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'Procédé de fabrication de moules pour l'impression de
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disques phol1ogra)'hiquE:s
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Pour la reproduction de disques phonographiques,on
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se sert 8.ctlH:IlEI!îPnt,cJE 1l8,trit:E's en cuivre obtenues par l'électrolyse âesnora,.ES originaux réalisés daIs la cire. La suite des opérations galvanoplastiques et la vaLeur intrinsèque da cuivre obtenu par ce moyen,la durée da procédé [111v,<;úorl&sti'lu8 et sa surves llmiée par des person- nes àii>1, i',li3(cS élvvfzrt le coût de ces matrices il des prix tels qu'on se ré.: ou rn sule:era il les fabriquer que lorsqu'on devra en tircr uis 6isqLJes phonographiques en grandes iéiies; s'il faut. seulement reproduire un petit ncfh'hi'G de oi;>,,ur ou s'il y a limitation du marché, on doit renoncer 2:
f,LIiqu(r de telles actrices, étant donné
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leur prix beaucoup trop .µlevé,
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La présente invention SE' bornE, à un procédé de fabrication de ces rna.tiices,qui permet tout d'abord,1 obtention en très peu de enzps,ux Fai;,;Ûàan psr deo :.,V1.'- sonnes non spéci¯lisêes et une réduction telle i>: leur prix que même pour une seule reprodlJction, c T6st-à-dire , .un seul disque phono@g'apb.iqo8, Q,!:I prix ne serait pas au tout excessif en comparaison des prix actuels du marché de disques phonographiques.
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Dans ces pr:ia::ip68 généraux,l'invention est basée sur la reproduction du phonogramme original,sur une pel1i cille obtenue en versant une dissolution de gélatine biehroatée sur le phonogramme original; on donne ainsi à cette pellicule un renfort ou armature capable de résister aux pressions et températures nécessaires pour l'estampage des disques
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phonograpniques et étant donne les propriétés de la. gélatine bichromat'ée soumise a l'action de la lumière solairE ,cet (je pellicule lors de l'impression phoùog:
capl1Íq lJC néKttiv6. , résistera aux pressions et tompéraCl111fjS susdites,sans ré fOl1mati on. pour mieux faire comprendre l'objet de ce brevet, quelques moyens d'exécution ont été décrits ci-après.
Sur le phonogramme original en cire, on adapte un
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cercla ou .anneau en bois de trois È,. cinq.milli#ètrHs de hrotetx,paaz former une barrière à la dissolution que 1 '"on doit verser sur le dit ph0110&:,am.mG.
On dissout dans l'ea,au bain-marié .de la. latine à il1gt pour cent de lyer:erzG et deux pour cont de bichromate alcalin très finement pulvérisé. Lorsqu'une dissolution parfaite est obtenue, on la passe sur une toile ou un tarais à mailles très fines, on la laisse reposer et on
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la soumet à une-température de quarante-cinq degrés CE:ú1:;j,'l'.<,,-
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jusqu'à complète disparition des bulles d'air qui pourraient se former.
Dans cet état, on la verse sur le phonogramme original ,en prenant soin que pendant cette opération,le ¯local où l'on opère se trouve exempt de poussière et soit maintenu à environ trente-cing degrés,afin que la gélatine puisses'étendre lentement sur la surface du phonogramme sans se solidifier et d'une maniera uniforme ,en s'adaptant parfaitement aux sillons de l'impression phonographique, On élève la, température à environ quarante degrés et au bout de quatre ou cinq heures, qusnd la gélatine est sèche,on sépare le phonogranme du cercle en oois auquel la pellicule de gélatine adhère à la manière d'un châssis.
on prend une plaque métallique,en tôle pu fer-blanc, par exemple,lisse et plate,de forme carrée de préférence dont les côtés doivent être un peu plus grands quee le diamètre du moule en gélatine; on verse sur une des surfaces,une dissolution de colle forte dans de l'acide acétique et on laisse couler l'excès par un des angles; puis,on laisse sécher.
