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MEMOIRE DESCRIPTIF
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à d'une demande de B D'INVENTION pour "Pyrazoloquinoléines substituées particulières, procédé pour leur préparation, préparations pharmaceutiques contenant ces composés et leur application thérapeutique" par la Société :
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CIBA-GEIGY Klybeckstrasse, 14l, CH-4002 BALE. (Suisse).
Priorité d'une demande de brevet déposée aux Etats-Unis d'Amérique, le 8 décembre 1982, sous le NO 447. 825, au nom de Naokata YOKOYAMA, dont la demanderesse est l'ayant droit.
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La présente invention concerne les pyrazolo [4, 3-c]quinolin-3-ones 2-substituées de formule IA ou IB
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où Rl représente un noyau hétérocyclique insaturé à 5 chaînons qui contient un hétéroatome du groupe constitué-par le soufre, l'oxygène ou l'azote, ou a deux hétéroatomes, dont l'un est un atome d'azote et l'autre un atome d'azote, de soufre ou d'oxygène ; ou Rl représente un radical hétérocyclique insaturé à 5 chaînons condensé à un benzo bicyclique, qui contient ur hétéroatome du groupe formé par le soufre, l'oxygène et l'azote ; ou RI est un radical hétérocyclique insaturé à 5 chaînons condensé à un benzo bicyclique avec deux hétéroatomes, dont l'un est un atome d'azote et l'autre un atome d'azote, de soufre ou d'oxygène ;
ou Rl représente un radical hétérocyclique insaturé à 6 chaînons condensé à un benzo bicyclique, qui contient l ou 2 atomes d'azote ; ou RI représente l'un des radicaux hétérocycliques mentionnés ci-dessus, qui est mono-ou disubstitué par un alcoxy inférieur, un alcoyle inférieur ou un halogène ; chacun des symboles R2'R3 R-et R , indépendamment l'un de l'autre, represente un hydrogène ou un alcoyle lofé-
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rieur ; chacun des symboles R4 et Rr, indépendamment l'un de l'autre, représente un hydrogène, un alcoyle inférieur, un alcoxy inférieur, un halogène ou un trifluorométhyle ;
ou leurs sels, en particulier leurs sels pharmaceutiquement acceptables, ainsi qu'un procédé pour leur préparation, les préparations pharmaceutiques contenant ces composés, ainsi que leur application thérapeutique.
Les composés préférés sont ceux de formule IA ou IB, où RI représente un radical hétérocyclique aromatique du groupe quinoléyle, isoquinoléyle, pyrimidyle et tthiazolyle, qui peut être mono-ou disubstitué par un alcoyle inférieur, un alcoxy inférieur ou un halogène ;
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et R,R,R,R ont les significations données ci-dessus ; ou leurs sels, en particulier leurs sels pharmaceutiquement acceptables.
D'autres composés préférés sont ceux de formuleIA ou IB, où RI représente un radical hétérocyclique aromatique du groupe quinoléyle, pyrimidyle, isoquinoléyle et thiazolyle, qui peut être mono-substitué par un halogène, un alcoyle inférieur ou un alcoxy inférieur ;
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chacun des symboles R 2 3 de l'autre, représente un hydrogène ou un alcoyle inférieur ; et chacun des symboles R4 et Rc représente indépendamment l'un de l'autre un hydrogène ou un halogène ; ou leurs sels, en particulier leurs sels pharmaceutiquement acceptables.
0n préfère en particulier les composés de formule IA ou IB, où RI représente un radical nétérocyclique aromatique du groupe quinoléyle, isoquinoléyle, pyrimidyle et thiazolyle, qui peut être substitué par un méthyle, un méthoxy, un fluor ou un chlore ; chacun des symboles R2 , R3 , R'3 et R5 represente un hydrogène ; et R, représente un hydrogène, un fluor ou un cnlore ; ou
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leurs sels, en particulier les sels pharmaceutiquement acceptables.
Il faut souligner les composés de formule IA ou IB, où R, représente un 2-, 3-ou 4-quinoléyle, qui peut être monosubstitué par un alcoyle inférieur, un alcoxy inférieur ou un halogène ; chacun des symboles R2 , R3 et R'3 , indépendamment l'un de l'autre, représente un hydrogène ou un halogène ; ou leurs sels, en particulier leurs sels pharmaceutiquement acceptables.
D'autres composés préférés sont ceux parmi ceux qui sont mentionnés ci-dessus où RI représente un 2-quinoléyle, un 3-quinoléyle ou un 7-chloro-4-
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quinoléyle ; R, représentent un hydrogène ; et R4 représente un hydrogène, un 8-fluoro ou un 8-chloro ; ou leurs sels, en particulier leurs sels pharmaceutiquement acceptables.
