de la flexion ou avec les moyens de serrage

et de fermeture de la tige.

A cet effet, la chaussure de ski selon la présente invention est composée d'un bas de coque destiné à entourer le pied du skieur et d'une tige surmontant ledit bas de coque destinée à envelopper le bas de jambe du skieur tout en lui permettant de fléchir au moins partiellement vers l'avant; cette chaussure se caractérise par le fait que la tige de la chaussure est constituée d'un capot arrière monté pivotant sur le bas de coque grâce à un premier axe d'articulation au niveau de la paroi de talon, et d'une partie antérieure, elle-même constituée d'une languette avant coopérant avec une bride avant de recouvrement montée pivotante sur le bas de coque grâce à un second axe d'articulation, tandis que des moyens de serrage et de fermeture de la tige sont disposés respectivement sur lesdits capot arrière et bride avant de recouvrement, de sorte à les faire coopérer ensemble en position d'utilisation, un dispositif de réglage de l'angle d'avancée de la tige étant disposé entre ladite languette avant et ladite bride avant de recouvrement en une zone située sur l'avant de la tige. Plusieurs modes de réalisation peuvent être proposés au skieur et pour lesquels l'un d'eux consiste en une chaussure de ski dont la tige

articulée par rapport au bas de coque est du type à entrée arrière.

Selon une autre variante, la chaussure de ski est du type à entrée centrale pour la tige, au moins en deux parties distinctes, et permet le chaussage par écartement dans l'axe longitudinal de la chaussure, de

chacune de ces parties de tige.

Enfin, divers dispositifs de réglage pourront être montés entre la languette avant et la bride avant de recouvrement, sans que ces structures

ne sortent du domaine de l'invention.

D'autres caractéristiques et avantages de l'invention se dégageront

de la description qui va suivre en regard des dessins annexés qui ne sont

donnés qu'à titre d'exemples non limitatifs.

La figure 1 représente en vue latérale, une chaussure de ski selon l'invention, du type à entrée arrière comportant une languette avant issue du bas de coque dont elle fait partie intégrante; La figure 2 illustre un autre mode de réalisation de chaussure de ski selon l'invention du type à entrée centrale et dont la tige est constituée

par plusieurs parties assemblées et combinées entre elles.

La figure 3 est une vue en coupe d'un dispositif de réglage d'avancée adapté à l'une quelconque des chaussures illustrées précédemment. Les figures 4 A, 4 B et 4 C sont des vues similaires à la figure 3 montrant une variante du dispositif de réglage dans ses trois positions possibles A, B et C. Les figures Sa et 5 b représentent une autre variante du dispositif

de réglage dans ses deux positions de réglage.

La figure 6 est une vue en coupe transversale d'un insert.

D'autres objets et caractéristiques de la présente invention

apparaîtront à la lecture de la description détaillée en faisant référence

au mode de réalisation illustré à la figure 1 o la chaussure de ski selon l'invention est constituée d'un bas de coque ( 1) sur lequel est au moins

partiellement articulée une tige ( 2) entourant le bas de jambe du skieur.

Cette tige est elle-même composée d'un capot arrière ( 3) monté sur une articulation ( 4) disposée au niveau de la paroi ( 5) de talon du bas de coque, et d'une bride avant ( 6) de recouvrement d'une languette avant ( 7) issue du bas de coque ( 1) dont elle fait partie intégrante Cette languette avant ( 7) s'étend sur le devant de la chaussure de sorte à remonter le long de la partie antérieure du pied et du bas de jambe du skieur et constitue ainsi une surface de contact ( 8) pour l'appui tibial du skieur La bride avant ( 6) de recouvrement est articulée quant à elle, de chaque côté de la coque sur deux rivets ( 9) définissant son axe de pivotement et disposés de préférence à l'extrémité supérieure de chacune des deux ailes latérales ( 10) prolongeant le bas de coque vers le haut approximativement selon l'axe de la jambe Ces deux ailes latérales ( 10) couvrent ainsi les zones latérales de la cheville du skieur et remplissent la fonction de dispositif de résistance à la flexion de la tige exercée par le skieur en cours d'utilisation On notera qu'entre la languette avant ( 7) et chacune de ces ailes latérales ( 10), une échancrure ( 11) du bas de coque détermine l'indépendance de chacune de ces parties de coque qui contribuent à la formation au moins partielle des éléments de tige Cette dernière est alors totalement réalisée avec la mise en place entre ladite languette avant ( 7) et la bride avant ( 6) de recouvrement, d'un dispositif de réglage d'avancée ( 12), tandis que des moyens de serrage et de fermeture ( 13) tels que crochets à boucles, ou autres moyens connus en soi, assurent la

liaison entre ledit capot arrière ( 3) et la bride avant ( 6) de recouvrement.

