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La présente invention concerne un appareil pour tendre et sectionner les bandes ceinturant des objets de toutes formes, et en particulier des objets ne présentant pas une surface d'appui convena- ble pour un tel appareil tendeur et sectionneur'.
On connaît déjà des appareils tendeurs et sectionneurs de ce genre, qui utilisent une douille de fermeture fixée à une extrémité de la bande ou ruban de fermeture par formation d'une boucle, et permet- tant l'introduction dans cette douille du ruban que l'on doit serrer pour ceinturer le colis. L'appareil tendeur et sectionneur sert à ten- dre relativement à la douille de fermeture l'extrémité de ruban sortant de cette douille, à bloquer dans la douille de fermeture le ruban ain- si tendu, par pliage du ruban, et à sectionner l'excédent de ruban après ce blocage. Bien que ce procédé de cerclage ait donné de bons résul- tats dans la pratique, les appareils tendeurs et sectionneurs que 1' on connaît jusqu'ici pour l'appliquer présentent certains défauts qui sont gênants lorsqu'on utilise de tels appareils.
L'inconvénient prin- cipal consiste en ce que l'opération de mise en tension et l'opération suivante de sectionnement de la partie excédentaire du ruban exigent chacune un levier mobile spécial, ee que l'appareil comprend par suite le bloc tendeur proprement dit et deux leviers mobiles et manoeuvrables en forme de pince ou de cisaille, qui sont fixés sur ce bloc tendeur.
Ce dispositif rend la manoeuvre et l'entretien de l'appareil compliqué De plus, l'introduction même du ruban dans l'appareil est généralement compliquée du fait que les organes servant à tendre le ruban pénètrent évidemment dans le canal de ruban et obstruent plus ou moins ce canal.
La présente invention a pour but d'éviter ces inconvénients et concerne un appareil tendeur et sectionneur pour cerclages de colis qui emploie une douille de fermeture fixée par pliage d'une extrémité du ruban, contre laquelle la partie avant en forme de bec de l'appareil vient s'appuyer quand on tend le ruban, sur laquelle l'appareil est rabattu avec le ruban tendu lorsque la mise en tension est terminée, et dont les joues latérales sont repliées sur l'extrémité du ruban situé au-dessus après sectionnement du ruban par l'appareil dans cette position.
L'invention est caractérisée par le fait que l'appareil comprend un bloc tendeur avec poignée et un seul levier de manoeuvre fixé à ce bloc de façon à pouvoir tourner et qui, en position de repos, est tourné dans la direction opposée à celle de la poignée du bloc tendeur et relève dans cette position un cliquet d'arrêt du ruban et un cliquet tendeur du ruban hors du canal de ruban dans le but de libérer ce canal, pour permettre l'introduction facile du ruban.
Au cours d'un basculement dans les deux sens d'environ 180 , effectué à partir de la position de repos, ce levier de manoeuvre fait d'abord avancer un chariot ou coulisseau tendeur relativement au ruban immobilisé par le cliquet d'arrêt, puis fait revenir en arrière ce chariot ou coulisseau avec le ruban qui est alors fixé sur ce chariot au moyen du cliquet tendeur De plus, le levier de manoeuvre commande un dispositif sectionneur dès que l'appareil est rabattu en arrière sur la douille de fermeture par une rotation de 180 . cette rotation étant effectuée après la mise en tension.
On décrira la présente invention ci-après sur un exemple de réalisation, à l'aide des figures 1 à 5 dans lesquelles les figures 1 et 2 sont respectivement une vue latérale et une projection horizontale de l'appareil de l'invention, à échelle réduite et en position de repos; les figures 3, 4 et 5 sont des coupes longitudinales de l'appareil des figures 1 et 2 à peu près en grandeur naturelle, et correspondant respectivement à la position de repos, à la position milieu et à la position de sectionnement.
