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Machine à mesurer le tissu
La présente invention est relative aux machines à me- surer le tissu ainsi qu'aux machines combinées pour le mé- trage et le calcul du prix.
:Les machines pour mesurer le tissu, utilisables dans les magasins de vente de tissus au détail sont bienconnues et ont déjà fait l'objet de brevets, déposés par le même inventeur, et auxquels on se'réfère ci-après. Ces machi- nes fonctionnent suivant le principe suivant: on fait pas- ser le tissu entre deux rouleaux, dont l'un est relié au mécanisme de la machine de façon à actionner cette dernière et à commander des organes indicateurs servant à enregistrer la quantité de matières qu'on a ainsi fait passer entre les rouleaux.
Le second de ces rouleaux est un rouleau presseur qui sert à appuyer le tissu contre le rouleau mesureur de façon à assurer un contact intime et que le déplacement de la surface extérieure du rouleau mesureur soit égal à la
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longueur de tissu passant entre les deux rouleaux, sans qu'aucune erreur de mesure puisse provenir du glissement du tissu sur la surface du rouleau mesureur.
Des machines de ce genre permettent de mesurer exac- tement le tissu, c'est-à-dire d'indiquer la longueur des
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tissus passant entre les rouleaux, à condition ,,Lue le tissu s'engage correctement dms la machine, J3tant donné ue, dans les machines de ce genre , la fin de chaque mesure correspond à l'endroit où un couteau spécial découpe une fente ou une marque dans le tissu, a la fin (le l'opération de Métrage,
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le point ue départ de la mesure suivante devrait se jroui-e également en ce point. ..'invention z, doue 2o:n? où jet essentiel àTobtenir le départ correct , l'opération de Métrage, c'est- ;;"-,:i:;:>8 d'obliger 1. 'oI>,:Ü'teur i. faire GJ1'.¯:cl:.G' 1TOZ'11';C ;'1 :rlútr JE' :V'CC le -%oint 6xHt, mf'?.''';I.u6 i?ar o couteaux, G'tCt-2,.-r:.?'¯. ::
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Dans des machines de ce genre, il faut introduire le
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tissu dns le machine lorsque les rouleaux mesureur et presseur sont séparés 1run de l'autre, de fuçon à pouvoir ' tirer directement le tissu dans la machine. Il eut possible cependant, dens les machines courantes de ce type; d'intro- duire le tizju les r'o .LLe".ux en lui ozz.ant u:: mouve- ment en diagonale , autrement dit, un mouvement qui produi-
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ru lr avancement du tisjn à la fois vers J intérieur entre
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les rouleaux, et dans la direction de la longueur du tissu.
Si une telle opération est possible, il y a une grande pro- babilité pour que la mesure effectuée par la machine soit inexacte. Ltinvention a donc également pour objet, une ma- chine pourvue de moyens grâce auxquels, il soit impossible d'introduire le tissu dans la/machine , entre le rouleau me- sureur et le rouleau presseur, lorsque ces rouleaux sont en contact, mais qui permettent cette introduction unique- ment lorsqu'ils sont séparés.
Etant donné que les moyens servant à assurer le point de départ correct de la mesure ne peuvent fonctionner que si les rouleaux sont séparés, il est donc indispensable, pour obtenir une machine com- plète et parfaite, que le tissu ne puisse être amené en place entre les rouleaux, lorsque les rouleaux sont au contact l'un de l'autre; l'invention a donc encore pour but de prévoir un mécanisme pour réaliser le but sus-indiqué.
Les différentes caractéristiques et avantages de l'in- vention apparaîtront dans la description qui va suivre, en se référant au dessin annexé, dans lequel:
La figure 1 est une coupe verticale longitudinale d'une machine combinée pour la mesure du tissu et le calcul du prix, établie suivant l'invention.
La figure 2 est une vue en plan de la machine, avec arrachement partiel.
La figure 3 est une coupe verticale longitudinale de la machine au voisinage de l'un de ses cotés, et représen- tant plus particulièrement les organes servant à empêcher l'entrée du tissu dans la machine entre les rouleaux, lors que ceux-ci sont au contact l'un de l'autre.
La figure 4 est une coupe transversale verticale de la machine, la coupe étant prise tout près de l'extrémité antérieure de oelle-oi.
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La figure 5 est une coupe de détail dû. mécanisme de la fig. 3, dans la position qu'il occupe lorsque les rouleaux sont séparés et qu'on introduit le tissu entre eux.
La figure 6 est une vue en élévation latérale de la machine, une partie de l'enveloppe extérieure de la partie antérieu- re étant enlevée.
Les figures 7 et 8 sont des coures verticales longitu- dinales, partielles, près de l'avant de la machine, montrant deux positions différentes du mécanisme servant à. assurer le point de départ correct du tissu à mesurer.
La figure 9 est une vue en perspective de certains organes du mécanisme suivant l'invention.
