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Voir aussi : faitage

Étymologie

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(XVIIe siècle)[1] Dérivé de faîte, avec le suffixe -age[2]. (XIIIe siècle) En ancien français festage (« droit annuel dû au seigneur pour chaque maison »)[1].

Nom commun

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Singulier Pluriel
faîtage faîtages
\fɛ.taʒ\
 

faîtage \fɛ.taʒ\ masculin

  1. (Architecture) Ouvrage qui permet de joindre les deux versants d'une toiture. Il doit assurer l'étanchéité de la couverture d'un bâtiment, ainsi que sa solidité.
    • Le voyageur qui eût aperçu de loin le castel dessinant ses faîtages pointus sur le ciel, au-dessus des genêts et des bruyères, l’eût jugé une demeure convenable pour un hobereau de province ; mais, en approchant, son avis se fût modifié. — (Théophile Gautier, Le capitaine Fracasse, 1863)
  2. (En particulier) Pièce de bois qui termine le comble et sur laquelle s’appuient les chevrons.
  3. Plaque de métal que les couvreurs disposent en haut d’un toit.
    • Enfin, l’enrichissement des toits par la dorure des faîtages, de toute la plomberie des lucarnes et des chéneaux. — (Jean de La Varende, Versailles, édition Henri Lefebvre, 1959, page 21)
  4. (Droit féodal) Droit payé au seigneur pour avoir l'autorisation de construire une maison.
    1. Droit qu'avaient parfois les habitants de certaines seigneuries de prélever dans les bois un arbre pour faire la charpente de leur habitation.

Traductions

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Prononciation

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  • France (Vosges) : écouter « faîtage [fɛtaʒ] »
  • Céret (France) : écouter « faîtage [fɛtaʒ] »
  • Somain (France) : écouter « faîtage [Prononciation ?] »

Voir aussi

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  • faîtage sur l’encyclopédie Wikipédia  

Références

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