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L'appareil tendeur et sectionneur de la présente invention est représenté sur les figures 1 et 2 qui montrent respectivement en élévation et en plan le bloc tendeurplat 1 avec la plaque de base amovible 2 et la partie avant 3 qui va en se resserrant en forme de bec. Le bloc tendeur 1 proprement dit se continue par la poignée 4, dont la partie avant 4a a la forme d'un U ouvert vers le bas. L'axe de manoeuvre 5, quiporte le levier de manoeuvre 6, est installé dans le bloc tendeur 1. De plus, le bloc tendeur 1 comporte un canal de ruban 7 qui est étroit dans le sens vertical, est ouvert sur le côté, s'étend sur toute la longueur du bloc tendeur sur le côté opposé au levier de manoeuvre 6, et dont la fermeture inférieure est constituée par la plaque de base 2. Un chariot tendeur 8 sort du'bloc tendeur 1 vers l'arrière.
Ce chariot est constitué par le coin de forcement et le sabot tendeur 9, que l'on fait entrer dans le bloc tendeur ou sortir de ce bloc en faisant tourner le levier de manoeuvre 6, d'une façon qu'on décrira plus loin.
Les figures 1 et 2 représentent l'appareil dans sa position de repos, dans laquelle le levier de manoeuvre 6 est toujours tourné du côté opposé à la poignée 4. Les poids de ces deux organes sont équilibrés, grâce à quoi l'appareil permet une introduction facile du ruban dans le canal 7, tout en utilisant une seule main pour sa manoeuvre.
Les opérations de mise en tension et de sectionnement sont exécutées dans l'appareil de la présente invention d'une façon déjà connue, avec emploi d'une douille de fermeture 10 qui est fixée à une extrémité Il du ruban de cerclage, par repliage de ce ruban. Pour tendre le ruban 12 autour du colis 13 que l'on veut cercler, on déplace ce ruban dans le sens de la flèche 14 relativement à la douille 10, cette opération étant effectuée à travers le bloc tendeur dont la face avant 3 en forme de bec vient appuyer contre la douille de fermeture 10. Au cours de cette opération, le coulisseau tendeur 8, qui tire le ruban 12 dans le canal 7, effectue un mouvement alternatif sous l'action du levier de manoeuvre 6, d'une façon qu'on décrira plus loin plus complètement.
A la fin de la mise en tension, la traction du ruban appuie la face avant 3, en forme de bec, du bloc tendeur sur la face avant de la douille de fermeture 10, On place alors le levier de manoeuvre 6 parallèlement à la poignée 4, et l'on rabat l'ensemble de l'appareil en arrière autour de la douille de fermeture 10, en sens inverse des aiguilles d'une montre, jusqu'à ce que la face supérieure du bloc tendeur plat 1 touche la douille de fermeture, ce qui a pour effet de replier le ruban en arrière contre la face frontale de la douille de fermeture, alors que ce ruban se trouve dans le canal de ruban 70 Dans cette position de l'appareil, on tire le levier de manoeuvre 6 vers 1' arrière dans le sens des aiguilles d'une montre, relativement à la poignée 4 qui est immobilisée par la main gauche,
ce qui fait fonctionner le dispositif sectionneur 15 contenu dans le bloc tendeur 1, et sectionne le ruban dans ce bloc. On peut alors enlever l'appareil; l'extrémité de ruban qui sort de la douille de fermeture vers l'arrière est appuyée sur cette douille et fixée dans la douille de fermeture par rabattement des joues 16, ce qui termine le cerclage du colis 13.
Les figures 3, 4 et 5 représentent l'appareil tendeur et sectionneur de la présente invention suivant un dispositif pris à titre d'exemple, et correspondent respectivement à la position de repos (figure 3), à une position intermédiaire pendant la mise en tension (figure 4), et à la fin de l'opération de sectionnement (figure 5).
