FR2533733A1 - Appareil de lecture muni d'un dispositif de manipulation du conteneur d'un videodisque - Google Patents

Abstract

APPAREIL DE LECTURE DE VIDEODISQUE 2 COMPRENANT UN DISPOSITIF DE MANIPULATION 61 DU CONTENEUR DE PROTECTION 1 DE CELUI-CI. L'ENVELOPPE 3 DU CONTENEUR 1 ETANT VERROUILLEE AU SUPPORT DE DISQUE 4 AU MOYEN D'UNE BARRETTE 5 QUI OBTURE SA TRANCHE OUVERTE, LE DISPOSITIF DE MANIPULATION 6 COMPREND UN TIROIR 61 EN FORME DE CADRE 62, POUVANT ETRE AVANCE DE FACON A RENDRE ACCESSIBLES UN LOGEMENT EN CREUX 67 POUR LA BARRETTE 5 ET DES MOYENS D'ENGAGEMENT 101 DE L'ENVELOPPE 3 SUR UNE NAVETTE 95 MOBILE SUR LE CADRE 62 DANS LE SENS LONGITUDINAL, QUI OPERE LE RETRAIT ET LA REMISE EN PLACE DE L'ENVELOPPE 3 SUR LE SUPPORT 4. UN APPAREIL DE LECTEUR DE CE GENRE EST DESTINE NOTAMMENT A L'UTILISATION AVEC DES VIDEODISQUES SOUPLES A LECTURE OPTIQUE.

Description

APPAREIL DE LECTURE MUNI D'UN DISPOSITIF
DE MANIPULATION DU CONTENEUR D'UN
VIDEODISQUE.

L'invention concerne un appareil de lecture de vidéodisques pourvu d'un dispositif de manipulation du conteneur qui le protège.

Elle se rapporte, plus particulièrement, à un mécanisme permettant notamment l'insertion du conteneur de protection à l'intérieur duquel se trouve le disque dans cet appareil, le calage du support du vidéodisque sur 1!appareil le retrait de l'enveloppe de protection du support (et du disque) avant la lecture et sa remise en place après celle-ci.

Des conteneurs de protection, particulièrement adaptés à un vidéodisque souple du type à lecture optique, ont été décrits, par exemple, dans les publications: FR-A-2 324 089, FR-E-2 363 162 et 2 418 518, EP-A-0 020 219 et FR-A-2 497 992 de la Société demanderesse.

Le dispositif de manipulation d'un conteneur dans un appareil de lecture selon l'invention, est adapté plus particulièrement au mode de réalisation le plus récent d'un conteneur du type général décrit dans la demande de brevet n0 E.N. 82 15 740 du 17/09/1982 de la demanderesse, qui sera sommairement décrit dans ce qui suit et représenté par une vue schématique en perspective sur la figure 1 des dessins annexés. Les éléments qui ne sont pas nécessaires à la compréhension du fonctionnement du dispositif de manipulation en ont été omis, tels que notamment les structures d'assouplissement de l'enveloppe de protection en vue de son enroulement à l'intérieur de l'appareil de lecture, lorsqu'elle est retirée du support portant le disque, et le logement circulaire de celui-ci, constitué par des nervures en arcs de cercle en saillie de la face supérieure du support.

Le-conteneur de protection 1 pour vidéodisque souple 2 com porte une enveloppe ou étui 3 fermé sur trois côtés et présentant une tranche avant 30 ouverte, permettant l'insertion et la manipulation par coulissement relatif à l'enveloppe 3, d'un support de disque 4 sensiblement rigide, sur la face supérieure duquel est posé le disque 2 dans un logement circulaire en creux (non représenté).

L'enveloppe 3 est composée d'une feuille supérieure 31 en forme de caisson creux (en forme de parallélépipède) et d'une feuille inférieure 32, plane2 qui sont réunies ensemble par leurs marges respectives.

Les marges réunies 33,34 sont munies, à l'avant, de trous 303 de préhension et de positionnement, respectivement situés des deux côtés opposés de l'enveloppe 3. Les marges 33 de la feuille supérieure 31 sont réunies à la paroi supérieure 35 par trois parois 36, 37 et 38 orientées normalement à celle-ci, dont les deux premières 36,37 sont parallèles et constituent les parois latérales de l'enveloppe 3 et dont la troisième 38 constitue la paroi arrière de cette dernière. La distance entre les faces internes des parois latérales 36 et 37 ainsi que la largeur du support 4 étant choisies sensiblement égales au diamètre du disque, de telle sorte qu'elles concourent au centrage latéral du disque 2 dans son logement sur le support 4 en étant tangentes à deux points diamétralement opposés de la circonférence de celui-ci.

Le centrage postérieur du disque 2 est assuré au moyen d'une cuvette 39 formant une butée interne qui entre en contact avec celui-ci, grâce à l'encoche sensiblement trapézoidale 40 pratiquée à l'arrière du support 4, lorsque ce dernier est inséré à fond dans l'enveloppe 3. Le fond de la cuvette 39 peut être soudé à la feuille inférieure 34. Des bossages 41 pratiqués à l'arrière du support 4 et disposés symétriquement à l'axe longitudinal du conteneur 1 permettent, d'une part, de maintenir le disque 2 centré par l'arrière pendant le coulissement longitudinal du support 4 dans l'enveloppe 3 et, d'autre part, d'en écarter la face interne de la paroi supérieure 35.

