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"Perfectionnements aux Machines à écrire"
Les règles d'art typographique exigent que chaque lettre occupe une place conformément à sa largeur individuelle , et que les mots. dans une même ligne, d'une longueur déterminée, soient distants l'un de l'autre des intervalles égaux.
Dans une machine à écrire ordinaire, le chariot, avançant à pas égaux, réserve toujours une place égale pour n'importe quelle largeur de lettre ; les intervalles entre les mots se font aussi égaux, à cause qu'ils sont faits par le moyen d'une ancre qui avance toujours à un pas égal à la largeur des dents de la roue. Pour obtenir une écriture oonforme à la règle d'art typographique , il faut pouvoir faire avancer le chariot à pas variables conformément à la largeur individuelle de la lettre.
Il peut y avoir deux formes de caractères :
1 Un caractère où les largeurs des lettres sont soumises à un rapport mathématique entre elles, et classées d'après leur largeur, p.ex : .,il représentent la valeur 1 (unité) tjr1 représentent la valeur 2 (double) abcdJ représentent la valeur 3) (triple) @
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WM représentent la valeur 5 (quintuple)
2) Un caractère où la largeur des lettres est'd'une interprétation libre, mais les lettres sont classées d'après leur largeur.
Les fig.l, 2,3, 4 représentent une ancre pour la première écriture .
En appuyant sur la barre l,qui est munie de deux dents 2 et 3, une de ces dents abaisse une barre transversale 4 (fig.l, 2). Les barres 4 peuvent être aussi abaissées par des touches, représentées sur le clavier de la machine sans caractère. Ces barres 4 coulissant dans des guides latéraux 5 et pivotant en 6, soulèvent les leviers 7, qui , à leur tour, par l'intermédiaire des triangles 8, font coulisser les barres 9 (fig.l, 2, 4). La carcasse de l'ancré 10 (fig.1-4) basculant autour du tourillon 11, fait entrer et sortir alternativement une dent fixe 12 (fig.3) ou une dent mobile 13 (sous forme de crochet) entre les dents de la roue dentée 14 .
La dent 12 fait corps avec la oaroasse de l'ancre quant à la dent 13, attirée par le ressort 15, elle coulisse dans la carcasse de l'ancre. Cette dent coulissante 13 est munie à une extrémité d'un crochet 16 (fig.2-4). Quand la barre 9 (fig.l, 2, 4) rentre dans la carcasse de l'ancré, le tenon 17 (fig.l,4) fait basculer l'ancre; la barre 9 rentrant, , obture le passage devant le orochat 16 pour arrêter la dent coulissante 13. La figure 1 représente le dispositif en repos. Les figures 3, 4 représentent l'ancré
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enclenchant oinq dents qui correspondent à la cinquième barre ,oel7eant .,ci correspondra la cinquième largeur du caractère.
En appuyant sur la touche 18 (fig .1,2) on attire le peigne 19 qui attire les barres transversales 4, et par ce fait, les met sous la dent suivante 3 de la barre 1. Par conséquent, la barre 1, au lieu d'appuyer sur la seconde barre transversale, appuya,.par sa dent 3, sur la troisième barre transversale , et fait se déplacer la dent coulissante 13 de l'ancré, mais cette fois d'une distance de trois dents. Ce procédé sert pour passer des minuscules aux majuscules.
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Le ressort 20 (fig.l,2) remet ( en place le peigne 19. Par ce fait on peut faire avancer la roue dentée d'une on plusieurs dents à volonté en une fois. Le passage de chaque dent représente l'avance -ment du chariot de la valeur d'une unité.
Les figures 5,6, 7, 8,9, 10 représentent un système d'ancre pour un caractère d'une interprétation libre .
Quatre anores d'un système quelconque connu , comme le repré- sentent les fig.7, 8, sont montées sur un axe, commun 21 (fig. 5,6).
La roue dentée 22 de l'ancré porte un oliqaet 23 (fige.6,8.9 et 10) qui glisse sur une autre roue dentée 24, qui peut tourner librement seulement dans un sens ; le sens contraire , elle peut tourner seulement simultanément avec la roue dentée 22. La roue dentée 24 fait corps avec un tambour 25 (fig. 5,9), muni,à l'intérieur,d'un ressort en spirale 26 (fig.5, 9, 10) qui peut ramener le tambour dans sa position primitive . Les tambours 25 sont entouras de fils 27, qui, passant par les rouleaux 28, forment un parallélo- gramme qui aboutit à la bande 29. Les fils 27 sont munis d'arrêts 30, qui, quand les fils 27 doivent s'enrouler de retour autour des tambours, empêchent qu'un tambour n'enroule pas plus du fil 27 qu'il n'en avait déversé.
La bande 29, trouée comme une bande de film cinématographique , entoure une roue dentée 31, qui, faisant corps avec la roue dentée 32, forme un différentiel, et via la se- conde bande trouée 33, fait avancer le chariot 34.