On voit sur les figures 3 à 5 que le bloc tendeur plat 1, qui est à peu près rectangulaire, et la partie arrière 4a de la poignée 4, qui est en forme de U, constituent une même pièce de coulée possédant un robuste palier lisse 46 qui sert'à l'axe de manoeuvre 5, sor-
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tant sur un côté du bloc tendeur 1 et portant le levier de manoeuvre
6 dans la partie en saillie. Dans la position de repos du levier de manoeuvre 6 (figures 1, 2 et 3), celui-ci appuie sur un butoir 17 porté par le bloc tendeur 1. On peut le faire tourner dans le sens de la flèche 18 (figure 1) suri- un angle de plus de 1800, jusqu'à la position représentée dans la figure 5. Chaque rotation du levier de manoeuvre 6 fait tourner un pignon denté 19 fixé sur l'axe de manoeuvre
5.
Ce pignon 19 est en prise avec le bord supérieur du coin du coulis- seau tendeur 8, ce bord supérieur constituant une crémaillère 20.
L'ensemble du coulisseau tendeur 8 et du sabot tendeur 9 a une section rectangulaire,et peut se déplacer dans les deux sens dans une gorge 21 de forme convenable, aménagée dans le bloc tendeur 1.
Cette gorge 21 (figure 2) est parallèle au canal à ruban 7, suit le bord longitudinal intérieur de ce canal, et est fermée à la partie basse par la plaque de base amovible 2, grâce à quoi le coulisseau tendeur 8 est guidé sur toutes ses faces dans une glissière. Le sabot tendeur 9, situé à l'extrémité arrière du coulisseau tendeur 8 sort la- téralement de ce coulisseau tendeur 8 (figure 2) à peu près jusqu'au bord avant du canal de. ruban 7, du bloc tendeur 1 et de la plaque de base 2, et vient s'engager sous le ruban 12 qui se trouve dans le canal
7 (figure 3). La face du sabot tendeur 9 qui est tournée vers le haut et vers le ruban 12 se trouve alors à peu près à la même hauteur que la face intérieure de la plaque de base 2 qui constitue la fermeture inférieure du canal de ruban 7.
L'axe de manoeuvre 5 est également l'axe de rotation d'un cliquet d'arrêt de ruban 22 qui, en position de fonctionnement, appuie par sa face frontale 23 nervurée contre la face intérieure de la plaque de base 2 et contre le ruban 12 qui s'y trouve, sous l'action de la lame élastique 24 qui le rapproche de la verticale (figures 4 et 5). Pour faciliter l'introduction du ruban 12 dans le canal 7, ce cliquet d'arrêt 22 est relevé en position de repos de l'appareil, contre l'action de la lame élastique 24, et dégage ainsi le canal de ruban 7, comme on peut le voir sur la figure 3.
Cette position est imposée par un doigt 25 qui agit sur le cliquet d'arrêt 22, et qui pénètre en arrière dans une gorge 26 aménagée dans la face latérale du coulisseau tendeur 80 La longueur de cette gorge 26 est choisie de façon telle que le doigt 25, et par suite le cliquet d'arrêt de ruban 22, sont entraînés en sens inverse des aiguilles d'une montre et relevés lorsque le coulisseau tendeur 8 est dans sa position de repos alors que ce doigt est indépendant de la gorge 26 dans toutes les autres positions du coulisseau tendeur 8. Dès que la face frontale et nervurée 23 du cliquet d'arrêt 22 appuie sur la face supérieure du ruban 12, le blocage du cliquet 22 empêche tout mouvement de ce ruban dans le sens opposé à la flèche 14, mais ne s'oppose pas à un mouvement du ruban dans le sens de cette flèche 14.