Le centrage antérieur du disque 2 est assuré à l'aide de deux bossages 42 saillant du support 4, situés à l'avant de celui-ci et de forme semblable à ceux 41 de l'arrière. Ces bossages de centrage antérieur 42 sont également disposés symétriquement à l'axe longitudinal du conteneur 1 et, lorsque le support 4 est inséré à fond dans l'enveloppe 3, ils sont recouverts (enveloppés) par des saillies 300 de forme correspondante pratiquées dans la paroi supérieure 35, qui constituent des creux vus d'en-bas, de telle sorte que celle-ci s'appuie sur le disque 2 à l'avant en le poussant au fond de son logement.

L'extrémité antérieure 43 du support 4 est pourvue d'une barrette 5 de section en forme de U, permettant, d'une part, l'obturation de la tranche avant ouverte 30 de l'enveloppe 3 et, d'autre part, par son intermédiaire, le verrouillage du support 4 sur l'enveloppe 3, grâce à des saillies de verrouillage 301 pratiquées à l'avant de la paroi supérieure 35 de celle-ci.

Ces saillies de verrouillage 301 sont de forme allongée, alignées et orientées parallèlement à la tranche ouverte 30, et situées à proximité de cette dernière. Elles sont séparées les unes des autres par des espaces 304 qui peuvent être sensiblement de même longueur. Les saillies de verrouillage 301, de centrage avant 30Q, la cuvette de butée arrière 39 et les parois latérales 36,37 et arrière 38 qui assurent l'espacement (le déport) entre la paroi supérieure 35 et les marges 33 de la feuille supérieure 31 de l'enveloppe 3, sont réalisées simultanément par emboutissage d'une feuille en matière plastique. Cette feuille doit présenter une rigidité mécanique suffisante pour que le verrouillage par les saillies 301 puisse être réalisé.Cette rigidité est obtenue par le choix de l'épaisseur en fonction du matériau utilisé (300 microns pour du chlorure de polyvinyl de qualité courante).

La barette 5 comprend donc une paroi avant ou de fond 50 à laquelle est collé ou soudé le bord avant 43 du support 4 qui est inséré dans une gorge ou rainure 51. S'étendant en porte-à-faux vers l'arrière des deux extrémités de la paroi du fond 50, la barrette 5 comprend deux lèvres parallèles 52,53 respectivement terminées par des épaulements 54,55, en regard, dont la face avant 56 est normale, au support 4, et la face arrière 57 est en biseau, en vue de faciliter le passage respectif des épaulements 54,55 sur les bords avant des feuilles 31,32 ainsi que par-dessus des saillies de verrouillage 301 en ce qui concerne la lèvre supérieure 52 Le verrouillage s'opère en effet par l'engagement de la face avant 56 de l'épaulement supérieur 54 avec les faces arrières 302 des saillies 301, toutes les deux étant sensiblement normales au plan du conteneur 1.

La barrette 5 ainsi constituée peut être réalisée par extrusion en un matériau thermoplastique avec l'épaisseur des lèvres 52,53 choisie de façon à assurer une flexibilité suffisante pour le glissement au-dessus des obstacles constitués par les saillies 301 et les bords de la tranche ouverte 30 et une rigidité suffisante pour empêcher un déverrouillage à la main. La face avant de la paroi 5D de la barrette 5 peut être munie d'une étiquette d'identification 58.

L'appareil de lecture objet de l'invention, est agencé notamment de manière à permettre l'insertion du conteneur 1 fermé, du type décrit ci-dessus, dans une ouverture de celui-ci, l'engagement des trous de positionnement et de préhension 303 traversant de part en part les marges latérales réunies 33,34 de l'enveloppe 3 et respectivement situés de part et d'autre des parois latérales 36,37, de façon à rester accessibles, au moins d'en bas, lorsque la barrette 5 est verrouillée, avec des saillies d'une partie mobile du dispositif de manipulation, le positionnement fixe du support 4 dans l'appareil par l'intermédiaire de la barrette 5 et le déverrouillage de celle-ci relativement à l'enveloppe 3 au moyen d'une flexion vers le haut de sa lèvre -supérieure 52 afin de dégager l'épaulement 54 des saillies 301. D'autre part, cet appareil doit assurer la remise en place de Enveloppe 3, après lecture, de telle sorte que l'épaulement 54 de la lèvre supérieure dépasse les saillies de verrouillageJ301O
Suivant l'invention, un appareil de lecture de vidéodisques contenus chacun dans un conteneur de protection du type comprenant une enveloppe rectangulaire à trois côtés fermés et une tranche ouverte, un support destiné à porter un disque et coulissant dans cette enveloppe, et une barrette d'obturation de la tranche ouverte, solidaire du support, la paroi supérieure de l'enveloppe étant pourvue de saillies de verrouillage régulièrement espacées le long de la tranche ouverte, qui coopèrent avec un épaulement de la lèvre supérieure de la barrette en vue d'assurer le verrouillage de l'enveloppe sur le support , ledit appareil comportant un boitier fermé, muni d'une fente horizontale à l'avant qui permet l'insertion du conteneur dans son intérieur et un mécanisme de manipulation du conteneur, est principalement caractérisé en ce que ce mécanisme comporte des premiers moyens mobiles permettant, en position avancée, d'insérer le conteneur dans la fente et de disposer la barrette dans un logement en creux et d'engager l'enveloppe sur des seconds moyens mobiles portés et guidés par les premiers et, en position arrière, d'enserrer la barrette entre son logement et la paroi supérieure de la fente et de déverrouiller le conteneur en dégageant la lèvre supérieure de ~ la barrette des saillies de verrouillage de l'enveloppe, afin que celle-ci puisse être retirée du support par le déplacement vers l'arrière des seconds moyens mobiles de manière à libérer le disque.