Un autre objet préféré de l'invention est constitué par les composés de formule IA ou IB, où R, représente un 2-, 4-, 5-ou 6-pyrimidyle, qui peut être monosubstitué par un alcoyle inférieur, un alcoxy inférieur ou un halogène ; chacun des symboles R , R-. et R, représente indépendamment l'un de l'autre un hydrogène ou un alcoyle-inférieur ; et chacun des symboles R4 et R5 , indépendamment l'un de l'autre, représente un hydrogène ou un halogène ; ou leurs sels, en particulier leurs sels pharmaceutiquement acceptables.
Parmi les composés mentionnés onpréfère ceux où R. représente un 2-pyrimidyle, un 5- (alcoyle inférieur, alcoxy inférieur, halogène)-2-pyrimidyle, un 4-pyrimidyle, un 5-pyrimidyle ou un 2- (alcoyle inférieur, alcoxy lnférieurJ-5-pyrimi- dyle.
Il faut en outre souligner les composés mentionnés où Rl représente un 2-pyrimidyle, un 5- (méthyle, méthoxy ou chloro)-2-pyrimidyle, un 4-pyrimidyle ou un 5-pyrimidyle, chacun des symboles R2 , R3 , R'3 et R5
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représente un hydrogène ; et représente un hydrogène, un 8-fluoro ou un 8-chloro ; ou leurs sels, en particulier leurs sels pharmaceutlquement acceptables.
On préfère en outre les composés de formules IA ou IB où RI représente un 2-thiazolyle, qui peut être monosubstitué par un alcoyle inférieur, un alcoxy inférieur ou un halogène ; chacun des symboles 1 2 3 et R3 représente indépendamment l'un de l'autre un hydrogène ou un alcoyle inférieur ; et cnacun des symboles R4 et R5 représente indépendamment l'un de l'autre un hydrogène ou un halogène ; ou leurs sels, en particulier leurs sels pharmaceutiquement acceptables.
Les composés préférés sont en outre parmi ceux qui sont mentionnés ci-dessus ceux où R. représente un 2-thiazolyle ou un 5- (méthyle, méthoxy ou chloro)-2thiazolyle ; chacun des symboles R2 , R3 , R'3 et R5 représente un hydrogène ; et R4 représente un hydrogène, un 8-fluoro ou un 8-chloro ; ou leurs sels, en particulier les sels pharmaceutiquement acceptables.
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D'autres composés préférés sont ceux de formule IA ou IB où Rl représente un l-, 3-ou 4-isoquinoléyle, qui peut être monosubstitué par ur alcoyle inférieur, un alcoxy inférieur ou un halogène ; chacun des symboles R2 , R3 et R'3 représente indépendamment l'un de l'autre un hydrogène ou un alcoyle inférieur ; et R4 et R, indépendamment l'un de l'autre, représentent un hydrogène ou un halogène ; et leurs sels, en particulier leurs sels pharmaceutiquement acceptables.
Parmi les composés mentionnés on préfère ceux où RI représente un l-isoquinoléyle ; chacun des symboles R, R , R et R représente un hydrogène ; et leurs sels, en particulier leurs sels pnarmaceutiquement acceptables.
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Les définitions générales employées ont dans le cadre de l'invention les significations suivantes : L'express1on "inférieur" définit dans les radicaux ou composés organiques mentionnés ci-dessus ou ci-dessous ceux qui ont au plus 7, de préférence 4, en particulier l ou 2 atomes de carbone.
Halogène est de préférence un fluor ou un cnlore, mais peut également être un brome.
Un groupe alcoyle inférieur ou un groupe alcoxy inférieur de ce genre, ou un autre groupe alcoylé, est en premier lieu un méthyle, mais aussi un éthyle, un nou i- (propyle, butyle, pentyle, hexyle ou heptyle), p. ex. un 2-méthyl-propyle ou un 3-méthyl-butyle.
Les composés de l'invention où R3 et ruz représentent un hydrogène peuvent être représentés par l'une des formules développées tautomères IA ou IB, de préférence par la structure IA. En outre les composés 3oxo mentionnés peuvent également dans certaines conditions être présents sous forme de 3-hydroxy-tautomères.
Tous ces tautomères relèvent de la portée de l'invention.
Les composés mentionnés forment, en particulier sous la forme de composés 3-hydroxy, des sels avec des bases fortes. Les sels sont de préférence des sels de métaux alcalins, p. ex. de sodium ou de potassium, de composés non substitués en l ou en 5 (R-et R = H).
En outre les composés de formule IA ou IB peuvent former des sels d'addition d'acides, qui sont de préférence des sels d'acides inorqaniques ou organiques pharmaceutiquement acceptables. Ces acides sont p. ex. des acides minéraux forts, comme des acides halonydr1- ques, p. ex. l'acide chlorhydrique ou l'acide bromhydrique, ou l'acide sulfurique, l'acide phosphorique ou l'acide nitrique ;
des acides carboxyliques ou sulfoniques aliphatiques ou aromatiques, p. ex. l'acide acétique,
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l'acide propionique, l'acide succinique, l'acide glycolique, l'acide lactique, l'acide malique, l'acide tartrique, l'acide gluconique, l'acide citrique, l'acide maléique, l'acide fumarique, l'acide hydroxymaléique, l'acide pyruvique, l'acide phénylacétique, l'acide benzoïque, l'acide 4-aminobenzoïque, l'acide anthranilique, l'acide 4-hydroxybenzoïque, l'acide salicylique, l'acide 4-aminosalicylique, l'acide pamoïque, l'acide nicotinique, l'acide méthanesulfonique, l'acide éthanesulfonique, l'acide hydroxyéthanesulfonique, l'acide benzènesulfonique, l'acide p-toluènesulfonique, l'acide naphtalènesulfonique, l'acide sulfanilique,
l'acide cyclohexylsulfamique ; ou l'acide ascorbique.
