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SOCIETE FRANCAISE RADIO-ELECTRIQUE, résidant à Paris.
La présente invention, système L.L. E. CHAUVEAU, vise un disposi- tif AUTO-ALARME assurant le déclanchement automatique d'un organe d'alarme (sonnerie, sirènes, etc..) sous l'action d'un signal téléphonique ou radio- phonique spécial, ledit signal devant, en outre, être parfaitement descrimi- nable à l'oreille à travers le trafic et le brouillage courant des liaisons téléphoniques, radiophoniques ou radio téléphoniques.
L'invention est basée sur le principe suivant :
Un signal phonique est composé par l'émission de deux tonalités de fréquence différente Fl et F2 émises successivement pendant un certain temps et à une cadence assez rapide. Ce signal est, par exemple, analogue à celui de l'avertisseur sonore des sapeurs pompiers ou de la police de la ville de Paris. Il est émis par le poste en détresse.
Ce signal, parfaitement discernable par toutes les personnes à l'écoute sur la liaison considérée, peut, en outre, provoquer l'action d'un dispositif récepteur automatique d'alarme comprenant essentiellement : Un circuit récepteur BF accordé sur la fréquence Fl et susceptible d'être ac- cordé sur la fréquence F2 ; moyens pour que, après une réception de Fl, l'accord sur F2 soit obtenu automatiquement, et vice-versa; des moyens pour que, à la suite de la réception d'une séquence Fl - F2, un organe pas à pas soit mis en action et un moyen de mesure de temps T.
L'ensemble est associé de telle façon que, lors de la réception de signal d'alarme précité, le dispositif pas à pas avance d'un certain nombre de pas et ferme finalement le circuit de l'organe d'alarme avant que l'organe de mesure de Temps soit arrivé à la fin de sa course et que, en l'absence du signal spécial et en présence de quelques parasites vio- lents ou de signaux intempestifs de fréquence Fl et F2, le dispositif pas à pas n'avance que de quelques pas pendant le temps nécessaire à l'organe de mesure de Temps pour atteindre le bout de sa course, et dans ce dernier
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cas,l'ensemble est ramené au zéro, prêtà enregistrer un nouvel appel sans qu'il y ait de déclanchement de l'organe d'alarme.
L'invention sera mieux comprise par la description donnée ci-après à titre d'exemple non limitatif. A cette description sont jointes les figu- res représentant :
Fig. 1 - Dispositif de Commande du générateur de fréquences;
Fig. 2 - Variante du dispositif de commande de la fig.l;
Fig. 3 - Sélecteur Automatique d'alarme sur deux fréquences ; Fig. 4 - Une combinaison générateur-Sélecteur de fréquence;
Fig. 5 - Une variante simplifiée de l'invention.
Un générateur de fréquence (fig.l) est constitué par un tube ra- dio 1 associé à la self 2, ce système pouvant être accordé sur une certai- ne Fréquence FI par le condensateur 3,et sur une autre fréquence F2 par les condensateurs 3 et 4. Il permet de délivrer, entre les bornes 5 et 6, un courant BF de valeur FI ou de valeur F2 suivant que les bornes 7 et 8 sont ou non court-circuitées.
Pour permettre la délivrance, entre les bornes 5 et 6, d'une é- mission BF de deux tonalités de fréquence FI et F2 émise successivement à cadence assez rapide, l'invention vise la fermeture et l'ouverture du court- circuit des bornes 7 et 8 par l'intermédiaire des deux relais différés Bl, B2, montés en batteur et commandant ledit court-circuit.
Dès la mise en service, le relais Bl est normalement sous cou- rant, étant alimenté par le contact 9 du relais B2 ; ce relais Bl ouvre en 10 le court-circuit 7 et 8, et le générateur transmet la fréquence Fl. Le relais Bl, par son contact 11, alimente B2, et celui-ci coupe l'alimenta- tion de Bl. Au bout d'un certain temps, Bl vient au repos, d'ou fermeture du court-circuit 7 et 8, et émission de la fréquence F2. Ensuite, et sous retard, B2 vient au repos, d'où action nouvelle de Bl, et ainsi de suite.
