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Invvntenn:"X401phe-Viaton Kroll.
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Procédé d'agglomération de masses nétaiiifbnes 1 l'état grena par frittage on par fusion complète* .>,
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L'agglomération de masses grenues ou poussiéreuses contenant des composés de métaux lourds,tels que le f8 ,le Ipanganosatle
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cuivre,le zinc etc.se fait aujourd'hui exclusivement de-deux manières différentes(si on fait abstraction des procédés bases
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sur la formation préalable de briquettee)I)Par le traitement au four rotatif qui réalise l'agglutinage en boules par suite dû roulement et du culbutage continuel des masses ramol11es:
2) ap le procédé de scorification avec l'aide 46 cendrées de coke dans
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de petits convertisseurs ou sur des grilles formant une chaire
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sans finth la manière de la formation de mâchefers sur les gril-
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les mécaniques de foyers de chaudières.
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Une troisième manière se trouve en stade de développement,bie. qu'elle tût privée de succès jusqu'à présent,ile traitement des poussières de mines suspendues dans un oo8oantJgazw1xé .
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Ce fut probablement le four de J.Soott(U.SP.e6S 658)qui realtsa l'exéoutioa la plus remarquable de ce principe.Ce m$tullgrgiste, faisait--ruisseler la poussière de gueulard finement distribuée j par le haut d'un four vertical élevégl travers une colânne dé "" gaz billant descendant également vers le bas et émanant de très nombreux brûleurs gaz distribués sur plusieurs étages et Ui-1 gés tous vers le contre de la circonférence du f6ur(directi<m centi-1pècle)çe four ne fut pas longtemps en ntgeév3dmteri .es
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quantités de poussières emportées avec les gas d'évacuation étaient trop grandes et il est aussi à présumer que l'aggloméra-
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tion des mines fines an moment ou elles atteignaient le sol devait être fort irr6guliére,
xtxe et leur point de r-ansilisseu ment était partiellement atteint et dépassé. Les différentes classes de trains variant en épaisseur emploient en effet un temps de chute différent et en outre se chargent différemment de chaleur.Il tant ajouter,que les grains de mine s'amoncellent
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légèrement et sans force vive sur le soigne pouvant guère s'ag - Clutiner entre éum.Ceest évidemment pour cela que Soott lntrodit- oit comme fermeture di tour vers le bas,les cylindres compresseurs bien connus,qui devaient aider à rapprocher entre elles et coller ensemble les particules.
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Vers la même 6poque.bienque pour un but tout autre,la technique vit apparaître une nouvelle espèce de four,dans lequel la mine fine subit un traitement,qui répond plus partieuliérement à sa nature mobile:les Cas de chauffage étaient amenés à former un tourbillon avec les particules de mines suspendues dans leur mi lieu,par suite duquel ces dernières étaient retenues par des for ces centrifuges dans le laboratoire du four,tandisque les fumées d'évaouation s'éohappaeint par une ouverture oentrale.Ce fut pro-
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bablexent l'inventeur Suédois de Laval(le constructeur bien connu de la première turbine 1 vapeur)qui décrivit le premier cette façon d'opérer(Brevet allemand 192 888 de 1904)
.Avec lui et après lui de nombreux techniciens ont suivi le même chemin,et ont com mis également 1terreur de réserver ce four à cyclone,comme on peul
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le nommer,pour la seule réalisation de réactions chimiques quellu conques,comme par ex: pour la réduction d'oxydes de fer en fer métallique,l'oxydation de matières telles que les composés de
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soufre,la calcination de pyrites et de calcaires et la fabrioa- tion des ciments artificiels etc. Une telle spécialisation à des réactions chimiques était pourtant d'autant moins justifiée,que ces dernières sont liées selon la loi bien connue de toutes les
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réactions ohimiquesdoi de l'action des masses de Guld.erc-Yaa8.) à une fonction qui dépend en premier lieu du temps de réaction.
D'autres fours,comme par ex.le four vertical ou haut-fourneau ou bien le tour rotatif à travail très lent, tiennent largement com
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te du facteur temps pour les réactions a accomplir dans les maas-
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ses constituant leur charge.Par contre le traitement chimique d des particules de mines solides en suspension dans un tourbillon de gas est forcément lié à des limites de secondes ou de parce. les de secondes.
Une réduction donnant un métal vierge ne peut se faire que d'une façon fort insuffisante,même l'oxydation des sui fures est imparfaite,les ciments n'bnt pas le temps de se former convenablement par la synthèse chimique du calcaire et de 1'ar gile sous l'action du feu.Le traitement au four à cyclone est comparable à une explosion,qui accompagne seulement les réactions fortement exethermiques,thaisque la réduction et la calcination des minerais sont phénomènes fortement endothermiques, dnc lents à s'accomplir, Ceci explique pourquoi les tours 1 cyclone n'ont em aucun succès jusqu'à ce jour.Seul le traitement de désulfuration réaction chimique exotehrmique,
est réalisable à un degré suffi= sant pour les besoins industriels,.
En quittant par contre le terrain des réactions chimiques pour envisager le phénomène physique qu'est l'agglutination des parti- cules de mines pour former des agglomérés plus gros,le four à cyclone se trouve particulièrement approprié à donner des résuo ats complets.Ce qui pour les réactions chimiques était un défaut la rapidité d'opération n'attendant pas l'évolution des réactions devient ici une qualité:la mine pouvant par ex.être agglomérée sans être fortement réduite ou silioatée,de sorte qu'elle reste plus réductible au four-.mais en tout cas la grande rapidité du traitement augmente la qualité des proudits, vque la violence du cyclone les agglutine davantage..
Les particules de poussières ont la qualité bien connue de sucer la chaleur ambiante d'une façon ultrarapide(o'est pourquoi on f fait par ex. usage de poussières de pierre moulue ou d'argile séché,finement broyé,pour éteindre les flammes dans les coups d de grisou)et sont aptes 1 s'agglutiner par contacte physique, sous une certaine pression,des qu'elles ont atteint leur point de ramollissement par la chaleur.sans attendre l'évolution de quelques réactions chimiques dans leur jntérieru, En un mot 1'agglu tination est possible sous forme d'explosion,
comme en effet par- fois les explisins sont accompagnées de fussions ou de ramo
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lisse.enta des matières touchées par elles.