On sépare le moule en gélatine,du cercle en bois en l'humectant avec de l'eau sur les bords,et on le colle par son revers,sur la plaque en fer blanc enduite de colle forte et d'acide acétique; ' il est à conseiller de la laisser à l'état mordant en aspergeant sa surface au vaporisateur, avec une dissolution d'alcool ct d'eau à parties égales, on recouvre la plaque de gélatine,de papier buvard et l'on passe pur dessus,un rouleau en pois ou en caoutchouc plusieurs fois dans tous les sens, afin d'expulser l'air qui aurait pu rester entre la plaque métallique et la gélatine,
De cette façon,on obtient un très bon renfort de la matrice constituée par la gélatine , ,laquelle est soumise
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finalement à la lumière du jour prendant quelques minutes,
afin que le bichromate agissant sur la gélatine la rende dure, insoluble et résistante à la chaleur et à la pression qu'elle
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doit supporter lors de son emploi comme .ooi<ig;on pour l'impression des disques à la presse.
Une variante d'exécution du procédé décrit se réalisa de la manière suivante :
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Sur le phonograxnme pourvu de son cercle en bois et parfaitement nivelé,tel au'il a été décrit ci-dessus,on verse
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une dissolution à trois pour cent,d6 gélatine d::ù12 l'eau avec quinze pour cent de glycérine,en sorte qu'une fois sèche, il reste de cette dissolution,une couche très mince de gélatine laquelle sans altérer le relief des stries de
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1,'.rnpression.,sert de vernis protecteur;cela évite ainsi que la pâte à base de cire dont le phonogramme original est
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constitué,soit attaquée en effecbuant l'opération suivante: on prépare une dissolution de pyroxiline dans de l'acétone et on la verse sur le phonoy-ranrne ptotégé par le vernis ci- dessus décrit;
on la laissa sécher jusque- ce qu'elle ait acquis la solidification et la consistance nécessaires Pour
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être séparée du phonogr8.:n.me avec le cercle en bois lequel reste adhéra au moule avec la reproduction de 1'impression
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phonographique en sens négatif. On termine le dessècheC,1E1nt dans une étuve à quarante deeràs centigrades et en le d6tach,-,nt d'u châssis,on obtient le nJ::t f forme par une' plaque 'résistante et apte à l'impression des disques.
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Afin de réduire le te-nps nÉ.c0ss8ir'8 à l'obtention de cette matrice, lu dissolution de pyroxiline dans de il peut être remplacée lA" plastic ue ë l'état .sec ou humide et même on plaques donnant un résultat exeellent par exemple,le celluloïd en plaques connu dans le commerce,
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lequel obtient l'adhérence au phonogramme au moyen de la . même matière due celle dont la plaque est constituée,à l'état liquida ou sirupeux, c'est-à-dire du celluloïd ou de la pyroxiline dissoute dans le l'acétoae. Une fois qu'il y a adhérence de la plangue en élatine,on y passe un rouleau afin d'éliminer l'excès de liquide.
Après une heure, on le décolle du phonogramme original et on le fixe par ses bords & un châssis afin de le maintenir bien tendu et plat,pendant la ériode de séenage.
On peut utiliser de la même manière des plaques de gélatine insolubilisdes auxquelles on donne un bain de colle forte dissoute dans de l'acide acétique ,sur la surface qui doit adhérer au phonogramme par l'intermédiaire de la gélatine à l'état liquide ou sirupeux.
Les coules constitués par des dérivés de la cellulose sont plus avantageux que ceux en colle ou gélatine,car ils ne sont pas hygroscopiques;ils sont plus résistants à la chaleur et à la pression et ils conservent une rigidité ct une résistance dui dispensent de les coller sur un suptort.
Un général,on peutemployer toutes sortes de matières gui, par leurs propriétés physiques (non par leur composition chimique) sont susceptibles de produire,soit par la forme ci-dessus décrite,soit par coagulation ou précipitation sur le phonogramme, des empreintes en pâte dura et sans pores résistant à dos pressions élevées et aux températures de ramollissement des disques à estamper, en tenant compte qu'il ne s'agit pas des disques de fabrication actuelle, mais des disques constitués suivant un brevet d'invention de l'inventeur.