Les axes de pivotement ( 4) du capot arrière ( 3) et ceux ( 9) de la bride avant ( 6) de recouvrement étant disposés, comme illustrés à titre d'exemple, à des hauteurs différentes le long de la tige Ainsi, l'axe ( 9) d'articulation de la bride avant ( 6) de recouvrement est situé plus en avant et plus haut que l'axe ( 4) du capot arrière ( 3) Il est prévu une ouverture de coulissement ( 14) de la boucle ( 15) du crochet de fermeture, aménagée sur la face arrière dudit capot arrière ( 3) Ainsi, lors des mouvements de flexion, la direction des efforts de traction sur la boucle restera constante du fait de la liberté de déplacement de ladite boucle le long de l'ouverture de coulissement, ce qui permet que chacune des parties d'accrochage des moyens de serrage et de fermeture, disposées respectivement sur la bride avant ( 6) de recouvrement et sur le capot arrière ( 3) reste en vis-à-vis l'une de l'autre Ce changement de position relative entre languette avant ( 7) et bride avant ( 6) de recouvrement a pour résultat de faire varier la position angulaire par rapport au bas de coque Par voie de conséquence, lorsque le capot arrière ( 3) est en position fermée sur la bride avant ( 6) de recouvrement, l'ensemble de la

tige ( 2) est soumis à cette variation angulaire.

Le dispositif de réglage de l'avancée ( 12) disposé sur la face antérieure de la tige ( 2) relie, de manière fixe mais réglable en position dans le sens vertical, la bride avant ( 6) de recouvrement à la languette avant ( 7), autorisant ainsi un changement de position relative entre ces

deux éléments de tige.

La figure 3 illustre un tel dispositif de réglage de l'avancée ( 12), de construction simple et fiable Il s'agit en l'occurence d'un insert ( 16) encastré avantageusement selon l'axe médian de la chaussure et dans la zone supérieure de la paroi ( 70) de la languette avant ( 7) et comprenant au moins deux trous filetés ( 17 a, 17 b, 17 c), disposés verticalement l'un

sous l'autre.

L'insert ( 16) représenté à titre d'exemple, comporte trois trous filetés ( 17 a, 17 b, 17 c) placés l'un sous l'autre pour définir trois positions d'arrêt Dans la paroi ( 60) de la bride avant ( 6) de recouvrement est alors aménagé un autre trou ( 180) au travers duquel est engagée une vis ( 18) destinée à coopérer avec l'un des trous filetés de l'insert Bien entendu, cette vis est implantée également sur l'axe médian de la chaussure, de sorte que le réglage selon l'une des positions verticale des trous puisse être aisément effectué Ainsi pour chacune des positions des trous filetés, correspond un angle d'avancée donné de la tige ( 2) Pour la position la plus basse d'un trou ( 17 c), correspond une position "A" supérieure à la position d'avancée "B" définie par la coopération de la vis ( 18) avec le trou médian ( 17 b), elle-même supérieure à la position d'avancée "C"

définie par la coopération de la vis ( 18) avec le trou supérieur ( 17 a).

De plus, grâce à l'axe d'articulation ( 9) d'une bride avant ( 6) de recouvrement sur la coque ( 1) et aux échancrures latérales ( 11) de ladite coque, l'indépendance des moyens de contrôle de la flexion, réalisés par les ailes latérales ( 10), est assurée quelle que soit la position angulaire choisie. L'invention est par ailleurs parfaitement transposable sur une chaussure du type à entrée centrale telle qu'illustrée à la figure 2 Pour la

clarté de la description, les éléments de cette chaussure communs à ceux

de la chaussure décrite à la figure 1, seront affectés des mêmes références numériques. En effet, dans cette variante de réalisation, la languette avant ( 7) issue du bas de coque rigide ( 1) a été remplacée par un capot de fermeture ( 71) couvrant la zone d'ouverture antérieure de la coque de la chaussure Ce capot de fermeture ( 71) se prolonge vers le haut par une languette avant ( 7), par exemple plus souple que sa zone inférieure La languette avant ( 7) vient alors, comme décrit ci-dessus pour la chaussure selon la figure 1, coopérer avec une bride avant de recouvrement ( 6) articulée sur les ailes latérales ( 10) issues du bas de coque ( 1) Afin de procurer une bonne fermeture dudit capot ( 71) sur le bas de coque ( 1), des moyens de serrage et de fermeture ( 130) additionnels à ceux ( 13) de la partie supérieure de la tige, sont prévus approximativement dans la

zone ( 131) correspondant au pli de flexion de la chaussure.

De manière analogue à la chaussure à entrée arrière ci-avant évoquée, un dispositif de réglage d'avancée ( 12) est aménagé le long de la face antérieure de la tige ( 2), de sorte à réaliser une chaussure dont la combinaison des différents moyens structurels la maintient dans le cadre

de l'invention dont les revendications ci-après vont définir la protection

recherchée. Par ailleurs, la chaussure selon l'invention comprend, comme il

est connu en soi, un chausson ( 20).