Le chariot 34, tiré à gauche , entraine la bande trouée 33, qui , entraînant la roue dentée 32, entraîne par la roue 31 la bande 29 et le parallélogramme des fils 27.
En appuyant sur une ou plusieurs barres 4 (fig.5), on attire les barres 35, qui sollioitent les ancres sur l'axe 21. Chaque
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ancre est reliée à un tambour d'un diamètre différent et par ce différente fait, elle lâche une longueur/du fil 27. En ramenant le chariot 34 de gauahe à droite , on ramène les fils sur les tambours, les tambours ont tendance à être ramenés par les ressorts en spirale 26.
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en spirale 39, et,à l'extérieur,de deux roues dentées avec cliquet et ancre 40 (fig.14) coulissant dans 41. L'ancré 40 , par l'intermédiaire des leviers 42 et 43,est montée sur un axe de section carrée 44, sur lequel elle glisse librement. L'axe 44 mis en action par le levier 45 et la barre 46 (fig.ll ,14) sollicite l'anore 40.
La barre 46 (fig.11,14) est reliée aux barres transversales 4 placées sous le clavier de la machine. Les boites 36 portent intérieurement des tambours de diamètres différents.
La première boite à gauche est immobile , les suivantes peuvent glisser dans le logement 37 et sont reliées entre elles, en chaîne , par -les fils 47 (fig.12,14) que les tambours déroulent. Le fil 47, sortant de la dernière boite , est relié au chariot 48.
En appuyant sur une touche du clavier, on abaisse une barre transversale 4 (fig.ll) correspondant à la largeur de la lettrereprésentée sur la touche ; la barre 4, par la barre 46 (fig.ll, 14), fait tourner l'axe 44, qui fait fonctionner l'ancré montée sur cet axe , et déroule le fil 47 du tambour 38 et, par ce fait, fait glisser vers la droite toutes les boîtes 36 se trouvant entre l'ancré sollicitée et le chariot 48,, et le chariot même de droite à gauche . Chaque ancre glisse sur un seul axe; chaque axe est en rapport avec une seule barre transversale 4 (fig.ll).
On peut provoquer plusieurs ancres à la fois, en munissant la barre du clavier de plusieurs dents appuyant sur plusieurs barres transversales 4 (fig.ll).
On peut varier les pas du chariot par le système des figures 5-10 ou 11-14, en appliquant des roues dentées soit à des ancres d'une même denture , mais d'un diamètre différent, soit à des ancres d'un même diamètre,mais de denture différente, soit à des tambours d'un diamètre différent.
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Système pour faire des espaces égaux entre les mots dans une ligne d'une longueur déterminée.
Il y a deux chariots (fig.15) l'un 50 et l'autre 49, à chaval ou à coté l'un de l'autre . Le chariot 49 avance au pas varié que lui donnent les ancres (systèmes fig.1-4, 5-10 ou 11-14), en emportant avec lui le chariot 50. Après avoir écrit la première fois le texte d'une ligne 51 (fig.15) sans intervalles, on constate combien de place occupe la longueur de l'écriture effective dans la ligne. En effet,à la fin de la ligne reste un espace 52, qui doit être divisé par le nombre de mots, moins un, et intercalé entre les mots écrits. En écrivant la seconde fois, au net, on commence par écrire un mo t, on intercale un espace 53 (fig.15 ) après chaque mot, et on finit par un mot qui correspond à la ligne 54, qui est la fin de la ligne parfaite .
Le chariot 49 (fig.15, 16, 17) porte des barres 55, qui, normalement, sont alignées en 56 (fig.16).Blles sont attirées par le ressort 57 (fig.16). De l'autre côté elles sont attachées aux bandes-guides 58, qui sont enroulées sur un axe 59 et attaohées au levier 60. Les bandes sont distantes également les unes des autres, les espaces entre elles sont remplis par une matière non élastique mais flexible , donnant de ce fait différents diamètres aux bandes-guides 58 (on peut par exemple intercaler entr les bandes-guides des bandes d'aeier mince de 1/30 mm).
En tournant le levier 60 (fig.16) de gauche à droite , les bandes-guide se déroulent avec une progression proportionnelle'}, et par con- séquent, les barres 55 (fig.16) forment à leur extrémité un escalier à marches égales. C'est un appareil différentiel et qui est attaché au chariot 49.
Un organe 61 (fig.16) est prévu pour caler le levier 60.
A chaque barre 55 est attachée une aiguille 62 (fig.15-17) Toutes ces aiguilles se trouvent,au moment du départ, alignées
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contre la ligne 54 (fig.15) sur le papier, lorsque les barres 55 se trouvent également alignées. Quand, on fait jouer le différentiel , composé de bandes-guides, les barres forment un esoalier à marches régulières et les aiguilles indiquent les distances entre les barres.
Sur la fig.15 les aiguilles sont parties du point 54 et la quatrième aiguille a atteint l'extrémité droite de la ligne 51.