La figure 10 est une vue analogue aux figs.7 et 8, montrant le fonctionnement des organes lorsque le tissu n'est pas tiré correctement, mais est tiré vers l'extérieur, et
La figure 11 est une coupe verticale, partiellement en élévation, de la partie antérieure et inférieure de la ma- chine pour montrer le fonctionnement du mécanisme et la cons- traction adoptée.
Les mêmes chiffres de référence désignent les mêmes or- ganes dans les différentes figures.
La machine comprend une base 1, de forme sensiblement rectangulaire, et présentant au voisinage de ses arêtes, des rebords 2, faisant saillie vers le.haut: entre ses ex- trémités antérieure et postérieure, cette base porte une table 3, et une console 4, située à la partie supérieure de la table et faisant saillie vers l'avant, comme représenté.
Le mécanisme de la machine est monté dans un bâti dont le bord inférieures! attaché au rebord 2. Ce bâti se compose d'une plaque arrière verticale 5, d'une plaque latérale ver- ticale 6, d'une seconde plaque latérale verticale 7 et d'une plaque antérieure verticale 8, dont la hauteur est moindre
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que celle de la plaque arrière 5 et qui est fixée de façon permanente sur les bords supérieurs des côtés 6 et 7. Ce mode de réalisation du bâti du mécanisme est sensiblement le même que celui décrit dans le brevet américain g 1.420.612 du même inventeur, et publié le 20 Juin 1922.
Un rouleau mesureur horizontal 9 est calé sur un arbre
10, lequel est supporté vers l'arrière par un palier ap- proprié, monté dans la flaque 5 et, à son extrémité avant, dans un palier 11, monté dans une cuvette ou logement lla, fixée sur la face arrière de la plaque 8. L'arbre 10 est fileté sur une partie de sa longueur et porte un écrou 12, destiné à se déplacer le long de la face supérieure de la table 3 et de la console 4, se déplaçant vers l'avant pen- dant une opération de métrage et vers l'arrière lorsqu'on ramène le mécanisme au zéro. Cet écrou 12 coopère avec un amortisseur ou limiteur de vitesse indiqué dans son ensem- ble par 13, et destiné à éviter des chocs nuisibles lorsqu'on arrête le mécanisme et que celui-ci retourne à la position zéro.
Le détail de ce mécanisme ne rentre pas dans le cadre de la présente invention, ayant déjà été décrit dans le tore*-' vet américain antérieur ? 1.573.589 du même inventeur, publié le 16 Février 1926.
Pendant une opération de métrage, lorsque l'écrou 12 se déplace suffisamment vers l'avant, le long de l'arbre 10, il actionne un mécanisme d'arrêt, désigné par 14, et ser- vant à arrêter la machine lorsqu'elle a effectué un certain nombre de mesure. Ce dispositif a déjà été décrit dans le brevet américain ? 1.522.763 du même inventeur, publié le 13 Janvier 1925 et la description de ce mécanisme ne trouve pas sa place dans la présente spécification.
A l'extrémité postérieure de l'arbre 10 est calé un pignon 15, engrenant avec l'une des roues d'nn train d'en- grenage 16, de façon à faire tourner l'arbre horizontal 17,
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à mesure que s'effectue le métrage et à provoquer par suite l'enroulement du ressort en hélice 18, lequel emmagasine suffisamment d'énergie pour ramener ensuite le mécanisme dans sa position initiale de départ ou position zéro, lors- que le besoin s'en fait sentir. Ce train d'engrenage en- traine également un deuxième arbre horizontal 19. A l'extré- mité antérieure de cet arbre 19 est monté un tambour 20, sur lequel sont tracées, les fractions de l'unité de mesure; par exemple, si l'unité de mesure est le mètre, ce tambour indiquera les centimètres.
Des pignons 21, calés respective- ment sur l'arbre 19 et sur un second bout d'arbre 22, permet- tent 1'entraînement de ce dernier et la rotation d'un index ou indicateur 25, à l'extrémité antérieure de l'arbre 22, devant une plaque verticale 24, sur laquelle est tracée une échelle indicatrice pour les fractions de mètre, de sorte que l'indicateur 23 montrera, aussi bien que le tambour 20, la longueur de tissu ayant traversé la machine.
L'arbre 19, au voisinage de son extrémité antérieure, présente ur. ergot ou doigt 25, faisant suillie radialement, et servant à faire tourner une petite roue 26, ou roue des unités (mètres); cet ergot provoque la rotation de cette roue d'une dent pour chaque tour de l'arbre 19 ; cette roue porte des chiffres indiquant le nombre de mètres qui ont été mesurés, et elle tourne à chaque tour de l'arbre 19 d'une quantité telle qu'on passe de l'un des chiffres au suivant ; par conséquent, l'arbre 19 est entraîné à une vi- tesse tel-e qu'il tourne d'un tour pour chaque metre de tissu passant dans la machine et actionnant le rouleau me- sureur 9.
