BE415527A

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Publication number: BE415527A
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Description

Perfectionnements aux systèmes de téléphonie.

L'invention actuelle se rapporte aux systèmes télé- phoniques et plus particulièrement aux systèmes dits de "Secré- taire" dans lesquels un appel entrant à destination d'un abonné dans un groupe, constitué, par exemple, par les postes d'un même bureau ou d'un même département dans un organisme quelcon- que, peut être reçu par un secrétaire au moyen de son poste particulier quand il s'aperçoit que l'abonné demandé est absent; l'objet de l'invention est de procurer un système plus efficace pu et plus économique que ceux dont on a/disposer jusqu'à présent.

L'invention présente une utilité en ce qu'elle donne la certitude qu'on répondra aux appels dans un organisme dont les services sont desservis par un commutateur automatique. Un tel organisme aura habituellement plusieurs départements tels que: direction, achats, ventes, etc.. Si on considère le service "Ventes" par exemple, il peut comprendre une demi-douzaine d'em- ployés et plusieurs dactylographes, ayant tous leurs pupitres disposés côte à côte dans l'espace réservé à ee département.

De par la nature de leurs fonctions il est évident que les employés seront fréquemment absents du service et quils seront incapables de répondre aux appels émanant d'autres départements.

La méthode habituelle pour parer à cette éventualité est de confier la charge de répondre au téléphone à une dactylographe qui possède une ligne en dérivation venant de chacun des pupitres des employés. Des clefs sont prévues sur le pupitre de cette secrétaire lui permettant de connecter son poste à une quelcon- que des lignes pour qu'elle puisse -répondre à un appel aboutis- sant sur une de ces lignes si l'employé auquel il est destiné est absent du département.

L'objection au dispositif habituel est qu'il nécessite un câblage local entre les pupitres et les clefs de la position de réponse de qui le rend coûteux et en général ne donne pas satisfaction, Les lignes téléphoniques normales constituent

généralement un réseau fixe et permanent mais les systèmes dit de "Secrétaire" sont souvent installés suivant les nécessités du moment et subissent des transformations continuelles, ils doivent donc être réalisés en fils volants tirés temporairement sinon les modifications incessantes deviennent très couteuses.

Le grand nombre des clefs à prévoir pour donner un service convenable dans un grand bureau entraîne à des dépenses importantes et peut donner lieu à des erreurs au moment de l'utilisation.

Le système mis au point suivant les principes de l'in- vention et décrit ci-après rencontre toutes ces objections. Les lignes locales entre les pupitres sont complètement supprimées et le secrétaire n'a au plus qu'une seule clé à manipuler. Le nouveau système est donc plus économique et plus simple au point de vue exploitation.

On exposera ci-après les détails de l'invention en se référant aux plans annexés dans lesquels la fig. 1 est un circuit schématique donnant une représentation simple de l'invention, la fig. 2 en montre une application plus complexe.

En se reportant maintenant à la fige 1 on peut voir que le terme M.D.F. se rapporte à une portion du répartiteur d'un bureau automatique privé. Les lignes, telles que la ligne 2-3, aboutissent au commutateur automatique. Sur l'autre face du répartiteur sont connectées les lignes venant des divers postes telles que les lignes 4-5 et 6-7. Les lignes d'abonnés peuvent être connectées aux lignes du commutateur au moyen de fils volants, suivant la pratique habituelle.

On a représenté quatre lignes d'abonné qui sont celles des postes A, B, C et D. Ces postes sont concentrés dans un rectangle en traits pointillés pour indiquer qu'ils se trouvent tous dans un même département, tel que le département Ventes d'un organisme desservi par le bureau automatique privé. Les postes B.C.D. sont ceux des employés tandis que le poste A est

celui d'un dactylographe ou d'un secrétaire qui aura à répondre aux appels.

Le secrétaire possède également une ligne 8-9 de répanse et une clef K. Le poste A est normalement connecté à la ligne propre du secrétaire 4-5 mais peut être branché sur la ligne 8-9 par l'opération de la clef K.