L'invention sera mieux comprise et certains autres de ses objets, caractéristiques et avantages ressortiront de la description qui suit et des dessins annexés s'y rapportant, donnés à titre d'exemple, sur lesquels:
- la figure 1 est une vue schématique en perspective d'un type de conteneur pour vidéodisques, décrit précédemment, en partie ouvert, qui est plus particulièrement destiné à un appareil de lecture conforme à l'invention;
- la figure 2 est une vue latérale partielle en élévation, en partie arrachée, en partie en coupe, d'un mécanisme de manipulation d'un conteneur selon la figure 1, en position ouverte pour recevoir celui-ci;
- la figure 3 est une vue analogue à la figure 2, le mécanisme étant ici fermé pour permettre le retrait de l'enveloppe;;
- la figure 4 est une vue en perspective d'un outil d'écartement de la lèvre supérieure 52 de la barette 5, dit "clef", permettant de déverrouiller un conteneur 1 de la figure 1 ; et
- la figure 5 est une vue en plan partielle, en partie arrachée, du mécanisme des figures 2 et 3.

Sur les figures 2 et 3 on a représenté par des vues latérales partielles, en partie arrachées, en partie en coupe, un mécanisme de manipulatipn d'un conteneur du type décrit, dans un appareil de lecture de vidéodisques suivant l'invention, respectivement ouvert et fermé, et sur la figure 5 on a illustré par une vue partielle en plan, avec le haut en partie arraché de ce mécanisme.

Le mécanisme de manipulation 6 des figures 2, 3 et 5 comprend un bâti ou boitier dont le fond 7 est monté sur des pieds 8 (élastiques) et porte des parois latérales 9, arrière (non représentée), supérieure 10 et antérieure 11 qui est pourvue d'une fente horizontale 12, obturable par la face avant 60 d'un tiroir 61 partiellement mobile, d'une part, de l'arrière vers l'avant (longitudinalement) et d'autre part, en hauteur par pivotement ou basculement comme il sera expliqué plus loin.

Le tiroir 61 se présente, ici, sous la forme d'un cadre rectangulaire 62 composé de deux longerons 63,64 (l'un à droite 63, l'autre à gauche 64) et de deux traverses 65,66 dont la première 65 située à l'arrière, est constituée par une tige rectiligne profilée en
U. La seconde traverse 66 qui constitue la partie avant du tiroir 61, est de forme complexe et comprend la face avant 60 précitée, ainsi qu'un logement en creux 67, en forme de gorge, de rainure ou de cuvette allongée, orientée transversalement et destinée à contenir la lèvre inférieure 53 de la barrette 5.

A l'arrière, les longerons 63,64 sont guidés, dans leurs déplacements, dans des glissières 68 à rainure latérale de type particulier, fixées au fond du bâti 7 par des vis 69. Ces glissières 68 permettent, d'une part, le coulissement longitudinal du cadre 62 et, d'autre part, son pivotement autour d'un axe horizontal situé à l'arrière 70 de ces glissières 68. Ceci est obtenu grâce au fait que la rainure 71 dont la face supérieure 73 est horizontale (parallèle au fond 7 du bâti) s'élargit vers l'avant. Plus précisément2 tandis qu'à l'arrière 70 la hauteur de la rainure 71 n'est que très légèrement supérieure à celle du longeron 64 qui y est inséré, elle s'agrandit vers l'avant car sa face inférieure 72 est inclinée vers le bas, de sorte que l'inclinaison du cadre 62 par rapport au fond 7 horizontal peut varier en même temps que sa position longitudinale..Un résultat analogue peut être obtenu à l'aide de glissières pivotant autour d'un axe horizontal (transversal).

