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La présente invention est relative à un perfectionnement de changements de vitesse pour machines et véhicules, en particulier pour motocyclettes, scooters et vélos-moteurs dans lesquels la commande des rapports individuels est effectue grâce au fait qu'un
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coin mobile est déplace axialement dans l'arbre creux portant les roues de commande, coin eu moyen duquel les organes de verrouillage agissant sur les roues de commande sont déplacés, radialement d'une façon telle que la roue de commande intéressée est accouplée à l'arbre creux.
Le coin mobile est constitué par un arbre avec un élargisse- ment qui sert à pousser les crganes de verrouillage, par exemple des billes se trouvant dans des passages axiaux'de l'arbre creux, partiellement dans des poches (évidements) correspondantes de la roue de commande et à effectuer ainsi l'accouplement entre l'arbre creux et la roue de commande là où la tête, agissant sur les billes, du coin mobile a été amenée'. L'extrémité libre du coin mobile dépasse de l'arbre creux. A cette extrémité libre est appliquée la force de déplacement du coin mobile. Ce déplacement était précé- demment effectué 'eu moyen de leviers actionnés à la main ou, pour les motocyclettes, par un levier actionné eu pied.
Le perfectionnement suivant l'invention est caractérisé en ce que le déplacement du coin mobile est effectué par des électro-f mnts.
L'invention se caractérise également en ce que des perfection- nements et modifications avantageux sont apportés au système de coin mobile actionné par les électro-aimants, ainsi qu'en ce que les électro-aimants sont prévus en disposition, montage et nombre avantageux.
La caractéristique essentielle de l'intention est donc le déplacement du coin mobile par des électro-aimants.
Les électro-aimants agissent soit directement sur l'extrémité libre du coin mobile, soit indirectement, en ce sens qu'ils agis- sent sur des coulisseaux ou des cylindres/de commande à mouvement de va-et-vient, ou d'autres moyens, qui sont en liaison avec le coin mobile'.
La commande des électro-aimants peut être effectuée par des
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boutons-poussoirs. Lors d'un actionnemtn direct du coin mobile par des électro-aimants il est avantageux que les bobines d'aiment, disposais à le suite los une des autres agissent sur une armature qui est fixée à un prolongement du coin mobile, le nombre des bo- bines correspondant . celui des rapports. Il existe cepen- dant d'autres possibilités également p.our l'actionne nient direct du coin mobile, qui seront décrites ci-après et qui font également partie de l'objet de l'invention.
L'actionnement des électro-aimants peut être effectué par un montage série.
Il est .également avantageux de prévoir à l'intérieur des bobines d'aiment des noyaux ou bagues de fer, qui gardent,une ai- mantation rémanente après la coupure du courant.
Les bobines d'aimant peuvent être disposées à l'extérieur du changement de vitesse. L'on peut également prévoir une bobine mobile qui actionne, par une rotation par étapes, le coin mobile, par exemple par l'intermédiaire d'un cylindre de commande ou d'un coulisseau tournant.
Il est avantageux,-et ceci est un objet de l'invention, qu'un aimant au moins soit prévu pour la position neutre.
Une autre caractéristique de l'invention consiste, pour un changement de vitesse actionné 'suivant l'invention par des électro aimants, à prévoir deux pu plusieurs coins mobiles, chaque coin mobile étant alors soumis à l'influence d'électro-aimants (bobines de commande ).
Des modes de réalisation avantageux, avec des caractéristiques faisant partie de l'invention, seront décrits'ci-après et en fait pour des changements de vitesse avec deux coins mobiles, qui peu- vent également être dénommés arbres de commande .
Le changement de vitesse à plusieurs arbres et coins mobiles actionnés, suivant l'invention, par des électro-aimants peut éga- lement comporter trot coins mobiles ou arbres de commande. L'aven-
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tage de ce changement de vitesse à plusieurs arbres suivant l'in vention réside non seulement en ce que l'actionnemtn a lieu élec- tromagnétiquement mais encore en ce que les roues individuelles de le transmission peuvent tre disposées avec de faibles écarts entre axes et avec un mode de construction court, les faibles écarts entre axes étant possibles parce que,- dans les rapports désires,
deux roues intermédiaires eu moins peuvent être mises en service lorsqu'il s'agit de rapports avant et quatre roues inter- médiaires pour des rapports arrière.
Les roues menantes et menées peuvent avantageusement être dis- posées 'sur un arbre de commande. Dans de tels changements de vitesse chaque coin mobile (arbre de commande) est soumis à deux forces effectuant la commande, qui existent en position neutre latérale- ment par rapport aux deux organes de commande pour les deux rapports à commander par un coin mobile.
Dans un tel changement de vitesse, l'on peut passer directe- ment de chaque rapport à la position neutre et de cette dernière directement à chaque rapport.
La répartition des,paires de roues sur trois arbres ou plus, suivant que l'on prévoit, y compris le ou les rapports de marche arrière, 6 ou 8 rapports, etc., .offre en outre l'avantage que la distribution des diverses roues peut avoir lieu de telle sorte que les vitesses relatives les plus faibles apparaissent pour les roues de cpmmande tourant sur les arbres de commande correspon- dants.
Des exemples de réalisation suivant l'invention seront décrits ci-après pour des changements de vitesse à deux et trois arbres.
Dans les changements de vitesse mentionnés ci-avant avec deux coins mobiles (arbres de commande), les coins mobiles indivi- duels sont actionnas indépendamment les uns des autres par des électro-aimants c'est-à-dire que quand un coin mobile est action- né, par exemple donc d'une position neutre vers un rapport, les
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autres coins mobiles restent alors iLmobiles. L'on a eh'conséquence, pris doin, suivant une autre caractéristique de l'invention, qu'un dispositifde blocage empêche un déplacement indésirable d'un deuxième coin mobile. De tels dispositifs de blocage seront décrits ci-après.
Il est -cependant aussi possible, suivant une autre caractérisa tique de l'invention, que deux coins mobiles (arbres de commende) se déplacent parallèlement entre eux soient reliés rigidement et sur une partie de leur déplacement commun, l'un des coins mobiles effectue les commandes et sur l'autre partie de ce déplacement l'autre coinmobile a la commande. Cette forme de réalisation pré- sente l'avantage que les deux coins mobiles peuvent être actionnés par un jeu d'électro-aimants et que le diamètre de ces derniers ne dépend pas de. l'écart entre axes des roues dentées.
Le groupe d'aimants constitué par des aimants disposés en succession comprend une bobine de commande pour chaque rapport, Une utre bobine de commande peut être prévue pour le position neutre. Il est naturellement aussi possible de prévoir plusieurs bobines de commande pour des positions neutres.
L'invention est relative également eu montage électrique des aimants actionnent le ou les coins mobiles (arbres de commande) et se caractérise par le fait que,' grâce à un système de commande électrique, les étages du changement de vitesse se trouvant entre le position de départ et celle désirée peuvent être passés auto
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mptique ment.
Pour le passage à le position neutre, il est proposé suivant una autre caractéristique de l'invention, de couper le courant lorsque le noyau d'aiment, qui est en liaison directe ou indirecte avec le -coin mobile (arbre de'commande), a atteint exactement ou approximativement la position médiane entre deux étages du change- ment de vitesse.
Il est en outre proposé de mettre les bobines de commande suc-
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cessivement ou sélectivement en circuit au moyen d'une pleque de contact à commande manuelle et d'empêcher au moyen de butées la mise en circuit simultanée de plusieurs bobines.
La plaque de contact est avantageusement munie d'un ressort qui la.ramène, en s'appuyant contre le logement du système de com- mande, à la position de départ.
Pour la mise en service de la position neutre, l'on peut pré- voir, outre le dispositif de commande, un bouton de marche à vide actionné indépendamment de la commande du changement de vitesse.
Une autre 'caractéristique de ce mode de réalisation du change- ment de vitesse suivant l'invention est le fait qu'on peut interca- ler, entre l'élément de commande et le noyau de fer, un élément intermédiaire élastique qui permet une déviation élastique dans deux directions.
L'invention se caractérise en outre par le fait qu'au lieu de l'élément intermédiaire élastique précité, qui est intercalé entre l'élément de commande et le noyau de fer, des lames conduc- trices sont disposées sur le corps de bobine ou le noyau d'aimant afin d'augmenter la forpe de départ magnétique.
Pour l'amorçage du processus de commande, il est nécessaire d'avoir une force de départ déterminée, qui est supérieure à la force moyenne . De ce fait, les bobines d'aimant doivent être cal- culées plus largement Pour des changements de vitesse pour véhi cules à moteur,et.tout particulièrement pour de petits véhicules, des motocyclettes, des scooters et des vélos-moteurs, il est cepen- dant nécessaire 'de 'utiliser que des éléments de changement de vitesse aussi petits que possible, donc également les bobines d'ai mant et avec une consommation de courant réduite.
Pour auglenter la force de départ, il est prévu suivant le présente formée de réalisation un ressort qui donne ci'abord une possibilité de dévia tion eu noyau d'aiment et ne vient en contact avec l'élément de commande qu'après avoir parcouru une certaine distance Ce mole
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de réalisation sera décrit ci-après en 'se référant eux dessins annexés la force de départ est augmentée grâce à ce système. Pendant la cornière phase du mouvement de commande l'on ne dispose plus que de 'la. tension du ressort, ce qui ne suffit pas dans certaines conditions de charge.
Suivant la caractéristique de l'inventionconsistant, pour augmenter la force de départ, à disposer des lemes conductrices sur le corps de bobine ou le noyau d'aiment, la répartition des forces s'adapte encore-mieux à la demande que dans le cas du res- sort à action mécanique.
Une autre caractéristique de l'invention est relative à des changements de vitesse à commande électromagnétique avec deux ou plusieurs arbres de commande, cas où un contacteur relié eu dis- positif de blocage mécanique déjà mentionné est écarté, lorsqu'un, rapport est mis en service, de sa position de repos et relie de ce fait deux bobines entre elles d'une façon telle qu'elles soient d'abord mise en circuit simultanément. lors de l'actionne ment du bouton de marche à vide, de telle. sorte qu'elles ramènent le con- tacteur à la position de repos et sont à-nouveau mises hors-circuit lorsque le position de repos est. atteinte.