L'équipement de réponse comprend un sélecteur S, un relais à courant alternatif tel que le relais 11 pour chacune des lignes disposant du service spécial et deux relais 14 et 15 connectés comme le montre le plan. Le sélecteur S peut être un commutateur rotatif se mouvant toujours dans la même direction. Tout l'équipement peut être monté dans le bureau automatique. La batterie indiquée en différents endroits du plan peut être celle qui alimente ce bureau.

Bans la description du fonctionnement du système on supposera qutun appel est émis à destination du poste B par l'intermédiaire du bureau automatique. Le courant dtappel est lancé sur la ligne 6-7 pour actionner la sonnerie du poste B.

Ce courant fait attirer également le relais à courant alternatif la qui se bloque pendant chaque période d'appel. En position opérée le relais la met à la terre le contact de test qui lui est associé dans le banc du balai 18 du commutateur S et ferme le circuit de l'électro de commande 19 de ce commutateur. L'é- lectro 19 ouvre son propre circuit et attire donc par intermittence en faisant avancer les balais du commutateur pas à pas à la recherche de la ligne qui est appelée. Quand le balai de test 18 atteint le contact mis à la terre par le relais 12 le circuit d'attraction du relais de test 15 se ferme, ce relais attire et ouvre le circuit de l'électro 19, qui s'arrête donc, les balais 16 et 17 se trouvant sur les contacts connectés à la ligne appelée 6-7.

Normalement le commutateur S trouvera la ligne appelée

pendant la période d'envoi du premier train d'appel. S'il ne le fait pas le fonctionnement du commutateur cesse de toute façon à la fin de cette période par suite de la libération du relais 12 et reprend à la période suivante. Après que le commutateur a trouvé la ligne appelée le relais de test 15 relâchera à la gin de chaque train d'appel mais le commutateur ne repartira plus car le relais 12 en relâchant coupe le circuit de l'électro 19 en même temps qu'il coupe le circuit du relais de test 15.

Si on suppose qu'un employé est présent au pupitre où se trouve le poste B il pourra répondre à l'appel en décrochant et la sonnerie cessera de tinter. Le commutateur S reste dans la position atteinte mais est prêt à démarrer à la recherche d'une autre ligne sur laquelle parviendrait un appel.

Si on suppose qu'on ne répond pas au poste B le secrétaire remarquera bientôt la persistanoe de l'appel à ce poste et d'un seul ooup d'oeil il pourra constater qu'il n'y a personne pour y répondre. Le secrétaire opérera donc la clef K qui transfère le poste A de la ligne normale sur la ligne de réponse 8-9.

Comme entre temps le commutateur S a trouvé la ligne appelée 6-7 le poste A est branché sur cette ligne et le secrétaire peut répondre à l'appel. On remarquera que le relais 14 est connecté en série avec un des fils de la ligne de réponse. Ce relais attire et ouvre le circuit de l'électro de commande 19 ce qui prévient son démarrage si un autre appel se présente.

Après que le secrétaire a répondu à l'appel il raccroche son récepteur et relève la clef K connectant de ce fait son poste A à nouveau sur la ligne 4-5 pour le service normal. Le relais 14 relâche et le commutateur S est prêt à partir à la recherche d'un nouvel appel. On remarquera que le commutateur opère pour tous les appels et établit la connexion avec la ligne de réponse de telle sorte que de toute façon, si le secrétaire juge nécessaire de répondre à l'appel le circuit soit en ordre de marche.

Dans l'explication précédente on a supposé que les postes desservis par le circuit de réponse se trouvent dans le voisinage du pupitre du secrétaire de telle sorte qu'il puisse entendre les appels aboutissant à chacun des postes. Dans le cas où les postes sont dispersés il est clair qu'une sonnerie peut être branchée sur la ligne de réponse au pupitre du secré- taire comme on le montre en 21. Le placement d'une telle sonne- rie est arbitraire, dans beaucoup de cas son emploi ne sera pas nécessaire. Il est clair également que si le secrétaire utilise sa propre ligne moins fréquemment que la ligne de réponse il est préférable de laisser la clef K normalement en position opérée de telle sorte que le poste A soit connecté en permanence à la ligne de réponse.