On voit donc que, par suite du battement continu des relais différés Bl et B2,un signal BF alternativement de fréquence Fl et F2 est émis continuellement à une certaine cadence dépendant du temps de re- tard des relais Bl et B2.
L'invention vise également une autre réalisation d'un tel mode de commande d'un générateur BF, représentée par la fig. 2. Elle consiste à utiliser, pour la commande du court-circuit 7 et 8, un pendule 12 entretenu électriquement par la bobine 13 et le contact d'entretien 14. Ce pendule, qui peut osciller dans le sens des flèches 15 et 16, comporte en 17 un contact de bout de course alimentant un relais électro-magnétique 18. Ce relais, lorsqu'il est excité, ferme son contact 19, d'où court-circuit des bornes 7 et 8 du générateur; ce relais comporte en outre un contact de gar- de 20 alimenté à travers le contact de repos 21 à l'autre bout de course du pendule.
Il résulte de ce montage que le relais 18 reste excité pendant la demie-oscillation du pendule dans le sens de la flèche 16 et qu'il reste au repos pendant la demie oscillation dans le sens de la flèche 15.
Le pendule utilisé peut être soit du type vertical soit du type circulaire suivant'le lieu et la commodité d'emploi.
Le sélecteur automatique d'alarme sur double fréquence conforme à l'invention est représenté Fig. 3. Il comprend essentiellement : un cir- cuit détecteur BF (accordable sur deux fréquences différentes) actionnant un relais, un jeu de relais assurant le changement d'accord, un chercheur pas à pas, une minuterie ou organe équivalent et trois relais auxiliaires.
Le circuit détecteur BF comprend le transformateur d'entrée TR, la résistance R, la self L, les deux condensateurs d'accord Cl et C2, la lampe LA, le relais principal RP commandé par cette lampe et, si nécessaire
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un redresseur RDR.
Le jeu relais assurant le changement d'accord est constitué par le relais F1 fonctionnant des la réception de la 1ère fréquence FI, les re- lais AF1 fonctionnant après la réception de la fréquence FI pour accorder le circuit BF sur la fréquence F2 et le relais F2 fonctionnant lors de la réception de la fréquence F2, ce dernier relais commandant le chercheur pas à pas CHR.
Le chercheur C H R est un chercheur ordinaire du type téléphoni- que à un seul banc, un seul contact. Son nombre de pas peut être quelconque, mais pratiquement il sera de l'ordre de 10 à 20 pas.
Le chercheur peut être également une chaîne de relais pas à pas ou tout autre dispositif équivalant.
Enfin la minuterie peut être une minuterie à dash-pot, un dispo- sitif d'horlogerie, un thermostat ou tout organe équivalent ; actionne un contact inverseur 23 au début de sa course et ferme un contact 24 en fin de course.
Les relais auxiliaires sont : le relais d'alimentation A L I as- surant l'alimentation de la minuterie; le relais de fin FIN fonctionnant à la fin de l'action de la minuterie et provoquant le retour à zéro du cher- cheur C H R; le relais de sonnerie RS agissant lorsque le chercheur effec- tue un tour complet avant la fin de l'action de la minuterie. Ce dernier re- lais provoque l'action de la sonnerie SN et se garde par son contact 25 à travers le bouton de libération 26.
L'ensemble, monté et câblé selon le schéma de la fig. 3, fonc- tionne de la manière suivante :
Lors de la mise en service, le bras 27 du chercheur est sur le plot 28, ce qui alimente le relais ALI; tous les autres relais sont au re- pos, le condensateur C2 n'est pas en service et le récepteur se trouve ainsi accordé sur la fréquence FI.
