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BE515880A - - Google Patents

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Publication number
BE515880A
BE515880A BE515880DA BE515880A BE 515880 A BE515880 A BE 515880A BE 515880D A BE515880D A BE 515880DA BE 515880 A BE515880 A BE 515880A
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BE
Belgium
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Publication of BE515880A publication Critical patent/BE515880A/fr

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    • GPHYSICS
    • G06COMPUTING; CALCULATING OR COUNTING
    • G06CDIGITAL COMPUTERS IN WHICH ALL THE COMPUTATION IS EFFECTED MECHANICALLY
    • G06C7/00Input mechanisms
    • G06C7/02Keyboards
    • G06C7/08Keyboards with one set of keys for all denominations, e.g. ten-key board

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Physics & Mathematics (AREA)
  • Computer Hardware Design (AREA)
  • Computing Systems (AREA)
  • General Physics & Mathematics (AREA)
  • Theoretical Computer Science (AREA)
  • Bending Of Plates, Rods, And Pipes (AREA)

Description


   <Desc/Clms Page number 1> 
 



  MACHINE A CALCULER. 



   La présente invention est relative à une machine à calculer du type à clavier réduit, prévue en particulier pour l'addition et la soustrac- tion et appelée à être disposée sur une table ou analogue, en vue d'effectuer des opérations de calcul.' 
L'invention concerne en particulier des machines à calculer du type décrit ci-dessus, dans lesquelles une série d'organes de butée sont dis- posés en rangées transversales dont le nombre correspond à celui du nombre d'unités du système de numération considéré, chaque rangée comportant un nom- bre d'organes de butée qui correspond au moins au nombre d'ordres décimaux de la machine, ces butées pouvant être actionnées à l'aide de touches d'in-   scription   de façon 'à déplacer ces organes de butée depuis une position de repos jusqu'à une position de travail, ces organes de butée étant,

   dans cha- cune de ces positions, déplacés dans le sens transversal d'une distance cor- respondant à celle qui existe entre deux ordres décimaux voisins de la rangée, machine dans laquelle un certain nombre d'organes   d'actionnement   sont dépla- cés longitudinalement, de façon à être arrêtés dans une position déterminée par un organe de butée en position de travail, ce déplacement correspondant, dans chaque ordre décimal, au chiffre qui a été inscrit dans le totalisateur. 



   Dans toute la description qui suit, les expressions "longitudi- nal", "transversal",   "droit",   "gauche", "vers l'avant", "vers   l'arrière",   "antérieur" et "postérieur" ont été utilisés pour qualifier des mouvements, positions ou organes considérés tels qu'ils apparaissent à l'opérateur devant lequel la machine est disposée sur un support horizontal, une table par exem- ple, comme   c9est   généralement le cas dans les machines à calculer du type décrit, le clavier se   trouvant,du   côté proche de l'opérateur, le sens longi- tudinal de la machine étant normal au plan de l'opérateur. 



   Dans une machine du type décrit ..ci-dessus, les organes d'action- nement sont à même de transmettre leur déplacement à un totalisateur et à un 

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 dispositif imprimeur, destinés respectivement à enregistrer dans ce totalisa- teur le montant inscrit par les touches et à imprimer ce,montant, ainsi en- registre sur une bande de papier ou autre   support   d'impression avancé en re- gard d'une platine d'impression, l'action conjuguée des organes d'actionne- ment, du totalisateur et du dispositif d'impression étant en outre réversible en vue d'extraire une somme du totalisateur et de l'imprimer- sur la bande d'impression. 



   L'invention vise à réaliser une machine à calculer dans laquelle tous les mécanismes compliqués des machines à calculer connues sont remplacés par des mécanismes très simples, comportant un nombre d'organes réduit. 



   Un autre but de l'invention consiste à établir une machina à cal- culer d'un format très réduit. 



   , Un autre but de l'invention consiste à réduire considérablement la masse d'organes appelés à se déplacer à chaque opération de calcul, de fa- çon à réduire l'effort nécessaire pour la commande de la machine et à rédui- re la résistance'au mouvement de la part des divers organes, ce qui permet de diminuer davantage l'effort nécessaire pour la commande. 



   Par conséquent, l'invention vise à établir une machine à   calcu-   ler pouvant être commandée avec un effort très réduit et dans laquelle la poignée de commande habituelle à long bras de manivelle ou le moteur   électri-   que puissant habituel, ainsi que le mécanisme nécessaire pour embrayer et débrayer l'arbre d'entralnement principal par rapport au moteur à chaque ré- volution de cet arbre, peuvent être remplacés par une simple touche d'en- traînement prévue pour effectuer un déplacement relativement réduit, lequel ne détermine qu'une interruption réduite dans la manipulation de la machine. 



   L'invention, laquelle vise à réaliser les buts et les avantages énumérés ci-dessus, ainsi que d'autres, permet d'établir une machine à cal- culer du type spécifié plus haut et qui contient un nombre de différents mé- canismes, c'est-à-dire un mécanisme d'inscription, un mécanisme d'entraîne- ment, un mécanisme d'actionnement pour le totalisateur, ce totalisateur ne faisant pas partie,de l'invention, un mécanisme de commande et un mécanisme d'impression.   Chacun'   de ces mécanismes sera décrit ci-après dans un chapi- tre spécial, en se référant aux dessins annexés, qui représentent un mode d'exécution de la machine à calculer selon l'invention et dans lesquels : 
Fig. 1 est une vue d'élévation latérale de la machine, le boîtier étant représenté en coupe, afin de montrer les différents mécanismes. tratnement.

   La Fig. 2 est une vue d'élévation frontale du mécanisme   d'en-   traînement. 



   La Fig. 3 est une vue en coupe transversale, à plus grande échel- le, du mécanisme inscripteur, cette coupe étant pratiquée approximativement suivant la ligne III-III de la Fig. 5. 



   La Fig. 4 est une vue d'élévation frontale et à plus grande é- chelle du mécanisme inscripteur. 



   La Fig. 5 est une vue en coupe longitudinale du mécanisme in- scripteur, pratiquée approximativement suivant la ligne V-V de la Fig. 3. 



   La-Fig. 6 est une vue d'élévation postérieure du mécanisme in- scripteur. 



   ' Les Figures 7 et 8 représentent un détail du mécanisme' inscrip- teur, dans deux positions différentes. 



   La Fig. 9 est une vue partielle en coupe suivant la ligne   IX-IX   de la Fig.   10.   



   La Fig. 10 est une vue partielle en coupe du mécanisme inscrip- teur, approximativement suivant la ligne   X-X   de la Fig. 5. 



   La Fig. 11 est une vue antérieure d'une partie d'un cadre appar- 

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 tenant au mécanisme insGripteur-' ' z ' ."' ' La Fig. 12 est une vue d'élévâtion postérieure, et 
La Fig. 13 est   une 'vue   d'élévation latérale; d'un des organes de butée. ' '.    mande. La Fig. 14 est une vue d'élévation latérale dû-mécanisme de commande.   



   ,La Fig. 15 est une vue en coupe de ce mécanisme,   approxmati-   
 EMI3.2 
 vemént suivant la ligne XV-XV'de la,Fîg. 16. 



   La Fig. 16 est une vue d'élévation antérieure du mécanisme de -commande-, La Fig. 17 est une vue en plan de ce mécanisme, dans laquelle on a omis les organes du   mécanieme   totalisateur et du mécanisme d'actionne- ment, afin de montrer les gorges de guidage disposées au-dessous de ceux-ci. 
 EMI3.3 
 



  La Fi:g. 18 représente' le clavier. 



   Comme montré, dans la   Fi go,   1, la machine à calculer comporte un bottier présentant une plaque de base 1 supportée par des pieds 2 en caout- chouc ou autre matière élastique offrant une bonne adhérence, fixées à la fa- 
 EMI3.4 
 ce inférieure de cette plaque de base. Le bottier!" présente en outre un cou- vercle supérieur 3, de préférence en une matière plastique ou autre matière résistante et d'un poids réduit, ce couvercle affleurant les bords relevés de la plaque de base et étant muni d'évidements ou d'orifices adaptés au mé- canisme intérieur de la machine et par lesquels les organes qui doivent être actionnés ou observés depuis l'extérieur peuvent émerger du bottier. 



  Presque tous   es   organes qui émergent à l'extérieur du   bottier,   ainsi que tous les autres organes des mécanismes contenus à l'intérieur de celui-ci, sont réunis à la plaque de base 1, ce qui permet d'ouvrir le bottier en re- 
 EMI3.5 
 levant le couvercle supérieur 3 après ,1e desserrage de vis d'assemblage (non représentées), par lesquelles le couvercle 3 est fixé à la plaque de basé 1, rendant ainsi les mécanismes intérieurs de la machine accessibles en vue de réparations ou de réglage. D'autres détails relatifs aux ouvertures prati- quées dans le couvercle 3 ressortiront de la description ci-après des dif- férents mécanismes renfermés dans le bottier. 
 EMI3.6 
 



  ' MECANISME INSCRIPTEUK g 
Le mécanisme inscripteur comprend un bloc de cadres 4, 9, 88 et 89, attachés les uns aux autres, de façon à former un corps rectangulaire, au moyen de boulons passant dans des orifices prévus dans les coins de tous le,s cadres. Le bloc de cadres repose sur la plaque de base 1, à laquelle il est fixé par des moyens appropriés, par exemple des vis (non représentées) insérées depuis la face inférieure de la plaque de base, traversant cette dernière et pénétrant dans un ou plusieurs de ces cadres. Les ouvertures in- 
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 térieures 6 des cadres ont la forme représentée dans la Fig. 3,'c'est-à-dire, présentent deux côtés parallèles rectilignes et deux extrémités semi-circu- laires.

   Les bords de l'ouvertare de chacun des cadres désignés par 4 pré- sentent une gorge 7 qui s'enfonce d'une crta3..re distance dans l' épiss8ur du cadre et forme un guidage pour des organes de butée 8 représentés.plus 
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 clairement dans les Figures 12 et 11. - 
Les extrémités extérieures   10   des butées, extrémités distantes de l'ouverture 6, présentent un contour curviligne au-rayon correspondant à celui que présente le bord extérieur de la gorge 7 dans les extrémités semi- 
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 crioulaires extérieures der'l'ouverture 6', ainsi que deux cotés 11 parallèles entre eux le long de leurs parties extérieures principales, mais convergeant l'un vers   l'autre   à   l'extrémité   intérieure de la butée.

   La surface d'extré- mité intérieure 12 de la butée tournée vers   l'ouverture   6, présente une 
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 forme nectiligne, sa distance par rapport à l'extrémité extérieure 10 étant approximativement égale à la profondeur radiale de la gorge 7. L'épaisseur de la butée est approximativement égale à la profondeur de la gorge 7, mesu- 

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 rée dans un sens transversal au plan principal du cadre   4.   A l'extrémité pos- térieure 13 de la butée sont prévues deux gorges 14 et 15, arquées concentri- quement par rapport au bord extérieur 10.

   Les faces arquées de la gorge in-   tér3eure   14 sont parallèles, tandis que la gorge extérieure 15- présente une face extérieure perpendiculaire à la face postérieure 13 et une face intérieu- re, proche de la gorge intérieure 14, inclinée en direction de cette derniè- re, comme montré clairement dans la Fig. 13. Sur la face antérieure 17 de la butée 8 est prévu un tenon cylindrique 18. 



   Dans la gorge 7 de chaque cadre 4 sont prévues des nervures de guidage pour les butées, ces nervures comprenant, comme représenté dans la Fig. 11, une nervure de guidage fixe 20, partant de l'extrémité de gauche de la partie rectiligne inférieure de la gorge 7, longeant cette partie rec- tiligne et suivant l'extrémité curviligne de droite de cette gorge, pour se diriger vers l'extrémité de droite de la partie rectiligne supérieure de cel- le-ci. Cette nervure de guidage est   parabole   au bord de l'ouverture 6 du' cadre 4 et se situe, par rapport au bord extérieur 22 de la gorge 7, à une distance égale à celle qui sépare l'extrémité extérieure 10 de la butée de la gorge intérieure 14 de celle-ci. Une autre nervure de guidage fixe 14 longe la moitié supérieure de l'extrémité arquée de gauche de la gorge 7. 