Le résultat technique remarquable de l'agglomération dans un four à cyclonea été réalisé pour la preniè re fois par le pré dé qui fait l'objet de la présente demande de brevet,il a conduit à une solution particulièrement intéressante du difficile preble ne de l'agglomération et même de la fusion complète des poussi à res de mines oxydées ou oxydiques,tandisque tous les devancier*, qui ont essayé l'usage du tour à cyclone,en y recherchant seule ment et uniquement l'accomplissement de réactions chimiques avec des coprs solides pulvéruelrts, n'ent abouti qu'à des résultats nuls ou médiocres.Ils n'ent pas obtenu du métal suffisamment ré- duit,mais la désulfuration semble avoir donné satisfaction dans certains cas spéciaux,
Elle peut du reste précéder dans le présent nouveau procédé l'agglomération ou la fusion complète des minerais devenus oxydiques grâce à elle,si le cas se présente de cette façon particulière.
Il s'agit donc dans'le nouveau procédé en général d'un dévelop pement du système d'agglomération d'après Sectt pour des parti ouïes de mines suspendues dans un courant gazeux,en faisant us- age pour cette fin,des tours à cyclone introduits par de Laval pour le traitement chimique des mines fines et on n'utilise pas seulement l'avantage de la rétention par la force cetrifuge des particules solides en suspension,mais aussi,comme il sera démontré par la suite,on récolte par l'utilisation du four à cyclone des avantages particuliers pour le cas ou on veut ohte nir simplement l'agglomération des mines fines ou même leur fu sion complète suas réaction chimique altérant complètement leur nature de minerais.
Il faut relever ici,que le nouveau procédé agit d'autant mieux que la marche du four est plus accélérée et que les Cas fourbi 1 lonnent plus vite avec les poussières,cela pour la raison suiv vantes D'abord les forces centrifuges qui retiennenet les pous nitres dans le four croissent avec le carré de. la vitesse de mouvement et en raison inverse du diamètre circulaire du tourbil len dans le four,
de sorte que Inefficacité est d'autant plus gr
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grande que le four est plus petit et que la marche est plus accélérée.Cela singificeprodutin extrême sur l'espace le plus restreint et cela n'est possible que pour autant qu'on ne demande aucun changement important au point de vue chimique des produits l'agglomération étant par sa nature simplement un changement in physique de la cohésion entre les particules,tandisque la réduc tien a pour but et se termine par la séparation aussi complète que possible du métal de ses combinaisons chinqies et de son mélange avec la sceriee, phénomèmes qui demandent passablement d de temps pour s'acceplir et ne se comportent pas avec une action trop accélérée.
En second lieu l'opération accélérée est d'une importance essentiellement favorable pour les produits mêmes du procédé, donc pour les agglomérés,qui doivent présenter des qualités sp- ciales pour leur traitement chimique ultérieur par réduction au tour ou au haut fourneau.Relevons d'abord que le cyclone n'a p pas été proposé à ce jour pour l'agglomération des masses fin mais on a essayé soit simplement la désulfuration sans aggluti ner,soit la réduction complète,immédiate,des métaux,avec fusien intégrale accompagnée de séparation aussi parfaite que possible du métal et de la scorie,
ce qui était le but déclaré pour 1'ex ploi du four à cyclone*
Mais il se trouve que précisément pour 1'agglomération 1'emplei du tour à cyclone est particulièrement favorable,vu que l'effet centrifuge des partioules ramollies,lancées les une contre les autres et ensemble contre les parois du four,provoque un aggluti nage plus parfait,la force vive étant équivalante avec la pres- sien dont l'effet coagulant est bien connu.Les produits formés de particules collées ensemble sous pression ent une structure plus résistante et favorable pour le traitement ultérieur* Cela.
rappelle les précédés qui poursuivent une augmentation extrême de la résistance des particules soudées ensemble.comme par ex, la fabrication de pièces spéciales en ciment coulé,notamment le béton centrifuge employé pour les mats électriques.Plus on aeoé lers ici aussi la vitesse centrifuge de rotation,plus on aumgen te la résistance de l'objet produit,ce qui est du reste le but
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du procédé.
.La production d'agglomérés par effet centrifuge des mines fines ramollies par la épieu dans un tourbillon gazeux,est donc une nouvelle méthode bien caractérisée,de préparation des minerais pour leur consommation ultérieure au haut fourneau dans lequel ils sont soumis à la réduction chimique,sous le poids d'une charge énorme,ou bien pour leur traitement spécial dans n'emporte quel autre four métallurgique.Contrairement aux scories entièrement fondues,ces produits peuvent rester des agglomérés poreux,
si on le désire pour la bonne marche du foure neau
Le fait même d'atteindre la tempéarature de ramollissement des mines fines qui sont suspendues dans un tourbillon gazuex, n'est pas équivalant avec leur agglomération en masses cohérentes d'une résistence suffisante, bienque certains fours d'aggloméra tion réalisent en même temps les deux effets.Ainsi le four rote tif donne par la chute violente et continuelle des masses panel lies et par leur roulement le long des parois du tour,des agglo mères résistants,de même que la neige ramollie,qui roule en bas d'une pente,forme d'elle même des boules et(mène des avalanches.
Peur obtenir des agglomérés résistants il faut une certaine pression ou une action de force vive, sans quoi il se forme simplement des projections ou des revêtements fribales, spngiuex ou éoumeux.le long des parois. ou reste il est possible de raffermir après leur dépôt ces produits insuffisants.Déjà l'action rasante d'un outils qui eux levé le revêtement à l'état pâteux hors du four,peut produire en même temps une certain pétrissage de la masse et un rappre chement de ses particules,qui augmente sa ténéeité.Mais comme le nouveau procédé dispose du moyen des forces centrifuges des masses en suspension,qui facilitent 1'aggluitnga,le meilleur effet est celui obtenu dans un four,
où les particules ont une telle force vive qu'elles forment un véritable anneau centrifuge le long des parois du four,tandisque le milieu est occupé par des gaz presque pure,dépourvus de poussières,et qui sortent par une ouverture centrale,pendant que les particules des mines ramollies s'attachent aux parois,qu'elles heurtent vie
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lèvent en y restant adhérées, jusqu'à ce que l'instrument de nettoyage xes atteigne et les laboure encore en les enlevant.
Si la sole du four est suffisamment inclinée et présente une sortie,ou bien si le tour est entièrement ouvert par le bas,les
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nasses ) l'état dtagglutination peuvent elles-mêmes tomber en dehors,ou bien être éloignées par des moyens manuels ou auto* matiques,mais on peut ansiis les faire sortir à létat liquide
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en augmentant la chaleur.Dans ce cas elles sefftdrent complt tement par fusion et coulent ou bien gouttent hors du four et il est en principe sans importance si cette opération est faite d'un façon oonstatnte ou intermittente,ou si oniemploie simple ment comme moyen extréme et passager en cas de nécessité.