Les composés de l'invention présentent dç proprié- tés pharmacologiquement intéressantes, p. ex. des effets de régulation du système nerveux, qui se manifestent entre autres par une influence sur l'activité des récepteurs de la benzodiazépine chez les mammifères.
Ces composés se lient aux récepteurs de la benzodiazépine et présentent des effets anxiolytiques et/ou anticonvulsifs, ou ils présentent un antagonisme contre les effets des médicaments à la benzodiazépine. Ces effets peuvent être mis en évidence par des procédés expérimentaux in vitro ou in vivo, de préférence chez les mammifères, p. ex. les souris, les rats ou les singes, comme objets expérimentaux. Les composés mentionnés peuvent leur être administrés par voie entérale ou pa- rentérale, de préférence par voie orale, ou par voie sous-cutanée, intraveineuse ou intra-péritonéale, p. ex. par des gélules ou sous forme de suspensions contenant de l'amidon ou de solutions ou suspensions aqueuses.
La dose utilisée peut se situer dans un intervalle compris entre environ G l et 100 mg/kg/Jour, de préférence environ 0, 1 et 50 rr. c/Kg/jour, en particulier entre l et 30 mg/kg/jour.
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Les propriétés de liaison aux récepteurs à la benzodiazépine renvoientà l'action de régulation du système nerveux des nouveaux composés mentionnés.
Ces propriétés sont déterminées dans le test in vitro de liaison aux récepteurs, p. ex. comme il est dit dans Nature 266, 732 (1977) ou Proc. Nat. Acad. Sci. USA 74, 3805 (1977). Le diazépame se lie de façon spécifique et avec une affinite élevée aux préparations de membranes synaptosomiques brutes provenant du prosencéphale du rat. Cette liaison est inhibée par d'autres composés anxiolytiques. Si l'on utilise du diazépame marqué avec du tritium, on peut facilement déterminer l'interaction d'autres substances actives avec le récepteur mentionné comme suit : on fait incuber des membranes du prosencéphale de rat à 0-50 pendant 30 minutes avec du diazépame marqué au tritium 2 nM et avec différentes concentrations des substances testées dans un milieu tampon, à un pH de 7,5.
On prépare des solutions qui contiennent les substances testées à différentes concentrations par dilution d'une solution de base 4,2 mM dans le diméthylacétamide-éthanol (1 : 10) avec un tampon Tris 50 mM à pH 7,5.
On filtre les membranes, qui contiennent le récepteur avec différentes quantités de diazépame marqué au tritium, sur des filtres en fibre de verre. On les analyse alors dans un compteur à scintillations liquide.
On peut calculer qrapniquement la concentration des composés selon l'invention qui est nécessaire pour inhiber à 50% la liaison spécifique du diazépame marqué avec du tritium 2 nM, c'est-à-dire la CI (concentration inhibitrice).
On détermine l'action de liaison au récepteur de cenzodiazépine in vivo pour l'essentiel comme il est dit dans Eur. J. Dr. arm col. a. 213 (1978) et Nature, 275, 551 (1978).
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On administre les composés expérimentaux dans un support d'amidon de mais, par voie perorale ou intraperorale, chez la souris ou le rat. Au bout de 30 minutes on injecte dans la veine de la queue du 3Hflunitrazépan (2 nMol/kg dans une solution de sel physiologique). 20 minutes après l'administration du flunitrazépan on sacrifie les animaux. On recherche alors dans leur cerveau, par détermination de la radioactivité dans un compteur à scintillations liquide, la liaison du coordinat à marquage radio-actif au récepteur. La diminution de la liaison du 3H-flunitrazépan chez les animaux traités avec la substance active (par comparaison avec la liaison qui est établie chez les animaux simplement traités avec le support) renvoie à l'activité de liaison au récepteur à la benzodiazépine du composé testé.
On établit les effets anxiolytiques p. ex. selon le procédé du conflit de Cook-Davidson, dans lequel on utilise des rats Wistar mâles. On maintient ces rats grâce à une diète, mais sans limitation de l'apport d'eau, à 80% du poids corporel normal. On les dresse à appuyer sur un levier dans une chambre de conditionnement. La chambre contient également un récipient pour liquide, une source de lumière, un haut-parleur et un sol grillagé. Tant le levier que le grillage sont reliés à une source d'électrochocs. La chambre se trouve dans un espace acoustiquement isolé, où au cours de l'expérience une source de bruit blanc fait écran contre les influences acoustiques extérieures. Chaque période expérimentale de 47 minutes se compose de deux programmes alternant.