  Une nervure de guidage élastique s'étend depuis l'extrémité de gauche de la partie rectiligne supérieure de la gorge 7 et longe cette gorge jusqu'à un point situé à proximité de l'extrémité de la nervure de guidage 20, dont ce point est séparé d'une distance -légèrement supérieure à une fois et demie la largeur des butées entre leurs surfaces latérales 11, cette nervure élas- ' tique étant constituée par le bord plié 26 d'une bande d'acier 27 s'étendant sur une longueur telle qu'elle dépasse de part et d'autre les extrémités de la nervure de guidage 26, cette bande d'acier étant fixée au cadre par des vis 28.

   La profondeur de la gorge 7 dans le sens transversal du cadre, c'est- à-dire, dans le sens longitudinal de la machine, est légèrement supérieure- derrière la nervure de guidage élastique 26, de façon à permettre de   refou-   ler cette nervure afin de la dégager de l'une des gorges prévues dans les butées. Les parties rectilignes des nervures de guidage 20 et 26 présentent une largeur réduite par rapport à celle des nervures arquées 14 et 15 des butées d'une quantité telle que ces butées puissent être guidées de façon à coulisser aisément le long de la gorge 7 dans n'importe quelle position. 



   La face postérieure des cadres 4 munis de gorges 7 dans lesquel- les sont guidées les butées d'une autre gorge 73, comme indiqué en pointillé dans la Fig. Il et représentée dans la Fig. 5. La gorge 73 sert à recevoir et à guider les tenons 18 qui s'avancent en saillie depuis la face antérieure des butées 8. 



   Dans l'exemple représenté, la machine est prévue pour 9 ordres décimaux. Dans ce cas, la nervure de guidage élastique 26 doit s'étendre sur une longueur telle que 9 butées 8 puissent se placer côte à côte sur cette nervure de guidage. 



   Un arbre longitudinal 30 s'étend à travers les centres des ex- trémités arquées de droite des ouvertures 6 de tous les cadres 4 du bloc de cadres; sur cet arbre sont calées un certain nombre de roues étoiles 32, dont   chacune   agit sur les tenons 18 des butées 8 situées dans l'extrémité cur- viligne de la gorge 73, qui entoure la roue-étoile 32. 



   Chaque cadre 4 du bloc de cadres présente sur son bord inférieur des évidements qui forment ensemble des canaux s'étendant à travers le bloc    de cadres dans le sens longitudinal de la machine, à savoir ; uncanal étroit   34 destiné à recevoir une crémaillère 35, qui sera décrite plus loin, et un canal large 36 pour une glissière de commande 38, qui sera également décrite plus loin, cette crémaillère et cette glissière étant guidées dans ces   canamx-   entre les cadres d'une part et la plaque de base 1 d'autre part.

   Les cadres 4 sont en outre munis d'évidements sur leurs bords supérieurs, de façon à con- stituer un espace supérieur 39 dans la partie supérieure du bloc de cadres. 

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 Les faces avant et arrière du bloc de cadres sontireoomertes de plaques 40 et 41 qui présentent respectivement des ouvertures rectangu-   laires   correspondant aux ouvertures 6 des, cadres, ainsi que des évidements correspqndant aux évidements 34 prévus pour le passage de la crémaillère 35 et aux' évidements 36 prévus pour recevoir la glissière 38, lesdites plaques 
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 obturant cependant les extnétni tés avant et arrière de laespace supérieur 39. 



   La face supérieure du bloc de cadres est recouverte d'une pla- que   43-' qui   forme le clavier de la machine. Dans ce clavier 43 sont fixés   des guidages tubul'aires verticaux 45 pour les tiges 46 de touches 47 et 48, dont les dix touches numériques de 0 à 9 sont disposées de la manière habi-   
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 -tuelle dans les machines du type à clavier réduit, c9est-âdire, les touches numériques 1 à 9 sont disposées en trois rangées de trois touches chacune -tandis qu9une touche,"0", de plus grande largeur, est située en avant de la rangée antérieure comme représentée- dans la Fig. 18.

   L'exemple représenté prévoit en outre quatre touches' de commande 48 prévues le long du côté gau- che du clavier   43,   à savoirs uns touche de rectification 50, une touche de soustraction 51, une touche de total général 52 et une touche de   -sous-total   
53. On prévoit en outre, sur le   côté   droit du clavier, un espace pour d'au- tres touches de commande, par exemple une touche de répétition 54, comme in- 
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 diqué par le pointillé dans la frigo 18. 



   . Les touches sont maintenues -dans leur position supérieure par des ressorts 55 et, au besoin, certaines des touches de commande 48 peuvent être munies de moyens connus, non représentés, permettant de maintenir la 
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 touche abaissée jusqu9à ce qu'elle soit libérée par une fonction appropriée de la machine ou à la main. 



   Les bords antérieurs et postérieurs des cadres 4 proches des bords latéraux de 19 espace 39, sont munis d'évidements semi-cylindriques 57 qui, lorsque les cadres sont assemblés en un bloc forment ensemble des évi- dements cylindriques, dans lesquels sont montées à pivotement les extrémités de barres transversales 59.   Ces   barres transversales   présentent   des coudes en forme de manivelles. Lesdites barres transversales sont maintenues élas- tiquement, à   1-'aide   de ressorts non représentés, dans une position dans la- quelle leur partie   médiane   est retenue à proximité de la face inférieure du clavier   43.   Chacune de ces barres transversales 59 correspond à une des touches numériques, à l'exception de la touche 0; ces barres sont donc au nombre de neuf.

   Chacune des touches-numériques I à 9 est munie d'une che- 
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 ville 56 qui s9avance en saillie depuis la tête de la touche et se dirige vers le bas à travers un orifice prévu dans le clavier 43, de façon à s'ap- puyer sur la face   supérieure:de   la barre transversale 59 qui correspond à la 
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 touché. numériqUe en question. 



  Une barre d9entratnement ou universelle 60 s'étend dans l'espa- ce 39, dans le sens longitudinal de la machine, c'qxt-à-dire perpendiculaire- ment aux barrer transversales 59 et au-dessous de celles-ci; les extrémités coudées de la barre d!)entra!nment sont montées à pivotement dans les pla- ques d'extrémités avant et arrière 40 et 41, l'extrémité avant de cette barre s'étendant au-delà de la plaque antérieure   40,   comme indiqué dans la fig. 4. 



  Cette dernière barre est également sollicitée vers sa position supérieure par un ressort non représenté. La touche numérique "O" est munie d'une che- ville 58 qui se dirige vers le bas à travers le clavier 43 et prend appui sur la barre universelle 60 (fig. 5). Chaque barre transversale 59 est munie   d'une   saillie 62   qui,:agit   sur une fente inclinée 63 prévue dans un organe de poussée 65 monté à pivotement dans un évidement 66 prévu dans la face an- 
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 térieure des cadres, entre la gorge 7 et leespacè 39.

   A une extrémité du poussoir 65 est prévu un doigt 68 monté à pivotement sur ce poussoir et se dirigeant vers le bas à travers un deuxième évidement 69'du cadre, de façon à agir sur 1'extrémité extérieure de la butée 8 située à angle droit dans l'espace compris entre la nervure de guidage fixe 20   e   la nervure de guida- ge élastique 26. Le doigt 68 est empêché élastiquement de pivoter dans le 
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 sens des aiguilles d-une,montre,par un ressort 70 mis s#us¯tens1en entre le 

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 poussoir 65 et l'ergot 71 solidaire du doigt 68. 



   Sur l'extrémité de la barre universelle 60, qui s'étend au-delà de la plaque antérieure   40   (voir fig. 4), est montée rigidement un bras   75,   sur l'extrémité duquel est monté à pivotement un   élisent   de fixation 77 pour un cliquet constitué par deux fils d'acier pliés 78 et 79 qui forment   ensem-   ble un organe présentant la forme générale d'un U. Les extrémités   supérieu-   res 80 de ces fils sont pliées à angle droit en direction du bloc de -cadres, ces fils étant montés, à l'aide de ces extrémitées pliées, dans des logements correspondants, prévus dans l'organe de fixation 77, et étant maintenus dans ces logements par la tête d'une vis 82.

   Les jambes ou fils 78, 79, du   cli-   quet en forme de U sont reliés par un ressort 84 qui tend à déplacer les ex- trémités inférieures de ces jambes l'une vers   l'autre.   Les extrémités infé- rieures desdites jambes sont pliées en direction du bloc de cadres et   coopè-   rent avec une roue à rochet 86 de forme spéciale, représentée clairement dans la fige 4. Cette roue à rochet 86 est clavetée sur l'extrémité avant de l'ar- bre 30 monté à pivotement dans la plaque antérieure 40 et la plaque   postérieu-   re 41 et dont l'extrémité avant se prolonge au-delà de la plaque antérieure 40. 



   Le bloc de cadres comprend en tout treize cadres, dont dix sont - du type indiqué par 4 et décrit ci-dessus, c'est-à-dire, munis de gorges de guidage 7 pour les butées 8. Partant de la plaque antérieure 40, ce bloc comprend les cadres suivants: un cadre 9 dont la face antérieure n'est pas munie de butées, mais dont la face postérieure est pourvue d'une gorge des- tinée à recevoir les tenons 18 solidaires des butées 8 du cadre suivant; un cadre 4 du type décrit ci-dessus; un cadre 88 de forme spéciale, qui sera   décrit dans la suite; un cadre 9 du même type que le premier cadre ; etneuf   cadres 4 du type décrit   ci-dessus.   



   Les butées du deuxième cadre 4 de la série de cadres décrite ci-dessus sont actionnées par un poussoir 91 différent des poussoirs 65 dé- crits ci-dessus et actionnés par"les saillies 62 solidaires des barres transversales 59. Ce poussoir spécial 91 est représenté dans les figures 9 et 10 et est actionné par une barre longitudinale 93, dénommée barre de butée de zéro et disposée parallèlement à la barre universelle 60. Les extrémités de la barre de butée de zéro 93 sont fixées aux extrémités des bras 95, montés à pivotement sur les extrémités, également montées à pi- vôtement, de la barre universelle 60, à proximité de la face intérieure de la plaque avant 40 et de la plaque arrière 41.

   La barre de butée de zéro 93 est sollicitée vers le haut par un ressort non représenté et peut donc être basculée vers le bas, indépendamment de la barre universelle 60 par une quelconque des barres transversales 59, lorsque cette dernière sera action née par une quelconque des touches humériques, à l'exception de la touche '0', laquelle n'actionne que la barre universelle 60. Le bras voisin de la plaque antérieure 40 est   muni   d'une cheville 97 orientée vers l'arrière et prenant appui sur le bord supérieur du poussoir 91. Ce dernier diffère en outre du poussoir 65 par le fait qu'il ne comporte pas de gorge   63.   D'ail- leurs le poussoir 91, est, tout comme le poussoir 65 muni d'un doigt pivo- tant 68, sollicité par un ressort. 



     MEGANISME   D'ENTRATNEMENT. 



   Toutes les opérations de la machine visant à exécuter une   opéra-   tion de calcul, comme il sera exposé dans la description du fonctionnement de la machine, qui suivra la description de la construction de celle-ci, sont effectuées par deux organes d'entraînement, dont un est constitué par' la glissière 38 mentionnée ci-dessus et l'autre, par la crémaillère 35 dont il est également question plus haut. 



