[go: up one dir, main page]

Aller au contenu

La Roche-Noire

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

La Roche-Noire
La Roche-Noire
La mairie.
Blason de La Roche-Noire
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Clermont-Ferrand
Intercommunalité Communauté de communes Mond'Arverne Communauté
Maire
Mandat
Pascal Bruhat
2020-2026
Code postal 63800
Code commune 63306
Démographie
Population
municipale
623 hab. (2021 en évolution de +2,47 % par rapport à 2015)
Densité 203 hab./km2
Population
agglomération
2 121 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 45° 42′ 30″ nord, 3° 13′ 30″ est
Altitude Min. 315 m
Max. 551 m
Superficie 3,07 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Pérignat-sur-Allier
(banlieue)
Aire d'attraction Clermont-Ferrand
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vic-le-Comte
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
La Roche-Noire
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
La Roche-Noire
Géolocalisation sur la carte : Puy-de-Dôme
Voir sur la carte topographique du Puy-de-Dôme
La Roche-Noire
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-Rhône-Alpes
La Roche-Noire

La Roche-Noire (La Ròcha Nèira en occitan) est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Cinq communes (six en incluant le quadripoint avec Cournon-d'Auvergne) sont limitrophes de La Roche-Noire[1].

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

Le village se trouve à 410 m au pied d'une haute falaise basaltique percée de grottes préhistoriques. Il s'étend sur 307 ha.

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

L'Allier coule à l'ouest de la commune.

La commune est traversée par la route départementale 1 reliant Pont-du-Château et Pérignat-sur-Allier au nord à Mirefleurs et Vic-le-Comte au sud. La D 118 relie la D 1 à l'ouest et Saint-Georges-sur-Allier à l'est ; la D 81a traverse le centre du village[1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 793 mm, avec 10 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Plauzat_sapc », sur la commune de Plauzat à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 606,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , La Roche-Noire est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Pérignat-sur-Allier[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[10]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (51,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (23,7 %), terres arables (21 %), zones urbanisées (15,6 %), mines, décharges et chantiers (13,1 %), forêts (10 %), eaux continentales[Note 4] (7,2 %), prairies (4,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,6 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune a porté le nom de Roche-Margnat[14].

La Roche-Noire a pris son nom actuel, qui est moderne, de la masse de lave qui est très noire au-dessous de laquelle le village est situé[15]. En remontant le temps, il s’est appelé Villa Mariniacum en 959. La Roche Margnat en 1481. La Roche de Marniac en 1686. La Roche de Margnat en 1762.

La Roche de Mirefleurs en 1789. Au XVIIIe siècle, le village s’appelait Dreuil-en-la-Roche et son centre, avec l’église paroissiale Saint-Symphorien, était en contrebas près de l’Allier, au pied d'une falaise de basalte. Cet habitat, menacé par le délitement de la falaise, fut progressivement abandonné[15] ; il est aujourd’hui complètement disparu.

Au point de vue religieux, c’était une dépendance de l’abbaye des Bénédictines de Beaumont qui avait établi un petit prieuré à Dreuil. L’abbaye de Beaumont prélevait des droits féodaux de La Roche Noire et de Dreuil en 1789. Il y avait aussi un seigneur laïque qui percevait des droits à La Roche Noire, François de Combres, écuyer, seigneur de Mont, fils d’Hector, écuyer, rendit foi et hommage au roi pour les cens et rentes qu’il prélevait à la Roche Noire et à Mirefleurs en 1669, 1684.

Charles III de la Roche Lambert, seigneur de Monteil, d’Orsonnette, de La Roche-Mirefleurs (La Roche Noire) épousa en 1712 Marie-Marthe-Françoise de Colomb de la Tour dont il eut : Laurent-François-Scipion, comte de La Roche Lambert, seigneur d’Orsonnette, le Monteil, La Roche Mirefleurs marié en 1748 à Michelle-Anne Douart de Fleurance.

En 1815, une compagnie de cavaliers autrichiens a séjourné à La Roche-Noire, pays de vignerons.

Le village était en voie d’abandon à la veille de la Seconde Guerre mondiale : son renouveau démographique est dû à l’installation de personnes travaillant à Clermont et à des propriétaires de résidences secondaires se faisant recenser dans la commune.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Découpage territorial

[modifier | modifier le code]

La commune de La Roche-Noire est membre de la communauté de communes Mond'Arverne Communauté, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le siégeant à Veyre-Monton, et par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[16]. Jusqu'en 2016, elle faisait partie de la communauté de communes Gergovie Val d'Allier Communauté[17].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Clermont-Ferrand, à la circonscription administrative de l'État du Puy-de-Dôme et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[10].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Vic-le-Comte pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[10], et de la quatrième circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[18].

Élections municipales et communautaires

[modifier | modifier le code]

Élections de 2020

[modifier | modifier le code]

Le conseil municipal de La Roche-Noire, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[19] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[20]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 15. La totalité des quinze candidats en lice est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 49,50 %[21].

Chronologie des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1800 1810 Joseph Picot-Lacombe    
1810 1814 Claude Piale    
1814 1814 Pierre Francon    
1814 1822 Joseph Duprat    
1822 1832 Annet Gagnon-Dousse    
1832 1848 Philippe Chabry    
1848 1850 Amable-Henri Gagnon    
1850 1855 Jean Montabrut    
1855 1870 Jean-Baptiste Chabrit-Moidon    
1870 1878 Amable-Henri Gagnon    
1878 1881 Jules-Etienne Boyer    
1881 1884 Amable-Henri Gagnon    
1884 1888 Francisque Bourdillon    
1888 1900 Pierre Montabrut-Cohade    
... ... ... ... ...
2001 2014 Marc Testard    
mars 2014 mai 2020 Mme Hélène Federspiel[22]    
mai 2020 En cours
(au 30 août 2020)
Pascal Bruhat[23]   Responsable marketing[24]

Équipements et services publics

[modifier | modifier le code]

Enseignement

[modifier | modifier le code]

La Roche-Noire dépend de l'académie de Clermont-Ferrand. Elle gère une école élémentaire publique[25].