Une caractéristique de ce montage magnéto-électrique, dans lequel le 'changement de rapport est effectué per des bobines d'ai- mant à double action disposées en succession et dans lequel deux ou plusieurs arbres de commande sont prévus, est qu'un organe de blocage relié à un troisième arbre de commande ne peut pénétrer dans un avidement du dispositif de blocage se trouvant en liaison avec les autres arbres de commade que quand ce dispositif se trouve en position de repos et qu'aucun rapport n'est en service.
L'on prévoit que, corme déjà mentionné ci-avant, grâce à l'en- gagement de l'organe de blocage du troisième arbre de commande, le autres dispositif de blocage pour les deux/arbres de commande soit ver- rouillé.
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D'autres détails et particularités de l'invention ressortiront de la description ci-après, donnée à titre non limitatif et en se référant eux dessins annexés, dans lesquels :
La figure 1 est une vue schématique d'un changement de vitesse, dans lequel les engrenages sont commandés par un coin mobile (arbre de commande), qui est actionné par des aimants.
La. figure 2 est une vue schématique d'un changement de vitesse, dans lequel les engrenages sont commandés par plusieurs coins mobi- les (arbres de -commande), qui sont commandés par des aiments
La figure 3 est une vue en coupe d'un coin mobile et d'un grou-
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pe d'aimant 'l'actionnent.
La figure 4 est une vue'en élévation d'un agencement dqns le- quel les aiments agissant perpendiculairement à l'axe du coin mobi- le actionnent une coulisse de commande.
Les figures 5 et 6 sont des vues en bout et en élévation d'un agencement dans lequel les aimants, placés perpendiculairement à l'axe du coin mobile, déplacent une roue de commande fixée sur un prolongement du coin mobile.
La figure 7 est une vue en élévation, partiellement en coupe, d'un dispositif avec deux aimants, disposés parallèlement à l'axe du coin mobile, dont le déplacement est transmis à un prolongement denté du coin mobile au moyen de cliquetas.
La figure 8 est une vâe en coupe d'un changement de vitesse
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à deux arbres due CO?':î.r.îc^27¯.8.
Le figure 9 est une- vue en élévation partielle dans le sens exirl des arbres.
Le figure 1C 'est une vue en coups du montage pour la merche arrière.
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La figure 11 est un sch'na d'an verrouillage 'lactricue pour un changement -le vitesse à plusieurs coins mobiles, les premier. et 4x>?¯-r¯ rapports étant disposas sur un ::rbre corriun, les troi- que ëièm6 et ÇL1. -trlC.aG reports ainsi 1:f".0 X4s"'l oebe If marche :"¯'1.'l:-
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La figure 12 est une vue en coupe d.'un' changement de vitesse à plusieurs coins mobiles, les premier et deuxième rapports étant disposas sur un prbre commun, les troisième et quatrième rapports sur un second arbre commun et le rapport arrière séparément, les rapports 1,2 et 3,4 pouvant être verrouillés mécaniquement.
La figure 13 est une vue en coupe longitudinale d'un change- ment de vitesse avec trois coins mobiles, les trois arbres de com- mande étant représentés avec ces trois coins mobiles dans un plan.
La figure 14 est une vue schématique de la disposition des trois arbres de commande de la figure 13, dans le sens axial.
La figure 15 est une vue schématique en coupe du dispositif de blocage des coins mobiles, vu dans le sens axial de de dernier, suivant la ligne III-III de la figure 13.
La figure 16 est une vue en coupe longitudinale d'un changement de vitesse à deux coins mobiles, ces derniers étant reliés rigide- ment entre eux et actionnes par un groupe d'aimants.
Les figures 17 à 23 sont des vues schématiques d'un dispositif de commande à un coin mobile, avec un élément intermédiaire, par exemple un ressort, intercalé dans le noyau de fer actionnant la commande. Ce dispositif comprend un système tel que les étages intermédiaires du changement de vitesse puissent être passés auto- matiquement et un contacteur automatique qui, lors de l'actionnement d'un bouton..de marche à vide, connecte en série les bobines qui sont en position intermédiaire et qui coupe le courant lorsque la position neutre entre les premier et deuxième rapports est at- teinte.
Il est prévu une plaque de contact à commande manuelle qui connecte successivement ou sélectivement les bobines de commande et empêche par des' butées la mise an circuit simultanée de plusieurs bobines, un ressort ramenant la plaque de contact, en s'appuyant sur le logement, à la position de départ. Un bouton de marche à vide, plac dans le même boîtier de commande, est actionné indé- pendamment de lacommande du changement de vitesse.
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Les figures 24 à 29 représentent un montage magnéto-électri- que, dans lequel des lames conductrices sont disposées sur le corps de bobine ou le noyau d'ziment pour augmenter la force magnétique de départ, figures dans lesquelles :
La figure 24 est une vue en coupe longitudinale du corps de bobine et du noyau d'aiment.
La figure 25 est une vue. latérale correspondant à la figure 24.
La figure 26 est une vue en coupe suivant la ligne XXVI-XXVI de le figure 27 d'une forme de réalisation du corps de bobine avec des lames conductrices magnétiques bilatérales.
La figure 27 est une vue latérale correspondant à la figure 26
La figure 28 est une vue en coupe partielle suivant la ligne
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" Vï2T-¯'VIII de la figure 27.
La figure 29 est une vue en perspective du noyau d'aiment.
Les figures 30 à 35 représentent un changement de vitesse à deux arbres de commande, dans lequel le changement de rapport est effectué par des bobines d'aimant à double action et un contacteur relié à un dispositif de blocage mécanique est écarté de sa posi- tion de repos lorsqu'un rapport est en service et il connecte alors deux bobines de telle sorte qu'elles soient d'abord mises en cir- cuit ensemble lors de l'actionnement du bouton de marche à vide, de telle façon qu'elles ramènent le contacteur en position de repos et sont à nouveau mises hors-circuit lorsque cette position de repos est atteinte.
Parmi ces figures :
La figure 30 est une vue de dessus des bobines pour les rap- ports avant et le- rapport arrière. la fi jure 31 est une vue en coupe des bobines.
La figure 32 est une vue en coupe suivant l'axe de pivotement
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le 1^ )16Ce osc-1llênte ainsi que des contacts.
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La figure 33 est une vue en coupe perpendiculairement à l'axe de pivotement, au-dessus du contacteur.
La figure 34 est un schéma correspondant à la rotation du contacteur dans le sens opposé à celui des aiguille d'une montre.
La figure 35 est un schéma correspondant à la rotation du contacteur dans le sens des aiguilles d'une montre.
Les figures 1 et 2 représentent des changements, de vitesse dont les caractéristiques conformes à l'invention seront décrites ci-après. Elles représentent également le principe du système à coin mobile. La figure 1 représente un changement de vitesse avec un coin mobile 2, qui peut être déplace axialement dans un erbre de commande creux 36 et dont la tête 1 déplace des billes 30 ser- vent d'organes de verrouillage d'une façon telle que l'arbre de commande est accouplé à l'une des roues de commande 32, 33, 34 mu l'arbre de
35. Les billes sont guidées dans des passages radiaux de /commande, 36.
A l'extrémité libre du coin mobile 2 est disposée une armature d'aiment 3, qui peut être déplacée, avec le coin mobile, par les bobines d'aimant dans le sens axial
La figure 2 représente un changement, de vitesse avec deux coins mobiles 38 et 39, chacun d'eux comportant deux têtes 38b,
38c et 39b, 39c. Les figures 3 à 7 représentent les possibilités d'actionnement du ou des coins mobiles, en premier lieu directement (figure 3), comme c'est également le cas dans les formes de réali- sation des figures 1 et 3 et d'autres figures. En second lieu, les figures 3 à 7 représentent la possibilité d'actionnement indi'- rect du coin mobile, ou naturellement aussi de plusieurs coins mobiles, par des électro-aimants.
Cinq bobines d'aiment L, I, II,
III et IV sont prévues l'une à côté de l'autre concentriquement par rapport à l'axe du coin mobile 2. La largeur des bobines d'ai ment, qui sont disposées à proximité immédiate l'une de l'autre, est telle que la distance entre leurs centres corresponde au déplacement du coin mobile pour chaque étage de commande. La bobine
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L est prévue pour lr position neutre. Le coin mobile est attiré à la position qui est déterminée par le champ électromagnétique particulier mis en action. la peut être effectuée pu moyen de boutons poussoirs; tous les aimants peuvent également être actionnés l'un ,près l'autre par un montage en série.
En outre, l'on peut prévoir un système électrique de commande pas à pas qui, lors de l'actionnement, commande toujours le rapport suivant dans l'un ou l'autre sens.
Pour bloquer les rapports, l'on peut prévoir à l'intérieur des bobines de petits noyaux ou bagues en fer, qui gardent même après la coupure du courant une aimantation rémanente qui suffit pour le but de la fixation du rapport.
Afin que le magnétisme des bobines ne soit pas transmis eu coin mobile, la liaison entre l'armature .l'aiment 3 et le coin mobile 2 doit être fabriquée en une matière non magnétisable.
Les bobines d'aiment peuvent être disposées à l'extérieur du changement de vitesse. Dans l'exemple de réalisation de la fi- gure 3, il est prévu de placer les bobines . l'extérieur du pignon à chaîne commandé 4, dont la position est 'simplement indiquée.