Le premier est un programme à intervalle variable (IV) de 30 secondes, qui se répète pendant 5 minutes. Dans ce programme on donne 30 secondes après la première action sur le levier une ration de lait concentré sucré au rat. La diminution de cette orestatlon
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de manoeuvre du levier produite par la substance active est considérée comme l'indication d'un déficit neuro- logique. Immédiatement après le programme IV on déclenche simultanément un son de 1000 Hz et un signal lumineux, qui indiquent le début du second programme, appelé "Fixed Ratio" (FR), qui dure 2 minutes. Dans cet in- tervalle de temps on administre immédiatement après la dixième pression sur le levier, simultanément à la ration de lait, un choc électrique à la patte, ce qui fait apparaître une situation de conflit.
L'intensité du choc mentionné se situe entre 2,0 et 3,6 mA. Elle varie pour chaque animal expérimental, pour l'amener pendant toute la période expérimentale à environ 25 à
100 pressions sur le levier pendant ce programme.
L'accroissement de cette prestation pendant le programme
FR provoquée par la substance active vaut comme indica- tion de l'action anxiolytique. Cette prestation accrue est déterminée d'après l'accroissement du nombre de chocs à la patte éprouvé pendant 6 périodes expérimentales
FR. Chaque période expérimentale dure 2 minutes.
Les effets anti-convulsifs sont perçus p. ex. selon le procédé standard du métrazol (pentylènetétra- zol) et de l'électrochoc maximal pour la détermination de l'activité anti-convulsive, p. ex. après administra- tion orale chez le rat.
Avant l'exoérience on fait jeûner pendant 18 h des rats Wistar mâles (130-175 a), en leur laissant un accès normal a l'eau. On administre le composé testé au moyen d'un support d'amidon de mais par intubation orale d'un volume de lU mg/kg de poids corporel. Une heure après l'administration des composés expérimentaux, on donne aux animaux par voie intraveineuse (dans la veine caudale) une aose de 24 mg/Kc de métrazol dans l'eau, dans un volume de 2,5 maza de ooids coroorel.
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On dispose alors les rats de façon identique dans des cylindres de matière synthétique et on les observe pendant les 60 secondes qui suivent, au moins 5 secondes,
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pour déterminer les spasmes cloniques. La DE50 est la 50 dose à laquelle la moitié des animaux est protégée contre les spasmes provoqués par le métrazol pendant la période d'observation.
On mesure l'antagonisme de la benzodiazépine à l'aide de l'antagonisme contre l'action anticonvulsive. du diazépame dans le modèle du métrazol. On administre le diazépame (5,4 mg/kg/p. o. ) et le composé expérimental l h avant le métrazol.
Dans le test de l'électrochoc maximal pour la détermination de l'activité anticonvulsive chez le rat, on déclenche un spasme subi avec un courant électrique de 150 mA pendant 0, 2 seconde. On applique le courant par des électrodes sur la corne 2 h après l'administration du composé expérimental. L'administration du composé expérimental s'effectue comme il est dit ci-dessus pour le test du métrazol. La DE50 est la valeur pour laquelle la moitié des animaux est protégée contre le spasme provoqué par l'électrochoc pendant la période d'observation de 5 secondes.
Comme exemples de l'invention on peut mentionner les composés des exemples l, 2 et 4 qui présentent une CI,-) d'environ 6 nM, 2 nM ou 0,3 nM dans le test du récepteur à la benzodiazépine in vitro. En outre le composé de l'exemple 4 inhioe la liaison du flunitrazepame in vivo à une dose intrapéritonéale d'environ 30 mg/kg.
Les composés de l'invention agissent également comme antagonistes de l'acénosine. Une action de ce genre s'établit par détermination de l'innioition de l'activation a l'adenosine de l'adenylate-cyclase dans des préparations
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vésiculaires de cerveau de cobayes, essentiellement selon J. Neurochem. 22, 1031 (1974).
De façon correspondante les composés de. l'invention sont intéressants comme agents ayant une action sur le système nerveux, p. ex. comme modulateurs des récepteurs à la benzodiazépine, p. ex. dans le traitement et la manipulation des désordres du système nerveux. Il s'agit par exemple des états d'angoisse, des états convulsifs (épilepsie) et de la dépression chez les mammifères.
En outre les nouveaux composés peuvent être utilisés comme produits intermédiaires pour préparer d'autres préparations intéressantes, en particulier à action pnarmacologique.