   Ces deux organes d'entraînement sont actionnés par le mécanisme d'entraînement représenté dans les figures 1 et 2. Dans la partie antérieu- re de la machine sont prévus deux supports verticaux 100, fixés sur la plaque de base 1 de part et d'autre de la glissière 38. Un arbre transversal 102. 

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 est monté à pivotement dans les extrémités supérieures de ces supports. 'Les extrémités antérieures respectives de la glissière 38 et de la crémaillère 35, extrémités qui se prolongent au-delà de la face antérieure du bloc de cadres, sont réunies chacune par une bielle 104 à l'extrémité inférieure d'un bras 106 
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 et 108 respectivement.

   Le bras 106 relié à la crémaillère 35 est fixé à l'e.x- trémité de droite du prolongement de l'arbre transversal sur la face   extérieu-   re du support de droite 100. A proximité de la face intérieure de ce dernier support est monté rigidement sur l'arbre transversal 102 un arbre 109, plus court que le bras 106 et portant sur son extrémité un galet 110 monté à pivo- tement. Entre les supports 100, en un point distant de chacun de ceux-ci, est monté à pivotement sur l'arbre 102, un deuxième bras 108, maintenu dans sa position longitudinale par rapport à cet arbre à   l'aide   de douilles d'écar-   tement   112 et   114   qui entourent cet arbre.

   Ce deuxième bras   108   est muni d'un doigt qui supporte une cheville   116,   sur laquelle est monté à pivotement 
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 aà galet 118. Un levier d'actionnement 120, constitué par un fer plat plié en U de façon à présenter la forme d'un étrier, est monté à pivotement, au moyen de chevilles   d9articulation   122 fixées dans ses branches, dans des ori- 
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 fîces prévus dans les supports 100 au-dessous de l'arbre 102.

   Les branches du levier 120 formant étrier en U sont façonnées de la manière représentée dans la Fig. 1, de sorte qu'elles constituent des cames d'entraînement 124 et 125, avec lesquelles coopèrent les galets 110 et 118, la disposition étant telle que, lors de l'abaissement du levier d'actionnement 120, les bras 106 et 108 peuvent pivoter librement, suivant le profil de la came respective, de manière que la crémaillère 35 et la glissière 38 soient attirées en direc- tion de l'opérateur sous l'action de ressorts qui ont été représentés dans la Fig. 1 seulement. Un ressort 127 tend à ramener le levier d'actionnement 120 à sa position normale supérieure, tandis que des ressorts 128 sollici- 
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 tent-lés galets 110 et 118 indépendamment l'un de l'autre contre les cames 124 et 125.

   Comme montré dans la Fig. 1, la surface active de la came, qui coopère avec le galet 118 monté sur le levier 108 réuni à la glissière 38, commence à coopérer avec le levier 118 en un stade du mouvement de pivotement 
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 du levier 120, qui précède le début de l'entrée en contact entre le gap-et 110 et la surface active de la came   124.   Toutefois, vu l'inclinaison plus forte de cette dernière surface par rapport à son sens de déplacement, la 
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 came 124 amène le galet 110 à la fin de sa course plus'tôt que la came 125 n'amène le galet 118 à la limite de son déplacement.

   Ainsi, la glissière commence à se déplacer plus tôt que la crémaillère 35 et poursuit encore son 
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 déplacement vers l'avant après que la crémaillère 35 a atteint l'extrémité de sa   courseo   En outre, lors de la course de retour du levier d'actionne- ment 120 sous Inaction du ressort 127,lequel est plus puissant que les deux ressorts 128 pris ensemble, la glissière 38 commence sa course de retour vers l'arrière de la machine plus tôt que la crémaillère 35 et termine cette course plus tard que celle-ci. 



   A l'arrière du bloc de cadres se trouve un support 130 pour le   totalisateur 132 représenté dans la Fig. 1, sous la forme d'un pignon à dix dents, mais comprenant en réalité un nombre de pignons disposé coaxialement,   
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 égal à celui des ordres décimaux de la machine, c9est-à-dîre, neuf ordres dans 10exemple représenté. Le totalisateur ne fait pas partie de 19înventîo et peut être de n9importe quelle forme. Au-dessous du totalisateur 132 se trouvent un nombre de pignons d'entralnement 134e' égal au nombre des pignons du totalisateur, les pignons 134 étant connectés à leur arbre commun 136 par des ressorts permettant une rotation élastique de ces pignons dans les deux 
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 sens, à partir doune position de repos, par rapport à 12arbre 136.

   Sur l'ex- trémité de droite de l'arbre 136 des pignons d'entralnement 13+, extrémité qui s9étend au-dessus de la crémaillère 35 est monté rigidement un pignon 138 qui engrène avec cette crémaillère. Le totalisateur 132 est monté sur une glissière verticale qui permet de le déplacer verticalement par des 
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 moyens qui seront décrits au chapitre "mécanisme de commande". 



   La glissière 38, qui   s'étend   approximativement sur toute la longueur de la machine,repose sur la plaque de base 1 et est guidée laté- 
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 ralement par les supports 100 du mécanisme d,9entratnement, à 19extrémîtê an- térieure de celui-ci, par les côtés de l'évidement inférieur 36 pratiqué 

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 dans les cadres du bloc décrit ci-dessus, ainsi que par d'autres supports si- tués vers l'arrière par rapport à ce bloc et qui seront décrits dans la suite. 



  Cette glissière est munie de diverses saillies et évidements, qui servent à actionner différents organes de la machine pendant le déplacement de la glis-   sière   vers l'avant et vers l'arrière au cours d'une opération exécutée,par la machine. La disposition et la forme de ces saillies et évidements ressor- tiront clairement de la description du mécanisme de commande et du mode de fonctionnement de la machine. 



   MECANISME D'ACTIONNEMENT. 



   Pour assurer la transmission du mouvement depuis le mécanisme d'entraînement jusqu'au totalisateur, mouvement qui dépend'dans chaque ordre décimal des chiffres inscrits par les touches numériques, on prévoit neuf bar- res d'actionnement 140, comportant trois parties principales, à savoir : des organes d'appui 142, prévus aux extrémités antérieures de ces barres et appe- lés à coopérer avec les butées 8 lorsque celle-ci sont abaissées, pour ocou- per une position active, à la suite de   l'enfoncement   de la touche numérique. correspondante 47 ; une crémaillère 149 coopérant à la fois avec le pignon   d'entraînement 134 et le totalisateur 132 ; une barre à types ou d'impres-   sion 364, à l'extrémité arrière de chaque barre   140.   



   Comme montré dans les dessins, ces barres d'actionnement 140 sont établies en une seule bande de tôle d'acier d'une épaisseur juste suf- fisante pour ne pas subir des déformations élastiques excessives par suite d'une compression longitudinale. 



     L'extrémité   postérieure des barres ou bandes   d'aotionnement   140 est coudée vers le haut, de façon à former un organe d'appui 142, comme mon- tré clairement dans la Fig. 5. Dans les côtés de cet élément d'appui d'ex- trémité 142, coudé vers le haut, sont prévus deux évidements 143, à l'aide desquels l'extrémité antérieure des barres est guidée le long des bords des fentes longitudinales 144 prévues dans une plaque de guidage 146 qui traverse horizontalement les ouvertures 6 des cadres faisant partie du bloc de cadre, cette plaque étant supportée à ces deux extrémités à   l'extérieur   dudit bloc, d'une manière qui sera décrite plus loin.

   Au-dessous de la plaque de guida- ge 146, les barres se dirigent horizontalement et parallèlement à cette pla- que et présentent, en partant de l'extrémité   142   formant élément d'appui, d'abord une partie rectiligne   148;   ensuite, une partie 149 qui constitue une crémaillère et qui est formée par des plis ou ondulations sinusoïdaux de la bande, de façon à présenter des dents et des encoches à la fois sur la face supérieure et sur la face inférieure.

   Cette partie de la barre   140,   qui constitue une crémaillère à ondulation sinusoïdale, est interposée entre les pignons d'entraînement 134 et les pignons du totalisateur 132. ;Les on- dulations de la crémaillère sont constamment en prise avec les pignons d'en- traînement 134, mais n'entrent en prise avec les roues du totalisateur que lorsque ce dernier occupe sa position inférieure. Au-dessous de l'organe d'ap- pui   142   formant l'extrémité antérieure des barres ou bandes d'actionnement se trouve une dent d'arrêt 150 solidaire de la barre ou bande et présentant une surface antérieure obliquant vers   l'avant   et vers le haut et une surface postérieure verticale.

   Cette dent d'arrêt qui sera dénommée ci-après butée de verrouillage 150, a pour but de permettre la coopération de chaque barre avec un cliquet de verrouillage 152, destiné à retenir la barre d'actionne- ment dans sa position initiale lorsque le chiffre à transmettre par cette barre est "zéro", c'est-à-dire lorsqu'aucune butée 8 n'occupe la position ac- tive dans l'ordre décimal correspondant, de façon à empêcher les barres de ces ordres décimaux de coulisser librement dans les deux sens pendant le fonc- tionnement de la machine. Le cliquet de verrouillage 152 est sollicité par un ressort 154 logé dans un forage 156 pratiqué dans le troisième cadre 88 ,   en partant de la plaque antérieure 40 du bloc de cadres ; cecliquet est main-   tenu normalement en prise avec la butée de verrouillage 150.

   Les cliquets , de verrouillage 152 sont montés à pivotement sur un arbre transversal 158, monté lui-même à l'extrémité avant du couloir central constitué par les ouver- tures 6 des cadres faisant partie du bloc de cadre, ces cliquets étant main- 

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 tenus en place et en alignement avec chaque barre d'actionnement 150 à leaide de rondelles deespacement 160. Les cliquets de verrouillage 152 présentent chacun une partie 162 qui sélève jusqu'au voisinage du bord supérieur'des ouvertures 6, ainsi qu9une partie 164 qui se dirige vers l'avant, jusqu9à l'extérieur de la plaque antérieure 40.

   Une plaque 166, montée à coulissement sur la face extérieure de la plaque antérieure 40 coopère avec des taquets 168 prévus sur la glissière 38,lorsque cette dernière occupe sa position nor- male de repos; d'autre part, la plaque 166 entre *en contact, par son bord su- 
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 périeur9 avec les parties 164 des cliquets de verrouillage 152, de façon à empêcher ces derniers cliquets d'entrer en contact avec les butées de ver- rouillage 150, cela aussi longtemps que la glissière occupe sa position de 
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 repos.

   La plaque 166 est gu3dée.à coulissement sur la face antérieure de la plaque avant 40 au moyen dyentaïlles 169 qui enclavent les chevilles 170 so- lidaires de la plaque antérieure, la plaque 166 étant sollicitée par des ressorts 172 qui tendent à déplacer la plaque 166 vers le bas, pour la mettre 
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 en contact avec la glissière 380 Les taquets 168 présentent une surface pot- térieure inclinée vers le bas en direction de la glissière, de façon à permet- ,tre 19abaîssement progressif de la plaque 166 au début du mouvement de va-et- vient de la glissière   38,   ainsi que le soulèvement progressif de la plaque 166 à la fin du mouvement de retour de la glissière. 



   Les organes destinés à produire le retour des butées à leur position Inactive, soit après que celles-ci ont accompli leur fonction, soit 
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 en vue de corriger un chiffre inscrit à l'aide des touches num6riquex, font partie, en réalité,, du mécanisme   inscripteur;   ces organes   n9ont   cependant pas été décrits dans le chapitre correspondant,vu que, pour expliquer leur fonc- 
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 tionnement, il était nécessaire de décrire d'abord les organes d'entralnemmt et d9acti.onnemento 
Les organes de rappel des butées 8 sont formés par la plaque de guidage 146, laquelle peut être déplacée vers le haut en vue de refouler 
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 toutes les butées 8 qui avaient été abaissées jusque a la position active,

   '   dans laquelle elles sont à portée des pattes d'appui d'extrémité 142 des barres d'actionnement, de façon à ramener ces butées à leur position inactive,   ce déplacement de la plaque 146 étant rendu possible par le fait que la ner- vure de guidage 26 de la partie correspondante des rangées des butées 8 est élastique et peut être repoussée par la face intérieure inclinée de la gorge extérieure 15 des butées 8. A cette fin, le bord antérieur de la plaque de 
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 guidage 146 (frigo 4) présente un prolongement 175 'dans lequel est pratiqué un évidement 176 où s9engage-une partie étroite 177 de la barre coulissante verticale 178 guidée, au moyen'd'une fente 180, sur deux vis 182 qui   savan-   cent sur la face extérieure de la plaque frontale 40.