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be nouveau procédé est d?411iurs également sous ce rapport essentiellement différent des anciennes méthodes de traitement chimique des mines fines au four 1 cyclone,car il se borne à
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liquéfier par fustion les masses ninéraies,0àl lieu d'en réduire en même temps les métaux par traitement chimique accompagné de fusion,avec séparation du métal de la scorie, à l'état liquide.
En réalité il existe de très nombreux procédés qui permettent de réduire et de séparer les métaux des minerais par fusion tan disque les procédés qui permettent de fondre simplement et conti nuellement les minerais,sans les traiter par réduction sont pour
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ainsi dire encore inconnus à ce jour.C'est pourtant précisément ce que le nouveau procédé permet d'atteindre avec des mines fines même oxydiqueo,dlune façon tout à fait remarquable surtout par sa continuité.
Il suffit pour prouver que leagelutinage des mines fines nom réduites,suspendues dans un courant gazeux à température fort élevée,n'est pas un résultat spontané et naturel,de citer l'ex
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enple du chauffage des chaudières au charbon pulvérîsé.Bienque ce dernier contienne env. 10 % de oendrosjet que les 90 % de combustible restants,permettraient d'atteindre presque toujours le point de fusion ou de ramollissement des aendres minérales (puisque les grilles des chaudières ordinaires présentent pres-
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que toujours de grandes quantités de cendres soorit1ées),la
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formation de scories ou de dépôts cohérents n'est qu'une appari tien absolument secondaire dans les foyers ! charbon pulvérisé,
même quand on emploie des brûleurs à flamme turbulentes et de l'air chauffé d'avance.La presque totalité des cendres se dépe se comme sable fin dans les chambres de récupération,ou bien est entraînée avec les cas perdus dans l'air ambiant,ou grand détriment du voisinage de ces installations. En réalité l'ag- glutinge des particules ramollies exige une concentration assez élevée de leur dispersion dans le courant gazeux,sans tenir compte d'autres facteurs déjà énoncés,parmi lesquels il suffit de relever la rapidité de l'opération,qui permet de concentrer la chaleur sur un très petit espace.
L'application du nouveau précédé ne peut être expliquée qu'avec l'aide d'un dessin,bienque celuici ne signifie autrechose qu'un exemple d'une des nombreuses manières selon lesquelles on peut réaliser la nouvelle méthode de traitement,de sorte que le des- sin dans son ensemble comme dans ses détails ne signifie donc aucune restriction de la portée du procédé.
Ceci dit,dans le dessin en annexe -a- représente uhe chambre de forme annullaire, qui s'élargit vers l'intérieur sous forme d'un espace coniqe-b,qui est relié par ex. par sa partie cen trale supérieure,! l'aide d'une ouverture -c-,avec un échangeur de chaleur d,de forme simple,dans lequel l'air pour la combustien est préchauffé par les flammes perdues,et par la partie centrale inférieure,présente une ouverture -e-,servant d'issue pour la m nasse traitée.
Toute cette chambre est garnie d'un revêtement réfractaire-b, (±)protégé éentuellement à l'extérieur,au demmus du manteau en métal,par un ruissellement d'eau,ou bien il peut y avaoire à la place une paroi en métal double,formant un véritable water-acket g,qui entoure toute la chambre du four pourvue de revêtement ré fractaire et fait ainsi office d'une double protection,
Si le revêtement intérieur est composé de masse hautement ré fractaire et de nature chimiquement neutre,comme on peut en dis poser de nos jours(par ex,;
des cabrues de siliciummdu minerai de chrome et de fer, des nitrures et oxydes d'aluminiumm, des
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masses oirkoniques eto) le mateau d'eau extérieur peut devenir superflu,ou mieux être utilisé comme chambre à circulation d'air, ce qui permet une certaine récupération de la chaleur.
Mais on peut aussi inversement abolir le revêtement intérieur en masse réfractaire,on le faire de faible épaisseur ou de
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masse de moindre qualité.pourvuqoe le refroidissement extérieur soit activé. Du reste il dépend entiérement de la marche qu'on donne au tour si les parties de mettent 1 diminuer d'épaisseur par érosion,ou si au contarire elles croissent par la formation
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de dépôts ou de croûtes,de sorte que la question du refroidissr sement extérieur,autant que celle du revêtement intérieur, doivent être étudiées dans chaque cas particulier de façon a
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correspondre à la nature du procédé et avec le maintien de la marche du four.
Dans ce but j'ai indiqué deux brûleurs -k-,dont le membre n'a
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pas d'importance.Par ces brûleurs on introduit tancent1elleamt dans la chambre circulaire du four,par ex. de l'air préchauffé et en même temps du combustible.Comme garantie d'ignition rapi de du mélange qui se forme,il peut être recommandable de prévoi dans le comprs même du brûleur une petite chambre -v- faisant office d'allumeur étant revêtue également de masse réfractaire.
Selon la manière d'opérer choisie pour chaque cas spécial,le brûleur peut prendre un aspect fort différent*Il se peut même
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qu'on ait intéré% à employer le brûleur uniquement comme allu- nenn,et 1 introduire par une autre ouverture,la matière *ozbus tible de n'emporte qu'elle natureldalldetliquide en aseusede préférence ensemble avec la masse 4 tralter4Cèrtes il est même possible d'introduire cette masse d'ne façon semblable par le brûleUr-X- lui -même.Mais il et plus reoommandable pour cette fin de faire usage d'une tuyère ou d'ouvertures séparées,comme
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le plan en représente deux,& titre d'exemple.-i.
Ici aussi l'admission se fait de préférence tangent1elleXent5 de telle façon que l'air comprimé soit admis par le suzan--, et enlevé par dispersion la masse fine ou si-ebueeoo]Rtenue dens un réservoir -w-et débitée automatiquement par un dispositif quelconque+par ex. dans le genre de celui désigné par la lettre
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-a- au plan et constitué par un transporteur en spirale,a rata tien régiable,-q-,qui alimente la masse gerbug dans le courant d'air,qui lentraine grande vitesse à travares la tuyère tangentielle -1-a,dans l'espaoe circulaire du four.
Il se forme ainsi un tourbillon de ses et de poussières cir- culant autour de l'espace annullaire entier,en commençant par
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la partie des parois formant le plus grand périmetra(et avançant en spirale vers le milieu pour gagner l'issue dans la partie centrale.ou les cas s'échappent lentement,après avoir auparavant
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abandonné une partie de leur charge de poussiéres,rotenues dans le four par la force eobtrifuge et se concentrant d'avantage le long des parois du toura à l'endroit de sa plus grande cireenfé rence.