Les composés de l'invention se préparent selon des procédés connus, p. ex. a) en faisant réagir un composé de formule II
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où R,R-,R et R5 ont la signification donnée cidessus et Y représente un alcoxy inférieur, avec un composé de formule III
R'3 -NH - NH - R1 (III) où RI a la signification donnée ci-dessus et R3 représente un hydrogène, ou b) en faisant réagir un composé de formule IV
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où R2 , R4 et R5 ont la signification donnée ci-dessus, X représente un groupe hydroxy éthérifié ou estérifié réactif, et Y représente un alcoxy inférieur, avec un composé de formule III, où R. a la signification donnée ci-dessus, et R3 représente un hydrogène ou un alcoyle inférieur, ou c) en cyclisant un composé de formule IV,
où X représente le groupe NR3-NHRI et Y un alcoxy inférieur ou un hydroxy ; ou bien où X représente un hydroxy, un hydroxy estérifié ou éthérifié réactif, et Y représente le groupe-NRlNHR ; et où R1 , R2 , R'3 , R4 et R5 ont la signification donnée pour la formule I et, si on le désire, en transformant un composé obtenu en un autre composé de l'invention, et/ou, si on le désire, en transformant un composé obtenu en son sel ou un sel obtenu en le composé libre ou en un autre sel, et/ou, si on le désire, en séparant un mélange d'isomères obtenu en les isomères isolés.
On peut également préparer les composés de l'invention de manière analogue aux autres procédés connus, p. ex. ceux qui sont décrits dans le brevet américain n 4 312 870.
La condensation du procédé a) est conduite de préférence à des températures comprises entre environ
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50 et 180 , en premier lieu ffi présence de solvants inertes, p. ex. d'hydrocarbures et d'éthers aliphatiques ou aromatiques, comme le toluène, le xylène, le biphényle et/ou le diphényléther, en distillant l'eau ou l'alcanol formé, ou en présence d'un agent déshydratant, p. ex. d'un tamis moléculaire.
Les produits de départ de formule II sont connus ou peuvent être préparés selon des procédés connus, p. ex. selon J. Am. Chem. Soc. 69, 371 (1947). Les produits de départ de formule III sont également connus ou peuvent être préparés selon des procédés connus.
La condensation selon le procédé b) est conduite avec un excès ou avec une quantité équivalente d'un composé de formule III, de préférence et selon les réactifs, à une température comprise entre environ 50 et 200 C. On travaille de préférence dans un solvant inerte, p. ex. dans un alcanol inférieur, comme l'amylalcool, le n-butylalcool ou l'éthanol, ou dans un hydrocarbure aliphatique ou aromatique, p. ex. le toluène, le xylène ou le biphényle, ou un éther aromatique, p. ex. le diphényléther, ou dans un mélange de ces solvants.
Les produits de départ de formule IV sont connus, ou s'obtiennent selon des procédés connus, p. ex. selon le brevet américain nO 4 312 870 ou selon J. Chem.
Soc. 1951,1389.
Dans les produits de départ de formule IV mentionnés, le groupe hydroxy estérifié réactif X représente de préférence un halogène, p. ex. un chlore ou un brome, un alcoyle inférieur-sulfonyloxy, p. ex. un méthanesulfonyloxy. Un groupe hydroxy éthérifié réactif X est de préférence un alcoxy inférieur, p. ex. un méthoxy, ou un aryloxy, p. ex. un pnénoxy.
La cyclisation de composés de formule IV, selon le procédé c), es-c conduite e préférence dans un in-
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tervalle de températures compris entre environ 50 et 200 C, en premier lieu en présence de solvants inertes, p. ex. d'hydrocarbures aliphatiques ou aromatiques, comme le toluène, le xylène ou le biphényle, ou d'éthers, p. ex. le diphényléther, ou d'alcanols, p. ex. le nbutanol.
On travaille selon la nature de X et de Y en présence ou en l'absence d'une base (p. ex. d'un hydroxyde de métal alcalin, p. ex. l'éthoxyde de sodium), d'un agent déshydratant (p. ex. de tamis moléculaires) ou d'un agent de condensation (p. ex. la N-éthoxycarbonyl- 2-éthoxy-l, 2-dihydroquinoléine).
Dans la cyclisation de composés de formule IV où Y représente un hydroxy, il est intéressant d'utiliser un agent de condensation ou de désnydratation.
On peut obtenir les produits de départ pour le procédé c) de formule IV, où X représente-NR-NHR. et Y représente un alcoxy inférieur ou un hydroxy, par condensation d'un composé de formule IV où X représente un groupe hydroxy éthérifié ou estérifié réactif et Y représente un alcoxy inférieur, avec une hydrazine de formule III, où R-et R ont les significations données ci-dessus. On travaille dans un solvant inerte, de préférence dans un intervalle de températures compris entre environ 0 et 75 C et, si on le désire, on hydrolyse.
On fait réagir de préférence les produits de départ hydrazide de formule IV où X représente un hydroxy, un hydroxy estérifié ou éthérifié et Y est -NRI-NHk3' par condensation d'un composé de formule IVa
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où X représente un hydroxy, un hydroxy estérifié ou éthérifié, COY'représente un groupe carboxy réactif fonctionnellement modifié (p. ex. un halogénure d'acide ou un anhydride mixte), et R4 et ris ont la signification donnée ci-dessus, avec une hydrazine de formule III ou avec un de ses dérivés NHR3-acylé (p. ex. HNR1-NR3- COCF-), puis en séparant le radical acyle de l'hydrazide acylé obtenu.