Outre les dispositifs indicateurs ci-dessus décrits, l'engrenage 16 entraine le rouleau 27, air lequel est mon- té un graphique 28 servant au calcul des prix, ce dispositif ayant été décrit dans le brevet américain N 1.420.612 sus-
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mentionné. Le dispositif faisant l'objet de la présente in- vention peut fonctionner et remplir son rôle, qu'on fasse ou non usage du dispositif calculateur, c'est-à-dire qu'il peut servir aussi bien dans le cas d'une simple machine de métrage que dans le cas d'une machine combinée pour le mé- trage et le calcul des prix.
Au dessus du rouleau 27, du tambour 20,et de la roue 26 est placée une plaque en t-ôle 29, présentant des ouver- tures parallèles longitudinales 30 permettant de lire les indications marquées sur le graphique 27, les autres ou- vertures 31 et 32, au-dessus du tambour 20 et de la roue 26 respectivement, étant telles qu'une seule indication de longueur puisse apparaitre à travers chacune des ouvertures 31 et 32. Le mécanisme qui vient d'être décrit ci-dessus d'unie façon générale est renfermé dans une enveloppe ou boî- te. Celle-ci présente un dessus 33, ayant une ouverture rec- tangulaire de grande dimension, dans laquelle est montée une glace 34, permettant de lire les différentes indications apparaissant derrière les ouvertures 30, 31 et 32.
La boîte présente un côté vertical avant 35, qui s'étend vers le bas jusqu'au voisinage de la génératrice inférieure du rouleau 9, et qui présente également une ouverture munie d'une gla- ce 36, à travers laquelle on peut lire les indications de l'index 23, ainsi que celles d'un second index 37 actionné de façon à indiquer le nombre de mètres de tissu mesuré, com- me décrit en détail dans le brevet ? 1. 420.612 sus-indiqué.
La boite présente an outre un côté arrière 38, dont l'arête inférieure repose sur la base 1, et deux côtés verticaux parallèles 39 et 40, Le côté 40, comme on le voit plus clairement à la figure 6, présente une partie emboutie vers l'intérieur 41, et, près de la partie inférieure et vers l'avant, une portion emboutie vers l'extérieur 42, comme re- présenté aux figs. 2 et 4, et dont le but apparaitra ci-après.
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La boite ou enveloppe extérieure se termine vers l'avant de la machine et à la partie inférieure dans un plan situé légèrement au-dessus de la génératrice inférieure du rouleau mesureur 9. Une table horizontale 43 est disposée dans cette partie de la machine, au dessous du rouleau mesureur, cette table présentant un coté s'étendit vers le bas et une face antérieure 44, son côté opposé présentant une partie emboutie vers l'intérieur 45, comme on le voit plus clairement L la fig. 4. la tble 4 est située à une certaine distance au-dessous des arêtes inférieures des cotes 9 et 4v de fa- çon à laisser une fente 46 pour l'introduction du tissu à mesurer.
Immédiatement au-dessous de la partie 42, frisent saillie vers l'extérieur, est montée une plaque 47 dont la face supérieure se trouve dans le même plan que celui de la table 43 et qui, à son extrémité intérieure, est recourbée vers le bas comme indiqué en 48, cette plaque 47 ayant une fente longitudinale indiquée en 49.
La face supérieure de la table 43 présente une ouvertu- re longitudinale 50, à travers laquelle le rouleau, presseur 51 peut s'élever pour venir s'appuyer sur la génératrice inférieure du rouleau mesureur, ou pour venir apjuyer le tissu à mesurer contre ce rouleau. Le rouleau presseur est monté dans un support 52, pouvant pivoter autour d'une tige 53, ce rouleau étant normalement tiré vers le haut contre le rouleau mesureur ou le tissu au moyen de ressorts 54.
A travers la table 3 passent deux douilles 55 et 56 et une tige 57, la douile 55 pouvant tourner dans la table et la douille 56 dans la douille 55, tandis que la tige 57 peut tourner dans la douille 56. Ces différents organes peuvent prendre des mouvements indépendants et on peut faire tourner l'un d'eux sans entraîner les autres. La douille extérieure 55 présente à son extrémité extérieure, logé dans la dépres- sion emboutie 41 du côté 40 de la boite protectrice, un levier
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58 représenté à la fig. 6. De même, la douille 56 est munie d'un levier de commande 59, et la tige 57 d'un levier de commande 60, de sorte que l'une ou l'autre des douilles ou la tige peuvent être actionnée en agissant à lamain sur le levier qui lui est relié.