Du reste la partie de la poussière qui est entraînée nuisible ment par les fumées,peut,si on le désire,être récupérée sans grande difficulté,par les dispositifs bien connus,simplifiés selon la moindre valeur de la matière,par ex; par des tuyauteras
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en zig-zag,des nettoyeurs centrifuges secs ou humides,des filtrer sacs ou des électroflltres,cyclones, épuratteurs etc.
Il n'y a pas nécessité absolue d'entraîner la masse des grains fins par un courant d'air ou de gaz dans la chambre du tour,vu qu'on peut la laisser écouler lentement par le seul effet de la gravité,dans l'intérieur du four,ou elle est alors saisie par tourbillon des gaz et accélérée dans la direction de mouvement de ceux-ai.
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Quant à la nature du combustible employé pour le nouveau preo6 dé,toute espèce peut couvenir,1 commence r par les Cas combuse tibles,sans oublier les liquides combustibles,qui se gazéifient rapidement dans la chambre du four,ou qu'on peut aussi ntro- duire à 1'état de fine dispersion,ce qui permet d'obtenir des températures très élevées.Des huiles et goudrons avec une forte teneur en soufre et par cela de valeur moindre pour l'industrie,
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sont ici d'un bon usagelvuqle le soufre est combustible lui air ..,et peut remplacer le combustible akarbon,si l'on fait usage de mimes pyriteuses o*utres assez riches en sulfures métallisé On peut obtenir sensiblement le même effet que celui des
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huiles lourdes,
avec du charbon pulvérisé imencté par des brûleurs spéciaux de façon bien connue.Même il est possible d'employer du coke finement pulvérisé,surtout si le four dispose d'une chambre d'ignition préalable et si on emploie lair préchauffé pour 1'in- jection.Il est pourtant préférable de mélanger au coke une cer- taine quantité de charbon gras ou bitumineux, riche en matières ; volatiles et finement pulvérisé,ou même d'ntroduire certaines quantités de gas combustibles avec le coke fin.
Même un combus- tible solide présentant un grain trop volumineux pour sa dispep sien peut être parfaitement compatible avec la nature du nouveau procédémvuque les parties non brûlées de ce combustible sont re tenues par les forces centrifuges dans la chambre du four et y trouvent le temps nécessaire à leur combustion complète
Il reste encore à mentionner la particularité suivante:Faisant usage de n'importe quelle espèce de combustible,la combustion peut être déjà partiellement ou même entièrement achevée avant son entrée dans la chambre du four,de sorte que ce sont alors 1 les fumées chaudes qui se chargent du transport de la chaleur à l'intérieur du four.
Au lieu d'introduire la matière combustible par des tuyères spéciales,séparément de la masse fine à traiter,allés peuvent aussi entrer ensemble dans le four. Ainsi par ex;la masse peut être insufflée par un gaz combustible ou détonnant ou bien un mélange de la masse avec du combustiblepulvérisé peut être formé d'avance et injecté dans la chambre du four par un courant d 'air ou bien un tel mélange peut se faire seulement à l'intérieur du dispositif d'injection,ou même en derniere instance à l'intérieur du four.
Il arrive souvent'que le mélange de la masse avec le combustible existe déjà d'avance de part la nature:ainsi par ex.les mines p pyriteuses peuvent se passer d'ajoutés de matières charbonneuses, en outre il y a les poussières de gas des haut fourneaux qui or dinairement entraînent de très considérables quantités de fin- coke*Dans de pareils cas, il peut suffire de chauffer artificiel lement préalablement le four et d'amorcer le procédé,On terne
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le brûleur et se contente d'insuffler l'air et la mime fine ou la poussière qui contiennent le combustible nécessaire pour la continuité de l'opération.
Il vaut pourtant mieux entretenir continuellement de faibles brûleurs faisant fonction d'allumeur et produisant une certaine quantité de chaleur,en outre de ce qu'ils augmentent la vitesse du tourbillon gazeux.
Du reste le mélange avec des matieres combustibles solides peut aussi présenter de 1'intérêt pour l'obtention simultanée d'autres effets que les influences caloriques mentionnées. On peut aussi faire usage d'un excès d'air ou de gaz combustible dans le milieu gazeux employé pour ce procédé. Il peut en résul ter par ex. des effets d'oxydation ou de réduction sur les mas ses fines,en même temps que s'accomplit le but principal& l'agglomération,sans toutefois qu'il puisse se séparer de la charge des quantités fort considérables de métal et de scorie, ce qui sortirait évidemment du cadre de 1'agglomératon pour devenir un traitement métallurgique pur et simple,d'ailleurs Irréalisable dans un four cyclone.
Nous avons représenté au plan 4 ouvertures iatériels-1 prenant une direction tangentielle,par lesquelles l'intérieur du four peut être examiné,en même temps quelles présentent une opprtunité pour enlever ou mettre en mouvement les dépote ou croû tes formés sur les parois intérieures.Il est évident que cela peut se faire manuellement par ringardage ou autema tiquement par des dispositifs spéciaux.
En outre,pour le rôle d'enlèvement des agglomérés adhérents aux parois,ou arrêtés sur la sole du four,le lan représente un dispositif mécanique-t-,mis en rotation pamoteur au moyen d'un arbre spécial vertical passant par l'ouverture centrale de la sole,ou par le haut. Afin d'éviter une rapide destruction de ce engin, le grattoir proprement est est fait de préférence en talc acier chrême-nickel et peut aussi être muni d'un refroisissenen intérieur à l'eau,ce qui empêche les produits de coller à 1'ou til.
Il va de soi que l'angle d'inclinaison de la sole du four est d'imprttance considérialbepur l'enlèvement des masses solides
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ou liquidés ou simplement ramollies,et cela est plus vrai encore si l'opération est effectuée sans emploi d'un grattoir. Cela signifie que 1a présence de ce dernier est souvent superflu,mais en général elle est utile et dans de très nombreux cas absolument indispensable.
Pour le nouveau procédé il est fort utile de régaler par reçu pération ou par régénération autant que possible de la chaleur enlevée par les fumées ou par la masse agglomérée.Cela peut se faire en chauffant avec elle. soit le milieu gazeux utilisé dans le procéderait la masse fine à traiter, ou bien tous les deux ingrédients du procédé.
Les dispositifs qui peuvent donner ce résultat ont suffisamment été décrits dans de nombreux procédés métallurgiques de toute s sente@et au plan j'ai pu me borner d'indique shématiquement un simple appareil de chauffage de l'air par les fumées,construit partiellement en amtières réfractaires et en acier résistant aux températures élevées, -d
Là où l'économie de combustible disparait devant la simplicité de 1'appareillage, il peut y avoir chauffage spécial de 1'air ou de la masse par combustibles frais,par ex. a l'aide de Cowpers ou de simples échangeurs de chaleur.