Dans ces conditions la sonnerie 21 sera connec- tée sur la ligne 4-5 pour alerter le secrétaire lorsqu'un appel aboutira sur sa ligne propre.

On décrira maintenant- l'application représentée à la fig. 2. Il y aura plusieurs raisons qui justifient l'emploi d'un équipement plus compliqué. L'une d'elle est d'éviter que le secrétaire ne puisse se mettre à l'écoute ce qui est désirable si un ou plusieurs postes desservis par le système sont situés en des endroits d'où il n'est pas possible d'observer les agisse- ments du secrétaire. une autre raison est de permettre au sé- crétaire d'utiliser la ligne de réponse pour son service propre, ce qui supprime l'obligation de tirer plus d'une ligne vers le pupitre du secrétaire et d'installer une clef.

A la fige 2 on a simplifié le dessin en ne montrant desservie qu'une seule ligne/par le système, la ligne 30-31 et la ligne 32-35. Il peut y avoir un certain nombre de lignes identiques à 30-31, ayant chacune un relais à courant alternatif tel que 39, et chacune d'elles étant connectée aux bancs du commutateur S' dtune manière identique à celle représentée pour la ligne 30-31. Le commutateur SI est le même que le commutateur S de la @

fig. 1 mais il reste normalement en position de départ ou sur le onzième groupe de contacts maintenant ainsi le poste A' du secrétaire normalement oonneoté sur la ligne propre de celui-ci 32-35.

Pour décrire le fonctionnement du système modifié on supposera qu'un appel aboutit sur la ligne 30-31. Le relais à courant alternatif 39 attire pendant l'envoi du courant d'appel, marque le contact de test associé à la ligne appelée dans le banc du balai 36 et ferme le circuit du relais 38. En attirant le relais 38 ouvre les lignes vers les balais 34 et 35 et ferme le circuit de l'électro de commande 37 du commutateur S'. Le commutateur tourne en entraînant ses balais jusqu'à ce que le balai de test 36 rencontre une terre sur le deuxième contact de test, le relais de test 43 attire alors et arrête le mouvement de rotation en ouvrant le circuit qui connecte la terre à l'électro 37 et au relais 38. Le poste A' de la ligne de réponse est maintenant connecté à la ligne 30-31 à travers les balais 34 et 35 du commutateur S'.

S'il n'y a personne au poste B' pour répondre, le secrétaire le fera en décrochant le récepteur de son poste A'.

Ceci arrête la sonnerie de la manière habituelle et les relais 40 et 42 attirent puisqu'ils sont placés en série respectivement dans chacun des fils de la ligne de réponse. Le relais 42 remplit les mêmes fonctions que le relais 14 de la fig. 1 c'est à dire qu'il ouvre le circuit de commande du commutateur S' de telle sorte qu'un autre appel se présentant ne pourra pas faire démarrer le commutateur. Le relais 40 ferme le circuit d'attrac- tion du relais 41. En attirant le relais 41 prépare le circuit du relais 38 en 45, en 46 il marque le contact de repos dans le banc du balai 36, il se bloque sur lui-même en 47 et en 48 il supprime la terre du fil positif de la ligne pour établir le circuit de conversation.

Après avoir répondu à l'appel le secrétaire raccrochera

son récepteur au poste At. Les relais 40 et 42 relâcheront par conséquent et ce dernier ferme le circuit d'attraction du relais 38, le relais 41 restant bloqué pour le moment. En attirant le relais 38 déconnecte les balais 34 et 35 et ferme le circuit de ltélectro 37. L'électro de commande opère quand son circuit se ferme et fait avancer les balais pas à pas jusqu'à ce que le commutateur ait atteint sa position de départ, en ce point le relais 43 attire et arrête le mouvement du commutateur. Le relais 43 coupe également le circuit de blocage du relais 41. Quand ce relais relâche il supprime la terre de marquage sur le contact de test de la position de départ de telle sorte que le relais 43 relâche.