   Cette barre coulis- sante 178 est reliées, par une cheville 184 et un bras   186,   à un arbre 188 
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 r,ontê à pivotement dans un alésage qui traverse la totalité du bloc de cadres, y compris les plaques avant et arrière 40 et 41 et dont leextrémîté située derrière la plaque postérieure 41 (voir Fig. 6) porte, claveté, un second bras   200,  lequel est relié à   l'extrémité   postérieure   202   coudée vers le bas, de la plaque de guidage   146.   Afin de permettre le passage des barres d'ac- 
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 tionnement à travers 1gextrémi té postérieure 202 de la plaque de guidage 11.6, cette partie dé la plaque présente une ouverture correspondante 204.

   A lpex- térieur de la plaque antérieure   40,     19arbre   188 est muni d'un bras 206   orien-   té vers le haut et claveté sur cet arbre, ce bras présentant une surface 
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 d'extrémité 208 taillée en oblique. Cette surface oblique coopère avea l9ex- trémiré coudée vers l'extérieur   d'une   cheville 210 fixée dans la tête de la touche de correction 50, de telle sorte que, lorsque cette touche 50 est abaissée, le bras 206 pivote à l'encontre des aiguilles   d'une   montre, comme 
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 montré dans la f3go 4 et, à l'aide de l'arbre 188, des bras 186 et 200 de la barre coulissante 17851 élève la plaque de guidage 146 vers la surface su- périeure du couloir formé par les ouvertures 6 dans les cadres du bloc de ca- dres,

  de sorte que toutes les butées qui avaient été amenées auparavant dans la position active se trouvent refoulées à leurposition de repos. Les élé- 
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 ments d'appui d9extrêmitê'antêrieurs 142 des barrés d'actionnement 140 se , 

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 trouvent également élevés par ce déplacement de la plaque de guidage   146,   le - quel est rendu possible par une gorge spéciale 212 pratiquée dans le cadre 88 en avant de la gorge prévue pour les tenons 18 des butées 8 guidées dans le premier des neuf cadres 4 correspondant aux neuf touches numériques de "1" à "9". 



   Afin d'assurer le retour automatique des butées 8 à leur position de repos à la fin d'une opération de calcul, c'est-à-dire, vers la fin de :la course de retour seulement de la glissière 38, l'extrémité inférieure de la barre coulissante 178 est articulée à un élément 214 en forme de volet, qui peut être tourné en direction de l'extrémité antérieure de la machine, mais qui ne peut pas pivoter dans le sens opposé au delà du prolongement de la barre coulissante 178.

   Un mentonnet 216, prévu sur le coulisseau 38 et situé à proximité de l'extrémité antérieure du couloir formé par les évidements 36 des cadres   du;:bloc   de cadres, présente une surface antérieure   verticale   et une surface postérieure inclinée, de sorte que, lorsque le mentonnet 216 se déplace vers l'avant solidairement avec la glissière 38, il refoule le volet   214   devant lui,  tandis   que, lors de la course de retour de la glissière 38 vers la position de repos, ce mentonnet soulève ledit organe 214 en forme de volet et doncaussi la barre   coulissant?   178, ce qui a pour effet de soulever la   partieantérieure   de la plaque de guidage   146,

     dont la partie postérieure est également soulevée grâce à la transmission du mouvement depuis l'extrémi- té antérieure par l'intermédiaire de la cheville 184, du bras 186, de l'arbre 188 et du bras 200. 



   Afin de provoquer le rappel de toutes les butées 8 qui n'avaient pas été ramenées à leur position de repos, alors qu'elles se trouvaient en face de la plaque de guidage 146, on prévoit une barre spéciale 216a qui s'étend longitudinalement à travers la partie latérale de gauche du couloir formé par les ouvertures 6 du cadre faisant partie du bloc de cadres. La barres 216a présente une surface excentrique par rapport aux bords arqués des ouvertures 6, de façon à former une surface de guidage qui se rapproche progressivement des bords des ouvertures 6 en partant du bord supérieur de l'intervalle entre les nervures de guidage 24 et 20 et en allant vers le bord inférieur de cet   intervalle.   



   MECANISME DE COMMANDE. 



   Sur la face supérieure du clavier 43 est monté à pivotement un arbre 220 qui s'étend longitudinalement par rapport à la rangée de touches de commande 48, à proximité de celles-ci. Comme montré dans la Fig. 3, cet arbre est muni de chevilles 222 et   224,   orientées radialement et qui, dans la position de repos de cet arbre, arrivent, respectivement,   jusqu'à   mi-hau- teur environ entre les têtes des chevilles de commande adjacentes 51,52 et le clavier   43   et jusqu'à la face inférieure de la tête de la touche 53. 



  Ainsi, lorsqu'on abaisse la touche 51 ou 52, l'arbre 220 ne pivote que de la moitié de l'angle dont il est amené à   pivoter   par suite de l'abaissement de la touche 53. 



   Comme représenté dans la Fig. 6, un bras 226 est claveté sur l'extrémité postérieure de l'arbre 220, derrière la plaque postérieure 41, l'extrémité du bras 226 étant articulée à l'extrémité supérieure d'une tringle 228, dont l'extrémité inférieure est reliée à un bras d'un levier coudé 230, monté à pivotement sur un prolongement 232 d'une plaque de support 234 représentée dans la Fig. 16. L'autre bras 236 du levier coudé 230 est réuni à pivotement à une chape 238 prévue sur une glissière de commande trans- versale 240 guidée dans des fentes prévues dans la plaque de support 234 et dans une autre plaque de support 242, montée sur la plaque de base, sur la face opposée de la glissière 38.

   On comprendra aisément que, suivant qu'ure touche de commande sera abaissée ou qu'aucune touche de commande ne sera abaissée, la glissière de commande 240 peut occuper une des trois positions différentes suivantes: premièrement (comme représenté dans la Fig. 16) une   position de repos ; une position que lui imprime l'abaissement   d'une quelconque des touches 51 ou 52; et, troisièmement, lorsque la touche 

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53 est abaissée. 



   La glissière de commande   240   comporte une aile verticale 243 qui part du bord postérieur de cette glissière et qui présente à son bord supérieur trois entailles rectangulaires 244, 245 et 246. Un arbre 248 est monté à ro- tation dans les plaques de support 234 et   2420   Trois chevilles 250, 252 et 
254 sont fixées radialement sur l'arbre 248 dans des positions telles que la cheville 250 se trouve en face de l'entaille 244 dans la première position de la glissière de commande 240, que la cheville 252 se trouve devant l'en- taille 245 dans la deuxième position de la glissière 240 et que la cheville   254   se situe en regard de l'entaille 246 dans la troisième position de cette glissière.

   Chacun des trois chevilles 250,252 et 254 (voir Fig 17) est engagée dans une rainure périphérique 256 d'un manchon 258 monté à rotation sur l'arbre 248 dans les limites de l'entaille 246. Chacun des trois man- chons 258 présente une palette 260 en forme de bêche qui s'étend radialement et qui présente un bord extérieur droit 262. Des ressorts 264, dont une ex- trémité est fixée à l'arbre 248, tandis que leur autre extrémité s'appuie sur les palettes en forme de bêches 260, maintiennent ces palettes et leurs manchons 258 dans la position limitée par la cheville 252 lorsque celle-ci vient buter contre l'extrémité des rainures 256,   distant   des ailes 260. 



   Sur les faces inférieures des palettes 260 et des manchons 258 sont prévues des butées 280 qui s'étendent radialement depuis le manchon et qui surplombent le bord supérieur de l'aile 243 de la glissière de commande 
240, ces butées présentant une largeur qui, mesurée dans le sens axial de l'arbre 248, est légèrement inférieure à celle des entailles   244,   245 et 246.

   de   l'aile     243.   Ainsi,il ressort clairement de ce qui précède que, dans n'importe quelle des trois positions de la glissière de commande 240, décri- te ci-dessus dans la première position, par exemple, une seule des butées   280 sera à même de s'engager dans l'entaille correspondante, 244 par exemple, tandis que les autres butées s'appuieront contre le bord supérieur de l'aile   243, en dehors des entailles correspondantes, soit 245 et   246.   



   Un bras 266, monté rigidement sur l'extrémité de droite de l'ar- bre 248, est articulé à une barre 268 dont l'extrémité inférieuré est guidée par une cheville 270 qui émerge sur un côté de la barre 268 à travers une boutonnière verticale 272 prévue dans la plaque de support 242, cette che- ville 270 émergeant sur l'autre côté de la barre.268, de façon à former un pivot pour un galet 274. Dans la position de repos de la glissière 38, le galet 274 s'engage dans un évidement 276 de cette glissière, lequel évide-   ment présente une face inclinée 278 (Fig. 14) qui va en s'élevant progressivement jusqu'à la surface supérieure de la glissière 38.   



   Derrière la glissière de commande 240 se trouve une autre glis- sière 282, dénommée ci-après "glissière d'accouplement", laquelle est guidée par ses extrémités 284 dans des évidements correspondants 286 prévus dans des parties 288, faisant saillie vers l'avant, depuis'les côtés du support fixe 130 du totalisateur, comme représenté dans les Figures 14, 15 et 16. Deux chevilles 290 faisant saillie vers l'arrière depuis ladite glissière 282 sent engagées dans des gorges inclinées 292, prévues dans une plaque antérieure 294 de la glissière verticale dans laquelle est monté le totalisateur.

   Ain- si, en considérant la Figo 16, on voit que lorsque la glissière d'accouple- ment 282 est déplacée vers la gauche, cette plaque antérieure 294 et la glis-   stère   verticale se déplacent vers le bas, de façon à mettre les pignons 132 du totalisateur en prise avec les crémaillères 149 faisant partie des barres d'actionnement   140.   



   La glissière d'accouplement 282 est munie de trois forages ver- ticaux 296 situés à proximité de l'extrémité de droite du bord 262 de chacune des palettes 260 en forme de bêche. Trois tiges 298, 299 et 300 sont guidées chacune à coulissement dans un des forages 296. Ces tiges présentent au voisinage de leur extrémité supérieure un évidement dans lequel s'engage la palette correspondante 260. Les palettes 260 présentent, dans le sens trans- versal de la machine, une largeur suffisante pour demeurer engagées dans les 

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 évidements des tiges 298, 299, 300 pendant toute la durée du déplacement la- téral de la glissière   d9accouplement   282. 



   La glissière de commande 38 est pourvue de gorges de guidage 310, 320 et 330. La gorge 310 présente une partie rectiligne 312 qui, si l'on con- sidère la position de repos de la glissière 38, s'étend vers l'arrière depuis l'aplomb de l'extrémité inférieure de la tige 298, sur une longueur correspon- dante à la course de cette glissière, lorsque celle-ci est actionnée. La profondeur de cette partie rectiligne 312 va en diminuant vers l'arrière. 