Un produit de départ de formule IVa préféré est le chlorure de l'acide 4-chloroquinoléine-3-carboxylique substitué de façon appropriée.
On peut transformer de façon classique les composés de l'invention obtenus en d'autres composés de formules IA ou IB. On peut ainsi p. ex. substituer des
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composés de formule IA ou IB, où R3 ou R3 un hydrogène, en position l avec un ester réactif d'un alcool R-OH. Ces esters sont p. ex. R-- représente- sulfates, sulfonates aliphatiques ou aromatiques), comme l'iodure de méthyle, le diméthylsulfate, le méthylmésylate ou-tosylate. On obtient alors des composés de formule IB substitués en 1. Ceux de formule IA s'oDtiennent de manière analogue à partir des sels de métaux alcalins correspondants, p. ex. le sel de sodium. On ontient alors un composé substitué en position 5.
Les dérivés métalliques utilisés comme produits
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intermédiaires se préparent par métallisation avec des agents organo-métalliques, p. ex. le diisopropylamide de lithium, avec des alcoxydes de métaux alcalins, p. ex. le méthoxyde de sodium ou l'éthoxyde de thallium- (1), ou avec des hydrures de métaux alcalins, p. ex. l'hydrure de sodium ou de potassium.
Enfin on peut obtenir les composés de l'invention soit sous forme libre, soit sous la forme de leurs sels à chaque fois qu'un composé est approprié à la salification. On peut transformer une base libre obtenue en le sel d'addition d'acide correspondant, de préférence avec les acides ou échangeurs d'anions qui donnent des sels pharmaceutiquement acceptables. On peut transformer un sel obtenu en la base libre correspondante, p. ex. avec une base plus stricte, comme un hydroxyde de métal ou d'ammonium, ou un sel basique, p. ex. avec des hydroxydes ou carbonates de métaux alcalins, ou avec des échangeurs de cations. On forme les sels d'addition d'acides de préférence avec les acides inorganiques ou organiques décrits ci-dessus qui donnent des sels pharmaceutiquement acceptables.
On peut également transformer les comoosés de formule IA ou IB où R3 ou R3 représente un hydrogène, en les sels métalliques correspondants, p. ex. par traitement avec des hydroxydes ou carbonates de métaux alcalins ou alcalino-terreux.
On peut également utiliser ces sels, ou d'autres, p. ex. les picrates, dans la purification des bases obtenues. On transforme les cases en leurs sels, on sépare les sels et on libère les composés libres à partir des sels.
Etant donné les relations étroites existant entre les nouveaux composés sous forme libre et sous la forme de leurs sels il faut comprendre dans ce qui
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précède et ce qui suit lorsqu'il est question des composés libres et des sels, en théorie et en pratique, également le cas écnéant les sels ou composés'libres correspondants.
Les composés et leurs sels peuvent également s'obtenir sous la forme de leurs hydrates ou contenir d'autres solvants utilisés pour la cristallisation.
On peut séparer les mélanges d'isomères obtenus des composés ci-dessus, p. ex. de ceux de formules I à IV, selon des procédés connus, p. ex. par distillation fractionnée, cristallisation et/ou chromatographie, pour donner les isomères isolés.
Les réactions mentionnées ci-dessus sont conduites selon des procédés connus, en présence ou en l'absence de diluants, de préférence dans ceux qui sont inertes vis-à-vis des réactifs et qui les dissolvent, en présence ou en l'absence de catalyseurs, d'agents de condensation ou d'autres agents mentionnés, et/ou dans une atmosphère inerte, en refroidissant, à la température ambiante ou à des températures accrues, de préférence au point d'ébullition du solvant utilisé, à pression ncrmale ou augmentée.
L'invention concerne également les modifications du présent procédé selon lesquelles on utilise comme produit de départ un produit intermédiaire que l'on peut obtenir à une étape quelconque du procédé et on conduit les étapes restantes du procédé, ou bien où l'on interrompt le procédé à une étape quelconque, ou selon lesquelles on forme un produit de départ dans les conditions de la réaction, ou bien où l'on utilise un produit de départ sous la forme d'un sel ou d'isomères purs.
Dans le procédé de l'invention on utilise de préférence les produits de aepart qui conduisent aux
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composés décrits ci-dessus comme particulièrement intéressants.
Les composés pharmacologiquement acceptables de l'invention peuvent être utilisés pour préparer des préparations pharmaceutiques qui contiennent une quantité efficace de la substance active avec ou mélangée à des supports convenant pour l'administration entérale ou parentérale. On utilise de préférence des comprimés ou des capsules de gélatine qui présentent la matière active avec des diluants, p. ex. le lactose, le dextrose, le sucre inverti, le mannitol, le sorbitol, la cellulose, et/ou la glycine, et des lubrifiants, p. ex. la silice, le talc, l'acide stéarique ou ses sels, comme le stéarate de magnésium ou de calcium, et/ou le polyéthylèneglycol ;
les comprimés contiennent également des liants, p. ex. le silicate de magnésium-aluminium, des pâtes d'amidon, de la gélatine, de la gomme adra-
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gante, de la methylcellulose de la carboxyméthylcellulose sodique et/ou de la polyvinylpyrrolidone et, si on le désire, des solvants, p. ex. les amidons, l'agaragar, l'acide alginique ou un de ses sels, et/ou des mélanges effervescents, ou des agents absorbants, des colorants, des agents de sapidité et des adoucissants.