Le levier 58 est muni d'une lame coupante 61, montée de façon à coopérer avec une lame semblable 62, montée sur le côté correspondant de la table 43. Le couteau 62 est dis- posé à une certaine distance en arrière de la partie vertica- le 43, retournée vers le bas, de l'extrémité de la plaque 47, l'espace existant entre eux étant désigné par 63; le côté correspondant de la table est, à cet endroit, embouti vers l'intérieur-, de façon à pemettre le passage des doigts de l'opérateur pour saisir l'extrémité du tissu lorsque celui ci est placé entre le rouleau presseur et le rouleau mesu- reur. Lorsqu'on appuie sur le levier 58, les deux couteaux 61 et 62 découpent une fente ou une marque le long du'bord. du tissu et la mesure du tissu s'arrête au point où est pratiquée cette fente.
Il est évident que le point de départ pour un nouveau métrage dû tissu doit, si l'on veut obtenir un métrage excat, coïncider avec cette marque, c'est-à-dire être dans le même alignement que les faces verticales adjacentes des couteaux 61 et 62.
Lorsqu'on actionne le levier 59 pour faire tourner la douille 56, on agit sur un frein (non représenté) venant s'appuyer sur le rouleau mesureur 9 et permettant en même temps à la barre 64, représentée à la fig.. 4, de venir tom- ber en travers de la fente d'entrée 46, son arête inférieure venant se loger dans une rainure 65 de la face supérieure de la table 43. Ce dispositif est décrit en détail dans le brevet américain N 1.443.332 du même inventeur, publié ,
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le 23 Janvier 1923, et n'a pas besoin d'être décrit ici.
Lorsqu'on actionne le levier 60 vers le bas, en provo- quant la rotation de la tige 57, on fait tourner une plaque ou came 66, mieux visible . la fig. 9, qui agit sur un le- vier 67, pivotant entre ses extrémités, dont l'une se trouve au-dessous d'un bras 52a (fig. 3) qui fait saillie sur le support 52 du rouleau, presseur, de sorte que pendant cette manoeuvre, le support du rouleau presseur est abaissé, le rouleau presseur-51 s'écartant du rouleau mesureur 9.
Lorsque le rouleau presseur est au contact du rouleau mesu- reur, l'extrémité postérieure du levier 67 vient se loger dans un évidement 66a, de la plaque 66; mais, lorsque l'axe
57 et la plaque 66 sont actionnés, l'extrémité recourbée du levier 67 glisse le long de l'arête inférieure de la plaque, entraînent le rouleau presseur vers le bas pour le maintenir dans la position abaissée. Le mécanisme servant à agir sur le support du rouleau presseur afin de séparer ce dernier du rouleau mesureur est donc sensiblement le même que celui décrit dans le brevet américain ? l.420.612 ci-dessus men- tionné.
Entre les plaques latérales 6 et 7 du bâti et vers l'arrière de la machine, est monté un arbre transversal 68. Sur cet arbre est fixée une pièce en tôle à mouvement de bascule et qui présente deux cotés 69 et 70, reliés par une traverse 71 (voir fig. 9) le côté 69 étant incurvé sur son arête inférieure, dans le but qui apparaitra ci-après ; le c8té 70 s'étend vers l'avant et est recourbé vers le bas de façon à constituer un bras 72 qui présente à son extrémi- té antérieure une languette recourbée 7, au-delà, de laquel- le, il se prolonge par une partie arquée 74, ayant la forme représentée aux figs. 7,8 et 9.
Un ergot 75 fait saillie latéralement à l'extrémité de la partie 74, cet ergot ser- vant à l'articulation dune petite barre 76, en traversant
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la partie supérieure de cette barre, de sorte que cette der- nière est suspendue verticalement et, dans sa position la plus basse, traverse la rainure 49 de la plaque 47 ; dans sa position la plus haute, elle rentre dans la partie emboutie 42 de la boîte, comme représenté à la fig. 4. Sur l'axe 75, et fixée à la barre 76, peut tourner une dame 77. Un fil de ressort 78 est fixé, par son extrémité inférieure, sur la face extérieure et vers la partie inférieure de la barre 76, ce fil de ressort s'étendant verticalement dans une rainure et étant ensuite recourbé latéralement, comme indiqué en 79, de façon à reposer sur la came 77.
La partie antérieure et inférieure de la claque laté- rale 7 du bâti est découpée et emboutie vers l'extérieur en 7a, comme représenté à la fig. 11, et présente un épau- lement 80, incliné par rapport à l'horizontale et servant au but indiqué ci-après.
Sur la face interne de la plaque latérale 7 est suspen- due, par un pivot 82, une pièce plate 83 de forme particuliè- re, le pivot traversant la partie supérieure de cette pièce.
La partie inférieure de la pièce 81 est bifurquée et forme deux doigts verticaux. Le premier doigt ou doigt antérieur 83 descend derrière la came 77 et présente, sur sa face postérieure, une languette recourbée 84 qui, normalement, se trouve en avant de la languette recourbée 73 du bras 72.
