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CH330883A - Machine comptable - Google Patents

Machine comptable

Info

Publication number
CH330883A
CH330883A CH330883DA CH330883A CH 330883 A CH330883 A CH 330883A CH 330883D A CH330883D A CH 330883DA CH 330883 A CH330883 A CH 330883A
Authority
CH
Switzerland
Prior art keywords
arm
printing
stud
shaft
cam
Prior art date
Application number
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English (en)
Original Assignee
Ncr Co
Priority date (The priority date is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the date listed.)
Filing date
Publication date
Application filed by Ncr Co filed Critical Ncr Co
Publication of CH330883A publication Critical patent/CH330883A/fr

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Classifications

    • GPHYSICS
    • G06COMPUTING; CALCULATING OR COUNTING
    • G06CDIGITAL COMPUTERS IN WHICH ALL THE COMPUTATION IS EFFECTED MECHANICALLY
    • G06C11/00Output mechanisms
    • G06C11/04Output mechanisms with printing mechanisms, e.g. for character-at-a-time or line-at-a-time printing

Landscapes

  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Physics & Mathematics (AREA)
  • Computer Hardware Design (AREA)
  • Computing Systems (AREA)
  • General Physics & Mathematics (AREA)
  • Theoretical Computer Science (AREA)
  • Accessory Devices And Overall Control Thereof (AREA)

Description


   <Desc/Clms Page number 1> 
 Machine comptable Dans les machines comptables dotées de mécanismes d'espacement individuels pour deux documents, il peut arriver qu'un des deux documents parvienne à la position correspondant à la dernière ligne d'impression avant l'autre document, ce qui est dû au fait que ce dernier n'est pas toujours présenté pour recevoir les entrées au même moment que l'autre document. 



  L'invention a pour objet une machine comptable comportant des mécanismes d'impression susceptibles d'imprimer selon plusieurs colonnes sur chacun de deux documents introduits dans la machine et, pour chacun des documents, un dispositif d'espacement de lignes, caractérisée par un dispositif de contrôle d'impression qui est sous la dépendance d'organes palpeurs prévus pour chaque document, de façon telle que lorsqu'un de ces palpeurs détecte que le document correspondant est à sa dernière ligne d'impression, le dispositif de contrôle d'impression bloque le mécanisme d'impression pour l'autre document. 



  Le dessin annexé représente, à titre d'exemple une forme d'exécution de la machine faisant l'objet de l'invention. 



  La    fig.   1 est une vue en perspective de la machine, montrant le clavier et les tables d'impression. La    fig.   2 est une vue schématique de la disposition du clavier. 



  La    fig.   3 est une vue détaillée montrant l'ossature essentielle de la machine. 



  La    fig.   4 est une    vue   du côté droit de la machine, avec certains éléments du mécanisme d'embrayage du totalisateur. 



  La    fig.   5 est une vue en élévation montrant le mécanisme    permettant   le déplacement du totalisateur addition-soustraction, ainsi que certains éléments des mécanismes    différentiels   de montants et de commande. 



  La    fig.   6 est une vue, détaillée montrant une coupe passant par une rangée de montants du totalisateur addition-soustraction. 



  La    fig.   7 est une vue en y plan montrant des éléments des deux arbres à cames de la machine et l'embrayage de commande de la machine, pour les opérations à un ou à deux cycles. 



  La    fig.   8 est une coupe montrant une rangée de touches de montants et un    différentiel   de montants. 



  La    fig.   9 est une vue détaillée du mécanisme de    réarmage   pour le mécanisme de report des dizaines. 

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 La    fig.   10 est une    vue      détaillée   des cames actionnant le    différentiel   de montants. 



  La    fig.   11 est une vue détaillée et    agrandie   d'un mécanisme d'entraînement de montants. La    fig.   12 est un tableau montrant les encoches des plaques de commande du mécanisme d'impression. 



  La    fig.   13 est une coupe selon la troisième rangée des transactions. 



  La    fig.   14 est une vue détaillée d'une    partie   du mécanisme d'entraînement pour les différentiels des transactions. 



  La    fig.   15 est une vue détaillée d'une partie du mécanisme servant à l'entraînement du mécanisme de la    fig.   14. 



  La    fig.   16 est une    vue      détaillée   d'une partie du mécanisme    différentiel   de    manoauvre   des commandes. 



  La fi-. 17 est une vue détaillée du mécanisme de commande de cycle. 



  La fi-. 18 est une vue détaillée du mécanisme d'embrayage destiné à la    mise   en marche de la machine. 



  La    fig.   19 est une vue détaillée montrant le mécanisme d'embrayage pour la mise en marche de la machine. 



  La    fig.   20 représente le schéma d'un circuit du moteur et des connexions électriques destinés au déverrouillage de la machine, après inscription d'un article sur la dernière ligne du livret, du compte, ou des deux. 



  La    fig.   21 est une vue détaillée d'une détente de verrouillage pour les touches de la première rangée des transactions, dans une position soit abaissée soit relevée. 



  La    fig.   22 est une vue détaillée d'une détente de rappel servant à déclencher en partie la machine au moyen de certaines touches de la première rangée des transactions. 



  La fia. 23 est une vue détaillée d'une détente pour déclencher la machine en enfonçant cer-    taines   touches de la première rangée des transactions. 



  La    fig.   24 est une vue d'une détente servant à déclencher la machine en enfonçant certaines touches de la seconde rangée des transactions. 



  La    fig.   25 représente une détente servant à déclencher la machine en enfonçant une touche quelconque de la troisième rangée. 



  La    fig.   26 est une vue en plan des détentes en question et du mécanisme de déclenchement représentés aux    fig.   22 à 25. 



  La    fig.   27 est une vue détaillée d'un commutateur avec son bras de fonctionnement qui actionne les dispositifs de déclenchement de la machine pour déverrouiller la machine après l'impression sur la dernière ligne du livret, du compte, ou des deux. 



  La    fig.   28 est une vue détaillée d'une barre de    commande   actionnée par une touche de la troisième rangée des transactions, servant à fermer l'interrupteur représenté à la    fig.   27. 



  La    fig.   29 est une vue détaillée d'une barre de commande actionnée par certaines touches de la première rangée, servant à fermer l'interrupteur représenté à la    fig.   27. 



  La    fig.   30 est une vue détaillée d'une barre de commande dans la troisième rangée des transactions, empêchant une pression fortuite de deux touches voisines de cette rangée. 



  La    fig.   31 est une vue détaillée d'une détente servant à maintenir une touche enfoncée dans les rangées de transactions et représente une plaque de commande spéciale placée dans la seconde rangée des transactions. 



  La    fig.   32 est une vue d'une détente de la première rangée, servant à commander le mécanisme de blocage de solde. 



  La    fig.   33 est une vue détaillée d'une détente de commande de la seconde rangée de transactions. 



  La    fig.   34 est un détail représentant la connexion nécessaire à maintenir une barre d'ac- 

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    couplement   représentée à la    fig.   40, dans sa position    normale.   



  La    fig.   35 est une vue détaillée d'une détente    d'interverrouillage,   placée dans la seconde rangée des transactions, et sous le contrôle de la détente de la première rangée, représentée à la    fig.   32. 



  La    fig.   36 est une vue détaillée d'une partie du mécanisme représenté à la    fig.   41. 



  La    fig.   37 est une vue détaillée d'une détente placée dans la seconde rangée des transactions, servant à verrouiller la touche de solde, soit dans sa position enfoncée, soit relevée. 



  La    fig.   38 est une vue détaillée d'une partie du mécanisme servant à bloquer le    déplacement   des cliquets d'arrêt à zéro dans les rangées différentielles de montants quand la touche de total a été enfoncée. 



  La    fig.   39 est une vue détaillée d'une détente souple de la seconde rangée des transactions, servant à maintenir certaines touches de commande dans leurs positions enfoncées. 



  La    fig.   40 est une vue détaillée d'une glissière de commande dans la première rangée des transactions, constituant partie d'un    inter-      verrouillage   entre les touches de total et les touches de montants. 



  La    fig.   41 est une vue détaillée du mécanisme servant à empêcher l'enclenchement de la machine par les touches de total, quand des touches de montants sont enfoncées, et permettant la commande du mécanisme d'arrêt à zéro dans les rangées de montants lorsqu'une touche de total a été enfoncée. 



  La    fig.   42 est une vue détaillée du mécanisme servant à empêcher le blocage de la machine après l'impression d'un article sur la dernière ligne d'un livret, d'un compte, ou des deux, pour permettre ainsi l'impression d'un solde ou d'un découvert sur la même ligne que celle où a été imprimé le dernier article ou pour permettre l'éjection du document. La    fig.   43 est une    vue   en plan d'un groupe de plaques de commande, destiné à la commande de l'enclenchement, des totalisateurs arrière, avec les    entraineurs.   



  La    fig.   44 est une vue détaillée de la plaque de sélection sous la commande de la troisième rangée des transactions. 



  La    fig.   45 est une vue de la plaque de sélection sous la commande de la seconde rangée. La    fig.   46 est une vue détaillée du mécanisme d'embrayage des totalisateurs de la rangée arrière et englobant la plaque de sélection placée sous la commande de la première rangée. 



  La    fig.   47 est une vue détaillée du mécanisme de commande de l'embrayage du totalisateur supérieur ou totalisateur addition-soustraction. 



  La    fig.   48 est une vue détaillée d'une plaque de commande réglée par le mécanisme différentiel de la première rangée et destinée à la commande du mécanisme de la    fig.   47. 



  La fi-. 49 est une vue détaillée d'une plaque de commande réglée par le mécanisme différentiel de la troisième rangée et destinée à la commande du mécanisme de la    fig.   47. 



  La    fig.   50 est une vue détaillée d'une plaque de commande réglée par le mécanisme différentiel de la seconde rangée et destinée à la commande du mécanisme de la    fig.   47. 



  La    fig.   51 est une vue détaillée des cames servant à basculer le mécanisme d'embrayage de la prise en total. 



  La    fig.   52 est une vue détaillée du mécanisme de commande du mouvement du trident d'embrayage en total, avec les liaisons de transmission, de l'arbre de transmission principal à l'arbre à came d'impression. 



  La    fig.   53 est une vue détaillée du mécanisme servant au fonctionnement du mécanisme d'embrayage du totalisateur pendant une addition. 



  La    fig.   54 est une vue détaillée du mécanisme destiné à commander le temps au bout duquel les palpeurs de commande de l'embrayage 

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 pour le groupe arrière de    totalisateurs   effectuent les opérations de total. 



  La    fig.   55 est une vue détaillée de la plaque de commande réglée par la première rangée de transactions, pour la commande de l'embrayage du groupe arrière de totalisateur. 



  La    fig.   56 est une vue détaillée d'une partie du mécanisme d'embrayage pour ce groupe arrière. 



  La    fig.   57 est une vue détaillée du mécanisme représenté à la    fig.   56, mais dans une position différente,    correspondant   à l'embrayage du    totalisateur.   



  La    fig.   58 est une vue détaillée du mécanisme d'embrayage en addition et en total, pour les deux    groupes   de totalisateurs. 



  La    fig.   59 est une vue détaillée d'une plaque de commande placée dans la première rangée de transactions et destinée à commander le décalage du totalisateur addition-soustraction. 



  La    fig.   60 est une vue détaillée d'une plaque de commande placée dans la seconde rangée et destinée à commander le décalage de ce totalisateur. 



  La    fig.   61 est une vue détaillée d'une plaque de commande placée dans la troisième rangée et destinée à commander ce décalage. 



  La    fig.   62 est une vue détaillée du mécanisme de commande du décalage du totalisateur addition-soustraction. 



  La    fig.   63 est une vue détaillée représentant le mécanisme destiné à faire entrer une unité   fugitive   dans l'ordre inférieur de valeurs du totalisateur   addition-soustraction  . 



  La    fig.   64 est une vue détaillée de ce mécanisme actionné par l'ordre supérieur de valeurs du totalisateur à addition et soustraction. 



  La    fig.   65 est une vue détaillée d'un dispositif de sûreté destiné à maintenir le totalisateur addition-soustraction en position convenable La    fig.   66 est une vue détaillée d'interverrouillage positionné par le mécanisme d'u-    nité   fugitive, destiné à abaisser les touches appropriées correspondant au fonctionnement en solde, sous-solde et découvert, tel que cela    s   est fixé par la position positive ou négative du totalisateur addition-soustraction. 



  Les    fig.   67A et 67B assemblées, constituent une vue en plan schématique de différentes plaques de commande destinées à commander ; les fonctions de la machine, et montrant les palpeurs qui mettent en contact certains d'entre eux dans des positions correspondant aux positions de commande. 



  Les    fig.   68A et 68B, prises ensemble, constituent une élévation des transmissions venant des différentiels des montants et des transactions, représentent les transmissions destinées à positionner les caractères servant à l'impression dans les diverses colonnes du compte, du livret et du bordereau et représentent également des parties fragmentaires de chacun des dispositifs d'enregistrement    afin   d'indiquer celui des marteaux qui imprime dans les différentes colonnes des documents. 



  Les    fig.   69A et 69B, prises ensemble, constituent une vue en plan montrant les différents    marteaux   d'impression, avec leurs mécanismes    d'actionnement,   ainsi que le mécanisme destiné à sélectionner les marteaux utilisés au cours de l'opération (les plaques de commande ont été omises en vue d'obtenir une figure plus claire). 



  La    fig.   70 est une coupe, prise selon la ligne 70 de la    fig.   69B, qui montre l'un des mécanismes de sélection et de mise en    oeuvre   des marteaux d'impression, ce qui est caractéristique de tous les mécanismes de sélection et de mise en    oeuvre   des marteaux d'impression destinés au livret et au compte. 



  La    fig.   71 est une vue détaillée des paliers de l'arbre supportant la rotule du marteau d'impression. 



  La    fig.   72 est une vue détaillée, prise selon la ligne 72 de la    fig.   69B, qui représente le support élastique de l'arbre de la rotule entraînant le marteau d'impression. 

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 La    fig.   73 est une vue détaillée de l'un des mécanismes    d'actionnement   du palpeur, avec la connexion destinée à commander le fonctionnement du marteau d'impression. 



  La    fig.   74 est une vue détaillée du mécanisme destiné au fonctionnement et au contrôle de    l'efficacité   du rouleau tendeur. 



  La    fig.   75 est une vue détaillée d'une partie du mécanisme palpeur destiné aux sections de la machine se rapportant au livret et au compte, un tel mécanisme étant prévu pour chacune des sections. 



  La    fig.   76 est une vue en plan montrant les deux mécanismes de commande du rouleau tendeur, l'un d'entre eux étant destiné au livret et l'autre au compte. 



  La    fig.   77 est une vue détaillée montrant l'un des mécanismes destinés à faire entrer et à éjecter le livret et le compte, avec une plaque de commande pour le contrôle de    l'efficacité   de ces mécanismes. 



  La    fig.   78 est une vue en plan montrant la position des rouleaux d'alimentation et de tension; on prévoit un tel élément pour la section correspondant au livret et un autre pour la section correspondant au compte. 



  La    fig.   79 est une vue détaillée d'une partie du mécanisme destiné au contrôle de    l'efficacité   de la biellette de commande de l'alimentation. 



  La    fig.   80 est une vue détaillée du mécanisme destiné au contrôle de    l'efficacité   des cliquets d'entrée du livret et du compte, avec le disque de commande servant à déterminer    l'efficacité   du mécanisme. 



  La    fig.   81 est une vue détaillée d'une partie du mécanisme de la    fig.   80. 



  La    fig.   82 est une vue détaillée d'une partie du mécanisme de la    fig.   80, et représentant les pièces dans la position qu'elles occupent à la fin du fonctionnement d'alimentation. 



  La    fig.   83 est une vue détaillée d'une partie du mécanisme destiné au contrôle de    l'efficacité   du mécanisme d'alimentation représenté à la    fig.   77. La    fig.   84 est une autre vue détaillée du mécanisme représenté à la    fig.   82, qui figure le mécanisme avec le cliquet de retenue, dans sa position    efficace.   



  La    fig.   85 est une vue en plan montrant les mécanismes d'entrée du livret et du compte, avec les différentes    commandes   destinées au contrôle de leur    efficacité.   



  La    fig.   86 est une vue éclatée du mécanisme de la    fig.   87. 



  La    fig.   87 est une vue détaillée du mécanisme palpeur coopérant avec le livret pour bloquer le    mécanisme   de déclenchement, après que la dernière ligne a été sélectionnée pour recevoir une écriture. 



  La    fig.   88 est une partie du mécanisme de la    fig.   87 qui figure une liaison entre ce mécanisme et un mécanisme de transmission, destiné à commander le mécanisme d'impression et d'éjection lorsque la dernière ligne a été imprimée. 



  La    fig.   89 est une vue détaillée d'une partie du mécanisme des    fig.   86 et 88. 



  La    fig.   90 est une vue détaillée d'une partie du mécanisme des    fig.   86 et 87. 



  La    fig.   91 est une vue détaillée d'une partie du mécanisme de transmission et d'une fraction des dispositifs de    fonctionnement   de celui-ci, dispositifs actionnés afin de déterminer la position du mécanisme de transmission lorsque la dernière ligne du compte a été imprimée. 



  La    fig.   92 est une vue détaillée du mécanisme opératoire destiné à la ligne de transmission, pour    effectuer   les commandes du mécanisme d'impression et d'éjection lorsque la dernière ligne du compte a été imprimée. 



  La    fig.   93 est une vue détaillée d'un autre élément de la ligne de transmission destiné. à la commande du mécanisme d'impression quand la dernière ligne du compte a été imprimée. 



  La    fig.   94 est une vue détaillée d'une partie du mécanisme de transmission destiné à la 

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    commande   des mécanismes d'impression et d'éjection lorsque la dernière ligne du livret a été    imprimée.   



  La    fig.   95 est une vue détaillée d'un autre élément de la ligne de transmission destiné à la commande des mécanismes d'impression et d'éjection lorsque la dernière ligne du    livret   a été imprimée. 



  La    fig.   96 est une vue détaillée d'un autre élément du mécanisme de transmission destiné à la commande du mécanisme d'impression lorsque la dernière ligne du livret a été imprimée. 



  La fi-. 97 est une vue détaillée de la plaque de commande et du palpeur annexe, pour la commande du mécanisme d'impression lorsque la dernière    ligne   du compte a été imprimée. 



  La    fig.   98 est une vue détaillée d'un autre élément de la ligne de transmission destiné à la commande du mécanisme d'impression lorsque la dernière ligne du livret a été imprimée. 



  La    fig.   99 est une vue détaillée d'une partie du mécanisme de transmission destiné à la commande du mécanisme d'impression lorsque la dernière ligne du livret a été imprimée. 



  La    fig.   100 est une vue détaillée de l'élément de commande, avec le palpeur correspondant, destiné à la commande du mécanisme d'impression lorsque la dernière ligne du livret a été imprimée. 



  La    fig.   101 est une vue en plan du mécanisme destiné à bloquer le mécanisme de déclenchement lorsque la dernière ligne du livret a été imprimée, avec le mécanisme destiné à débloquer le mécanisme de déclenchement afin de permettre l'impression d'un solde ou d'un découvert sur la même ligne où figure le dernier article imprimé sur le livret ou le compte. 



  La    fig.   102 est une vue détaillée d'une    partie   du mécanisme destiné à rétablir le mécanisme de déclenchement de la machine, après que celui-ci a été bloqué en raison de l'impression sur la dernière ligne du livret et du compte; la    figure   montre certains éléments destinés à débloquer le mécanisme de déclenchement afin de    permettre   l'impression d'un solde ou d'un découvert dans la colonne de solde sur la même ligne que le dernier article imprimé. 



  La    fig.   103 est une vue détaillée du mécanisme destiné à bloquer le mécanisme de déclenchement après que la dernière ligne du livret ou du compte a été imprimée, avec les dispositifs nécessaires pour débloquer le mécanisme de déclenchement afin de permettre l'impression d'un solde ou d'un découvert dans la colonne de solde sur la même ligne que le dernier article imprimé. 



  La    fig.   104 est une vue détaillée du mécanisme palpeur, coopérant avec le compte pour bloquer le mécanisme de déclenchement après que la dernière ligne a été sélectionnée pour recevoir un    article.   



  La    fig.   105 est un graphique indiquant comment sont encochées les plaques de contrôle, destinées à sélectionner les marteaux d'impression et les mécanismes d'alimentation de ladite machine. 



  La    fig.   106 est un diagramme des temps donnant le temps de fonctionnement des différents mécanismes des parties essentielles de la machine. 



  La    fig.   107 est un diagramme des temps donnant le temps de fonctionnement du mécanisme des parties de la machine se rapportant à l'impression. 



  La    fig.   108 est un diagramme des temps donnant le fonctionnement de certains mécanismes pendant une opération à deux cycles. 



  Clavier: Comme le montrent les    fig.   1 et 2, le clavier de la machine représentée comporte huit rangées de touches de montants 120 et de trois rangées de touches de transactions ou de commande: la rangée 1 ou la première rangée de touches 121 à 129; la rangée 2 ou la seconde rangée de touches 131 à 139; et la rangée 3 ou la troisième rangée de touches 141 à 149. 



  Les touches 121 à 125, 131 à 134, 138, et 141 à 149 sont motrices, c'est-à-dire qu'elles commandent la marche de la machine. Les 

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 touches 126 à 129, 135 à 137 et 139 ne sont pas motrices et doivent être utilisées en combinaison avec d'autres touches motrices. Dans l'angle droit inférieur du clavier se trouve la touche   Rappel   150, qu'on utilise pour libérer les touches non motrices qui sont enfoncées, avant que la machine soit mise en marche. Les touches 126 à 129 sont munies de    serrures   individuelles 151, au moyen desquelles ces touches peuvent être bloquées et ne pas être enfoncées, si on le désire. 



  Les touches 126 à 129 sont des touches qui sont normalement enfoncées et qui restent dans cette position à la fin de l'opération de machine. Ces touches peuvent être rappelées par une pression sur une autre touche de la même rangée ou par un doigt 152    (fig.   2) saillant du clavier, à l'extrémité de la rangée de touches. 



  La touche 139 est une touche qui est normalement enfoncée et, une fois enfoncée, elle ne peut être libérée qu'au moyen d'un levier 153, représenté à la    fig.   2 vers le haut du clavier. 



  Une serrure à glissière 154 est placée du côté gauche du clavier et destinée à la commande des différentes fonctions de la machine, comme il est "exposé dans la description du Brevet suisse    NI'   288478. 



  On prévoit aussi un cadran 155 indiquant la date, qui peut être mis à jour au moyen d'un bouton moleté 156, selon l'usage, et destiné à positionner les caractères sur la ligne d'impression. 



  Bâti principal: La    fig.   3 représente les bâtis principaux de la machine. Un    flasque   de gauche 160 et un flasque de droite 161 sont montés sur une base 162. Les parois intermédiaires 163 et 164 sont disposées entre les flasques 160 et 161; ces parois intermédiaires supportent les mécanismes d'impression du livret, du compte et de la bande de contrôle, et sont également fixées sur le socle 162. Une paroi auxiliaire 165 est fixée au    flasque   latéral de droite 161; cette paroi est munie des blocs 166, percés pour recevoir les vis provenant du bâti postérieur 167. Une autre paroi    auxiliaire   168 est munie de blocs 169, taraudés pour recevoir les vis fixées au bâti 167.

   Une troisième paroi auxiliaire 170 est munie de blocs 171, taraudés pour recevoir les vis fixées au bâti 167. Un goujon à épaulement 172    (fig.   8) est fixé sur chacun des côtés des parois 163 et 164 supportant le mécanisme d'impression et sur chacun des flasques latéraux 160 et 161, situés à gauche et à droite respectivement. On prévoit, vers l'avant de la machine, une série de six plaques auxiliaires 175    (fig.   2 et 8) destinées à    supporter      lb   porte-caractères et le mécanisme de positionnement. Chaque paroi    auxiliaire   175 possède une encoche à l'extrémité intérieure et située en arrière, encoche destinée à être posée sur le petit diamètre du goujon 172 lorsque le bloc porte-caractères, assemblé séparément, est monté dans la machine.

   On prévoit une entretoise 176    (fig.   13) avec une série de six encoches, dans lesquelles est introduit le bord supérieur de chacune des parois 175. Après que le bloc porte-caractères a été assemblé à part, le bloc complet est placé dans la machine au moyen des encoches des parois auxiliaires 175 qui sont placées sur le petit diamètre des goujons 172    (fig.   8), en faisant    glisser   les bords supérieurs des parois 175 dans les encoches de l'entretoise 176, et en introduisant un arbre 177    (fig.   8 et 13) à travers la paroi de droite 161, toutes les parois auxiliaires 175, les parois 163 et 164 supportant le mécanisme d'impression, et finalement à travers le flasque de gauche 160.

   Vers l'arrière de la machine, une barre transversale en forme de gorge est placée entre les flasques latéraux 160 et 161, et une autre paroi auxiliaire 179 est montée sur cette barre transversale 178. Une paroi auxiliaire supplémentaire est également montée sur la barre transversale 178 et les deux parois auxiliaires 179 et 180 sont fixées sur l'entretoise 176 au moyen des vis 181. Un arbre 182,    décrit   plus loin, est maintenu entre la paroi auxiliaire 180 et le flasque latéral de gauche 160. Un second arbre 183, est maintenu entre le flasque de droite 161 et la paroi auxiliaire 179, qui supporte certains mécanismes décrits plus loin. 

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 Mécanisme d'entraînement de la machine: La machine peut être entraînée par un moteur électrique ou au moyen d'une manivelle.

   Le moteur repose sur la paroi auxiliaire 179    (fig.   3). L'arbre du moteur 190    (fig.   7, 13 et 18) est relié à une roue dentée 191 en prise avec une roue dentée 192, montée folle sur l'arbre à cames 193. 



  Un manchon d'embrayage 194    (fig.   7 et 18) est fixé à la roue dentée 192; un    cliquet   d'embrayage 195 est mis en prise avec le manchon lorsque la machine fonctionne. Le cliquet 195 est monté sur un disque 196, fixé à l'arbre 193, et peut pivoter autour d'un axe. Une roue dentée 197    (fig.   7, 13 et 18) est également fixée à l'arbre 193 et est en prise avec une roue dentée 198    fixée   à une douille 199    (fig.   7 et 18), montée sur l'arbre à cames principal 200 (voir aussi    fig.   17) autour duquel elle peut tourner. Une roue dentée 201 est également goupillée sur l'arbre 193 et est en prise avec une roue dentée 202    (fig.   7 et 13), fixée à une douille 203, montée sur l'arbre 200 autour, duquel elle peut tourner.

   Deux paires de cames 204 sont fixées sur la douille 203, cames destinées à actionner les différentiels de la première et seconde rangée de commande; une paire de cames 204 est    fixée   sur la douille 199, cames destinées à actionner le différentiel de commande de la troisième rangée de commande. Les trois paires de cames 204 sont mises en mouvement simultanément lorsque l'arbre 193 est entraîné au moyen des roues dentées 197 et 201, en prise avec les roues dentées 198 et 202, respectivement. Ainsi, lorsque l'arbre 193 tourne, les douilles 199 et 203 peuvent entrer en rotation indépendamment de l'arbre 200. Un manchon d'embrayage 205 est également fixé sur la douille 199, et relie normalement celle-ci à l'arbre 200. 



  On a prévu un mécanisme, décrit ci-après, destiné à séparer la liaison entre la douille 199 et l'arbre 200 pendant les deux cycles de fonctionnement, de façon que les douilles 199 et 203 puissent tourner indépendamment de l'arbre 200 pendant le    premier   cycle d'une opération à deux cycles, et que l'embrayage commande la liaison entre les douilles 199 et 203 et l'arbre 200 pendant le second cycle d'une telle opération, commande qui est décrite ci-après. 



  Une roue dentée 206    (fig.   7 et 52) est aussi fixée sur l'arbre 200, roue qui est en prise avec une roue dentée 207 montée sur une douille 208, portant les cames destinées au fonctionnement de    certains   mécanismes de la machine; cette douille est montée de façon à pouvoir tourner sur un axe 209, porté par le    flasque   latéral de droite 161. 



  Si désiré, la machine peut fonctionner à l'aide d'un organe manuel tel qu'une manivelle 210    (fig.   4), montée folle sur un axe 211 du    flasque   de droite 161. Lorsqu'on désire faire fonctionner la machine au moyen de la manivelle, la poignée 210 est placée en bout de l'axe 211, pour la mettre en prise avec un moyeu 212    (fig.   7) tournant également sur l'axe 211. Un pignon 213    (fig.   4 et 7) est fixé sur le moyeu 212 et est en prise avec un autre pignon 214 qui, en tournant, est en prise avec un pignon 215, engrenant lui-même avec un pignon 216. Les pignons 214 et 215 tournent sur les axes    portés   par le flasque latéral de droite 161.

   Le pignon 216 est fixé à un arbre 217 maintenu par une portée de ce    flasque   161 et sur cet arbre est fixée une roue dentée 218 en prise avec la roue dentée 202. 



  La rotation de la poignée de la manivelle 210, par l'intermédiaire de la série de roues dentées que l'on vient d'énumérer, entraîne les roues dentées 210, 202, 197 et 198, et par suite les douilles 199 et 203 comme elles le sont par le moteur, par l'intermédiaire de la roue dentée 191. Lorsque la machine fonctionne au moyen de la poignée, le manchon d'embrayage 194 enclenche simplement le    cliquet   195. Rangées de touches de    montants:   Chaque rangée de touches de montants comporte neuf touches 120    (fig.   1, 2 et 8).

   Quatre organes de commande coopèrent avec chaque rangée de touches de montants, organes qui comportent une détente    flexible   220, une plaque actionnant les butées d'arrêt à zéro 221, une détente de blocage 222 et une plaque    d'interverrouillage   223. Ces divers organes 

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 constituent un dispositif destiné à empêcher le déclenchement de la machine au moyen d'une pression sur certaines touches de commande, après qu'une touche de montants a été enfoncée. La façon dont fonctionnent les quatre détentes 220 à 223 est exposée dans la description du Brevet suisse    NI,   288478, déjà mentionné, et l'on pourra s'y référer pour une description détaillée de ces organes.

   Mécanisme    différentiel   des montants: Une glissière d'un organe d'entraînement différentiel 250 est placée dessous chaque rangée de touches de montants 120    (fig.   8) dans une position intermédiaire entre les touches décalées et de façon à être commandée par celles-ci. Chaque glissière 250 est convenablement maintenue par les deux    barres   transversales 251 et 252, supportées par le bâti de la machine et pour pouvoir glisser sur ces barres. La glissière 250 est pourvue à son extrémité de huit saillies possédant des brides 255 coudées à angles droits, placées alternativement à droite et à gauche et alignées avec les tiges des touches 120. Les brides 255 sont placées sur la glissière 250 de façon à être commandées par les touches à chiffres de 1 à 8, respectivement.