Par ce fait, elle avait divisé l'espace entre la fin de la ligne 51 et la ligne sur le papier 54 en quatre parties égales. Par ce fait, la différence entre les barres 55 est la même qu'entre les aiguilles.
Sur le chariot supérieur 50 du côté droit ait fixée une crémaillère 63 (fig.17) guidée par la fente 64 et sollicitée par un ressort 65 (fig.17 de droite à gauche). La crémaillère 63 est avancée au moyen d'un cliquet 66, qui glisse dans une fente dûment profilée 67 . En appuyant sur la touche 68 (fig.17), une barre d'une longueur comme le parcours du chariot , en forme de triangle 69, pousse sur -la barre 70 , qui actionne le cliquet et la crémaillère et fait passer la dent qui fait corps avec la crémaillère 71 d'une barre 55 sur la suivante. Comme les chariots sont attirés par les fils 72 et 73 et par le bloo 74, le chariot supérieur 50 s'arrête à la barre où. se trouve la dent 71.
Sur leefigs 16 et 17, la dent 71 se trouve sur la troisième barre, cela veut dire qu'en procédant à l'écriture au net, on avait déjà intercalé trois espaces égaux dans la ligne 53 (fig.15).
Après avoir fini d'écrire la ligne au net, on remet le levier 60 (fig.16) dans sa position primitive , par conséquent les bar -res s'alignent en 56, le crochet 71 est guidé par la crémaillère, qui , tirée par le ressort 65 (fig.17) de droite à gauche, glisse sur les barres alignées en 56 et vient s'appuyer contre le corps du chariot inférieur 49 dans le crochet 75 (fig.16,17)
Le chariot 50, retiré de gauche à droite , attire avec lui
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le chariot inférieur 49 par le crochet 75.
Sur le rouleau à papier 76 (fig. 15,17) sont enroulées deux feuilles de papier :l'une vierge, en dessous, couverte par l'au- tre ,qui porte des fenêtres découpées 77 (fig.15). La feuille supérieure porte à l'extrémité droite une ligne 54 qui indique la fin future de la ligne écrite au net. On écrit au net sur le papier inférieur à travers la fenêtre .
La ligne 51 sur fig.15 est écrite sans espaces. On peut aussi écrire cette ligne avec des espaces. On procède de la façon suivante :
On commence par écrire un mot et on fait un espace par l'in- termédiaire d'un ou de plusieurs ancres, après chaque mot écrit à l'exception du dernier mot.
Avant de commencer à écrire la ligne 53 au nst, les barres 55 (fig.16) et le différentiel doivent former un escalier où la différence entre les barres 55 existerait déjà d'avance , et la différence entre les barres serait la même que les espaces faits à la première écriture par un ou plusieurs ancres. Les aiguilles 62 doivent être pourtant placées sur les barres 55, de telle fa- çon qu'elles soient alignées toutes contre la ligne 54 (fig.15).
Il est prévu un compteur 901 des espaces entre les mots (fig.15). Ce compteur est relié à une touche représentée sur le clavier de la machine , et après chaque mot écrit, on appuyé sur la touche qui , en même temps qu'elle fait fonctionner les an- cres pour faire les espaces entre les mots à la première écritur marque le numéro sur le compteur. Après le dernier mot écrit on ne fait pas d'espace, alors le compteur montre le nombre des es- paces à faire dans la ligne au net 53.
Après avoir écrit la ligne provisoire avec des espaces, i: reste tout de même un, espace réduit entre la fin du dernier mot et la ligne 54. On divise cet espace au moyen des aiguilles, et comme les espaces faits d'avance par les ancres sont déjà repré
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sentés sur le différentiel et les barres 55, en somme , ces espaces réduits s'ajoutentuniformément et automatiquement aux dif- férenaes: existant sur les barres.
Les figures 18 et 34 représentent un différentiel d'un autre système. Les oiseaux 78 (fig.18) dans leurs axes 79, guident les barres transversales 80. Chaque barre transversale 80 est attachée à une des barres longitudinales 81 par un Pivot 82. Le point de départ est le premier axe 83 de droite,. immobile. Les barres 84, attirées par le ressort 85, font s'écarter les axes des oiseaux progressivement et à des distances égales entre elles, entraînant les barres longitudinales et formant ainsi un chevauchement régul ier .
Sur un rouleau, ordinaire d'une machine à écrire se trouve une feuille de papier. L'extrémité droite de ce papier est couverte par une bande de papier. Cette bande est enroulée sur deux bobines, portées par-une attache glissant sur l'axe du chariot. On écrit une ligne sur la feuille , excepté le dernier mot. On approche la bande de papier jusqu'à la dernière, lettre du dernier mot écrit et on écrit le dernier mot sur la bande, en prenant soin de laisser un espace entre la fin du dernier mot de la ligne et l'aiguille indicatrice. Cette aiguille est fixée sur le chariot et est réglable .
On retire l'attache jusqu'à ce que la fin du dernier mot atteigne l'aiguille indicatrice et alors l'espace s'intercale entre les deux derniers mots.