L'équipement est donc revenu en position normale.

Dans le but d'expliquer la caractéristique du service 'Secrétaire" on supposera maintenant qutun appel aboutit à la ligne 30-31, que le commutateur S' opère de la manière habituelle pour trouver la ligne et que le secrétaire répond à l'appel.

Les relais 40, 41 et 42 sont donc attirés. On supposera également que le poste B' décroche également l'employé ayant peut être été lent à répondre. Le fait de décrocher le poste B' place un shunt sur la ligne et réduit par conséquent le courant qui circule de la ligne 30-31 à travers le poste A'. Cette réduction du courant fait relâcher le relais 42, qui est un relais marginal et exige le courant total de la ligne pour rester attiré, Quand le relais 42 relâche le poste A' est coupé par suite de l'attraction du relais 38 et le commutateur S' revient en position de départ comme expliqué précédemment;.

Dans le fonctionnement normal du bureau automatique la majorité des appels seront reçus aux postes auxquels ils sont destinés. C'est à dire que les personnes qui possèdent le service "Seorétaire" répondront généralement elles-mêmes aux appels qui les concernent, sauf pour celles qui sont la plupart

du temps absentes de leur pupitre. Les circuits de l'équipement de réponse sont prévus pour que si la personne disposant du service "Secrétaire" répond elle-même à l'appel le commutateur S' revienne immédiatement en position de départ.

Pour expliquer cette caractéristique on supposera qu'un appel aboutit sur la ligne 30-31 et que le commutateur S' a trouvé la ligne appelée. On admettra d'autre part que le poste B' répond immédiatement.. On remarquera également que le fil positif de la ligne de réponse, celui qui passe à travers le relais 40, est normalement connecté à la terre aux contacts du relais 43. Cette connexion à la terre n'a normalement aucun effet sur l'équipement du bureau automatique ou sur le relais 40, car le fil positif de la ligne est celui qui est connecté à la terre. Cependant quand on décroche au poste B', les fils de la ligne 30-31 sont bouclés au poste et le microphone est alimenté par 11 intermédiaire des deux fils 30 et 31 en série.

Le potentiel appliqué au fil 31 est donc amené en principe à la moitié de la tension de la batterie, ce qui est suffisant pour faire attirer le relais 40 qui ferme le circuit d'attraction du relais 41. Le relais 42 étant relâché en ce moment, l'attraction du relais 41 a pour effet de faire revenir le commutateur s'en position de départ.

La description d'un appel émis et reçu régulièrement par le posta du secrétaire sera donnée ci-après. On remarquera que la ligne du secrétaire 32-33 est connectée dans le banc du commutateur S' à la position de repos et puisque le commutateur S' revient en cette position après chaque communication destinée à un poste ayant le service "Secrétaire", que l'appel ait été reçu par le secrétaire ou par le poste lui-même, le poste A' sera normalement connecté à la ligne 32-35 et prêt à desservir les appels destinés au secrétaire. Quand la sonnerie du poste A' retentit le secrétaire répond comme d'habitude. Le courant d'appè

n'influence pas les relais 40 et 42 d'une manière appréciable car ces relais sont shuntés par des condensateurs.

S'ils vibrent légèrement. ceci n'a aucune importance. Quand on décroche au posté A' les relais 40 et '43 attirent, ainsi que le relais 41 et l'attraction de ce dernier fait attirer le relais 43. Tous ces relais relâchent quand on raccroche. Le commutateur S' ne fonctionne pas puisqu'il est déjà en position de repos et le relais 43 qui attire quand le relais 41 opère ouvre le circuit de commande.