   La glissière 250 comporte, près de l'extrémité avant, une surface d'arrêt 256, qui s'engage dans la barre transversale 251 pour fixer la glissière 250 dans sa position   9  . Lorsqu'aucune touche n'est enfoncée, une bride 257 d'un cliquet d'arrêt à zéro 258, se déplace sur la trajectoire d'une bride 259 de la glissière 250, pour arrêter cette dernière bride dans la position de zéro, ce qui correspond à un déplacement d'un degré à partir de sa position propre. Ainsi les brides 255 et 257, avec la surface 256, fournissent un dispositif destiné à arrêter, où on le désire et à l'aide d'un différentiel, la glissière dans l'une quelconque des dix positions. Par conséquent, la glissière 250 peut occuper une quelconque des onze positions que constituent sa position propre et les dix positions de réglage. 



  La glissière 250    (fig.   11) est munie à l'extrémité arrière de dents en prise avec un secteur différentiel 266 tournant sur un arbre 267, maintenu par l'ossature de la machine. Au sec-    teur   266 est fixé un support 268 pour l'entraîneur et sur ce support glissent deux crémaillères 269 et 270 montées de façon à pouvoir être embrayées avec les roues du totalisateur qui sera décrit plus loin. 



  Lorsque la machine est mise en marche par abaissement d'une touche de montants 120, la glissière 250 de l'organe d'entraînement se déplace d'une quantité    proportionnelle   à la valeur indiquée sur la touche de montants et, par l'intermédiaire des dents 265, fait basculer le segment 266, et le dispositif 268 qui supporte l'organe d'entraînement, d'une quantité identique. Ceci amène les crémaillères 269 et 270 de l'organe d'entraînement à une position correspondant à la valeur indiquée sur la touche enfoncée. Après que les organes d'entraînement ont été ainsi amenés dans cette position, un ou deux des totalisateurs sont embrayés avec ces organes, et la glissière 250 est ensuite remise dans sa position propre.

   En revenant à la position propre; le segment 266 et les entraîneurs 269 et 270    tourrient   dans le sens rétrograde d'un nombre de degrés correspondant à la valeur indiquée sur la touche enfoncée, faisant ainsi entrer le montant voulu dans le ou les totalisateurs embrayés. Une fois que le montant est entré dans le ou les totalisateurs, ceux-ci sont débrayés des organes d'entraînement. 



  Le réglage du mouvement de la glissière différentielle 250 est commandé par une barre principale, comportant une tige universelle 275    (fig.   8). Un ressort 276, dont une extrémité est    fixée   à la glissière 250 et l'autre extrémité à une plaque transversale 277, supportée par l'ossature de la machine, maintient normalement une embase 278 de la glissière différentielle 250 contre la tige universelle 275. La tige 275 est supportée par plusieurs bras 279 fixés à un arbre 280. Deux bras 281 solidaires des cames sont également fixés à l'arbre 280 chaque bras possédant deux galets 282 qui coopèrent avec une paire de cames 283    fixées   sur l'arbre à cames principal 200.

   Une paire de cames est placée près du    flasque   latéral de gauche 160 et l'autre près de la paroi 179    (fig.   3). 

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 Pendant le fonctionnement de la machine, les cames 283 tournent dans le sens    dextrorsum      (fig.   10) afin de faire basculer le bras 281 d'abord dans le sens    dextrorsum   puis dans le sens opposé, en vue de déplacer la tige universelle 275 d'abord vers la droite puis vers la gauche.

   Lorsque la tige universelle 275 se déplace vers la droite, le ressort 276 entraîne la glissière différentielle 250 vers la droite jusqu'à ce qu'elle soit arrêtée par une bride 255, venant alors en contact avec une touche enfoncée marquée de 1 à 8, ou bien la    portée   256 engage la barre transversale 251 dans la position   9  , ou bien le cliquet d'arrêt à zéro 258 arrête la    glissière   250 dans la position zéro, après quoi la tige    universelle   275 continue son déplacement vers l'arrière.

   Vers la -fin du fonctionnement de la machine, lorsque la tige universelle 275 est ramenée à sa position d'origine par les cames 283, la tige universelle 275 relève la glissière différentielle 250 et la ramène à sa position de repos qui se trouve un degré plus loin que ,la position zéro, tendant à nouveau le ressort 276. Pendant ce mouvement de retour à la position de repos, la glissière différentielle 250 fait basculer, par l'intermédiaire des liaisons décrites précédemment, dans le sens rétrograde les crémaillères 269 et 270 de l'organe d'entraînement d'un nombre de degrés proportionnel à la valeur indiquée sur la touche enfoncée, faisant ainsi entrer les montants dans le ou les totalisateurs embrayés. 



  Le cliquet d'arrêt à zéro 258 est normalement déplacé de sa position active et est ramené à sa position inactive, d'une manière connue, lorsque la machine fonctionne sans qu'une touche de montants de la rangée de touches associées ait été enfoncée. 



  Totalisateurs: La machine telle qu'elle est représentée ici à titre d'exemple, comporte onze totalisateurs. Le nombre de totalisateurs, utilisés dans la machine du type exposé, dépend du genre de comptabilité pour lequel la machine est appliquée. Dans l'exemple, on prévoit un totalisateur de transaction pour chacune des touches de la troisième rangée (rangée 3). On prévoit un dixième totalisateur afin d'obtenir un total pour la touche   Intérêt Livret   de la rangée 2. Les dix totalisateurs de transaction sont -du type intercalés sur un même arbre, suivant la technique connue, et ne seront pas décrits en détail.

   Le totalisateur    addition-sous-      traction   est monté sur l'arbre supérieur de totalisateurs et comporte une paire de roues pour chaque dénomination, lesquelles sont reliées ensemble suivant une technique bien connue. 



  Les totalisateurs intercalés sur le groupe arrière de totalisateurs nécessitent un déplacement ou décalage axial destiné à la sélection du totalisateur voulu dans lequel les montants seront additionnés, ou le totalisateur dont on veut relever le total. Pour cette raison, on utilise un fonctionnement à deux cycles pour débrayer le totalisateur sélectionné du groupe arrière. On prévoit un mécanisme, qui est décrit ci-dessous, pour la commande automatique de la machine, en vue de son fonctionnement en total sur un cycle ou sur deux cycles. 



  Les dix totalisateurs de transaction intercalés, se composent des éléments 290    (fig.   8, 11, 56 et 57), montés de façon à pouvoir tourner sur un arbre totalisateur 291 qui repose dans des cavités pratiquées dans une paire de bras 292, placés près des parois 168 et 170    (fig.   3), dans lesquelles l'arbre est engagé et peut se déplacer. Les bras d'embrayage 292    (fig.   11, 56 et 57) sont montés librement sur un arbre de basculement 293, de façon à basculer autour de l'arbre. Chaque bras 292 est muni d'une gorge 294    (fig.   56 et 57) dans laquelle pénètre un galet 295 porté par un bras 296 monté sur un goujon 297, est engagé dans chaque rainure de came 294.

   Chaque bras 296 est également muni d'un .goujon 298 pénétrant dans une rainure ouverte pratiquée sur chaque paire de bras 299 (voir aussi    fig.   8) fixée sur l'arbre de basculement 293. Celui-ci est actionné, à chaque opération, suivant le réglage pour addition ou prise de total, de la façon qui est décrite ci-dessous. 



  L'arbre 291 est décalé vers son extrémité, suivant une manière connue, de telle façon que le totalisateur choisi soit aligné avec l'or- 

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    gane   d'entraînement 270, avant que l'arbre 293 ait basculé. 



  Lorsque les roues du totalisateur 290 sont dans la position non embrayée, comme on l'a représenté à la    fig.   56, un dispositif d'alignement 300, enclenché entre les dents des roues 290 empêche les roues du    totalisateur   de tourner. Le dispositif d'alignement 300 est assez long pour franchir tout le groupe de totalisateurs et se prolonge de la paroi 168    (fig.   3) à la paroi 170. Ce dispositif d'alignement a la forme d'un étrier comportant une traverse et deux bras 301    (fig.   56 et 57). Chacun des bras possède un goujon 302 qui pénètre dans une gorge de came 303 du bras d'enclenchement 299.

   Lorsque l'arbre 293 bascule, les gorges 303, enserrant les goujons 302 des bras 301 du dispositif d'alignement, déclenchent le dispositif d'alignement des roues du totalisateur 290, et ensuite les roues du totalisateur viennent s'enclencher avec les dents 270 de l'organe d'entraînement. Totalisateur supérieur: Le totalisateur supérieur comporte une roue 305 d'addition et une roue 306 de soustraction    (fig.   5, 6, 8, 11, 62, 63 et 64) pour chaque ordre de valeur. Les roues 305 et 306 sont munies de dents 308 (voir    fig.   6) en prise avec un pignon 309 monté sur une goupille 310. Cette dernière fait saillie dans un arbre de support 307, sur lequel tournent les roues 305 et 306. Celles-ci sont maintenues dans une position convenable au moyen de deux bagues 311 et 312 goupillées sur l'arbre 307 par les goupilles 313.

   Un manchon 314, monté avec du jeu entre les roues 305 et 306, maintient le pignon 309 sur la goupille 310, et en prise convenable avec les dents 308 des roues 305 et 306 du totalisateur. 



  La roue d'addition 305 est normalement alignée avec les entraîneurs 269 et, lorsque les roues du totalisateur sont embrayées avec    ceux-      ci,   une addition est    effectuée.   Lorsqu'on enfonce une touche de l'une quelconque des trois rangées de commande, qui commande la réalisation d'une soustraction par la machine, un dispositif de commande fait déplacer la roue de soustraction 306 pour l'amener en face de l'entraîneur 269, de façon que, lorsque la machine fonctionne et que la roue 306 a basculé pour s'embrayer avec l'entraîneur 269, la roue d'addition 305 tourne en sens inverse grâce aux dents 308 de la roue de soustraction et au pignon 309.

   La roue de soustraction 306 est amenée en face de l'entraîneur 269 au moyen du mécanisme suivant: Un manchon 320 est fixé à l'arbre de support 307    (fig.   5), manchon qui est fileté pour amener d'une façon précise par réglage micrométrique, les roues 305 et 306 en alignement convenable avec les entraîneurs 269. Un étrier 321 enfourche le manchon 320. L'étrier 321 est monté. de façon à pouvoir glisser sur deux axes 322 et 323 (voir aussi    fig.   62) et ces axes sont maintenus par les flasques 161 et 168. Un galet 324, monté sur l'étrier 321, pénètre dans une rainure de came 325 à tambour 326, laquelle tourne sur un arbre 327    fixé   dans les parois 161 et 168.

   Un moyeu 328 relie la came à tambour 326 à une roue dentée 329 en prise avec un secteur 330 monté de façon à pouvoir tourner sur l'arbre 267. Le secteur 330 est relié à un levier coudé 331 au moyen d'une rotule comportant deux brides 332 et 333. Les brides 332 et 333 sont reliées par un goujon 334, qui pénètre dans une rainure de came 335 d'un levier 336 qui pivote autour d'un arbre 337. Le levier 336 est relié au bras de came 338 au moyen d'une bielle 339. Le bras de came 338 pivote autour d'un arbre 340 et porte deux galets 341 et 342 coopérant avec une paire de cames 343 fixées à l'arbre à cames 193 (voir aussi    fig.   7). 



  Un cliquet de retenue 355, actionné par un ressort, est    pourvu   d'un goujon 352 qui repose sur une encoche de secteur 330, pour s'opposer à un déplacement fortuit du secteur en dehors de l'une des deux positions de réglage. 



  Lorsque les carnes 343 font basculer le bras 338 dans le sens    senestrorsum   (11g. 62), le levier 336 bascule dans le sens contraire pour ouvrir l'angle de la rotule 332-333: A ce moment, le secteur 330 est retenu par le cliquet de retenue 355 et par suite le levier coudé 331 bascule à vide dans le sens    senestrorsum;   il en résulte que le secteur n'actionne pas la came 

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 à tambour 326 et le totalisateur ne se place pas dans la position de    soustrâction.   



  Vers la fin du fonctionnement de la machine les cames 343, en passant par le bras de came 338, la bride 339 et le    levier   336, font basculer à nouveau la rotule, constituée par les brides 332 et 333, dans sa position normale, ramenant ainsi le levier coudé 331 à sa position normale. 



  Un galet 345 est monté sur le levier coudé 331    (fig.   62) et repose normalement sur l'extrémité supérieure du levier coudé 346, pivotant autour d'un goujon 347 et relié à un bras 348 par une bride 349. Le bras 348 est fixé à un arbre libérant l'embrayage 350, qui bascule dans le sens    senestrorsum.      (fig.   62) lorsque la machine est déclenchée pour une opération d'une façon exposée plus loin. Lorsque la machine fonctionne et que l'arbre 350 a basculé dans le sens    senestrorsum,   la bride 349 fait basculer le levier coudé 346    (fig.   62) dans le sens    dexirorsum   ce qui écarte l'extrémité supérieure du levier coudé 346 de sa position sous le galet 345. 



  Pour amener la roue soustractive 306    (fig.   62) du totalisateur en face de l'entraîneur 269, on prévoit un bras    d'arrêt   351 pivotant autour d'un arbre 398 et basculant au-dessus du galet 345 du levier coudé 331, lorsqu'on enfonce certaines touches des rangées de commande. Dans le système donné à titre d'exemple, ce bras d'arrêt 351 est basculé dans la position qu'il occupe lorsque sont enfoncées les touches 123 et 124 de la rangée de commande, la touche 138 de la seconde rangée, ou les touches 143, 145 et 148 de la troisième rangée. Une plaque de commande 356    (fig.   59), portée pour pouvoir    glisser   par quatre galets 357, est montée près des touches de la première rangée de commande de façon à être actionnée par celles-ci.

   Au voisinage de la touche   Découvert   123 et la touche   Soustraction   124, la plaque de commande 356 est pourvue d'arêtes-cames 358, de façon que, lorsqu'on enfonce l'une de ces deux touches, les goujons 579 portés par les touches agissent sur ces arêtes et déplacent la plaque de commande 356 vers la gauche    (fig.   59). L'extrémité de droite de la plaque de contrôle 356 est    pouvue   d'un goujon 359    pénètrant   dans une entaille d'un bras 360, qui pivote autour d'un goujon 361. La partie inférieure du bras 360 est bifurquée pour    enserrer   la barre d'un étrier 362, monté de façon à pouvoir pivoter sur le goujon 361. L'étrier 362 est muni d'un bras 363    (fig.   62) possédant un goujon 364 qui pénètre dans l'extrémité bifurquée du levier coudé 365.

   Une biellette 366 relie le levier coudé 365 au bras de commande 351. 



  Lorsque l'une des touches 123 ou 124 est enfoncée et que la plaque de commande 356    (fig.   59) se déplace suivant le processus que l'on vient d'exposer, l'étrier 362 bascule et, au moyen du goujon 364, fait basculer le levier coudé 365 qui déplace, grâce à la biellette 366, le bras de commande 351 situé au-dessus du galet 345 du levier coudé 331. Lorsque la machine fonctionne en soustraction, avec le bras de commande 351 situé au-dessus du galet 345, le rappel du levier coudé 346, qui se fait de la façon exposée précédemment, libère le levier coudé 331 qui peut tourner dans le sens    dextrorsum      (fig.   62) pendant le fonctionnement de la machine.

   Ce mouvement du levier coudé 331 est réalisé par les cames 345, au moyen de connexions comportant le bras de came 338, la biellette 339 et le levier 336 qui, en agissant sur le goujon 334 pour allonger la rotule constituée par les biellettes 332 et 333, font que le galet 345 vient contacter l'extrémité inférieure du bras d'arrêt 351. Lorsque ceci se produit la rotule fait tourner le secteur 330    (fig.   62) dans le sens    dextrorsum,   ce qui fait tourner la came à tambour 326 et déplace l'étrier 321 ainsi que l'arbre du totalisateur 307, qui amène les roues soustractives 306 en face des entraîneurs 269. Pendant le fonctionnement de la machine, les données composées sur le clavier entrent alors dans les roues de soustraction 306 qui, au moyen du pignon 309, font tourner la roue d'addition 305 en sens inverse. 



  Le bras d'arrêt 351 se déplace également au-dessus du galet 345 et provoque un déplacement du totalisateur addition-soustraction lorsque la touche 138 est enfoncée. Cette touche est pourvue d'un goujon 579    (fig.   60) qui pénètre dans une rainure-came de la plaque de 

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 commande 368    (fig.   60) située dans la seconde rangée de commande. La plaque de commande 368 est montée de façon à pouvoir glisser sur quatre goujons 369. Une arête came 370 pratiquée dans la plaque de commande 368, coopère avec le goujon 579 de la touche 138 et l'extrémité droite de la glissière est munie d'un goujon 371, enserré dans l'extrémité bifurquée d'un bras 372, monté également de façon à pouvoir pivoter sur le goujon 361.

   Le bras 372 est bifurqué pour enserrer l'étrier 362, suivant la manière exposée au sujet du bras 360. Par suite, lorsque la touche 138 est enfoncée, l'étrier 362 bascule et déplace le bras d'arrêt 351 situé au-dessus du galet 345 du levier coudé 331 et provoque le déplacement de l'arbre 307 du totalisateur, pour amener les roues soustractives en face des entraîneurs 269. 



  Une plaque de commande 375    (fig.   61), montée de façon à pouvoir glisser sur les goujons 376 est placée dans la troisième rangée de commande. On prévoit des arêtes-cames 377 coopérant avec les goujons 579 des touches 143, 145 et 148 de la troisième rangée de commande, de façon que lorsqu'on enfonce l'une quelconque de ces touches, la plaque de commande 375 se déplace et fasse ainsi basculer un bras 378 par l'engagement d'un goujon 379 de la plaque de commande 375 avec l'extrémité supérieure bifurquée du bras 378. Celui-ci pivote autour du goujon 361 et est bifurqué pour enserrer l'étrier 362. 



  Lorsqu'on enfonce l'une quelconque des touches 143, 145 ou 148 et que la plaque 375 se déplace, le bras 378 bascule et fait pivoter l'étrier 362 et les bras 363, ce qui déplace le bras de commande 351 situé au-dessus du galet 345. Aussi, lorsque la machine fonctionne sur commande de l'une quelconque de ces trois touches, l'arbre du totalisateur 307 se déplace et amène les roues soustractives en face des entraîneurs 269. 



  Le fonctionnement de la machine commandé par l'une quelconque des touche 124, 138, 143, 145 ou 148, donnera lieu à une soustraction. Le fonctionnement de la machine déclenché par la touche 123 produit une opération de total comportant deux cycles opératoires. Pendant le premier de ces deux cycles, le bras 351, situé au-dessus du galet 345, entraîne le secteur 330 qui déplace l'arbre 307 du totalisateur    addition-      soustraction   pour amener les roues soustractives en face des entraîneurs. Vers la fin du premier cycle, le levier coudé 346 n'est pas ramené à sa position normale et pour cette raison, vers la fin du premier cycle, lorsque le levier 336 bascule pour actionner les    biel-      lettes   à rotule 332 et 333, le levier coudé 331 bascule à vide de bas en haut.

   Cependant, vers la fin du second cycle, l'arbre 350 de rappel de l'embrayage est ramené à sa position normale, ramenant    ainsi   le levier coudé 346 sous le galet 345, après quoi la came 343 fait basculer le levier 336 pour ramener la rotule à sa position normale. A ce moment, le galet 345 est coincé entre    l'extrémité   supérieure de bras 346 et l'extrémité inférieure du bras de commande 351, ce qui fait revenir le    segment   330 à sa position de repos, et par    l'intermédiaire   du    tambour-      came   326 ramène l'arbre du totalisateur 307 à sa position de repos, pour laquelle les roues d'addition sont de nouveau alignées avec les entraîneurs 269.

   On décrira ultérieurement les temps de fonctionnement de l'embrayage de la roue du    totalisateur   et des entraîneurs 269 en considérant les opérations d'addition et de soustraction, et une opération de total. 



     Mécanisme   de report des dizaines: Chacun des groupes de totalisateurs comporte un mécanisme de report de dizaines connu. Comme les mécanismes de report des deux groupes sont identiques, on ne décrira brièvement ici que celui qui est associé au groupe arrière de totalisateurs. 



  En plus du mécanisme de    report,   le totalisateur addition-soustraction est muni d'un mécanisme d'unité fugitive que l'on décrira ultérieurement, destiné à faire entrer une unité dans la roue du totalisateur de l'ordre le plus faible lorsque la roue de l'ordre le plus élevé passe par zéro dans n'importe quel sens. 



  Le report des    dizaines   dans la roue de l'ordre supérieur suivant s'effectue en laissant la crémaillère d'entraînement 270    (fig.   11) se déplacer d'un cran de plus que n'imposerait la com- 

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 mande des touches de montant. Ce déplacement supplémentaire d'un cran s'effectue par rapport à la plaque 268 sur laquelle la crémaillère est montée. La crémaillère 270 est munie de deux goujons 385 et 386 qui pénètrent respectivement dans des fentes 387 et 388 percées dans la plaque différentielle 268. Un    ressort   389, fixé à une    extrémité   de la    crémaillère   270, tend à la déplacer dans le sens    senestrorsum   comme le représente la    fig.   11.

   Lorsque la plaque 268 se trouve en position de repos, c'est-à-dire en fin d'opération, un goujon 390 fixé à l'entraîneur 270 s'appuie contre l'extrémité avant d'un levier 391. Lorsqu'elle se trouve dans cette position, l'entraîneur 270 est en position de repos; ; c'est-à-dire qu'aucun report ne peut    s'effectuer.   Lorsque l'on doit effectuer un report, on fait basculer le levier 391 dans le sens    dextror-      sum      (fig.   11) de façon à écarter son extrémité libre du trajet du goujon 390, ce qui    permet   à l'entraîneur 270 de se déplacer d'un cran de plus, pour ajouter ainsi une unité à l'élément du totalisateur avec lequel il est embrayé.

   Sur la    fig.   11, on a représenté cet état par rapport à la crémaillère 270 du groupe arrière et l'on a représenté l'état sans report pour l'entraîneur 269. 



  Les bras 391 sont articulés sur une tige 392 portée par plusieurs    supports   293, un support 393 étant destiné à chaque élément du totalisateur. Un    ressort   394, dont une extrémité est fixée à l'extrémité libre du bras 391 et l'autre est fixée à une tige 395,    portée   par tous les    supports   393, maintient normalement un rebord 396, qui constitue une bride entre le levier 391 et un levier 397, en contact avec un bord d'un étrier 399    porté   par une tige 400 également supportée par les organes 393. L'extrémité libre du bras 391 se trouve sur le trajet du goujon 390 fixé sur l'entraîneur 269 lorsque le bord 396 vient au contact de l'étrier 399.

   Un bras 399 est muni d'un rebord 421 saillant sur le trajet d'une longue dent de la roue totalisatrice 290 lorsque le totalisateur se trouve embrayé.    L'étrier   est tiré dans le sens    dextrorsum   par un ressort 422 tendu entre un bras de l'étrier et la tige 395 de façon à maintenir    l'extrémité   423 d'un bras de    l'étrier   399, contre la tige 392. Lorsque la roue totalisatrice 290 est embrayée avec l'entraîneur 270 et que celle-ci en se déplaçant dans le sens    senestrorsum      (fig.   11), fait tourner la roue totalisatrice 290 de sa position 9 à sa position 0, la longue dent de la roue 290 contacte le rebord 421 et fait basculer l'étrier 399 dans le sens    senestrorsum   sous l'action du ressort 422.

   Ce mouvement écarte l'étrier 399 du rebord 396 et permet au    ressort   394 de faire basculer le bras 391 dans le sens    dex-      trorsum   hors du trajet du goujon 390 fixé à l'entraîneur 270 de l'ordre supérieur suivant. A ce moment, lorsque la plaque 268 de l'ordre supérieur suivant entraîne l'entraîneur 270 correspondant jusqu'à sa position de repos, celle-ci se déplace d'un cran de plus pour enregistrer une unité dans l'ordre supérieur suivant dont on a parlé précédemment. 



  Dès que les montants, y compris les reports de dizaines, ont été enregistrés dans le totalisateur, les roues du totalisateur sont débrayées, puis tous les bras de    report   qui s'étaient déclenchés sont ramenés à leur position de repos avec les entraîneurs 269 et 270. 



  On a représenté sur la    fig.   9 la position de repos du mécanisme de rappel, tandis que la    fig.   11 montre la position dans laquelle il se trouve au    moment   du    report   des dizaines. 



  Ce dispositif destiné à rappeler le mécanisme de report et les entraîneurs comprend un plateau à bras multiples 450    (fig.   9), fixé à l'axe 267, un plateau 450 étant destiné à chaque ordre particulier. Tous les plateaux 450 sont goupillés sur l'axe 267, avec un bras 451, sur lequel est articulée l'extrémité supérieure d'une biellette 452. L'extrémité inférieure de la    biel-      lette   452 est articulée à un bras 453, relié    lui-      même   à un goujon 454, porté par la paroi latérale gauche 160. Le bras 453 est muni de deux galets 455 coopérant avec deux cames 456. 



  Au début du fonctionnement de la machine les carnes 456 font légèrement basculer le bras 453 dans le sens    senestrorsum      (fig.   9), ce qui soulève la biellette 452 et fait basculer les    pla-      traux   à bras multiples 450 dans le sens    senes-      trorsum   jusqu'à la position représentée à la    fig.   11. Lorsque les plateaux 450 se trouvent dans cette position, les reports de dizaines 

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 peuvent s'effectuer librement dans les roues totalisatrices.

   Lorsque les sommes sont enregistrées dans les roues totalisatrices et lorsque les reports de dizaines convenables ont été effectués, le totalisateur est débrayé et aussitôt après, la came 456 fait basculer le levier 453 dans le sens    dextrorsum      (fig.   9    ef   11). L'arbre 267 tourne alors dans le sens    dextrorsum   et fait basculer les plateaux à bras multiples 450, dans le même sens, ce qui engage un levier 457, fixé à chacun des plateaux 450, dans les goujons 390 des entraîneurs 269 et 270, respectivement, et les ramène dans leur position non déclenchée. Un deuxième levier 458 appartenant à chaque pièce à bras multiples 450 coopère avec un goujon 459 fixé aux leviers de report 391 et les ramène à leur position de repos.

   A ce moment, les étriers 399 sont également ramenés à leur position de repos par les ressorts 422, de façon à maintenir le levier de    report   391 en position de repos. Lorsque tous les cliquets de report enclenchés sont revenus au repos, et presque à la fin d'un cycle de fonctionnement de la machine. les cames 456 font de nouveau basculer le levier 453 dans le sens    senestrorsum      (fig.   9), ce qui fait basculer l'arbre 267, et place les plateaux à prolongements multiples 450 dans la position représentée à la    fig.   9. Mécanisme d'unité fugitive: On utilise un tel mécanisme dans le    tota=      lisateur   addition-soustraction pour permettre d'imprimer des totaux négatifs.

   Ce mécanisme comprend un dispositif destiné à enregistrer un   1   dans l'ordre des unités du totalisateur lorsque la roue de l'ordre le plus élevé passe par zéro soit dans le sens de l'addition soit dans celui de la soustraction. 



  L'ordre le plus élevé du totalisateur comporte un mécanisme d'enclenchement de report analogue à celui qui est utilisé entre les ordres    dénominaux   inférieurs. La longue dent de chacune des roues du totalisateur 305 ou 306 déclenche l'étrier de report 399, ce qui laisse retomber le bras 397 et relâche le levier d'arrêt 391 exactement comme on l'a décrit plus haut à propos de l'ordre inférieur. Lorsque le levier d'arrêt 391a basculé dans le sens    dextrorsum      (fig.   64), il s'écarte du trajet d'un goujon 5101 porté par un levier 511, articulé sur l'axe 267.

   Le levier 511 est relié, par    l'intermédiaire   d'une biellette 513,à un levier 512 articulé sur le goujon 454, et est muni d'un prolongement inférieur 514 sur lequel est placé un galet 515 maintenu normalement au contact d'une came 516 fixée à l'arbre à cames principal 200, sous l'action d'un    ressort   522, ce dernier maintenant également la biellette 513 et le levier 511 dans la position représentée à la    -fig.   64. 



  Un levier 519, pivotant sur un arbre 398, est bifurqué pour enserrer un goujon 520    fixé   sur un levier opératoire 521. Ce dernier est muni de deux arêtes actives 523 et 524. Lorsque le solde du totalisateur est positif, l'arête 523 s'aligne avec un goujon 525 fixé sur un levier de positionnement 526. Lorsque le solde du totalisateur est négatif, c'est l'arête 524 qui s'aligne avec un goujon 527 fixé au levier de positionnement 526. 



  Le levier de positionnement 526 est représenté dans la position positive et si le levier 511 fonctionne à ce moment, l'arête 523 se déplace vers l'avant et vers l'arrière sans produire aucun effet. Si la pièce de positionnement 526 se trouve en position négative, le goujon 525 se trouve en contact avec l'arête 523 et par conséquent le mouvement    senestrorsum   du levier de déclenchement 521 fait glisser la pièce de positionnement 526 de sa position négative à sa position positive. 



  Le levier opératoire 521 est déplacé jusqu'à sa nouvelle position pour laquelle l'arête 524 est alignée avec le goujon 527 de la pièce de réglage 526 lorsque le totalisateur effectue des soustractions. 



  Un bloc 528 est fixé à l'axe 307 (se reporter également à la    fig.   5). La position du bloc 528 par rapport aux roues totalisatrices est telle que ce bloc 528 se trouve hors du trajet du bras 519 lorsque le totalisateur se trouve en position d'addition. Cependant lorsque le totalisateur est décalé vers la gauche    (fig.   5) de façon à aligner les roues soustractives 306 avec l'entraîneur 269, le bloc 528 se déplace sur la surface 529 du bras 519. Lorsqu'il se trouve dans cette position et que le totalisateur est embrayé 

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 avec les entraîneurs 269,1e bloc 528 engrenant la surface 529, fait basculer le bras 519 dans le sens    senestrorsum      (fig.   64). 



  Ce dernier mouvement du bras 519 a pour    effet,   par l'intermédiaire de son extrémité fourchue enserrant le goujon 520 ,de soulever le levier opératoire 521, et place l'arête active 524 en position de fonctionnement par rapport au goujon 527. Ensuite, lorsque la longue dent de la roue 306 passe par zéro, et lorsque le levier d'arrêt 391 s'abaisse pour libérer le goujon 510, le bras 511 reste au repos pendant le cycle de fonctionnement de la machine. 