Les collégiens se rendent à Cournon-d'Auvergne, au collège La Ribeyre[26]. Les lycéens se rendent aussi à Cournon-d'Auvergne, au lycée René-Descartes pour les filières générales et STMG ; toutefois, pour la filière STI2D, ceux-ci fréquentent les lycées La-Fayette à Clermont-Ferrand[27].

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].

En 2021, la commune comptait 623 habitants[Note 5], en évolution de +2,47 % par rapport à 2015 (Puy-de-Dôme : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
271316340350312309322308309
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
285274280275285277271296275
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
247224188166150152124111129
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
11599158304426476624624619
2015 2020 2021 - - - - - -
608624623------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

L’activité vigneronne a fortement marqué l’architecture du village. Le bâti excède rarement deux étages et les volumes sont souvent simples : toitures à faible pente, en tuiles canal, avec génoise à l’égout ou corniches en volvic ; pierre de Volvic ou arkose pour les chaînages d’angle et les encadrements de fenêtres.

  • L'église, ancienne chapelle castrale du XIIe siècle, entièrement rénovée aujourd’hui, rappelle, par sa disposition intérieure, celle des Baux-de-Provence. Cette chapelle renferme un retable du XVIIe siècle en bois sculpté et doré, de nombreuses statues classées et une exposition de vêtements sacerdotaux.
  • Le château de Bellerives, dont la construction remontait au premier quart du XIXe siècle. Il fut édifié par George Onslow bien après 1808, date à laquelle il épousa Mademoiselle de Fontanges. Le château a été démoli dans les années 1990 et il ne reste aujourd’hui qu’un escalier enfoui sous la végétation.
  • Le futur Écopôle « La Roche Noire/Pérignat-ès-Allier » prend cœur sur son emplacement.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
Fils de Antoine Achard-Lavort, bourgeois, et de damoiselle Antoinette Taillardat, il est étudiant à l'abbaye de Châtrices en 1777, puis à l'abbaye Saint-Barthélemy de Noyon en 1778. Nommé diacre en 1778, il devient prêtre en 1780 à Saint-Antonin puis à Saint-Laon de Thouars en 1781[32]. Nommé curé à La Roche-Noire et refusant de prêter serment à la Constitution civile du clergé, Marc-Jean Achard-Lavort, est alors déclaré prêtre réfractaire. Capturé, il est envoyé en déportation en Guyane, le sur le bateau « La Bayonnaise » et débarque à Cayenne le 6 octobre suivant[33]. Relégué à Sinnamary, il y meurt de la peste le 3 décembre 1798[34].
  • George Onslow : compositeur français de la première moitié du XIXe siècle qui vécut de nombreuses années sur le territoire de la commune, dans le château de Bellerives détruit en 1991.
  • Jean-Baptiste Desfours, un des 167 savants qui accompagna Bonaparte en Égypte est décédé dans la commune le 24 novembre 1820 ; il était alors chef de bataillon retraité.

Héraldique

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Pérignat-sur-Allier comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a et b Carte de La Roche-Noire sur Géoportail.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre La Roche-Noire et Plauzat », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Plauzat_sapc », sur la commune de Plauzat - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Plauzat_sapc », sur la commune de Plauzat - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 de Pérignat-sur-Allier », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune de La Roche-Noire ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  14. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  15. a et b Pierre Jean-Baptiste Legrand d'Aussy, Voyage fait en 1787 et 1788 dans la ci-devant haute et basse Auvergne aujourd'hui départemens du Puy-de-Dôme, du Cantal et partie de celui de la haute Loire, vol. 3, 1793, p. 374-375 (en ligne).
  16. « CC Mond'Arverne Communauté (No SIREN : 200069177) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  17. « CC Gergovie Val d'Allier Communauté (No SIREN : 246300933) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  18. « Découpage électoral du Puy-de-Dôme », sur Politiquemania (consulté le ).
  19. Article L. 252 du Code électoral.
  20. « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de moins de 1 000 habitants », sur vie-publique.fr, .
  21. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  22. Liste des maires 2014 [PDF], site de la préfecture du Puy-de-Dôme (consulté le 13 juillet 2014).
  23. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme », sur amr63.asso.fr, Association des maires ruraux du Puy-de-Dôme (consulté le ).
  24. Supplément « Annuaire des maires Puy-de-Dôme », La Montagne, , p. 28 (édition du Puy-de-Dôme).
  25. Annuaire des établissements scolaires de La Roche-Noire sur le site du ministère de l'Éducation nationale.
  26. « Sectorisation », sur puy-de-dome.fr, Conseil départemental du Puy-de-Dôme (consulté le ). Taper « LA ROCHE-NOIRE » dans le formulaire de saisie.
  27. Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, « Sectoriation des lycées - Département du Puy-de-Dôme » [PDF], sur ac-clermont.fr, Académie de Clermont-Ferrand (consulté le ), p. 12.
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Acte de naissance de Marc-Jean Achard-Lavort page 64 en bas à droite et 65 en haut à gauche en date du dernier mars 1755.
  32. Prosopographie génovéfaine : répertoire biographique des chanoines réguliers par Nicolas Petit, page 29.
  33. Liste des déportés de La Bayonnaise (1er de liste).
  34. Martyrologe du clergé français pendant la révolution.