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Échantillonnage Et Reconstruction Des Signaux, Analyse Temporelle & Fréquentielle
Échantillonnage Et Reconstruction Des Signaux, Analyse Temporelle & Fréquentielle
Échantillonnage Et Reconstruction Des Signaux, Analyse Temporelle & Fréquentielle
Option
Électrotechnique Industriel
Master 1
Module
RAPPORT TP1
Présenté par :
1. Sellami Hadil
2. Chettibi Abdelghani
L'échantillonnage d'un signal continu est l'opération qui consiste à prélever des échantillons
du signal pour obtenir un signal discret, c'est-à-dire une suite de nombres représentant le signal,
dans le but de mémoriser, transmettre, ou traiter le signal.
On s'intéressera à un signal temporel représenté par une fonction u(t), où t est le temps, mais
les résultats se transposent sans difficulté aux cas de fonctions d'autres variables, par exemple
de variables d'espace. En particulier, les résultats seront utilisables pour l'échantillonnage d'une
image, c'est-à-dire une fonction I(x, y) de deux variables d'espace.
II. But de TP :
- Maintenir un signal continu en appliquant les conditions de Shannon
- Comprendre l'échantillonnage et la reconstitution d’un signal
- Utilisation d’un échantillonneur simple et d’un échantillonneur-bloqueur
- Visualisation des signaux dans les domaines temporel et fréquentiel
- Étude du filtre anti-repliement
III. Partie Pratique :
1. A l’aide du logiciel Matlab, tracer l’allure la réponse impulsionnelle y(t)
clc
clear
tho=0.1;
T=tho/10;
%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
t_fin=1;
time=[0:T:t_fin];
%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
y_t=(1/tho)*exp(-time/tho);
%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
plot(time,y_t,'o')
1 0
6
y ( t)
0
0 0 .1 0 .2 0 .3 0 .4 0 .5 0 .6 0 .7 0 .8 0 .9 1
tim e ( s )
Remarque
plus la fréquence d'échantillonnage est élevée ,plus l'information est perdue
c'est le problème du spectre
On peut à présent augmenter la fréquence d'échantillonnage en ajoutant des zéros entre ces deux parties.
L'intervalle de fréquence entre deux points voisins reste 1/T. La nouvelle fréquence d'échantillonnage se
calcule à partir du nombre de points total.
exemple T=tho/50 f=1//T
1 0
6
y ( t)
0
0 0 .1 0 .2 0 .3 0 .4 0 .5 0 .6 0 .7 0 .8 0 .9 1
tim e ( s )
L'expression temporelle :
u(t)=δ(t)
u(s)=1
τ=0,1s
T=τ/10 =0,01s
pour vérifie
t →0
S=JW=J2Πf=J2Π/T
1 2 0
1 0 0
8 0
y1+ y2 + y3
6 0
4 0
2 0
0
-4 0 0 0 -3 0 0 0 -2 0 0 0 -1 0 0 0 0 1 0 0 0 2 0 0 0 3 0 0 0 4 0 0 0
p u ls ( w )
Remarque et conclusion :
exemple:T=tho/5
6 0
5 0
4 0
y1+ y2 + y3
3 0
2 0
1 0
0
-2 0 0 0 -1 5 0 0 -1 0 0 0 -5 0 0 0 5 0 0 1 0 0 0 1 5 0 0 2 0 0 0
p u ls ( w )
3. Vérifier la validité du théorème de Shannon :
Le théorème de Shannon concerne les signaux dont le spectre possède une fréquence maximale fm ,
que l'on appelle des signaux à bande limitée.
la fréquence maximale est celle de la plus grande harmonique. Théorème de Shannon : pour que le
signal puisse être entièrement reconstruit à partir des échantillons, il faut et il sut que :
fₑ ≥2fm → fm : la fréquence maximale de signal
T : période d'échantillonnage
fₑ : la fréquence d'échantillonnage
pour T=1/fₑ
clc
clear
tho=.1;
T=tho/10;
%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
t_fin=1;
time=[0:T:t_fin];
%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
y_t=(1/tho)*exp(-time/tho);
%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
N=length(time);
%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
for k=1:N
som=0;
for n=1:N
ds=y_t(n)*exp(-j*2*pi*(k-1)*(n-1)/N);
som=som+ds;
end
Y(k)=som;
end
abs_Y=T*sqrt((Y.*conj(Y)));
%%%%%%%%%%%%%%%%%%
f_step=(1/T)/N;
f_start=0;
f_finish=(1/T)*(N-1)/N+f_start;
%f=(1/Ts)/N*(0:(N-1));
f=f_start:f_step:f_finish;
% %%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
plot(f,abs_Y)
1 .4
1 .2
0 .8
a bs(y)
0 .6
0 .4
0 .2
0
0 1 0 2 0 3 0 4 0 5 0 6 0 7 0 8 0 9 0 1 00
f(hz )
Remarque :
Cette opération effectuée dans le domaine fréquentiel revient à augmenter la fréquence d'échantillonnage
sans perdre d'information. Il reste à effectuer la transformée de Fourier discrète inverse
fₑ/2=50 HZ
exemple :T=tho/50
fₑ/2=250HZ
1 .4
1 .2
0 .8
a bs (y )
0 .6
0 .4
0 .2
0
0 5 0 1 00 1 50 2 00 2 50 3 00 3 50 4 00 4 50 5 00
f(hz )
Le dispositif le plus simple maintient la commande constante entre deux échantillonnages : c'est
le bloqueur d'ordre zéro ( BOZ ). C'est un rôle souvent assumé par le registre de sortie des
calculateurs ou microprocesseurs : il conserve une donnée jusqu'à l'arrivée de la suivante.
le circuit bloqueur d’ordre zéro (BOZ) qui a pour action de maintenir constante
La fonction de transfert d’un BOZ est donnée par :
clc
clear
tho=0.03;
Ts=tho/3;
%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
w = logspace(-15,.05,100000); % echelle logarithmique des pulsation
%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
HOZ=(1-exp(-j*w/Ts))./(j*w/Ts); % expression du BOZ
%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
abs_HOZ = 20*log10(abs(HOZ)); % gain en dB
angle_HOZ=angle(HOZ)*180/pi;
% trabe fu diagramme de Bode
subplot(2,1,1)
plot(w,abs_HOZ);
%%%%%%%%%%%%%%%%%
subplot(2,1,2)
plot(w,angle_HOZ)*180/pi;
a bs (H O Z ) 0
-5 0
-1 0 0
-1 5 0
-2 0 0
0 0 .2 0 .4 0 .6 0 .8 1 1 .2 1 .4
w
a n g le (H O Z )
-5 0
-1 0 0
-1 5 0
-2 0 0
0 0 .2 0 .4 0 .6 0 .8 1 1 .2 1 .4
w
Remarque :
-Le filtre anti-repliement idéal élimine toutes les fréquences supérieures à la moitié de la
fréquence d'échantillonnage donc elimine les spectres complémentaires du signal ,comme il se
comporte exactement comme un intégrateur.
5. A l’aide du logiciel Simulink, essayer de voir de près l’effet d’un filtre anti-repliement :
-le filtre de type passe-bas, est appelé filtre anti repliement ou anti-recouvrement conçu pour
isoler le spectre fondamental des spectres complémentaires.
Donc c'est vérifie
IV-Conclusion Générale :