L'autre doigt 85 ou doigt postérieur se trouve en arrière et est recourbé vers l'intérieur de façon à se trouver dans un plan vertical différent du plan du doigt 83. Un arbre vertical 86 est monté à ses extrémités supérieure et inférieure dans des supports 87 fixés sur la face interne de la plaque 7 et faisant saillie vers l'intérieur. Au voi- sinage de son extrémité inférieure, cet arbre est muni d'un ergot horizontal, s'étendant vers l'extérieur 88, qui nor-' malement bute contre l'arête postérieure du doigt 85, le
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contact étant assuré au moyen d'un petit ressort en hélice
89, attaché à une extrémité au bras 72 et à son autre extré- mité à un ergot monté sur l'arbre 86 et s'étendant eh sens inverse de l'ergot 88.
A l'extrémité supérieare de l'arbre
86 est fixé rigidement un signal 90, disposé immédiatement au-dessous de la plaque 29 décrite ci-dessus. Dans la posi- tion normale de ce signal, il est rappelé par le ressort
89 vers l'arrière des ouvertures SI,32 de la plaque 29, mais, si la pièce 81 tourne autour de son pivot 82 vers l'arrière elle provoque la rotation de l'arbre 86 et déplace le sie gnal 90 vers l'avant, dans la position représentée en poin- tillé à la fig. 2, de sorte qu'il vient derrière les ouver- tures 31 et 32 et recouvre le tambour 20 et la roue 26, dé- masquant ainsi une légende tracée sur lui; cette légende pouvant 'être lue par l'ouverture 31.
Cette légende qui, par exemple, est la suivante: "Tirez vers la gauche" indique à l'opérateur la manoeuvre qu'il doit effectuer pour dispo- ser correctement le tissu pour le départ de l'opération de métrage, dans le cas où le signal passe de la position en traits pleins à la position en traits pointillés (fig. 2).
Une barre verticales 91 est fixée d'une façon permanen- te à son extrémité inférieure à la came 66 (voir fig. 3) et son extrémité supérieure est retournée latéralement de façon à se trouver au-dessous de l'arête inférieure incur- vée du côté 69 ci-dessus décrit, et à venir appuyer contre cette arête On vit que, lorsque le rouleau presseur est séparé du rouleau mesureur, la barre 91 pivote vers l'avant et la pièce formée des deux cotés 69 et 70 avec son bras
72 et la traverse 71 peut ainsi tomber, sous l'effet de son propre poids, pour venir occuper la position basse ;
contraire, pour un déplacement inverse du levier 60, lors- que le rouleau presseur est libéré pour venir appuyer le tissu contre le rouleau mesureur, l'extrémité supérieure de
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la barre 91 vient glisser contre l'arête inférieure incur- vée du côté 69, soulève toute la pièce et, en même temps, le bloc 76 pour l'amener dans une position élevée.
Un petit galet ou ergot 92 est monté sur la barre ver- ticale 91 et fait saillie vers l'extérieur, en passant au- dessous'une barre 93, pouvant pivoter à son extrémité pos- térieure en 94 sur le côté 6 du bâti. La barre 93 a une direction inclinée vers l'avant et vers le bas, passe par dessus le galet 92 et son arête inférieure présente en 93a une rampe incurvée de telle sorte que, lorsque la barre 91 pivote vers l'avant, le galet 92, roulant le long de la ram- pe 93a, provoque le soulèvement de la barre 93. pivotant autour de son pivot 94. Vers l'extrémité antérieure de la barre 93 est articulé un prolongement 95 au moyen d'un pivot 96, monté entre les extrémités du prolongement 95 et à l'ex- - trémité antérieure de la barre 93.
La partie du prolongement 95 qui se trouve en arrière du pivot 96 passe entre deux languettes 97 supérieureet inférieure, retournées vers l'in- térieur, faisant corps avec la barre 93 et situées à une petite distance en arrière du pivot 96. La barre 93 présente sur son arête supérieure, à une certaine distance en arriè- re de la languette 97, un bras 98, incurvé vers le haut et vers l'arrière, comme représenté aux figs. 5 et 9, un petit ressort 99 étant relié à ses extrémités à des ergots faisant saillie sur le b as 98 et sur l'extrémité postérieure du prolongement 95.
Ce ressort est disposé de telle sorte qu'il sert à maintenir l'extrémité postérieure du prolongement 95 contre l'une ou l'autre des languettes 97, le ressert agis- sant d'un côté ou de l'autre à l'axe du pivot 96 suivant que le prolongement 95 passe d'une position à l'autre. Lors- que le prolongement 95 bute contre la languette supérieure 97, il se trouve dns le même alignement que la barre 93 et les rouleaux mesureurs et presseurs étant en contact comme
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représente à la fig. 3, le coin antérieur et inférieur du prolongement 95 pénètre dans une ruinure ou ouverture 100 de la tuble 43, Lorsqu'on actionne le levier 60 pour abaisser le rouleau presseur et provoquer pr conséquent le sollève- ment de la barre 93 et de son prolongement 95, le coin infé- rieur dulit prolongement sort de la.
rainure 100 de façon à permettre l'introduction du tissu sous le rouleau mesureur.