  La came 516 est munie d'un bloc 530 destiné à libérer la came 512 lorsqu'une surface 509 qui en fait partie s'écarte du bloc 530, ce qui fait retomber le bras 514 sous l'action du ressort 522, soulève la bielle 513 et fait basculer le bras 511 dans le sens    senestrorsum      (fig.   64). Ce mouvement du bras 511 fait basculer, par l'intermédiaire du goujon 520, le levier opératoire 521 dans le sens    senestrorsum      (fig.   64) autour de l'arbre 267 et, à ce moment, l'arête 524 agit sur le goujon 527 et fait basculer la pièce de positionnement 526 dans le sens    dextrorsum.   



  La pièce de positionnement 526 est fixée à un arbre 531, auquel est    fixé   un levier 532    (fig.   63) placé dans la rangée des unités des touches de montant. Le levier 532 est, bifurqué pour entourer un goujon 533 fixé à un levier de déclenchement 534. Ce dernier est muni d'un prolongement 535 à double action de carne, coopérant avec un goujon 536 fixé sur un levier de déclenchement 537, articulé sur la tige 392. Le levier de déclenchement 537 est muni d'un goujon 538, entourant un doigt 539 fixé sur un levier de déclenchement de report 540 du mécanisme de report de l'ordre des unités.

   Le levier de déclenchement 540 est analogue à l'étrier de déclenchement 399 et    comporte   un rebord en prise avec un bord 396 de la pièce de déclenchement 397, identique à celle du mécanisme de report déjà décrit. 



  Lorsque l'arbre 531 bascule par suite du déplacement de l'élément totalisateur de l'ordre le plus élevé passant de   9   à   0  , le levier 532 fait basculer le bras de déclenchement 534 dans le sens    senestrorsum      (fig.   63), ce qui, par    l'intermédiaire   de la double came 535, déplace le goujon 536 vers le haut et fait basculer le levier de déclenchement 537 dans le sens    senestrorsum.   Ceci a pour    effet   de faire basculer, par l'intermédiaire du goujon 538, le bras de déclenchement 540 et de ramener au repos le levier d'arrêt 391, pour ainsi libérer le goujon 390 du mécanisme    différentiel   des unités et enregistrer   1   dans l'ordre des unités du totalisateur. 



  Si le totalisateur passe de nouveau par zéro dans le sens négatif, lorsque le levier d'arrêt 391 a basculé et laissé retomber le bras 511 jusqu'à ce qu'il ait déclenché la came 530 et fait basculer le levier opératoire 521, aucun   1   supplémentaire n'est introduit dans l'ordre des unités, étant donné que la pièce de positionnement 526 se trouve déjà en position écartée ou position négative.

   Cependant, si la roue du totalisateur passait de l'état négatif à l'état positif, ce qui proviendrait du fait qu'une roue de l'ordre le plus élevé passerait par zéro dans le sens de l'addition, lorsque le totalisateur se trouve en position d'addition, la pièce 528 ne se trouverait pas sur l'arête 529 du bras 519 et, par conséquent, lorsque le totalisateur est embrayé avec l'entraîneur alors que ledit totalisateur se trouve en position positive, le bras 519 ne bascule pas. Par conséquent, l'arête active 523 reste dans la position représentée à la    fig.   64.

   Si le totalisateur se trouve en position négative, le goujon 525 est alors entraîné par    l'arête   523 et, par conséquent, lorsque la pièce 530 laisse retomber le bras 514 et fait    basculer   la biellette 513 et le levier 511 dans le sens    senestrorsum,   l'arête active 523, entraînant le goujon 525, fait basculer le levier 526 de sa position négative à sa position    positive,   comme le représente la    fig.   64.

   Lorsque le bras 511 a été    actionné   par le ressort 522, la came 516 ramène les différentes parties à leur position de repos par contact avec le galet 515 qui fait basculer le bras 514 contre l'action du ressort 522, abaisse la biellette 513 et ramène au repos le bras 511 avec le levier de déclenchement 521. 

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 Verrouillage de la touche   Découvert   et des touches   Solde   et   Sous-total solde  :

   Dans la première rangée de touches de transactions est prévu un système    d'inter-      verrouillage   afin d'empêcher l'enfoncement de la touche de découvert 123 lorsque le totalisateur se trouve à l'état positif et empêcher l'enfoncement des touches de Solde et de    Sous-      Solde   121 et 122, respectivement, lorsque le totalisateur se trouve dans un état négatif. 



  L'arbre 531    (fig.   5 et 66) est muni d'un bras 541 relié à une équerre 543 par une biellette 542. L'équerre 543 est    articulée   sur l'axe 327 et est divisée en deux    parties   de façon à enserrer un goujon fixé à un levier coudé 544. Ce dernier est articulé sur un axe 545 et une biellette 546 relie l'équerre 544 à une glissière 547 comportant une rainure lui permettant de glisser sur deux goujons 548 fixés sur la plaque de fond 549 du clavier. La glissière 547 est munie d'encoches 550 destinées à coopérer avec les goujons 579 des touches 121, 122 et 123. 



  Lorsque l'arbre 531 se trouve en position positive, les encoches 550, coopérant avec les goujons 579 des touches de Solde 121 et de Sous-Solde 122, sont placées de façon à permettre leur enfoncement. Lorsqu'elle se trouve dans cette position, l'encoche 550 travaillant avec le goujon 579 de la touche   Découvert   123, empêche l'enfoncement de cette dernière. Cependant lorsque l'axe 531 bascule dans le sens    dextrorsum      (fig.   66) par suite du fait que le totalisateur passe d'un état positif à un état négatif, la biellette 542, les leviers coudés 543 et 544 et la bielle 546 font glisser la glissière 547 vers la droite    (fig.   66) ce qui verrouille la touche de Solde 121 et la touche de Sous-Solde 122 et fait passer l'encoche 550 au-dessous du goujon 579 de la touche de    Découvert   123.

   Par conséquent, lorsque le totalisateur se trouve dans un état négatif, les touches 122 et 123 sont verrouillées et ne peuvent s'enfoncer, tandis que l'on peut enfoncer la touche de    Découvert.   



  Support du châssis totalisateur: On a remarqué que, dans certaines conditions, lorsqu'on ajoutait des sommes dans le totalisateur, ce dernier par suite de sa portée    importante   avait tendance à    plier.   Pour éviter cet inconvénient, on a fixé un hauban 555    (fig.   65) sur une tige 556, et on a muni son    extrémité   supérieure d'une came 557 travaillant avec un galet 558 fixé sur un levier 559 faisant partie du châssis du totalisateur.

   La came 557 a une forme telle que lorsque le totalisateur bascule et embraye avec les entraîneurs comme le représente la    fig.   65, un levier en deux    parties   560    fixé   sur l'arbre de basculement 398, engrène un goujon 561 du levier 555, fait basculer la came 557 et l'embraye avec le galet 558, ce qui soutient l'ensemble totalisateur. 



  Mise en place des dispositifs d'impression des    montants:   Afin d'imprimer les montants enregistrés sur une carte de compte, sur un livret et sur une bande de contrôle, on a utilisé un certain nombre de roues    imprimeuses   465    (fig.   8, 68A et 68B) montées sur des arbres 463 portés entre les paires de plaques 175. 



  Ainsi qu'on l'a représenté, la carte de compte est conçue pour recevoir les montants dans quatre colonnes différentes et on utilise par conséquent quatre ensembles de roues    imprimeuses   465 dans la section d'impression prévue pour la    carte.   Ces quatre colonnes sont représentées à la    fig.   68A avec les    en-iêtes     Retrait  ,   Intérêt dépôt  ,   Solde   et   Ancien Solde  . Une cinquième colonne permet d'inscrire les dates et un libellé. 



  Le livret est conçu de façon à recevoir les montants dans trois colonnes et on doit par conséquent utiliser trois groupes de roues    im-      primeuses   465 pour la partie réservée à l'impression du livret. Ces colonnes sont semblables aux colonnes de la carte, sauf qu'il n'y a pas de colonne   Ancien Solde  . 



  Il n'y a qu'une seule colonne de données imprimée sur la bande de contrôle et par conséquent un seul ensemble de roues    imprimeuses   465    suffit   pour imprimer sur cette bande. Les    fig.   68A et 68B représentent les vues de profil des différents groupes de roues    imprimeuses   465. 



  Chaque roue ou molette 465 est positionnée suivant la somme à enregistrer dans le totalisa- 

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    teur,   à l'aide du mécanisme    différentiel   de montant. Ce mécanisme    différentiel   commande la position d'une glissière 466    (fig.   8) munie d'encoches de façon à    pouvoir   être    portée   par les barres transversales 251 et 252. Cette glissière est réglée au cours de chaque opération de façon à représenter le montant à enregistrer dans le    totalisateur   et elle reste dans cette position jusqu'à ce qu'on lui attribue une nouvelle position au cours de la première opération suivante.

   Au cours de chaque opération, lorsque la tige principale 275 bascule dans le sens    dex-      trorsum      (fig.   8) autour de l'arbre 280 et libère les pièces    différentielles   250, la tige principale 275 vient contacter une arête 467 de la glissière 466 et la déplace vers la droite jusqu'à une position que l'on désignera dans ce qui suit par   position    éliminée    ; c'est-à-dire la position que la glissière 466 occupe lorsque la roue    imprimeuse   465 se trouve dans la position    d'élimination   du zéro, position pour laquelle il y a un blanc à l'endroit de la roue    imprimeuse   correspondant à la ligne d'écriture.

   Une fois que l'on a ajusté la glissière différentielle 250 à l'aide de la commande des touches à montants 120 ou de cliquet d'arrêt de zéro 258, suivant la méthode indiquée plus haut, et une fois que l'on a placé la glissière 466 dans sa position éliminée, les deux glissières sont couplées à l'aide - d'un bras de couplage 468    articulé   sur la glissière 466 au moyen d'un goujon 469, et muni de deux dents de couplage 470. Ces dents sont en prise avec les dents placées sur les bords inférieurs de la glissière différentielle 250. Normalement, les dents 470 sont ainsi en prise, mais avant que la tige principale 275 ne se déplace, les dents 470 se libèrent de la glissière différentielle 250, de sorte que ces glissières peuvent être déplacées indépendamment l'une de l'autre.

   Une fois que les glissières 466 et 250 ont atteint leurs nouvelles positions, le bras de couplage 468 bascule de nouveau dans le sens    senestrorsum   et couple ensemble les deux glissières, après quoi la tige principale 275 bascule dans le sens    senestrorsum      (fig.   8) pour, à ce moment-là, faire passer la glissière différentielle 250 de la position dans laquelle elle se trouvait à sa position de repos. Pendant ce mouvement, la glissière de réglage du dispositif d'impression 466, couplée à la glissière 250 est amenée de sa position éliminée à la position correspondant au montant à enregistrer dans le totalisateur à l'aide de cette glissière différentielle 250. 



  Le débrayage et l'embrayage du bras de couplage 468 s'effectue par l'intermédiaire d'une came 471, montée sur un axe 461. La came 471 est munie d'une gorge 472 dans laquelle s'introduit une tige universelle 473 qui est placée dans la machine de façon à pénétrer dans la fente 472 du levier 471 de chaque mécanisme    différentiel   de montant. La tige principale 473 est portée par un certain nombre de bras 474 articulés sur un axe 462. Prés du centre de la machine et à côté de l'un des bras 474, se trouve un bras 475 dont la partie supérieure se divise en deux et enserre la tige principale 473. Un cliquet de couplage 476 pivote sur le bras 475 au moyen d'un goujon 477. Le cliquet de couplage 476 est muni d'un bec placé sur le trajet d'un épaulement 479 d'un bras 480 solidaire d'un levier coudé 481, articulé sur l'axe 462.

   Le levier coudé est muni de deux galets 482, maintenus au contact de deux cames 483, fixées sur l'arbre à cames principal 200. 



  Lorsque cet arbre 200 tourne au cours du fonctionnement de la machine, la came 483 coopère avec les galets 482 et fait d'abord basculer l'équerre 481 dans le sens    senestrorsum      (fig.   8), puis dans le sens contraire. Pendant le premier mouvement, l'épaulement 479 placé sur le bras 468 entraîne le bec du cliquet 476 et fait basculer le bras 475, l'axe 462 et la tige principale 473 dans le sens    senestrorsum   et ce mouvement, par l'intermédiaire de la fente 472, fait basculer le bras 471 dans le sens    dextrorsum.   Il en résulte qu'un doigt 484, fixé à ce bras, vient contacter un goujon 485 fixé au bras de couplage 468 et fait basculer celui-ci dans le sens    dextrorsum   ce qui libère les dents 470 des dents correspondantes de la glissière différentielle 250.

   Lorsque la position de celle-ci a été réglée suivant la commande effectuée à l'aide des touches de montants ou du cliquet d'arrêt à zéro et lorsque la glissière de positionnement des roues d'impression s'est 

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 déplacée jusqu'à sa position éliminée les cames 483 font basculer l'équerre 481 et le bras 480 dans le sens    dextrorsum   et en agissant par l'intermédiaire d'un doigt 486 sur le bras 480, viennent en prise avec la tige principale 473 et la ramènent à sa position initiale en le faisant tourner dans le sens    dextrorsum.   Par ce mouvement, la tige principale 473 agit sur la came 472 et soulève le bras 471, et par l'intermédiaire du goujon 485, engrène de nouveau les dents 470 avec les dents placées sur la face inférieure de la glissière différentielle 250. 



  Une fois que le bras de couplage 468 est à nouveau en prise avec les dents de la glissière 250, la tige universelle 275 ramène cette glissière à sa position de repos.    Etant   donné que ces deux glissières sont couplées par le bras 468 au moment où la glissière 250 est rappelée à sa position d'origine, la glissière 466 de positionnement des caractères est déplacée dans une position qui représente le montant enregistré au totalisateur. 



  Les roues    imprimeuses   de montants 465    (fig.   8), pour les huit groupes de roues représentées aux    fig.   68A et 68B, sont réglées par les glissières de positionnement 466 de la manière décrite pour l'une des rangées de montants. Cette glissière 466    (fig.   8) comporte des dents 496 engrenant avec un pignon 497 qui tourne sur un arbre 498, prévu en nombre égal à celui des rangées de montants. Au pignon 497 est connecté,    grâce   à un moyeu 499, un segment 500 (voir également    fig.   68A et 68B) qui est en prise avec une couronne dentée 501 munie d'une denture interne 502 engrenant avec un pignon 503 monté sur un arbre carré 504.

   On a prévu un arbre 504 pour chaque rangée de montant et cet arbre s'étend le long de toutes les couronnes dentées. Des couronnes dentées 505 sont disposées dans chaque groupe de roues    imprimeuses   465 et en alignement avec ces couronnes, sur l'arbre 504 se trouve un pignon analogue au pignon 503, en prise avec les dents internes de la couronne 505. Chacune de ces couronnes 505 est munie de dents 508 qui engrènent avec des encoches en forme de dent prévues dans les roues    imprimeuses   465 qui peuvent être ainsi positionnées suivant le réglage reçu par les couronnes dentées. 



  On voit, d'après ce qui précède, que la position de la glissière de positionnement 466 est transmise, par les dents 496, le pignon 497, le segment 500, la couronne dentée 501, le pignon 503 et l'arbre carré 504 jusqu'à la couronne 505 qui positionne    correctement   les roues 465    conformément   au montant enregistré.

   Les glissières de positionnement 466 sont commandées dans leur mouvement de façon que les zéros ne soient pas imprimés à gauche du chiffre significatif de l'ordre le plus élevé.    Mécanisfne      différentiel   des transactions: Les touches 121-129 de la rangée 1 ou première rangée des transactions, les touches 131-139 de la rangée 2 des transactions, et les touches 141-149 de la rangée 3 des transactions commandent toutes le fonctionnement d'un mécanisme différentiel prévu dans chacune de ces rangées. Ces mécanismes sont réglés    différentiellement   pour commander les opérations de la machine, l'embrayage et le débrayage des totalisateurs convenables avec les entraîneurs pour les additions et soustractions, ainsi que les opérations de total.

   La troisième rangée des transactions peut aussi sélectionner l'un des totalisateurs intercalés sur le groupe pour son embrayage avec les entraîneurs. Les mécanismes différentiels de ces rangées sont identiques et on ne décrira que celui de la rangée 3. 



  Chaque touche de transactions porte un goujon carré 597 qui coopère avec une glissière différentielle 689    (fig.   13 et 16). Les carrés 597 font saillie alternativement à gauche et à droite sur le trajet de brides 690 prévues alternativement sur la glissière 589. La relation entre les carrés 597 et les brides 690 est telle que lors du fonctionnement par suite d'une touche enfoncée, la glissière 689 est    arrêtée   à une position proportionnelle à la position de cette touche.

   La glissière 689 est fendue à ses extrémités de manière à être supportée et à glisser sur des colliers 691 et 692 portés par des goujons 693 et 694 respectivement. 

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 La    glissière   689 comporte des dents 696 en prise avec un secteur 697    (fig.   16) solidaire d'un bras 698 muni d'une ouverture 699 dans laquelle pénètre un goujon 700 d'un verrou 701    (fig.   14, 15 et 16). Le bras 698 pivote en 702 sur le bâti de la machine. Le verrou 701 pivote sur un goujon 703    porté   par un bras 704 tournant sur un axe 702. Une barre 705 articulée en 706 sur un bras 704 porte à son extrémité un goujon 707 pénétrant dans une fente 708 pratiquée dans un bras 709 pivotant également sur le goujon 702.

   Le bras 709 comporte un segment 710 en prise avec des dents 711    (fig.   13) d'une glissière de commande 712. Cette glissière de    commande   coulisse dans les colliers 691 et 692 et sur un goujon 688 placé entre les parois 168 et 165 (fi-, 3). 



  Le verrou 701    (fig.   14 et 15) est muni d'un pied 713 engagé normalement dans une encoche 715 d'un    entraîneur      différentiel   716 tournant autour de l'axe 702 et muni d'une encoche 717 dans laquelle pénètre un goujon 718, placé à l'extrémité libre d'un levier 719 pivotant en 720 sur les parois 161 et 179. Le levier 719 est solidaire d'un bras 733 (fi-. 13) à l'aide d'un manchon 721. Le bras 733 est muni de deux galets 722 qui coopèrent avec une double came 204. fixée au manchon 199 (se reporter également à la    fig.   7) de façon à être entraînée par celui-ci. Le levier 719 est muni d'un galet 724, qui peut venir au contact d'une surface 725 de la traverse 705 ainsi qu'on le décrira plus loin. 



  Les doubles cames 204 destinées à faire fonctionner les mécanismes différentiels de la première et de la deuxième rangée de transactions sont    fixées   au manchon 203    (fig.   7). 



  Lorsque ces cames 204 tournent, par suite de la rotation des    manchons   199 ou 203 ,le bras 733 bascule et fait pivoter le levier 719 dans le sens    dextrorsum,   mouvement qui par l'intermédiaire de l'axe 718 et de l'encoche 717, fait basculer de la même façon l'entraîneur différentiel 716 et à ce moment, ce dernier entraîne le verrou 701 et par l'intermédiaire du goujon 700, fait basculer le bras 698 dans le sens    dextrorsum      (fig.   16). Ce mouvement a pour effet de déplacer la    glissière   689 vers la droite    (fig.   13). par l'intermédiaire de segment 697, jusqu'à ce que la bride 690 de ce segment vienne au contact du goujon 579 porté par une touche enfoncée.

   Ceci arrête la glissière 689 dans une position dépendant de la touche enfoncée et place au même instant le bras 698 dans la position    correspondante.   L'arrêt du bras 698, par l'intermédiaire de la fente 699 coopérant avec le goujon 700, fait tourner le verrou 701 dans le sens    senestrorsum   autour de son axe 703, ce qui écarte le talon 713 de l'encoche 715 et empêche tout mouvement ultérieur du bras 704. Le mouvement dans le sens    senestrorsum      (fig.   14) du verrou 701 fait que sa bride 726 pénètre dans une encoche correspondante 727    (fig.   13) d'une plaque de verrouillage 728, portée par les goujons 720 et 693.

   La continuation du mouvement de l'entraîneur 716, lorsque le verrou 701 est dégagé, déplace une arête 729    (fig.   15) concentrique à celui-ci et l'amène au-dessous du talon 713, ce qui verrouille positivement le verrou 701 et le bras 704 dans la position acquise; il en résulte que le pivot 706 de la traverse 705 est également verrouillé dans une position correspondant à la touche enfoncée. 



  Au cours du mouvement de verrouillage dans le sens    dextrorsum   du levier 719    (fig.   14 et 15), le galet 724 fixé sur ce levier vient au contact de l'arête 725 de la traverse 705 et fait basculer celle-ci autour du goujon verrouillé 706. Le mouvement de la traverse 705 autour de l'axe 706 fait passer le goujon 707 dans la fente 708, ce qui fait basculer le bras 709 et le segment 710 dans une position correspondant à celle dans laquelle le bras 704 a été positionné et verrouillé au moyen du verrou 701. Ce réglage de la position du segment 710, au moyen des dents 711 de la glissière 712, place cette dernière dans une position correspondant à la position réglée de la glissière    différentielle   689. 



  Une fois que la glissière de commande 712 a été placée à l'aide de la traverse 705 suivant le processus que l'on vient de décrire, les cames 204 font basculer de nouveau le levier 719 dans le sens    senestrorsum      (fig.   13) et ramènent l'entraîneur différentiel 716 à sa position de repos. Pendant ce mouvement, au moment où 

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 l'encoche 715 vient de nouveau se placer    au-      dessous   du talon 713, celui-ci    tombe   derrière l'encoche 715 et, pendant la suite du mouvement dans le sens    dextrorsum,   l'entraîneur 716, agissant par l'intermédiaire d'un galet 714, entraîne le bras 704 et le ramène avec le verrou 701 à leur position de repos.

   Pendant ce mouvement, le segment 710 et la glissière de commande 712, sont maintenus à leur position acquise de toute manière connue et, par conséquent, la traverse 705 pivote autour de l'axe 707. Le segment 710 reste dans sa position jusqu'à ce qu'il reçoive une nouvelle position au cours du cycle de fonctionnement suivant. 



  La troisième rangée de touches de transactions commande trois roues    imprimeuses   destinées à imprimer un symbole dans la première colonne de la carte, dans la première colonne du livret et sur la bande de contrôle. Ces roues    imprimeuses   735 sont représentées sur les    fig.   68A et 68B. 



  La deuxième rangée de touches de transactions positionne cinq roues    imprimeuses   755 destinées à imprimer des symboles dans la première, la troisième et la cinquième colonne de la carte, dans la quatrième colonne du    livret,   ainsi que sur la bande. 



  La première rangée de touches de transactions règle la position de trois roues    imprimeuses   de symboles 754 destinées à imprimer un symbole dans les quatrièmes colonnes de la carte et du livret, ainsi que sur la bande. 



  On va maintenant décrire la mise en place de la roue    imprimeuse   735 commandée par la troisième rangée de touches de transactions et il importe de bien comprendre que les roues 754 et 755 sont respectivement réglées de façon analogue sous la commande des différentiels des première et deuxième rangées de transactions. 



  Des dents 736 sont prévues sur la surface inférieure de la glissière de commande 712    (fig.   13) qui engrène avec un segment 737 pouvant tourner autour de l'axe 498 (voir également    fig.   68B). Un segment 739 est relié au segment 737 par un manchon 738 et il entraîne une couronne 740 montée sur un disque 741 porté par un axe 510. Un pignon 742 engrène avec les dents internes de la couronne 740 et est monté sur un axe carré 743 disposé entre les parois latérales 160 et 161    (fig.   3). Un pignon, semblable au pignon 742, est monté à l'intérieur d'une couronne semblable à la couronne 740 adjacente à chacune des roues 755.

   Ce pignon est monté sur l'axe carré 743, de    sorte   que les couronnes des    différentes   roues    impri-      meuses   tournent et règlent la position de ces roues pour chacune desquelles un symbole doit être imprimé. 



  On positionne à l'aide de mécanismes analogues la position des roues à symboles correspondant aux première et seconde rangées de transactions. 



  Mécanisme    d'embrayage   des totalisateurs: Ainsi qu'on l'a décrit plus haut le    totalisateur   sélectionné dans le    groupe   arrière de totalisateurs bascule et vient en prise avec l'entraîneur 270 en faisant basculer l'axe 293    (fig.   8, 11, 56, 57). Un axe de basculement analogue 398    (fig.   11) est prévu pour le totalisateur    addition-soustrac-      tion   et il    suffira   de décrire le mécanisme d'embrayage du groupe arrière. 



  On peut faire basculer l'axe 293 dans les opérations d'addition ou de total, et l'on peut de même faire basculer l'axe 398 pour effectuer les opérations d'addition, de soustraction et de total. Le total peut se faire soit par lecture, soit par remise à zéro. Le basculement de l'axe 293 destiné à embrayer le totalisateur avec l'entraîneur est commandé par une série de disques à encoches, dont la position est réglée par les mécanismes différentiels des trois rangées de touches de transactions. La mise en place de ces disques détermine quel groupe de totalisateurs doit être embrayé et détermine également si le mouvement d'embrayage doit avoir lieu pendant la période d'addition, de soustraction, de lecture ou de remise à zéro.

   La commande s'effectue à l'aide d'une série de palpeurs qui viennent contacter la périphérie des disques à encoches et    déterminent   les connexions qu'il convient    d'établir   pour obtenir les différents mouvements d'embrayage et de synchronisation. Un plateau de commande est également destiné à régler la durée et l'instant d'embrayage des palpeurs de commande au cours du fonctionnement de 

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 la machine. L'ensemble des disques à encoches destinés à la commande des différents mouvements d'embrayage des totalisateurs comprend les disques 801, 802, 803, 804, 805 et 806    (fig.   43) ; sur cette figure les disques sont représentés vus en plan.

   Les disques 801 à 806 sont placés juste à l'extérieur du    flasque   latéral de droite 161    (fig.   67B). Les disques 801, 804 et 806    (fig.   43, 46, 48, 52 et 55) sont commandés par la première rangée de touches de transactions, lorsque la position de la glissière de commande 712 est commandée par les touches 121 à 129, ainsi qu'on l'a indiqué plus haut. En bref, chaque segment 739    (fig.   13) est en prise avec une couronne 760, pouvant tourner autour d'un disque 761, porté par un axe 632. Un axe carré 763 destiné à chaque rangée relie la couronne 760 à chacun des disques, un moyen de pignons montés sur ledit arbre et engrenant avec les dents internes de ces disques. 



  La position du disque 802    (fig.   43, 45 et 50) est commandée par la deuxième rangée de touches de transaction tandis que le disque 803    (fig.   43, 44 et 49) est commandé par les touches de la troisième rangée. Le disque 805 maintient normalement des palpeurs, que l'on décrira plus loin, éloignés du disque de commande jusqu'à l'instant convenable au cours du fonctionnement de la machine et, à ce moment, le disque 805 bascule et relâche ces palpeurs. 



  Lorsqu'il faut    embrayeruntotalisateur   faisant partie du groupe arrière    ouletotalisateuraddition-      soustraction   avec l'une des crémaillères entraîneuses 270 ou 269 afin    d'effectuer   une addition, l'axe de basculement du    totalisateur   choisi 293 ou 398 est couplé à un croisillon d'embrayage d'addition 810    (fig.   53 et 58), tournant sur un axe 809 et l'on fait basculer ce croisillon au temps de l'addition. Si l'on désire embrayer le totalisateur choisi pour une opération de total on couple ces axes avec un croisillon de total 811    (fig.   52 et 58) qui bascule aux temps de total, soit pour la lecture, soit pour la remise à zéro. 



  Les liaisons de couplage entre les croisillons 810 et 811 et l'axe d'embrayage    dutotalisateur293      (fig.   58) du groupe arrière, comprennent un goujon 813 porté par une bielle 814 articulée à un bras 815, fixé à l'arbre d'embrayage 293. Le goujon 813 se trouve normalement dans la position intermédiaire, dans laquelle    il   est séparé des croisillons 810 et 811. Lorsque la biellette 814 bascule dans le sens    dextrorsum   (fi-. 58) autour de son axe fixé au bras 815, le goujon 813 se trouve dans une encoche 816 du croisillon d'addition 810; alors, au moment du basculement de ce dernier    letotalisateur      arrière   embraye avec les entraîneurs 270, puis s'en dégage aux temps d'addition.

   Si l'on fait basculer la biellette 814 dans le sens    senestrorsum      (fig.   58) le goujon 813 pénètre dans une encoche 817 du croisillon de total. A ce moment, et pendant le fonctionnement de la machine, l'arbre d'embrayage du totalisateur 293 bascule soit au temps de    lalecture   soit au temps de la remise à zéro, selon l'instant auquel on reçoit le mouvement du croisillon de total 811. 



  Le croisillon d'embrayage d'addition 810    (fig.   53) bascule aux temps d'addition sous l'action de deux cames 820 fixées à l'arbre à cames déjà mentionné 200. Des galets 821 coopèrent avec ces cames 820 et sont    portés   par un levier coudé 822 articulé sur un axe 823 fixé sur la partie droite du châssis. Une bielle 824 relie le levier coudé 822 au croisillon d'embrayage d'addition 810. 



     Lorsquelegoujon   813 du totalisateur arrière s'engage dans l'encoche 816, les cames 820, agissant par l'intermédiaire des galets 821, font basculer le levier coudé 822 d'abord dans le sens    dextrorsum      (fig.   53) puis dans le sens contraire, ce qui fait basculer le croisillon 810 dans les sens inverses. Le premier de ces mouvements fait basculer l'axe 293 dans le sens    dex-      trorsum,   par l'intermédiaire du goujon 813, de la bielle 814 et du bras 815. Le mouvement dans le sens    senestrorsum   de l'axe 293    (fig.   57), par, l'intermédiaire du levier 299, du goujon 298, du galet 295 et de la fente 294 du levier 292 fait basculer les roues totalisatrices 290 et les embraye avec les entraîneurs 270.

   Les temps de fonctionnement des cames 820 sont tels qu'elles font basculer le croisillon 819 dans le sens initial c'est-à-dire    senestrorsum,   une fois que la position des entraîneurs 270 a été fixée à l'aide des touches de montants. Une fois que le totalisateur est embrayé les entraîneurs revien- 

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    nent   à leur position initiale et ce mouvement enregistre les sommes correspondant à la position des entraîneurs dans le totalisateur sélectionné. Puis, une fois que les entraîneurs 270 ont fait cet enregistrement, les cames 820 font basculer le croisillon 810 dans le sens    dextrorsum   ce qui, par l'intermédiaire du goujon 813 débraye les éléments du totalisateur des entraîneurs 270. 



