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" Dispositif pour mélangea des matières liquides, pâteuses, ou
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p.7.vérulente sanalogue g."
La présente invention se rapporte à des dispositifs pour mélanger des matières liquides, pâteuses, pulvérulentes et analogues dans lesquels les matières sont conduites en circuit dans un récipient de mélange avec utilisation de la force centrifuge. Dans les mélangeurs connus de ce genre, on fait tourner au-dessus du fond du récipient un disque de mélange lisse ou pourvu de nervures qui projette vers l'extérieur les matières amenées sur celui-ci par un entonnoir situé au-dessus de lui, de telle façon que les matières s'élèvent dans l'espace annulaire laissé libre entre l'entonnoir et la paroi extérieure du réservoir et retombent de nouveau dans l'entonnoir en passant par-dessus le bord de celui-ci.
Bien que des mélangeurs de ce genre aient donné de
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bons résultats en général, la dépense de force motrice est toujours relativement élevée parce que les matières doivent s'élever dans l'espace annulaire. Outre cela, le netoyage du dispositif de mélange offre des difficultés de telle sorte que lorsqu'il fallait nettoyer à fond, l'entonnoir et le disque de mélange devaient être démontés.
On a déjà proposé également de donner au disque de mélange proprement dit, en renonçant à la pièce intérieure en forme d'entonnoir, une forme annulaire et de le munir de palettes de telle façon qu'on obtient un système analogue à une roue de turbine, qui doit avoir dans le récipient de mélange des dispositifs correspondants analogues à un appareil directeur d'une turbine. De ce fait l'ensemble du dispo- sitif devient plus compliqué et la possibilité de nettoyage plus mauvaise, car il ne suffit plus de soulever l'appareil de mélange proprement dit mais encore aussi l'appareil directeur. En plus de cela dans le cas d'un dispositif de mélange à disposition suspendue, il existe le danger d'une projection centrifuge et par conséquent le danger de contact avec l'appareil directeur; on ne peut donc pas dépasser un certain nombre de tours.
Le but de la présente invention est de procurer un dispo- sitif de mélange qui écarte les inconvénients inhérents au dispositif connu, est d'un montage extrêmement simple, possède un bon rendement et exige peu de force pour la commande, pour donner en même temps une possibilité de nettoyage aisé de l'ensemble de l'appareil et la possibilité de travailler avec des nombres de tours très élevés.
Ces résultats s'obtiennent suivant la présente invention prinoipalement par le fait que la pièce annulaire du dispositif de mélange est plate et présente une section transversale croissant de l'intérieur vers l'extérieur de telle façon que, vue par le dessus, elle forme un entonnoir plat et que, vue par le dessous, elle forme en combinaison avec le fond du récipient une fente annulaire al-
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lant en s'étrécissant vers l'extérieur.
Déjà de ce fait, les matières à mélanger ont tendance a être conduites en forme d'entonnoir vers le milieu et à être projetées vers l'extérieur par la fente annulaire.
Cette tendance de l'allure des matières est encore favorisée par le fait que les rayons reliant l'anneau au moyeu stétendent jusqutau bord du disque et ont la forme de palettes à courbure convexe tandis que les nervures connues en ellesmêmes à la partie inférieure du disque sont recourbées en sens inverse.
On obtient de cette manière que les rayons saisissent les matières et les refoulent vers le bas dans l'espace enfermé par l'anneau, tandis que les nervures à la partie inférieure de l'anneau, agissant à la manière des aubes d'une pompe centrifuge, projettent les matières vers l'extérieur. En outre la fente annulaire devenant plus étroite vers l'extérieur donne la certitude que les matières encore en grumeaux ou en grains sont broyées et que l'effet de mélange est accru.
, Pour quel dans le cas dtun dispositif de mélange à disque suspendu, la distance correcte par rapport au fond du récipient soit toujours maintenue, le moyeu a une forme sphérique vers le bas et sert de pièce d'espacement tandis que dans le cas dtun dispositif actionné par le bas, l'axe est fait en deux pièces et le tronçon passant à travers la botte à bourrage est fait en une matière spéciale trempée pour que cette partie exposée à la plus grande usure ne s'use pas aussi facilement et puisse éventuellement être remplacée facilement.
Le dessin représente deux exemples de réalisation de l'objet de l'invention :
La fig. I montre le dispositif de mélange en vue de dessous.
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La fig.2 montre une coupe verticale dans le dispositif de mélange et dans le récipient.
La fig. 3 est une coupe partielle suivant III-III de la fig.
2.
La fig. 4 montre le disque de mélange en vue de dessus.
La fig. 5 est une coupe correspondant à la fig.2, dans un dispositif de mélange comprenant un disque actionné par le dessous.
Le dispositif de mélange proprement dit consiste en une pièce annulaire 6 dont la section transversale augmente progressivement de l'intérieur vers l'extérieur, comme on le voit aux fig.2 et 5, de telle manière qu'en vue de dessus il se forme un entonnoir plat et en vue de dessous, en coopération avec le fond du récipient, une fente annulaire allant en s'étrécissant vers l'extérieur.
L'anneau 6 est relié par des rayons 7 au moyeu. 8 et comme le montre la fig.4, les rayons ont une forme concave et s'étendent jusqu'au bord du disque 6 tandis que la section transversale est en forme d'aube, comme le montre la fig.3. Les nervures 9 se trouvant à la partie inférieure du disque 6 sont courbées en sens inverse des rayons 7 et agissent si l'on tient compte du sens de ro- tation indiqué par des flèches, d'une manière analogue à celle des aubes d'une pompe centrifuge tandis que les rayons 7 refoulent en quelque sorte les matières vers l'intérieur.
Le moyeu 8 a à la partie inférieure, en 10, une forme sphérique et repose sur le fond du récipient de mélange 11 de telle manière que la distance du disque 6 au fond du récipient 11 reste toujours la même, que le dispositif de mélange soit immobile ou se meuve en va-et-vient. Il est possible de cette manière de maintenir cette fente suffisamment étroite pour que l'effet désiré soit produit.
Dans la forme de réalisation suivant la fig.5,le moyeu 8 est monté sur un arbre 13 passant, en venant du bas, à travers le
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fond 11 à l'aide d'une botte à bourrage 12. L'extrémité supérieure 14 de l'arbre 13 est visse en 15 à celui-ci et est fabriquée en une matière particulièrement résistante de sorte qu'elle en une matière particulièrement résistante de sorte qu'elle résite mieux aux sollicitations élevées et peut en marne temps être remplacée facilement.