Pour guider ce pivotement et limiter le débattement latéral du cadre 62 (tiroir)2 celui-ci comporte à l'avant des tiges cylindriques horizontales 74 (transversales), en saillies latérales vers l'extérieur des longerons 632642 qui reposent respectivement sur la face supérieure 77 de deux rampes 75276 fixées sur le fond 7 du bâti et disposées de part et d'autre des longerons 63,64, de manière contigüe à leurs faces latérales.La hauteur de la- face supérieure 77 de ces rampes 75,76 est maximale à l'arrière 78 et diminue vers l'avant qui est terminé par une butée 79 destinée à arrêter le mouvement du tiroir 61 forme par le cadre 62 vers l'avant, afin d'en définir la position avancée ou ouverte. La hauteur de l'arrière 78 de la rampe 75 ou 76 est choisie de manière à rendre les longerions 63,64 sensiblement parallèles au fond 7 du bâti, lorsque le tiroir 61 est inséré à fond dans celui-ci, c'est-à-dire en position fermée.

Dans le mode de réalisation préféré de l'invention2 la rampe 75 ou 76 est complétée par un bras ou levier 80, en forme de languette plate, articulé par son extrémité antérieure sur un pivot 81 situé au niveau de la butée 79 et s'étendant sur sensiblement toute la longueur de la rampe 75,76. Le levier 80 est logé dans une cuvette ou rainure centrale 82 de la rampe 75 ou 76, qui lui permet un débattement entre une position basse, où il est escamoté à l'inté- rieur de la cuvette 82 et une position haute, où il en dépasse.

L'extrémité arrière du levier 80 pivotant est soutenu par un ressort en boudin (à compression) 83, logé dans un trou cylindrique 84 vertical (normal au fond 7), percé à l'arrière de la rampe 75 ou 76.

Ce ressort 83 exerce une poussée vers le haut sur le levier 80, de telle sorte que son extrémité arrière dépasse la hauteur de la rampe 75 ou 76 à cet endroit 78. L'action de cette poussée vers le haut sur l'avant du cadre 62, par l'intermédiaire des tiges latérales 34 solidaires des longerons 632642 est utilisée pour assurer le bon fonctionnement du déverrouillage du conteneur E, lors de la fermeture du tiroir 61 par une poussée normale à sa face avant 60, dans le sens de la flèche F (vers l'arrière).

Le déverrouillage du conteneur o est obtenu à l'aide d'un outil d'écartement 85 de la lèvre supérieure 52 de la barrette d'obturation et de verrouillage 5 de telle sorte que l'extrémité inférieure de son épaulement 54 est soulevée au-dessus des sommets respectifs des saillies de verrouillage 301 situées à l'avant de l'enveloppe 3. Cet outil de déverrouillage 85 (appelé "clef" dans la publication FR - A 2 497 992), est fixé ici au bâti de l'appareil par l'intermédiaire d'une plaque horizontale 86 qui constitue le plan de stabilisation (dit de "vol") du disque souple en rotation rapide (1500 ou 1800 tours/minute). Cet outil ou "clef" 85 a été représenté en perspective sur la figure 4.Il comprend une embase ou plaque de fixation 87 rectangulaire, munie de trous 88 aux quatre coins (pour les vis 89) et, en saillie vers le bas de cette plaque 872 une lame repliée vers l'avant 90 qui comporte une suite de dents effilées 91 alternant avec des découpes ou échancrures 92, de sorte qu'elle constitue une structure en forme de peigne. L'extrémité effilée ou acérée 93 des dents 91, dont la face inférieure est sensiblement horizontale, est destinée à passer entre la face supérieure de l'enveloppe 3 et l'épaulement 54 de la lèvre supérieure 52, à l'endroit des espaces (304, figure 1) séparant les saillies de verrouillage 301, au cours du déplacement vers l'arrière (fermeture) du tiroir 61.La hauteur des échancrures 92 par rapport à la face inférieure horizontale des bouts effilés des dents 91 est choisie supérieure à celle des saillies de verrouillage 301 afin d'en permettre le passage sans encombre au cours du retrait de l'enveloppe 3 du support 4 ou de sa remise en place (fermeture du conteneur 1). En outre, la face arrière 94 recourbée ou inclinée (vers l'avant) ou le talon de la clef 85, constitue une surface de guidage ou avaloir pour le bord avant de la paroi supérieure 35 (figure 1) de l'enveloppe 32 qui est écartée du support 4 par l'effet de son passage par dessus des bossages de centrage avant 42 (figure 1) de celui-ci. En effet, lors de la remise de l'enveloppe 3 sur le support 4, son bord avant est poussé vers la face supérieure de celui-ci, dès qu'il entre en contact avec la face arrière ou talon 94 de la clé 85.

Comme illustré sur la figure 2, le tiroir 61 est dans sa position avancée ou ouverte et sa partie antérieure 66 comprenant le logement en creux 67 du bas de la barrette est rendue accessible à l'utilisateur. Dans cette position, en outre, les tiges latérales 74 supportant l'avant du cadre 62, reposent contre la butée 79, à l'endroit le plus bas (fond) des rampes 75,76, de manière à éloigner le tiroir 61, par son# inclinaison vers l'avant, des dents 91 de la clef 85, pour faciliter l'insertion de l'enveloppe 3 par une fente 12 de hauteur accrue.