  Le déplacement du goujon 813 dans l'encoche 816 du croisillon d'addition 810 est commandé par les disques 801, 802 et 803    (fig.   43). Non seulement le goujon 813 pénètre dans le plan de l'encoche 816 du croisillon 810, mais il pénètre également dans une ouverture 825    (fig.   46) d'un levier coudé 826 articulé sur un axe 827 porté par le châssis de la machine. Le levier coudé 826 est muni d'un goujon 828, qui est normalement maintenu par deux cliquets à ressorts 829 et 830. Un ressort 831, tendu entre un crochet du cliquet 829 et un crochet du cliquet 830, maintient normalement ces deux cliquets contre les faces opposées du goujon 828. Les cliquets 829 et 830 entourent également un goujon 832 fixé sur une pièce à trois bras 833, pouvant tourner autour de l'axe 809.

   Cette pièce à trois prolongements 833 est reliée à un levier coudé 834 par une biellette 835. Le levier coudé 834 est monté sur l'axe 823 et est muni de deux galets 837 coopérant avec deux cames 836 fixées sur l'arbre à cames principal 200. 



  Les cames 836, par l'intermédiaire du levier coudé 834, de la biellette 835 et de la pièce à trois prolongements 833, déterminent la position du goujon 832. Lorsqu'il se trouve dans sa position normale, ou position de repos, le goujon 832 commande la position des cliquets 829 et 830    ((fig.   46), de sorte que le levier coudé 826, par l'intermédiaire de son ouverture 825, maintient le goujon 813 en position normale, ou position de repos; c'est-à-dire dans une position pour laquelle il n'est en prise ni avec le croisillon d'addition 810, ni avec le croisillon de total 811. 



  *Le moment auquel fonctionnent les cames 836 est choisi de façon qu'elles fassent basculer dans le sens    dextrorsum,   la pièce 833 à trois prolongements    (fig.   46), au début de l'opération puis lorsque les entraîneurs 270 ont été mis en place, les cames 836 font basculer la pièce 833 à trois prolongements dans le sens inverse jusqu'à sa position de repos et même au-delà. Presque à la fin du cycle, les cames 836 ramènent de nouveau la pièce 833 à trois prolongements à sa position de repos.

   Si le levier coudé 826 est libre de fonctionner au cours du mouvement    senestrorsum   de la pièce à trois prolongements 833 et du goujon 832, ce dernier fait basculer le cliquet 830 dans le sens    dextrorsum   et, par l'intermédiaire du ressort 831, fait basculer le cliquet 829 dans le même sens, entraînant ainsi avec lui le goujon 828 et le levier coudé 826, ce qui ramène le goujon 813 dans l'encoche du croisillon d'addition. 



  Ce sont les disques à encoches 801, 802 et 803 qui commandent si le levier coudé 826 doit se déplacer dans le sens    dexti#orsum   et entraîner le goujon 813 et l'encoche 816 ou non. Le mécanisme destiné à commander le mouvement du levier coudé 826 comprend une biellette 840    (fig.   46), dont une extrémité est articulée sur le levier coudé 826, et dont l'autre extrémité est portée entre deux palpeurs 841 et 842. Les palpeurs 841 et 842 sont reliés de façon à se déplacer comme un tout, et sont articulés sur un axe 843.    L'extrémité   libre du palpeur 841 est munie d'un goujon 844 qui coopère avec la périphérie des disques de commande 804 et 805 (voir également    fig.   54 et 55). 



  Un cliquet pivotant est relié à    l'extrémité   inférieure du palpeur 842 et est muni d'un doigt 894 qui coopère avec le disque de commande 803    (fig.   44) et un doigt 895    (fig   45) qui coopère avec le disque de commande 802. Les doigts 894 et 895 sont reliés par un axe 853 de façon à constituer un cliquet 893, et cet axe pénètre entre deux cliquets maintenus par des ressorts 897 articulés sur un prolongement du palpeur 842. Le cliquet 897, maintenu par des ressorts, maintient normalement le cliquet 893 dans sa position centrale. Un troisième doigt 896    (fig.   46) est placé sur le palpeur 842 et coopère avec le disque de commande 801. 



  Lorsque la pièce 833 bascule dans le sens    senestrorsum   à    partir   de sa position située    au-      delà   de sa position de repos dans l'autre sens le goujon 832 fait basculer dans le sens    destror-      sum   le cliquet 830 maintenu par des ressorts 

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    (fig.   46), ce qui amène le ressort 831 à pousser le cliquet 829 et fait tourner le goujon 828 et le levier coudé 826 dans le sens    dextrorsum.   Si le levier coudé 826 est ainsi libre de se déplacer sous l'action du ressort 831, par suite de la présence d'une ou de plusieurs encoches en face des doigts 894, 895 et 896, le cliquet 829, par l'intermédiaire du goujon 828 et du levier coudé 826,

   fait pénétrer le goujon 813 dans l'encoche 816 du    croisillon   d'addition 810. Si le doigt 896 ou les deux doigts 894 ou 895 contactent une partie saillante de leurs disques de commande respectifs 801, 802 ou 803, la biellette 840 s'arrête et le goujon 813 ne peut entraîner le croisillon d'addition 810. 



  Les encoches des disques 801, 802 et 803 que l'on a représentées ici, sont destinées au système particulier que l'on décrit. Il importe de bien comprendre que l'on peut modifier la disposition de ces encoches suivant n'importe quel système auquel on désire adapter la machine. 



  L'instant auquel fonctionne le palpeur 841 est commandé par le disque 805    (fig.   54). Une    biellette   900 relie le disque 805 à un levier coudé 901 muni d'une came 902. Un ressort 903 maintient normalement un bras inférieur du levier coudé 901 contre un goujon 908, porté par la paroi latérale de la machine. Le ressort 903 a normalement tendance à faire basculer le disque 805 dans le sens    dextrorsum   et par conséquent à faire basculer dans le même sens le levier coudé 901 autour de l'axe 905. On utilise un goujon 906 monté sur l'une des deux cames 204 de l'un des mécanismes différentiels des transactions pour faire fonctionner le levier coudé 901.

   Le goujon 906 est ainsi placé sur la carne 204 de sorte que, après la mise en place des disques de commande 801, 802, 803 et 804, au moyen. de ces mécanismes différentiels, le goujon 906 vient au contact de la came 902 et fait basculer le levier coudé 901 dans le sens    senestrorsum      (fig.   54) et ce mouvement, par l'intermédiaire de la biellette 900, fait basculer le disque de commande 805 dans le sens    senes-      trorsum   laissant ainsi retomber le palpeur 841 sous l'action de son ressort (non représenté). Mécanisme    d'embrayage   des totalisateurs - Lec- ture et    remise   à zéro: Le croisillon d'embrayage de total 811 est déclenché au moment de la    remise   à zéro par deux cames 855    (fig.   51).

   Les cames 855 sont serrées sur le manchon 208. Deux galets 856 coopérant avec ces cames 855 sont montés sur un levier coudé 854, relié à un levier 857 monté sur un axe 853. Le levier 857 est muni d'une encoche 858 en prise normalement avec un galet 859, monté sur un goujon 861 porté par une biellette 860 que l'on décrira ultérieurement; et à ce goujon 861 est également reliée une biellette 862 dont    l'extrémité   supérieure est articulée sur le croisillon d'embrayage de total 811    (fig.   52). 



  Lorsque les cames 855 tournent, le bras 857 bascule dans le sens    senestrorsum      (fig.   51), soulève la biellette 862 et par suite fait basculer le croisillon de total 8l1 dans le sens    senestror-      sum      (fig.   52). Si, à ce moment, le goujon 813 se trouve dans l'encoche 817 du croisillon 811, le groupe de totalisateur choisi bascule, et vient embrayer avec les entraîneurs 270 avant que ces entraîneurs 270 ne fonctionnent, ce qui remet à zéro les cylindres du totalisateur. Une fois que les roues totalisatrices ont été remises à zéro, le croisillon 811 bascule de nouveau dans le sens    dextrorsum   (fi.. 52) et revient à sa position de repos sous l'action des cames 855    (fig.   51), ce qui libère les roues des entraîneurs 270.

   Une fois que ces roues sont ainsi débrayées, les crémaillères des entraîneurs reviennent à leur position au repos. 



  Le galet 859 est normalement maintenu dans l'encoche 858 de la came 857 à l'aide d'une liaison actionnée par une came 863    (fig.   52). Un galet 864 coopérant avec la came 863 est porté par un levier coudé 865, articulé sur un axe 866. Ce levier 865 est relié à un levier 867 par une biellette 868. Un ressort 869 dont une extrémité est fixée à un goujon lui-même fixé à la paroi latérale de la machine et dont l'autre extrémité est fixée à un axe 871 de la biellette 868 maintient normalement le galet 864 contre le 

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 pourtour de la came 863. Le levier 867 est articulé sur un axe 872 et la biellette 860 est    articulée   à son extrémité supérieure. 



  Pendant le fonctionnement de la machine, lorsque la came 863    (fig.   52) tourne, le ressort 869 fait tourner le levier coudé 865 dans le sens    dextrorsum,   ce qui déplace la biellette 868 vers la gauche    (fig.   52) et amène un palpeur 873 du levier 867 au contact de la périphérie du disque de commande à encoches 806. Si le palpeur 873 du levier 867 rencontre une partie saillante du disque, le galet 859 reste dans l'encoche 858 de la came 857 et par conséquent le croisillon 811 est basculé en position de repos pendant le fonctionnement de la machine.

   Le disque à encoches 806 est réglé sous la commande de la première rangée de transactions et, lorsque la machine fonctionne, la touche 122 de    Sous-Total   Solde ou la touche 127 de Total étant enfoncée, une encoche du disque 806 vient s'aligner avec le palpeur 873. Toute autre touche de la première rangée qui a été enfoncée, place un bossage du disque 806 en face du palpeur 873 de façon que le galet 859 reste dans la rainure 858 du bras 857, et ainsi, le croisillon 811 est renvoyé au repos. Pendant cette opération, le groupe de totalisateurs sélectionné est remis à zéro. 



  Le croisillon de total 811 est basculé en position de lecture par les cames 855 associées à une paire de cames comprenant la came 863 et une came 878    (fig.   52). Pendant les opérations de lecture, le croisillon 811 est basculé dans le sens    senestrorsum      (fig.   52) par les carnes 855 et dans le sens    dextrorsum   par les cames 878. Les commandes correspondantes se font comme suit: Comme mentionné ci-dessus, lorsque la touche 122 de Sous-Total ou la touche 127 de Total est enfoncée et que la machine fonctionne, le mécanisme    différentiel   des transactions ajuste le disque 806 de façon qu'il présente une encoche sur le trajet du palpeur 873.

   Pendant cette opération de la machine, le totalisateur ayant été embrayé avec les entraîneurs puis remis au zéro, la    carne   863 relâche le levier coudé 865, la biellette 868 et le levier 867 pour permettre au palpeur 873 de s'introduire dans l'encoche du disque 806. Quand le    doigt   palpeur 873 entre dans ladite encoche, le ressort 869 bascule le levier 867 de sa position indiquée sur la    fig.   52 dans le sens    dextrorsum   et déplace la bielle 860 vers la droite pour écarter le galet 859 de l'encoche 858 et le placer dans une encoche 874 d'un bras 875, pivotant sur le goujon 853. Le bras 875 est muni d'une paire de galets 877 qui coopèrent avec les cames 863 et 878 solidaires de l'engrenage 207. 



  La synchronisation relative des cames 855 et 863 - 878 est telle que le    premier   mouvement de ces cames bascule respectivement les bras 857 et 875, en même temps et dans le sens    senes-      trorsurn      (fig.   52). Ensuite, si la came 863 relâche le palpeur 873 et si le palpeur engrène un bossage du disque de commande 806, le galet 859 demeure dans l'encoche du bras 857.

   La came 855 bascule alors le bras 857, dans le sens    dex-      trorsum,   dans sa position    normale   et entraîne la biellette 862 afin de débrayer le totalisateur des entraîneurs, en position de repos.    Etant   donné que le bras de came 857 commence à tourner avant le bras 875, celui-ci présente un évidement pour le galet 859, pendant le retour de la biellette 862. 



  Si, durant le fonctionnement de la machine, le palpeur 873 s'engage dans une encoche du disque 806 après la rotation (dans le sens    senestrorsum)   des arbres 857 et 875, le galet 859 est placé dans l'encoche 874 du bras 875. Alors, le bras 857 retourne en position inférieure et comme le galet 859 est retiré de l'encoche 858, la biellette 862 reste en position supérieure. Dans la suite du cycle, l'arbre 875 ayant réintégré son logement, l'encoche 874 descend la    biellette   862 pour entraîner le croisillon de total 811 à débrayer le totalisateur des entraîneurs après que le montant a été rétabli dans les totalisateurs. 



  D'après ce qui précède, on- voit que les bras 857 et 875 sont entraînés simultanément dans le sens    senestrorsum,   le bras 857 embrayant les totalisateurs sur les entraîneurs. Les bras ayant tourné dans le sens    senestrorsum   si le palpeur 873 déplace le galet 859 de l'encoche 858 à l'encoche 874, le bras 857 est alors libéré et 

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 le bras 875 remet en place le croisillon 811 pour débrayer le totalisateur au temps dé lecture. 



  A la fin de chaque opération, la came 863 renvoie le levier 865, et par conséquent le palpeur 873 dans leur position de repos indiquée à la    fig.   52. Simultanément, le galet 859 est replacé dans l'encoche 858 du bras 857. 



     Mécanisme   d'embrayage de totalisateur:    tota-      lisateui-      addition-soustraction:   Le mécanisme d'embrayage du totalisateur d'addition-soustraction destiné aux opérations d'addition, de soustraction ou de total, est commandé par le mécanisme que montre la    fig.   47. 



  La pièce à bras multiples 833 porte un goujon 911    (fig.   47) destiné à commander le mouvement du goujon 912 pour    mise   en prise avec le croisillon d'addition 810    (fig.   53) ou le    croisillon   de total 811    (fig.   52). Le goujon 911    (fig.   47) est retenu dans les deux sens par des cliquets à ressort 913 et 914 sollicités par un    ressort   915. Sur un bras 916, pivotant en 917, se trouve un goujon 918 qui est placé également entre les cliquets 913 et 914. Le goujon 912 est monté sur la biellette 919 (voir aussi    fig.   58), articulée à un bras d'entraînement 920 produisant la rotation de l'axe 398 du totalisateur supérieur.

   L'arbre 920 bascule soit en position addition-soustraction, soit en position de remise à zéro, suivant que le goujon 912 est engagé dans l'encoche 923 du croisillon d'addition 810 ou dans l'encoche 924 du croisillon de total 811. 



  La rotation dans le sens    dextrorsum   de la pièce à bras multiples 833 bascule le cliquet 913 dans le sens    senestrorsum,   tendant ainsi le ressort 915 et incitant ainsi le cliquet 914 à tourner dans le sens    senestrorsum.   Ce cliquet peut tourner ainsi si le bras 916 portant le goujon 918, a la possibilité de tourner dans le sens    senestrorsum.   Ce mouvement est commandé par un doigt 925 fixé à un arbre 926 et normalement sur le trajet d'un goujon 9201    porté   par un palpeur 921. 



  La lecture ou le retour au zéro du totalisateur supérieur sont commandés par les touches Solde 121, Sous-Total Solde 122 et Découvert 123. Le bras palpeur 921 doit tourner dans le sens    senestrorsum      (fig.   47) pour embrayer le totalisateur addition soustraction avec le croisillon de total 811. Ce mouvement    senestrorsum   de palpeur 921 est normalement contrôlé par le doigt 925 surmontant le goujon 9201. Le doigt 925 est    fixé   à un arbre 926 auquel est également    fixé   le levier coudé 927 qui se loge entre les goujons 579 de la touche Solde 121 et de la touche Sous-Total Solde 122. Fixé aussi à l'arbre 926 se trouve un bras 9271 qui est surmonté par le goujon 597 de la touche Découvert 123.

   Le levier 927 porte un doigt 929 qui est normalement maintenu au collier 930 par le ressort 928 de façon que le doigt 925 se trouve sur la trajectoire du goujon 9201. L'enfoncement des touches 121, 122, 123 fait que leurs goujons respectifs 597 s'engagent soit avec le levier coudé 927, soit avec le bras 9271, et bascule le doigt 925, comprimant le ressort 928, pour dégager ce doigt 925 de la trajectoire du goujon 9201. Ainsi, la machine étant en fonctionnement, lorsque la pièce à bras multiples 833 est basculée dans le sens    dextrorsum   (fia. 47), la biellette 922 qui relie le bras 921 au bras 916, peut tomber et faire basculer le bras 921    (fig.   47) vers la gauche. Ce mouvement bascule le bras 916 vers la gauche pour placer le goujon 912 dans l'encoche 924 du croisillon de total 811. 



  L'enfoncement de la touche de Solde 121 ou de la touche de Découvert 123 contrôle la position que prend le disque 806 sous l'action du mécanisme différentiel de la première rangée de transaction de façon à placer une partie pleine sur le trajet du doigt 873    (fig.   52) et commander ainsi la position du galet 859 durant la remise au zéro, comme on l'a expliqué    ci-      dessus.   L'enfoncement de la touche de Solde 121 déplace le disque 806 de façon qu'il présente une encoche sur le trajet du doigt 873    (fig.   52) pour la commande du galet 859 lors des opérations de lecture, de la façon décrite ci-dessus. 



  L'enfoncement des touches 121, 122 et 123, contrôle également la    mise   en place du disque 806 de façon qu'il présente une partie haute face au goujon 9201, afin que, pendant les opérations de lecture de solde ou de remise au zéro du solde, le mouvement vers la gauche du bras 

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 palpeur 921 soit empêché    (fig.   47) et que par conséquent le goujon 912 ne puisse s'accoupler au croisillon d'addition 810. 



  Relié au bras palpeur 921, un palpeur adjoint 9211    (fig.   48, 49 et 50) est articulé au goujon 843, les deux bras 921 et 9211 étant solidaires grâce au goujon 9212, au moyen duquel la biellette 922 est reliée au bras palpeur 921. Le bras palpeur 9211 porte un goujon 9202 qui surmonte les disques à encoches 801, 802 et 803. Lorsque la pièce à bras multiples 833    (fig.   47) est déplacée dans le sens    senestrorsum,   au-delà de sa position normale ou de son logement, le ressort 915, agissant sur le cliquet 913, tend à entraîner le bras 916 dans le sens    dex-      trorsum.   Ce mouvement du bras 916 est commandé par les disques 801, 802 et 803 avec lesquels coopère le goujon 9202 de l'arbre 9211.

   Si, lorsque la pièce à bras multiples 833 bascule à gauche, une encoche de chacun des disques 801, 802, 803 est en face du goujon 9202, et une encoche du disque de commande 806 est en face du goujon 9201, le ressort 915 peut faire basculer à droite le bras 921, pour soulever ainsi la biellette 922 et basculer le bras 916 dans le sens    senestrorsum   jusqu'à engager le goujon 912 dans l'encoche 923 du croisillon d'addition 810. 



  Lorsque la touche 124   Moins   est enfoncée et que la machine fonctionne, le disque 801, qui est contrôlé par la première rangée des transactions, présente une encoche sur la trajectoire du goujon 9202. Quand la machine est utilisée avec la touche 134   Plus   de la seconde rangée des transactions enfoncée, une encoche également se présente sur le trajet du goujon 9202. Lors de cette opération, soit la touche A, soit la touche B est aussi enfoncée, par conséquent le disque 801, placé sous le contrôle de la première rangée, présente une encoche au goujon 9202. Les disques 801, 802 et 803 portent, ainsi que l'indiquent les figures, plusieurs encoches pour commander l'embrayage du totalisateur addition-soustraction, chaque fois que le nécessite le système utilisé pour illustrer l'invention.

   Leur emplacement dépend du système désiré auquel la machine doit être adaptée. Mécanisme de déclenchement de la machine: commande des cycles: Lorsque la machine est déclenchée, elle peut effectuer une opération à un cycle ou une opération à deux cycles suivant les touches qui ont été enfoncées dans la première rangée des transactions. Quand la machine exécute une opération d'addition ou de soustraction, elle accomplit un seul cycle. De même, pour la prise d'un total au totalisateur    addition-      soustraction,   sous la commande des touches 121 ou 122 la machine n'effectue qu'un cycle. Par contre, lorsque la machine est commandée par la touche de Découvert 123, la touche de Total 126, ou la touche de Sous-Total 127, elle exécute deux cycles opératoires.

   Pendant le premier, le côté soustraction du totalisateur    addition-      soustraction   est sélectionné, ou, si l'on tire un total du groupe arrière de totalisateurs, ce . groupe est déplacé de façon à sélectionner le totalisateur approprié. Lors du premier des deux cycles, l'arbre à cames principal 200 est bloqué peu après son démarrage, et les cames 204 exécutent deux tours complets. Par   cycle   on entend ici un tour complet des cames 204. 



  Pendant le premier tour des cames 204, le totalisateur sélectionné est décalé de façon à choisir le totalisateur dont on doit extraire le total. Pendant le second tour, l'arbre à cames principal 200 achève sa rotation. Le nouveau mécanisme de commande des cycles permet de simplifier les opérations de total lorsqu'un seul cycle est nécessaire, par exemple lors de la prise d'un total sans découvert du totalisateur    addi-      tion-soustraction.   Une opération de total à deux cycles n'est effectuée que lorsqu'il est nécessaire de sélectionner un totalisateur parmi les totalisateurs intercalés pendant le premier cycle, ou quand il y a un découvert dans le totalisateur    addition-soustraction:

     Pour déclencher le fonctionnement de la machine, l'un des trois coulisseaux 881, 882 ou 883 situés respectivement dans la première, la seconde et la troisième rangées de    transactions      (fig.   23 à 25), est tiré à gauche sous l'action de certaines touches de ces rangées. Les    coulis-      seaux   881, 882 et 883 sont montés sur les 

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 galets 884 portés par les bâtis de touches. Le coulisseau 881 est muni d'un goujon 885 en prise avec un doigt de    l'extrémité   supérieure d'un bras 886 fixé à un arbre 887.

   En enfonçant l'une des touches: Solde (121), Sous-Total Solde (122), Découvert (123), Moins (124),    Ejection   (125), le goujon 579 de l'une ou l'autre de ces touches vient frotter sur une arête-came 888 du coulisseau 881 de façon à le déplacer vers la gauche puis le goujon 885 fait tourner le bras 886 et l'axe 887    (fig.   23) dans le sens    senestrorsum.   Un cliquet 606, fixé de plus à l'axe 887, est normalement engagé sur un goujon carré 610 du bras 608 de l'arbre de déclenchement 264. Un ressort, décrit plus loin, tend normalement à    entramer   l'arbre 264 dans le sens    senestrorsum.   Par conséquent, lorsque l'on dégage le cliquet 606 du goujon 610 par le mouvement du coulisseau 881, le bras 608 et l'arbre sont relâchés pour déclencher la machine. 



  Le coulisseau 882    (fig.   24) de la seconde rangée est déplacé de la même manière que le coulisseau 881, par les touches 131, 132, 133, 134 ou 138. Le coulisseau 882 comporte un goujon 1888, s'engageant sur le bras 889 qui est aussi fixé à l'axe 887. Ainsi, lorsque l'une des touches mentionnées ci-dessus est enfoncée, le coulisseau 882 est tiré vers la gauche de façon à soulever le cliquet 606 du goujon carré 610. 



  De même, le coulisseau 883 (fi-. 25) porte un goujon 890 engagé sur l'extrémité fourchue d'un bras 891 fixé lui aussi sur l'axe 887. En face de chacune des touches 141 à 149 de la troisième rangée de transactions se trouve une arête-came, grâce à laquelle le coulisseau 883 est déplacé à gauche sous l'action de toute touche de cette rangée. En enfonçant une touche, on fait basculer le bras 891 et l'axe 887 pour écarter le cliquet 606 du carré 610. 



  La première rangée de transactions possède une seconde glissière de commande 892    (fig.   22), mobile sur les quatre galets 884 également. cette glissière porte un goujon 1893, engagé sur la bifurcation du bras 1894 coulissant sur l'arbre 887. L'épaulement du bras 1894 repose sur un goujon carré 1895 fixé à -un bras 1896    fixé   également sur l'arbre de déclenchement 264. Par conséquent, avant de pouvoir déclencher la machine à l'aide de l'un des coulisseaux 881, 882 ou 883, il faut auparavant agir sur la glissière 892, ce qui se fait avec les touches 121, 123 et 126 à 129. Les touches 126 à 129 peuvent rester enfoncées grâce aux épaulements 1897 agissant sur les goujons 579 (des touches enfoncées). Elles sont dégagées lorsque la glissière est repoussée sous l'action du poussoir 152.

   En enfonçant l'une de ces six touches de la première rangée, on bascule le bras 1894 de façon à le dégager du goujon 1895, ce qui permet la rotation dans le sens    senestrorsum   de l'arbre de déclenchement 264, après rotation du bras 606. 



  Un bras 937    (fig.   103) fixé à l'axe 264 est connecté à un bras 938 articulé à un axe 940 par l'intermédiaire d'une bielle 939. Un ressort 941, fixé au châssis et, par le goujon 942, à la bielle 939, sollicite vers le bas cette dernière et tend normalement à faire pivoter le bras 938 dans le sens    dextrorsum   et le bras 937 en sens inverse, pour faire tourner l'axe 264 dans le sens    senestrorsum.   Ce mouvement de l'axe 264 est normalement arrêté par les goujons 610 et 1895    (fig.   22 à 35) engagés sur les épaulements des bras 606 et 1894. 



  Lorsque, comme décrit ci-dessus, on enfonce une touche de déclenchement, les bras 606 et 1894 ayant basculé comme indiqué, de façon à dégager leurs épaulements des goujons carrés 610 et 1895, le ressort 941    (fig.   103) en abaissant la biellette 939, fait tourner le bras 938 dans le sens    dextrorsum   jusqu'à dégager le goujon 962    porté   par le bras 938 d'un épaulement d'un levier coudé 946. Une bride 932 du bras 938 s'appuie sur une butée 933 fixée au châssis de la machine, pour limiter le mouvement du bras 938. De même, le mouvement du levier coudé 946 (dû au ressort 949) est limité lorsqu'une bride 947 rencontre une butée 948. 



  Lorsque le bras 938 tourne dans le sens    dextrorsum   (fi.-,. 103), le goujon 962 est écarté de dessous le levier coudé 946 de façon à permettre au    ressort   949 de basculer le levier 946 dans le sens    senestrorsum.   Ce levier coudé 946 est fixé à l'axe 350 (voir aussi fi-. 19) qui    porte   aussi un bras 950. La rotation de l'axe 350 bascule donc le bras 950 à gauche. Un ressort 951 est 

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 fixé, d'une part, à un goujon 952 de l'extrémité supérieure du bras 950 et, d'autre part, à un goujon 953 du levier-interrupteur 954 qui pivote autour du goujon 454 déjà mentionné. Le ressort 951 maintient une arête 955 du bras 954 contre le goujon 952 et, lorsque le bras 950 pivote à gauche, le levier interrupteur 954 pivote à droite.

   Une biellette 956 relie l'extrémité supérieure du levier 954 à un levier coudé 957 articulé en 935 et portant une pièce isolante 958 qui maintient la    lame-interrupteur   959 normalement ouverte. La lame 959 pivote sur le goujon 934. La rotation à droite du levier interrupteur 954, par l'intermédiaire de la biellette 956, bascule le levier coudé 957 à droite. Le ressort 960, attaché à la lame 959, bascule cette lame à droite, en contact avec la lame 961, ce qui ferme le circuit électrique du moteur 1216    (fig.   20) qui entraîne la machine de la manière déjà décrite. 



  Le levier coudé 946    (fig.   103) est fendu pour recevoir un goujon 9621 porté par un bras 963, monté sur l'axe 940. Quand le bras 938 bascule dans le sens    dextrorsum,   sous l'action d'une touche de déclenchement, pour sortir le goujon 962 du bras du levier coudé 946, le bras 963 pivote à droite de façon à placer une arête 964, sur le trajet d'un galet 965    supporté   entre un disque 966 et une came 975 goupillée sur l'arbre à came principal 200. De plus, le déplacement à droite du levier 938 place l'arête 967 sur la trajectoire d'un goujon 9651. 



  Aux deux tiers environ de la rotation de l'arbre à came principal 200 (voir le diagramme des temps -    fig.   106), le galet 965 rencontre l'arête 964 et bascule le levier 963 à gauche    (fig.   103) ce qui fait pivoter à droite le levier coudé 946, et dégage son extrémité libre de la trajectoire du goujon 962. La rotation dans le sens    dextrorsum   du levier coudé 946 fait tourner l'arbre 350 (voir aussi    fig.   19) et tend le ressort 951. Mais, tant que le galet 968 (voir plus haut) reste en contact avec le bossage de la came 969 de l'arbre à came 200, le levier-interrupteur 954 ne peut suivre le bras 950. Ensuite, la rotation du disque 966 et de la came 975 amène le goujon 9651 en contact avec l'arête 967 du bras 938 et le renvoie en position normale.

   Ce pivo-    tement   déplace, par l'intermédiaire de la    biel-      lette   939 et du bras 937, l'arbre de déclenchement 264 au-delà de sa position normale, dans laquelle les bras 606 et 1894    (fig.   22 et 25) se retrouvent sur le trajet des goujons carrés 610 et 1895, respectivement. Le coulisseau à ressort 883 fait tourner alors l'arbre 887 pour rappeler le bras 606 sur le goujon 610. 



  Le goujon 9651 du disque 966 a son extrémité engagée sur un bras 3016 centré sur le bras 938, de façon à maintenir ce dernier une fois que le galet 965 a quitté la surface 967, pour éviter jusqu'à la fin du cycle un déclenchement intempestif de la machine. 



  Lorsque le bras 950 est basculé dans le sens    senestrorsum,   du fait de l'enfoncement d'une touche de déclenchement, et lorsque le bras interrupteur 954    (fig.   19) est basculé à droite pour fermer    l'interrupteur   961, le galet 968 est placé hors de    portée   de la carne 969. Pendant la plus grande partie de la rotation de la came 969, sa périphérie vient en contact avec le galet 968 et maintient l'interrupteur 959-961 en position fermée. Peu avant la fin du cycle le bossage de la came 969 s'éloigne du galet 968 et, à cet instant, le bras 954 est sous la tension du ressort 951.

   Par conséquent, lorsque la périphérie de la came 969 dégage le trajet du galet 968, le ressort 951 tire le levier-interrupteur 954 vers la gauche, ce qui ouvre    l'interrupteur   961 et coupe le circuit électrique du moteur 1216    (fig.   20). 



  Lorsque ce circuit est ainsi coupé, la machine est bloquée en position finale par un épaulement 970    (fig.   18) du    cliquet   195    qui   se trouve coincé entre le goujon 971 du disque 196 et l'extrémité supérieure de la butée 972 fixée à l'axe 350.