Les préparations injectables sont de préférence des solutions ou suspensions aqueuses isotoniques, et les suppositoires en premier lieu des émulsions ou suspensions grasses. Les préparations pharmacologiques peuvent être stérilisées et/ou contiennent des additifs, p. ex. des agents de conservation, des agents de stabilisation, des agents mouillants et/ou des émulsifiants, des tiers solvants, des sels pour régler la pression osmotique et/ou des tampons. Les présentes préparations pnarmaceutiques qui, si on le désire, oeuvent contenir d'autres corps pnarmacolocicuement intéressants, se préparent de
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façon connue, p. ex. au moyen de procédés classiques de mélange, de granulation ou de dragéification, et contiennent d'environ 0, 1 à environ 75%, en particulier d'environ l à 50%, de la substance active.
Les doses uniques pour mammifères pesant de 50 à 70 kg peuvent contenir d'environ 5 à 100 mg du composant actif.
Les exemples suivants servent à préciser l'invention et ne doivent pas être compris comme la limitant.
Les températures sont données en degrés Celsius et les données concernant des parties se rapportent à des parties en poids. Sauf définition contraire, la concentration de solvants s'effectue à pression réduite, p. ex. entre environ 15 et 100 mm Hg. Les rapports donnés pour les liquides concernent des rapports volumiques.
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Exemple l
On fait bouillir au reflux pendant # h une solution de 2,36 g d'ester éthylique de l'acide 4-chloroquinoléine-3-carboxylique et 1, 46 g de 2-hydrazinopyrimidine dans 80 ml d'éthanol. On refroidit à 5 la bouillie obtenue, on filtre et on absorbe le produit obtenu dans 20 ml de solution l N d'hydroxyde de sodium et dans une quantité d'eau suffisant à la dissolution.
On y ajoute du chlorure d'ammonium (10 g), on sépare le précipité obtenu et on le lave 3 fois avec à chaque fois de l'éthanol et de l'éther. On obtient la 2- (2-pyrimi- dyl)-pyrazolo [4, 3-c] quinolin-3 (5H)-one, qui fond au-dessus
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1 de 360 . IR (KBr) 800, 844, 886 cm.
Exemple 2
On fait bouillir au reflux pendant 16 h une solution de 2,0 g d'ester éthylique de l'acide 4-chloro-6fluoro-quinolin-3-carboxylique et 0,95 g de 2-hydrazinopyrimidine dans 40 ml d'éthanol à 95%. On filtre le mélange réactionnel et on absorbe la matière solide obtenue dans 20 ml de solution 1 N d'hydroxyde de sodium 2t une quantité d'eau suffisant à la dissolution. 0n y ajoute du chlorure d'ammonium (10, 7 g), on sépare le précipité obtenu, on le lave à l'eau et on le sèche. On obtient la 8-fluoro-2-(2-pyrimidyl)-pyrazolo-[4,3-c]- quinolin-3 (5H)-one sous la forme d'un hydrate. P- supé- rieur à 3500.
IR (K3r) 800, 829,870, 880 cm'\
On prépare le croduit de départ, à savoir l'ester éthylique de l'acide 4-chloro-6-fluoro-quinoléin-3carboxylique, selon le brevet américain n 4 312 870.
Exemple 3
On fait bouillir au reflux pendant 5 h dans 300 ml de xylène une solution de Il, a 9 d'ester
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éthylique de l'acide 4-chloroquinoléine-3-carboxylique et 8,7 g de 3-hydrazinoquinoléine. On laisse reposer le mélange réactionnel pendant 16 h à 23 . 0n sépare le solvant par décantation de la matière solide huileuse. On met deux fois cette matière en suspension dans 80 ml de xylène et on décante le solvant. On agite le résidu pendant l h dans 150 ml de solution l N d'hydroxyde de sodium, 150 ml d'eau et 220 ml de xylène. On filtre le mélange, on sépare la couche aqueuse et on mélange avec 12 g de chlorure d'ammonium.
On chauffe la bouillie obtenue pendant l h sur un bain de vapeur, on laisse refroidir à 30 et on filtre.
0n lave le produit solide 3 fois avec de l'eau, 2 fois avec de l'éther-acétone (2 : 1) et 2 fois avec de l'éther.