Il peut se faire qutun appel destiné à un poste disposant du service "Secrétaire" soit abandonné avant qu'on y ait répondu. Dans ce cas le commutateur S' serait abandonné en dehors de sa position de repos. Dans le but d'obvier à cet inconvénient la ligne 32-33 peut être munie dtun relais à courant alternatif 44: qui attire quand un appel est reçu et qui ferme le circuit d'attraction du relais 41. Si le commutateur est en position de repos l'attraction du relais 41 n'a audune influence, s'il est en dehors de celle-ci l'attraction du relais 41 provoque le retour en position de départ comme expliqué pré- cédemment.

En variante la ligne 32-33 peut être équipée d'un troisième fil 50 connecté au contact de test de la ligne au bureau automatique. Comme on le sait le fil de test est mis à la terre quand une ligne est appelée pour la marquer à ltoccu- pation, cette terre fera attirer le relais 41 par l'intermédiaire du fil 50. Quand on applique cette variante il ntest; pas nécessaire de prévoir le relais à courant alternatif 44.

Quand le secrétaire émet un appel les relais 40 et 42 attirent lorsqu'il décroche, ils sont alimentés à travers les deux fils de la ligne appelante et les fils 32 et 33 en série. Le relais 41 attire également ainsi que le relais 43.

Les condensateurs qui shuntent les relais 40 et 42 donnent passage aux courants de conversation et d'appel mais l'envoi

des impulsions serait sérieusement troublé par l'impédance des relais 40 et 42. En conséquence le relais 41 shunte le relais 40 par une résistance non inductive et le relais 43 shunte le relais 42 par une résistance semblable. De ce fait un bon circuit d'envoi des impulsions est disponible. Les relais 40 et 42 peuvent suivre les impulsions et même relâcher pendant l'envoi d'un train sans effet néfaste. Le relais 40 peut relâcher sans inconvénient car le relais 41 reste bloqué par l'intermédiaire du fil 50 si on a prévu son utilisation. Si on a incorporé un relais 44 celui-ci suit les impulsions et ferme le circuit du relais 41.

On remarquera que le relais 41 est lent au fonctionnement de telle sorte qu'une ouverture momentanée de son circuit lorsque le relais 40 ou le relais 41 relâche n'aura aucun effet. Puisque le relais 41 reste attiré pendant l'envoi des impulsions le relais 43 restera opéré et maintiendra le circuit de l'electro 57 ouvert, par conséquent il n'y a pas de différence, que le relais 42 relâche ou non.

Il peut se faire incidemment qu'on décroche au poste A' pour émettre un appel alors que le commutateur S' n'est pas revenu en position de repos. Quand ceci se produit l'appel sera transmis par la ligne particulière sur laquelle sont engagés les balais du commutateur S'. Quand le secrétaire enverra les impulsions la sonnerie du poste de la ligne utilisée tintera et le séorétaire sera averti de ce qu'il n'est pas branché sur sa propre ligne. D'habitude l'appel n'aboutira pas car les précautions qui ont été prises pour permettre une émission satisfaisante des impulsions ne remplissent leurs fonctions que lorsque le commutateur S' est en position de repos.

Le secrétaire enfoncera donc la fourche de son poste pendant un temps suffisamment long que pour permettre le retour en position de repos du commutateur S' et recommencera son appel sur sa propre ligne.

Dans le but d'obvier à cet inconvénient on peut donner comme instruction au Secrétaire que pour émettre un appel il doit

d'abord décrocher puis raccrocher pendant un court intervalle de temps avant d'envoyer le numéro désiré.

On remarquera que le secrétaire ne peut pas utiliser sa ligne propre quand le commutateur S' est en recherche ou lorsquil maintient la ligne de réponse connectée à une ligne appelée sur laquelle un appel est en instance, ceci ne eonstitue pas un défaut car on doit admettre que le service de reponse doit avoir le pas sur tous les appels que le secrétaire pourrait devoir émettre ou recevoir pour ses attributions propres.

Claims

REVENDICATIONS.