   Lorsque, de la manière décrite ci-dessus, l'arbre 350 tourne dans le sens    senes-      trorsum   à la suite de l'enfoncement d'une touche de déclenchement, la butée 972 est dégagée de l'épaulement 970 du cliquet 195 et un ressort 973 fixé à    l'extrémité   libre du cliquet d'embrayage 195 et à un goujon du disque 196, bascule alors le cliquet 195 dans le sens    senestrorsum   pour l'engager avec l'embrayage 194, de façon à entraîner l'arbre à came 200, comme décrit ci-dessus. 

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 Lorsque le bras 950    (fig.   19) est renvoyé dans son logement par le galet 965 (voir fit.

   103), le bras 963, le levier coudé 946 et l'axe 350, l'extrémité supérieure de la butée 972    (fig.   18) vient s'intercaler sur le trajet de l'épaulement 970; et, par conséquent, lorsque celui-ci vient en contact avec la butée 972, le cliquet 195 est écarté du débrayage 194 pour débrayer le moteur 1216    (fig.   20); au même instant, la butée 972    (fig.   18), l'épaulement 970 et le goujon 971 bloquent de façon positive .l'axe 200 dans sa position finale. 



  Le cliquet à ressort 9711, de non-répétition    (fig.   27 et 103), est    prévu   pour empêcher, tant que la machine n'a pas    terminé   sa première opération, un déclenchement prématuré au cas où une touche de déclenchement resterait enfoncée. 



  Opération    fraonocycle   d'addition:    Comme   décrit ci-dessus, l'embrayage 205    (fig.   17 et 18) et les cames d'entraînement différentielles 204    (fig.   13) des rangées de transactions, sont montées de façon à pivoter indépendamment de l'arbre à came principal 200. L'embrayage 205 et les cames 204 de la troisième rangée de transactions sont montés sur le manchon 199    (fig.   7) et sont engrenés avec le mandrin 203 par les engrenages 198, 197, 201 et 202 de façon que les cames 204 de la première et de la seconde rangées de transactions soient entraînées en même    tamps   que l'embrayage 205 et les cames 204 de la troisième rangée différentielle.

   Normalement, les mandrins 199 et 203 sont reliés à l'arbre principal 200 par un mécanisme d'embrayage qui embraye l'arbre 200 sur le    mandrin   199 et qui fait l'objet de la description ci-dessous. 



  Un disque 981 est fixé à l'arbre principal 200    (fig.   7 et 17). Un cliquet d'embrayage 982, articulé sur le disque 981 est normalement maintenu sur le disque d'embrayage 205 par le ressort 983. Le    ressort   983 rattache le cliquet d'embrayage 982 au cliquet de retenue 984, également engagé normalement au disque d'embrayage 205. Lorsque le moteur entraîne l'arbre 200 dans le sens    dextrorsum      (fig.   17), le cliquet 982 étant engagé avec le disque d'embrayage 205, ce disque fait alors que le cliquet 982 fait tourner le disque 981 et l'arbre principal 200 dans le sens    destrorsum.   Pendant toute l'opération monocycle d'addition, le cliquet d'embrayage 982 reste bloqué sur le disque d'embrayage 205 et par conséquent les cames 204 tournent sur l'arbre 200.

   A la fin de cette opération, quand l'épaulement 970    (fig.   18) porté par le cliquet 195 vient en contact de    l'extrémité   du bras de butée 972, la machine s'arrête suivant la manière décrite ci-dessus. 



  Pendant ce fonctionnement à un cycle de l'arbre principal 200, les différentiels de montant opèrent et le mécanisme actionnant les totalisateurs sont mis en    oeuvre   pour embrayer les totalisateurs avec les entraîneurs en position d'addition, sous le contrôle de la touche de transaction, selon le processus décrit ci-dessus. Opération de total à deux cycles: Le groupe de totalisateurs arrière, précédemment décrit, est constitué de totalisateurs intercalé; il est par suite nécessaire de faire une opération préliminaire, dans l'opération de total, pour donner le temps de déplacer le groupe afin de sélectionner le totalisateur convenable et l'aligner avec les entraîneurs différentiels avant qu'on puisse en extraire les totaux.

   Cependant, il n'est ni nécessaire ni désirable d'actionner les entraîneurs de montant pendant le premier des deux cycles. Pour ce faire, l'arbre à came 200 est débrayé du manchon 199 pour permettre aux cames différentielles de transaction 204 d'opérer indépendamment de l'arbre à came 200 au cours du premier des deux cycles. Ce débrayage s'opère par    l'interm-diaire   du    cliquet   d'embrayage 982 (fit. 17) qui s'échappe de son logement dans l'organe d'embrayage 205 au commencement de l'opération.    Lc   débrayage du cliquet 982 s'effectue sous le contrôle de la touche de Découvert 123, de la touche de Total 126 et de la touche de Sous-Total 127. 



  L'enfoncement de la touche 123, 126 ou 127 déplace une glissière de commande 634    (fig.   17) vers le haut, au moyen du goujon 579 d'une quelconque de ces trois touches, s'appuyant contre une arête-came 991 formée dans la glis- 

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 Bière 634. Celle-ci est montée librement sur quatre rouleaux 884 supportés par le bâti de touches.    L'extrémité   droite de la glissière de commande 634 est arrondie en 992 et un bras 993 est normalement maintenu en contact avec cette extrémité au moyen d'un ressort. Un bras 994, articulé au bras 993, s'appuie sur un    têton   995 monté à l'extrémité supérieure d'une coulisse 996 munie d'une encoche dans laquelle s'engage le    têton   693 pour    guider   la biellette 996 dans son mouvement de haut en bas.

   La partie inférieure de la biellette 996 est articulée à un bras 998 d'un étrier pivotant autour d'un    têton   997 porté par le bâti de la machine. Un deuxième bras 999 de l'étrier est muni d'un ressort 1000 qui, normalement, sollicite l'étrier 998-999 dans le sens    dextrorsum,   maintenant ainsi la coulisse 996 à sa position supérieure et le    têton   995 contre le bras 994 pour garder le bras 993 en contact avec l'extrémité arrondie 992 de la glissière de commande 634. L'étrier 998-999 est muni d'une    barre   1001 qui, normalement actionne un doigt 1002 d'un bras de contrôle de cycle 1003, libre sur un    têton   1004.

   Un ressort 1005 bandé entre un    têton   1006 d'un bras 1003 et un doigt d'un    cliquet   1007, maintient normalement une collerette 1010 sur la partie basse du bras 1003 contre l'extrémité d'un bras 1009. Le ressort 1005 maintient un    têton   1008 du cliquet 1007 en contact avec un doigt porté par un bras d'arrêt 1009 fixé sur sur l'arbre 350. 



  L'abaissement de l'une des touches 123, 126 ou 127 agissant par l'intermédiaire de la glissière de commande 634, abaisse la biellette 996 pour déplacer l'étrier 998-999 et agir sur la barre 1001 alors en dehors de la trajectoire de l'extrémité supérieure du bras 1003, et met en place cet organe 1001 en face d'une partie évidée du bras 1003, de manière à permettre un mouvement libre de ce dernier lorsqu'il est libéré.

   La bielle 996 étant abaissée, l'arbre 350 pivote dans le sens    senestrorsum   comme on l'a indiqué ci-dessus et le bras d'arrêt 1009 s'échappe alors de la trajectoire de la collerette 1010, permettant ainsi au ressort 1005 de faire pivoter le bras 1003 dans le sens    senestrorsum.   Ce mouvement est arrêté lorsqu'un    têton   1011 entre en contact avec la paroi 10l2, prévue sur le bâti latéral de la machine. Le bras 1003 étant stoppé, une arête 1013 dudit bras est alors placée sur la trajectoire d'un prolongement 1014 du    cliquet   d'embrayage 982.

   Lorsque la machine commence à fonctionner, cette arête 1013 étant sur la trajectoire du prolongement 1014, ce prolongement vient en    contact   avec l'arête 1013 peu de temps après que la machine a commencé son cycle et la continuation de la rotation du disque 981, supportant le    cliquet   982, fait que ce dernier est basculé dans le sens    dextrorsum   pour le libérer de l'organe d'embrayage 205, de sorte que le disque 981 n'est pas déplacé alors que l'arbre à came principal 200 reste en place. Cette rotation partielle .de l'arbre 200 n'est pas    suffisante   pour mettre en mouvement le mécanisme différentiel de montant.

   Les cames différentielles de transaction 204 continuent cependant à tourner et, par l'intermédiaire du troisième différentiel de transaction, actionnent les cames de déplacement des totalisateurs pour la sélection d'un totalisateur, par alignement des éléments du totalisateur sélectionné avec les organes entraîneurs selon le processus décrit plus haut. Le cliquet d'embrayage 982 étant libéré de son contact avec l'épaulement de l'élément d'embrayage 205, il peut se déplacer sur la partie périphérique de cet élément. Pendant le premier cycle de fonctionnement, une came 1021, fixée sur l'arbre 193, est en contact avec un galet 1015 monté sur le bras 1003 de contrôle de cycle et bascule ce dernier dans le sens    dextrorsum   au-delà de sa position de repos. 



  Lorsque le bras d'arrêt 1009 est basculé dans le sens    senestrorsum   au moment du déclenchement de la machine, la collerette 1010 se déplace entre le bras d'arrêt 1009 et le cliquet 1007. Lorsque le bras 1003 est ramené au-delà de sa position de repos par la came 1021, le bras    d'arrêt   1009 reste à sa nouvelle position et lorsque la collerette 1010 s'échappe de l'intervalle compris entre le bras 1009 et le cliquet 1007, le ressort 1005 amène le cliquet de contact avec le bord de la collerette 1010 pour maintenir le bras 1003 légèrement en dehors de sa position de repos et garder l'arête 1013 hors de la trajectoire du prolongement 1014 du cliquet 

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 d'embrayage 982.

   Pendant le commencement du second cycle de fonctionnement, lorsque l'élément d'embrayage 205 passe sous le cliquet d'embrayage 982, le ressort 983 fait basculer le cliquet et le met en prise avec l'élément 205 et ainsi, pendant le second cycle d'une opération de total à deux cycles, l'arbre à came principal 200 tourne avec les cames différentielles de transaction. Vers la fin du second cycle, l'arbre 350 est ramené en position de repos selon le processus et décrit plus haut, mettant ainsi le bras d'arrêt 1009 sur le trajet de la collerette 1010 et par l'intermédiaire du goujon 1008, libère le cliquet 1007 de la collerette 1010.

   Lorsque la touche enfoncée 123, 126 ou 127 est libérée pour revenir à sa position normale le ressort 1000 soulève à nouveau    l'étrier   998- 999 pour placer la barre 1001 sur le trajet du doigt 1002 du bras de contrôle de cycle 1003. 



  Le galet 965    (fig.   103) est tenu entre le disque 966 et la came 975 fixée sur l'arbre à came principal 200, et comme ce dernier ne tourne pas pendant tout le premier cycle d'opération l'arbre 350 n'est basculé pour libérer l'arbre 264 qu'à la fin du second cycle de l'opération de total à deux cycles. 



  Le disque 966 est muni de deux logements 1016 et 1017    (fig.   103). Lorsque le logement 1016 est à sa position de repos, un cliquet 1018 articulé sur un axe 1019 s'y engage. Sur une rotation initiale de l'arbre 200 dans le premier des deux cycles, le cliquet 1018 tombe dans le logement 1017, qui est distant du-logement 1016 d'une longueur égale à celle qui est nécessaire à l'arbre 200 pour désolidariser le cliquet d'embrayage de l'élément d'embrayage 205. Un ressort 1020 maintient le cliquet 1018 en contact constant avec le. disque 966. Détentes de contrôle des rangées de    transactions:   Les    fig.   31 à 41 représentent un ensemble de détentes ou glissières de contrôle disposées dans les première, seconde et troisième rangées de transactions, pour contrôler les différentes fonctions de la machine.

   Chaque rangée de transactions est munie d'une glissière de contrôle 612    (fig.   31), qui est en forme de fourche pour engager un    têton   611 sur un bras 615, goupillé sur l'arbre de déclenchement 264. Lorsque la machine est prête à fonctionner et que l'arbre 264 est basculé dans le sens,    senes-      trorsum      (fig.   31), le bras 615 déplace la glissière de contrôle 612 vers la droite pour déverrouiller toutes les touches non enfoncées et verrouiller les touches enfoncées dans leur position, selon un processus bien connu dans ce genre de machine.

   A la fin de l'opération, lorsque l'arbre 264 est ramené à sa position initiale, la glissière 612 est déplacée vers la droite pour libérer les touches et permettre l'enfoncement d'une autre touche pour la nouvelle opération. 



  Le système auquel la présente machine est appliquée suppose qu'après une opération de reprise d'ancien solde débiteur ou créditeur, les touches 131 ou 138 ne peuvent être enfoncées à nouveau jusqu'à ce que l'opération de   Solde   déclenchée par la touche 121, ou l'opération de découvert déclenchée par la touche 123, soit    effectuée.   



  Pour permettre un tel contrôle, les touches 121 et 123 de la première rangée de transaction actionnent une glissière de contrôle 620    (fig   32) et les touches 131 et 138 de la seconde rangée de transactions actionnent une plaque de contrôle 621    (fig.   33). La plaque de contrôle 621 est montée sur quatre galets 884 et est poussée vers la droite par un ressort 623. Une détente 622    (fig.   35) est également montée sur les galets 884 et un ressort 624 tend à déplacer la détente 622 vers la gauche. L'enfoncement de la touche d'ancien solde 131 ou de la touche de reprise de découvert 138 par l'intermédiaire d'un ergot de touche 579 mettant en contact une arête-came 625 et la plaque de contrôle 621, décale celle-ci vers la gauche contre l'action d'un ressort antagoniste 623. 



  Ce mouvement de la plaque de contrôle 621, actionné par la came 626, soulève le cliquet de retenue 627 au-dessus d'un ergot placé à l'extrémité gauche de la plaque 621. Ce mouvement du cliquet 627 l'éloigne du bord gauche de la plaque 622 et permet au ressort 624 de la déplacer vers la gauche pour l'amener en butée sur l'axe 633. Quand les touches 131 ou 138 sont ramenées à leur position non enfoncée, la plaque 622 se déplace vers la gauche, 

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 autant .que le permet l'axe 633, les parties horizontales des ouvertures dans la plaque 622 s'engagent sous les ergots 597 des touches 131 ou 138, évitant ainsi un enfoncement postérieur de ces deux touches tant que la plaque 622 n'est pas revenue à sa position normale. 



  Le rappel en position normale de la plaque de contrôle 622 est    effectué   soit par la touche de  Solde  121 soit la touche  Découvert  123 de la première rangée de transaction; ces touches sont munies d'ergots 579 s'appuyant contre les arêtes-came 629 de la plaque de contrôle 620. Celle-ci comporte un    têton   s'enclenchant sur l'extrémité en forme de chape du bras d'un étrier articulé sur l'axe 632. Un second bras de l'étrier 631 est muni d'un    têton   633 placé sur la trajectoire de la plaque de contrôle 622    (fig.   35). Lorsque celle-ci occupe sa position de gauche, position où les touches 131 et 138 sont verrouillées contre l'enfoncement, l'extrémité gauche de la plaque touche le    têton   633.

   Après enfoncement de la touche 121 ou 123, l'ergot 579 vient contacter    l'arête-      came   629 pour déplacer la plaque de contrôle 620 vers la droite, faisant basculer l'étrier 631 dans le sens    senestrorsum,   poussant ainsi le    têton   633 contre l'extrémité de la plaque 622 et ramenant cette dernière à sa position initiale, dans laquelle elle est maintenue à nouveau par le cliquet 627.    Détentes   des touches de contrôle: Chaque rangée de touches de contrôle est munie d'une détente maintenant les touches non motrices en position enfoncée jusqu'à ce qu'une touche motrice puisse être enfoncée à son tour. La fi-. 39 représente la détente de la seconde rangée de transactions. Les touches 135, 136 et 137 de cette rangée sont des touches non motrices. 



  Une détente 595, supportée par les galets 884 précédemment décrits, est associée aux touches 135, 136 et 137 de la deuxième rangée. Un ressort 596, attaché à un    oéilleton   du bord supérieur de la détente 595 maintient les rampes des cames 598 au contact des ergots 579 des touches (135, 136, 137). L'enfoncement de l'une d'elles éloigne les ergots 579 de l'arête- came 598 et provoque le déplacement vers la gauche de la détente jusqu'à ce que l'ergot 579 passe au-dessus de la came 598.A ce moment, le    ressort   596 repousse la détente 595 vers la droite, au-dessus de l'ergot 579, pour maintenir la touche en position enfoncée.

   Vers la fin de l'opération, la détente 595 est déplacée vers la gauche au moyen du dispositif décrit    ci-      dessous,   pour rappeler la touche utilisée. 



  Un    interverrouillage   5102    (fig.   30) est prévu pour les rangées de touches de transactions pour éviter que l'on puisse actionner deux touches adjacentes. Les ergots 579 de deux touches non consécutives sont susceptibles d'être engagés soit avec des arêtes-cames 5111, soit avec des ouvertures en forme de L, désignées par 5121. Un ressort 5131 maintient la détente 5102 dans la position représentée. La présence d'un ergot 579 dans une ouverture en forme de L (5121) empêche la    manoeuvre   de la touche adjacente; l'enfoncement d'une touche dont l'ergot 579 est en contact avec la came 5111, provoque le déplacement de la section horizontale de l'ouverture en forme de L sous l'ergot 579 des touches respectives.

   Glissières de commande de verrouillage: A chacune des trois rangées de contrôle, est associée une glissière de contrôle 612    (fig.   31) qui s'engage, sur l'ergot 579 de la touche enfoncée pour la maintenir dans cette position, ou pour verrouiller les touches de la même rangée dans leur position de repos. La glissière de contrôle 612 est terminée par une fourche enserrant l'ergot 611 du bras 615 goupillée sur l'axe 264. II existe un bras 615 pour chaque rangée de contrôle. 



  Lorsque l'axe de déclenchement est actionné dans le sens    senestrorsum   (fi-. 31), la glissière de contrôle 612 se déplace vers la droite pour maintenir les ergots 579 des touches respectives, de manière à verrouiller les touches au repos, dans leur position de repos et les touches enfoncées dans leur position de travail. 



  Vers la fin de l'opération, lorsque l'arbre 264 est remis en position initiale, la glissière de contrôle 612 engage un ergot 614 de la détente 595    (fig.   39) pour déplacer cette dernière vers 

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 la gauche contre l'action du ressort 596 ce qui assure en    définitive   la libération des touches enfoncées 136, 137, 135. 



  Glissière    d'interverrouillage      entre   les touches de total et les touches de    montants:   Un    interverrouillage   est prévu entre les touches de total de la rangée 1 et les touches de montants 120, pour empêcher le déclenchement de la machine si une touche de montants est enfoncée avant qu'une touche de   Total   ne le soit. Cet    interverrouillage   est nécessaire pour empêcher les    erreurs   lorsque les totaux sont pris, puisque, durant les opérations de total, les entraîneurs de montants doivent être libres pour    pouvoir   être commandés par les roues totalisatrices. 



  Lorsqu'une touche de montants 120 est enfoncée, un bossage    (fig.   40) se trouve placé sur la trajectoire d'une plaque 223    (fig.   8) solidaire d'un étrier 2671, dont un des bras    (fig.   36) est articulé à une bielle 637 dont l'autre extrémité est munie d'un ergot 638. L'ergot 638 se déplace dans une rainure à baïonnette 639    (fig.   41) pratiquée dans un bras 640 solidaire de l'arbre de déclenchement 264. L'ergot 638 se déplace aussi dans une rainure 641 pratiquée dans un levier 642 axé sur un tourillon porté par le bâti de la machine. Le levier 642 est relié au bras 644 au moyen d'une biellette 645. Le bras 644 est fixé sur un axe court 1630 (voir    fig.   40) porté par le panneau droit du clavier.

   Sur le même axe 1630 se trouve mondé un bras 1629 muni d'un ergot 646 solidaire de l'extrémité d'une glissière de contrôle 647 par l'intermédiaire d'un ressort 648 tendu entre le bras 644 et un ergot du bâti de clavier. Le ressort 648 maintient, grâce au bras 644, à l'axe 1630, au bras 1629 et à l'ergot 646, des arêtes-cames 649 de la glissière de contrôle 647 au contact des ergots 579 des tiges de touches de total. 



  Lorsqu'une touche de total est enfoncée, son ergot 579    parcourt   l'arête-came 649 et repousse la glissière de contrôle 647 vers la gauche    (fig.   40). L'extrémité de celle-ci agissant sur l'ergot 646, bascule le bras 1629, l'axe 1630 et le bras 644    (fig.   40 et 41); déplaçant ainsi la biellette 645 vers la gauche, pour faire osciller le levier 642 à l'instant précis où l'ergot 638 doit pénétrer dans la partie    verticale   inférieure de la rainure 639 pratiquée dans le bras 640.

   Lorsque l'arbre 264 est actionné par une touche déclenchant la machine, le bras 640 agissant par la rainure 639, bascule l'ergot 638, la    biel-      lette   637, le bras 636 et l'étrier 2671 dans le sens    senestrorsum.   Cependant, si au moment où l'arbre 264 est déclenché, une touche de montant 120 est en position enfoncée, l'étrier 2671, le bras 2661 et la plaque 223 sont immobilisés par le bossage 635 de la touche de montants 120 en prise avec la plaque 223. Si aucune des touches 120 n'est enfoncée, la plaque 223 est libre et par suite l'arbre de déclenchement 264 peut fonctionner. 



  L'étrier 2671 est maintenu dans sa position normale par un    ressort   1267    (fig.   34) relié à un bras 1268 comportant un épaulement au contact de la partie inférieure de l'étrier. Le bras 1268 est limité dans sa course sous l'action du ressort 1267 grâce à une butée d'un doigt de ce bras coopérant avec un ergot 1269. 



     Commande   de butées    d'arrêt   à    zéro   pour les    opérations   de total: Les cliquets d'arrêt à zéro 258 ne doivent pas être en position de travail pendant les opérations de total, afin que les entraîneurs de montants puissent être mis en position par les roues du totalisateur sélectionné. Ceci est obtenu par un bras d'arrêt 650    (fig.   38) solidaire de l'axe 1630. Lorsque cet axe est actionné par une touche de total, au moyen de la glissière 647, de l'ergot 646    (fig.   40) et du bras 1629, le bras d'arrêt 650 est placé sur la trajectoire d'une collerette 651 (fi-. 38) montée sur un curseur 652.

   Celui-ci est fourchu à sa partie supérieure afin qu'il puisse coulisser sur l'axe 1630; il est fixé à sa partie inférieure à un bras 653 solidaire du moyeu de l'étrier 272 qui, de la manière connue, est libéré dans toutes les opérations pour amener les arrêts à zéro en position active.

   Si l'étrier 272 étant relâché, la touche de total est enfoncée et si le bras 650 recouvre la collerette 651, l'étrier 272 ne peut suivre car il est bloqué par le bras d'arrêt 650 qui agit par l'intermédiaire de la collerette 651, du curseur 652 et du bras 653. 

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 Par conséquent, les cliquets d'arrêt à zéro ne peuvent venir en position de travail; les organes entraîneurs sont libres et peuvent être commandés par les roues du totalisateur sélectionné.    Détente   de    verrouillage   pour le solde provisoire: La touche 139 du solde provisoire est, en temps normal, bloquée en position de repos.

   Lorsqu'elle est libérée puis enfoncée elle est à nouveau verrouillée pour n'être dégagée que par le levier à commande manuelle 153    (fig.   37) faisant    partie   d'une détente 680. L'ergot 579 correspondant à cette touche repose normalement dans une encoche 681 de la détente 680 et un ressort 682 l'appuie constamment contre la paroi gauche de l'encoche. Lorsqu'on veut pouvoir enfoncer la touche 139, on repousse manuellement le levier 153    (fig.   37) vers la gauche jusqu'à ce qu'une ouverture 683 de la détente 680 soit en regard de l'ergot 579 et soit maintenue dans cette position; la touche de solde peut alors être enfoncée.

   Ensuite, le levier 153 est relâché et le    ressort   682 pousse la détente 680 vers la droite    (fig.   37) jusqu'à ce qu'une encoche 684 de la détente 680 soit amenée sur l'ergot 579 ce qui immobilise la touche. L'encoche 684 est moins profonde que l'encoche 681, de    sorte   que la détente 680 est maintenue plus à    guache   que ne le laisse voir la    fig.   37.

   Au même moment, des encoches horizontales 685 de la détente 680 emprisonnent les ergots de touches 133, 134, 135, 136, 137, empêchant ainsi leur enfoncement tant que la touche 139 l'est elle aussi sous l'action de la détente 680.    Mécanisme      d'impression:   Comme on l'a indiqué ci-dessus la machine    comporte   trois sections d'impression qui sont: un mécanisme pour impression d'une bande de contrôle, un mécanisme pour impression d'un livret et un autre pour l'impression d'une    carte   de compte. Le second mécanisme opère sur quatre colonnes tandis que le troisième est prévu pour écrire sur cinq colonnes.

   Dans chacun des cas, on a prévu un    marteuu   imprimeur individuel pour chaque colonne ce qui fait au total neuf marteaux, qui sont sélectionnés au moyen de disques de commande à encoches positionnés par les trois mécanismes différentiels de transactions. En plus des disques encochés placés sous la commande des mécanismes différentiels,    certains   autres disques sont commandés par les palpeurs de    carte   et de livret, pour débrayer les marteaux sélectionnés quand aucun livret,    ni   aucune    carte   ne se trouve dans la machine.

   Une commande supplémentaire est nécessaire pour mettre hors de service le mécanisme de déclenchement de la machine, après que la dernière ligne a été imprimée soit sur la    carte,   soit sur le livret, soit sur les deux. 



  La découpe des encoches des différents disques de commande dépend de l'application de la machine et de l'utilisation à laquelle on la destine. Dans le système utilisant le clavier représenté ici, l'encochage des disques commandés par le différentiel des transactions est appliqué sur les graphiques des    fig.   12 et 105. Disques de commande des marteaux dateurs: Chacun des    marteaux   imprimant la date à la fois sur le livret et sur la carte est commandé par quatre disques 1401, 1402, 1403 et 1404    (fig.   67A), et l'entaillage de ceux-ci dans chaque groupe est représenté aux emplacements 1 et 3    (fig.   105). L'entaillage est identique pour ces deux groupes, de sorte qu'on imprime une date sur le livret et sur la    carte   de compte en une seule opération. 



  Les quatre disques 1401, 1402, 1403 et 1404 sont munis de dents internes et tournent sur des disques semblables aux disques 761    (fig.   13). Les dents internes engrènent avec des pignons, semblables aux pignons 742, montés sur des arbres carrés et actionnés de la même façon. 



  Les disques 1401 et 1404 sont positionnés par le différentiel de la première rangée de transactions; les disques 1402 par le mécanisme de la troisième; et les disques 1403 par le mécanisme de la seconde. 



  Sur la    fig.   105, deux colonnes sont intitulées   côté A   et   côté B  . Ces indications se rapportent aux côtés des palpeurs qui coopèrent avec les disques. La légende   côté A   se    rapporte   au    doigt   palpeur supérieur et la légende   côté B   au doigt palpeur inférieur. La légende   Bras   se    rapporte   à    l'extrémité   

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 des palpeurs sur lesquels sont montés les cliquets palpeurs, les bras palpeurs coopérant aussi avec un disque, comme indiqué sur la    fig.   67Â. Il faut noter que les encoches sont de deux profondeurs, comme indiqué sur le tableau de    fig.   105.

   Pour faire imprimer la date au    marteau,   une encoche profonde est nécessaire pour le   bras   et pour le   côté A   du palpeur ou pour les deux   côtés B   du palpeur, les palpeurs ayant deux doigts   côté B   et un   côté A  , comme l'indique le tableau. 



  La façon dont les disques commandent le    marteau   imprimant la date, sera décrite à propos du mécanisme général    d'actionnement   du marteau. Disques de    commande   des marteaux de solde: Les marteaux   Solde   pour le livret et la    carte   sont chacun commandés par quatre disques 1405, 1406, 1407 et 1408    (fig.   67A et 67B) et l'entaillage des encoches de ces quatre disques est représenté aux emplacements 2 et 4    (fig.   105). Il est identique    pour   les deux groupes, de sorte que le   Solde   peut être imprimé sur le livret et la carte en une seule opération. 



  Les disques 1405, 1406, 1407 et 1408 sont montés sur d'autres disques, de la même manière que les disques 1401, 1402, 1403 et 1404. Les disques 1406 et 1408 sont réglés par le différentiel de transaction de la    première   rangée et les disques 1407 par le différentiel de la seconde. Les disques 1405 sont réglés par un mécanisme sous contrôle des palpeurs du livret et de la carte, de la façon décrite plus loin. Disques de    commande   des marteaux   retrait  : Les marteaux   Retrait   pour le livret et la carte sont chacun commandés par trois disques 1409, 1410 et 1411    (fig.   67A et 67B), et les systèmes d'encoches pour ces trois disques sont représentés aux endroits 1 et 4 du tableau de la    fig.   12.

   La denture est identique pour les deux groupes, ce qui permet d'imprimer les   Retraits   sur le livret et sur la carte en une seule opération. 



  Les disques 1409, 1410 et 1411 sont montés de la même manière que les disques 1401, 1402, 1403 et 1404. Les disques 1409 sont réglés par le différentiel de transaction de la première rangée, les disques 1410 par le différentiel de la seconde rangée et les disques 1411 par le différentiel de la troisième rangée de transactions. Disques de commande des marteaux  Intérêts Dépôt  : Les    marteaux     Intérêts Dépôt   pour le livret et la carte sont chacun commandés par trois disques 1412, 1413 et 1414    (fig.   67A et 67B) et les encoches de ces disques sont figurées aux endroits 2 et 5 du tableau de la    fig.   12. Les systèmes d'encoches sont identiques dans les groupes de disques, ce qui permet d'imprimer les dépôts ou les intérêts sur le livret et sur la carte en une seule opération. 



  Les disques 1412, 1413 et 1414 sont montés de la même façon que les disques 1401, 1402, 1403 et 1404. Les disques 1412 sont réglés par le différentiel de la première rangée, les disques 1413 par le différentiel de la deuxième rangée, et les -disques 1414 par le différentiel de la troisième rangée de transactions. 



  Disques de    commande   du    marteau     Ancien Solde   L'ancien solde est imprimé seulement sur la carte de compte et non sur le livret. Un seul disque 1415    (fig.   67A) est nécessaire pour commander les opérations de ce marteau; sa denture est représentée dans la case 3 du tableau de la    fig.   12. Le disque 1415 est réglé sous contrôle du différentiel de la seconde rangée de transactions. 