La forme de réalisation suivant le figure 4 montre une douille de coulisse 7, qui peut tourner coaxialement par rapport au prolongement du coin mobile, autour de 'ce dernier, et présente des évidements en forme de dents le scie, qui, lors d'une rotation de cette coulisse,- agissent sur un boulon 5 à l'extrémité libre de l'arbre de coin mobile 2 d'une façon telle que ce coin- mobile soit déplacé p?s à pas dans l'un ou l'eutre sens.
la rotation peut être effectuée par deux piments, l'un oscil- lant dans un sens et l'autre dans l'autre sens chèque impulsion des aimants effectuant un avancement .l'un pas, donc le déplacement du boulon 5 dans 1 ' avidement en dents le scie suivant .
a chacun des aimants, non représentés à la figure 4, correspond en outre un ressort, qui ramène le coulisse 7 après le déplacement en posiè
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tion médiane. Les dents de la coulisse 7 ont une forme telle que, lors du pivotement dans un sens, le coin mobile soit déplace d'un pas de commande dans un sens, lacoulisse 7 recevant alors, au moyen d'une came 6 qui coopère avec un boulon fixe 8, un mouvemeni longitudinal, qui fait passer le boulon 5 de l'extrémité du coin mobile sur les pointes des dents.
L'actionnement électro-magnétique se limite dans cet exemple. à deux contacts,¯ de telle façon que l'un des contacts effectue la commande de marche avant et l'autre le commande de marche ar rière. Le blocage des ,rapports peut être alors effectué soit élsctromagnétiquement soit mécaniquement. Une combinaison avec un système de marche à vide, comme décrit en rapport avec la figu re 3, peut également être réalisée .
L'exemple de réalisation suivant les figures 5 et 6 comprend de même deux bobines d'aimant 9 et 10 dirigées perpendiculairement par rapport à l'axe du coin mobile; dont les armatures 13 et 14 pouvant tre influencées contre la force des ressorts- 11 et 12, portent des cliquets de commande articulés 15 et 16, qui agissent sur une roue de commande 17, .dont les dents d'une moitié sont dirigées en sens opposé de celui des dents de l'autre moitié.
La roue de commande 17 est reliée à une douille 18, qui est supportée à rotation sur l'arbre de coin mobile 2, mais qui ne peut pas être déplacé axialement La douille 18 comprend une rainure de came 18 dans laquelle passe un goujon perpendiculaire 20 fixé à l'arbre de coin mobile 2.
La came est établie de telle sorte que la rotation provoquée par une impulsion d'aimant de le. roue de commande 17 provoque un' avance oient d'un pas le commande du coin mobile. L'ins- tallation de: contacts est la même pour ce mode ,:le réalisation que pour le cas dscri-t en se réfèrent à 1p figure 4.
La figure 7 représente le montage de deux bobines d'aimant 21 et 22, qui sont disposées parallèlement au prolongement de coin mobile 23 . Le fonctionnement des armatures 26 et 27 pouvant
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être attirées dans les bobines contre l'action de ressort 24 et 25 se fait dans des sers opposas.
Lesdites armatures portent des cliquets de commande articulas 28 et 29 qui pouvent s'engager dans des évidements 23 de l'arbre de coin mobile 2 et agissent de telle sorte que l'arbre le coin mobile soit déplacé vers la droite lorsque l'aimant 21 est mis sous tension et vers la gauche lorsque l'aimant 22 agit d'un pas de commande. L'installation de .contrats est équipée, dans cet exemple de réalisation, de deux contacts comme c'est le cas pour les deux exemples de réalisation suivent les figures 4 à 6 les
Dans tous/modes de réalisation où les aimants provoquent un mouvement;
rotatif d'un moyen agissant sur l'arbre de coin mobile, comme représenté à la figure 4 ou aux figures 5 et 6, l'on peut également prévoir à la place ctec de deux aimants une bobine mobile, qui, par sa rotation dans l'un et l'autre sens,donne l'effet désiré.
Dans les changements de vitesse à coin mobile décrits précé- tous les rapports étaient commandés sur un arbre de com- mande. Les roues de commande sont disposées librement sur l'arbre de commande creux, dans' lequel le' coin mobile est supporté de façon à pouvoir coulisser et, grâce à son coulissement, une roue -près l'autre est reliée par des éléments de commande ou de verrouillage, par exemple desmodromiquement, et le rapport intéressé est ainsi mis an service. le succession des commandes est par exemple de :
L m rche à vide, I II, III, IV (comme pr exemple suivant la fi jure 3 ou I,L marche à vide, II, III, IV ou encore R marche arrière L marche à vide, I, II, III, IV.
Jette succession de commande est habituelle en particulier pour les transmissions de motocyclettes. Il est. cependant désavantageux qu aucun rapport ne puisse être passé avec de lois changements de vitesse à coin mobile. Tous les rapports doivent être mis en
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service dans la succession indiquée.
Suivant l'invention, ce désavantage est élimine grâce au fait que plusieurs coins mobiles, et au moins deux, sont prévus, agissant sur plusieurs jeux de roues, et au moins deux. De cette façon;, l'on peut passer directement de n'importe quel rapport à la marche à vide et donc également à n'importe quel autre.
Suivant l'invention, 1 .on propose une forme de réalisation qui se caractérise en ce que dans chacun des deux arbres de chan- gement de vitesse .1!.on dispose un coin mobile, au moyen duquel deux rapports peuvent être commandés.
Les coins mobiles sont avantageusement réalisés et disposés nt l'un par rapport à l'autre dentelle sorte qu'ils n'accouple/en posi- tion médiane aucune roue, de telle sorte que toutes les roues sont en marche à vide. De cette façon, l'on peut suivant l'invention, en une course de commande, passer de n'importe quel rapport à la marche à vide et de le marche à vide à n'importe quel rapport désiré, La commande peut avoir lieu eu moyen de leviers soit direc,- tement manuellement, soit électriquement, pneumatiquement ou hy- drauli quement
Des exemples de réalisation sont représentés aux figures 8 10 Le changement de vitesse comprend deux arbres de commande 212 213, avec des roues 214, 215 (premier rapport), 216,217 (troisième rapport), 218, 219 (deuxième rapport), 220, 221 (quatrième rapport).
Dans chaque arbre de commande est guidé, d'une façon connue en soi, un coin mobile 20la et 201b. Chaque coin mobile effectue, par l'intermédiaire d'organes de verrouillage ou de commande, dans le présent cas des billes 222, la liaison desmodromique désirée entre l'arbre de commende et le roue de changement de vitesse.
Au moyen d'autres billes 223, l'on verrouille les positions de commande des coins mobiles.
Dans le cas représenté aux dessins, le première vitesse
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(premier rapport) .est en service. Les roues 214 et 215 sont en prise.
Une plaque de renvoi 209 pouvant pivoter autour d'un boulon fixe est reliée eux coins mobiles 210a et 201b d'une façon telle que deux rapports ne peuvent pas être commandés simultanément en une fois.
Dans le cas d'une commande électrique des coins mobiles, l'on prévoit des bobines,d'aimant 202, 203, 204 et 205 et en fait deux pour chaque coin mobile. Si la bobine d'aiment correspondant à un rapport quelconque reçoit du courant au.moyen d'un montage à bouton poussoir, un noyau de fer 206 fixé au coin mobile est attiré eu centre du champ magnétique et le rapport est ainsi mis en service.'
La commende de la marche à vide est effectuée grâce au fait que le bobine adjacente reçoit du courant lors de l'actionnement du bouton de marche à vide, mets ce courant est coupé lorsque le coin mobile e atteint sa position neutre.
Cette commande de courent est effectuée par des contacts 207, qui sont commandés .mécaniquement en fonction du mouvement du coin mobile, au moyen de coulisseaux de-commande 208a et 208b. est
La commande de le marche arrière (figure 10) /effectuée par l'intermédiaire d'une ou deux bobines d'aimant 210 disposées sépa- rément, qui commandent le roue intermédiaire de la marche arrière de soit par le coin. mobile, soit par un actionnèrent direct/l'étrier. de commande 211.
La disposition des roues de commande sur un arbre de commende, per exemple : comme dans le ces de le figure 1, présente le désavan tage que lors de la mise en service de le marche à vide, l'on doit passer un ou plusieurs rapports et que les roues du changement de vitesse ne peuvent pas dépasser une dimension minimum déterminée par le mécanisme de commende Il s'ensuit que lorsqu'un rapport élevé est mis en service, les roues tournant à vide des rapports
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plus faibles ont des vitesses relatives élevées.
Grâce, à la division en plusieurs arbres avec plusieurs .'coins mobiles, il est possible de disposer le mécanisme de commande à l'intérieur des plus grandes roues, de telle sorte qu'il n'est pas nécessaire, pour tenir compte du mécanisme de commande, de donner aux roues des dimensions supérieures à ce qui est nécessaire. Les vitesses relatives élevées des roues dentées tournant à vide sont einsi également ' évitées .
La disposition à plusieurs .arbres permet également de passer directement de n'importe quel rapport à le marche à vide sans devoir passer par un ou plusieurs autres rapports. Il est en outre possible; de commander à partir de la marche à vide n'importe quel rapport, de même sans devoir passer par un ou plusieurs autres rapports: Dans cette forme de réalisation, il est de plus possible de réaliser la. marche .arrière au moyen d'une roue double mobile (non représent té ici), lorsque deux roues tournant à vide sont reliées en venant' en prise avec ladite roue doublé;Cette forme de réalisation est usuelle, mais son utilisation n'est rendue possible que par la dis- position séparée des arbres commandés. La- marche arrière peut alors également être commandée par une bobine disposée séparément.
Dans tous ces changements de vitesse à plusieurs arbres de com' mande, il est indispensable-d'assurer la commande de telle sorte que plusieurs rapports ne puissent pas être commandés en une fois, mais au contraire'il faut veiller à ce que le rapport précédent vienne sûrement en position neutre avant que le rapport suivant ne soit mis en prise. Ceci .peut être réalisé non seulement avec un système électrique, mais également avec un système mécanique ou une combinaison électrique-mécanique.
-La figure 11 représente un verrouillage électrique, dans et lequel les premier /deuxième rapports sont disposés sur un arbre de commande commun, les troisième et quatrième rapports et la mar che arrière sur un troisième arbre. La figure 12 représente de
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même un changement de vitesse à trois arbres, avec les premier et leuxième rapport ensemble, les troisième et quatrième rapports en. semble et le rapport de marche arrière séparé, les rapports 1-2, 3-4 -',tant verrouillés mécaniquement. La marche arrière peut être verrouillée de le même façon.