Lorsque le tissu se trouve engagé, son mouvement vers le haut, qui s'effectue lorsqu'on libère le rouleau presseur qui se déplace alors vers le haut, provoque le soulèvement du prolongement 95 qui se déplace depuis la position reprée sentée à la fig. 3 jusqu'à la position représentée à la fig. 5, dans laquelle le prolongement 95 a son erête infé- rieure sensiblement horizontale et au-dessus de la généra- trice inférieure du rouleau mesureur 9, de sorte qu'il ne se trouve pas en contact avec le tissu. Si maintenant on sépa- re les rouleaux l'un de l'autre à la fin de l'opération de métrage, ce qui provoque le soulèvement de la barre 93, le coin supérieur du prolongement 95 vient buter contre un er- got 101, disposé au-dessus de lui, comme représenté à la fig.
5, ce qui ramène le prolongement 95 dans le même alignement que la barre 93. Lorsque les deux rouleaux sont en contact, comme représenté à la fig. 3, il est impossible à l'opérateur d'introduire le tissu entre les rouleaux au moyen d'une traction dans un sens diagonal, comme certains opérateurs pourraient essayer de le faire quelquefois.
L'opérateur ne peut pas séparer les rouleaux et essayer d'introduire le tissu entre eux et, par suite de la difficulté qu'il ren- contre à placer l'extrémité du tissu dans la position vou- lue, il enlève le tissu, amène les rouleaux en contact, et insère ensuite le tissu au moyen d'une traction diagonale dirigée vers l'intérieru et dans le sens de la longueur, ce qui serait possible si la barre 93 et son prolongeaient
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95 construite et fonctionnant comme décrit n'étaient pas prévue En d'autres termes, la barre 93 et son prolongement
95 ont pour but d'obtenir d'une façon certaine et systéma- tique l'emploi du mécanisme qui a été prévu pour que le point de départ de l'opération de métrage soit correct.
Le fonctionnement de l'appareil est le suivant: en supposant que la machine soit au zéro, comme représenté à la fig. 2, c'est-à-dire en supposant que le tambour et que la roue 26 soient au zéro, il faut séparer les rouleaux s'ils ne le sont, en abaissant le levier 60. De ce fait, non seulement le rouleau 51 se sépare du rouleau mesureur '. et se trouve maintenu dans la position basse, mais, par suite du mouvement de la barre 91 (voir fig. 3), la pièce coin- posée des cotés 69 et 7o et de la traverse 71 s'abaisse dans la position basse et, par suite, le bloc 76 s'abaisse et pénetre dans la rainure 49 de la face supérieure de la plaque 48, et limite sur le côté la rainure d'entrée 46, comme représenté à la fig. 6.
Le tissu à mesurer peut alors être introduit dans la machine par ladite ouverture entre le rouleau mesureur et le rouleau presseur. Le tissu in- diqué en C, est saisi à la main et tiré vers l'intérieur, comme représenté à la fig. 7, de sorte que l'arête postérieur re du tissu repousse le bloc 76, qui tourne autour de son axe 75 dans la position représentée à la fig. 7, l'extrémi- té inférieure du bloc agissant sur la surface supérieure du tissu.
La came 77 tourne en même temps que le bloc 76 et s'engage contre l'arête antérieure et inférieure du doigt 83 de la pièce 81, laquelle tourne vers l'arrière autour- de son axe 82, l'autre doigt 85 venant buter contre l'ergot 88 (voir fig. 9), ce qui fait tourner l'arbre vertical 86 et amène le signal 90 depuis la position représentée en traits pleins à la fig. 2 jusqu'à la position représentée en pointillé, dans laquelle il recouvre le tambour 20 et
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la roue 26, au-dessous des ouvertures 31 et 32 de la fig. 2.
La légende qui apparait sur le signal 90: "Tirez vers la gauche" informe l'opérateur qu'il soit exécuter cette opéra- tion pour que le point de départ de la mesure soit correct.
Cela signifie que le tissu doit être tiré vers la gauche jusqu'à ce que son extrémité passe au-dessous du bloc 76, lui permettant uinsi de tomber verticalement, comme on le voit à la fig. 6, ce qui libère le signal 90 qui retourne àla position représentée en traits pleins, sous l'action du ressort 89. L'extrémité du tissu se trouvera alors au niveau de la face intérieure du bloc 76 et, par conséquent, au niveau du plan des surfaces adjacentes des couteaux 61 et
52 de sorte que le point de départ du métrage correspondra exactement au plan vertical de l'extrémité du tissu à me- surer et il sera impossible de faire passer plus de tisau dans la machine que la quantité enregistrée ce qui serait le cas si l'extrémité du tissu dépassait d'une certaine dis- tance le point de départ du métrage.