1. Un système de téléphonie dans lequel des appels entrants dans un groupe de postes voisins, atteints tous par une ligne séparée, sont prolongés automatiquement vers le poste d'une personne qui peut voir ou entendre tous les postes du groupe, au moyen d'une ligne commune venant de l'équipement local de telle sorte que cette personne en se rendant compte de ce que la personne auquel l'appel est destiné est absente de son poste puisse répondre à cet appel.

2. Un système de téléphonie possédant un groupe de postes et un poste spécial d'où. les appels à destination d'un quelconque des abonnés du groupe peuvent être reçus en l'absence du destinataire, dans lequel un tel appel est automatiquement aiguillé vers un poste spécial par l'intermédiaire d'une ligne de réponse commune à tout le groupe sans que cet abonné ait à effectuer aucune manoeuvre lorsqu'il quitte sa place.

3. Un système de téléphonie permettant de répondre à un appel aboutissant à un quelconque des postes d'un. groupe en l'ab- sence du titulaire de ce poste au moyen d'un poste voisin, adjacent au groupe des postes dans lequel une seule ligne de réponse reliant le poste spécial et l'équipement du bureau est utilisée pour tous les appels de cette espèce.

4. Un système de téléphonie dans lequel un groupe de lignes d'ahonné venant de l'équipement du bureau sont munies de con- nexions permanentes en parallèle sur les contacts de banc d'un commutateur qui prolonge automatiquement les appels en- trants vers un poste spécial prévu pour répondre aux appels établis vers les abonnés du groupe qui sont absents de leur place.

5. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 4 dans lequel un appel entrant fait opérer un relais associé <Desc/Clms Page number 14> à la ligne appelée pour marquer un contact correspondant dans le banc du commutateur et pour .faire démarrer le commu- tateur pour établir un circuit de réponse vers le poste spécial.

6. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 5 dans lequel le commutateur avance seulement pendant l'envoi des trains de courant dtappel envoyés sur la ligne.

7. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 5 dans lequel le commutateur est opéré pour préparer un circuit de réponse vers un poste spécial pour chaque appel entrant vers le groupe et dont le circuit se ferme- seulement après une opération manuelle effectuée au poste spécial.

8. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 7 dans lequel un relais du circuit de réponse attire lorsque décroche le poste qui répond à l'appel, il coupe en un point le circuit de commande du commutateur pour éviter que la conversation soit interrompue par l'arrivée d'un appel en- trant à destination d'un autre poste.

9. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 8 dans lequel le poste spécial est muni d'une ligne séparée aboutissant à l'équipement du bureau et est normalement connectés au poste pour l'établissement des appels entrants ou sortants, des moyens de commutation étant prévus pour dé- connecter le poste de cette ligne et pour le connecter à la ligne qui répond.

10. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 4 dans lequel une ligne simple venant de l'équipement du bureau vers le poste spécial sert également pour les appels auxquels on répond en l'absence du titulaire du poste appelé et pour les appels entrants et sortants du poste spécial.

11. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 10 dans lequel les appels entrants et sortants du poste spécial <Desc/Clms Page number 15> sont établis au moyen du commutateur en position normale.

12. un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 11 dans lequel un relais marginal attiré quand le circuit de réponse est en service relâche, si l'abonné auquel l'appel était destiné décroche son récepteur, par suite de la réduc- tion de la valeur du courant qui en résulte dans la ligne appelante, ce relais libérant de ce fait le circuit de ré- ponse.

13. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 12 dans lequel un relais connecté en série avec la ligne appe- lante est connecté normalement à un des pôles de la batterie ce qui fait que si le poste auquel l'appel était destiné ré- pond. le potentiel sur l'autre borne du relais augmente suffi- samment, par le bouclage du circuit, pour faire attirer le relais et amener la libération du commutateur.

14. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 13 dans lequel un relais, connecté aux bornes de la ligne au moyen de laquelle sont reçus les appels destinés au poste spécial, attire pour amener la libération du commutateur et pour permettre à l'appel d'être prolongé vers la ligne du poste spécial.

15. Un système de téléphonie en principe comme décrit et repré- senté aux plans annexés.