Un contact 303 est disposé sur le changement de vitesse d'une façon telle qu'il soit actionné en même temps que le commande des rapports, ou encore le commutateur peut pivoter' autour d'un point 304 et alors, chaque fois qu'un rapport est mis en service, le con tact 303 est nécessairement fermé.
Outre ce contact, l'on dispose encore quatre ressorts de con- tact 305, 306, 307 et 308.'Ces quatre ressorts de contact ont le même but que dans le mode de réalisation suivant les figures 17 à 23, qui sera décrit ultérieurement. Les bobines peuvent être mises en liaison avec le masse aussi bien par l'intermédiaire du commuta- teur de rapport que par l'intermédiaire des quatre ressorts de con- tact 305, 306,.307 et 308 et recevoir ainsi du courant lorsque le contact 303 est actionné simultanément. Si donc un rapport est mis en service, la bobine opposée est de même.mise en circuit.
Ceci ne joue aucun rôle dans le fonctionnement, car le noyau d'aiment a déjà été écarté de la position médiane et le noyau. d'aimant est at-. tiré par la bobine dans le quelle- les pôles magnétiques se sont le plus rapprochés .
Il convient de mentionner qu'il est 'possible de raccorder les bobines opposées de telle sorte qu'elles bloquent l'action des res- sorts magnétiques.
Si l'on met donc par exemple le premier rapport en service, le contact 303 est d'abord fermé. La bobine 301 est reliée de ce fait eu pôle positif de la batterie et le noyau d'aiment se déplece dans la direction de le bobine 1, le ressort 305 vient en contact avec la messe avant la position finale et par conséquent le bobine 2 est mise sous tension.
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Lorsque' le commutateur de rapport est relâche, il est essentiel que le contact 303 soit d'abord ouvert et que les deux bobines soient donc mises hors circuit puis seulement le contact du commu tateur de 'rapport I. La commande des rapports reste donc en positior. de rapp'ort I. Le contact I est alors ouvert et donc l'alimentation de.s bobines III/IV est xxxx coupée. Il n'est, donc pas possible dans cette position de mettre ces rapports en service.
Si alors le rapport II est commandé, le contact 303 est d'abord fermé à nouveau. La bobine II reçoit de ce fait du courant par l'in- termédiaire du 'Contact-305 et quitte ainsi la position de blocage.
Le coin mobile est alors amené par les billes ou les roues tournant différemment en position neutre et le contact 302 de la commande de rapport est fermé lors de l'actionnement, de telle sorte que la bobine II reçoit du courant par l'intermédiaire de ce contact et met le rapport en service.
A peu près pendant le dernier tiers du mouvement de commande, le ressort de contact 306 est mis à la masse et la bobine 1 reçoit du courant. Par suite de l'ouverture du contact 303,les deux bobi- nes sont à nouveau mises hors circuit et le rapport II est mis en service. Si le troisième rapport est commandé, le contact 303 est à nouveau fermé et la bobine de .rapport I est mise sous tension par l'intermédiaire du contact 306. Le contact 301 est d'abord coupé, de.telle sorte qu'aucun courant ne circule dans la 'bobine
III, bien que le commutateur du rapport 3 soit fermé. Après que la bobine Lait été mise sous tension, 1' arbre des rapports 1 et
2 est amené à la position neutre et le' contact 301 est fermé..
De ce fait, le bobine III est mise sous tension et le rapport 3 est mis en service.
Ce qui précède est effectué de la même façon lors da la com- mande du quatrième rapport ou lors du retour eux rapports III, II et I, Les rapports sont donc toujours bloqués électriquement aussi longtemps que le rapport mis en service précédemment n'a pas été mis hors d'action.
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Si un rapport arrière est également prévu sur un arbre séparée il faut aussi tenir compte du fait que le rapport attière ne peut pes être actionné en même temps qu'un autre rapport..Suivant l'in- vention, lE connexion vers les bobines I, 11,111 et IV par l'inter médiair.e du contact 303 passe per un relais-300, ce dernier ayant pour effet que quand ,1' une des quatre bobines de commande est mise sous tension, le contact 310 est coupé et la bobine de marche arriè re reste sans courant. D'autre part, la connexion aux bobines I, II, III et IV passe par un contact 311.
Si donc la marche arrière est actionnée, les bobines I II, III et IV sont mises hors circuit L'on offre donc dans ce cas également une sécurité suffisante con- cernant le fait que la marche arrière ne peut en aucune façon être mise en service en même temps qu'un autre rapport.
Le verrouillage représenté à la figure 11 , effectué au moyen des contacts 311 et 312, peut être remplacé par un dispositif repré- senté à la figure 12. Jeux pièces de glissement 314 et 315 présen- tent un évidement 316 ou un appendice 317, qui met alors sûrement hors service le rapport de l'arbre de commande adjacent lorsque 1 '.autre coin mobile est , déplacé en sens opposé. A la partie infé- rieure de ce dispositif se trouve un boulon 318 fixé au logement, et autour duquel est supporté à rotation une pièce oscillante 319 Dans les pièces coulissantes 314 et.315 sont également fixés des goujons 320'et 321, qui viennent en contact avec la pièce oscillen- te 319 Si donc le.
coin mobile est déplpcé en sens opposé, par exem- ple le rapport 2 est en service et le rapport 3 doit être mis en service, le pièce oscillante -ie alors sûrement, au moyen des goujons 321'et 320, le coin mobile hors de la position de rapport 1 et l'amènera le position de marche à vide. Ce dispositif a pour effet que le rapport mis en service précédemment est mis hors d'ac- tion par un'moyen mécanique, quel que soit le rapport qui doit être mis en service ensuite.
Le verrouillage de la marche .arrière peut alors avoir lieu
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par un moyen électrique, comme représenté à la figure 11.
Le principe du verrouillage électrique ne change en rien lors- que les quatre rapports avant sont disposés en commun et le rapport arrière séparément, ou lorsque le rapport arrière est disposé en commun levée les rapports 1 et 2 et que les rapports 3 et 4 sont disposés séparément, etc.
Le principe de l'invention ne change également en rien lorsque la disposition des contacts pour le verrouillage mutuel a lieu comme décrit ci-après, en se référant eux figures 17 à 23.
Il convient encore de mentionner que le contact principal 303 disposé sur le commutateur de rapport a simultanément le rôle que le contact de marche à vide remplit dans le cas des figures 17 à 23. Si alors le commutateur est actionné sans qu'un nouveau rap- port soit commandé, la commande a alors lieu pour la marche à vide.
Pour le rapport arrière, l'on peut s'arranger utilement de telle sorte qu' un ressort 322 provoque le retour automatique de ce. rap- port arrière vers la position neutre lorsque le bouton de contact 323 est relâché.
Il est bien alors nécessaire de maintenir fermé le contact pour la marche arrière pendant toute la durée de la circulation en marche arrière, mais l'on épargne cependant dans ce cas une bobine de commande supplémentaire. Une indication des rapports est rendue possible de, le façon la plus simple, en connectant les lampes indicatrices de l'indicateur de rapport avec les contacts de marche à vide'. L'on connecte donc 1!indicateur de rapport I avec le contact 305, l'indicateur de rapport II avec le contact 306, l'indicateur de rapport III avec le contact 307 et l'indica- teur de rapport IV avec le contact 308.
Dans les changements de vitesse à commande électromagnétique décrits, le? marche à vide est commandée ppr une disposition appro priée de contacts de telle sorte que le noyau d'aimant se trouve en position neutre entre deux aimants. L'on doit prévoir dans ce
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but, dans le changeaient de vitesse, un certain nombre de contacts ou de contacteurs. Ces pièces sont très sujettes auxdérangements Lorsqu'un dérangement- survient, le recherche de la panne et l'essai de l'installation de contact électrique est difficile, par une partie au moins du changement de vitesse doit être démontée. En outre, les contacts nécessaires entraînent, .eu point de vue matière et montage, un accroissement important du prix de revient du chan- ge ent de vitesse.
Ces inconvénients sont éliminas suivant une autre caractéris- tique de le présente invention grâce au fait 'que l'on prévoit au moins un aiment pour une position de marche à vide. De ce fait, les contacts sont éliminés ''dans le. changement de vitesse. Ils peu- vent alors être. disposés en n'importe quel endroit désiré de la machine ou du véhicule, de telle sorte qu'un essai de leur fonc- tionnement puisse être effectué sans démontage du changement de vitesse.
Si, comme suivant l'invention, l'on prévoit un coin mobi- le ou également un utre organe effectuant la commande, par exem- ple un cylindre de commande etc. qui commande tous les rapports pps à pas,l'on dispose alors dans le groupe d'aimants prévus pour ce montage suivant l'invention pu moins un aimant pour une position neutre. la voie de commande du coin mobile est augmentée per la présence de l'aiment de position neutre de le longueur de cet aiment de telle sorte que les deux roues dentées entre lesquelles est prévue le position neutre, doivent être plus écartées pour cette position de comamnde que les paires de roues dentées entre lesquelles il ne se trouve aucune position neutre.
Il est évidemment également possible que chaque organe effec- tuent le commande ne seit prévu que pour une commande de rapport, de telle sorte que chaque piment' effectuant une commande de rapport soit accompagné d'un aiment de marche à vide. Dans If plupart des changements de vitesse à roues dentées, il suffit cependant, pour priser de la position neutre à n'importe quelle autre position ,le
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rapport, que chaque organe effectuant -la commande actionne .deux commandes de rapport et qu'entre chaque, paître.. - de rapports il exis- te une position de marche à.vide et qu'en conséquence il se trouve un aimant de marche à vide entre chaque paire d'aimants de commande de rapport.
S'il s'agit alors de changements de' vitesse dans lesquels il faut prévoir un ou plusieurs sens de rotation opposés à la normale pour divers rapports,- l'on peut alors prévoir l'un dès organes effectuant la .commande pour la ou les marches arrière. Le genre de ces changements de vitesse est tel que, au cas où l'on prévoit des rapports arrières, eu moins trois organes effectuant la com- mande et par' conséquent trois arbres de commande sont avantageuse- ment prévus. Ceci'- est en particulier nécessaire lorsque la commande et la dérivation restent toujours sur le même arbre.