Grâce à la partie ren- trante 63, l'opérateur peut saisir l'extrémité du tissu en- tre le pouce et l'index et le tenir ainsi, même s'il recule, jusqu'à, ce que le tissu rentre dans la machine au-delà de la face intérieure du bloc 76 .
Si, au lieu de tirer le tissu vers la gauche pour obtenir un départ correct, l'opérateur libérait le rouleau près- seur pour l'amener au contact du tissu et appuyer ce dernier contre le rouleau mesureur, cornue représenté L la fig. 8, le signal 90 resterait dans sa position indiquée en pointillé comme on le voit à le fig. 8 et à la fig. 2, bien ue le bloc 78 se soulevé lorsqu'on libère le roule va pres- seur; cela résulte de 1' engagement des deux languettes in- clinées 73 et 74, solidaires respectivement du bras 72 et du doigt 84, la première étant recourbée vers l'extérieur
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et la seconde vers l'intérieur.
La rotation de la pièce 81 vers l'arrière, comme on le voit à la fig. 7, lorsque le tissu est inséré sous le bloc 76, entraine le doigt 83, de sorte que la languette 84 se trouve en arrière de la languet- te 73 et que, si le rouleau presseur est libéré avec éléva- tion subséquente du bras 72, la,languette 73 vient en avant de la languette 84 et maintient la pièce 81 dans sa position arrière, bien que le bloc 76 et la came 77 aient été libérés et se trouvent dans la position verticale, comme représenté à la fig. 8. Par suite, le signal 90 restera dans la posi- tion visible, recouvrira le tambour 20 et la roue 26, empê- chant, ou tout au moins rendant difficile, la lecture des indications qui, autrement, apparaîtrait par les ouvertures 31 et 32. La matière avec laquelle est fabriqué le signal 90 peut être quelconque.
Ce peut être de la tôle ou-autre substance opaque ou du celluloïd ayant le degré de transpa- rence voulu ; de toute façon, pour l'opérateur qui regarde par les ouvertures 31 et 32 pour suivre le métrage, la lec- ture, qui serait facile si le signal 90 se trouvait vers l'ar- rière, se trouve rendue impossible ou difficile. ce qui montre à l'opérateur que l'opération n'a pas été commencée au point de départ correct.
Quelquefois, il peut arriver que le tissu puisse être déplacé vers l'intérieur, puis vers l'extérieur, de façon à faire pivoter le bloc 76 de l'autre coté du plan vertical passant par l'axe 75. Dans ce cas, la portion latérale extrême 79 du ressort 78 appuie contre l'extrémité inférieu- re du doigt 83, de sorte que celui-ci vient occuper la mê- me position que celle qui résulterait de la rotation de la came 77, et provoque le déplacement du signal 90 dans sa po- sition avant. Il est impossible alors à l'opérateur de provo- quer le dé'part incorrect, étant dom.é que le tambour 20 et la roue 26 se trouvent cachés lorsque le tissu est déplacé
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vers l'extérieur après avoir été tiré vers l'intérieur.
Lorsque le tissu a été mis correctement en place pour le départ et qu'uje opération de métrage a été effectuée, on abaisse successivement les leviers 58, 59 et 60 ce ui ¯rovoque successivement le décoapage d'une entaille dans le tisu, le fonctionnement dui frein et l'abaissement de le barre 64 avec l'abaissement simultané du. roule&u pres- seur 51 et l'élévation du. bras 72 et du. bloc 86.
A ce mo- ment, la languette 84, retournée vers l'intérieure et soli- daire du doigt 83, comme représenté à le fig. 10; se dépla- ce vers le haut, en avant de la languette 73, étant donné que la pièce 81 est suspendue verticalement et que la lan- guette 84 se trouve alors en avant de la languette 73,
Le bloc 76 tombe au moment de l'abaissement du bras 72, et son extrémité inférieure vient au contact du. tissu. ar sui- te, si le tissu est tiré vers l'avant hors de la machine, le bloc 76 pivote et vient dans la position représentée à la fig. lu.
L'extrémité horizontale et latérale 79 du ressort 78 tient appuyer contre l'arête antérieure du doigt 83 et tend à faire tourner la pièce 81 vers l'arrière pour amener le signal 90 derrière les ouvertures 31 et 32, Hais la languette 84, venant buter contre la languette 73, empê- che ce mouvement vers l'arrière de la pièce 81, le ressort 78 cède et le bloc 76 peut être tourné vers l'extérieur lorsqu'on enlève le tissu sans qu'il en résulte dans ce cas de déplacement du signal 90.
Lorsque les rouleaux sont séparés pour l'introduction du tissu, la bar-e 93 et son prolongement 95 sont soulevés suffisamment pour que le tissu puisse être facilement in- troduit sous le coin inférieur dudit prolongement, Si, pour une raison quelconque, l'opérateur/essayait de fausser le fonctionnement automatique de la machine en introduisant
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le tissu après avoir amené les rouleaux 9 et 51 en con- tact, ceci élèverait le bloc 76 au-dessus de l'entrée 46 et l'entrée se trouverait bloquée par suite de l'abaissement du prolongement 95 de la barre 93, 1'introduction du tis- su entre les rouleaux étant impossible lorsque la barre et son prolongement sont dans leur position basse, repré- sentée à la fig. 3.