L'axe de rotation 28 du coulisseau tendeur 8 porte un cliquet tendeur de ruban 27, qui fonctionne d'une façon analogue au précédent et qui par suite de l'action du ressort hélicoïdal 29 sur le levier de cliquet 30, est poussé par sa face frontale et nervurée 31 et, lorsque le levier.est voisin de la verticale, appuie contre la face intérieure du sabot tendeur 9, et du ruban 12 qui s'y trouve. Dans la position de repos du coulisseau tendeur 8, le levier du cliquet 30 appuie contre un doigt de butée 32 fixé sur la face intérieure de la partie 4a, à section en U, de la peignée, ce qui a pour effet de faire tourner le cliquet tendeur 27 en sens inverse des aiguilles d'une montre autour de l'axe 28 et de relever sa face frontale 31, c'est- à-dire de dégager le canal 7 pour permettre une introduction facile du ruban 12.
Mais dès que la face frontale et nervurée 31 du cliquet tendeur 27 appuie sur la face supérieure du ruban 12, il est possible, le
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ruban 12 restant immobile, de pousser le sabot tendeur 9 et le cliquet 27 dans le bloc tendeur 1 qui est également immobile, tandis que, dans un mouvement en arrière du sabot 9 à partir du bloc tendeurl, le ruban 12 se bloque sous le cliquet tendeur 27, et est entraîné par le sabot tendeur 9.
La liaison entre le fonctionnement du cliquet d'arrêt de ruban 22 et le fonctionnement du cliquet tendeur de ruban 27 permet donc de tendre le ruban 12 par échelons progressifs, la partie avant 3 en forme de bec du bloc tendeur 1 venant s'appuyer contre la face frontale de la douille de fermeture pendant cette mise-en tension.
Après introduction du ruban 12 dans le canal 7, pendant que le levier de manoeuvre 6 est dans saposition de repos, on déplace d'abord ce levier dans le sens de la flèche 18 (figure 1) et par suite on introduit le sabot tendeur 9 du coulisseau tendeur dans le bloc 1, pendant que le cliquet d'arrêt 22 bloque le ruban 12 dans sa position, et que le cliquet tendeur 27 glisse sur le ruban 12. Après avoir fait tourner le levier de manoeuvre d'environ 180 , c'est-à-dire jusqu'à une position à peu près parallèle à la poignée 4, on ramène ce levier en arrièreo Le cliquet tendeur 27 bloque alors le ruban 12 avec le sabot tendeur 9 et entraîne ce ruban. Il tire donc ce ruban dans le canal de ruban 7 sous le cliquet d'arrêt 22, en le faisant sortir du bloc tendeur 1.
Mais on ne continue pas cette rotation du levier de manoeuvre 6 en arrière jusqu'à la position de repos de ce levier, pour éviter un relèvement accidentel et indésirable des deux cliquets 22 et 27.
On arrête cette rotation avant d'atteindre la position de repos, et on répète les rotations alternées du levier jusqu'à obtenir la tension désirée du ruban 12 à la douille de fermeture 10, ce que l'on reconnaît par la résistance opposée par le levier de manoeuvre 6 à la mise en tension.
Lorsque la mise en tension est terminée, on place le levier de manoeuvre 6 parallèlement à la poignée 4, et l'on rabat l'ensemble de l'appareil en arrière par-dessus la douille de fermeture 10, de la façon déjà décrite. L'appareil prend donc, relativement à la douille 10, la position représentée figure 5, dans laquelle s'effectue le sectionnement (mais en réalité, la douille de fermeture 10 conserve la position des figures 3 et 4 et c'est l'appareil qui est placé oblique- ment) .
Pour sectionner le ruban 12 qui se trouve dans le canal 7, on a prévu dans le bloc tendeur 1 un couteau 15 en forme de burin, qui peut monter et descendre dans une fente transversale 33 qui est perpendiculaire au canal 7. Dans ce but, le couteau 15 est fixé sur un tourillon, sur le côté du bloc tendeur 1 qui est opposé au levier de manoeuvre 6. Le couteau 15 est maintenu par une lame élastique 34, qui se trouve entre la nervure transversale 35 et le doigt 36 du bloc tendeur 1, et qui s'engage avec précontrainte sous un appendice 37 du couteau 15. Le bord supérieur du couteau 15 est biseauté suivant la direction du coin B, et ce coin possède lui-même un bec 38 biseauté d'une façon correspondante. Ces deux faces biseautées sont adaptées l'une à l'autre.