Le préchauffage de la masse a agglomérer tout aussi se faire fort simplement par l'usage d'un four cylindrique ou conique, d'assez grande hauteur au lieu du four annullaire décrit,dont l'espace intérieur a.b,étail aplati.La masse fine est alors in traduite dans l'intérieur du four à sa partie supérieure,non loin de l'orifice de sortie des fumées refroidies,placé de lapé= férence au centre.Elle ne peut guerre s'échapper en quantités trop grandes,étant retenue par les forces centrifuges tangentiel les,qu'on a soin dengendrer d'une façon quelconque, fut ce même mécaniquement par des espèces d'hélices ou d'ailes de ventila- tours,actionnés dans les parties du four ou une température mode rée prédomine,
ou plus simplement par insufflage tangentiel dans la partie supérieure du four,de la masse & traiter,dont le meu- vement giratoire s'ajoute éventuellement 1 celui des gas chauds
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insufflés, à tangentiellemetn dans la partie basse du four.
Ce mouvement des cas chauffés peut du reste suffire à lui mené pour retenir les poussières dans le four.
Un exemple des plus simple va monter la'marche du procédé à l'aide de 1'appareil décrit.:
Avant de commencer l'opération,la chambre du four a,b, est chauffée a peu pré s à blanc,par ex.en soufflant du Sali combus tible et de l'air à travers les tuyères -k-.
Comme masse fine 9 agglomérer nous choisirons par ex. la poussière de gaz des haut fourneaux de la métallurgie du fer en supposant qu'elle confiant en elle même une quantité suffisante de matie re comubstible p pour faire le procédé,Cette poussière est engamaisnée dans le silo -w-.Ouvrons maintenant la vanne d'admission de l'air -0- et faisons tourner la spirale m,à une certaine vitesse de rotation réglable.La poussière sera alimentée lentement et continuelle- ment dans le four,par l'intermédiaire des tuyères -k-.
En même temps l'air chaud est introduit par les tuyères -k-.(L'arrivée de gaz au brûleur ne fonctionne pas), be nettoyeur -t-, est mis en mouvement giratoire lent et de préférence continue,évacuant ainsi les agglomérés sous forme de glèbes, desque la poussière est portée à son point de ramollissement sous l'influneoe de la chaleur produite par la combustion des matières combustibles qu'elle contient,tandisque les forces centrifuges engendrées par le tourbillon,créé par l'introduction tangentielle des ingédient dans l'espace annullaire du four,retiennent la poussière dans les limites restreintes du laboratoire du four et aident le phénomène de l'agglutinage des masses fines à mieux s'accomplir,
surtout si elles sont langées avec véhémence contre les parois.
Dans ce même exemple,il peut y avoir un chargement rapide du four au lieu d'un chargement lent et continu.On insuffle alors en une fois une quantité considérable de poussière de gaz,pour interrompre après l'alimentation. Cependant l'air est admis sans discontinuer par les tuyères -k-produsant un tourbillon avec la charge de poussière le long des parois extrêmes limitant la chambre du four,et produisant la combustion graduelle des matie res combustibles contenues dans la poussière.L'agglomération
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se trouve ainsi réalisée par la chaleur dégagée,tandisque le net teyeur -t- travaille par intermitence ou de façon continue- Durant la période de chargement du four,la principale arrivée d'air peut du reste être également(être)
fermée.
Si la masse à traiter n'a pas assez ou pas du tout d'élements combustibles,le procédé peut encore s'accomplir d'une manière semblable: du gaz combustible est introduit en proportion cove nable avec le courant d'air principal,par l'intermédiaire des tuyères k,pour accomplit l'opération de chauffage de de l'agglo- méation
R E V E N D C A T I O N S 1) L'application du procédé connu pour la réalisation de réactions chimiques et caractérisé par la conduite tangentielle des parti ouïes métallifè res suspendues dans un milieu gazeux,dans un four de préférence circulaire,pour l'agglomération de masses en grain menu,contenant des oxydes de métaux lourds,tels que mine fine ou poussières de gaz etc de fer,amgnnèse, cuive, znc,
ctc par frit- tage.
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Invvntenn: "X401phe-Viaton Kroll.
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Process of agglomeration of net masses 1 the granulated state by sintering or by complete melting *.>,
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Agglomeration of coarse or dusty masses containing heavy metal compounds, such as f8, Ipanganosatle
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copper, zinc etc. is produced today exclusively in two different ways (if we ignore the basic processes
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on the prior formation of briquette) I) By the treatment in a rotary kiln which achieves the agglutination in balls as a result of rolling and continual tumbling of the softened masses:
2) after the slagging process with the help of 46 ash coke in
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small converters or on grids forming a pulpit
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endlessly the way of forming bottom ash on the grill
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the mechanics of boiler hearths.
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A third way is found in the developmental stage, bie. that it had been deprived of success until now, the treatment of mine dust suspended in an oo8oantJgazw1xé.
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It was probably the furnace of J. Soott (U.SP.e6S 658) which carried out the most remarkable exeoutioa of this principle. This m $ tullgrgiste, made - trickle dust of throat finely distributed by the top of a vertical furnace elevated through a column of billowing gas also descending downwards and emanating from a large number of gas burners distributed over several stages and Ui-1 all facing the circumference of the burner (directi <m centi-1pècle) This oven was not long in ntgeév3dmteri .es
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the quantities of dust carried away with the exhaust gases were too large and it is also to be assumed that the agglomeration
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The operation of fine mines at the time they reached the ground must be very irregular,
xtxe and their point of recovery was partially reached and exceeded. The different classes of trains varying in thickness in fact employ a different fall time and moreover have a different heat load. It should be added that the grains of mine accumulate
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lightly and without force on the healer being able to hardly ag - Clutiner between éum. This is obviously why Soott introduced as a closing di turn downwards, the well-known compressor cylinders, which were to help to bring them closer together and to stick together the particles.
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Around the same time, although for a very different purpose, the technique saw the appearance of a new species of furnace, in which the fine lead undergoes a treatment, which responds more particularly to its mobile nature: the heating cases were led to form a vortex. with the particles of mines suspended in their midst, as a result of which the latter were retained by centrifugal forces in the laboratory of the furnace, while the evaouation fumes escaped through a central opening.
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bablexent the Swedish inventor of Laval (the well-known manufacturer of the first 1-steam turbine) who first described this way of operating (German patent 192 888 of 1904)
With him and after him, many technicians have followed the same path, and have also made the mistake of reserving this cyclone furnace, as we can
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name it, for the sole performance of chemical reactions which are not known, such as for example: for the reduction of iron oxides to metallic iron, the oxidation of materials such as compounds of
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sulfur, the calcination of pyrites and limestones and the manufacture of artificial cements, etc. However, such a specialization in chemical reactions was all the less justified, since the latter are linked according to the law well known to all
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ohimic reactions of the action of the masses of Guld.erc-Yaa8.) to a function which depends in the first place on the reaction time.