Dès qu'un signal de fréquence FI est regu, le relais RP est ex- cité et alimente FI. Dès la disparition du signal F1, RP vient au repos et FI se garde à travers A F 1; ce dernier relais fonctionne et met en servi- ce, par son contact 29, le condensateur C2; le récepteur se trouve alors ac- cordé sur F2. En même temps, par son contact 30, le relais AFI oriente vers le relais F2 le fil venant du contact de RP. Dans ces conditions, si une fré- quence F2 est reçue, les relais RP et F2 sont excités, et le relais A F I est maintenu au travail par son deuxième bobinage, tandis que le relais FI vient au repos puisque sa garde est coupée par le contact de F2 excité. Dès la disparition de la fréquence F2, les relais RP, F2 et A F I viennent au repos; une nouvelle séquence F1-F2 pourra alors être enregistrée et ainsi de suite.
On voit donc qu'à la réception de chaque séquence FI - F2, le relais F2 fonctionne; il lance une impulsion vers le chercheur C H R qui avance pas à pas.
Dès le premier pas de G H R, le bras 27 quitte le plot 28, le re- lais A L I vient au repos, d'où action de 'la minuterie M I N . Puis, dès le début de cette action, l'inverseur 23 fonctionne et aiguille le fil 22 venant de 28, vers le relais de sonnerie RS.
A supposer qu'un signal d'alarme précédemment décrit soit reçu, le chercheur C H R fera un tour complet avant que la minuterie MIN attei- gne le sommet de se course. Dans ces conditions, au moment où le bras 27 reviendra sur le plot 28, le relais RS sera alimenté par le fil 22, le con- tact 23 étant à sa position supérieure. Le relais RS fonctionnera et se gardera par son contact 25, d'où action de la sonnerie d'alarme qui reste en service jusqu'à ce qu'une personne vienne appuyer sur le bouton de li- bération 26.
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A supposer maintenant qu'il n'y ait pas de signal, mais que le récepteur enregistre quelques parasites violents ou quelques signaux intem- pestifs et successifs de fréquence FI - F2, le chercheur CHR n'avancera que de quelques pas pendant la course ascendante de la minuterie MIN. A la fin de cette coursele contact 24 sera fermé, d'où action du relais FIN, qui se garde par son contact 31 et coupe en même temps le circuit, de MIN.
Cette minuterie retombe alors presque instantanément. FIN reste gardé et, par son contact 32, alimente le chercheur CHR qui, par son contact 33,fonctionne alors en sonnette et avance pas à pas, jusqu'à ce que le bras 27 revienne sur le plot 28, d'où action du relais A L I et mise au repos du relais FIN; l'ensemble se retrouve ainsi au zéro, prêt à recevoir un nouveau signal.
Il résulte de l'exposé ci-dessus que, pendant la réception d'un signal correct, le chercheur fait un tour complet, et provoque l'action de la sonnerie d'alarme avant que la minuterie ait effectué sa course totale, tandis que sous l'action des parasites ou brouillages, la minuterie accom- plit sa course totale avant que le chercheur ait effectué un tour complet ; il n'y a pas alors d'action de sonnerie, et tout l'ensemble vient au repos.
Un autre objet de l'invention résulte d'une disposition spéciale des organes du sélecteur automatique d'alarme pour que ce dernier puisse être réversible ; c'est-à-dire pour qu'il puisse être utilisé soit comme gé- nérateur de basse fréquences à l'émission, soit comme sélecteur BF à la ré- ception.
Cette disposition est montrée sur le schéma de la figure 4. Elle consiste en ce que le sélecteur est complété par un interrupteur tripolaire 34,un condensateur 35 et un relais de coupure COU.
De l'examen de la fige 4, il résulte clairement que, lorsque l'interrupteur 34 est au repos, les circuits BF, la lampe LA, le relais RP et la chaîne des relais Fl - AF1 et F2 sont exactement disposés comme ceux du sélecteur de la fig 3.
Le relais COU est normalement en action tant qu'il n'y a pas de signal. Dès l'arrivée d'une fréquence FI, le relais RP fonctionne et coupe l'alimentation de COU; ce dernier, étant différé, vient au repos un court instant après l'action de RP. Ce dernier est alors mis au repos, d'où ac- tion de AF1 et mise en accord sur la fréquence F2 par le contact 36.