  A partir de l'extrémité postérieure de cette partie rectiligne s'étend une partie brisée de la gorge, dont la profondeur, à l'extrémité postérieure est supérieure à celle de l'extrémité postérieure, qui lui est voisine, de la par- tie rectiligne 312 de la gorge. Cette partie brisée présente un tronçon obli- que 314, qui forme un angle aigu avec la partie rectiligne 312; un tronçon longitudinal 316. parallèle à la partie rectiligne 312 ; et, un tronçon obli- que 318 qui rejoint la partie rectiligne 312 à une faible distance de l'ex- trémité antérieure de la gorge. La profondeur des tronçons 314, 316 et 318 va en diminuant de l'extrémité postérieure vers l'extrémité antérieure, de sorte qu'au point où le tronçon 318 rejoint la partie rectiligne 312, il ac- cuse une profondeur moindre que cette dernière. 



   Considérée dans la vue en plan de la Fig. 17, la gorge de guida- ge 320 présente la même forme que la gorge 310, toutefois, ici, la profon- deur de la partie rectiligne 322 va en diminuant-depuis l'extrémité postérieu- re jusqu'à un point où le tronçon oblique 328 rejoint la partie rectiligne, tandis que l'extrémité antérieure de la partie rectiligne et le tronçon obli- que 328 mentionné en dernier lieu présentent une profondeur plus importante, laquelle va en diminuant le long du tronçon oblique 328, du tronçon   lôngitu-   dinal 326 et du tronçon oblique 324.

   La gorge 320 présente une profondeur uniforme; elle s'étend depuis l'aplomb de la tige 300 sur une faible longueur vers l'arrière, elle dévie ensuite en formant un tronçon oblique 334 et se prolonge par une partie longitudinale 336 qui s'étend jusqu'à un point situé en alignement transversal avec les extrémités postérieures des gorges 310 et 320. 



    MEGANISME D'IMPRESSION.   



   Comme c'est généralement le cas dans les machines du type consi- déré ici, on prévoit un support 350 pour un   rouleau-magasin   352 d'une bande de papier 354 à la partie supérieure de l'extrémité postérieure du bottier 1. 



  Dans le couvercle 3 du bottier est monté à pivotement un cylindre imprimeur 356, qui coopère, d'une manière connue en soi, avec des rouleaux de pression 358 et des lames de guidage de papier 360, ces rouleaux et   Ées   lames étant prévus au-dessous du cylindre d'impression 356. 



   Les extrémités postérieures des barres d'actionnement   140   pré- sentent chacune une partie rectiligne 362, qui supporte une barre à types 364 portant, sur sa face supérieure des caractères d'imprimerie 365. L'extré- mité postérieure de cette partie 362 de chaque barre   140  est guidée dans un organe de guidage 366 en forme d'étrier, guidé lui-même à coulissement verti- cal par les fentes 368 dans lesquelles s'engage une barre transversale 370, supportée par deux bras 372 et guidée par ses extrémités dans des fentes ver- ticales prévues dans des supports 374; montés sur la plaque de base 1 de part et d'autre de la glissière 38. Les extrémités inférieures des bras 372 sont réunies à pivotement à une autre paire de bras 376, montés à rotation à l'ai- de de tourillons montés à pivotement dans les supports 374.

   Les extrémités voisines des bras 372 et 376 sont munies de prolongements s'étendant vers l'ar- rière et présentant un bord de butée arqué 380. L'extrémité postérieure de la glissière 38 est relevée et ensuite coudée vers l'avant, de façon à forner un bord de butée 382 au niveau des bords arqués 380.

   La distance entre ces bords 380 et le bord de butée 382 de la glissière 38 est telle que, à la fin   de sa course vers l'avant, l'extrémité 382 de cette glissière vient presser les bords 380, refoulant ainsi vers le haut l'extrémité postérieur de la   barre .d'actionnement 140, ainsi que la barre à types   364,   de sorte que le type 

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 365 solidaire de cette barre et en regard de la partie inférieure extrême du cylindre 356 est pressé contre celui-ci.   N'importe   quel moyen connu en 
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 vue d9applîquer de la couleur dimprimerie aux caractères ou de guider et faire avancer un ruban encreur entre les types et le cylindre dimpressiC11 peut être employé conjointement avec les organes d2împression décrits ci- dessus.

   De tels moyens   dencrage     nont   pas été représentés dans les dessins. 



   Afin que les chiffres imprimés sur la bande 354 au niveau de la face inférieure du cylindre 356 soient visibles immédiatement après 
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 l9impressioa et avant 12accomplissement de l'opération d'impression suivan- te, 1?invention prévoit des moyens pour faire tourner le cylindre 356 â 1'encQntre des aiguilles deune montre immédiatement avant l'impression et pour le ramener à sa position initiale immédiatement après celle-ci.

   Ain- 
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 si, la partie de la bande sur laquelle l9mpressior doit être effectuée est   dabord   tournée vers le bas jusqu'à la partie inférieure extrême du cy- 
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 liIldre,,, pour être ensuite ramenée à un emplacement visible depuis Pavant de la machinée 
A cette fin,   l'invention   prévoit une saillie en forme de came   384   sur la glissière   38,   cette came présentant sur sa face antérieure une rampe à faible pente.

   Un galet 386, disposé sur le trajet de la came 384 déterminé par le mouvement de la glissière   38,   est monté à pivotement sur un bras 388 d9un levier à deux bras dont   1-'autre   bras 390 se dirige vers le haut et, au moyen   d9une   entaille 392, enclave une cheville 394 prévue sur un élément solidaire du cylindre d9impression   356,   cet élément étant de préférence une roue à rochet ou organe de forme analogue,faisant partie du mécanisme   dinterligne   ou d'avancement de papier pour le cylindre daim pression.

   Il va de soi   quen   dehors des moyens d'avancement de la bande de papier décrits ci-dessus et destinés à faire tourner le cylindre jus- qu'à la position de lecture,on peut prévoir d'autres moyens connus pour 1-'avancement de la bande de papier d'un cran, bien que de tels moyens niaient pas été décrits ici. 



   Dans la description ci-dessus, relative à la construction de la machine, on a omis, pour des raisons de clarté, des détails qui ne sont pas indispensables aux fonctions fondamentales de la machine, mais il est évident que cette construction est susceptible de développements et de 
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 perfectionnements qui augmentent les possîbîlîtês des différentes opéra- tions à effectuer par la machine.

   En ce qui concerne le totalisateur, lequel ne fait pas partie de 1?invention, on a également omis tous les organes de commande nécessaires au fonctionnement correct de ce totalisa- teur, tels que le report   d9une   unité depuis un pignon du totalisateur pas- sant de la position correspondant au chiffre   "9"   à celle du chiffre "0",   ou vice-versa, jusqu'au pignon de totalisateur situé à gauche du premier; la commande des organes d'arrêt pour les pignons du totalisateur dans la   position "0" en vue de 1?extraction d'un total positif; la commande de tels organes   darrêt   en fonction du caractère positif ou négatif du montant ac-   cumulé   dans le totalisateur, en vue d9obtenir une lecture correcte d'un total négatif;

   des moyens permettant d'enregistrer le même montant plusieurs 
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 fois successivement dans le totalisatpur, sans la nécessité de re-inscrire ce montant autant de fois sur les touches numériques; ainsi que d9autres fonctions pouvant généralement être effectuées dans des machines de ce gen - re, décrites et réalisables par des moyens   suffisamment   connus pour qu'il soit superflu de les décrire ici. 



   Pour faciliter la compréhension de la construction exposée ci-dessus, on décrira ci-après les fonctions de la machine. 
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  Leopêratlon la plus courante exécutée sur les machines de l'es- pèce décrite ci-dessus est 1?opération d-addition, laquelle est, effectuée de la manière suivante : 
ADDITIONS 
Partant de la position de repos de tous les organes décrits, 

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 tels   qu'ils   sont représentés dans les dessins annexés, à l'exception de la Fig. 8, et des butées 8a et 8b de la Fig. 5, le montant à enregistrer dars le totalisateur est inscrit sur les touches numériques en partant du chiffre de gauche de ce montant. On supposera qu'il s'agisse d'enregistrer le nom- bre "102" en tant que poste positif dans le totalisateur, c'est-à-dire, En vue de l'addition. A cette fin, on abaisse d'abord la touche numérique "1". 



  Ceci a pour effet que la barre transversale correspondante 59 c'est-à-dire, la première barre transversale à partir de la gauche dans la Fig. 5, est basculée vers le bas par la cheville 56 fixée à la tête de cette touche, à la suite de quoi la saillie 62 solidaire de ladite barre transversale 59, actionne le poussoir 65, comme représenté dans la Fig. 3, de sorte que la butée 8 située au-dessous du doigt 68 de ce poussoir est amenée dans   sa@po-   sition inférieure,   c'est-à-dire,   active.

   Simultanément, la barre universel - le 60 est basculée vers le bas par la barre transversale 59, de sorte que le bras 75 (Fig. 4) est basculé vers le bas et, au   moyqp   du cliquet 78, 79, fait tourner la roue à rochet 86 d'un seizième de tour, ce qui correspond à la moitié de la distance angulaire entre deux dents adjacentes, ou en d'au- tres termes à la moitié du mouvement angulaire nécessaire pour déplacer tou- tes les rangées de butées 8 d'uncran le long de leurs gorges 7 prévues dans les cadres   4,   c'est-à-dire, d'une   distance   correspondant à la largeur de ces butées, ce déplacement s'effectuant à l'aide de l'arbre 30, des roues- étoiles 32 et des tenons 18 des butées, engagés entre les dents de ces roues. 



  Ce déplacement des,butées 8 a lieu dans l'espace compris entre la nervure de guidage fixe 20 (Fig. Il) et la nervure de guidage élastique 26. Lors- que l'élément de cliquet 78 a produit ce demi-cran de la   rotation 'de   la roue à rochet 86, l'élément de cliquet opposé 79 est arrivé au-delà de la dent suivante de la roue à rochet et s'est engagé dans l'encoche située derrière cette dent. Lorsque la touche numérique abaissée est libérée, la barre transversale 56 est rappelée par son ressort (non représenté) à la suite de quoi la saillie 62, qui en est solidaire, ramène le poussoir 65 à sa position initiale, comme représenté en particulier dans la Fig. 7. 



  Simultanément, la barre universelle 60 est ramenée à sa position supérieure initiale au moyen de son ressort de rappel (non représenté), de sorte que le bras   75-(Fig.   4) est basculé vers le bas et que la branche 79 du cliquet fait effectuer à la roue à rochet 86 l'autre moitié de son cran de rotation, en déplaçant ainsi toutes les rangées des butées 8 de la seconde moitié de leur trajet, de telle façon que la butée abaissée est amenée au-dessus de la première barre d'actionnement 140 à partir de la droite, comme montré dans la Fig.   3.   



   Le basculement vers le bas de la barre transversale 59 a éga- lement pour effet un basculement vers le bas de la barre de butée de zéro 93, (Figures 3, 9 et 10), actionnant ainsi un poussoir   spécial '91   qui, à l'aide de son doigt 68, déplace la butée correspondante 8b vers le bas, la- quelle est évidemment déplacée, en même temps que toutes les autres butées, d'un cran le long de la gorge de guidage prévue dans le cadre correspondant. 



    On   abaisse ensuite la touche numérique "0" ét, comme cette touche commande, à l'aide de la tige 58, uniquement la barre universelle 60, toutes les ran- gées de butées se déplacent d'un cran sous l'action du bras 75, du cliquet 78  SI 79,   de la roue   86  de l'arbre 30 (Fig. 4) des roues-étoiles 32 et des tenons 18   (Figo     3),     maïs.,gans   qu'une butée quelconque soit amenée à sa po- sition inférieure. Comme la barre de butée de zéro 93 n'est actionnée par aucune barre transversale 59, aucune butée n'est amenée à sa position ac- tive dans la rangée antérieure extrême de butées. 