Le cadre 62 porte, en outre, un chariot ou navette mobile 95 dont une plaque supérieure 96, de forme rectangulaire repose, par ses bords latéraux, respectivement sur les faces supérieures des longerons 63 et 64. Une plaque inférieure 97 fixée au fond du corps 98 de cette navette 95 peut être disposée par ses bords respectivement en regard et à proximité des faces inférieures de longerons 63 et 64, afin de limiter son débattement dans le sens normal à ceux-ci et d'assurer ainsi un guidage partiel de la navette 95. Le corps 98 de la navette 95 contient un dispositif d'entraînement et de guidage longitudinal de celle-ci, représenté surtout sur la figure 5.

Le dispositif d'entraînement comprend ici un moteur électrique 115, entraînant par l'intermédiaire d'un engrenage conique de renvoi d'angle, un réducteur 116,117. Le réducteur comprend une vis sans fin 116- engrénant avec un pignon 117 fixé sur un axe 118 logé dans le corps 98. Sur cet axe 118 est également fixée une roue crantée 119 qui engrène avec une courroie crantée 99 développée (coupée en un endroit) de façon à former une crémaillère fixe et qui est tendue entre deux points d'ancrage sur le cadre 62, dont l'un 120 est solidaire de la traverse arrière 65 et l'autre de celle de l'avant 66.

Sur la navette 95, la courroie crantée 99 contourne la roue 119 et une poulie de renvoi 121 située du côté opposé à celle-ci, de sorte qu'elle présente un tronçon sensiblement transversal. La courroie 99 formant ainsi crémaillère sert à l'entraînement de la navette 95, ainsi qu'en conjonction avec un câble 100, ancré de façon semblable et passant sur deux poulies de renvoi 122,123 respectivement tournant autour de deux axes 124,125 situés à proximité des côtés opposés du corps 98 de la navette 95, de sorte que le câble 100 ainsi que la courroie 99 sont en forme de Z, ce qui assure un guidage adéquat pour les déplacements de la navette 95 le long des longerons 63,64, sans coincement ni arcboutement et lui impose un parallèlisme constant avec sa position d'origine.

A l'avant, la plaque supérieure 96 de la navette 95 porte deux tiges cylindriques (pions) 101 en saillie normale vers le haut, disposées respectivement sur ses deux bords latéraux, de façon à s'insérer dans les trous de positionnement et de manipulation 303 situés sur les deux marges latérales opposées (33, figure 1) de l'enveloppe 3, lorsque le bas de la barrette 5 repose au bord dé la cuvette 67 et lorsque le chariot ou navette 95 est arrivé en position de butée contre la partie avant 66 du cadre 62. Les tiges ou pions 101 sont alors accessibles par la fente 12 élargie du fait de l'inclinaison du cadre 62 vers l'avant. On remarquera ici que d'autres types d'entraînement et de guidage classiques peuvent être utilisés pour déplacer la navette.

La mobilisation du tiroir 61 vers l'avant est assurée à l'aide d'un ressort de rappel 102 (de tension) dont une extrémité est ancrée sur le fond 7 du bâti à l'aide d'une tige d'ancrage à épaulement 103 et dont l'autre extrémité est couplée à la traverse arrière 65. Ce couplage, qui pourrait être direct, est assuré ici au moyen d'un bras 104 dont une extrémité est articulée sur un axe 105 normal au fond et dont l'autre extrémité est couplée par une biellette ou tige en fil rigide 106 à la traverse arrière 65 ainsi qu'à l'autre extrémité du ressort 102. Le déplacement est avantageusement amorti ou ralenti à l'aide- d'un ralentisseur classique à friction et/ou à l'aide d'un réducteur entraîné au moyen d'une poulie et entraînant des palettes (non représenté).