Si cependant la marche arrière peut être obtenue à partir d'un autre arbre que celui de la marche avant, il est alors également possible pour de tels changements de vitesse de se satisfaire de deux organes effectuant la commande et de deux arbres do commande.
Dens les changements de vitesse pour véhicules moteurs, dans lesquels un seul rapport arrière est usuel, il suffit également, outre la commande à deux arbres, ,le produire la commande de la roue intermédiaire pour le rapport arrière, qui tourne sur un troisième arbre, d'une façon connue en soi, au moyen d'un électro aiment particulier, grâce à un déplacement de la roue intermédiaire réalisant le rapport arrière sur son arbre. Suivant le principe de la présente invention, l'on ajoute également à l'aimant produi- sant ce mouvement de commande un aimant de marche à vide, qui atti re la roue intermédiaire en position neutre lorsque le rapport ar- rière doit être mis hors de sarvice.
La commande dès-aimants peut, comme déjà mentionné, avoir lieu à partir d'un endroit quelconque, c'est-à-dire que les contact peuvent, du fait que l'on prévoit les aimants de marche à vide,
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être disposés en n'importe quel endroit désiré de ,le machine, dans le cas de véhicules par exemple au tableau de bord, sur le guidon ou sur le volant .
S'il s'agit, d'un changement de vitesse à plusieurt arbres, donc d'un changement de vitesse dans lequel plusieurs orga nes effectuant le commande sont présents, l'on prévoit alors entre chaque paire de contacts de commande de rapport un contact de marché ' à vide, ces contacts de marche à vide commandant toujours tous les aiments de telle sorte que lors du passage d'un rapport à un autre, l'on est toujours sur que tous les organes de commande se trouvent en position de marche à vide.
Le' changement de vitesse suivant l'invention peut,'comme déjà indiqué, être utilisé dans tous les cas où divers rapports doivent être commandés pas à pas ou dans le cas où il faut passer d'une position de rapport quelconque à n'importe quelle autre, en passant donc divers rapports. Le changement de vitesse suivant l'invention
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peut être utilisé, outre pour des v3hibules, des motocyclettes, des scooters et des vélos-moteurs, également pour des machines outils, des machines textiles etc., dans lesquelles une commande
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électrique par un levier actionné, a la main ou par des dispositifs à cociflipnde automatique, 11cr exemple une mécanique Jacquard pour des machinas textiles, ou encore par une commande électronique- est désirée..
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Le changement de vite3së¯'suivsn.t la figure 1 est un changement de vitesse à cinq 'rapports, y compris un 'rapport arrière. les rap
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ports sont d3sicns ppr R, I, II, III et IV. Entre le rapport er- rière et le premier rapport I, l'on prévoit un rapport de marche à vide L.
Le coin mobile 2, avec une tête 1 qui léplece rsdislement des billes 30 et couple par conséquent les roues folles 31, 32 33
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34 et 35 à l'arbre de conimande 3i, porte à son extrémité libre un noyau d'imant 3, qui se déplace dans le groupe d'étants dis-
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posés coaxialement par rapport à l'arbre de commande 3b et au coin mobile 2, la mise en circuit de l'un des divers ciments R, L, I, II, III et IV emenant le coin mobile à le position de coru..,n"1E.
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désirée, avec ce montage linéaire, il est nécessaire que lors du passade d'un rapport à l'autre, les-rapports intermédiaires soient parcourus.
A partir de chaque piment, l'une des extrémités du câble* va à le messe et l'autre eux points de contact, le contact étant indique par une flèche.37. L'on prévoit comme installation de contacts des boutons ou des leviers de commande.
La forme de réalisation représentée à la figure 2 comporte, comme organe effectuant le commande, deux coins mobiles 38 et 39. chacun de ces deux coins mobiles se déplace avec une extrémité dans l'arbre de commande correspondant 40 ou 41 et l'autre extré- mité, a laquelle est fixe un noyau d'aiment 39a ou 38a dans le groupe d'aiment correspondant 42 ou 43. Chaque coin mobile est prévu pour la commande de deux rapports. Entre, deux positions de commande se trouve la position neutre.
Suivant l'exemple de réalisation les deux coins mobiles com mandent quatre rapports I, II, III et IV. Le coin mobile 39 com- mande les rapports I et II avec. les aimants prévus dans ce but,I et II. Le coin mobile 38 commande les rapports III et IV avec les aimants III et IV prévus dans ce.but. Dans cheque groupe d'aimants
43 et 42 se trouve, entre les aimants xxx 3 et 4 ou xxx 1 et 2, un piment 11 pour la position neutre. Chaque coin mobile comprend par conséquent deux têtes 38b et 380 ou 39c t 39b.
La tête 38b commande le quatrième rapport, Ici'tête 38c le troisième, le tête
39b de l'autre coin mobile commande le deuxième rapport'et la tête
39cle premier rapport. Pour le rapport arrière, l'on prévoit un arbre de renvoi 44 avec une roue intermédiaire 45, qui est attirée au moyen d'une griffe 46 et par l'intermédiaire d'un tirent 47 et le noyau d'aiment 48 de l'aiment R, en position de commande. La roue intermédiaire 45 est amenée en position neutre au. moyen de. l'aiment de marche à vide L se trouvant à côte de l'aimant R.
L'on a représente aux dessins annexés les arbres de commande
40, 41 et l'erbre de renvoi 44 dans un seul plan'.. La .commande des
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aimants est par exemple prévue de telle sorte qu'entre chaque paire de points de contact pour un rapport, il se trouve une position de contact .le marche à vide, ces points de contact de marche à vide mettent en circuit les trois aimants. de marche à vide, de telle sorte que lors du passade d'une position à une autre, l'on est asuré que tout changement de vitesse est effectué en partant de le position neutre de tous les organes effectuant le commande et, en fait dans le présent cas,
des deux coins mobiles 38 et 39 et de la griffe de commende 36., Grâce à cet agencement, il est possi- ble de passer de n'importe quelle position de rapport à n'importe quelle .outre, en sautant les autres rapports intermédiaires.
Les boulons 49, 50 et 51 prévus dans le changement de vitesse suivant la figure 2 servent à bloquer les organes effectuant la commande en position neutre, lorsqu'un de ces organes .se trouve en position de commende. Si par exemple, le coin mobile 39 est amené à la position de commande du rapport II, les deux boulons 49 et 50 sont chassés hors du cong'é- 52 du coin mobile 39 et poussés dans les congés - 53 et 54 du coin mobile 38 et du tirant 47, de, telle sorte que ces organes ne peuvent;'plus quitter la position neutre jusqu'à ce que le verrouillage . par les boulons ou goujons 49 et 50 soit supprimé. Le moyenne' contact est indiqué à la figure 2' par une flèche 55. L'établissement des eontacts peut avoir lieu au moyen de leviers ou de boutons poussoirs.
Le changement de vitesse suivant l'invention représenté eux figures 13 à 15 comprend trois coins mobiles, qui peuvent être déplacés parallèlement les uns eux autres st indépendamment les . uns des autras chàque coin mobile ayant trois positions de com- mande, le position médiane étant toujours la position neutre. La répartition des paires de roues sur trois arbres ou plus, suivant que l'on prévoit six ou huit rapports, etc., y compris le ou les rapports arrières, présente l'avantage, déjà mentionné, que la dis- position des diverses roues peut avoir lieu de telle sorte que
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l'on ohtienne les vitesses relatives les plus faibles pour les roues de commande tournant sur les arbres de commande correspon- dent.
La voie de commande du coin mobile, à savoir son déplacement d'un rapport vers la position neutre puis vers un autre rapport est indépendante de la distance des organes de commande, qui peu- vent être, de façon connue en soi, des billes ou d'autres éléments mobiles'dans le sens radial par rapport à l'axe du coin mobile, car chaque coin mobile comporte deux têtes, qui se trouvent, en pas tion neutre, latéralement par rapport aux deux organes de commande pour les deux rapports.
La distance de commande du coin mobile à partir de la position neutre jusqu'à la position de commende correspond à la distance entre le tête du coin mobile et les organes de commande correspon- dants. De 'ce fait, la tête du coin mobile peut être maintenue plus longue, et présente donc une plus forte largeur de contact. La sur- face frontale de forme conique de la tête du coin mobile, qui ef- fectue le déplacement radial de l'élément de commande lors du déplacement axial du coin mobile, peut également présenter n'impor- te quelle inclinaison avantageuse dans le sens axial.
D'autres avantages du changement de 'vitesse des figures 13 à
15 sont un mode de construction court et les faibles écarts d'axe en pxe qui sont possibles pour les trois arbres de commande ou plus.Les faibles .écarts d'axe en axe sont rendus possibles parce .que dans les rapports désirés l'on peut mettre en service pu moins deux roues intermédiaires, lorsqu'il s'agit de rapport; avant. Dans le cas d'un rapport arrière, l'on peut mettre en service quatre roues intermédiaires.
Les roues manées et menantes se trouvent avantageusement sur un arbre de, commande
L'on prévoit en outre un dispositif de blocege qui pssure qu'un mouvement de commande des coins mobiles se trouvant en posi-
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tien neutre n'est pas possible aussi longtemps qu'un' coin mobile se trouve en position de commande.
A chaque' coin mobile est adjoint un groupe de trois aimants, qui sont disposés à la suite les uns des autres dans le sens axial du coin mobile et dans lesquels se déplace un noyau d'aimant relié rigidement ou desmodromiquement aux coins mobiles. Suivant les principes de l'invention, l'aimant médian de chaque groupe d'aimant est celei qui détermine la position neutre du coin mobile.
'La commande des aimants peut être effectuée au:: moyen, de leviers de commande ou d'un montage à boutons poussoir/. Chaque com- mande de rapport est alors précédée par une commande de marche à vide, lorsqu'un rapport est commandé. Ce passage à la marche à vide peut également avoir lieu de telle sorte que, peu avant d'ame ner le levier de commende au rapport désiré, l'on met automatique - ment sous tension, donc sans déplacement particulier de levier , de commande ou de bouton-poussoir, les aimants de marche à vide dont les coins mobiles ne participent pas au déplacement de comman- de désiré vers le nouveau rapport.