Les espaces entre les mots écrits sur la feuille seront égaux (faits par les ancres). L'espaoe entre les deux derniers mots sera différent des précédents, mais on peut obtenir'par ce procédé une longueur égale pour toutes les lignes écrites.
Les fige.19, 20, 21 représentent des dispositifs pour pho- tographier les lettres directement, sur un film, au lieu de les écrire au net sur le papier.
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Au chariot principal supérieur 50 (fige.15 et 19) est reli et entraîné, par l'intermédiaire d'un différentiel 86 (fig.19) un autre chariot 87 sous un angle de 90 . Fixé et tournant en 8 (fig.21) sur oe chariot 87 se trouve enroulé le film 88, qui se déplace dans la chanbre obscure 90. Les barres de la machine à écrire ,au lieu de porter un caractère à imprimer, portent des voyants en matière opaque, dans laquelle sont découpées des let tres transparentes, comme sur fig.20, en trois différents carac tères. Quand ce voyant 91 (fige.20,21) est monté à son extrémite il se place dans une fente et laisse passer la lumière d'une am-
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poule 92 à travers sa partie transparente.
Cette lettre éclairée ét captée par un périscope 93, passe par un verre stigmatique 94 pour déformer l'apparence du caractère, passe par l'objectif 95 et expose la lettre sur le film 88. Le voyant 91 porte un ap- pendice 96 (fig.20) qui ferme le contact 97 et sollicite les bobines 98, qui ouvrent l'obturateur 99 (fig.21).
Un arrdt 100 pour le contact est représenté à la fig.20.
Une plaque sur laquelle sont placés différents objectifs, tourne en 101 (fig.21) comme un barillet de révolver .
Le chariot 87 (fig. 19,21) peut être aussi actionné par un mécanisme autonome, semblable à celui qui actionne le chariot 50, et dirigé par le clavier de la machine.
Le différentiel pour espacer les mots se règle d'après l'écriture préalable sur papier.
Les figs.22-33 représentent un ensemble de dispositifs pour écrire (composer) à l'improviste ,o'est à dire en écrivant seulement une fois, pour obtenir directement une ligne parfaite avec, des espaces égaux entre les mots).
Le système consiste à écrire chaque mot sur une autre bande de papier, et on écarte les bandes entre elles proportionnellement pour former les espaces entre les mots.
Il existe trois variantes :
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1/ On écrit sur chaque bande un mot, et on écarte entre elles les et glissant sur le chariot bandes portées par des attaches/au moyen d'un différentiel comme sur les le différentiel est attaché et se déplace ensemble avec le chariot, mais alors on atteint un écartement parfait des bandes entre elles, jusqu'à ce que le premier et le dernier mot forment la longueur déterminée de la ligne , mais la ligne même se déplace entièrement, et chaque ligne étant de la même longueur que la précédente , se trouve pourtant chaque fois sur une autre place du parcours.
2/ On procède comme au 1/, mais après avoir atteint, par l'écar- tement des bandes, la longueur déterminée de la ligne on libère le chariot de l'ancré et on fait avancer le chariot avec la ligne parfaite jusqu'à l'extrémité gauche de la machine , en exposant dans cet endroit la ligne devant l'appareil photographique. De cefait la ligne se trouvera toujours à la même place.
3 Le troisième procédé permet d'écarter les bandes entre elles sans que la ligne bouge. Le dernier mot reste toujours immobile , et par ce fait le ligne entière reste à la même place: ce sont seulement les bandes (les mots) précédentes qui s'écartent les unes des autres jusqu'à ae que le premier mot atteigne l'extrémité gauche de la ligne déterminée .
Ecriture à l'improviste
Première variante
Des attaches 103 (fig.22.24), portant les bandes de papier 102 (fig.24 représente une attache détaillée de profil) (la fig.
22- trois attaches au magasin et trois attaches au travail, de face) (fig.23.25 - d'en haut) se trouvent dans un magasin dépendant de la carcasse de la machine même. les attaches sont plus grandes l'une que l'autre , et dans le magasin rentrent l'une dans l'autre, et par ce fait, les bandes de papier se trouvent superposées et alignées l'une sur l'autre .
Le chariot est composé d'un cadre 104 (fig.22.23.24). Le
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devant 105 (figs.23-25) de ce cadre est en forme d'un secteur.
Le papier 102, rentrant de gauche à droite (figs.22,23) passe par une fente 106, qui est découpée dans l'attache sous un angle de 45 , passe sous la partie bombée de l'attache (figs.24.
25) et est serré contre celle-ci par une plaque d'acier faisant service de ressort 196, de la m me forme que la courbure de l'attache bombée , sort de l'attache , oontourne le secteur 105, rentre de nouveau entre l'attache et le ressort, passe , mais en sens inverse, par une fente sous un angle de 45 et est dirigé vers la droite. La fente 115 (fig. 24 A) sert pour laisser passer les bandes de papier.