Comme exemple, voici guelgues matières qui répondent aux propriétés ci-dessus indiquées: albumines,gélatines,colles
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CIIÛG'J...ï';f?S,Eel7ftE ou combinés entre eux ou comme composants?. principaux de différents mélanges et additionnés ou non. de muai layes ou glycérine afin d'augmenter son élasticité;
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cellulose et ses différents dissolv;nt;,c:Lortare de 7nct2ci- de solfitr:iwu6,ÜtrioIJo,réac"Gif de çjG?vl=itFr,GirC:
Les éthers de la cellulose et ses dÓriv6s,p.Vl'OY.,YlÍYl6S,f>...,vc1rocellu- loses visqueux, acétyle,cellulose,etc. et ses ,:1& L:ing'e s; celluloïd, tpi'11L?,G;3..tt=,t?'G dans ses divers dissolvants: caséines et ses dérivés, [1.11élite,lactide, ..C;tOOZ';:lG,ftC4 dans ses divers s dis sol Ir >"!,1'::. t s.
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'' Manufacturing process of molds for printing
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phol1ogra) disks: s
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For the reproduction of phonographic records,
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uses 8.ctlH: IlEI! îPnt, cJE 1l8, trit: E's in copper obtained by the electrolysis âesnora, .ES originals made in wax. The continuation of the electroplating operations and the intrinsic value of copper obtained by this means, the duration of the process [111v, <; úorl & sti'lu8 and its monitoring by people at ii> 1, i ', li3 (cS elvvfzrt the cost of these matrices there are prices such that we find ourselves: or only: we will manufacture them only when we have to draw from them 6 phonographic records in large sizes; if it is only necessary to reproduce a small ncfh'hi'G de oi;> ,, ur or if there is a limitation of the market, we must give up 2:
f, LIiqu (r such actresses, given
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their price too high,
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The present invention is limited to a method of manufacturing these rna.tiices, which firstly allows 1 obtaining in very few enzps, ux Fai;,; Ûàan psr deo:., V1. specifications and such a reduction: their price that even for a single reproduction, that is to say, a single phono@g'apb.iqo8 disc, Q,!: The price would not be at all excessive compared to current market prices for phonograph records.
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In these general pr: ia :: ip68, the invention is based on the reproduction of the original phonogram, on a film obtained by pouring a solution of gelatin biehroatée on the original phonogram; this film is thus given a reinforcement or frame capable of withstanding the pressures and temperatures necessary for the stamping of the discs
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phonographic and given the properties of the. bichromate gelatin subjected to the action of solar light, this (I film during the phoùog printing:
capl1Íq lJC néKttiv6. , will withstand the aforementioned pressures and tomperaCl111fjS, without refOl1mati on. in order to better understand the subject of this patent, a few means of execution have been described below.
On the original wax phonogram, we adapt a
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circla or. wooden ring of three È ,. five.milli # ètrHs of hrotetx, paaz form a barrier to the dissolution which must be poured over the said ph0110 & :, am.mG.
It is dissolved in water, in a married bath. Latin at il1gt per cent of lyer: erzG and two per cent of very finely pulverized alkali dichromate. When a perfect dissolution is obtained, we pass it on a canvas or a tarais with very fine mesh, we let it stand and we
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subjects it to a temperature of forty-five degrees CE: ú1:; j, 'l'. <,, -
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until complete disappearance of air bubbles that could form.
In this state, it is poured over the original phonogram, taking care that during this operation, the local where one operates is free of dust and is kept at about thirty-five degrees, so that the gelatin can spread slowly over the surface of the phonogram without solidifying and in a uniform manner, adapting perfectly to the grooves of the phonographic impression. The temperature is raised to about forty degrees and after four or five hours, after the gelatin is dry, the phonogram is separated from the oois circle to which the gelatin film adheres in the manner of a frame.
a metal plate is taken, made of sheet or tinplate, for example, smooth and flat, preferably square in shape, the sides of which should be a little larger than the diameter of the gelatin mold; a strong glue solution is poured on one of the surfaces in acetic acid and the excess is allowed to flow through one of the angles; then it is left to dry.