Un autre avantage important du changement de vitesse suivant l'invention est que, pour un montage électrique, les contacts de commende ne doivent pas¯se trouver dans le changement de vitesse mais peuvent au contraire être disposés 'en dehors de celui-ci, par exemple au tableau de bord ou en tout autre endroit approprié.
Il est ainsi possible de réparer aisément tout endommegement des contacts,, sans que le changement de vitesse doive être ouvert.
Le galet d'entraînement 401 (figure 13) porte les roues fixes
413, 418 et 423 ainsi que l'arbre de commande 401a avec les roues
430 et 426 et le roue d'entraînement 404. Cette roue menée 404 peut également être une roue dentée pu lieu de la roue à chaîne représentée. Le coin mobile 450 influence les éléments de commande,
411 et 412, qui sont envisagés dans l'exemple de réalisation sous
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la forme de billes et qui effectuent l'accouplement des roues 430 et 426 avec l'arbre de commande 401a.
Le coin mobile 450 présente de.ux têtes 450a et 450b, qui se trouvent, en position neutre, la- téralement par rapport aux éléments de commande 411 et 412 l'écar tement entre chaque tête de commande et l'élément de commande qu'elle doit actionner, c'est-à-dire le distance entre le tête 450b du coin mobile et l'élément de commande 412, correspond à la voie dé commande entre le position neutre et la position de com- mande.
Plus grande est cette voie, plus longs peuvent être les aimants de commande correspondant décrits ci-après, et plus longue aussi -peut être la tête du coin mobile elle-même et de même la longueur axiale de sa face frontale conique, qui effectue le déplp-' cement radis! des éléments de commande vers'la position d'accouple- ment. Le deuxième arbre de commande 408 porte les roues fixes 422 422" et 415", et en outre les roues de commande .folles 428 et 424. La commande est produite par un coin mobile 451 avec deux têtes 45la et 451b. Les organesde commande influencés par le coin mobile, à savoir des billes,' porte les références 407 et 410.
L'écartement axial des.deux têtes de coin mobile 451a et 451b est déterminé, tout comme pour le coin mobile 450, par le voie de commende en marche à vide et sa longueur axiale. Il en est de même pour le troisième coin mobile 452 présentant des têtes 452a et 452b qui agissent sur des billes de commande 403 et 413, qui accouplent . les roues, folles 422 et 415 avec l'arbre de commande 402. L'arbre de commande 402 comporte une roue fixe433, qui est en prise ave.c la roue d'entraînement 13.
Les références relatives aux roues dentées correspondent au nombre de dents de chaque roue ( à l'exception du premier chiffre 4), afin de prouver grêce à la forme de réalisation représentée à titre d'exemple, que dans ce changement de vitesse à trois arbres pour six rapports y compris un rapport arrière, l'on peut obtenir des vitesses relatives favorables des roues tournant
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folles sur les arbres de commande pour les vitesses d'entraînement et de sortie apparaissant dans des véhicules automobiles par exem- ple. Ces vitesses relatives faibles sont également très importantes lorsque, comme dans l'exemple de réalisation représenté, l'on utili- se ds biles comme organe de commande,
car les vitesses relatives peuvent être maintenues tellement'faibles que les billes ne soient soumises à aucune force centrifuge élevée.
Les coins mobiles sortent de leurs arbres de commande par une paroi ou étrier de logement 453, dans lequel est supporté perpendiculairement à'l'axe des coins mobiles et de façon à pouvoir se déplacer entre chaque pcire de ces coins mobiles, un goujon de blocage 460, 461 ou 462, goujons qui peuvent pénétrer dans un congé 450c 451c et 452c de chaque coin mobile, lorsque leur autre extrémité s'appuie sur la partie cylindrique d'un coin mobile.
Comme il ressort de le figure 15, deux coins mobiles' sont, toujours bloqués contre un déplacement axial avec cet agencement, lorsque le troisième coin mobile se trouve écarté de la position neutre, donc en position de commande .de. rapport, et per conséquent les deux goujons de blocage qui s'appuient, sur lui,par exemple les goujons de blocage 405 et 469 s'appuient sur la partie cylin- drique du coin mobile 450. Dans -ce cas, comme représenté à le figure 15, le coin mobile 452 est bloqué contre un déplacement axial par'le goujon de blocage 405-'et le coin mobile 451 par le goujon de blocage'409.
A l'extrémité libre de chaque coin mobile se trouve un noypu d'aimpnt 450 451d et 452d. Chaque coin mobile-peut se déplacer dans l'un et l'autre sens avec son noyau dans un groupe d'aimenats 471 L R, 475 L 474 ou 473 L" 472,Le dernier chiffre de la réfé- rence des aimants correspond pu rapport intéressé, à savoir les premier à cinquième rapport L'aimant R correspond à leposition de la marche arrière. Les aimants L, L', L" correspondent eux positions neutres. Les aimants de marche à vide se trouvent tou-
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jours entre deux aimants de commande de rapport, suivant 'la forme donnée aux coins mobiles.
Au lieu d'une commande électromagnétique, l'on peut évidemment r.dopter également une commande mécanique ou hydraulique appropriée des coins mobiles. Grâce à le forme et à la disposition particu- des coins mobiles par rapport à leurs organes de commande, l'on peut passer de n'importe quelle position de rapport, par l'intermédiaire d'une position de marche à vide, à n'importe quelle autre position de rapport désirée.
La commande électrique des aimants peut être effectuée par un montage à levier ou à bouton poussoir, à partir de n'importe quel endroit approprié du véhicule ou de la machine dans lequel le changement de vitesse est monté. Les points de contact se trou- vent par conséquent 'en dehors du changement de vitesse et sont de ce fait aisément accessibles.
Lors du passage d'une position de rapport à une autre position de rapport, la position de rapport existante est amenée en position neutre. Avec une 'commande électromagnétique suivant l'exemple de réalisation, cette commande peut avoir lieu par l'intermédiaire de la marche à vide intéressée grâce à la position du levier ou des boutons-poussoirs. Le montage peut cependant également être prévu de telle sorte que lors du.passage d'un rapport à un autre, le position de rapport existant soit automatiquement d'abord amenée en position neutre.
La transmission de force des rapports individuels suivant l'exemple de réalisation est la suivante : Première vitesse: l'arbre d'entraînement 401 entraîne, par l'inter- médiaire 'de la roue fixe 413, la roue 433, qui est reliée rigide- ment à l'arbre 402. Apres déplacement du coin mobile 452 vers la gauche, la roue dentée 415 est accouplée rigidement, par l'intermé- diaire des billes 403, à l'arbre 402 et celui-ci entraîne alors la roue dentée 426 avec la roue à chaîne 404.
De ce fait, les coins
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mobiles 450 et 451 sont verrouillés par les goujons de blocage 460 et 461 Deuxième vitesse : arbre d'entraînement 401, roue dentée 418 roue dentée 428, coins mobiles 450 et 452 en position médiane, coin mobile 451 déplacé vers le droite. La roue 428 est accouplée à l' arbre 408 par l'intermédiaire -de billes .407. passe ensuite per la roue 415 Celle-ci entraîne la roue 426 avec la roue à chpîne 404. Les coins mobiles 450 et 452 sont verrouillés prr les goujons de blocage 451 et 462.
Troisième vitesse :arbre d'entraînement 401, roue dentée 423, roue dentée 424'..Coin mobile 451 déplacé vers la gauche, accouplant le roue dentée 424 à l'arbre 408, par l'intermédiaire des billes 410. Passe ensuite par la roue 415', la roue 426, la roue à chaîne 404. Verrouillage comme pour la deuxième vitesse.
Quatrième vitesse : arbre d'entraînement 401, coins mobiles 451 et 452 en position médiane, coin mobile 450 déplacé vers la droite, se couplant l'arbre 401 avec la roue dentée 430, par l'intermédiaire des billes 411. Cette roue dentée entraîne, par l'intermédiaire de la roue fixe 422", l'arbre 408 et donc- la roue dentée 415', la roue dentée 426 et la roue à chaîne 404. Les coins mobiles 451 et 452 sont verrouillés par les goujons de blocage 460 at 462.
Cinquième vitesse : arbre d'entraînement 401 coin mobile 450 dé- placé vers-le gauche, la roue dentée 426 et donc la roue à chaîne 424 étant accouplées directement par l'intermédiaire des billes 412. Verrouillage comme pour la quatrième vitesse.
Hanche arrière :' arbre d'entraînement 401, roue dentée 413, roue dentée 433, -arbre 402. Coins mobiles 450 et 451 en position médiane, coin mobile 452 déplacé vers la droite et accouplant l'arbre 402 avec la roue 422,.par l'intermédiaire des billes 413. Cette roue entraîne, par l'intermédiaire le la roue fixe 422', l'arbre 408 et donc 12 'roue dentée 415', le roue dentée 426 et la roue à chaîne-404 dans le sens de rotation inverse.
Dans ce ces, les coins
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mobiles 450 et 451 sont verrouillés, comme pour la première vitesse, par les goujons de blocage 460 et 461
Le changement de vitesse suivant l'invention peut également être réalisé pour plus de six rapports, par exemple avec quatre erbre de commande et quatre coins mobiles pour quatre rapports, etc.
La figure 16 représente un changement de vitesse à six rapports- avec deux coins mobiles, qui sont relies rigidement entre eux. Ce changement de vitesse convient particulièrement bien pour de petits - véhicules moteur avec des vitesses d'entraînement élevées. L'un des six rapports est un rapport arrière. Les rapports avant sont désignes par I, II, III, IV et V et le rapport arrière par R
Le changement de vitesse comporte deux arbres de commande 512 et 513, dans chacun desquels est guidé un coin mobile 501a et 501b.