   Finalement  on abaisse la touche numérique   "2",   ce qui a pour effet d'abaisser une butée 8 de la seconde rangée en partant de l'avant des neuf rangées de butées qui correspondent aux touches numériques de 1 à 9, c'est-à-dire, dans la rangée située immédiatement à droite de la butée abaissée 8a, représentée dans la Fig. 5, toutes les butées étant avancées simultanément   d'un   pas vers l'avant de la partie inférieure des rangées. 



  Simultanément, une butée 8b sera amenée à la position active au-moyen de 

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 la barre de butée de zéro 93 et d'un poussoir spécial 91. 
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 Après que Popératicn dinscription a été ainsi effectuée, la butée 8a de la première des neuf rangées de butées, rangée qui correspond à 
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 la touche numérique cl", a été déplacée Jusqu9à une position dans laquelle cette butée se trouve en regard de la troisième barre d9aationnement 140 en partant de la droite dans la Figo 3, cette barre occupant sa position aoti- ve, tandis que la butée faisant partie de la deuxième des neuf rangées, 
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 c9estâdire de la rangée qui correspond à la touche numérique 2, occupe sa position active en regard de la première barre d9actionnement de droite,   (Figo   3).

   Dans la rangée extrême antérieure des butées 8b (à la gauche de la. Figo   5),   les butées faisant face à la troisième et à la première barre 
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 d9actionnenent Z40 depuis la droite, Figo 3, occupent leurs positions ac- tiveso Toutes les autres buttas occupent leurs positions de repos, c'est- à-dire, leur rainure de guidage intérieure 14 (Figo 13) est engagée sur les nervures de guidage   20,   24 ou 26 (Figo 11), à 1?exception des butées si- tuées dans 1?intervalle entre les nervures 24 et 20, lesquelles butées peu- 
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 vent occuper n?importe quelle position sans qu9il en résulte une perturba- tion dans le fonctionnement de la   machinée   Toutes les butées ainsi amenées à la position active sont engagées sur la nervure de guidage élastique 26. 



    Lorsqu)il   s'agit de rectifier le montant inscrit sur les touches, on abais- se la touche de rectification 50   (Figo   4 et 18). La broche 210 de cette touche fait pivoter le bras 206 vers la gauche, fait tourner l'arbre 188 et, à   1?aide   du bras 186 et de la barre coulissante 178   (Figo     4)   et du bras 200   (Figo     6) ,   soulève la plaque   146   dans laquelle sont guidées les 
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 barres d9aetîonnement.

   Les extrémités 142, formant éléments d'appui, des barres   d'actionnement     (Figo   5), pénètrent dans la gorge 212, de sorte que la plaque 146 peut être soulevée contre les bords supérieurs des ouvertures 6 pratiquées dans les cadres et ramener à la position de repos toutes les butées 8 qui avaient été amenées à la position active, la nervure de gui- dage élastique 26 étant alors refoulée par les surfaces en pente des rai- nures extérieures 15 des butées. Le montant correct peut désormais être inscrit de la façon décrite plus haut. 



   Comme il s9agit d'effectuer une addition, aucune des touches de commande 51,52 ou 53 ne sera   abaissée.   



   Pour effectuer une opération d'addition, on fait pivoter le 
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 levier d9actionnement 120 vers le bas en 1?abaissant à l'aide de la paume de la main avec laquelle le montant a été inscrit sur les toucheso Le ga- let 118 (Figo 2) atteint le premier la surface profilée 125 (Fig. 1) pré- 
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 vue sur la branche de gauche du levier d9actionnement 120 en forme de U, ce qui permet au bras 108 de se déplacer dans le sens des aiguilles d'une montre, déplaçant ainsi la glissière 38 d'une certaine distance vers l'a- 
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 vant, cela préalablement à l9tablisseent du contact entre le galet 110 et la surface profilée 124 prévue sur la branche de droite du levier d'ac- tionnement 120, ce dernier contact permettant un déplacement de la   crémail-   
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 lère 35 vers 19avant.

   Ces déplacements s9effectuent sous Inaction de res- sorts 128 agissant respectivement sur les bras 108 et 106. 



   Les opérations suivantes ont lieu au cours de cette partie initiale du déplacement de la glissière 38, et avant que la crémaillère 35 n'amorce sa course vers   1-lavant.-   
Les bossages ou taquets 168 de la glissière 38 (Fig. 5) pas- sont au-delà de la plaque 166, laquelle se déplace vers le bas sous Inaction des ressorts 172, ce qui a pour effet que les cliquets de verrouillage 152, 
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 qui nI> oIt pas été retenus dans leur position inactive, représentée dans la Fig. 5, par une butée 8b mise en position simultanément avec les butées qui ont été amenées à la position active dans les rangées correspondant aux 
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 touches numériques 1  à Di9 peuvent pivoter à 19encontre des aiguilles   d'une   montre, comme indiqué dans la Fig. 5. 



   Dans l'exemple représenté ci-dessus,dans lequel on a inscrit 

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 le nombre "102", les cliquets de verrouillage 152, qui font face à la pre- mi ère et à la troisième barre d'actionnement   140,   en partant de la droite de la Fig. 3 sont retenus dans la position de repos, tandis que tous les autres cliquets de verrouillage 152 ont été amenés à pivoter de façon à s'engager derrière la butée de verrouillage 150 prévue sur la face inférieu- re des barres d'actionnement correspondantes. 



   Le mentonnet 216 solidaire de la glissière 38 se déplace éga- lement au-delà de l'organe   214   en forme de volet prévu à l'extrémité infé- rieure de la barre coulissante 178 et fait pivoter cet organe vers l'avant, sans actionner la barre coulissante. Dans le mécanisme de commande (Fig.14, 15 et   16),   le côté en pente 278 de   l'évidement   276 pousse le galet 274 vers le haut, ce qui a pour effet de tourner l'arbre 248 dans le sens des aiguil- les d'une montre, en considérant les Figs.   14   et 15, par l'intermédiaire de la barre 268.

   De ce fait, les manchons ou colliers 258 sont libérés par leurs chevilles respectives 250,252 et 254, de façon à pouvoir tourner avec l'arbre   248;   toutefois, seul le manchon 258, proche de l'extrémité de droi- te de cet arbre, peut tourner solidairement avec celui-ci, grâce au fait que sa butée 280 pénètre dans l'encoche 244 de l'aile 243 de la glissière de commande 240, tandis que les dame autres manchons sont maintenus dans leurs positions initiales par leffait que leurs butées 280 reposent sur le bord supérieur de l'aile   243,   en dehors des encoches correspondantes 245 et   246.   Ainsi, la palette 260, solidaire   du-manohon   258 qui peut tourner librement sous l'action du ressort 264, exerce sur la tige correspondante 298 une pression vers le bas,

   de sorte qup l'extrémité inférieure de celui- ci vient s'engager dans l'extrémité antérieure de la gorge 310 prévue dars la glissière 38 et représentée dans la Fig. 17. Les deux autres tiges 299 et 300 sont maintenues dans leur position supérieure par le fait que les palettes 260 des manchons 258 correspondants sont retenues dans leur posi- tion initiale par leurs butées 280. La tige 298 est ensuite guidée par la partie rectiligne de la gorge 310, jusqu'à un point   où   cette tige se trouve en alignement transversal avec les points où les tronçons longitu- dinaux 316 et 326 des gorges 310 et 320 rencontrent les tronçons obliques 318 et 328 de ces gorges.

   Aussi longtemps que la tige 298 se déplace dans la partie rectiligne 312 de la gorge 310, la glissière d'accouplement 282 demeure dans la position initiale de repos, maintenant ainsi la glissière verticale 294,,qui supporte le totalisateur, dans sa position supérieure, de telle façon que les pignons 132 du, totalisateur sont mainteneus hors de prise avec les parties   149,   formant crémaillères, des barres d'actionnement 140. 



   A ce moment de la course de la glissière 38, le galet 110 du mécanisme   d'entraînement   (Figs. 1 et 2) atteint la surface profilée 124 et la crémaillère 35 commence à effectuer sa course vers l'avant de la maniè- re décrite, cependant que la glissière 38 continue son mouvement vers l'a- vant. Pendant la course en avant de la crémaillère 35, le pignon 138 et l'arbre 136 effectuent une révolution complète. Les pignons d'entraînement 134, actionnés élastiquement par l'arbre 136, tendent à déplacer les bar- res d9actionnement   140   vers l'arrière.

   Toutefois, les barres d'actionne- ment retenues par les cliquets de verrouillage n'effectueront aucun dépla- cement, tandis que les autres barres seront arrêtées par les butées 8 mises en position, cela après une course correspondant au chiffre inscrit dans l'ordre décimal approprié de la machine. Au cours de ce déplacement, les barres d'actionnement n'actionnent pas les pignons du totalisateur qui ne sont pas en prise avec ces barres.

   Ainsi, dans l'exemple numérique indiqué ci-dessus, seules la première et la troisième barres   d'actionnement,   en partant de la droite, sont   déplacées,   la première barre se déplaçant   jusqu'à   ce qu'elle soit arrêtée dans la seconde des neuf rangées de butées, c'est-   à-dire,   la rangée correspondant à la touche numérique "2", tandis que la troisième barre se déplace jusqu'à ce qu'elle soit arrêtée dans la   premiè-   re rangée de butées, c'est-à-dire celle qui correspond à la touche   numéri,   que "1".

   Ensuite, les barres d'actionnemment sont retenues par leurs bu- 

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 tées respectives, les pignons   dPentraÎnement   134 étant également retenus de ce fait, tandis que le pignon 138 continue sa rotation jusqu'à ce qu'il aura effectué une révolution entière, ce 'qui est rendu possible grâce à la 
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 liaison élastique entre les pignons d.9entrainement 134 et 19arbre 136. 



  Lorsque le galet 110 atteint 1"extrémité intérieure de.la sur- face profilée 124, c9est-à-dîre après que la crémaillère 35 a effectué sa course en avant la glissière 38 a atteint unt:\1 position dans laquelle la tige 298 se situe dans le tronçon 312 de la gorge 310 (Fig. 17), dans un ali- gnement transversal avec les points où les tronçons longitudinaux 316 et 326 des gorges rencontrent respectivement les tronçons postérieurs obliques   314   et   324.   La crémaillère ne se déplace pas pendant la partie restante de la course en avant de la glissière 38.

   Lors de cette dernière partie de la course en avant de la glissière, la tige 298 glisse dans le trongon postérieur extrême de la partie rectiligne 312 de la gorge 310 et, à la fin de ladite course,   s?engage   dans la partie d'extrémité, plus profonde, du tronçon oblique 314 de cette gorge. Toujours pendant cette dernière partie de la course en avant de la glissière 38, le bossage 384 en forme dq came (Figo 1) soulève, le galet 386 et, à   19 aide   des bras 388 et 390 et de la ti- 
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 ge 394, fait tourner le cylindre d'impression 356, de façon à amener la partie de la bande, située dans la position de lecture en dehors du couver- cle 2, à la position d'impression, laquelle correspond à la génératrice 
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 inférieure extrême du cylindre.

   Ensuite, le bord de butée 382 de la glis- sière rencontre les bords curvilignes 380 des bras 372 et 376 et presse les caractères 365 des barres à types 364, situés à   l'amplomb   inférieur de 1'axe du cylindre 356, contre la bande de papier, de façon à imprimer les signes correspondant au nombre inscrit sur les touches numériques, et donc aussi au déplacement des barres d'actionnement dans les différents ordres décimaux de la machineo 
Lorsque le levier   d'actionnement   120 est libéré et rappelé par détente à sa position de repos initiale sous l'action du ressort   127, .   la glissière 38 amorce sa course de retour vers 1'arrière,   la   disposition étant telle que, après que cette glissière a parcouru une-partie de sa course vers   1?arrière,

     la crémaillère 35 amorce sa course de rappel vers 
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 1'arrièreo Au cours de cette première partiede la course vers l'arrière de la glissière 38, la tige 298, qui est à ce moment engagée dans la par- tie 314 de la gorge 310, se déplace vers la   gauche'de   sorte que la barre coulissante 282 se déplace également vers la gauche et, par l'intermédiaire des chevilles   290,   repousse vers le bas la glissière verticale 294 qui sup- porte les pignons 132 du totalisateur, mettant ainsi ces pignons en prise avec les parties 149, formant crémaillères,des barres d'actionnement 140. 