Lorsque le conteneur 1 est placé sur le tiroir 61 avec la barrette 5 reposant dans la cuvette 67 et les pions 101 portés par la navette 95~sont insérés dans les trous ?03 de l'enveloppe 3, l'appareil peut être refermé en poussant sur la face avant 60 du tiroir 61 dans le sens de la flèche X O Ceci a pour effet de tendre le ressort 103 et de faire glisser les tiges latérales 74 qui remontent le long des rampes 75,76 (ou de la languette 80) Lorsque les tiges latérales 74 arrivent en haut (78) de ces rampes 75776S le tiroir 61 est sensiblement parallèle au fond 7 et l'extrémité inférieure 93 des dents 91 de la clé 95 fixe vient en butée contre la face supérieure de l'enveloppe 3. Lorsque le tiroir 61 progresse vers le fond, ces extrémités inférieures 93 s'insèrent sous 4'épaulement 54 de la lèvre supérieure 52 et la soulèvent en passant entre les saillies de verrouillage 301. Lorsque le tiroir 61. est complètement inséré dans l'appareil, cuest-à-dire fermé, comme illustré sur la figure 3, l'épaulement 54 repose, par son arête inférieure, sur la face supérieure des dents recourbées 92, de façon à être soulevée audessus du sommet des saillies 301 qui pourront alors se déplacer sans encombre vers l'arrière, à travers les encoches 92.En même temps, la face supérieure de la paroi avant 50 de la barrette 5 est en contact avec une surface recourbée, rentrante 13 de la face avant Il du bâti, qui constitue la paroi supérieure clé la fente 12 et qui appuie sur la barrette 5 en vue de l'appliquer contre le fond de la cuvette 67.A un endroit de la cuvette 67, on a disposé un palpeur 126 qui est monté sur l'un des bouts d'un levier (non représenté) articulé en son milieu sur la partie avant 66 du tiroir 61 et qui est maintenu écarté du# fond de. la cuvette 67 à l'aide d'un ressort de rappel (non représenté) en tension ou en compressiona Le palpeur 126 qui fait partie d'un dispositif de détection de la présence d'un conteneur 1 dans l'appareil, c'est-à-dire d'une barrette 5 dans la cuvette 67, et de la fermeture du tiroir 61 qui a pour effet de coincer la barrette 5 entre la surface 13 en haut et le fond de la cuvette 67.Le levier actionné par le palpeur 126 peut agir sur un système mécanique (déverrouillage), ou électrique (microcontact) classique indiquant la présence d'un conteneur 1 dans la fente 12 et en conjonction avec un autre dispositif indiquant la fermeture du tiroir 61, autoriser l'actionnement du moteur 115 commandant le déplacement de la navette 95 qui peut alors opérer le retrait de l'enveloppe 3 du support 4 par son coulissement vers l'arrière.

Sur les figures 3 et surtout 5, on a également schématiquement représenté un dispositif de verrouillage du tiroir 61 en position fermée. La partie avant 66 du cadre 62 comprend une tige 107 en saillie normale vers le bas, fixée au milieu du fond de la cuvette 67. Un cran 108 monté de manière transversalement mobile sur le fond 7 du bâti à l'aide d'une plaque de support 127 qui est retenue parallèle au fond à l'aide de deux tiges à épaulement 128,129 respectivement engagées dans deux boutonnières (trous oblongs) 130,131 transversalement orientées de façon à permettre des déplacements du cran 108 ainsi supporté. La plaque 127 est maintenue dans une position extrême (à droite sur la figure 5) au moyen d'un ressort de rappel 132 (en tension) respectivement ancre par ses extrémités en 133 sur la plaque 127 et en 134 au fond du bâti 7.Le déverrouillage du tiroir 62 est assuré à l'aide d'une manette de commande 134 qui dépasse latéralement du bâti et qui est constituée par un prolongement 135 de la plaque 127. Une pouss#ée sur la manette 134, dans le sens de la flèche G, fait glisser la plaque 127 vers la gauche de telle sorte que l'arête 109 constituant l'extrémité droite du cran 108 passe à gauche de la tige 107 de façon à libérer le tiroir 62 et à le soumettre à l'action du ressort 102. Le cran 108 est une saillie verticale de sa plaque de support 127 et présente une section horizontale en forme de "V", sa face avant 136 étant en biseau par rapport à sa face arrière 137 transversale.Plus précisément, la face avant 136 du cran 108 constitue une rampe qui, lorsque l'on pousse sur la face avant 60 du tiroir 61 dans le sens de la flèche F, entre en contact avec la tige 107. La-tige 107 poussant sur cette face 136, fait écarter le cran 108 vers la gauche jusqu'à ce qu'elle atteigne l'arête latérale 109 de celui-ci. Ayant écarté le cran 108 vers la gauche, la tige 107 peut passer à côté de l'arête 109 vers l'arrière du cran 108 qui revient alors vers la droite sous l'action du ressort de rappel 132. La face arrière transversale 137 du cran 108 est alors disposée de telle sorte qu'elle s'engage avec la tige 107 en faisant obstacle à son déplacement vers l'avant par l'effet du ressort 102, verrouillant ainsi le tiroir 62.

Lorsque le tiroir 61 est fermé (en position arrière) et verrouillé par le cran 108 et lorsque la cuvette 67 contient une barrette 5, le déplacement de la navette 95 est autorisé, afin d'enlever l'enveloppe 3 du support et de libérer ainsi le disque (2, de la figure
I) pour le soulever en vue de son rapprochement du plan de stabilisation (86, figures 2 et 3). Dès que la navette 95 a quitté sa position en butée à l'avant, un dispositif de sécurité doit empêcher l'ouverture du tiroir 61 par un déverrouillage intempestif du cran 108.

Lorsque la navette 95 revient vers l'avant, après la fin de la lecture d'un disque (2, figure 1), l'enveloppe 3 doit être refermée par le passage des bords de sa tranche ouverte (30, figure 1) sous les épaulements 54,55 des lèvres 52,53 de la barrette 5. En ce qui concerne la paroi inférieure 34 de l'enveloppe 3, son insertion entre l'arête supérieure de l'épaulement 55 et la face inférieure du support 4 est facilité par la présence à l'arrière de la cuvette 67 d'un avaloir 111 constitué par une surface inclinée vers l'arrière (montante vers l'avant) qui guide la paroi inférieure 34 de l'enveloppe 3 avant - la fermeture du conteneur 1.