Chaque coin mobile comporte une tête 5128 et 5138, grâce à laquelle les organes de commende ou de verrouillage, par exemple des billes 522, accouplent les roues tournant librement sur l'arbre de commande avec ce dernier, lorsqu'elles sont chassées radialement par le tête de coin mobile dans les poches à billes des roues folles
Sur l'arbre de commande 513' sont disposéssles roues folles pouvant être accouplées eu moyen des billes 522, à savoir le roue 525 pour le rapport arrière, 526 pour le rapport 1 527 pour le rapport II, les roues 526 et 527 étant directement en prise avec les roues'528 et 529 disposées de façon fixe sur l'arbre.de'commande 512.
La roue 525 pour le rapport arrière se trouve en liaison desmodromique grâce à une roue intermédiaire non représentée, avec la roue d'entraînement 528 sur l'arbre de commande 512. Sur l'arbre de commande 512 sont disposées les roues folles 530, 531 et 532 qui sont en prise directe, pour les troisième, quatrième et cin- quième rapports, avec les roues 533, 534 et 535 fixes sur !¯'arbre de commande 513. Les roues folles 525,526 et 527 sur l'arbre de commande 513 et les roues folles 530,531, 532 sur l'arbre de com-
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mande 512 sont disposées linéairement à la suite les unes- des autres. Les coins mobiles 501a et 501b ont le même longueur, avec les têtes 512a et 5138 à l'extrémité.
Les deux coins mobiles sont reliés rigidement entre eux au moyen d'une pièce d'accouplement 536. Sur la pièce d'accouplement 536 se trouve un arbre creux 536a à l'extrémité libre duquel est disposé le noyru d'aimant 537, qui peut être déplacé dans l'un et l'autre sens dans le groupe d'aimants,disposé coexialement par rapport aux axes des coins mobiles ,en entraînant la pièce d'ac- couplement 53'6 et les coins mobiles.
L'arbre creux 536a de la pièce d'accouplement 536, portent le noyru d'aimant, se guide sur un boulon 539, qui est fixé en 540 et 541 au logement 542 de la transmission. Si les coins mobiles se trouvent à la position représentée aux dessins, la marche arrière est alors commandée par l'intermédiaire de la roue dentée 525. Si, par l'action des Piments, le coin mobile 501b est amené pu voisinage de la roue 526, le rapport I est mis en service. En continuant le déplacement du coin mobile, c'est le rapport II qui est commandé. Au pas de commande suivant, ce n'est plus le coin mobile 501b mais bien le coin mobile 501a quiagit mettant en service les roues 530,531, et 532 pour les rapports III, IV et V.
La position d'une- partie de la pièce d'accouplement 536 pour le rapport V est représenté en pointillé eux dessins.
La force magnétique des bobines agit sur le noyau de fer en position de départ avec seulement 10% environ de la force oui est disponible en position finale. Etant donné que lors du change- ment le rapport dans 1 transmission, l'on transmet fréquemment encore une. puiss-ance, lp force magnétique ne suffit pas pour amorcer le- processus de commande ou rlors les bobines doivent Être calculées très largement. Les conditions sont très analogues pour la mise en service de l'otage immédiatement suivant du change- ment de vitesse.
Ici aussi l'on doit disposer d'une plus grande
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force d'amorçage que celle qui est nécessaire pour l'entraînement des roues dentées lors de la commandé' en position- finale.
Les figures 17 à 23 représentent un agencement qui élimine cet inconvénient et' qui rend-également l'agencement d'une bobine particulière pour la position neutre superflue. Le montage repré- senté est envisagé pour des motocyclettes. Il convient cependant
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également pour d'autres .véhicules.à moteur.
Le commutateur'de-.commande, figure 17, est constitué par une plaque de contact..601, qui est reliée électriquement, par l'intermédiaire d'un ressort' de contact 604, au logement 605.
A la plaque de contact 601- est 'fixé. le, levier d'actionnement 602. La plaque de contactai'est poussée au moyen d'un ressort 607 contre. le logement du commutateur 'et est ramenée, de cette façon en position de départ après chaque actionnement.
En dessous de la plaque de contact se trouve, dans une pièce isolante 606, un certain'nombre de contacts électriques 603 dépen- dant du nombre de rapports. Ces contacts.sont reliés aux bobines de commande I, II III et IV
Sur la pièce isolante 606 se'trouve./des protubérances 611, qui ont pour effet qu'un seul contact-, et,non pas plusieurs simul- tanément peut être mis en .service ..Par'basculement du commuta-
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teur dans la direction des.quat.re.'coins,,l.'on peut mettre sélecti- vement en -action les contacts des"bobines-1a zv. Il est évident que la surface de contact peut également -être disposée de façon inclinée par rapport à l'axe: du guidon,'ou que le levier d'action- nement peut avoir une forme 'convenant, mieux à la commande (figure 20).
Pour mettre 'la marche à vide en service, l'on a' prévu un bou- ton poussoir 608, spécial. L'on a renoncé volontairement à une com- binaison de la commande de marche à vide avec le levier de commande 602, par exemple en appuyant sur ce levier, afin d'empêcher une mise en service involontaire de la marche à vide.
Comme il ressort de la figure 19, l'on a prévu, outre la com-
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mande manuelle par le commutateur à main, un contacteur automati- que. Celui-ci est constitué essentiellement par les surfaces de contact 614, 613, 616, 617, qui sont commandées en même temps que la commande du changement de vitesse. Ces surfaces de contact sont reliées électriquement entre elles. Par exemple, la bobine III reçoit du courant, lorsque le quatrième rapport est commandé, par l'intermédiaire de la surface de contact 614, aussi longtemps que la position du rapport 3 n'est pas atteinte. Grâce à la sunface de contact 615, la bobine II reçoit du courant jusqu'à ce que la position de rapport 2 soit atteinte.
Au moyen de la surface de contact 616, la bobine 1 reçoit du courant jusqu'à' ce que la position de marche à vide -soit atteinte, c'est-à-dire la position médiane entre les rapports '2. et 1
La surface de contact 617, finalement, est en liaison avec le bouton (608) de marche à vide. Le courant est amené ou recueilli par des ressorts 618 sur les surfaces de contact. Le ressort glis- sant sur la surface de contact 617 comporte un appendice qui pénè- tre dans une encoche de la surface de contact et empêche une rota- tion de celle-ci. Il est simultanément possible de mettre à contri- bution un ou plusieurs des ressorts de contact pour le blocage des rapports.
Si, par exemple, le changement de vitesse se trouve au rapport 4-, l'on appuie sur le bouton de marche à vide 608, la surface de et contact 617 reçoit d'abord du courant à partir de celle-ci la surface de contact 614 est donc¯la bobine III. Immédiatement avant que la position finale du rapport 3 ne soit atteinte, la bobine II est mise en circuit par l'intermédiaire de la surface de contact 615 et la bobine III, lorsque la position de rapport'3 est atteinte est mise hors circuit. La bobine II amène alors la commande du changement.de vitesse au rapport 2. Immédiatement avant que la posi- tion de rapport 2 ne soit atteinte, le circuit de la bobine I est fermé par l'intermédiaire de la surface de contact 616.
La bobine II est mise hors circuit après que le deuxième étage du changement
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de vitesse ait été atteint et la bobine I amène la commande de rap- port jusqu'à la position neutre entre lès rapports 1 et 2. Si, par suitede l'inertie, la position neutre est dépassée, la bobine II reçoit alois du courant par l'intermédiaire de la deuxième surface de la bande de contact 615 et elle ramène le commande en position neutre. Le même processus se produit lorsque la commande du changement de vitesse se trouvant en position de rapport 1, l'on actionne le bouton de marche à vide. L'on peut donc passer de n'importe quel rapport à la marche à vide en actionnant le bouton de marche à vide.
Outre cette fonction, le contacteur a encore un autre but.
Si la surface de contact 615 est prolongée dans la direction de la surface de contact 614 (représenté en pointillé), la bobine III est mise simultanément en circuit, lorsque le quatrième rap- port est mis en service et qu'on actionne la bobine de rapport 2, sans que le troisième rapport doive être précédemment mis manuel- lement en service. La bobine 603 est donc mise hors circuit après que la troisième rapport ait été atteint, comme déjà décrit.
S'il faut mettre en service-le rapport 1 immédiatement après le rapport 4, ceci est' possible par l'actionnement intermédiaire de l'étage de deuxième rapport ou du bouton de marche à vide.
Comme déjà mentionné, -la disposition de bobineuse trouvant les unes à côté des autres présente le désavantage que lors de l'amorçage de l'opération de commande, l'on ne dispose que d'envi- ron 10% de la force finale des bobines. Cet inconvénient de l'ac- tionnement du montage est, comme représenté à la figure 21, éliminé par un ressort 627 disposé dans le noyau d'aimant. Ce ressort est placé entre deuxdisques 628,qui sont adjacents par leurs faces extérieures au noyau d'aimant et simultanément à l'arbre d'action- nement de la commande. Si alors la force magnétique agit sur le noyau de fer, quelle que soit la direction, le ressort 627 est d'abord comprimé.
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Le noyau de fer se déplace jusqu'à une butée fixe, par exemple le contact mutuel des enroulements duiessort, et n'entraine qu'à ce moment la tige de commande. Grâce au déplacement décrit, la force magnétique est devenue plus importante, de telle sorte qu'elle suffit à la mise hors service. Aussitôt que le circuit des forces est établi dans le changement de vitesse, la force de ressort emmagasinée suffit pour amener la tige de commande en position verrouillée. La voie de déviation du ressort dépend de la commande de changement de vitesse utilisée et de l'amplitude que doit avoir la force de mise en'ou hors service.
Pour compléter la description, l'on a encore représenté à la figure'21 l'arbre de changement, de vitesse 624,le coin mobile 625 et la, tige de commande 626. Il en est de même des roues de transmission 620,,621, 622 et 623 et de la roue à chaîne menée 619. Le système électromagnétique n'est naturellement pas lié de façon absolue à ce mode de commande et peut aussi être utilisé avec d'autrescommandesde changement de vitesse, qui n'ont pas été représentées ici.
Le développement des surfaces de contact de la figure 23 est choisi de telle sorte qu'il commence: ou finisse- au milieu de la surface de contact 617.