Sur toute la longueur du chariot, passent des barres rondes 107, attachées au chariot, et qui servent à guider les attaches (fig 24 Aet 25). Par les cotés latéraux du chariot 104 (figs.23, 25) passent des barres rondes 108, qui sont attachées au différentiel comme sur la fig.16. Le chariot et l'appareil différentie' sont attachés l'un à l'autre et avancent ensemble . En faisant jouer le différentiel, on écarte entre elles les barres 108, de la même façon que les barres 55 (fig.16). Les barres 108 sont attirées à gauche canme les barres 55 (fig.16) par des ressorts.
Une fois que les attaches portant les bandes de papier sont sorties du magasin, elles sont attachées aux barres 108, et avanoent avec le chariot et le différentiel, conformément à la marche que leur donne l'anore 116 (fig.22) de la machine. Après qu'on a écrit la ligne , le différentiel fait jouer les attaches et les écarte entre elles, jusqu'à ce que la ligne atteigne la
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longueur déterminée. Les attaches portent des organes pour les (,îig.z4 attacher aux barres 108. Ce sont deux ressorts 109 qui enserrent les barres 108, quand l'excentrique 110, actionné par la barre 111 (fige.22, 24 A), tourne autour de son axe.
En commençant à écrire un mot, on fixe une attache 103 aux barres 108, et on écrit le mot. Pour chaque mot suivant on fixe @
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attachée une règle 112 avec deux aiguilles recourbées supérieurement 113, 114. Cette règlé représente la longueur déterminée de la ligne à former. La pointe 114 est déplaçable pour les diff é- rentes longueurs de la ligne .
Quand le différentiel déplace les attaches, la règle solidaire de la première 103, se déplace avec elle , avec une vitesse plus grande que celle des attaches suivantes, et, à un certain moment, la pointe 114 atteint la dernière lettre du dernier mot.
C'est alors que la ligne est parfaite.
Au milieu de la règle est fixé un appareil photographique qui se déplace avec la règle , et par ce fait se trouve toujours au milieu de la ligne .
La barre 117 (fige.22, 23) sous les attaches, est attirée en avant, et ramène les barres 111 (fig. 24 A) dans leur position primitive , et par ce fait, détache les attaches 103 des barres 108. Une fois le différentiel ramené à son point de départ, les attaches, libérées des barres 108, peuvent être poussées par le cadre du chariot 104 (fig.23) dans le magasin. Pour maintenir un espace libre pour le jeu des attaches entre la première attaohe et le cadre du chariot, il est prévu un dispositif spécial (fige.28, 29, 30).
Sur le coté gauche du chariot 104 glissent les barres 118, qui forment avec la transversale 119, un dispositif en forme de fer à cheval. Ce dispositif (fige.28, 29) est guidé et poussé par la barre 120 et le ressort 121. Les barres 118, dans leur partie 122, portent une entaille , dans laquelle pénètre une barre 123, poussée par le ressort 124, dans le but d'empêcher que le dispositif en forme de fer à cheval ne se déplace. C'est le cas quand on retire le chariot, et clest alors que le dispositif en forme de fer à cheval pousse l'attache 103 vers le magasin.
Quand on commence à écrire , la première attache fixée aux barres 108 (fig.23) avance avec le chariot, et se trouve, pendant
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tout son parcours, directement contre la barre 119 du dispositif en forme de fer à cheval (fige.23, 29). Pour donner ?Le l'espace à la première attache 103, ce qui est nécessaire pour avancer, on libère le dispositif en forme de fer à cheval pour que l'attache puisse le pousser au dehors du coté gauche du chariot 104. On soulève la barre 123 des fentes 122 (fige.. 8, 29, 30), et par ce fait, on donne libre passage aux barres 118.
Après avoir fait jouer les attaches et les avoir ramenées dans leur position primi tive, on abaisse la barre 123; le ressort 121 ramène le disposi- tif en forme de fer à cheval dans sa position primitive , et ensuite o'est le fer à cheval (barre 119) qui pousse les attaches vers le magasin.
La figure 33 représente un dessin schématique expliquant : 1 le fonctionnement du serrage du papier ; 2 la fixation des attaches aux barres 108 et 3 la sollicitation de l'ancré .
Comme il a été vu précédemment, le papier rentre dans le; magasin avec l'ancienne écriture. Pour écrire une nouvelle ligne, il faut changer de papier.
Le papier 102, en sortant de 1.'attache 103 (fig.22) se déplaoe vers la droite , contourne le rouleau 124 et passe par une fente 15 qui est munie d'un coin 126. Quand une attache est fixée à la barre 108 (au chariot), l'attache avance avec le chariot
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libéré par les ancres, d'un eapaee de lus gue 1a hauteur d'une^ ligne. Le papier 102, serré dans la fente 125 par le coin 126, reste immobile, pendant que l'attache avance, entraînée par le chariot. Par ce fait, le papier glisse dans l'attache d'une longueur égale à l'avance de celle-ci,(traînée par le chariot).