  Au cours de cette première partie de la course vers l'arrière de la glis- 
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 sière 38, les organes d'impression sont également ramenés. à leur position initiale et le cylindre   d'impression   est entraîné en rotation de façon à amener le nombre imprimé sur la face inférieure de ce cylindre dans le 
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 champ visuel de 1"opérateuro 
Lorsque, après cette première partie de la course En arrière de la glissière 38, la crémaillère 35 commence sa course vers l'arrière, le pignon 138 et l'arbre 136 sont amenés à tourner à l'encontre des aiguil- 
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 les d'une montre (en considérant la Figo 1) et, après que-19arbre 136 aura tourné jusqu'à la position voulue, dans laquelle les pignons   d9entrane-   ment ont été arrêtés pendant la course en avant de la crémaillère 35, ces 
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 pignons d9entrs,

  nement sont entraînés en rotation à rencontre des aiguil- les d9une montre, jusqu9à ce quflils occupent à nouveau leurs positions ini- tlales, ce qui a pour effet de ramener les barres d9aetîonnêment à leur position initiale ou de reposo 'Lors de ces déplacements des pignons   d'en-     traînement   134, les pignons du totalisateur.. qui sont désormais en contact 
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 avec les parties 149, formant àrêmaîllères, des barres daotionnment.140, sont amenés à tourner én fonction du déplacement des barres d'actionne.:ment, de sorte que le nombre inscrit initialement sur les touches numériques est enregistré dans le   sens   positif dans le totalisateur. 

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   Après que la crémaillère 35 a effectué sa course de retour vers   l'arrière,   la tige 298 est ramenée vers la droite par le tronçon obli- que 318 de la gorge 310. De ce fait, la barre coulissante 282 est égale- ment ramenée vers sa position de repos,   cest-à-dire   vers la droite, tandis que la glissière verticale 294 est ramenée à sa position de repos supérieu- re par l'intermédiaire des chevilles 290 et des'fentes 292, mettant ainsi les pignons 132 du totalisateur hors de prise avec les barres d'actionnement 140.

   Ensuite, lorsque la tige 298   si/est   engagée dans la portion de plus grande profondeur de la partie rectiligne 312 de la gorge 310, le galet   274   descend le long de la pente 278 de   19 évidement   276 pratiqué dans la glissiè- re 38 (Fige 14) et ramène 1'arbre   248   à sa position initiale, de sorte que la tige 298 se trouve dégagée de la gorge 310, pour revenir à sa position initiale de repos.

   Au cours de cette dernière partie de la course vers l'ar- rière de la glissière 38, le mantonnet 216 (Fig. 5), prévu sur cette glis- sière, atteint 111 élément   214   en forme de volet, lequel ne peut pas pivoter vers l'arrière et, par conséquent, ce dernier organe est amené à soulever l'extrémité antérieure de la plaque de guidage   146,   ainsi que, par l'inter- médiaire du bras 186, de   l'arbre   188 et du bras 200, l'extrémité postérieu- re de cette plaque. De ce, fait, les tutées amenées dans   uneposition   acti- ve au début de l'opération d'addition sont ramenées à leur position supé- rieure, le mécanisme d'inscription étant ainsi vidé.

   Dans la dernière par- tie de la course vers l'arrière de la glissière   38,   les taquets 168 prévus sur celle-ci agissent sur la plaque de guidage 146, en vue de soulever cel- le-ci, faisant ainsi basculer tous les cliquets de verrouillage 152, de façon à les amener à la position inactive, représentée dans la Fig.   5.   



   A ce moment, tous les organes se trouvent ramenés à leur posi- tion initiale ou de repos, à l'exception des pignons du totalisateur, les- quels ont été tournés d'une quantité correspondant   à   l'enregistrement, dans le sens de 1'addition, du montant inscrit sur les touches numériques au début de 1-'opération d'additiono 
SOUSTRACTION ET TOTALISATION. 



   Pour effeqtuer la soustraction, on inscrit le'nombre à déduire sur les touches numériques de la manière décrite à propos de l'opération d'addition. Après avoir inscrit le nombre sur les touches 47, on abaisse la touche de soustraction 51. Ceci a pour effet d'abaisser la cheville 224 solidaire de l'arbre 220 (Fig. 3), cette cheville faisant tourner l'arbre 220 d'un angle correspondant environ à la moitié de la distance entre la tête de la touche 51 et le clavier. Cette rotation de l'arbre 220 est transmise par le bras 226 (Fig. 6), la barre 228 et le levier 230 à la glis- sière de commande   240   (Fig. 16) , de manière à déplacer cette glissière vers la droite, de telle façon que l'encoche 245, qui fait face à la butée 280 solidaire du manchon 258, vienne se situer à peu près en regard du   milieu   de l'arbre 248.

   Ceci a pour effet d'éloigner l'encoche 244 de la butée so-   lidaire   du manchon de droite 258. La touche de soustraction 51, ou n'im- porte que autre organe faisant partie de la   transmission   entre cette touche et la glissière de commande 240, est maintenue dans cette position par des moyens de n'importe quel type (non représentés), qui maintiennent la glissière   140   dans la position qui lui a été imprimée, cela au moins jus- qu'à   l'amorçage   de l'opération de soustraction, cette glissière étant libé- rée ensuite par un système approprié quelconque ou manuellement. 



   Lorsque, à ce moment, on abaisse le levier d'actionnement 120, toutes les fonctions décrites précédemment à propos de l'opération   d'addi-   tion se répètent, sauf que   s'est   la tige 299   (Figo   17) et non la tige 298 qui s'abaisse de façon à être guidée par la gorge 320. Ainsi, lors de la course en avant la glissière 299 glisse dans le tronçon oblique 328 de la gorge 320, en déplaçant la glissière d'accouplement 282 au début de la course en avant et en mettant ainsi les pignons du totalisateur en prise avec les crémaillères d'actionnement   149,   avant que ces dernières ne com- 

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 mencent à se déplacer vers l'arrière.

   A la fin de la course en avant de la glissière 38, lorsque le pignon 299 a atteint le point postérieur extrême de la gorge 320, les pignons du totalisateur sont à nouveau hors de prise avec les crémaillères d'actionnement et demeurent dans cette position pendant la course de retour, vers l'arrière, de la glissière 38, course pendant la- quelle la tige 299 glisse dans la partie rectiligne 322 de la gorge 320. 



   Ainsi, le nombre inscrit sur les touches numériques a été enregistré dans le totalisateur dans un sens opposé à celui dans lequel le nombre à addi- tionner a été enregistré pendant   1?opération   d'addition. 



   Pour la totalisation, on abaisse la touche des totaux 52. Com- me cette clé actionne une cheville qui occupe sur l'arbre 220 (Figo 3) la même position angulaire que la cheville 224 affectée à la touche de sous- traction 51, ou bien, cette dernière cheville est placée entre les touches 
51 et 52 et   s9étend   sous les têtes de ces deux touches, le mécanisme de commande est actionné de la même manière que pour la soustraction.

   Toute- fois,la touche 52 est reliée à des organes non représentés et destinés à maintenir tous les cliquets de verrouillage 152 dans la position inactive, par exemple, en verrouillant la plaque 166 dans sa position supérieure ou en élevant la plaque de guidage 146 d'une faible distance, suffisante pour soulever les butées de verrouillage 150 de façon   quils   soient hors   dattein-   te des cliquets de verrouillage 52, mais insuffisante pour que les extrémi- tés   142,   formant éléments   'dappui,   des barres 148, puissent s'engager   dais   la gorge 212. La touche 52 actionne en outre des moyens non représentés, mais généralement connus, destinés à empêcher les pignons du totalisateur retourner au-delà de leur position "0".

   Lorsque le levier   d'actionnement   120 est à ce moment manoeuvré sans qu'aucun nombre soit inscrit sur les touches numériquestoutes les barres d'actionnement peuvent se déplacer librement vers l'arrière, jusqu'à leur engrènement avec les pignons du to- talisateur et sont arrêtées par ces pignons lorsque ceux-ci atteignent leurs positions de "zéro" respectiveso Ainsi, chaque barre   q'actionnement   a été déplacée   dune   distance correspondant au nombre   contenu,dans   l'ordre décimal considéré du totalisateur, ce nombre étant imprimé   4'la   fin de la course en avant de la glissière.

   Les pignons 132 du totalisateur ne se dé- placent pas pendant la course de retour, mais demeurent dans leur position "zéro" tandis que les barres   d9actionnement   du totalisateur sont rappelées de la manière décrite ci-dessuso 
Pour obtenir un sous-total, on abaisse la touche des sous-to-   taux 53. Cette clé fait tourner 1?arbre 220 (Fig. 3) ppr 1?intermédiaire de la cheville 222, jeun angle correspondant à la totalité de la distance   entre la tête de la touche et le clavier   43,   de sorte que la glissière de commande   240   se déplace vers la droite, de telle façon que son encoche de gauche 246 vient se placer en regard de la butée 280 solidaire du manchon 258 de gauche, de sorte que seule la tige 300 coopère désormais avec la gorge correspondante 330.

   Lors de la course en avant et en arrière de la glissière 38, la glissière d9accouplement 282 se déplace de telle façon qu'elle se dirige vers la gauche au début de la course en avant et ne re- tourne vers la droite qu'à la fin de la course en arrière de la glissière 38. Ainsi, les pignons du totalisateur seront maintenus en prise avec les barres   d9actionnement   tant pendant la course en avant que pendant la cour- se en arrière de la crémaillère 35. La touche des sous-totaux actionne les mêmes organes de la touche des totaux 52, de façon à maintenir les cliquets de verrouillage 152 hors d'effet et d9arrêter les pignons 132 du totalisateur dans la position "zéro".

   Ainsi,lors d'une opération de   sous-totalisation, le nombre accumulé dans le totalisateur sera extrait par les barres d9actionnement pendant leur course en arrière, sera impri-   mé à la fin de cette dernière course vers   19 arrière..   laquelle correspond à la course en avant de la glissière 38, et sera   ensui tei enregistrée   à nouveau dans les pignons du totalisateur pendant la course de retour de la crémaillère 35 et de la glissière 38. A la fin de cette dernière course, tous les organes se trouvent ramenés à leur position de repos, cependant que les pignons du totalisateur viennent occuper les mêmes positions qu'avant 

 <Desc/Clms Page number 20> 

 l'opération de sous-totalisation. 



   REVENDICATIONS. 



   1. Machine à calculer du type à clavier réduit, comportant des organes de butée disposés en un certain nombre de rangées, correspondant - au nombre d'unités du   systèmerde   numération pour lequel la machine est pré- vue,ces organes de butée étant appelés à être amenés individuellement dans une position active par des touches numériques prévues sur ce clavier, la disposition étant en outre telle que, chaque fois qu'un organe de butée est amené dans sa position active, il est déplacé d'un cran pour être amené dans l'ordre décimal supérieur de la machine, ce déplacement s'effectuant   tram -   versalement par rapport au sens du déplacement d'organes d'actionnement qui exécutent une course d'aller et de retour,

   caractérisée en ce que   lesdis   organes de butée de chacune desdites rangées sont guidés, en vue de leur déplacement pas à pas, dans des guidages fixes, en contact direct les uns avec   es   autres, les organes de butée situés dans une partie limitée de cha- cun de ces guidages étant appelés à coopérer avec des organes d'entraînement de façon à etre amenés par ceux-ci pas à pas vers un ordre décimal supérieur, tandis que les organes de butée situés en dehors de cette partie limitée sont déplacés le long de ces guidages par la pression exercée sur lesdits organes par les organes de butée soumis à l'action desdits organes d'en-   traînement.  