Le principe de l'invention n'est en rien modifié lorsqu'on prévoit,.au lieu des surfaces de contact, decames qui établis- sent ou coupent des contacts par soulèvement. Un dispositif indi- cateur de rapports électrique peut être combiné de façon connue en soi avec le commutateur ou contacteur électrique.
Afin d'augmenter la force de départ, l'on a proposé, dans l'exemple' de réalisation des figures 17 à 23, un ressort qui donne d'abord au noyau d'aimant une possibilité de déplacement et ne vient en contact avec l'élément de commande qu'après avoir parcouru une certaine distance. Grâce à cette disposition, la
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force de traction est augmentée au départ, mais 'il apparaît simultanément l'inconvénient que pendant la dernière phase du mou- vement de commande, l'on ne dispose plus d'une tension de ressort suffisante pour certaines conditions de charge. Grâce au mode de réalisation des figures 24 à 29, le problème est résolu par un moyen magnétique et l'on obtient que la répartition des forces soit mieux adaptée à la demande en force pendant l'opération de commande.
Cette forme de réalisation est en outre plus simple et aucune partie mobile n'est nécessaire.
Des deux cotés des bobines d'aimant 701,702, et 703 et 704 se trouvent des disques en fer 705, 706, 70,7, 708 et 709. Au mi- lieu de l'axe se trouve le noyau 718, qui est déplacé dans l'un et l'autre sens par les forces magnétiques. Le noyau d'aimant est représenté aux dessins à la position correspondant à la commande du deuxième rapport. Si alors soit la bobine 701, soit la bobine 703 est mise en circuit, -des lames conductrices magnétiques 710,' 711 712,713 et, sur le noyau de fer, 717 et 720 servent, suivant l'invention à permettre à une partie du champ magnétique d'agir plus rapidement et à augmenter par conséquent la force de départ.
Il est ainsi possible d'obtenir une courbe de force de traction tient qui /compte des conditions existantes à tout moment. L'on peut par exemple, en calculant de façon appropriée les lames conductrices obtenir une force de départ qui après 20 % du trajet de commande diminue et après environ 60 à 80 %, pour la mise en service de l'étage suivant des changements de vitesse, la force optimum est atteinte et après les derniers 20 , dans lesquels la commande de rapport a déjà eu lieu, l'organe de commande ne devant plus être qu'à amené / la. position de blocage, elle diminue à nouveau. La force de traction est alors disponible dans chaque cas là où elle est le plus nécessaire.
Si l'on dispose d'une place suffisante, il suffit de disposer les lames conductrices uniquement sur le noyau d'aimant. La lama
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conductrice 720 est alors amenée presque directement jusqu'au pôle opposé. Des lames conductrices particulières ne sont plus alors nécessaires dans les disques.
Si l'on ne dispose cependant pas d'une place suffisante, de telle sorte qu'il faille introduire des deux côtés des lames con- ductrices dans les disques 706,707 et 708, les lames conductrices sont, suivant l'invention, décalées mutuellement, afin d'exclure- le plus possible une influence du champ magnétique. Cet agencement est. représenté aux figures 26 à 29. Les lames conductrices 710, 711,712 et 713 sont décalées par rapport aux lames conductrices 714, 715,716 et 717. Les lames du noyau magnétique 714 717 (figure 20 .doivent alors également être disposées d'une façon analogue. Afin d'empêcher une rotation du noyau magnétique, l'on a prévu dans la douille 722 une nervure 724 au moyen de laquelle le noyau se guide par/évidement.
Le blocage des rapports peut avoir lieu au moyent d'une bille 725 avec un ressort 726, s'engageant dans des rainures de blocage de la douille de guidage 722. Ce blocage de rapport peut également être réalisé de telle sorte que la force magnétique diminue la force de blocage ou l'élimine totalement. Par exemple; suivant-l'invention (figure 24 les lames conductrices 717,720 sont disposées de façon à pouvoir se déplacer axialement dans le noyau d'aimant 718. Si le champ magnétique agit alors sur les lames conductrices, le bille est alors sortie du système de blocage et la force de blocage est ainsi diminuée ou même totalement supprimée.
Si la force magnétique cesse d'agit, la force du ressort 726, en agissant sur la bille 725, ramène les lames conductrices 717/720 en position.médiane,
La forme de réalisation suivant les figures 30 à 35 est un perfectionnement de celles décrites ci-avant. Elle permet, par la mise en service simultanée de deux bobines d'aimant, d'augmenter la force de départ, sans que la force finale doive en être réduite.
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Cette forme de réalisation conviant particulièrement bien pour des changements de vitesse à deux arbres, tels que représentés aux figures 11 et 12.
L'on a prévu ici, pour le verrouillage mutuel,une pièce oscil- lante 319, qui est écartée de sa position de repos lorsqu'une opé- ration de commande a lieu. Suivant l'invention à cette pièce oscil- qui ,lante 319 est relié,, sur un arbre coaxial, un contacteur/,lors de l'oscillation, réunit deux bobines entre elles et en fait d'une façon telle que ce soit toujours les bobines qui ramènent la pièce oscillante 319 vers la position de repos. Le contact de marche à vide est relié au contacteur, de telle sorte que lors de l'actionnement de la marche à vide, les deux bobines soient mises sous tension. Chaque fois qu'un noyau d'aimant est parvenu à la position médiane et se trouve donc déjà à moitié dans le champ magnétique, la forde de traction de ce noyau d'aimant est beaucoup plus forte.
Cette bobine reste alors sous tension jus qu'à ce que le contacteur ait approximativement atteint la posi- tion médiane et se déclenche -automatiquement,
Cet avantage n'apparaît cependant pas seulement lors de la commande de la marche à vide mais également chaque fois qu'une des deux bobines reliées à la pièce de contact est mise sous ten- sion, donc également lors de l'opération de commande normale. La bobine est de même mise hors circuit aussitôt que la pièce oscil- lante 319 a atteint approximativement la position médiane. Au moyen de ce système, un verrouillage mécanique de la marche arrière est cependant également possible. Suivant l'invention, le contac- teur présente une fente, dans laquelle s'engage un goujon de blo- cage relié .au rapport de marche arrière.
Si par exemple un rapport est mis en service et que la pièce oscillante 319 et donc le con- tacteur ont pivotés, le goujon de blocage ne peut pas pénétrer dans: la fente dela pièce oscillante 319 et l'on empêche ainsi que le rapport arrière puisse être mis en service,-
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Si cependant le contacteur se trouve en position médiane et que le goujon de blocage se trouve dans l'évidement de ce contacteur, une rotation du contacteur et de la pièce oscillante fixée coaxialement 319 est empêché de telle sorte qu'aucun des rapports avant ne peut être mis en service.
Sur un prolongement des axes pour les noyaux d'aiment, l'on a disposé deux pièces de glissement 814 et 815 (figure 31). Les goujons'821 et 820 reliés à ces' pièces de glissement s'engagent alors dans la pièce oscillante 319. Suivant l'invention, le gou- jon 818 est relié rigidement au contacteur 820, de telle sorte que celui-ci est déplacé en même temps que la pièce oscillante 319. Sur les faces supérieure et inférieure du oontacteur 319 se trouvent'des lames de contact 822 et 823, montées de façon à être isolées, ces lames de contact étant reliées au bouton de marche à vide. Si alors un rapport est mis en service, la pièce oscillante 319 pivote et le contacteur 821 quitte sa position de repos, les rails de contact 824 et 825 ou 826 et 827 sont alors reliés au contacteur.
Si le rapport, par exemple/la bobine II est alors mise en service, les bobines.1 et III sont reliées par le contaoteur. Lors de l'actionnement du bouton de marche à vide (L), ces bobines sont mises sous tension jusqu'à ce que la pièce oscillante 319 et donc le oontaoteur 821 se soient déplacés sur une distance telle que les rails de contact 824 et 825 soient à nouveau sans courant.
Cependant, lorsque le rapport est changé, il est également possible d'augmenter la force de départ pour mettre hors service le rapport ou étage du changement de vitesse mis en service pré- cédemment. Si par exemple le rapport de la bobine II est mis en service et que le-rapport de la bobine 801 doive être commandé, la bobine III est d'abord mise sous tension par le contacteur jusqu'à ce 'que le levier pivotant 319 et donc le contacteur 821 t
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aiEP-tteint la position médiane et que le rail de eo#fc#ifo de la
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bobine III soit sans courant.
Pour la mise en service, seule la bobine I est alors encore sous tension, ce qui suffit totalement, car l'augmentation de la force de départ n'est nécessaire que pour mettre hors service l'étage commandé précédemment du,change- ment de vitesse. n'est que quand le rapport IV doit être mis en service dans ce cas que l'augmentation de la force de départ n'est pas obtenue. Il est cependant alors possible d'actionner d'abord la marche à vide, afin de provoquer ainsi l'augmentation de la force de é[art et de mettre ensuite le rapport IV en service. Jetant donné que les rapports de circulation sont en général condés successivement, cet inconvénient apparaît rarement.
Suivant une autre caractéristique de l'invention, le contac- teur 821 présente une fente 828, dans laquelle s'engage un goujon 829, qui est commandé avec le rapport de marche arrière. Si alors, avec un rapport avant en service.le contacteur 821 pivote en s'é- cartant de sa position de repos, l'évidement 828 n'est plus aligné avec le goujon 829, et si ce dernier est déplacé dans le sens de la flèche lors de la mise en service du rapport arrière (figure 33) il bute contre le contacteur 821, c'est-à-dire que le rapport ar- rière ne peut pas être commandé.
Si cependant le rapport arrière est en service et que le gou- jon 829 se trouve en prise avec l'évidement 828, il n'est alors plus possible de faire pivoter le contacteur 821 et donc la pièce oscillante 319 et de mettre en service l'un des rapports evant.
L'on a représenté dans les figures la bobine de rapport arriè re en dessous des bobine-pour les rapports avant . Le principe de' l'invention n'est en rien modifié lorsque la bobine de marche arrière, pour des raisons de construction, est disposée en un autre endroit et le verrouillage est effectué par des leviers intermédiaires quelconques.