Separate the gelatin mold from the wooden circle by moistening it with water on the edges, and glue it from its back, on the tin plate coated with strong glue and acetic acid; '' it is advisable to leave it in the biting state by spraying its surface with a spray bottle, with a solution of alcohol and water in equal parts, we cover the plate with gelatin, blotting paper and we pass pure above, a dotted or rubber roller several times in all directions, in order to expel the air that may have remained between the metal plate and the gelatin,
In this way, we obtain a very good reinforcement of the matrix constituted by the gelatin, which is subjected
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finally in the light of day taking a few minutes,
so that the dichromate acting on the gelatin makes it hard, insoluble and resistant to heat and pressure that it
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must withstand when used as .ooi <ig; on for printing discs to the press.
An alternative embodiment of the method described was carried out as follows:
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On the phonograph provided with its wooden circle and perfectly leveled, as described above, we pour
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a three percent solution of gelatin in water with fifteen percent glycerin, so that once dry, there remains of this solution, a very thin layer of gelatin which without altering the relief of the streaks of
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1, '. Rnpression., Serves as a protective varnish; this avoids the wax-based paste whose original phonogram is
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constituted, or attacked by carrying out the following operation: a dissolution of pyroxiline in acetone is prepared and it is poured onto the phonoy-ranrne ptotégé by the varnish described above;
it was left to dry until it had acquired the necessary solidification and consistency.
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be separated from the phonogr8.:n.me with the wooden circle which remains adhered to the mold with the reproduction of the impression
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phonographic in the negative sense. We finish drying it in an oven at forty deeràs centigrade and removing it from a frame, we obtain the nJ :: t f formed by a resistant 'plate' suitable for printing discs.
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In order to reduce the time needed to obtain this matrix, the dissolution of pyroxiline in it can be replaced by the plastic in the dry or wet state and even plates giving an excellent result. for example, commercially known plaque celluloid,
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which obtains adhesion to the phonogram by means of the. same material due to that of which the plaque is constituted, in the liquid or syrupy state, that is to say of celluloid or pyroxiline dissolved in the acetate. Once the rubber plangue has adhered, a roller is passed through it to remove excess liquid.
After an hour, we take it off the original phonogram and fix it by its edges & a frame in order to keep it taut and flat, during the screening period.
Plates of insolubilized gelatin can be used in the same way, to which a bath of strong glue dissolved in acetic acid is given, on the surface which must adhere to the phonogram through the gelatin in the liquid or syrupy state. .
Castings made from cellulose derivatives are more advantageous than those made from glue or gelatin, because they are not hygroscopic; they are more resistant to heat and pressure and they retain rigidity and resistance dui dispense with gluing them. on a suptort.
In general, we can use all kinds of materials which, by their physical properties (not by their chemical composition) are capable of producing, either by the form described above, or by coagulation or precipitation on the phonogram, imprints in dura paste. and without pores, resistant to high pressures and to the softening temperatures of the stamping discs, bearing in mind that these are not discs of current manufacture, but discs made according to a patent of the invention of the inventor.
As an example, here are some materials that meet the properties indicated above: albumins, gelatins, glues
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CIIÛG'J ... ï '; f? S, Eel7ftE or combined with each other or as components ?. main of different mixtures and added or not. muai layes or glycerin in order to increase its elasticity;
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cellulose and its different dissolv; nt;, c: Lortare de 7nct2ci- de solfitr: iwu6, ÜtrioIJo, réac "Gif de çjG? vl = itFr, GirC:
Cellulose ethers and their derivatives, p.Vl'OY., YlÍYl6S, f> ..., viscous cellulose, acetyl, cellulose, etc. and its,: 1 & L: ing'e s; celluloid, tpi'11L?, G; 3..tt =, t? 'G in its various solvents: caseins and its derivatives, [1.11élite, lactide, ..C; tOOZ';: lG, ftC4 in its various s say sol Ir> "!, 1 '::. t s.