Lors de la réception de la fréquence F2, les relais RP, F2 et COU fonctionneront, le dernier sous un certain retard. On voit ainsi que le fonctionnement du sélecteur reste le même que celui précédemment. -décrit.
Pour permettre d'utiliser ce montage comme générateur d'émission, il suffit de faire passer l'interrupteur 34 à sa position de travail. Dans ces conditions,la résistance R est court-circuitée par le contact "a"; le condensateur 35 est, par le contact "b", monté entre la plaque de la lampe LA et une borne du primaire du transformateur TR; Le contact "c" coupe le circuit de tous les organes du sélecteur autres que les relais RP, FI, AFI et F2.
Dans ces conditions, l'ensemble basse fréquence fonctionne en.. gé- nérateur et le courant BF peut être recueilli, à toutes fins utiles, aux bornes El - E2 du transformateur; l'action des relais RP, COU FI, AFI, F2 est telle que ce courant BF est émis sous la forme et à la cadence convena- bles pour constituer le signal d'alarme spécial précédemment cité.
Une variante simplifiée s'appuie sur le principe suivant :
Sous l'action d'un signal correct émis sans solution de conti- nuité, le chercheur fait un cycle complet et déclenche finalement l'aver- tisseur d'alarme.
En cas de solution de continuité dans le signal (cas de brouil- lage ou parasites), l'alarme n'est pas déclenchée et l'ensemble est ramené à son point de départ.
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Il est donné ci-après, à titre d'exemple non limitatif, la des- cription d'un des modes de réalisation de la variante.
La figure 5 s'y rapportant représente un sélecteur d'alarme sur deux fréquences analogue à celui de la figure 3
Cette figure diffère simplement de la figure 3 sur- les points suivants :
1 Un contact supplémentaire est ajouté sur les relais RP -AFI et F2;
2 La minuterie MIN et les relais ALI et FIN sont remplacés par les relais auxiliaires DAL - ZO et FIN.
Le relais DAL est différé, il assure l'alimentation de l'ensem- ble des relais F1 -AF1 et F2.
Le relais ZO assure la mise au zéro de l'ensemble lors de la réception de parasites ou brouillage.
Le relais FIN agit lorsque l'ensemble est revenu à son point de départ ou zéro, pour préparer l'action de certains circuits.
Le fonctionnement de l'ensemble est donné ci-après en tenant compte de ce qui est déjà exposé.
Cette variante représente l'appareil à son point de départ, ou zéro, à la fin de l'enregistrement d'un signal correct.
Le bras 27 est sur le plot 28, le relais FIN est excité, le re- lais RS (et par conséquent la sonnerie) est alimenté par le circuit suivant: +, contact 40 au travail, contact 42 au repos.
Le relais RS se garde par son contact 25 et à travers le bouton 26. La sonnerie restera en action jusqu'à ce que le bouton 26 soit manoeuvré.
Dans ce dernier cas,le relais RS vient au repos, le relais ZO est excité et se garde par les contacts 42 et 41 au travail.
Le relais FIN, par son contact 40 au travail, alimente le relais différé DAL; celui-ci fonctionne et l'ensemble est ainsi prêt à recevoir un nouveau signal.
Dès qu'une séquence de fréquences Fl - F2 est reçue, le relais F2, par son contact 45, fait avancer le chercheur pas, les relais FIN et ZO viennent au repos.
En supposant que le signal reçu soit un signal correct composé de séquences successives F1- F2 sans solution de continuité, le relais DAL restera au travail comme il sera exposé par la suite et, après chaque sé- quence, le chercheur CHR avancera d'un pas, jusqu'à ce que le bras 27 vien- ne de nouveau en contact avec le plot 28.
A ce moment, le relais FIN sera excité et, par les contacts 40 au travail et 42 au repos, alimentera le relais RS qui se gardera par 25 et 26, d'où action de la sonnerie SN jusqu' à ce que le bouton 26 soit manoeuvré.