Other furnaces, such as the vertical furnace or blast furnace or the very slow working rotary lathe, have a large capacity.
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of the time factor for the reactions to be accomplished in the maas-
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its constituting their charge. On the other hand, the chemical treatment of solid mine particles in suspension in a gas vortex is necessarily linked to limits of seconds or because. seconds.
A reduction giving a virgin metal can only be done in a very insufficient way, even the oxidation of the sulphides is imperfect, the cements do not have time to form properly by the chemical synthesis of limestone and 1 '. clay under the action of fire.Treatment in a cyclone furnace is comparable to an explosion, which accompanies only strongly exothermic reactions, thais the reduction and calcination of ores are strongly endothermic phenomena, therefore slow to be accomplished. explains why the 1 cyclone towers have not been successful to date, only the desulfurization treatment, exotehrmic chemical reaction,
is achievable to a degree sufficient for industrial needs ,.
On the other hand, leaving the field of chemical reactions to consider the physical phenomenon of the agglutination of mine particles to form larger agglomerates, the cyclone furnace is particularly suitable for giving complete results. for the chemical reactions was a defect the speed of operation not waiting for the evolution of the reactions becomes here a quality: the lead can for example be agglomerated without being strongly reduced or silioated, so that it remains more reducible to the four-.but in any case the great speed of the treatment increases the quality of the products, and the violence of the cyclone agglutinates them more.
The dust particles have the well-known quality of sucking up ambient heat in an ultra-rapid manner (which is why, for example, ground stone dust or dried, finely ground clay is used to extinguish the flames in the room. firedamp) and are able to agglutinate by physical contact, under a certain pressure, as soon as they have reached their point of softening by heat. without waiting for the development of some chemical reactions in their interior. one word agglutination is possible in the form of an explosion,
as indeed sometimes the explisins are accompanied by drums or ramo
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smooth.enta of the materials touched by them.
The remarkable technical result of agglomeration in a cyclone oven was achieved for the first time by the field which is the subject of the present patent application, it led to a particularly interesting solution of the difficult preble of the agglomeration and even complete fusion of dust from oxidized or oxidic mines, while all the predecessors *, who tried the use of the cyclone lathe, seeking only and solely the accomplishment of chemical reactions with powdery solid bodies, only lead to zero or poor results. They did not obtain sufficiently reduced metal, but desulphurization seems to have given satisfaction in certain special cases.
It can moreover precede in the present new process the agglomeration or the complete fusion of the ores which have become oxidic thanks to it, if the case arises in this particular way.
In the new process, therefore, in general, it is a matter of a development of the agglomeration system according to Sectt for the openings of mines suspended in a gas stream, making use for this purpose of cyclone introduced by de Laval for the chemical treatment of fine mines and we not only use the advantage of the retention by cetrifugal force of the solid particles in suspension, but also, as will be demonstrated later, we harvest by the The use of the cyclone furnace has particular advantages for the case where it is simply desired to stop the agglomeration of fine mines or even their complete melting suas chemical reaction completely altering their nature as ores.
It should be noted here that the new process acts all the better as the operation of the furnace is more accelerated and as the cases fourbi 1 flow more quickly with the dust, for the following reason: First, the centrifugal forces which retain the pous nitres in the oven grow with the square of. the speed of movement and in inverse proportion to the circular diameter of the vortex len in the furnace,
so that inefficiency is all the more gr
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The larger the smaller the oven and the more accelerated the operation. This extreme productiveness in the smallest space and is only possible if no significant chemical change is required in the products. agglomeration being by its nature simply an in-physical change of the cohesion between the particles, while the reduction has as its goal and ends with the separation as complete as possible of the metal from its chinqies combinations and from its mixture with the sawmill, phenomena which take quite a long time to acceleration and do not behave with too much accelerated action.
Secondly, the accelerated operation is of essentially favorable importance for the products of the process themselves, therefore for the agglomerates, which must have special qualities for their subsequent chemical treatment by reduction in the tower or in the blast furnace. 'firstly that the cyclone has not been proposed to date for the agglomeration of fine masses but we have tried either simply desulfurization without aggluti ner, or the complete, immediate reduction of metals, with integral fusien accompanied by separation as perfect as possible of metal and slag,
what was the declared aim for the use of the cyclone furnace *
But it turns out that precisely for the agglomeration the example of the cyclone lathe is particularly favorable, since the centrifugal effect of the softened particles, thrown against each other and together against the walls of the furnace, causes more agglutination. perfect, the live force being equivalent to the pressure, the coagulating effect of which is well known. The products formed of particles stuck together under pressure have a more resistant structure and favorable for further processing.
recalls the precedents which pursue an extreme increase in the resistance of the particles welded together, such as, for example, the manufacture of special parts in cast cement, in particular the centrifugal concrete used for electric masts. The more the centrifugal speed of rotation is reduced here too , the more we increase the resistance of the object produced, which is the goal
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of the process.
The production of agglomerates by centrifugal effect of fine mines softened by the spear in a gaseous vortex, is therefore a new well-characterized method of preparing ores for their subsequent consumption in the blast furnace in which they are subjected to chemical reduction, under the weight of an enormous load, or for their special treatment in any other metallurgical furnace.Unlike fully molten slag, these products can remain porous agglomerates,
if desired for the smooth running of the furnace
The very fact of reaching the softening temperature of fine mines which are suspended in a gas vortex is not equivalent to their agglomeration into coherent masses of sufficient strength, although some sinter furnaces simultaneously achieve the two effects. Thus the furnace rotes tif gives by the violent and continual fall of the bound panel masses and by their rolling along the walls of the tower, resistant agglomerates, as well as the softened snow, which rolls down a slope. , forms of itself balls and (leads avalanches.
For fear of obtaining resistant agglomerates, a certain pressure or a forceful action is necessary, otherwise it simply forms projections or fribal, spngiuex or éoumeux coatings along the walls. where it is possible to firm up these insufficient products after their deposition. Already the grazing action of a tool which lifted the coating in a pasty state out of the oven, can produce at the same time a certain kneading of the mass and a its particles, which increases its toughness. But as the new process uses the centrifugal forces of the suspended masses, which facilitate agglutination, the best effect is that obtained in an oven,
where the particles have such a living force that they form a real centrifugal ring along the walls of the furnace, while the medium is occupied by almost pure gases, devoid of dust, and which exit through a central opening, while the particles softened mines attach themselves to the walls, which they strike with life
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rise, sticking to them, until the xed cleaning instrument reaches and plows them again, removing them.