     Mécanisme      d'actionuemeut   des    marteaux      impri-      meurs:   Les neufs marteaux imprimeurs pour la carte et le livret sont actionnés sélectivement par les disques 1401 à 1415 inclus. Comme le mécanisme    d'actionnement   est le même pour chaque marteau, on n'en a montré qu'un seul dans une vue en élévation. Le mécanisme    d'actionnement   du marteau pour la colonne   Solde   du livret est représenté à la    fig.   70. Les mêmes numéros de référence sont appliqués aux parties correspondantes de chacun des neuf mécanismes de    manoeuvre   des marteaux. On les a représentés suivant une vue en plan 

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 sur les    fig.   69A et 69B.

   Chaque marteau 1420 comporte deux bras reliés par un manchon pivotant sur un arbre 1421. Entourant les deux bras 1420, se trouve une pièce 1422 en forme    d'U,   sur laquelle est montée une platine 1423. La pièce 1422 est munie d'une oreille 1424 dirigée vers le bas, montée sur pivots entre une paire de biellettes 1425 formant genouillère. L'extrémité opposée de la biellette 1425 est    articulée   à un goujon 1426 porté par un bras 1427 lui-même monté sur un arbre 1428 (voir aussi    fig.   71 et 72). L'arbre 1428 est supporté de façon    flexible   par des ressorts 1429, prévus au nombre de trois. un à chaque extrémité de l'arbre et un au centre, pour servir de support    flexible   à l'arbre.

   Le ressort 1429 est placé dans une ouverture située à la base de la machine et peut être réglé à l'intérieur à l'aide d'une vis de réglage 1430. Chaque extrémité de l'arbre 1428 est montée sur un coussinet 431 ayant une ouverture allongée pour permettre un jeu de haut en bas de l'arbre 1428. 



  Le montage    flexible   comprenant les ressorts 1429 est prévu pour donner à la platine 1423 la souplesse de fonctionnement, de manière à obtenir des impressions uniformes sur le livret quel que soit le nombre de feuilles qui peuvent se trouver entre le marteau et les roues    irnpri-      meuses.   Si le marteau était réglé pour donner une bonne impression lorsqu'une seule page se trouve dessous, l'impression serait alors trop forte quand on imprimerait sur la dernière page du livret. Pour permettre cette variation d'épaisseur, on a disposé les ressorts 1429 qui permettent un certain degré de réglage et de souplesse pour rendre uniformes toutes les impressions sur le livret. 



  Articulée au goujon 1426 de la genouillère formée par les bielles 1425 et 1427, se trouve une bielle 1431 dont l'extrémité droite est supportée par un goujon 1432 porté par l'extrémité inférieure d'une bielle 1433 articulée en 1434 à un bras 1435 et monté sur un arbre 1443. L'extrémité droite de la bielle 1431    (fig.   70) est munie d'une encoche 1436 qui peut être abaissée pour engager la tige 1437, portée par une paire de bras de came 1438 monté à pivot sur un arbre 1439. La tige 1437 est assez longue pour franchir la distance séparant les quatre bielles 1431 dans la section d'imprimerie du livret de façon que l'une quelconque des quatre bielles 1431 dans cette section, puisse être abaissée pour accrocher la tige 1437.

   Chacun des bras de came 1438 est muni d'une paire de galets coopérant avec une paire de cames 1440 assujetties sur l'arbre d'impression 1441. 



  Cet arbre 1441 est actionné à partir de l'arbre principal 200 par l'intermédiaire d'un engrenage 5151    (fig.   52) en prise avec l'engrenage 207 et monté sur un goujon 5161 porté par le    flasque   latéral 161. L'engrenage 5151 est en prise avec un engrenage 517 assujetti à l'arbre    d'imprimerie   1441. Le rapport du train des engrenages 207, 5151 et 517 est tel que, pour toute rotation, dans le sens    dextrorsum   de l'arbre principal 200, l'arbre 1441 prend un mouvement de rotation dans le sens    senes-      trorsum.   



  Si, pendant l'opération, la biellette 1433    (fig.   70) est abaissée par commande des disques dentés de la façon décrite plus loin, pour que la biellette 1431 soit accrochée à la tige 1437, une oscillation des bras 1438 et de la tige 1437 dans le sens    senestrorsum   déplace la biellette 1431 vers la droite    (fig.   70), pour armer la genouillère formée par les biellettes 1425 et le bras 1427, lever le marteau 1420, le faire pivoter autour de son arbre 1421 et produire une impression sur le livret, à l'aide des roues 465. 



  La biellette 1433 est ou non abaissée pour accrocher l'extrémité droite de la    biellette   1431 à la tige 1437, suivant la disposition des disques de commande encochés 1405 à 1408 décrits plus haut. 



  Le bras 1435 est    tourillonné   à un bras 1442 pivotant sur l'arbre 1443. L'extrémité libre de ce bras fait en outre pivoter un bras palpeur 1444, qui est poussé vers la gauche    (fig.   70) par un ressort 1445 dont une extrémité est reliée à une tige 1446 supportée par les bâtis 160, 163 et 164    (fig.   3). L'autre extrémité du ressort 1445    (fig.   70) est reliée à un goujon qui forme la jonction à pivot entre les bras 1444 et 1442.

   Le mouvement    senestrorsum      (fig.   70) du bras 

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 1444 est limité par un goujon du bras 1435 qui repose sur un bras 1448 fixé à l'arbre 1443 (voir aussi    fig.:42).   Le bras 1448 est muni de deux galets 1449, coopérant avec une paire de cames 1450 goupillées sur l'arbre principal 200. 



  Les cames 1450 sont appropriées pour faire osciller le bras 1448 une fois que les plaques de contrôle, telles que 1408    (fig.   70), ont été réglées sous la commande des différentiels des rangées de transactions. La    rotation   des cames 1450 fait osciller le bras 1448 dans le sens    dextrorsum   pour permettre au ressort 1445    (fig.   70) de faire basculer le bras 1435 dans le même sens et abaisser la    biellette   1433, quand l'entaillage des disques est tel que les palpeurs 1451, pivotant sur le bras 1444, se déplacent vers la gauche de la manière décrite plus haut. Cette condition se présente quand une encoche profonde se trouve sur le trajet du bras 1444 et du doigt A ou B, comme l'indique le tableau de    fig.   105. 



  Les cliquets palpeurs comprennent un cliquet à pivot comportant deux doigts A et deux doigts B. Les bras palpeurs 1444 pour la colonne   Intérêts-Dépôt   et les colonnes   Retrait   ne sont pas munis de cliquets palpeurs à pivot 1451, et dans ces colonnes-là le bras palpeur 1444 est muni de galets 1453    ((fig.   67A) coopérant avec les plaques de contrôle. Le bras palpeur 1444 de la colonne où est imprimée la date, est muni d'un    cliquet   palpeur 1451 ayant deux doigts B et un doigt A pour travailler avec les plaques commandant l'impression de la date dans la première colonne. 



  Le bras 1448 pour la colonne   Solde   possède des galets 1449 qui coopèrent avec les cames 1450 de la façon indiquée. Le bras 1448 est fixé à l'arbre 1443 auquel est aussi fixé un bras 1448    flour   chacun des mécanismes de marteau imprimeur. Donc, quand les cames 1450 font osciller l'arbre 1443, tous les bras 1448 oscillent et rappellent toutes les biellettes 1433, qui s'abaissent sous la commande de leurs plateaux de commande respectifs.    Mécanismes   palpeurs du livret de la carte: Chaque section du dispositif d'imprimerie, c'est-à-dire la section imprimant sur le livret et celle imprimant sur la carte de compte est munie d'un mécanisme palpeur destiné à palper le livret ou la carte. Si un de ces documents se trouve dans la section d'imprimerie correspondante, les marteaux imprimeurs peuvent fonctionner.

   Si au contraire il n'y a ni livret ou in carte dans cette section, le marteau est mis hors de service par le mécanisme palpeur et les marteaux imprimeurs ne fonctionnent pas. Chaque section d'imprimerie est munie d'un palpeur 1460    (fig.   75 et 76) coulissant sur un goujon 1461. L'extrémité inférieure du palpeur 1460 est articulée à un bras 1462 qui est dévié dans le sens    senestrorsum      (fig.   75) par un ressort 1463, de telle sorte que le palpeur tend normalement à se relever pour entrer en contact avec le livret et la carte. Le bras 1462 est normalement retenu dans la position de la    fig.   75 par un cliquet 1464 en prise avec un doigt 1465 du bras 1462.

   Le    cliquet   1464 pivote sur un bras 1467    (fig.   73) articulé à    l'extrémité   gauche d'une bielle 1468. Un ressort 1469 tient normalement le cliquet 1464 engagé avec l'extérieur d'un levier 1470 pivotant sur un arbre 1471, sur lequel pivote aussi le bras 1467.    L'extrémité   droite de la bielle 1468 est articulée à un bras de came 1472 (voir aussi    fig.   69A, 69B et 76) qui est    muni   d'un galet 1473 coopérant avec une    carne   1474 goupillée sur l'arbre à came 1441. La came 1474 est munie d'un galet 1475 en contact avec une arête 1476 du bras 1472 quand la came 1474 commence à tourner dans le sens    senestrorsum      (fig.   73) au début du fonctionnement de la machine.

   L'engagement du rouleau 1475 avec le bord 1476 de la came fait tourner rapidement les bras 1472 dans le sens    dextrorsum   pour déplacer la bielle 1468 vers la gauche    (fig.   73), faire basculer le bras 1467 dans le sens contraire et dégager le cliquet 1464 du doigt 1465, permettant ainsi au ressort 1463 de faire tourner le bras 1462 dans le sens    senes-      trorsum   et au palpeur de se soulever. 



  Si le palpeur 1460 est arrêté par suite de la présence d'un livret ou d'une carte, le bras 1462 

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 est limité dans sa rotation et par conséquent s'arrête avant que le cliquet 1464 se soit complètement déplacé. En l'occurrence, le cliquet 1464 quitte une encoche 1478 du bras 1462 et parcourt la périphérie 1479 du bras 1462 Si, au contraire, le palpeur 1460 peut s'élever complètement par suite de l'absence de document dans la section d'imprimerie, le bras 1462 suit le cliquet 1464 dans tout son déplacement. Dans ce cas, le cliquet 1464 reste en arrière de l'arête 1480 du levier 1470. Par conséquent, quand le cliquet 1464 retourne à sa position normale, par suite de la came 1474, le levier 1470 tourne dans le sens    dextrorsum      (fig.   75).

   Ce mouvement déplace une biellette 1481, reliée à l'extrémité inférieure du levier 1470, vers la gauche    (fig.   75) et la biellette 1481, fait ainsi tourner un bras 1482 dans le sens    dextrorsum,   sur l'arbre 1439. Le bras 1482 est muni d'une encoche engageant un étrier 1483 pivotant aussi autour de l'arbre 1439 (voir aussi    fig.   69A, 69B, 70 et 75) et qui s'étend en travers de toutes les biellettes 1433. Chaque biellette est munie d'un épaulement 1484 situé sur le parcours de l'étrier 1483. Donc, quand celui-ci tourne dans le sens    dextrorsum      (fig.   70), il reste engagé avec les épaulements 1484 de toutes les biellettes 1433, empêchant celles-ci de descendre pour engager les biellettes sélectionnées 1431 avec la tige 1437.

   En conséquence, bien que le marteau imprimeur ait été sélectionné par les disques de commande, les biellettes 1433 ne peuvent pas néanmoins être abaissées, vu qu'elles sont arrêtées par l'étrier 1483 et tous les marteaux imprimeurs 1420 sont ainsi mis hors de service. 



  Un ressort 1490    (fig.   73) relié à un goujon 1489, maintient un doigt 1486 disposé sur le levier 1470, engagé avec un arbre 1487, pour maintenir le levier 1470, la biellette 1481, le bras 1482 et l'étrier 1483 dans leur position normale. 



  A la fin du fonctionnement de    lamachine,   l'étrier 1483 demeure dans sa position supérieure où les biellettes sont maintenues hors service. Au début de l'opération suivante, lorsque le galet 1475    (fig.   73) entre en contact avec    l'arête-      came   1476 pour déplacer la biellette 1468 vers la gauche et quand le bras 1467 tourne dans le sens    senestrorsum   un doigt 1488 disposé sur son extrémité inférieure, engage le goujon 1489 pour aider le ressort 1490 à ramener la biellette 1481 et. l'étrier 1483 à leur position normale. 



  Mécanisme    d'avancement   des documents: La machine est munie d'une table 1500    (fig.   1) pour recevoir le livret, et d'une autre table 1501 pour recevoir la carte. Le livret ou la carte sont placés sur la table correspondante sous une plaque de guidage 1502 ou 1503    (fig.   68A et 68B), et disposée en alignement avec des ouvertures 1504 et 1505 pratiquées dans les guides 1502 et 1503 pour sélectionner la ligne sur laquelle on doit imprimer la donnée suivante. Un mécanisme est prévu pour faire avancer le livret et la carte de la position dans laquelle on les place à la main, à une position correspondant à un espace de    ligne   en dessous de la position    d'imprimerie,   en face des organes imprimants.

   Par suite, le livret et la carte seront alimentés ou avancés sur un espace de ligne et l'écriture est imprimée sur la ligne ainsi sélectionnée. Après que la machine a imprimé cette écriture, le livret et la carte peuvent être laissés en position pour recevoir une donnée dans une colonne    différente   de la même ligne ou être éjectés de la machine, suivant la donnée en    question.   Ainsi, la carte ou le livret prennent part à trois mouvements: le premier, avancement à    partir   de la position dans laquelle on les place à la main; le second déplacement de l'espace d'une ligne vers la position d'impression, le dernier mouvement est l'expulsion.

   Soit que la carte doive être déplacée de l'espace d'une ligne, soit qu'elle doive être éjectée, l'opération est commandée par les touches de transactions, grâce aux mécanismes différentiels de transaction et à l'aide d'un mécanisme palpeur qui mettent les disques dentés en position pour commander le mécanisme d'avancement et d'éjection.

   Rouleaux de tension: Normalement, les rouleaux d'avancement sont séparés pour faciliter l'introduction du 

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 livret ou de la    carte   sur les tables respectives Peu avant que le premier mécanisme d'avancement soit actionné - il s'agit du mécanisme destiné à faire passer le livret ou la carte dans la position d'impression - les rouleaux de tension sont soulevés pour appliquer le livret et la    carte   contre les rouleaux d'avancement de façon que, lorsque ceux-ci fonctionnent, le mécanisme soit en mesure d'accomplir son opération d'avancement. 



  Mécanisme    d'actionnement   des rouleaux de tension:    Etant   donné l'identité des mécanismes d'impression sur le livret et sur la    carte,   les mêmes nombres de référence sont appliqués aux parties correspondantes de chaque section d'imprimerie. Deux rouleaux de tension 1506    (fig.   74, 76 et 78) sont    prévus   dans chaque section d'imprimerie. Chaque rouleau 1506 est monté sur un goujon 1507    porté   entre une paire de bras 1508. Les bras 1508 sont montés à pivot sur l'arbre 1487 et sont sollicités dans le sens    senestrorsum   par des ressorts 1509. Chaque bras 1508 est muni d'un galet 1510 normalement engagé avec un bras de came 1511, grâce au ressort 1509.

   Le bras 1511 est fixé à l'arbre 1471 ainsi qu'à un autre bras 1512. Une biellette 1513 est    articulée   au bras 1512 et reliée à son extrémité opposée à un bras 1514 qui pivote sur l'arbre 1439 et porte une paire de galets 1515 coopérant avec une paire de cames 1516 fixées sur l'arbre à cames 1441. La liaison entre la biellette 1513 et le bras de came 1514 comporte une encoche 1517 où s'engage un rouleau 1518 du bras 1514. L'encoche 1517 est plus large que le diamètre du rouleau 1518 pour faciliter la séparation et la liaison de la biellette 1513 et du rouleau 1518 et empêcher les rouleaux de tension d'opérer de la façon décrite plus loin. 



  Quand le rouleau 1518 s'engage dans l'encoche 1517 et lors de l'opération, les cames 1516 font osciller le bras de came 1514 pour déplacer la biellette 1513 et basculer le bras 1512, l'arbre 1471, ainsi que les bras de came 1511 dans le sens    senestrorsum      (fig.   74). Cette rotation du bras 1511 permet au rouleau 1510 de suivre la partie 1519 de la came, jusqu'à ce que ce rouleau se place sur la partie extrême de pourtour 1519. Quand le rouleau arrive à cette position, les ressorts 1509 basculent les bras 1508 qui soulèvent les rouleaux de tension 1506 pour mettre le livret ou la carte en contact avec une paire de rouleaux d'avancement 1520.

   Ensuite, quand ceux-ci subissent une rotation dans le sens    senestrorsum,   comme on va le décrire ci-après, le livret ou la carte passent en position d'impression au-dessous des roues    irnprimeuses   465    (fig.   74). Mécanisme    d'avancement:   Le mécanisme destiné à faire tourner les rouleaux d'avancement 1520 et ses diverses commandes, sont représentés aux    fig.   76 à 84. Comme le représente la    fig.   78, les deux rouleaux d'alimentation 1520 de chaque section    imprimeuse   sont reliés par un manchon 1521 auquel est fixé un pignon 1522, l'ensemble tournant sur l'arbre 1523. Le pignon 1522 est en prise avec l'engrenage 1524, qui peut pivoter sur le goujon 1525    porté   par le bâti de la machine.

   L'engrenage 1524 est en prise avec un engrenage 1526 fixé à l'arbre 1527. Deux roues à rochet 1528 et 1529 séparées par le disque 1530, sont aussi fixées à l'arbre 1527. La roue 1528 est embrayée avec le    cliquet   d'avancement 1531 et la roue 1529 avec le cliquet d'éjection 1532. Les cliquets 1531 et 1532 pivotent sur un goujon 1533 porté par un bras de commande 1534 pivotant sur l'arbre 1527. Un pignon 1535, fixé au bras 1534, est en prise avec les dents 1536 d'une crémaillère 1537 glissant sur une paire de goujons 1538. Cette crémaillère est poussée vers la gauche    (fig.   77) par un ressort 1539, mouvement qui est limité par un galet 1540 porté par un goujon 1541 du bâti de la machine. 



  Pour obtenir un ajustement précis de la crémaillère 1537, des rouleaux 1540 de    différents   diamètres peuvent être prévus pour faire varier l'étendue du mouvement vers la gauche qu'il est possible d'imprimer à la crémaillère 1537. 



  Une biellette 1542 relie la crémaillère 1537 à un bras pivotant 1543 monté sur un goujon 1544 porté par le bâti de la machine. Une biellette 

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 1545 est reliée au bras 1543 et un rouleau 1546 situé sur la biellette 1545, repose dans une fente 1547 du bras 1485 fixé à l'étrier de commande 1483 pour l'imprimerie    (fig.   70). La fente 1547 a une longueur    suffisante   pour permettre un mouvement de glissement de la biellette 1545. L'extrémité droite de la biellette 1545 comporte un pourtour légèrement anguleux 1548 situé sur le trajet du rouleau 1549 du bras 1550    pivotant   sur l'arbre 1439. Le ressort 1551 maintient normalement le rouleau 1552 du bras 1550, en contact avec une came 1553, laquelle est fixée sur l'arbre à came 1441 de l'imprimerie. 



  Quand les pièces sont dans la position représentée à la    fig.   77 et que la machine fonctionne, la came 1553 bascule le bras 1550 pour déplacer la biellette 1545 vers la gauche    (fig.   77) et bascule le bras 1543 dans le sens    senestrorsum,   mouvement qui déplace la biellette 1542 à droite, pour entraîner la crémaillère 1537 vers la droite, contre la tension du ressort 1539.

   Ce mouvement de la crémaillère 1537 fait tourner le pignon 1535, en même temps que le bras 1534, dans le sens    senestrorsum      (fig.   77) et par ce moyen, embraye le cliquet 1531 avec la roue à rochet 1528, pour basculer l'arbre 1527 dans le sens    senestrorsum.   Ce mouvement fait tourner, par l'intermédiaire des engrenages 1526 et 1524. le pignon 1522 dans le sens    senes-      trorsum,   pour faire tourner les rouleaux d'alimentation 1520 eux-mêmes dans le même sens. A ce moment, les rouleaux de tension 1506 ont été relâchés, pour mettre la carte ou le livret en contact avec les rouleaux d'avancement 1520, qui sont ainsi avancés jusqu'à la position d'impression. 



  La came 1553 comporte un point bas 1554 pour soutenir le cliquet d'avancement 1531 destiné à faire avancer le mécanisme d'un interligne, quand la machine est commandée dans ce but, suivant la manière décrite    ci-      dessous.   Immédiatement après l'opération de commande destinée à déterminer si un interligne doit être    effectué   ou non, le point bas 1554 actionne à nouveau le cliquet 1531 dans le sens de l'avancement. Vers la fin de l'opération d'avancement, la came 1553 permet au ressort 1551 de ramener le bras 1550 à sa position initiale permettant ainsi au ressort 1539 de ramener la crémaillère 1537, la biellette 1542, le bras 1543 et la biellette 1545 à leur position initiale.

   Pendant ce mouvement, le bras 1534 est basculé dans le sens    dextrorsum   et, se déplaçant dans ce sens, le cliquet d'éjection 1532 embraye la roue à rochet 1529 et fait tourner l'arbre 1527 dans le sens    dextrorsum.   L'arbre 1527, par l'intermédiaire des engrenages 1526 et 1524, ainsi que le pignon 1522, fait tourner les rouleaux d'avancement 1520 dans le sens    dextrorsum   pour éjecter le livret ou la carte hors de la machine. Quand le palpeur 1460    (fig.   75) décèle l'absence de document et que l'étrier 1483 met ainsi hors de service les marteaux d'imprimerie, comme on l'a déjà décrit, le bras 1485 est levé, à partir de la position représentée à la    fig.   77, puisque le bras 1485 est solidaire de l'étrier 1483.

   Quand le bras 1485 est ainsi soulevé,    grâce   à la dépendance mutuelle entre le fente 1547 et le rouleau 1546, l'arête-came 1548 est écartée du chemin du rouleau 1549. Par conséquent, quand la came 1553 est actionnée, le bras de came 1550 est à l'état de repos. De ce fait, lorsqu'il n'y a pas de livret, ni de carte dans la machine, le mécanisme d'avancement ne fonctionne pas. Commande de    l'interligne:   Comme on l'a mentionné ci-dessus, la came 1553 comporte un point bas 1554 qui provoque un déplacement d'un interligne du mécanisme d'avancement. Après que le document, auparavant placé manuellement sur la table, a avancé, le point bas 1554 permet au mécanisme de revenir en arrière, à partir de la position représentée à la    fig.   84.

   Comme le bras 1534 tourne dans le sens    dextrorsum   à ce moment, la face 1555 contacte l'extrémité 1556 d'un cliquet de retenue 1900, qui sera décrit plus loin. Par la suite, la    carne   1553 actionne de nouveau la crémaillère 1537 et le bras d'avancement 1534, pour amener le cliquet 1531 à effectuer l'interligne sur le livret ou la carte. 

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 Le mouvement de la biellette 1545 est commandé par le bras 1560, faisant partie d'un étrier 1561    (fig.   79) qui comporte un second bras 1562. Les bras 1560 et 1562 pivotent sur un arbre 1563.

   Un    ressort   1564    (fig.   77) pousse normalement les' bras 1560 et 1562 dans le sens    dextrorsum   jusqu'à ce que le bras 1560 soit bloqué par un goujon rectangulaire 1565 fixé sur la biellette 1545 déjà mentionnée. Quand celle-ci se meut dans le sens inverse, le goujon 1565 passe au-delà de l'extrémité du bras 1560, permettant au ressort 1564 de soulever le bras 1560 et d'amener l'extrémité coudée 1566 sur le trajet de retour du goujon 1565. Le changement de position du goujon 1565 est indiqué en pointillé sur la    fig.   77. 



  La portée du mouvement communiqué au bras 1560 par le ressort 1564 est    commandée   par le goujon 1567 mettant en prise la partie    supérieure   1568 de l'extrémité bifurquée de la biellette 1569. Cette extrémité pivote sur un goujon 1599 porté par un bras 1571 monté fou sur l'arbre 1443. Le bras 1571 est relié au bras 1570 par un moyeu et il comporte un goujon 1572 qui contacte normalement un bras 1573 fixé sur l'arbre 1443. Le bras 1571 comporte en outre, une branche 1574 dirigée vers le bas. Une    biellette      palpeuse   1575 pivote sur le bras 1574 et est fendue pour pouvoir glisser sur la tige 1446. Un    ressort   1576 maintient normalement la biellette 1575 et le goujon 1572 en prise avec le bras 1573. 



  Quand la came 1450    (fig.   42) bascule le bras 1448 et l'arbre 1443 dans le sens    dextror-      sum      (fig.   42 et 77), le bras 1573    (fig.   77) s'abaisse pour permettre au goujon 1572 de s'abaisser lui aussi; grâce au mouvement du ressort 1576, pour    projecter   les doigts palpeurs 1577 en prise avec les plaques de commande 1578, 1579, 1580 et 1581    (fig.   67A et 67B), qui, dans le système décrit ici, sont munies d'encoches conformément au tableau de la    fig.   105. 



  Si l'entaillage des plaques de commande est tel que les doigts palpeurs 1577 et la    biel-      lette   1575 sont bloqués dès le début de l'opération, la    biellette   1569 ne s'abaisse pas, mais reste dans la position représentée à la    fig.   77. Dans cette position, lorsque la came 1553 actionne le galet de carne 1550, pour déplacer la    biel-      lette   1545 vers la gauche, le goujon 1565 prend la position représentée en pointillé    (fig.   77) et le bras 1560 est soulevé, sous l'action du ressort 1564.

   L'encoche 1568 sur la partie inférieure de la biellette 1569 a une longueur    suffisante   pour permettre au goujon 1567 de s'y mouvoir, afin d'amener l'extrémité 1566 sur le trajet du goujon 1565 pour bloquer la biellette 1545 dans la position saillante et par conséquent, la biellette 1545 ne peut pas être rappelée pour faire avancer la carte ou le livret. 



  L'extrémité du bras 1560 comporte un prolongement 1582 qui dépasse légèrement la face 1566 du bras. A la fin du fonctionnement de la machine, le prolongement 1582 vient se poser sur le goujon carré 1565. Quand la    biel-      lette   1545 est actionnée par le bras 1550, ce goujon dépasse légèrement sa course normale pour se mouvoir au-delà du prolongement 1582. Et, quand le ressort 1539 rappelle la    biel-      lette   1545, après que le bras 1560 a été soulevé, le goujon carré 1565 peut se déplacer sous le prolongement 1582 . 



  Du fait que le bras 1560, une fois placé devant le goujon 1565, empêche le mouvement de retour de la biellette 1545 afin d'empêcher l'opération d'interligne, le bras 1560 empêche aussi l'éjection du livret ou de la carte. En ce cas, il est préférable d'empêcher les rouleaux de tension 1506    (fig.   74) d'être ramenés à leur position normale, de sorte que les rouleaux 1506 restent en contact avec la carte ou autre document et les maintiennent appliqués contre les rouleaux d'avancement 1520. Pour empêcher le retour des rouleaux de tension 1506, le bras 1543 est    articulé   à une biellette 1583 qui est munie de fentes pour. pouvoir recevoir un goujon 1584 fixé sur un bras 1585 solidaire de l'arbre 1563.

   A l'arbre 1563 est encore fixé un bras 1586, bifurqué pour pouvoir saisir un goujon 1587 placé sur la biellette 1513 déjà mentionnée. Quand le bras 1543 est basculé dans le sens    senestrorsum      (fig.   74) par la came 1554, la biellette 1583 fait pivoter les bras 1585 et 1586 dans le sens    destrorsum   de telle sorte qu'il soulève la biellette 1513 et en dégage le cran 1517 du rouleau 1518, déconnectant 

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 ainsi la biellette 1513 du galet de came 1514.

      Etant   donné qu'après le déplacement, lorsque la biellette 1545 est maintenue dans sa nouvelle position par le bras 1560, et que ni une opération d'interligne, ni une opération d'éjection ne doit avoir lieu, la biellette 1583 reste dans sa nouvelle position, maintenant ainsi la biellette 1513 dégagée du goujon 1518, la biellette 1513 ne revient pas à sa position initiale à la fin du fonctionnement de-la machine. Comme la biellette 1513 ne revient pas en arrière, le bras 1511 reste dans sa nouvelle position après le déplacement, pour maintenir le pourtour de came 1519 au-dessus du rouleau 1510 du bras 1508, afin de maintenir le rouleau de tension 1506 en contact avec le rouleau d'avancement 1520.

   Ainsi, à la fin de l'opération, le rouleau de tension 1506 maintient le livret ou la carte dans la position suivant laquelle ils étaient avancés pendant le    fonction-      nement   de la machine, prêts à recevoir une autre écriture sur la même ligne, pendant l'opération suivante. 



  La biellette 1569 revient à sa position normale, grâce aux cames 1450    (fig.   42) ou bien grâce à une came 1590    (fig.   80). Celle-ci coopère avec un galet 1591 porté par une pièce à triple bras 1592 pivotant sur l'arbre 1443. Un bras 1594 est relié à la pièce à triple bras 1592 (voir aussi    fig.   77). 



  La came 1590 a son temps de fonctionnement réglé de façon à ramener la biellette 1569 dans le cycle plus tôt que la came 1450. Ce sont les encoches des plaques de commande 1578, 1579, 1580 et 1581 qui commandent l'une ou l'autre des cames 1590 et 1450 pour ramener    effectivement   en place la biellette 1569. Si à la fois les encoches profondes et moins profondes se présentent devant les doigts 1577, la    biel-      lette   1575 effectue son mouvement le plus ample et, par conséquent, la biellette 1569 s'abaisse le plus possible. Pour cette position de la plaque de commande, les cames 1450 sont commandées pour ramener la biellette 1569 en place.

   Cependant, si des encoches à la fois profondes et moyennement profondes se présentent aux doigts 1577, la biellette 1575    effectue   un mouvement d'une portée plus limitée et par conséquent la    biellette   1569 subit un abaissement de moindre importance. Dans ce cas, un mécanisme de rappel pour la biellette 1569 est couplé au bras 1594; par conséquent, la came 1590 ramène la biellette 1569 plus tôt dans le cycle que dans le cas où elle est ramenée par les cames 1450. Les bras 1573 et 1594 s'abaissent pour relâcher le bras 1571 approximativement au même moment, au cours du cycle. Le retour prématuré de la biellette 1569 est commandé par un cliquet 1595 pivotant sur le goujon 1599, qui est aussi le point de pivotement de la biellette 1569 sur le bras 1571.