La figure 3 montre également une partie d'un déflecteur comprenant une surface recourbée vers le haut 110, porté par l'arrière du cadre 62, qui permet l'enroulement de l'enveloppe 3 retirée à l'intérieur de l'appareil de lecture.

Il est à noter ici que le dispositif de la mobilisation du tiroir 61 au moyen du ressort 102 et de la tringle 106 est, de préférence, disposé à un autre endroit ou agencé de manière différente de celle illustrée, afin de pouvoir disposer un dispositif de levage du disque (2, fig. 1) en vue de l'engager sur le moyeu de son moteur d'entraînement, au milieu de l'espace laissé libre par le cadre 62 et la navette 95 en butée à l'arrière.

On remarquera également que le système assurant la sécurité du fonctionnement de l'appareil de lecture, dont certaines parties ont été mentionnées précédemment, englobe notamment des dispositifs signalant respectivement la position en butée arrière de la navette 95 pour arrêter son déplacement vers l'arrière et pour autoriser l'actionnement du dispositif de levage du disque et la position basse du dispositif de levage pour autoriser le retour vers l'avant de la navette 95.

On notera enfin que le basculement du tiroir 61 vers le bas, lors de son déplacement vers l'avant destiné à augmenter la largeur de la fente 12 d'introduction du conteneur 1 en position ouverte, à faciliter le positionnement des trous 303 de l'enveloppe 3 sur les tiges 101 du chariot mobile 95 et à dégager la face supérieure de l'enveloppe 3 de la clé 85 vers le haut par pivotement ou par translation (non représentés), le tiroir 61 ne se déplaçant plus alors que par une translation dans son plan, parallèlement à son axe de symétrie longitudinal.

Claims (14)

REVENDICATIONS

1. Appareil de lecture de vidéodisques (2) contenus chacun dans un conteneur de protection (1) du type comprenant une enveloppe (3) rectangulaire à trois côtés fermés -et une tranche ouverte, un support (4) destiné à porter un disque (2) et coulissant dans cette enveloppe, et une barrette (5) d'obturation de la tranche ouverte, solidaire du support (4)9 la paroi supérieure (35) de lçenve- loppe (3) étant pourvue de saillies de verrouillage (301) régulièrement espacés le long de la tranche ouverte (30), qui coopèrent avec un épaulement (54) de la lèvre supérieure (52). de la barrette (5) en vue d'assurer le verrouillage de l'enveloppe (3) sur le support (4), ledit appareil comportant un boitier fermé, muni d'une fente horizontale (12) à l'avant qui permet l'insertion du conteneur (1) dans son intérieur et un mécanisme de manipulation (6) du conteneur (1), caractérisé en ce que le mécanisme (6) comporte des premiers moyens mobiles (61) permettant2 en position avancée, d'insérer le conteneur (1) dans la fente (12) et de disposer la barrette (5) dans un logement en creux (67) et d'engager l'enveloppe (3) sur des seconds moyens mobiles (95), portés et guidés par les premiers (61) et, en position arrière, d'enserrer la barrette (5) entre son logement (67) et la paroi supérieure (13) de la fente (12) et de déverrouiller le conteneur (1) en dégageant la lèvre supérieure (52) de la barrette (5) des saillies (301) de verrouillage de l'enveloppe (3), afin que celle-ci puisse être retirée du support (4) par le déplacement vers l'arrière des seconds moyens mobiles (25), de manière à libérer le disque (2).

2. Appareil de lecture suivant la revendication I, caractérisé en ce que les premiers moyens mobiles sont constitués par un tiroir (61) déplaçable dans le sens de sa longueur entre une position avancée dépassant la face avant (11) de l'appareil et une position rentrée dans laquelle sa face avant (60) est alignée avec celle de l'appareil, comportant à l'avant un logement en creux < 67) en forme de cuvette allongée, orientée -transversalement et destinée à contenir la lèvre inférieure (53) de la barrette (5) et rendue accessible dans ladite position avancée, et des moyens de support et de guidage longitudinal des seconds moyens mobiles (95) dans leurs déplacements vers l'arrière, pour retirer l'enveloppe (3) du support (4) et vers l'avant, pour la remettre en place.

3. Appareil de lecture suivant la revendication 2, caractérisé en ce que les seconds moyens mobiles (95) sont constitués par un chariot ou une navette déplaçable parallèlement à l'axe longitudinal du tiroir (61) entre une position avancée, où le support (4) est inséré à fond dans l'enveloppe (3), et une position arrière, où l'enveloppe (3) est suffisamment retirée du support (4) pour que le disque (2) soit entièrement libéré.