If the oven floor is sufficiently inclined and has an outlet, or if the lathe is fully open from below, the
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traps) the state of agglutination may themselves fall out, or be removed by manual or automatic means, but they can therefore be released in the liquid state.
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by increasing the heat, in which case they are completely melted and either flow or drip out of the furnace and it is in principle irrelevant whether this operation is done continuously or intermittently, or whether it is simply used as an extreme medium. and passenger in case of necessity.
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The new process is also in this respect essentially different from the old methods of chemical treatment of fine mines in a cyclone furnace, because it is limited to
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liquefying the mineral masses by fustion, instead of reducing at the same time the metals by chemical treatment accompanied by fusion, with separation of the metal from the slag, in the liquid state.
In reality there are very many processes which make it possible to reduce and separate metals from ores by hard smelting. The processes which make it possible to simply and continuously melt the ores, without treating them by reduction are for
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So to say still unknown to this day. Yet this is precisely what the new process makes it possible to achieve with fine mines, even oxidic, in a completely remarkable way, above all for its continuity.
It suffices to prove that the glutination of fine, reduced name mines, suspended in a gas stream at very high temperature, is not a spontaneous and natural result, to quote the former
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number of pulverized coal boilers, although the latter contains approx. 10% oendrosjet than the remaining 90% of fuel, would almost always reach the melting point or softening point of mineral ash (since the grates of ordinary boilers present pres-
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that always large quantities of ashes left), the
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formation of slag or coherent deposits is only an absolutely secondary occurrence in the fireplaces! pulverized coal,
even when using turbulent flame burners and pre-heated air, almost all of the ash is deposited as fine sand in the recovery chambers, or else is carried along with the cases lost in the ambient air, or great detriment of the vicinity of these installations. In reality the agglutination of the softened particles requires a fairly high concentration of their dispersion in the gas stream, without taking into account other factors already stated, among which it suffices to note the speed of the operation, which makes it possible to concentrate heat in a very small space.
The application of the new precedent can only be explained with the help of a drawing, although this is only an example of one of the many ways in which the new method of treatment can be achieved, so that the drawing as a whole as well as in its details therefore does not imply any restriction on the scope of the process.
Having said that, in the attached drawing -a- shows a ring-shaped chamber, which widens inwards in the form of a conical space-b, which is connected eg. by its upper central part ,! using an opening -c-, with a heat exchanger d, of simple shape, in which the air for the fuel is preheated by the stray flames, and by the lower central part, presents an opening -e- , serving as an outlet for the treated mass.
All this chamber is lined with a refractory lining-b, (±) possibly protected on the outside, at the demmus of the metal mantle, by water streaming, or there may be a metal wall instead. double, forming a real water-acket g, which surrounds the entire furnace chamber provided with a refractory coating and thus acts as a double protection,
If the interior lining is composed of highly refractory mass and chemically neutral in nature, as can be found nowadays (eg;
silicon pricks, chromium and iron ore, aluminum nitrides and oxides,
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oirkonique masses eto) the outer water mat can become superfluous, or better be used as an air circulation chamber, which allows some heat recovery.
But it is also possible, conversely, to abolish the internal lining in refractory mass, to do it of low thickness or of
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lower quality mass, provided the external cooling is activated. Moreover, it depends entirely on the rate that one gives to the turn if the parts of 1 decrease in thickness by erosion, or if on the contrary they grow by the formation.
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deposits or crusts, so that the question of external cooling, as well as that of the internal coating, must be studied in each particular case in such a way as to
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correspond to the nature of the process and with maintaining the operation of the furnace.
For this purpose I have indicated two burners -k-, whose member has
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no matter. These burners introduce tancent1elleamt into the circular chamber of the oven, e.g. preheated air and at the same time fuel.As a guarantee of rapid ignition of the mixture which forms, it may be advisable to provide in the burner's own compress a small chamber -v- acting as an igniter being coated also of refractory mass.
Depending on the method of operation chosen for each special case, the burner may take on a very different appearance * It may even be
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that we have included% to use the burner only as an igniter, and 1 introduce through another opening, the material * ozbus tible of only carrying it naturalalldetliquid in aseuser preferably together with the mass 4 tralter4Cèrtes it is even possible to introduce this mass in a similar way by the burner-X- itself. But it is more advisable for this purpose to make use of a nozzle or of separate openings, as
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the plan represents two of them, & by way of example.-i.
Here also the admission is preferably made tangent1elleXent5 so that the compressed air is admitted by the suzan--, and removed by dispersion the fine mass or si-ebueeoo] Rtenue dens a reservoir -w- and flowed automatically by a any device + eg. in the kind of that designated by the letter
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-a- on the plane and consisting of a spiral conveyor, adjustable rata tien, -q-, which feeds the gerbug mass in the air current, which drives it at high speed through the tangential nozzle -1-a, in the circular espaoe of the oven.
A vortex of its and dust is thus formed, circulating around the entire annullary space, beginning with
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the part of the walls forming the largest perimetra (and advancing in a spiral towards the middle to gain the exit in the central part. or the cases escape slowly, having previously
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abandoned part of their load of dust, buried in the oven by the eobtrifugal force and concentrating more along the walls of the toura at the place of its largest waxenware.
Moreover, the part of the dust which is detrimentally entrained by the fumes, can, if desired, be recovered without great difficulty, by well-known devices, simplified according to the lower value of the material, for example; by tuyauteras
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zig-zag, dry or wet centrifugal cleaners, filter bags or electrofilters, cyclones, scrubbers etc.
There is no absolute necessity to entrain the mass of fine grains by a current of air or gas in the chamber of the lathe, since it can be allowed to flow slowly by the sole effect of gravity, in the inside the furnace, where it is then gripped by a vortex of the gases and accelerated in the direction of movement of the gases.
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As to the nature of the fuel used for the new method, any kind can be hatched, 1 begins with the combustible cases, without forgetting the combustible liquids, which gasify rapidly in the furnace chamber, or which can also be introduced. - reduce to the state of fine dispersion, which makes it possible to obtain very high temperatures. Oils and tars with a high sulfur content and therefore of less value for industry,
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are here of a good use as the sulfur is combustible in air .., and can replace the akarbon fuel, if one makes use of pyritous mimes or * other rather rich in metallized sulphides One can obtain approximately the same effect as that of
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heavy oils,
with pulverized coal imencted by special burners in a well-known manner. Even finely pulverized coke can be used, especially if the furnace has a preliminary ignition chamber and if preheated air is used for the combustion. jection.However, it is preferable to mix with coke a certain quantity of fatty or bituminous coal, which is rich in matter; volatile and finely pulverized, or even to introduce certain quantities of fuel gas with the fine coke.