Les figures 4 A, 4 B et 4 C montrent une première variante possible du dispositif de réglage de l'avancée Selon cette variante, l'insert ( 160) réversible comprend seulement deux trous filetés ( 17 a, 17 b) Le premier trou ( 17 b) étant au centre de l'insert, tandis que le deuxième ( 17 a) est décentré. Ainsi, par retournement "R" de l'insert (figure 4 C), l'angle

d'avancée peut prendre la troisième position "C".

La figure 4 A montrant la première position "A" et la figure 4 B, la

position médiane "B".

Les figures 5 a et 5 b montrent une deuxième variante du dispositif de réglage qui est constitué par un insert ( 161) lui aussi réversible et qui comprend une tige filetée ( 181) s'étendant vers l'avant pour coopérer avec le trou ( 180) de la bride de recouvrement ( 6), le serrage étant réalisé

par un bouton fileté ( 182).

La figure 5 a illustre une première position de réglage dans laquelle la tige en saillie ( 181) est en bas, tandis qu'à la figure 5 b, il est représenté l'insert dans une deuxième position obtenue par retournement

de celui-ci pour définir l'autre position de réglage.

Avantageusement, les inserts ont une forme allongée telle que représentée figure 6 afin qu'ils soient bloqués en rotation, empêchant

ainsi leur retournement intempestif.

Bien entendu, l'invention n'est pas limitée aux modes de réalisation décrits et représentés à titre d'exemples, mais elle comprend

aussi tous les équivalents techniques ainsi que leurs combinaisons.

Claims (9)

REVENDICATIONS

1 Chaussure de ski alpin constituée d'un bas de coque ( 1) destinée à entourer le pied, et d'une tige ( 2) surmontant ledit bas de coque destinée à envelopper le bas de jambe du skieur tout en lui permettant de fléchir la jambe au moins partiellement vers l'avant, caractérisée en ce que la tige ( 2) de la chaussure est constituée d'une partie postérieure ou capot arrière ( 3) monté pivotant sur le bas de coque ( 1) grâce à une première articulation ( 4) au niveau de la paroi de talon ( 5) et d'une partie antérieure, elle-même constituée d'une languette avant ( 7) coopérant avec une bride avant de recouvrement ( 6) montée pivotante sur le bas de coque par une seconde articulation ( 9), tandis que des moyens de serrage et de fermeture ( 13) de la tige sont disposés respectivement sur ledit capot arrière ( 3) et ladite bride avant de recouvrement ( 6) pour les faire coopérer ensemble en position de fermeture de la chaussure, un dispositif de réglage ( 12) de l'angle d'avancée de la tige étant disposé entre ladite languette avant ( 7) et ladite

bride de recouvrement ( 6) en une zone située sur l'avant de la tige.

2 Chaussure de ski selon la revendication 1, caractérisée en ce que la languette avant ( 7) est constituée par une extension verticale

antérieure issue du bas de coque ( 1) dont elle fait partie intégrante.

3 Chaussure de ski selon la revendication 1, caractérisée en ce que la languette avant ( 7) est constituée par l'extension verticale d'un capot de fermeture ( 71) rapporté sur la zone antérieure du bas de coque

( 1).

4 Chaussure de ski selon l'une quelconque des revendications

précédentes, caractérisée en ce que la bride avant de recouvrement ( 6) et le capot arrière ( 3) comportent respectivement des moyens d'accrochage

des moyens de serrage et de fermeture de la tige ( 13).

5 Chaussure de ski selon l'une quelconque des revendications

précédentes, caractérisée en ce que le bas de coque ( 1) se prolonge sur chacun de ses côtés par une aile latérale ( 10) s'étendant vers le haut sur lesquelles est articulée la bride avant de recouvrement ( 6) autour de la

seconde articulation ( 9).

6 Chaussure de ski selon la revendication 5, caractérisée en ce qu'entre la languette avant ( 7) et chacune des ailes latérales ( 10) est

disposée une échancrure ( 11) du bas de coque.

7 Chaussure de ski selon l'une quelconque des revendications

précédentes, caractérisée en ce que la deuxième articulation ( 9) est située

plus haute que la première articulation ( 4).

8 Chaussure de ski selon l'une quelconque des revendications

précédentes, caractérisée en ce que le dispositif de réglage ( 12) de l'angle d'avancée est disposé sensiblement sur l'axe médian de la chaussure dans

la zone supérieure de la tige.

9 Chaussure de ski selon la revendication 8, caractérisée en ce que le dispositif de réglage ( 12) de l'angle d'avancée comporte au moins

deux positions de réglage disposées verticalement l'une sous l'autre.

Chaussure de ski selon l'une quelconque des revendications

précédentes, caractérisée en ce que le dispositif de réglage ( 12) de l'angle d'avancée est constitué d'une part d'un insert à trous filetés ( 17 a, 17 b, 17 c) disposés verticalement, encastré dans la paroi ( 70) de la languette avant ( 7), et d'autre part, d'une vis ( 18) logée dans la paroi ( 60) de la bride de recouvrement ( 6) et destinée à coopérer avec l'un quelconque des trous

filetés de l'insert.