   Quand la biellette 1569 s'abaisse, par suite du mouvement de la biellette 1575 vers les plaques de commande 1578 à 1581, et que la biellette 1575 est arrêtée pas les encoches profondes et moyennement profondes des plaques, le bras 1573 continue à se déplacer, après quoi un goujon 1600 du cliquet 1595 se dirige vers le bas du    pourtour   de came 1596. Le ressort 1897, relié au goujon 1600 et au goujon 1572 fait que le premier suit l'arête inclinée 1596 pour amener l'extrémité 1598 sur le trajet du bras 1594. Par suite, quand le bras 1594 est basculé par la carne 1590, il contacte l'extrémité 1598 du cliquet 1595 et soulève la biellette 1569 jusqu'à sa position normale.

   Cependant, si deux encoches profondes ou deux encoches peu profondes, ou une encoche profonde et une encoche peu profonde se présentent aux doigts 1577, la biellette 1569 suit le bras 1573 dans son mouvement complet. Par conséquent, l'extrémité 1598 du cliquet 1595 ne peut pas déplacer sur le bras 1594 celui-ci n'est par conséquent pas apte à ramener la biellette 1569. Dans cette position, les cames 1450 ramènent les biellettes 1569 à leur position normale quand elles basculent le bras 1573, plus tard que les bras 1594 ne pourraient ramener la biellette 1569. 



  Comme indiqué plus haut, la came 1553 comporte un point bas 1554    (fig.   77), qui peut permettre un mouvement de retour de la    biel-      lette   1545 d'une portée    suffisante   pour provoquer un déplacement d'avancement d'un interligne de cette biellette. Après que le point bas 1554 a permis le déplacement d'un interligne de la    biellette   1545, la came 1553 ramène de nouveau 

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 celle-ci à sa nouvelle position.

   Si, à ce moment, les plaques de commande encochées l578-1581 commandent le mouvement de la biellette    pal-      peuse   1575, de façon qu'elle soit rappelée par le bras 1594, le bras 1560 est ramené dans le chemin du goujon    carré   1565, avant que la came 1553 permette le mouvement d'éjection du bras 1550, à l'approche de la fin de l'opération.

   Cependant, si les plaques de commande en question permettent à la biellette    palpeuse   1575 d'effectuer son mouvement le plus complet et empêchent le couplage entre le    cliquet   1595 et le bras 1594, la biellette .est ramenée par les cames 1450 après que les plaques 1553 ont permis le mouvement d'éjection de la    biel-      lette   1545, c'est-à-dire ont permis à la biellette 1545 d'effectuer son mouvement le plus complet et au goujon carré 1565 de se déplacer de nouveau sur le bras 1560 dans la position    repré-      représentée   à la    fig.   77. 



  Les temps de fonctionnement respectifs des cames 1553, 1450 et 1590 déterminent si les documents doivent subir l'opération d'interligne ou doivent être éjectés hors de la machine. Mécanisme de commande du cliquet    d'avancement:   Comme on l'a décrit auparavant, la came 1553 actionne tout d'abord la biellette 1545 pour amener le document en position d'inscription puis ramène la crémaillère 1537 en position préparatoire d'une opération d'espacement de ligne, et finalement la came 1553 actionne la biellette 1545 -pour éjecter le document hors de de la machine. On a dit aussi que l'interligne et l'éjection ne peuvent pas avoir lieu simultanément dans une même opération. Les commandes décrites ici déterminent quelle opération doit avoir lieu pendant le fonctionnement de la machine. 



  Normalement, le cliquet d'avancement 1531 et le cliquet d'éjection 1532 sont en prise respectivement avec leurs roues à rochet 1528 et 1529, comme on l'a représenté aux    fig.   77, 80 et 81. A la fin de l'opération, pendant laquelle le document reçoit son avancement initial, les cliquets 1531 et 1532 prennent les positions représentées à la fi-. 82. Quand le point bas 1554 de la came 1553 soutient la crémaillère 1537 destinée à l'interligne, il est nécessaire de maintenir le cliquet d'éjection 1532 dégagé de sa roue à rochet 1529. De même, pour empêcher le mouvement rétrograde de la roue à rochet 1529, tandis que le cliquet d'alimentation entraîne la roue 1528, on a prévu un cliquet d'arrêt 1900 monté à pivot sur un goujon 1901. 



  Solidaire du cliquet d'arrêt 1900, se trouve un bras 1902 auquel est relié l'extrémité d'un ressort 1903 destiné à pousser le cliquet dans le sens    senestrorsum   (fi-. 80) vers la roue à rochet 1528. Un goujon 1904 porté par le bras 1902 est normalement en prise avec une arête 1905 d'une plaque de commande 1906. Celle-ci comporte aussi une arête 1907 pouvant coopérer avec un goujon 1908 porté par le    cliquet   d'éjection, quand celui-ci est à bout de course, dans son mouvement    senestrorsum      (fig.   84). La plaque de commande 1906 est reliée à un bras 1909 articulé à une bielle 1910 reliée à un bras de came 1911 tournant sur l'arbre 1439.

   Le bras de came 1911 comporte un galet 1912 coopérant avec une    carne   1913 goupillée sur l'arbre à cames 1441 de l'imprimerie. Un    ressort   1914 relié au bras 1909, maintient normalement le galet 1912 en contact avec la came 1913. 



  A la fin de l'opération d'avancement initial, la came 1913 bascule la plaque de contrôle 1906, de la position représentée à la    fig.   82 à celle de la    fig.   84, après quoi l'arête 1905 passe du côté inférieur du goujon 1904 pour relâcher le cliquet d'arrêt 1900, afin de venir en prise avec la roue à rochet 1528. En même temps, l'arête 1907 coopérant avec le goujon 1908 du cliquet d'éjection 1532, bascule ce dernier pour le dégager de la roue à rochet 1529. Ensuite, lorsque la crémaillère 1537 entraîne le bras d'avancement 1534, le cliquet d'éjection 1532 est dégagé de la roue 1529, alors que le cliquet 1531 engrène sur la roue à rochet 1528. Enfin le cliquet d'arrêt 1900 empêche le mouvement en arrière de ce dernier au même moment.

   Par conséquent, quand un déplacement d'interligne doit être    effectué,   le cliquet d'avancement 1531, étant en prise avec la roue 1528, fait tourner celle-ci dans le sens    senestrorsum   (fi-. 81), et le cliquet d'avancement engrène 

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 la roue à rochet 1528. La came 1913 ramène alors à nouveau le bras 1911, la biellette 1910 et la plaque de commande 1906 à leur position normale, dans laquelle le cliquet    d'arrêt   1900 se soulève pour se dégager de la roue à rochet 1528. Le cliquet d'éjection 1531 s'abaisse de nouveau pour venir en prise avec sa roue à rochet 1529, prête pour une opération d'éjection. 



  Dans ces opérations, pendant lesquelles la biellette 1569 et le bras 1560 empêchent une opération d'interligne, il est aussi préférable d'empêcher le fonctionnement de la plaque de commande 1906 du    cliquet   d'avancement. A cet effet, le bras 1560 est relié au bras 1562 qui comporte un crochet 1916 qui bascule devant un goujon 1917 de la biellette 1910 mentionnée précédemment. Pour cette raison, lorsque le bras 1560 est placé derrière le goujon 1565, le crochet 1916 se trouve devant le goujon 1917, s'opposant ainsi au déplacement de la biellette 1910 et à l'arrêt du cliquet d'éjection 1532.

   Lorsque la bielle 1569 est abaissée et permet ainsi l'éjection par abaissement des bras 1560 hors du goujon 1565, le crochet 1916 s'abaisse également et laisse libre la trajectoire du goujon 1917, permettant ainsi à la biellette 1910 d'actionner le bras de commande 1906 du    cliquet   d'éjection. 



  On prévoit une autre commande du mécanisme d'espacement de ligne et de la plaque de commande d'avancement 1906 afin de s'opposer au fonctionnement de ces deux mécanismes avant    qu'aient   lieu l'opération de rappel et l'interlignage, ce qui empêche ainsi une production d'interlignes avant l'éjection. Ce mécanisme est commandé par une plaque de commande 1920    (fig.   80)    comportant   des encoches et montée sur l'arbre 632, suivant la façon décrite plus loin. La plaque de contrôle 1920 est réglée    différentiellement   par la première rangée de transactions, à la manière connue.

   Lorsque le fonctionnement de la machine est commandé par enfoncement de l'une des touches Solde 121, Découvert 123 ou    Ejection   125, il est préférable de provoquer l'éjection du document imprimé. On prévoit donc lé disque de commande 1920, comportant des encoches qui correspondent à ces quatre positions. Une glissière    palpeuse   1921 est    commandée   par un ressort pour palper les encoches de la plaque de contrôle 1920. Si une encoche se trouve en face de la glissière    palpeuse   1921, lorsque la came 1590 autorise une rotation dans le sens    dextrorsum      (fig.   80) de la pièce 1592, une    biel-      lette   1923 connectée à celle-ci, est abaissée.

   La biellette 1923 pivote autour d'un bras crochu 1924 qui s'abaisse pour enclencher le goujon 1917 lorsqu'une encoche profonde se trouve en face de la glissière 1921. Un bras 1925 est également relié au bras crochu 1924; il' est muni d'une bride 1926 qui s'abaisse et se place sur la trajectoire d'un prolongement du goujon carré 1565 lorsque la biellette 1923 est abaissée. 



  La coopération du bras crochu 1924 et du goujon 1917 s'oppose au fonctionnement de la plaque de commande 1906 tant qu'il n'a pas été produit d'interligne, après quoi la came 1590 soulève à nouveau la    biellette   1923 pour libérer la bielle 1910. Le réglage de la came 1590 est tel qu'elle abaisse la biellette 1923 après que la biellette d'avancement 1545 a repris sa position précédente. Lorsqu'elle se trouve dans cette position et que le bras crochu 1924 est abaissé au-dessus du goujon 1917, la bride 1926 se déplace derrière le goujon 1565, qui occupe alors la position représentée en trait    mixte   dans la    fig.   83. Ceci empêche le mouvement de retour de la biellette 1545, ainsi qu'un mouvement d'interligne du bras 1534.

   A la fin du temps d'espacement de ligne, la came 1590 soulève à nouveau la biellette 1923 et libère ainsi les biellettes 1910 et 1545, de façon que, le fonctionnement de la machine se poursuivant, le document (soit la carte, soit le livret) soit éjecté de la machine. 



  A la fin de l'opération pendant laquelle le livret et la carte ont subi l'espacement de ligne, les rouleaux de tension 1506 restent à leur position    efficace,   pressant le document contre les rouleaux 1520. A la fin de cette opération, le goujon carré 1565 est également placé sous le prolongement 1582 du bras 1560, soutenant ainsi le rouleau 1546 à l'extrémité de gauche    (fig.   77) de la rainure 1547 du bras 1485. A la fin de cette opération, il est prévu que le livret 

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 ou la carte restent dans la machine jusqu'à une opération suivante, pendant laquelle les documents sont éjectés de la machine au moyen du mécanisme d'éjection.

   Cependant, si en raison d'une erreur d'opération, l'opératrice saisissait le livret ou la carte et les retirait de force de la machine, il s'en suivrait un mauvais fonctionnement pendant l'opération suivante. 



  Il en résulterait un mauvais fonctionnement qui serait dû au fait que le palpeur 1460, se relevant, passerait à travers l'orifice de la table et s'élèverait au maximum. De ce fait, comme expliqué précédemment, le bras 1485 basculerait dans le sens    dextrorsum      (fig.-77).      Comme   à ce moment le rouleau 1546 est près de l'extrémité de gauche de la rainure 1547 du bras 1485, ce    basculement   occasionnerait l'éloignement de la glissière 1547 par le rouleau 1546, séparant de cette façon la bielle 1545 du bras 1485. Pour éviter un tel fonctionnement défectueux, on prévoit un    interverrouillage,   conçu de la manière suivante: Un bras de came 1930    (fig.   74) est fixé sur l'arbre 1471 et un galet 1931 est posé normalement sur ce bras.

   Le galet 1931 est porté par le côté d'un bras 1932 monté fou sur l'arbre 1487. L'extrémité libre du bras 1932 est destinée à prendre place    derrière   un goujon 1933 du bras 1462, autour duquel pivote le palpeur 1460. 



  A la fin d'une opération comportant l'enregistrement d'un document, le bras de carne 1511    (fig.   74) reste dans sa position déplacée, maintenant le bord de la came 1519 en contact avec le galet 1510, pour maintenir le rouleau de tension 1506 dans sa position    efficace.   Le bras 1511 est également fixé à l'arbre 1471 et, de ce fait, lorsque le bras 1511 se trouve dans sa position déplacée, le bras de came 1930 se trouve également dans une position déplacée. Au moment où le bras de came 1930 bascule avec le bras 1511, l'arête-came de ce dernier, permet alors au ressort 1934 d'abaisser l'extrémité libre du bras 1932 sur la trajectoire du goujon 1933, où reste le    bras    à la    fin   de    cette   opération.

   Si on enlève de force le livret ou la carte de l'espace compris entre le rouleau de tension et le rouleau d'avancement 1520, le bras 1932 maintiendra le bras 1462 et le pal- peur 1460 dans leur position abaissée, de façon que, même si la machine fonctionne sans document, le palpeur 1460 en se relève pas et que par conséquent il ne soit pas possible au mécanisme palpeur de débrayer le mécanisme d'impression et le bras 1485. 



  Le bras 1932 reste derrière le goujon 1933 jusqu'à ce que le mécanisme d'éjection des documents soit actionné, ce qui produit l'éjection; le rouleau de tension 1506 est alors abaissé et le bras de carne 1930 est ramené dans sa position de repos pour soulever le bras 1932 et l'éloigner de devant le goujon 1933. 



  Commande de l'impression de la dernière ligne: de l'éjection et des marteaux    d'hnpression:   Lorsque la carte de compte est remplie, c'est-à-dire lorsqu'une écriture a été portée sur la dernière ligne, la machine est bloquée et ne peut fonctionner excepté si le fonctionnement est commandé par l'une des touches:   Intérêt sur Prêt   142,      Ejection     125,   Découvert   123,   Sous-Solde   122, ou   Solde   121. On peut utiliser d'autres combinaisons de touches pour commander la machine en modifiant les encoches de certaines plaques de commande décrites ici-même. On réalise les mêmes commandes, lorsque la dernière ligne de la page du livret a été imprimée, et ces commandes interviennent lorsque la carte ou le livret ou les deux documents sont remplis. 



  Les mécanismes d'impression et d'éjection, décrits précédemment, sont également contrôlés par les commandes de la dernière ligne. Les opérations et les commandes suivantes sont groupées dans ce qui suit, pour cataloguer certaines de ces commandes, lorsque les opérations suivent l'entrée d'une écriture sur la dernière ligne du livret ou de la carte, et que la machine est bloquée 1. Opération de Solde - Impression dans la colonne de solde et éjection de la    carte   et du livret, qu'ils soient remplis ou non. 



  2. Opération de Sous-Total Solde: a) la carte est remplie - Impression dans la colonne solde de la carte, éjection de la carte et non-impression du livret. 

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 b) Le livret est rempli - Impression dans la colonne solde du livret, éjection du livret et non-impression de la carte. 



  c) La carte et le livret sont tous deux remplis - Impression dans la colonne solde du livret et de la carte et éjection des deux documents. 



  3. Opération de Sous-Total Solde - Ni la    carte   ni le livret ne sont remplis - Impression dans la colonne solde de la carte et du livret - Pas d'éjection. 



  4. Opération Intérêt sur Prêt - Impression dans la seconde colonne du livret et de la carte qu'ils soient remplis ou non. 



  5. Opération    Ejection   -    Ejection   du livret et de la carte. 



  Les plaques de commande, destinées à contrôler les mécanismes d'impression et d'éjection et de la carte à partir du clavier, ont été décrites précédemment. Ces plaques englobent les plaques 1406, 1407 et 1408    (fig.   67A et 67B) destinées à commander les marteaux d'impression de la colonne Solde du livret et de la carte et les plaques 1578, 1579 et 1580 destinées à commander les mécanismes d'éjection du livret et de la carte. Comme on l'a déjà mentionné, ces groupes de plaques de commande comportent également les plaques 1405 et 1581, respectivement, dans la section d'impression du livret et dans la section d'impression de la carte, plaques commandées par des palpeurs.

   Pour les distinguer l'une de l'autre dans la description suivante, les plaques 1405 et 1581 sont pourvues des expositions B et C et sont ainsi représentées aux    fig.   67A, 67B, 97 et 100. Les plaques de commande 1405B, 1405C, 1581B et 1581C sont sous la commande des palpeurs de documents l'un étant destiné au livret et l'autre à la carte. 



  Les dimensions des documents peuvent varier suivant les modèles adoptés par les banques qui utilisent cette machine. Pour cette raison et pour obtenir une commande précise de la part des palpeurs par rapport aux extrémités des documents les palpeurs sont montés de façon à pouvoir être réglés, afin de permettre leur réglage de l'avant à l'arrière de la machine. Le mécanisme palpeur destiné au livret est représenté aux    fig.   87 et 101 et comporte un doigt de palpeur 1950 réglable. Ce palpeur 1950 peut être    fixé,   de façon réglable sur l'une des deux rainures 1951 (voir    fig.   101) par un boulon 1949. Le boulon 1949 est destiné à fixer le palpeur sur les rainures 1951, dans une position de droite ou de gauche, permettant ainsi un maximum de positions de réglage du palpeur.

   Les rainures 1951 sont pratiquées sur le rebord horizontal 1952 d'une glissière 1953, pourvue d'une rainure 1954 et d'une extrémité bifurquée 1955, dans laquelle pénètrent des goujons 1956 et 1957, respectivement. Les goujons 1956 et 1957 sont montés sur un support 1958    fixé   au bâti 162 de la machine. La glissière 1953 est pourvue d'un goujon 1959 engagé dans l'extrémité bifurquée d'un levier coudé 1960. (Voir aussi    fig.   86.) Le levier coudé 1960 est monté de façon à pouvoir tourner sur un arbre 1961, supporté par les parois 160, 163 et 164    (fig.   3) de la machine.

   Un manchon 1962    (fig.   101) relie le levier coudé 1960 à un bras en forme de secteur 1963 (voir aussi    fig.   87) possédant un doigt 1964 normalement engagé avec un goujon 1965 d'un bras 1966 commandé par un ressort 1967 ayant une extrémité reliée au bras 1960 et l'autre à un goujon 1968 du support 1958. Une branche supérieure du bras 1966 fait pivoter une des extrémités d'une bielle 1969, l'autre extrémité de celle-ci étant reliée à un bras 1970 dont un galet 'l971 est en contact avec une came 1972 fixée sur l'arbre à cames 1441. Un galet 1973 est prévu sur le côté de la came 1972 et est destiné à venir en prise avec un pied 1974 du bras 1970. 



  Un cliquet 1976 possédant un rebord 1977 est    supporté   de façon à pouvoir pivoter, par le prolongement avant d'une branche 1975 du bras 1966, rebord qui est    normalement   maintenu en contact avec la portée 1978 du bras en forme de secteur 1963 montés sur un support 1958 fixé au bâti 162 de la machine. La glissière 1953 est    pourvue   d'un goujon 1959 engagé dans l'extrémité bifurquée d'un levier coudé 1960. (Voir aussi    fig.   86.) Le levier coudé 1960 est monté de façon à pouvoir tourner sur un arbre 1961, 

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 supporté par les parois 160, 163 et 164    (fig.   3) de la machine.

   Un manchon 1962    (fig.   101) relie le levier coudé 1960 à un bras en forme de secteur 1963 (voir aussi    fig.   87) possédant un doigt 1964 normalement engagé avec un goujon 1965 d'un bras 1966 commandé par un ressort 1967 ayant une extrémité reliée au bras 1960 et l'autre à un goujon 1968 du    support   1958. Une branche supérieure du bras 1966 fait pivoter une des    extrémités   d'une bielle 1969, l'autre extrémité de celle-ci étant reliée à un bras 1970 dont un galet 1971 est en contact avec une came 1972    fixée   sur l'arbre à cames 1441. Un galet 1973 est prévu sur le côté de la came 1972 et est destiné à venir en prise avec un pied 1974 du bras 1970. 



  Un cliquet 1976 possédant un rebord 1977 est supporté de façon à pouvoir pivoter, par le prolongement avant d'une branche 1975 du bras 1966, rebord qui est normalement maintenu en contact avec la portée 1978 du bras en forme de secteur 1963 par un    ressort   1979, comme le montrent les    fig.   86 et 87. 



  Lorsque le    livret   est introduit dans la machine il repose sur la table 1500    (fig.   87) pourvue d'une ouverture à travers laquelle peut passer le palpeur 1950 pour s'assurer de la présence ou de l'absence du document. Lorsque le livret n'est pas rempli, c'est-à-dire lorsque la dernière écriture imprimée n'est pas sur la dernière ligne, le palpeur 1950 n'est pas arrêté dans son mouvement de montée. Cependant, lorsque le livret est placé de façon à recevoir une écriture sur sa dernière ligne, sa position est telle que le palpeur touche l'extrémité du livret de façon à être arrêté dans son mouvement de montée. 



  Lorsque la machine fonctionne et que la came 1972 tourne dans le sens    senestrorsum      (fig.   87), le bras 1970 s'appuyant sur une came bascule dans le sens    dextrorsum,   alors que le galet 1973 s'engage dans l'extrémité 1974 du bras. La rotation dans le sens    dextrorsum   du bras 1970 repousse vers la gauche    (fig.   87) la bielle 1969 pour faire basculer le bras 1966 dans le sens    senestrorsum,   abaissant ainsi le cliquet 1976. Le basculement du bras 1966 éloigne également le goujon 1965 du doigt 1964, permettant ainsi au levier coudé 1960 de bas- culer dans le sens    senestrorsum   sous l'action du ressort 1967.

   Le levier coudé 1960 soulève alors la glissière 1953 et fait avancer le palpeur 1950 dans l'ouverture de la table 1500, pour s'assurer de la présence ou de l'absence de l'extrémité du livret sur la table. Lorsque le palpeur 1950 est en contact avec le dessous du livret, par suite du fait que ce dernier est placé en regard de la dernière ligne d'impression, le palpeur est arrêté et le bras 1966 continue à tourner dans le sens    senestrorsum,   permettant ainsi à la bride 1977 du cliquet 1976 de prendre place derrière le prolongement en forme de secteur 1963 du bras 1960, sous l'action du ressort 1979. Ensuite, lorsque la came 1972 ramène le bras 1970, la bielle 1969 et le bras 1966 à leur position de repos le cliquet 1976 ramène le bras 1960 à sa position originale ce qui supprime le contact entre le palpeur 1950 et le livret.

   A la fin de cette opération, la bride 1977 reste au-dessous du bras 1963. Pendant l'opération suivante, lorsque le bras 1966 bascule dans le sens    senestrorsum   dans sa position d'extension maximum, une queue 1887 du cliquet 1976 et formant    carne,   est en contact avec un goujon 4000, au moyen duquel le cliquet 1977 est ramené dans le sens    senestrorsum   autour de son axe, de façon que le levier 1977 repose à nouveau sur l'arête 1978 du bras 1963.

   Si, par contre, la dernière ligne du livret n'a pas été imprimée, le palpeur 1950 n'est pas arrêté lorsque la came 1972 fait basculer le bras 1966 et le cliquet 1976 dans le sens    senes-      trorsum.   Pendant cette opération, la bride 1977 ne prend pas place au-dessous du bras 1963 mais reste en contact avec l'arête 1978, alors que le levier coudé 1960 et le bras 1966 tournent en même temps dans le sens    senestrorsum   et, de ce fait, lorsque la came 1972 ramène les pièces à leur position de repos la bride 1977 repose sur le sommet de l'arête et ne ramène pas le palpeur 1950 à sa position originale.

   Pour le ramener à cette position, le goujon 1965 vient en contact du doigt 1964 et fait basculer le bras 1960 dans le sens    dextrorsum      (fig.   87) pour abaisser le palpeur 1950 dans sa position de repos. 

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 Si le palpeur 1950 est    arrêté,   du fait que le livret est placé sur la table pour recevoir un enregistrement sur la dernière ligne, comme expliqué plus haut, et si le cliquet 1976 prend place derrière le bras 1963, la bride 1977 de ce cliquet prend place derrière une encoche 1980    (fig.   88) pratiquée à l'extrémité libre d'un bras 1981 pivotant autour de l'arbre 1961 et relié à un bras 1982 au moyen d'un étrier 1983.

   Le bras 1982 fait pivoter une bielle 1984 faisant tourner une couronne 1985 qui comporte des dents internes en prise avec un pignon 1986 monté sur un arbre carré 1987 qui fait partie d'un mécanisme de rotation interne, semblable à celui du mécanisme d'impression, déjà décrit. 



  Un pignon 1988    (fig.   95) est également monté sur l'arbre carré 1987 et est en prise avec les dents internes d'une couronne 1989. Celle-ci porte un goujon 1990 pénétrant dans une encoche 1991 pratiquée à l'extrémité avant d'un curseur 1992 (voir aussi    fig.   94). Le curseur 1992 fait pivoter un bras de came 1993    (fig.   92 et 101) qui pivote autour d'un goujon 1994    (fig.   92). Le bras 1993 est pourvu de deux galets 1995 en contact avec une paire de cames 1996 montées sur l'arbre à cames 200 déjà mentionné. 



  Lorsque la couronne 1989    (fig.   95) tourne dans le sens    dextrorsum   comme décrit plus loin, en raison de l'abaissement de la bielle 1984    (fig.   88) le goujon 1990, s'engageant dans l'encoche 1991, abaisse l'extrémité libre du curseur 1992, ce qui place une de ses extrémités 1093 sur la trajectoire d'un goujon 1094    (fig.   94 et 101) porté par une couronne 1095 à dents internes en prise avec un pignon 1096 monté sur un arbre carré 1997. Un pignon 1998    (fig.   93), également monté sur cet arbre engrène avec les dents internes d'une couronne 1999, entaillée à l'endroit marqué 2000 et un goujon 2001 de la plaque de commande 1405C    (fig.   97) est placé à l'intérieur de l'encoche 2000.

   Un ressort 2002 maintient normalement le goujon 2001 en contact avec le bord de droite    (fig.   93) de l'encoche 2000. 



  La plaque 1581B    (fig.   77) précédemment mentionnée est également réglée par l'arbre carré 1997 qui porte un pignon en prise avec les dents internes de la plaque 1581B. Comme on l'a mentionné auparavant, lorsque le livret gêne le palpeur 1950    (fig.   87), ce qui est dû à ce que l'impression doit être faite sur la dernière ligne, la bride 1977 prend place derrière le secteur 1963 de façon à ramener ce    dernier   lorsque le cliquet 1976 exécute son mouvement de retour ascendant. 



  Comme cette bride 1977 est aussi engagée dans l'encoche 1980 du bras 1981, celui-ci est alors entraîné dans le sens    dextrorsum   pendant le mouvement ascendant du cliquet 1976, abaissant la bielle 1984 et faisant basculer la couronne dentée 1985    (fig.   88) avec le pignon 1986 dans le sens    dextrorsum.   La rotation qui s'en suit, de l'arbre carré 1987, fait tourner la couronne dentée 1989    (fig.   95) dans le sens    dextrorsum   au moyen du pignon 1988. Ensuite, le goujon 1990 abaisse le curseur 1992 de façon que sa portée 1093 se trouve dans le même plan horizontal que le goujon 1094    (fig.   94) de la couronne dentée 1095. 



  Les    carnes   1996    (fig.   92) font alors basculer le bras 1993 dans le sens    senestrorsum   et le curseur 1992 vers la gauche    (fig.   94), amenant ainsi l'extrémité 1093 en contact avec le goujon 1094 ce qui fait tourner les couronnes 1095 et 1999 dans le sens    senestrorsum.   La rotation de la couronne 1999, grâce au ressort 2002, attire le goujon 2001 et fait tourner la plaque 1405C pour placer un point élevé de la plaque de commande 1405C sur la trajectoire du palpeur 1451    (fig.   70) du mécanisme    d'impression   de la carte. Comme indiqué précédemment, lorsque la tête du palpeur 1451 vient en contact d'une partie élevée du disque 1405C, le mécanisme d'impression de la    carte   est arrêté.

   Par conséquent, lorsque la dernière ligne du livret a été imprimée, le mécanisme d'impression de la carte est arrêté, de façon qu'aucune écriture ne puisse être imprimée sur cette dernière pendant les opérations d'impression de la dernière ligne du livret. 



  Un    aligneur   2003    (fig.   100) monté sur un arbre 2004 est enclenché dans l'une ou l'autre des encoches 2005 de la plaque circulaire 1405C pour maintenir celle-ci dans sa position réglée. 



  Les    commandes   précédemment décrites, au moyen du palpeur destiné à palper la dernière 

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 ligne du livret, lorsque le carnet est rempli, s'appliquent aux opérations dans lesquelles la carte n'est pas remplie. 



  On prévoit un second mécanisme palpeur pour déceler la dernière ligne de la carte. Ce mécanisme est semblable à celui qui a été décrit précédemment. Lorsque la dernière ligne de la carte est remplie, il est désirable de débrayer l'impression du livret. Cependant, si ce dernier et la carte sont remplis tous les deux, c'est-à-dire si la dernière ligne des deux documents est en position d'impression, les données sont alors imprimées sur les deux documents qui tous les deux sont éjectés de la machine. On décrira d'abord la commande de    non-      impression   du livret. 



  Lorsque la carte est en position d'impression, elle repose sur la table 1501    (fig.   104). Un palpeur 2050    (fig.   101 et 104) placé sous la table 1501, passe par un orifice pratiqué dans la partie inférieure de la table 1501 pour détecter la -présence de l'extrémité de la carte. Si celle-ci est placée de façon à    recevoir   une impression sur la dernière    ligne,   le palpeur 2050 vient en contact avec elle, ce qui limite ainsi sa montée. Si la carte n'est pas encore dans la position correspondant à la dernière ligne, son    extrémité   ne se trouvera pas sur la trajectoire du palpeur 2050 qui peut alors    effectuer   sa course maximum. 



  Le palpeur 2050 est monté dans l'une des deux rainures 2051 pratiquées dans le rebord 2053 d'une glissière 2054, au moyen d'un boulon 2052. La liaison à boulon et fente sur la glissière 2054 constitue un moyen de réglage du palpeur 2050 par rapport à la    carte,   de façon qu'on puisse utiliser des    cartes   de longueurs variables. La glissière 2054 est pourvue d'une rainure 2055 et d'une extrémité bifurquée 2056, qui glissent sur des goujons 2057 et 2058 respectivement, montés sur un support 2059. La glissière 2054 est pourvue d'un goujon 2060 qui pénètre dans une extrémité bifurquée d'un levier coudé 2061 pivotant sur l'arbre 1961. Le levier coudé 2061 est relié par un manchon à un bras 2063 en forme de secteur.