Even a solid fuel with a grain too large for its availability may be perfectly compatible with the nature of the new process, since the unburned parts of this fuel are held by centrifugal forces in the furnace chamber and find the necessary time there. to their complete combustion
The following peculiarity still remains to be mentioned: Using any kind of fuel, the combustion may already be partially or even fully completed before entering the furnace chamber, so that it is then 1 the hot fumes which are responsible for transporting the heat inside the oven.
Instead of introducing the combustible material through special nozzles, separately from the fine mass to be treated, aisles can also enter the furnace together. Thus, for example, the mass can be blown in by a combustible or detonating gas or a mixture of the mass with pulverized fuel can be formed in advance and injected into the furnace chamber by a current of air or else such a mixture can. be done only inside the injection device, or even ultimately inside the oven.
It often happens that the mixture of the mass with the fuel already exists in advance by nature: thus for example the pyritic mines can do without the addition of carbonaceous matter, in addition there is the dust of gas blast furnaces which normally entrain very considerable quantities of fincoke * In such cases, it may be sufficient to artificially heat the furnace beforehand and to initiate the process.
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burner and simply blows in the air and the fine mime or dust which contains the fuel necessary for the continuity of the operation.
However, it is better to continuously maintain weak burners acting as an igniter and producing a certain quantity of heat, in addition to the fact that they increase the speed of the gas vortex.
Moreover, the mixture with solid combustible materials can also be of interest for simultaneously obtaining effects other than the caloric influences mentioned. It is also possible to make use of an excess of air or of combustible gas in the gaseous medium employed for this process. This may result, for example. oxidation or reduction effects on the fine mas its, at the same time as the main aim & agglomeration is accomplished, without however it being able to separate from the charge very considerable quantities of metal and slag, this which would obviously go beyond the scope of agglomeration to become a pure and simple metallurgical treatment, moreover Unrealizable in a cyclone furnace.
We have shown on the plan 4 iatériels-1 openings taking a tangential direction, through which the interior of the oven can be examined, at the same time which present an opprtunity to remove or set in motion the deposits or crusts formed on the interior walls. Obviously, this can be done manually by ringing or automatically by special devices.
In addition, for the role of removing agglomerates adhering to the walls, or stopped on the bottom of the furnace, the lan represents a mechanical device-t-, rotated by means of a special vertical shaft passing through the opening. central sole, or from above. In order to avoid a rapid destruction of this device, the scraper itself is preferably made of chrome-nickel talc steel and can also be provided with an internal water cooling, which prevents the products from sticking to the surface. or til.
It goes without saying that the angle of inclination of the floor of the furnace is of considerable importance to the removal of solid masses.
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or liquidated or simply softened, and this is even more true if the operation is carried out without the use of a scraper. This means that the presence of the latter is often superfluous, but in general it is useful and in very many cases absolutely essential.
For the new process it is very useful to equalize by receipt or regeneration as much as possible of the heat removed by the fumes or by the agglomerated mass. This can be done by heating with it. either the gaseous medium used in the process would be the fine mass to be treated, or else both of the ingredients of the process.
The devices which can give this result have been sufficiently described in numerous metallurgical processes of all senses @ and on the plan I have been able to limit myself to indicating schematically a simple device for heating the air by fumes, partially built in refractory and high temperature resistant steel materials, -d
Where fuel economy disappears in front of the simplicity of the apparatus, there may be special heating of the air or the mass by fresh fuels, e.g. using Cowpers or simple heat exchangers.
The preheating of the mass to be agglomerated just as easily by the use of a cylindrical or conical furnace, of rather great height instead of the annullary furnace described, of which the interior space ab, flattened etail. is then translated into the interior of the oven at its upper part, not far from the outlet of the cooled fumes, placed in the center = ference. It cannot escape in excessively large quantities, being retained by the tangential centrifugal forces, which we take care to generate in any way whatsoever, were this even mechanically by species of propellers or fan-tower wings, actuated in the parts of the furnace where a temperature prevails,
or more simply by tangential blowing in the upper part of the furnace, of the mass to be treated, the gyratory movement of which may be added to that of the hot gases.
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blown, tangentially in the lower part of the oven.
This movement of the heated cases may moreover be sufficient for it to be carried out to retain the dust in the oven.
One of the simplest examples will step up the process using the apparatus described:
Before starting the operation, the furnace chamber a, b, is warmed somewhat to white, e.g. by blowing combustible soil and air through the nozzles -k-.
As a fine mass 9 to agglomerate we will choose eg. gas dust from the blast furnaces of iron metallurgy, assuming that it confides in itself a sufficient quantity of edible material p to carry out the process. This dust is engamaisnée in the silo -w-. Now we open the valve d 'air intake -0- and let the spiral m turn at a certain adjustable speed of rotation. The dust will be fed slowly and continuously into the furnace, through the nozzles -k-.
At the same time the hot air is introduced by the nozzles -k -. (The gas supply to the burner does not work), be cleaner -t-, is put in a slow and preferably continuous gyratory movement, thus evacuating the agglomerates in the form of glèbes, desque the dust is brought to its softening point under the influneoe of the heat produced by the combustion of the combustible materials which it contains, while the centrifugal forces generated by the vortex, created by the tangential introduction of ingredient in the annullary space of the furnace, retain dust within the restricted limits of the furnace laboratory and help the phenomenon of agglutination of fine masses to be accomplished better,
especially if they are vehemently swaddled against the walls.
In this same example, there may be a rapid charging of the furnace instead of a slow and continuous charging, then a considerable amount of gas dust is blown in at once, to interrupt after the feeding. However, the air is admitted continuously through the nozzles -k-producing a vortex with the dust load along the end walls limiting the furnace chamber, and producing the gradual combustion of the combustible materials contained in the dust.
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is thus achieved by the heat released, while the net teyeur -t- works intermittently or continuously During the loading period of the oven, the main air inlet can also be (be)
closed.
If the mass to be treated does not have enough or not at all fuel elements, the process can still be accomplished in a similar way: fuel gas is introduced in cove nable proportion with the main air stream, by through the nozzles k, to accomplish the operation of heating of the agglomeration
CLAIMS 1) The application of the known process for carrying out chemical reactions and characterized by the tangential conduct of the metallic gills suspended in a gaseous medium, in a preferably circular oven, for the agglomeration of small grain masses, containing heavy metal oxides, such as fine mine or gas dust etc of iron, amgnnesis, copper, znc,
ctc by frying.