La ligne écrite précédemment se trouve , à ce moment, en-dessous du secteur 105 (figs.23, 24). 127 (fig.22) sont des bobines posées sur le papier pendant à gauche et à droite de la machine, et qui servent, comme poids, pour maintenir le papier pendant le fono-
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Une touche 128 (fig.33) est prévue sur le clavier de la machine, dont la fonction est de : 1 fixer les attaches, 2 serrer le papier, 3 déclencher l'ancre et (en troisième variante) avancer le pont.
En abaissant la touche 128, la dent 129 casse en 149 la barre 130 sans l'affectionner. En continuant de baisser la touche , la dent 140 appuie sur la barre'141, coulisse le cadre 142, qui appuie sur le piston 138 et serre le coin 126 contre le papier et la fente 125. Le papier reste serré. La dent 143 abaisse la barre 144, pousse le cadre 145, appuie sur le piston 139 et déclanche la barre 111,162 (figs.22,24 AB) dans le magasin, fixant ainsi une attache à la barre 108 (fig.24 A) ou 107 (fig.24 B) (chariot). La dent 146, par la barre 147, sollicite l'ancre 148.
Comme on peut le voir, en abaissant la touche 128, les mouvements se succèdent de la faon suivante :
1) La dent 129 casse en 149 la barre 130 sans la solliciter;
2) la dent 140 enfonce le coin 126 et serre le papier par l'intermédiaire de 125, 126, 138, 142;
3) la dent 143 par 144,145 et 139, déolanahe 111 ou 162 et fixe l'attache au chariot;
4) la dent 146 par 147 et 148 sollicite l'ancré .
En sens inverse ces mouvements se succèdent dans l'ordre suivant :
1) D'abord c'est l'ancre qui est libérée et qui fait avancer le chariot avec l'attache (le chariot avance plus que la hau- teur de la ligne et le papier glisse dans l'attache);
2) le piston 139 est libéré;
3) le piston 138 est libéré et desserre le papier;
4) la dent 129, en remontant, sollicite la barre 130, fait avancer, par le cliquet 131, la roue dentée 132, fait tour- ner l'axe 133, qui , à son tour, fait tourner les roues dentées 134 et 135. Ces dernières déplacent des crémaillères
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@ 136 et 137, qui placent respectivement les pistons 139 en fa< de la barre suivante 111 (fig.4 A)ou 162 (fig.24 B) et le pi 138 en face de la bande suivante à serrer.
Pendant que le cliquet mobile 131 enclenche la dent suiv le cliquet fixe 150 retient la roue dentée 132, qui fait corp avec la roue dentée 151. Ces deux roues dentées se trouvent s l'axe 133 qui , en cet endroit, a une section carrée. Quand o retire le chariot 104 (figs.22 et 33) une dent 152, fixée sur ce chariot, pousse la barre 153, qui refoule les deux roues de tées 132 et 151 hors des cliquets et de leur axe carré, jusqu l'arrêt 154. Alors le ressort en spirale 155 ramène la roue de tée dans sa position primitive, et l'axe 133 place, par les roues dentées 134 et 135, les crémaillères 136 et 137 dans leu position de départ, cela revient à dire que le piston 138 est placé en face du premier serrage du papier, le piston 139, en face de la première barre des attaches.
Deuxième variante .-
On procède comme à la première variante , mais , au momeni où la ligne atteint sa longueur définie , on libère le charic 104 de l'ancre 116 (fig.22) et on fait avancer le chariot y com pris le différentiel qui se trouve attaché au chariot jusqu'à l'extrémité gauche de la machine , où se trouve fixé l'appareil photographique .
Troisième variante
La caractéristique de la troisième variante est que la ligne parfaite (après que les bandes ont été écartées les unes des autres) se trouve toujours à la même place. Ici, le chariot avec les attaches (avant l'écartement des bandes) est mobile et le différentiel est immobile, et attaché à la carcasse de la machin e .
On procède à l'éoriture comme dans la variante précédente
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avec cette àifférmnmo "-" 1 ---
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être fixée en permanence aux barres 108 (fig.24 A), est fixée temporairement aux barres-guides 107.
Chaque attache est solidaire d'un fil séparé 156 (fig.24).
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Les autres passent librement par le trou 157 dans cette attache les Un dispositif est prévu sur chaque attache pour/fixer aux barres- guides 107 du chariot (fig.24 B, 25). Ce dispositif 158 (fig.24B) à la forme d'un cadre , coulissant dans 159, et muni d'un secteur 160, et retenu par le ressort 161 dans la position de repos.
Une fois la barre 152 actionnée par le piston 139 (fig.33), le dispositif 158 avance de gauche à droite dans la partie B de la figure 24. Un dispositif semblable agit à gauche sur la partie A de la fig.24, sur l'autre barre 107 de la même façon, et serre l'attache contre les deux barres-guides 107 du chariot, dans les deux secteurs 160 au moyen du ressort 161 muni d'une dent.