Après recristallisation à partir du diméthylformamide on obtient la 2- (3-quinoléyl) -pyrazoloL4, 3-c]quinolin- 3 (5H} -one, Pf supérieur à 350 . IR (KBr) 802, 852, 858 ? 882,895 cm Exemple 4
On fait bouillir au reflux pendant 5 h un mélange de chlorhydrate d'ester éthylique de l'acide 4- (2thiazolylhydrazino)-quinoléine-3-carboxylique (1,16 a) et 20 ml de n-butanol, on refroidit à la température ambiante et on filtre. On lave la matière solide obtenue avec de l'éthanol et de l'éther et on sèche. On obtient la 2- (2-thiazolyl)-pyrazolo- [4, 3-c] quinolin-3 (5H)-one, qui fond au-dessus de 350 . IR (KBr) 818,840, 871, 891 cm l.
On prépare le produit de départ comme suit : On agite pendant 26 h à 23 une solution de 1, 63 q d'ester éthylique de l'acide 4-chloroquinoléine-3carboxylique et 0, 80 q de 2-nydrazinothiazole dans 22 ml de méthanol. On mélange la bouillie ootenue avec
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22 ml de diéthyléther puis on filtre. On lave le précipité une fois avec du méthanol-éther (1 : 1) et une fois av de l'éther. On obtient le chlorhydrate d'ester éthylique de l'acide 4- (2-thiazolylhydrazino)-quinoléine-3- carboxylique sous la forme d'une matière solide jaune que l'on utilise directement dans la cyclisation cidessus.
Exemple 5
Composés que l'on prépare de manière analogue aux procédés décrits dans les exemples précédents :
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5/a) 8-fluoro-2- quinolin-3 (5H) à 350 .
IR (KBr) 822, 852, 874, 899 cm.
5/b) 8-fluoro-2- 3 (5H) à 350 . IR (KBr) 820, 832, 848, 856, 876 cm'\ 5/c) 2- (7-chloro-4-quinoléyl)-pyrazolo [4, 3-c]- Pf supérieur à 350 . IR (KBr) 801,833, 882 cm.
5/d) 2-(7-chloro-4-quinoléyl)-pyrazolo[4,3-c]quinolin-
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3 (5H) à 350 . IR (KBr) 822, 857, 870, zur Exemple 6
De manière analogue aux procédés présentés dans les exemples précédents on prépare les composés de
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formule IA, où R et R5 un hydrogène : 2 3 5
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<tb>
<tb> Exemple <SEP> R <SEP> R4
<tb> 6/a <SEP> 4-pyrimidyle <SEP> H <SEP>
<tb> 6/b <SEP> 5-pyrimidyle <SEP> H <SEP>
<tb> 6/c <SEP> 6-pyrimidyle <SEP> H <SEP>
<tb> 6/d <SEP> 2-pyrimidyle <SEP> 8-Cl
<tb> 6/e <SEP> 5-méthoxy-2-pyrimidyle <SEP> H
<tb> 6/f <SEP> 5-chloro-2-pyrimidyle <SEP> H
<tb> 6/g <SEP> 5-méthyl-2-pyrimidyle <SEP> H
<tb> 6/h <SEP> l-isoquinoléyle <SEP> H
<tb> 6/i <SEP> l-isoquinoléyle <SEP> 8-F
<tb>
Exemple 7 Comprimés contenant 10 mg de substance active.
Composition (pour 10 000 comprimés) 2- (2-pyrimidyl)-pyrazolo [4, 3-cl- quinolin-3 (5H)-one 100, 00 g Lactose 1157,00 g Amidon de maïs 75,00 g Polyéthylèneglycol 6000 75,00 g Poudre de talc 75,00 g Stéarate de magnésium 18, 00 g Eau purifiée q. s.
0n tamise l'ensemble des composants pulvérulents avec un tamis de 0,6 mm d'ouverture de maille. 0n mélange ensuite la substance active avec le lactose, le talc, le stéarate de magnésium et avec la moitié de l'amidon dans un mélangeur approprié. On met l'autre moitié de l'amidon en suspension dans 40 ml d'eau et on ajoute la suspension à la solution à ébullition de polyétny- lèneglycol dans 150 ml d'eau. On ajoute la pâte obtenue aux poudres et on granule le cas échéant en ajoutant une quantité supplémentaire d'eau.
On sèche le granulé
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pendant la nuit à 350, on fait passer à travers un tamis de 1, 2 mm d'ouverture de maille et on comprime pour donner des comprimés de 6,4 mm de diamètre qui présentent une encoche.
Exemple 8 Capsules contenant 25 mg de substance active.
Composition (pour 10 000 capsules) 2- (2-thiazolyl)-pyrazolo [4, 3-c]- quinolin-3 (5H)-one 250,0 g Lactose 1650,0 g Poudre de talc 100, 0 g
On tamise l'ensemble des poudres avec un tamis de 0, 6 mm d'ouverture de maille. On homogénéise alors la substance active tout d'abord avec le talc puis avec le lactose dans un mélangeur approprié. On remplit des capsules n 3 avec à chaque fois 200 mg du mélange au moyen d'une machine à remplir.
De manière analogue on prépare également des comprimés et des capsules avec les autres composés de l'invention, p. ex. avec ceux des présents exemples.