Claims (1)

  1. 2. Machine à calculer selon la revendication 1, caractérisée en ce que les organes de butée situés dans laoite partie limitée de chacun desdits guidages coopèrent avec des moyens d'entraînement communs,en vue du déplacement synchronisé des organes de butée le long de ces guidages.
    3. Machine à calculer selon la revendication 1 ou 2, caracté- risée en ce que les butéps situées dans la partie limitée de chacun desdits guidages, sont soumises à l'action d'une roue dentée, montée sur un arbre commun s'étendant transversalement par rapport aux guidages ét en liaison cinématique avec les touches numériques, en vue du déplacement de tous les organes de butée d'un pas vers un ordre décimal plus élevé chaque fois qu'un organe de butée est amené dans une position active.
    4. Machine à calculer selon la revendication 3, caractérisée en ce que l'arbre commun est commandé par un mécanisme à cliquets enclenché ou déclenché, à chaque abaissement d'une touche numérique, par un organe actionné en cpmmun par l'abaissement des touches numériques.
    5. Machine à calculer selon la revendication 1, caractérisée en ce que les organes de butée situés dans ladite partie limitée des guida- ges sont actionnés directement par des cliquets commandés par un mécanisme d'entraînement commun, enclenché ou déclenché à chaque abaissement d'une touche numérique.
    6. Machine à calculer selon une quelconque des revendications 1 à 5, caractérisée En ce que les guidages pour les organes de butée sont curvilignes ou plies et présentent un secteur d'intervention dans lequel ces organes de butée peuvent coopérer avec les organes d'actionnement, les autres parties, inopérantes, de ces guidages étant placées au-dessus ou au-dessous dudit secteur d'intervention.
    7. Machine à calculer selon la revendication 6, caractérisée en ce que les guidages pour les organes de butée sont curvilignes ou plies, de façon à former des guidages fermés sans fin, ces organes de butée; étant prévus pour se déplacer pas à pas le long de ces guidages, en un circuit fermé.
    8. Machine à calculer selon la revendication 6 ou 7, caracté- risée en ce que les guidages pour les organes de butée présentent au @oins une partie droite, qui forme le secteur d'intervention de ces guidages. <Desc/Clms Page number 21>
    9 Machine à calculer selon la revendication 8, caractérisée en ce que les guidages pour les organes de butée présentent deux parties pa- rallèles rectilignes, reliées à leurs extrémités par des parties en arc de cercle.
    10 - Machine à calculer selon la revendication 3 ou 9, caracté- risée en ce que les organes de butée dans au moins une des parties en arc de cercle des guidages coopèrent avec des roues dentées montées sur un aibre passant par les centres géométriques desdites parties en arc de cercle.
    11 - Machine à calculer selon une quelconque des revendications précédentescaractérisé en ce que les organes de butée sont munis de deux moyens de guidage différents appelés à coopérer sélectivement avec des moyens de guidage dans chacun desdits guidages, de telle manière que chaque organe de butée puisse être déplacé le long dudit guidage en occupant soit une po- sition inactive, soit une position active, la disposition étant telle que, dans chacune de ces positions,un des moyens de guidage des organes de bu- tée coopère avec les moyens de guidage prévus dans lesdits guidages.
    12 - Machine à calculer selon la revendication 11, caractérisée en ce que chacun des organes de butée est muni de deux rainures de guidage qui coopèrent sélectivement avec une nervure de guidage solidaire dudit gui- dage, cette nervure de guidage présentant une solution de continuité à l'en- droit du guidage où les organes de butée sont déplacés de leur position inac- tive vers leur position active; cette nervure de guidage étant élastique dans le secteur d'intervention du guidage, secteur dans lequel les organes de butée sont à même de coopérer avec les organes d'actionnement, lorsque ces organes de butée occupent la position active;
    la disposition étant tel- le que la rainure de guidage, prévue dans 1'organe de butée qui coopère avec la nervure du guidage lorsque cet organe de butée occupe la position active, est inclinée en direction de 1?autre rainure de guidage, de telle sorte que les organes de butée amenés à la position active et situés dans le secteur d'intervention du guidage peuvent être refoulés vers leur posi- tion inactive à l'intérieur du guidage.
    13 - Machine à calculer selon la revendication 12, caractéri- sée en ce que la partie élastique de la nervure de guidage est formée, dans le secteur d'intervention de chacun des guidages, par le bord plié d'une lame dacier à ressorts fixée au guidage par ses extrémités qui s'étendent au-delà dudit bord de guidage.
    14 - Machine à calculer selon la revendication 13, caracté- risée en ce quune extrémité de la lame d'acier à ressort, dont est soli- daire la partie élastique de la nervure de guidage, enjambe la solution de continuité de la nervure de guidage et est formée de façon à exercer une pression élastique sur les organes de butée situés dans cette solution de continuité, de façon à permettre le déplacement de ces organes jusqu'à la position active, tout en les empêchant par friction de venir occuper d'eux-mêmes cette position lorsqu'ils ne sont pas actionnés.
    15 - Machines à calculer selon une quelconque des revendica- tions 7 à 14, caractérisée en ce que les guidages pour les organes de butée sont formés par des gorges pratiquées dans les parties marginales des ou- vertures intérieures des cadres, les organes d'actionnement étant guidés à déplacement dans les deux sens à travers ces ouvertures desdits cadres.
    16 - Machine à calculer selon la revendication 15, caractéri- sée en ce que les cadres sont assemblés de façon à former un bloc rigide, les gorges pour les organes de butée étant formées entre la partie margi- nale d'un cadre et la partie marginale d'un cadre adjacent, les organes d'actionnement étant guidés à déplacement dans les deux sens à travers le couloir formé par les ouvertures des cadres dans ledit bloc de cadres.
    17 - Machine à calculer selon la revendication 15 ou 16, ca- ractérisée en ce que les organes d'actionnement sont! formés par des barres <Desc/Clms Page number 22> dont une extrémité, qui s'étend dans ledit couloir formé par les ouvertures des cadres,est munie d'un élément d'appui destiné à coopérer avec les orga- nes de butée amenés à la position active dans l'ordre décimal correspondant à chacune de ces barres d'actionnement.
    18.- Machine à calculer selon une quelconque des revendications 12 à 17, caractérisée en ce qu'un organe de poussée est monté sur l'organe (cadre) dont est solidaire ledit guidage, en regard de l'endroit de ce gui- dage où les organes de butée de chaque guidage se déplacent de la position inactive à la position active, ces organes de poussée étant reliés chagun cinétiquement à une barre transversale pouvant pivoter autour de ses extré- mités formant manivelle, chacune de ces barres étant reliée directement à la touche numérique correspondante.
    19 - Machine à calculer selon la revendication 18, dans laquel- le les guidages sont constitués par des gorges pratiquées dans les parties marginales des ouvertures des cadres assemblés en un bloc de cadres, carac- térisée en ce qu'une plaque formant le clavier qui supporte les touches nu- mériques est montée sur le bloc de cadres, ce dernier étant muni dans sa partie supérieure d'un évidement destiné à recevoir les barres transversa- les et les organes de poussée en vue du déplacement des organes de butée de la position inactive à la position active.
    20 - Machine à calculer selon les revendications 16 à 19, ca- ractérisée en ce que le secteur d'intervention des guidages est formé par le bord supérieur rectiligne des gorges de guidage prévues dans les cadres; en ce que les organes de butée qui, en considérant le sens du déplacement de ces organes dans lesdites gorges, sont disposées dans la partie arquée des gorges de guidage située en amont dudit secteur d'intervention de ces gorges, sont soumis à l'action desdits organes d'entraînement; et, en ce que l'endroit des gorges de guidage, où la nervure de guidage présente une solution de continuité afin de permettre le déplacement des organes de bu- tée de la position inactive à la position active, se situe entre le secteur d'entraînement arqué et le secteur d'intervention rectiligne des gorges de guidage.
    21 - Machine calculer selon une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en;ce qu'une plaque, qui s'étend devant tous les secteurs d'intervention des guidages pour les organes de butée, est montée à déplacement transversal en direction desdits secteurs d'intervention, pour déterminer le retour à la position inactive de tous les organes de bu- tée qui occupent la position active dans le secteur d'intervention.
    22 - Machine à calculer selon une quelconque des revendica- tions 16 à 20 et 21, caractérisée en ce que ladite plaque présente un cer- tain nombre d'éléments de guidage, de fentes par exemple, qui s'étendent parallèlement aux barres d'actionnement et à la direction du mouvement dans les deux sens de celle-ci et qui servent à guider les extrémités des barres d'actionnement où ces dernières sont munies d'organes d'appui destinés à coopérer avec des organes de butée amenés dans la position active.
    23 - Machine à calculer selon la revendication 22, caractéri- sée en ce que les organes d'actionnement sont formés en bandes d'acier dont une extrémité, qui s'étend dans le couloir formé par les ouvertures prévus s dans les cadres, est pliée en direction des secteurs d'intervention des gorges de guidage pour les organes de butée, pour former un élément d'appui destiné à coopérer avec les organes de butée amenés à la position active, cette extrémité pliée comportant en outre d'autres moyens de guidage qui s'engagent sur les bords d'évidements prévus dans la plaque appelée à être déplacée en direction desdits secteurs d'intervention en vue de ramener à la position inactive les organes de butée qui s'y trouvent,
    lesdits moyens de guidage prévus sur lesdites extrémités pliées des barres d'actionnement étant établis de façon à permettre un léger pivotement des barres d'acticn- nement autour desdites extrémités formant éléments d'appui. <Desc/Clms Page number 23>
    24 - Machine à calculer selon la revendication 23, caractérisée en ce que les extrémités des barres d'actionnement, opposées aux extrémités . formant éléments d9appui de ces barres et coopérant avec les organes de bu- tée amenés à la position active, sont munies d9une rangée de caractères d'im- primerie et sont prévues pour être pressées contre une platine d9impression par un mécanisme d'impression actionné après que les barres d'actionnement ont été amenées dans leurs positions dans lesquelles leurs extrémités formant éléments d9appui rencontrent les éléments de butée amenés à la position ac- tive.
    25 - Machine à calculer selon la revendication 24, dans laquelle les extrémités des barres d9actionnement, munies de caractères d'imprimerie, s'étendent au-dessous d'une platine d'impression cylindrique et impriment sur une bande de papier passant sur la face inférieure de cette platine, cet- te dernière étant prévue pour tourner, avant 19impression, depuis une posi- tion dans laquelle 1?endroit de la bande de papier qui est destinée à rece- voir 19impression, est exposé à la vue de l'opérateur, jusqu'à une position située à la face inférieure de la platine, et pour retourner, après l'impres- sion, à une position dans laquelle ledit endroit est exposé à la vue de l'opé- rateuro 26 - Machine à calculer selon les revendications 23 à 25, carac- térisée en ce que les barres d'actionnement présentent,
    entre leurs extré- mités,une partie intermédiaire ondulée en courbes sinusoïdales et formant une crémaillère dont une face est actionnée par des pignons d'entralnement montés élastiquement sur un arbre, de façon que ces crémaillères soient En- traînées d'abord dans une direction et ensuite dans la direction opposée pendant une opération de calcul, l'autre face de ces crémaillères étant ap- pelée à coopérer avec les pignons de totalisation d'un ou de plusieurs tota- lisateurs mobiles de façon à être misen et hors de prise avec lesdites crémaillères.
    27 - Machine à calculer selon la revendication 26, caractéri- sée en ce que 1?arbre des pignons d'entraînement est prévu pour être action- né par des organes d'entrainement commandés au moyen d'un levier ou d'une touche placée à 1'avant du clavier, de préférence symétriquement par rapport aux barres d'actionnement.
    En annexe 9 dessins.
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