Quand on fait sortir une attache du magasin, on la fixe aux barres-guides 107 par le secteur 160, et elle reste fixée pendant tout le temps que dure l'écriture de la ligne voulue .
La figure 27 représente, dans sa partie supérieure, le différentiel immobile avec ses dispositifs, la partie inférieure mobile représente le chariot avec les attaches, trois de gauche en marche et trois de droite au repos (en magasin). Si le chariot avançait en ce moment, il emporterait avec lui les trois premières attaches, attachées aux barres-guides 107. Les trois fils fixés à ces trois attaches dans le point 163 avanceraient également et rouleraient sur les poulies 164. Les poulies 164 sont fixées sur la carcasse de la machine et les fils forment un cadre sur ces poulies.
En commençant à écrire on appuie sur la touche 128(fig.33) pour :
1) serrer la bande de papier dans 125 (fig.22, 23, 27, 33) ;
2) déclancher le serrage de l'attache contre les barres- guides 107 (fig.24, 27, 33);
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3) déclancher l'ancré pour avancer le chariot en amenant ainsi le papier propre en face du levier au caractère.
Pour chaque mot à écrire on procède de la même façon.
Quand la ligne est écrite , on détache les attaches du chariot (des barres-guides 107, fig.248, 25, 27) au moyen de la barre 117 (figa.22, 23, 27) et en même temps on les attache par leurs fils 156 au point 165 du différentiel qui se trouve derrière la machine (figs.26, 27)
Le différentiel - -
Le différentiel-est représenté sur les figs. 26, 27, 31, 32 sous forme de roues 166 superposées les unes sur les autres et d'un diamètre d'une différence égale. Chacune de ces roues porte deux fils 167 et 168, enroulés en sens inverse.
A gauche du différentiel 166 se trouve une boîte 172, dans laquelle glissent des barres 169. Chacune de ces barres porte des trous 170, par lesquels passent librement les fils 156, attachés chacun à une autre attache. Les pistons 171, une fois enfoncés dans les barres transversales 169, coincent les fils 156 dans le point 165 contre ces barres 169, et par ce fait, fixent les attaches 103 aux barres 169, chaque attache à une autre barre trans versale 169. Les barres transversales 169 sont attirées de la même façon à gauche par des ressorts (non représentés) comme les barres 55 (fig.16). Les barres transversales 169 sont attachées au différentiel au moyen des fils 168.
A droite du différentiel 166 les fils 167 aboutissent aux barres 173 (fig. 27). Ces barres glissent dans un châssis 174 , (fig.26). Chacune de ces barres 173 possède un trou 175, dans lequel glisse un piston 176 (fig.26)' de la même longueur que la hauteur de la barre. Un piston mobile 177 et six pistons fixes 178 se trouvent, le premier au-dessus, les autres en dessous des pistons 176. En enfonçant le piston 177 de haut en bas., on forme un axe fixe pour la barre 173, l'empêchant de glisser dans le châssis 174.
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Le piston 177 est porté par la barre 179 qui tourne autour du point 180 et, par ce fait, le piston peut passer au-dessus d' une barre 173 à la suivante . Les pistons 176 sont placés dans les barres 173, de telle façon qu'ils forment un arc de cercle, dont le centre se trouve au point 180.
L'axe 181 du différentiel 166 est logé dans un coussinet 182 qui peut glisser le/long de la fente 183.
Le différentiel fonctionne de la manière suivante :
Quand on enfonce le piston 177 dans le trou 175, on fixe par ce fait la barre 173 au châssis 174 (sur le dessin, le piston 177 se trouve au-dessus du troisième trou inférieur). Cette barre 173(troisième d'en bas) reste immobile tandis que les autres peuvent glisser dans le châssis 174. Si on tourne maintenant le levier 184 du différentiel 166, par exemple de droite à gauche, le troisième fil' d'en bas 167 s'enroulera sur l'une des roues superposées du différentiel 166, tandis que l'autre fil 168, enroulé sur la même roue, partant à gauche, se déroulera de la même longueur que l'autre fil 167 s'enroule.
Par ce fait, le bout du fil 168 (troisième d'en bas) attaché aux barres transversales 169 demeurera immobile et seul, l'axe 181 du différentiel 166 glissera de gauche à droite. Cette opération créera pour les organes, barre 173 et barre transversale 169 (troisièmes d'en bas) ,un point mort. Toutes les autres barres 173 et 169 se déplaceront; celles qui dépendent des roues superposées d'un diamètre supérieur à celle qui fait le point mort, se déplaceront dans un sen, celles d'un diamètre inférieur, dans l'autre sens. Il en résulte que le point mort (interchangeable) sera toujours le point de départ dans les deux sens pour les mouvements des autres barres (169, 173), créant des mouvements positifs et négatifs.
Seuls, les fils 156 des attaches 103, qui se déplacent avec le chariot, sont fixés aux barres 169, au moyen des pistons 171.
