[go: up one dir, main page]

Come ye Blessed (Venez les Bénis) est l'hymne local des îles Pitcairn et de l'Île Norfolk[1]. Spécifique aux territoires, il est entonné lors de rassemblements festifs.

Come Ye Blessed (en)
Venez les Bénis
Hymne local de Drapeau des Îles Pitcairn Pitcairn
Drapeau de l'île Norfolk Île Norfolk
Musique John Prindle Scott
Fichier audio
Fichier audio externe Come Ye Blessed

God Save the Queen reste toutefois l'hymne national des Pitcairn ; la chanson « We From Pitcairn Island » (sur l'air de l'hymne «The Royal Telephone») y est également utilisée comme hymne non officiel.

Il n'est pas étonnant de retrouver l'hymne à Norfolk car l'île a dans les années 1850 vu arriver des colons des Pitcairn, l'archipel étant devenues trop petites pour leur nombre croissant.

Paroles

modifier

Les paroles sont tirées de l'Évangile selon Matthieu, chapitre 25, versets 34-36 et 45.

Version officielle (en anglais) Traduction en français

     Then shall the King
     Say unto them
     On his right hand:
     Come ye blessed of my Father
     Inherit the kingdom prepared for you
     From the foundation of the world

     I was hunger’d and ye gave me meat,
     I was thirsty and ye gave me drink
     I was a stranger and ye took me in,

     Naked and ye clothed me,
     I was sick and ye visited me,
     I was in prison and ye came unto me

     In as much ye have done it unto one of the least of
     These my brethren
     Ye have done it unto me,
     Ye have done it unto me.

     Alors le Roi
     dira à ceux
     qui seront à sa droite :
     Venez, les bénis de mon Père,
     recevez en héritage le Royaume préparé pour vous
     depuis la fondation du monde.

     Car j’avais faim, et vous m’avez donné à manger ;
     j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ;
     j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ;

     j’étais nu, et vous m’avez habillé ;
     j’étais malade, et vous m’avez visité ;
     j’étais en prison, et vous êtes venus jusqu’à moi !

     Chaque fois que vous ne l’avez pas fait
     à l’un de ces plus petits,
     c’est à moi que vous ne l’avez pas fait
     c’est à moi que vous ne l’avez pas fait

Références

modifier

Voir aussi

modifier