   Le bras 2061 est également pourvu d'un doigt 2064, maintenu en contact avec un goujon 2065 d'un bras 2066, par un ressort 2067 relié au prolongement du bras du levier coudé 2061. Une extrémité du ressort 2067 est reliée à un goujon 2062 du support 2059. Le bras 2066 est articulé à une bielle 2069 dont l'autre extrémité est reliée à un bras de came 2070 qui pivote autour de l'arbre 1439 déjà mentionné. Le bras 2070 comporte un galet 2071 coopérant avec une came 2072 montée sur l'arbre à cames 1441. La came 2072 est pourvue d'un goujon 2073 s'enclenchant avec un pied 2074 destiné à faire basculer le bras 2070, pendant le fonctionnement de la machine.

   Le bras 2066 est muni d'un goujon 2075 sur lequel est monté un cliquet 2076, possédant un rebord 2077, maintenu normalement en contact avec le contour extérieur d'un bras 2063 en secteur, sous l'action d'un ressort 2079. 



  Lorsque, pendant le fonctionnement de la machine, la came 2072 fait basculer le bras 2070 pour déplacer la bielle 2069 vers la gauche    (fig.   104), le bras 2066 bascule dans le sens    senestrorsum   en vue de séparer le goujon 2065 du doigt 2064, après quoi le    ressort   2067 provoque la rotation du bras 2063 dans le sens    senes-      trorsum,   ce qui soulève la glissière 2054 et le palpeur 2050 destiné à détecter la présence d'une carte.

   Si la carte est placée de manière à être imprimée sur une autre ligne que la dernière, le palpeur 2050    effectue   sa course et le bras en secteur 2063 bascule avec le bras 2066 pendant son mouvement de    basculage   complet; par suite, le rebord 2077 du cliquet 2076 demeure sur la    portée   2078. Lorsque le bras 2061    effectue   un mouvement de retour, le goujon 2065 vient en contact avec le    doigt   2064 et ramène le bras 2063 et le palpeur 2050 à leur position de repos. 



  Cependant, si la    carte   est placée de manière à être imprimée sur la dernière ligne, le palpeur 2050 vient en contact avec la carte et est arrêté avant d'atteindre sa course maximum. Le bras 2066 continue néanmoins à se déplacer,    entrai-      nant   ainsi le rebord 2077 qui s'éloigne de l'arête 2078 du bras 2063 pour se placer derrière ce dernier. Lorsque le bras 2066    effectue   son mouvement de retour, le rebord 2077 ramène le bras 2063 et le palpeur 2050 à leur position originale. 

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 Lors de la rotation complète suivante du bras 2066 dans le sens    senestrorsum,   un pied du cliquet 2076 contacte un goujon 400    (fig.   103) provoquant le retour du cliquet à sa position normale. 



  Lorsque le rebord 2077 bascule derrière le bras 2063, il se déplace derrière un épaulement 2080    (fig.   103) d'un bras 2081 qui est relié à un second bras 2082 par un étrier 2083. Le bras 2082 est relié à l'extrémité inférieure d'une bielle 2084 dont l'extrémité supérieure est reliée à une couronne 2085. 



  Lorsque le rebord 2077 prend place derrière l'épaulement 2080 et que le bras 2066 est ramené à sa position normale, les bras 2081 et 2082 basculent dans le sens    dextrorsum   pour abaisser la bielle 2084 et faire tourner la couronne 2085 dans le sens    dextrorsum.   La couronne 2085 est pourvue de dents internes en prise avec un pignon 2086 monté sur un arbre carré 2087, pour former une transmission interne semblable à celle décrite précédemment. L'arbre carré 2087 porte un autre pignon 2088 en prise avec les dents internes d'une couronne dentée 2089    (fig.   92). Celle-ci porte un goujon 2090, pénétrant dans une    enccthe   2091 d'un curseur 2092.

   L'extrémité de droite du curseur 2092    (fig.   92) est reliée au même goujon du bras 1993, qui forme articulation du curseur 1992, comme le montre clairement la    fig.   101. 



  Lorsque la couronne dentée 2085    (fig.   103) tourne dans le sens    dextrorsum   sous la commande du mécanisme palpeur, le goujon 2090    (fig.   92) abaisse l'extrémité libre du curseur 2092 pour amener l'extrémité 2093 de celui-ci sur la trajectoire d'un goujon 2094    (fig.   91) d'une couronne 2095. Cette dernière comporte des dents internes en prise avec un pignon 2096 fixé sur un arbre carré 2097. Un pignon 2098    (fig.   98) également porté par cet arbre 2097, est en prise avec les dents internes d'une couronne dentée 2099. Cette dernière est pourvue d'une encoche 2100 dans laquelle pénètre un goujon 2101 de la plaque de commande 1405B. Un ressort 2102 maintient normalement l'extrémité de droite de l'encoche 2100 en contact avec le goujon 2101.

   La plaque 1581C déjà mentionnée, est également réglée par l'arbre carré 2097, qui porte un pignon en prise avec les dents internes de la plaque 1581 C. 



  Lorsque les cames 1996 tournent pendant une opération de la machine et que le bras de came 1993 bascule dans le sens    senestrorsum,   le curseur 2092 se déplace vers la gauche    (fig.   92). Si, à ce moment, l'extrémité 2093 se trouve derrière le goujon 2094, la couronne 2095 tourne dans le sens    senestrorsum      (fig.   91) ce qui, par l'intermédiaire de l'arbre    carré   2097 et du pignon 2098, fait basculer la couronne 2099 également dans le sens    senestrorsum.   Lorsque cela se produit, le ressort 2102 attire le goujon 2101 pour placer la plaque de commande 1405B    (fig.   97) de façon qu'elle présente un bossage au palpeur 1451, empêchant ainsi les marteaux d'imprimer sur le livret. 



  Ainsi, lorsque la carte est placée de manière à être imprimée sur la dernière ligne et lorsque le livret est rempli, le    marteau   d'impression du livret reste bloqué de façon qu'aucune écriture ne soit portée sur ce dernier. 



  Lorsque le livret et la carte sont remplis, il est préférable d'imprimer le solde sur les deux documents et d'éjecter les deux documents. Dans ce cas, le palpeur ferait normalement tourner les plaques de commande 1405C et 1405B dans une position telle qu'elle présente une partie -élevée aux palpeurs respectifs 1451, et dans ce cas aucune impression ne serait faite sur les documents. Pour éviter qu'un tel cas se présente, on prévoit le mécanisme suivant: Un pignon 2105, fixé sur l'arbre 2087 déjà mentionné, est en prise avec les dents internes d'une couronne dentée 2104    (fig.   96).

   L'arbre 2087 oscille dans le sens    dextrorsum      (fig.   92) sous la commande de la couronne 2085    (fig.   103) et de la bielle 2084, lorsque la carte est remplie, pour permettre le mouvement de la plaque de commande 1405B qui empêche l'impression du livret. Cependant, sous la condition déjà mentionnée, c'est-à-dire lorsque la carte et le livret sont remplis, il est préférable d'empêcher le mouvement de la plaque de commande 1405B; à cet    effet,   lorsque l'arbre 2087 oscille la couronne 2104 tourne dans le sens    dextrorsum   et 

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 vient en contact avec le goujon 2001 pour s'opposer au mouvement dû au ressort 2002 de la plaque de    commande   1405C. 



  De plus, lorsque l'arbre 1987 oscille sous la    commande   du palpeur 1950, donc lorsque la dernière ligne du livret doit être imprimée, une couronne 2106    (fig.   99) est entraînée par un pignon 2107 monté sur l'arbre carré 1987 en vue de    déplacer   un épaulement de celui-ci et l'amener au contact d'un goujon 2101, ce qui empêche le mouvement de la plaque de commande 1405B. A cet effet, on maintient un bossage de la plaque de commande 1405C sur la trajectoire du    doigt   palpeur 1451, permettant ainsi le fonctionnement du mécanisme d'impression de la carte. 



  Un étrier 2110    (fig.   103), maintenu par un ressort et servant à l'alignement, est monté sur l'arbre 4000 destiné à maintenir le bras 2082 et les mécanismes annexes dans leur position normale. L'étrier 2110 est pourvu d'un goujon 2111 qui pénètre normalement dans une entaille 2112    (fig.   88) du bras 2082. On prévoit un étrier semblable 2110 pour maintenir le bras 1982 et le mécanisme associé dans leur position normale. 



  Les commandes de débrayage de l'impression que l'on vient de décrire se rapportent à l'impression dans la quatrième colonne du livret ou de la carte. Il est bon de noter que l'impression des données dans les colonnes 2 et 3 peut être effectuée sur la dernière ligne des documents, mais certaines entrées dans la colonne 4 sont supprimées, après que la dernière ligne du    livret   ou de la carte ait reçu des écritures dans les colonnes 2 et 3. Dans le système décrit comme on l'expliquera plus loin, on réalise cette commande lorsque des sous-totaux partiels sont enregistrés et le sous-total est imprimé uniquement dans la colonne 4 du livret ou de la carte et sur leur dernière ligne, après l'entrée d'un article sur la dernière ligne.

   Ainsi, si l'article est imprimé sur la dernière ligne du livret mais non sur celle de la carte, et si la touche Sous-Total est enfoncée en vue de l'opération suivante le Sous-Total est imprimé sur le livret mais non sur la carte. Lorsque l'article est imprimé sur la dernière ligne de la carte, mais non sur celle du livret, le Sous-Total est imprimé sur la carte mais non sur le livret. Cependant, lorsque l'article est imprimé sur la dernière ligne des deux documents, le    Sous-      Total   est imprimé dans la colonne 4 de chacun d'eux. 



  Impression de la    dernière   ligne -    Coininandes   de    verrouillage   de la    machine:   A la fin de l'opération pendant laquelle la dernière ligne reçoit les données, la machine est verrouillée, excepté pour la commande de certaines touches. Dans l'exemple actuel, ces touches sont la touche   Intérêt sur Prêt   142, la touche   Solde   121 et la touche      Ejec-      tion     125. 



  Chacun des bras 1982 et 2082 qui basculent dans le sens    dextrorsum   (fi-. 103) lorsque la dernière ligne du livret ou de la carte, respectivement, a été imprimée, suivant le processus décrit précédemment, sous la commande des palpeurs 1950 ou 2050, est pourvu d'un goujon 3000. Un doigt 3001 est maintenu normalement en contact avec chacun des goujons 3000 et les doigts sont fixés aux moyeux 3002, qui sont montés sur l'arbre 19e1 (voir aussi    fig.   89 et 90). Un bras 3003 est également fixé sur l'arbre 1961, bras qui est poussé par un ressort 3004 dans 1 e sens    senestrorsum   et muni d'un doigt 3005 qui est maintenu au contact d'un goujon 3006 de la paroi latérale 160 de la machine. L'extrémité inférieure du bras 3003 est articulée à une bielle 3007 reliée à un bras 3008 qui tourne sur un arbre 3009.

   Un bras 3010 est solidaire d'un bras 3008 et comporte un goujon 3011 engagé dans une entaille d'un bras d'arrêt 3012 (voir aussi    fig.   102). Le bras d'arrêt 3012 est monté librement sur l'arbre 3009 et le côté supérieur de l'encoche du bras 3012 est maintenu en contact avec le goujon 3011 au moyen d'un ressort 3013. Le bras 3012 est pourvu d'une arête de verrouillage 3014, qui est réglée pour se placer sur la trajectoire d'un rebord 3015 d'un bras 3016 qui pivote pivote autour de l'arbre 940.

   Le bras 3016 est fixé au bras 938 qui oscille dans le sens    dextrorsum   lors dit déclenchement de la machine. 

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 Si l'arête de    verrouillage   3014 est placée sur la trajectoire du rebord 3015 lors de son déplacement, le mécanisme de déclenchement ne peut fonctionner, étant donné que le bras 938 est empêché de tourner dans le sens    dextrorsum.   



  Lorsque l'un des bras 1982 ou 2082 bascule dans le sens    dextrorsum      (fig.   103) en raison de l'arrêt des palpeurs 1950 ou 2050, arrêt qui est dû à ce que le livret ou la carte, ou ces deux documents, occupent une position correspondant à la dernière ligne, un ou les deux goujons 3000, en contact avec l'un ou les deux doigts 3001 font basculer l'arbre 1961 qui déplace, par l'intermédiaire du bras 3003, la bielle 3007 et fait basculer le bras 3008 dans le sens    dextrorsum      (fig.   103). Ce mouvement entraîne le bras 3010 et amène, grâce au ressort 3013, le bras 3012 dans une position qui empêche le déplacement du bras 3016, bloquant ainsi le déclenchement de la machine. 



  *II est nécessaire, pour permettre un nouveau fonctionnement de la machine, de ramener en arrière le bras 3012 et écarter l'arête de verrouillage 3014 de dessous du rebord 3015. On réalise le retour du bras 3012 en enfonçant la touche   Intérêt sur Prêt   142, la touche   Solde   121, la touche   Sous-Total Solde   122, la touche   Découvert   123 ou la touche      Ejection     125. 



  On obtient le retrait du bras 3012 en excitant un solénoïde 3018    (fig.   20 et 103) au moyen de la fermeture d'un interrupteur lorsque l'on enfonce une des touches mentionnées    ci-      dessus.   Lorsque le solénoïde est excité de la façon que l'on vient de    décrire,   son armature 3019 est soulevée    (fig.   103) avec une    biel-      lette   3020 reliée à un bras 3021 (voir aussi    fig.   102), monté sur l'arbre 3009. Un ressort 3055, relié au bras 3056, articulé au bras 3021, maintient l'armature 3019 à sa position normale. Le bras 3021 est muni d'un doigt 3022 qui se trouve sur la trajectoire d'un goujon 3023 du bras 3012.

   Lorsque le bras 3012 se déplace vers sa position de verrouillage, le goujon 3023 se trouve placé contre le côté gauche du doigt 3022. Ainsi, lorsque le solénoïde 3018 est excité pour éloigner son armature 3019, le bras 3021 bascule dans le sens    senestrorsum      (fig.   102 et 103) et le doigt 3022, en contact avec le gou-    jon   3023, fait basculer le bras 3012 vers sa position normale ou position de déverrouillage. 



  Un bras de commutateur 3024, fixé au bras 3010 est prévu pour fermer un commutateur 3025 lorsque le bras 3012 se déplace vers sa position de verrouillage. 



     L'interrupteur   3025, comme indiqué sur le schéma    (fig.   20) se trouve dans un circuit d'excitation du solénoïde 3018. On prévoit également un second interrupteur 3026, dans le circuit    comportant   le solénoïde 3018, interrupteur qui est    fermé   lorsque l'une des    cinq   touches, énumérées en    dernier   lieu, est enfoncée. 



  Le commutateur 3026    (fig.   27) est monté sur la barre transversale située à l'avant de la machine et fermé par un bras 3027, fixé à un bras d'un étrier 3028 qui franchit l'espace compris entre les touches des rangées de commande. L'un des bras de l'étrier 3028 est pourvu d'un doigt 3029    (fig.   28) en prise avec un goujon 3030 d'une détente 3031 de la troisième rangée des transactions. Le goujon 579 de la touche   Intérêt sur Prêt   passe à travers un orifice de la détente 3031 et cette dernière est pourvue d'un contour de came 3032 avec lequel le goujon 579 est en contact.

   L'abaissement de la touche   Intérêt sur Prêt  , coopérant avec le contour de la came 3032, déplace la détente 3031 vers la gauche    (fig.   28) ce qui fait basculer le doigt 3029 dans le sens    dex-      trorsum   par l'intermédiaire de l'étrier 3028, le bras de commutateur 3027 dans le même sens, pour fermer le commutateur 3026. 



  Une détente 3033    (fig.   29) est placée dans la troisième rangée de transactions, et comporte des arêtes-cames qui engagent les goujons 579 des touches   Solde  ,   Sous-Total Solde  ,   Découvert   et      Ejection    . La détente 3033 est munie d'un goujon 3035 en contact avec un bras 3036, lequel possède une encoche dans laquelle s'engage la culasse 3028. 



  Lorsqu'on enfonce la touche   Solde  ,      Sous-Total   Solde  ,   Découvert   ou      Ejec-      tion    , le goujon 579 correspondant à cette touche, en contact avec l'arête-came 3034, déplace la détente 3033 vers la gauche    (fig.   29) ce qui provoque le basculement de l'étrier 3028 

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 par l'intermédiaire du goujon 3035, en contact avec le bras 3036 et celui du bras de commutateur 3027 qui ferme ainsi le commutateur 3026. 



  Comme on l'a mentionné précédemment, le commutateur 3025 est    fermé   lorsque la machine est    verouillée,   lors de l'impression d'un article sur la dernière ligne. Lorsqu'on enfonce l'une quelconque des touches précédentes, qui actionnent le commutateur 3026, un circuit est fermé par l'intermédiaire du solénoïde 3018, rappelant ainsi l'armature 3019 et ramenant le bras 3012 suivant le processus décrit précédemment. 



  L'abaissement de l'une quelconque des autres touches de commande n'agit pas sur la fermeture du commutateur 3026, et, par conséquent, la machine ne peut être rappelée par aucune touche autre que les cinq touches mentionnées ci-dessus. 



  Le fonctionnement de la machine étant déclenché par l'une des touches   Intérêt sur Prêt  ,   Solde  ,   Sous-Total Solde  ,   Découvert   ou      Ejection    , suivant le verrouillage de la machine en raison de l'impression de la dernière ligne, maintient le document à la position correspondant à la dernière ligne et de ce fait les palpeurs 1950 et 2050 verrouilleraient à nouveau la machine à la fin de chacune de ces opérations. Pour s'opposer à un tel verrouillage de la machine à la fin d'une des opérations de solde, de découvert ou d'éjection, on prévoit un mécanisme de commande spécial    (fig.   42). 



  Un disque à encoches 3040    (fig.   42) est réglé par    rapport   à un palpeur 3041 sous la commande du premier mécanisme différentiel de transactions, par l'intermédiaire d'un dispositif de couronnes dentées d'embrayage interne en anneau, semblable à ceux qui ont déjà été décrits plus haut. Pendant une opération de la machine correspondant à l'abaissement de la touche   Solde  , de la touche   Découvert   ou de la touche      Ejection       ,   le disque à encoches 3040 est disposé de façon qu'une encoche se trouve sur le passage du palpeur 3041. Le palpeur 3041 est pourvu d'une rainure 3042 au moyen de laquelle une extrémité du palpeur est guidée et l'autre extrémité du palpeur pivote autour d'un bras 3043.

   Un ressort 3044 tend normale- ment à maintenir en contact le palpeur 3041 et le disque de commande 3040. Le bras 3043 est muni d'un goujon 3045 maintenu en contact avec un    doigt   3046 fixé à l'arbre 1443 déjà mentionné, lequel est commandé par les cames 1450. Le bras 3043 est relié à une biellette 3047, elle-même reliée à un levier coudé 3048 qui pivote autour de l'arbre 1439. Une biellette 3049 est également fixée au levier coudé 3048 et est reliée à un bras 3050 pivotant autour de l'arbre 1961. Le bras 3050 comporte un secteur 3051 qui peut basculer et venir dans la trajectoire du rebord 1977 du cliquet 1976. 



  Le secteur 3051 est placé sur la trajectoire du rebord 1977 pendant le fonctionnement de la machine, lorsque les cames 1450 font pivoter le bras 1448 et le doigt 3046, ce qui permet au    ressort   3044 d'introduire le palpeur 3041 dans les encoches alignées, désignées par les nombres 1, 3 et 5 sur la    fig.   42. Lorsque le palpeur 3041 est engagé dans une encoche, le bras 3043, basculant dans le sens    dextrorsum,   abaisse le doigt 3046 et, par l'intermédiaire du levier coudé 3048, déplace la biellette 3049 vers la droite, ce qui fait basculer le bras 3050 et le secteur 3051 dans le sens    dextrorsum.   



  Le contour du secteur 3051 vient en face du contour 3053 du bras 1981 lorsque le secteur 3051 tourne dans le sens    dextrorsum.   Lorsqu'il se trouve dans une telle position, le secteur 3051 est placé    suffisamment   haut pour empêcher le cliquet 1976 de venir en contact avec l'encoche 1980, pendant le fonctionnement de la machine. Par conséquent, lorsque le    cli-      quet   1976 est basculé vers le haut    (fig.   42), le rebord 1977 ne peut s'engager dans l'épaulement 1980; le bras 1982 ne se déplace donc pas pour faire tourner le doigt 3001    (fig.   103) et le bras 3003, la biellette 3007, le bras 3008 et le bras 3012 ne sont pas déplacés vers leur position de verrouillage. 



  Un disque de commande 3040    (fig.   42), et les liaisons reliant celui-ci au secteur 3051, sont destinés à empêcher l'enclenchement du    cli-      quet   1976 avec l'encoche 1980 du bras 1982 dans le dispositif d'impression du livret. Le dispositif d'impression de la carte est pourvu d'un mécanisme semblable. 

 <Desc/Clms Page number 55> 

 Pendant le mouvement initial du bras 1975, un goujon 3052    (fig.   86 et 90) du bras 1975 vient au contact d'un doigt 3037 d'un bras fixé au moyeu 3002 de l'arbre 1961, et par conséquent pendant le début d'une opération de la machine, le goujon 3052, en contact avec le doigt 3037, ramène l'arbre 1961 et le bras 3012 à leur position normale, prêts à être réglés à nouveau par les organes de commandes pendant l'opération suivante de la machine.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Machine comptable comportant des mécanismes d'impression susceptibles d'imprimer selon plusieurs colonnes sur chacun de deux documents introduits dans la machine et, pour chacun des documents, un dispositif d'espacement de lignes, caractérisée par un dispositif de contrôle d'impression (1960-2001; 2060-2101) qui est sous la dépendance d'organes palpeurs (1950, 2050) prévus pour chaque document, de façon telle que lorsqu'un de ces palpeurs détecte que le document correspondant est à sa dernière ligne d'impression, le dispositif de contrôle d'impression (1960=2001; 2060-2101) bloque le mécanisme d'impression (1420-1423) pour l'autre document. SOUS-REVENDICATIONS 1.
    Machine comptable selon la revendication, caractérisée par un second dispositif de contrôle (1987, 2087, 2104, 2107) placé sous la dépendance des palpeurs (1950, 2050) de façon telle que lorsque deux documents sont présentés afin d'être imprimés sur leur dernière ligne, ce dispositif de contrôle empêche le blocage du mécanisme d'impression et permet ainsi d'imprimer sur les deux documents. 2.
    Machine comptable selon la revendication et la sous-revendication 1, comportant des disques à encoches pour le contrôle des marteaux imprimeurs, caractérisée en ce que les disques (1405B, 1405C) sont entraînés par le dispositif de contrôle d'impression (1960-2001, 2060-2101) au moyen d'une liaison élastique (2002. 2102) aménasée de façon à empêcher le fonctionnement des mécanismes d'impression, et sont commandés par le second dispositif de contrôle (1987, 2087, 2104, 2107) pour empêcher qu'ils ne fonctionnent lorsque les deux documents sont prêts à recevoir leur dernière impression. 3.
    Machine comptable selon la revendication, comprenant des touches de contrôle motrices, caractérisée par un mécanisme de verrouillage (3003-3016) empêchant le déclenchement de la machine lorsque l'un des documents est en position pour recevoir sa dernière impression, le verrouillage étant actionné par le dispositif de contrôle d'impression (1960-2001, 2060- 2101) et mis à même d'être débrayé par un mécanisme de débrayage (3018-3036) commandé par l'enfoncement ultérieur de certaines (121, 123, 125, 142) des touches de contrôle motrices (121-124, 131-134, 138, 141-149). 4.
    Machine comptable selon la revendication et la sous-revendication 3, caractérisée en ce que le mécanisme de débrayage (3018-3036) est constitué par un solénoïde (3018) commandé par un interrupteur (3026) fermé par l'enfoncement de l'une des touches de contrôle (121-123, 125, 142). 5. Machine comptable selon la revendication et les sous-revendications 3 et 4, caractérisée par un deuxième interrupteur (3025) sur le circuit d'alimentation du solénoïde (3018), interrupteur qui est fermé lorsque le dispositif de blocage (3003-3016) est en position de blocage. 6.
    Machine comptable selon la revendication, caractérisée par une paire de palpeurs (1950-2050) sollicités par ressort et susceptibles de se déplacer sur le trajet des documents introduits et subissant un espacement de ligne, de façon que leur mouvement soit limité par la présence d'un document en position de recevoir la dernière impression, par un organe de débrayage (1405B, 1405C) pour chacun des mécanismes d'impression (1420-1423), par un cliquet d'entraînement (1976-2076) pour chaque organe de débrayage (1405B, 1405C), cliquets <Desc/Clms Page number 56> commandés par les palpeurs (1950, 2050) de manière à être maintenus dans une position neutre lorsque les palpeurs ne sont pas retenus par les documents et à être relâchés dans le cas contraire afin d'actionner le mécanisme de débrayage (1405B, 1405C). 7.
    Machine comptable selon la revendication et la sous-revendication 6, caractérisée en ce que les cliquets d'entraînement (1976, 2076) sont articulés sur des. organes (1966, 2066) commandés par cames, pour agir sur les palpeurs (1950-2050), et sont susceptibles d'être mis en position de repos lorsque les palpeurs (1950-2050) ne sont pas retenus par des organes de blocage (1963, 2063) se déplaçant en même temps que les palpeurs, lesdits cliquets d'entraînement (l976-2076) étant relâchés des organes de blocage (1963, 2063) lorsque les palpeurs (1950, 2050) sont retenus par les documents. 8.
    Machine comptable selon la revendication et la sous-revendication 6, dans laquelle le mouvement de chaque marteau imprimeur est contrôlé par la coopération de palpeurs et de plaques à encoches réglables, caractérisée en ce que les plaques à encoches (1405B, 1405C) présentent des fentes aux palpeurs (1451), ce qui permet le fonctionnement du marteau imprimeur correspondant (1420), et en ce que par l'intermédiaire de mécanismes de positionnement (1980-2001; 2080-2101) mus par les cliquets entraîneurs (1976-2076), quand ces derniers entrent en action, l'une ou l'autre des plaques présente un bossage au palpeur correspondant (145l), débrayant par conséquent le marteau imprimeur correspondant (1420). 9.
    Machine comptable selon la reveven dication et les sous-revendications 1, 2, 6 et 8 caractérisée en ce que les mécanismes de positionnement (1980-2001; 2080-2101) comportent des organes de mise en position (l999, 2099) liés élastiquement aux plaques à encoches (1405B, 1405C) par l'intermédiaire de ressorts (2002, 2102), et caractérisée également par la mise en position de repos desdits organes (1999- 2099) lorsque le second dispositif de contrôle (1987, 2087, 2104-2107) entre en action sur la présentation des deux documents à la position de la dernière ligne d'impression, les organes de mise en position (1999, 2099) étant ainsi maintenus en dehors de leur position efficace afin que l'impression puisse se faire sur ces deux documents. 10.
    Machine comptable selon la revendication et les sous-revendications 1, 2, 6, 8 et 9, caractérisée par un ensemble de couronnes dentées (1985, 1998; 2085-2098) pour entraîner les organes de mise en place (1999-2099) par un curseur mû par une came pour actionner l'ensemble de couronnes dentées (1985-1998, 2085- 2098), par une surface d'entraînement (1093- 2093) sur chaque curseur (1992-2092) se trouvant normalement hors du trajet d'un goujon (1094-2094) disposé sur l'un (1095-2095) des ensembles .de couronnes dentées (1985-1998, 2085-2098), et par des organes de réglage (1989- 1990, 2089-2090) pour les curseurs (1992-2092), organes actionnés par les cliquets d'entraînement (1976, 2076) lorsque ces derniers deviennent efficaces afin que l'une ou l'autre des surfaces d'entraînement (1093, 2093) se trouve placée sur le chemin du goujon (l094-2094)
    qui lui correspond et entraîne l'organe approprié de mise en position (1999-2099). 11. Machine comptable selon la revendication, comprenant une série de touches de contrôle motrices et caractérisée en ce que le dispositif de contrôle d'impression (1920-2001, 2060-2101) peut être débrayé au moyen d'un mécanisme de débrayage (3040-3051) actionné par certaines (12l, 123, 125) des touches de contrôle motrices (121-125, 131-134, 138, 141- 149) pendant une opération de la machine qui suit immédiatement, afin d'éviter le débrayage de l'un ou l'autre des mécanismes d'impression (1420-1423), malgré la présentation de l'un des documents sur la dernière ligne d'impression. 12.
    Machine comptable selon la revendication et les sous-revendications 6 et 11, caractérisée par des organes de blocage (3050) mis en position pour arrêter le mouvement des cliquets <Desc/Clms Page number 57> d'entraînement (1976-2076) à leur position de travail pendant une opération de la machine contrôlée par l'abaissement de l'une desdites touches de contrôle motrices (121, 123, 125). 13.
    Machine comptable selon la revendication et les sous-revendications 6, 11 et 12, caractérisée par des plaques de contrôle à encoches (3040) positionnées différentiellement par les touches de contrôle motrices (121-125, 131-134, 138, 141-149), les plaques coopérant avec des dispositifs palpeurs (304l) réglant le mouvement d'organes de blocage (3050) de façon telle que, par la présentation d'encoches des plaques (3040) aux dispositifs palpeurs (3041), à la suite de l'enfoncement de l'une desdites touches de contrôle motrices (121, 123, 125), le mouvement des organes de blocage (3050) vers la position de blocage se trouve mis en oeuvre, tandis que, lorsque les plaques à encoches (3040) présentent des bossages aux dispositifs palpeurs (3041),
    par suite de l'enfoncement de l'une des autres touches de contrôle (121-124, 131-134, 138, 141- 149), les organes de blocage (3050) restent en position de non-blocage. 14. Machine comptable selon la revendication, caractérisée en ce que les organes palpeurs (1950-2050) sont montés réglables sur des organes de support (1953-2053), afin de pouvoir fonctionner avec des documents de différentes longueurs. 15.
    Machine comptable selon la revendication, comportant au moins deux ensembles coaxiaux de roues totalisatrices décalables transversalement par rapport à un seul ensemble d'entraîneurs afin d'aligner l'un ou l'autre de ces ensembles de roues avec les entraîneurs, un mécanisme de décalage des totalisateurs comportant un tambour-came coopérant avec un galet fixé au groupe de totalisateurs, et un organe rotatif pour le tambour-came, caractérisée par une liaison à genouillère aménagée entre l'organe rotatif (330) et un mécanisme d'entraînement par came (336-343), et par un dispositif de blocage (351) pouvant être mis en place sélectivement en différentes positions pour bloquer le libre mouvement d'un organe (331) de.
    la liaison à genouillère (331-333), de façon que le tambour-came tourne grâce à l'organe rotatif (330), de manière à placer l'autre ensemble de roues totalisatrices (306) en alignement avec les entraîneurs.
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