4. Appareil de lecture suivant l'une des revendications 2 et 3, caractérisé en ce que les déplacements du tiroir (61) sont guidés à l'arrière au moyen de deux glissières à pivotement (68) agencés de façon à permettre le pivotement du tiroir (61) autour d'un axe orienté transversalement et à l'avant au moyen de deux rampes (75,76) inclinées vers l'avant et enserrant ses bords latéraux opposés entre elles, de telle sorte qu'en position avancée, la partie anté- rieure du tiroir (61) est inclinée vers le bas, en vue d'augmenter la hauteur de la fente (12) et de rendre accessibles des moyens d'engagement de l'enveloppe (3) sur les seconds moyens mobiles (95).

5. Appareil de lecture suivant l'une des revendications précedentes, caractérisé en ce que le dégagement de la lèvre supérieure (52) de la barrette (5) est effectué à l'aide d'un dispositif d'écartement (85), dit "clef", fixé au bâti et comportant des lames recourbées vers l'avant, en forme de dents (91) séparées par des encoches (92) de hauteur suffisante pour le passage des saillies de verrouillage (301), les extrémités effilées (93) de ces dents (91) étant disposées de manière à passer par les espacements (304) entre ces dernières pour s'insérer entre la face supérieure de l'enveloppe (3) et l'épaulement (54) de la lèvre supérieure de la barrette (5), en vue de la soulever au-dessus des sommets des saillies (301).

6. Appareil de lecture suivant la revendication 5, caractérisé en ce que les rampes (75,76) de guidage de l'avant du tiroir (61) sont agencées de telle sorte qu'en position arrière de celui-ci, I'avant du tiroir (61), alors en position haute, est poussé en butée contre la clef (85) de déverrouillage du conteneur (1), à l'aide de moyens élastiques (83) de compression, par l'intermédiaire de la face supérieure de l'enveloppe (3).

7. Appareil de lecture suivant rune des revendications 2 à 6, caractérisé en ce qu'il comporte des moyens de verrouillage (107, 108) du tiroir (61) sur le bâti en position arrière, le tiroir (61) étant rappelé en permanence en direction de sa position avancée à l'aide de moyens élastiques (102) de tension.

8. Appareil de lecture suivant l'une des revendications 5 et 6, caractérisé en ce que la face arrière (94) ou talon de la clef (85) de déverrouillage est constitué par des surfaces inclinées vers l'avant, facilitant l'insertion du bord avant de la paroi supérieure de l'enveloppe (3) sous la lèvre supérieure (52) de la barrette (5).

9. Appareil de lecture suivant l'une des revendications 2 à 8, caractérisé en ce que la partie antérieure (66) du tiroir (61) comporte, en arrière de la cuvette (67), une surface inclinée (lui) vers l'arrière, facilitant l'insertion de la paroi inférieure de l'enveloppe (3) sous la lèvre inférieure (53) de la barrette (5).

10. Appareil de lecture suivant l'une des revendications 2 à 9, earactérisé en ce que le tiroir (61) est constitué par un cadre (62) comportant des longerons latéraux (63,64) maintenus écartés par une traverse arrière (65) et la partie antérieure (66) rigides, ces longerons (63,64) coopérant avec les moyens de guidage (68, 75, 76) du tiroir (61).

11. Appareil de lecture suivant la revendication 10, caractérisé en ce que les longerons (63,64) coopèrent avec des plaques supérieures (96) et inférieure (97) de la navette (95) pour assurer son guidage approximatif en hauteur dans le sens normal au tiroir (61).

12. Appareil de lecture suivant l'une des revendications 3 à

11, caractérisé en ce que le guidage des déplacements longitudinaux de la navette (95) est assuré au moyen de deux brins flexibles (99,100) tendus, aux bouts respectivement ancrés sur les traverses antérieure (66) et postérieure (65) du cadre (62) de part et d'autre de son axe longitudinal, sur le corps (98) de la navette (95) chacun des brins (99,100) est passé autour de deux poulies de-renvoi (119-121, 123-124) tournant autour d'axes (118,120,124,125) normaux au plan du tiroir (61) et respectivement situées de part et d'autre de l'axe longitudinal de celui-ci, de sorte qu'ils présentent un tronçon sensiblement transversal et l'ancrage de leurs extrémités opposées s'effectue respectivement sur les côtés opposés des traverses postérieure (65) et antérieure (66), relativement à cet axe longitudinal.

13. Appareil de lecture suivant la revendication 12, caractérisé en ce que l'un des brins de guidage (99) est constitué par une courroie crantée développée et en ce que l'une des poulies de renvoi (119) est constituée par une roue crantée (119) engrénant avec les crans de la courroie (99) et entraînée en rotation par un moteur (115) électrique, par l'intermédiaire d'un réducteur (116,117), portés par le corps (98) de la navette (95).

14. Appareil de lecture suivant l'une des revendications 2 à 13, caractérisé en ce que la cuvette (67) formant le logement en creux pour la barrette (5), comporte un palpeur (126) commandant un dispositif de signalisation de la présence de celle-ci, lorsqu'elle est serrée entre le fond de la cuvette (67) et la face supérieure (13) de la fente (12), afin d'autoriser la mise en route du dispositif d'entraînement des seconds moyens mobiles uniquement en présence d'une barrette (5) dans son logement et lorsque le tiroir (61) est verrouillé en position arrière.