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Un pont 185, couvrent Drmanvn Re +n+e'4. - -- -
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férentiel, depuis la botte des barres transversales, à gauche, jusqu'au delà du châssis 174, à droite du différentiel, peut se déplacer au-dessus de tout l'appareil différentiel. Pendant l'é- criture , le pont 185 avance de droite à gauche , actionné par l'axe 133 (fig.33), à l'intervention d'une roue dentée 186 et d' une crémaillère 187 (fig.33, 27 et 26).
Son pas d'avancement est égal à la distance qui sépare deux barres transversales 169 suc- cessives, de telle façon que chaque pas couvre une barre 169 de plus, par conséquent, autant de fois qu'on a abaissé la touche 128 (fig.33) (autant de mots écrits et autant d'attaches 103 lan- cées), autant de pistons 171 sont couverts par le pont 185, le- quel est ainsi prêt à les enfoncer et à fixer les fils 156 aux barres 169. A droite, dans le pont, se trouve une fente 188(fig.2' qui dirige , par le bout recourbé de la barre 179, le piston 177 au-dessus du trou 175, lequel correspond aux pistons 171 couverts par le pont à gauche du différentiel.
Au-dessus du pont 185 se trouvent deux petits ponts, l'un 189, qui glisse au-dessus du piston 177, l'autre 190, au-dessus de la boite 172, et qui peuven' être abaissés quand on tourne la barre 191 munie des excentriques 192.
Après avoir écrit la ligne (par exemple sur le dessin,trois mots - trois attaches - bandes), on tourne la manivelle 193(fig.2 qui entraine les barres 194 et 117; cette dernière libère les at- taches du chariot, tandis que la manivelle 193, par la barre 195 et et la barre 191;abaisse le pont mobile 190, enfonçant les pistons 171, met les fils 156 en dépendance du différentiel.
En même temps le pont mobile 189 enfonce le piston 177 dans un trou 175 correspondant à la barre 169. Le fer à cheval 118, attaché à la barre 194 et 117 est mis en position pour permettre l'extension de la première attache 103.
La disposition pour le point mort est réalisée .
Le dessin représente la situation au moment où 1'on va créer
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des espaces égaux entre les trois mots écrits sur trois bandes .
On fait jouer le différentiel de gauche à droite , la troisième roue superposée 166 déterminera le point mort, la barre transver- sale 169, attachée.par le fil 168 à cette roue, restera immobile et, par conséquent, l'attache 103, attachée par le fil 156 à cette barre, restera immobile. Cette barre correspond au dernier mot écrit . Les mots précédents correspondant aux barres 169 sont dépendants des diamètres supérieurs et avanceront avec une.vitesse
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supérieure et proportionnelle , sur le chariot, de droite à gauet sur . che,/les barres 169, de gauche a droite. Comme les fils des attaches restant dans le magasin, passent librement par les barres que 169, celles-ci bien/déplacées par le différentiel aHONtaoat: n'en- traînent pas les attaches du magasin, elles fonctionnent à vide.
Au lieu de porter deux fils 167 et 168, enroulés en sens inverse , le différentiel peut porter seulement un seul fil 168, mais alors les barres 173, avec le châssis 174, doivent être fixées sur les fils 168 entre le différentiel et la boîte 172,pour faire ici le point mort interchangeable. En ce cas l'axe 181 du différentiel est tiré par un ressort, dans un sens et le fil
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168 dans le sens inverse. Le levier 18, calé comme indiqué sur la fig.l6, tient le différentiel fixé. en position de départ.
Même le pont 185, portant sur son extrémité gauche un dispositif pour immobiliser la dernière barre transversale 169 qu'il couvre , peut faire office du châssis 174 et barres 173, et créer dans ce point, un point de départ dans les deux sens pour les mouvements des autres b arr es .
Après avoir photographié la ligne, on ramène le différentiel à son point de départ, on fait remonter les ponts mobiles, et somme les attaches sont déjà libérées d'avance des barres-guides 107, en retirant le chariot de gauche à droite, le fer à cheval 118 pousse les attaches 103 dans le magasin.
Toutes les manipulations concernant la préparation et la
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mise au point des différents dispositifs, sont issues de la touche 128, fig.33. Tous les mouvements exécutoires, comme 1) libération des attaches 103 des barres-guides 107; 2) abaissement des ponts, 3) libération du fer à cheval et 4) le jeu différentiel, sont obtenus par la manoeuvre du levier du différentiel.
REVENDICATIONS.¯¯¯
1. Perfectionnements aux machines à écrire, caractérisés par le fait que , dans le but de séparer les lettres d'un même mot de quantités égales , de même que les mots d'une même ligne, le chariot de la machine est déplacé de quantités variables établies au prorata de la largeur des lettres, celles-ci étant groupées conventionnellement ou non, dans le premier cas les lettres étant soumises à un rapport mathématique entre elles et classées d'après leur largeur et correspondant à un déplacement du chariot respectivement de une , deux, trois, quatre ou cinq. unités par exemple .