Si on n'utilisait pas la barre 93 et le prolongement 95, l'opérateur pourrait libérer le rouleau presseur et soulever le bloc 67 et introduire ensuite le tissu entre les rouleaux au moyen d'une traction diagonale dirigée vers l'intérieur et dans le sens de la longueur en faisant partir le métrage d'un point quelconque de la longueur du tissu, au-delà du point de départ exact. Mais, comme on l'a dit plus haut, grâce à la barre pivotante 93 et à son prolongement articulé 95, il est absolument im- possible d'effectuer une telle opération avec la machine.
Lorsque le tissu est introduit dans la machine d'une façon correcte, les rouleaux étant séparés et le prolongement 95 étant dans le même alignement que la barre 93, si on li- bère alors le rouleau presseur et qu'on soulève le tissu contre le rouleau mesureur, on soulève en même temps le tis- su contre lo prolongement 95, qui est automatiquement amené dans la position représentée à la fig. 5, te gêne pas le passage et ne frotte pas contra la surface supérieure du tissu.
A la fin de l'opération de métrage, lorsque les rou- leaux sont séparés, le soulèvement de la barre 93, qui se produit simultanément avec la séparation des rouleaux, amène le prolongement 95 au contact de l'ergot 101 et fait bascu- ler ce prolongement pour l'amener dans l'alignement de la barre 93, de sorte que, si le rouleau presseur est libéré et si, on tente d'introduire le tissu entre les deux rouleaux lorsque ceux-ci sont en contact le prolongement 95 occupe la position représentée à la fig. et empêche absolument
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l'introduction du tissu entre les deux rouleaux.
La construction décrite est très pratique et efficace et on est absolument sûr que le métrage d' .ne pièce de tissu partira bien de point de départ correct. l'apaulement 80 de la partie embjutie vers j'intérieur 7a de la plaque 7 se trouve sur le trajet de la portion extrême 79 du res- sort 78 et limite le basculement vers l'extérieur du bloc
76; si ce bloc pivote au-delà. de la position représentée à la fig. 11. le poids du bras 72 et des parties qui lui sont reliées aura pour effet de ramener le bloc 7o dans sa position normale.
Ceci n'a qu'une importance secondaire, étant donné que le bloc 76 retourne normalment à sa posi- tion verticale par son propre poids, mais s'il arrivait qu'il se coinçât pour une raison uelcon e, le ressort in- terviendrait pour le ramener dans la bonne position, l'é- paulement 80 agissant comme un pivot.
Grâce à la construction décrite et représentée, on a la certitude que la mesure partir:.. au point correct et u'on ne délivrera pas une quantité de tissu supérieure à c elle indiquée par la machine. Le signal 90 informe l'employé lorsqu'un métrage n'est pas effectué correctement et ce signal,reste dans sa position, recouvrant le tambour 20 et la roue 26, pendant toute l'opération si le départ n'est pas correct. -sien que la machine puisse fonctionner même lorsque le départ n'est pas correct, l'employé en est averti au début de la mesure et pendant tout le métrage en même temps qu'à la fin de l'opération;
la lecture de la mesure peut être rendue soit impossible, soit difficile, suivant la matière avec laquelle est fabriqué le signal 90. c'est-à-di- re suivant qu'il est opaque au plus ou moins transparent.
Si le signal est en matière opaque, la mesure qui apparaî- trait sur le tambour 20 et la roue 26 ne peut pas être lue et elle ne peut l'être que sur l'indicateur situé à l'avant
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de la machine, ce qui est un inconvénient pour l'employé, cette indication étant plutôt destinée au client qu'à lui- même, et ne pouvant pas être observée facilement au cours de l'opération de métrage.
Bien entendu, l'invention n'est pas strictement limitée aux détails d'exécution décrits et représentés qui peu- vent subir de nombreuses modifications sans sortir du cadre de l'invention.
REVENDICATIONS :
1 - Une machine à mesurer le tissu caractérisée en ce qu'elle comprend un dispositif indicateur ou mesureur actionné par le tissu du fait de son passage dans la machine , cette dernière ayant un point de départ déter- miné, et un dispositif obturateur actionné par le tissu lorsqu'il est mis en place dans la machine et destiné à venir recouvrir ledit organe indicateur lorsque l'extré- mité du tissu dépasse ledit point de départ.
2 - Une machine .uivant 1 caractérisée en ce que les indications de l'organe indicateur sont lues à travers des ouvertures de la machine, ledit organe obturateur venant se placer derrière ces ouvertures lorsqu'il est actionné par le tissu.
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