Si l'on fait tourner le levier de manoeuvre 6 de 1800 pour l'amener dans la position de la figure 5, le pignon 19 et la crémaillère 20 poussent le coulisseau tendeur 8 dans sa gorge 21 jusqu'à ce que le bec 38 touche le bord supérieur oblique du couteau 15, et pousse ce couteau vers le bas contre l'action de la lame élastique 34 pendant que le coulis seau tendeur 8 continue son mouvement de progression, ce qui a pour effet de couper le ruban 12.
Lorsqu'on ramène le levier de manoeuvre 6 en arrière dans une position parallèle à la poignée 4, puis dans sa position de repos dans laquelle il applie contre le butoir 17, le couteau 15 est d'abord relevé dans sa position %le repos par la lame élastique 34, puis les deux cliquets 22 et 27 sont ra-
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menés en arrière en dehors du canal de ruban 7, grâce à quoi le ruban
12 qui se trouve dans la partie arrière du bloc tendeur 1 peut sortir latéralement du canal 7, et l'on peut dégager l'appareil de l'extrémité du ruban qui se trouve dans sa partie avant en forme de bec.
L'appareil tendeur et sectionneur de ruban décrit ci-dessus facilite beaucoup le cerclage d'objets ayant une forme extérieure quel- conque,et convient aussi bien à l'emploi de rubans étroits que de ru- bans larges. Cet appareils présente un avantage important du fait que le bloc tendeurl, 2 proprement dit peut être fixé sur une poignée mo- bile 4, et que l'on peut effectuer à la fois la mise en tension et le sectionnement à l'aide d'un seul levier de manoeuvre.
La forme très plate de l'appareil est également avantageuse, car avec ce dispositif, la poignée 4 et le levier de manoeuvre 6 étant parallèles, on peut ra- battre en arrière l'ensemble de l'appareil de près de 1800 autour de la douille de fermeture lorsque la mise.en tension est effectuée, grâce à quoi l'extrémité de ruban qui sort de la douille de fermeture après le sectionnement et relèvement de l'appareil subit un repliage complet sur la face avant de la douille de fermeture, ce qui s'oppose très fortement à un échappement accidentel du cerclage, même lorsque la tension du ruban est considérable .
De plus, le sens du mouvement du levier de manoeuvre 6 au cours du sectionnement facilite considérablement l'emploi de l'appareil, du fait que l'on peut ramener en arrière le levier de manoeuvre 6 relativement à la poignée 4 lorsque l'appareil est rabattu en arrière, d'une façon commode et avec une grande force sans qu'il soit nécessaire de produire un grand effort, sans être aucunement gêné par l'objet même que l'on veut cercler. Enfin, le dispositif de l'appareil, qui est simple et ne comporte qu'un petit nombre de pièces, est lui-même un avantage important parce qu'il simplifie la fabrication.
L'appareil tendeur et sectionneur de la présente invention n'a été décrit à l'aide des figures 1 à 5 qu'à titre d'exemple de réalisation. Les diverses fonctions du levier de manoeuvre peuvent évidemment être réalisées autrement. On peut par exemple faire progresser le ruban lors de la mise en tension au moyen d'un galet de roulement dont la face d'appui est nervurée, et commander cette progression par un dispositif à rochet, Le cliquet d'arrêt de ruban et le cliquet tendeur de ruban peuvent également être dégagés d'une autre façon par le levier de manoeuvre lorsqu'il est dans sa position de repos, et le coin rectangulaire peut être remplacé par d'autres dispositifs appropriés de type connu.
Enfin, toute autre dispositif sectionneur suffisamment robuste peut être employé et être accouplé d'une autre façon avec le mouvement de rotation de plus de 1800 du levier de manoeuvre.