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Génératrice de courant continu à caractéristique descendante, en particulier pour la soudure à l'arc.
La présente invention se rapporte à une génératrice de courant continu à caractéristique descendante, en particulier pour la soudure à l'arc, dans laquelle la chute de tension proportionnelle approximativement au courant de charge et induite dans l'induit est produite par le flux magnétique de pôles auxiliaires (pôles d'entrefer) excités par le courant de charge. De semblables machines sont habituellement exécutées comme machines à auto-excitation. Les pôles principaux reçoivent un ou plusieurs enroulements qui sont excités par l'induit au moyen de balais principaux et auxiliaires ou seulement aussi de balais auxiliaires.
Suivant que les ampères-tours des
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pôles principaux diminuent, restent constants ou augmentent lors du passage de la marche à vide au court-circuit, on peut parler d'excitation contre-compoundée, constante ou compoundée des pôles principaux.
Lorsque la machine fonctionne sur une tension déterminée, par exemple sur la tension de l'arc d'électrode de soudage, le réglage du courant de charge peut se faire de deux manières différentes, f réquemment employées ensemble également: On fait varier le degré de compoundage des pôles principaux par le décalage des balais auxiliaires ou par variation derésistances dans le circuit d'excitation, ou bien on fait varier le degré du contre-compoundage des pôles auxiliaires (pôles d'entrefer) par le décalage des balais principaux, par variatior des nombres de spires ou par shuntage des enroulements des pôles auxiliaires ou par variation de la résistance magnétique des pôles auxiliaires.
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La présente invention concerne un riispocitif plrtic1l1i?rf- ment simple en comparaison d es dispositifs connus pour le ré- glage du courant de charge suivant le premier genre, par le fait que, suivant la présente invention, un enroulement des pôles principaux est raccordé à un balai auxiliaire et au curseur d'un potentiomètre monté entre un second balai auxiliaire etun balai principal. Le fonctionnement de la présente invention se comprendra au moyen du dessin représentant schématiquement un exemple de réalisation. Pour plus de simplicité on a supposé le cas d'une génératrice de courant continu bi-polaire. I est l'induit, 2 est le collecteur, 3 la culasse, 4 et 4' sont les pôles principaux avec les enroulements de champ 6 et 6' montés en série.
Les pôles auxiliaires 5 et 5' ont à peu près la même largeur que les pôles principaux ; ils portent les enroulements 7 et 7' parcourus par le courant principal. Les pôles auxiliaires servent en même temps de pôles de commutation. 8 et 9 sont les balais principaux. Les balais auxiliaires 10 et II sont placés par exemple dans les intervalles des pôles entre le pôle principal et le pôle auxiliaire.
Leur distance relative est égale à la subdivision des pôles principaux @
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Le balai principal 9 est relié par la résistance totale a-c du potentiomètre 12 au balai auxiliaire II, et les enroulements de champ 6,6' du pôle principal empruntent la tension d'excitation au balai auxiliaire 10 et au curseurI3 du potentiomètre le!. Dans la position a du curseur 13, on é tablit le plus grand courant de charge.
Les enroulements de champ 6,6' sont raccordés aux balais auxiliaires 10 et II ; lecompoundage des pôles principaux 4-4' est le plus grand car la partie d'enroulement, délimitée par les balais auxiliaires 10,II, de l'induit est traversée principalement par le champ principal et par un champ de pôle auxiliaire de même nom. A la position extrême c du curseur 13 correspond le plus petit courant de charge. Les enroulements de champ 6 et 6' sont raccordés au balai principal 9 et au balai auxiliaire 10. Comme ces deux balais délimitent une partie de l'enroulement d'induit qui est traversée principalement seulement par le champ principal, la génératrice à l'état de court-circuit se désexciterait au moins partiellement ; le compoundage des pôles principaux 4,4' est négatif.
Comme toutefois, en cas de trop grand contrecompoundage des pôles principaux la génératrice perdrait le degré d'absence d'inertie magnétique exigé d'une bonne gensratrice de soudure, le curseur 13 parcourt seulement la partie de résistance du potentiomètre située entre a et b. Les résistances partielles a-b et b-c du potentiomètre et la résistance 14 peuvent être choisies de telle façon que lors du passage du curseur 13 de b vers a, en même temps la tension de marche à vide s'élève d'une valeur la plus petite à une valeur la plus grande pour obtenir une grande portée de réglage du courant de charge. Lorsqu'on s'efforce d'obtenir une très grande portée de réglage, il peut être désiré d'exécuter la résistance 14 de façon réglable et l'on peut avantageusement relier mécaniquement la commande de cette résistance à celle du potentiomètre.
La disposition constructive des pôles, par exemple la disposition symétrique des pôles principaux et des pôles auxi- liaires de l'exemple de réalisation, peut entrai...
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décalage des balais principaux hors de la zone neutre. Les ampères-tours d'induit démagnétisants provoqués par ce décalage des balais peuvent être compensés d'une manière connue, totalement ou partiellement, sur les pôles principaux par un enroulement parcouru par le courant d'induit.