On voit ainsi que, si le relais différé d'alimentation DAL ne vient pas au repos pendant la réception d'un signal, le chercheur CHR fait un tour complet, d'où action de la sonnerie.
Lorsque le chercheur CHR est à son point de départ, ou zéro, le relais FIN est excité et alimente, par son contact 40, le relais DAL qui est du type différé. Ce relais fonctionne.
Dès la réception d'une première séquence FI - F2, le chercheur avance d'un pas et aiguille le fil 50 alimentant DAL, sur le fil de 51. D'au- tre part, le relais DAL, alimente en + le fil d'alimentation général 52.
Pendant la réception d'un- signal correct, il y a toujours en fonctionnement l'un ou l'autre des relais.RP ou AFI, si bien que. DAL trouve toujours une garde par le circuit suivant : +, contact 44 au travail, fil 52, contact 47 ou 48 au travail, fil 51, contact 40 au repos et fil 50. Par conséquent, lors
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de la réception d'un signal correct, DAL reste toujours au travail, ce qui est la condition demandée précédemment pour provoquer l'action de la sonne- rie.
Au contraire, lorsque l'appareil fonctionne sous l'action de brouillages ou de parasites, on constate que les relais AF1 et RP viennent au repos après chaque brouillage. Dans ces conditions et, au bout d'un court instant,le relais FIN étant au repos, le chercheur CHR est alimenté à tra- vers les contacts 41, 43 et 33;il fonctionne en "sonnette" jusqu'à ce que le bras 27 revienne sur le plot 28. D'où action de FIN; mais alors, la son- nerie n'est pas actionnée puisque ZO étant au travail, le contact 42 n'est pas aiguillé vers RS.
On voit ainsi que s'il y a solution de continuité dans la récep- tion du signal, ce qui se produit en cas de brouillage et parasites, le re- lais DAL vient au repos et provoque par ZO la remise de l'ensemble à son point de départ, ou zéro.
L'invention qui vient d'être décrite présente entre autres, les avantages suivants :
Un signal constitué par deux sons successifs émis continuelle- ment à une 'cadence assez rapide, produit sur l'auditeur un effet psycholo- gique assez marqué pour attirer son attention, même lorsqu'il est entendu à travers une conversation ou des brouillages.
Un tel signal n'a pas besoin d'être cadencé d'une manière pré- cise pour assurer l'action du sélecteur. Il suffit qu'un certain nombre de séquences Fl - F2 soit reçu pendant le temps du fonctionnement de la minu- terie; l'expérience montre que la durée de l'émission de chacune des im- pulsions de fréquence Flou F2 peut varier du simple au quintuple et assu- rer toujours ainsi le bon fonctionnement du sélecteur. Il en résulte que l'hétérodyne d'émission peut être remplacée, si besoin est, par un sifflet, une flûte ou un avertisseur sonore à deux sons successifs, agissant direc- tement sur le microphone d'une liaison téléphonique ou radiophonique.
Bien entendu, la description de l'invention est donnée ci-des- sus à titre d'exemple non limitatif; les parties décrites pourront être employées ensemble ou séparément, ou bien encore, remplacées par des par- ties similaires de même nature pour arriver au même résultat.
L'ensemble pourra être utilisé soit comme dispositif d'appel d'alarme, soit comme dispositif d'appel général, soit encore comme dispo- sitif de télécommandes générales.
Enfin, 'il peut être également utilisé comme dispositif d'appel particulier ou de télécommande particulière. Dans ces derniers cas évi- demment, la partie générateur BF devra pouvoir être accordée sur diverses combinaisons de deux fréquences, le sélecteur étant accordé pour répondre à une de ces combinaisons.
REVENDICATIONS.
I -' Système de transmission de signaux électriques comprenant un émetteur transmettant des signaux composés de deux fréquences audibles se succédant sans discontinuité et un ou plusieurs récepteurs munis de dispositifs d'alarme, caractérisé en ce que les récepteurs ne déclenchent l'alarme qu'après avoir reçu un nombre prédéterminé de séquences ininter- rompues desdites deux fréquences.