Historiy of Art

Beylerbeyi Sarayı Sultan Abdülaziz tarafından 1863-65 yılları arasında inşa edildi. Bu saray mimarlık tarihi açısından taşıdığı önem yanında ağırladığı konuklar ve dolayısıyla Türk diplomasi tarihi bakımından da önemli olaylara tanıklık etmiştir. 1869 yılında ağırlanan Fransa İmparatoriçesi Öjeni  ile hemen sonrasında İstanbul'u ziyaret eden Avusturya-Macaristan İmparatoru Franz Joseph bunlardan ilk ikisidir. Bu makalede bir yandan Beylerbeyi Sarayı tarihçesi üzerinde ana hatları ile durulurken diğer yandan da Öjeni'nin ziyareti üzerinde durulacaktır.

Dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, émergent des discours sur l’art destinés à une longue postérité. Alors que les traités en France depuis le siècle précédent avaient été élaborés autour de l’Académie royale de Peinture et de Sculpture, et reposaient essentiellement sur l’expérience des oeuvres et la mise en évidence des qualités et défauts de celles-ci, afin de faciliter la pratique de l’art par la découverte de ses règles internes, de nouveaux acteurs interviennent, pour lesquels le mode d’élaboration des oeuvres n’est plus l’enjeu central. Les philosophes s’interrogent sur la validité du jugement esthétique ; les critiques d’art sur l’effet produit par les œuvres ; les historiens sur les causes du progrès et du déclin de l’art à travers les siècles.
Les discours se multiplient, se nourrissent mutuellement, s’entremêlent. On discute des origines de l’art, de ses finalités, des moyens de le faire progresser… Les débats qui s’engagèrent et les systèmes explicatifs qui furent utilisés, pour la plupart, ne sont plus les nôtres, mais ils ont ouvert la voie, pour le meilleur et pour le pire, à la multiplicité des approches encore aujourd’hui usitées et qui font de l’art un objet de préoccupations largement partagées par les chercheurs et le public. Les actes de ce colloque témoignent du foisonnement intellectuel qui caractérise le siècle de l’abbé Du Bos, de Diderot et de Winckelmann.

Collection d’histoire de l’art n° 15 – Actes du colloque co-organisé par l’Académie de France à Rome – Villa Médicis et la Faculté des lettres de l’Université de Lausanne, avec le partenariat du Centre allemand d’histoire de l’art de Paris et l’Institut Suisse de Rome.

This exhibition consists of 39 oil paintings. All works comprise twin hardwood panels and were made between 2011 and 2016. In my work I remain aware of painting’s possibilities as both object and image. Joining panels, horizontally and vertically, imposes a physical meeting place: a presence that carries with it a reminder of absence, in the form of an imposed and irregular gap. As images the works serve as glimpses of places seen and remembered, then reconstituted through painterly processes. The small scale permits me to touch and see, and to feel closer to what it is that inhabits my space. In its nearness painting becomes more akin to a seductive surface wherein things simply show up and resonate in proximity to other things. This exhibition has allowed me to further explore a number of ongoing concerns in the course of considering forms of sensory response to painted objects under unusual aspects. In particular, in exhibiting the group of paintings in a tiny arena, I have adopted elements of both a white cube gallery space and the Salon in miniature. The panels are arranged thematically and formally across three walls, so as to draw attention to pictorial, narrative and physical, material relationships within and between works. At the same time, the paintings look outwards, towards the Green and towards each other.