V IV RE AU BOR D D ES LACS AU N ÉO LITH IQUE
>> L’antique Aléria
Une perspective scientifique
élargie
Franck ALLEGRINI-SIMONETTI
>> Responsable du site d’Aléria, collectivité territoriale
Fouillée entre 1955 et 1980, la ville
antique d'Aléria fait aujourd’hui l’objet d'un
bilan des données scientifiques afin
d’établir les bases de la recherche future
pour une valorisation actualisée. Ce bilan
prend en compte la dimension de territoire
autour de la capitale de la province
romaine de Corse, cette dernière étant
désormais appréhendée comme un site au
cœur d’un système en constante évolution
depuis la préhistoire jusqu’à la fin de
l’Antiquité.
42 / Dossiers d’Archéologie / n° 370
de Corse
Gael BRKOJEWITSCH
>> Archéologue, responsable d’opérations, Pôle archéologie
préventive de Metz Métropole
Agnès BERGERET
>> Archéologue, responsable d’opérations, Inrap
UMR 5140, université Paul-Valéry, Montpellier
Arnaud COUTELAS
>> Archéologue, responsable d’opérations, ArkeMine, UMR
8546 Paris
Laurent VIDAL
>> Archéologue, responsable d’opérations, Inrap
UN REGARD NEUF SUR LA VILLE
ous les édifices et équipements urbains de
l’agglomération antique d’Aléria ont fait
l’objet, entre 2011 et 2013, d’une nouvelle
analyse du bâti. L’objectif était double. Il s’agissait
tout d’abord de créer une base documentaire pouvant servir d’assise à tout programme de consolidation ou de restauration des maçonneries. Il s’agissait
ensuite de porter un regard neuf sur la ville, et
notamment sur son cœur monumental, dégagée
principalement à la fin des années 1950.
On a ainsi pu confirmer que la physionomie de
la ville dépendait grandement de son environnement physique et géologique. Le plan n’est pas hippodamien1 et dépend du relief : un plateau de 40 à
60 m d’altitude, long de 2,7 km et ponctué de trois
collines. Le forum est logiquement placé entre les
trois buttes, dans un secteur tabulaire dont la planéité a probablement été accentuée par des terrassements. Les techniques de construction sont
dominées par le petit appareil d’aspect fruste (opus
incertum) à galets siliceux. Ces derniers sont aisément disponibles en contrebas de la ville.
Les vestiges aujourd’hui accessibles se trouvent
en arrière d’un rempart. Au sud apparaît un amphithéâtre, de 29 m par 23 m. Il serait le plus petit
exemplaire du monde romain. Cette petitesse alimente le débat sur sa fonction réelle, et l’hypothèse
d’un ludus2 est proposée, mais sans preuve.
Le cœur monumental s’organise autour de la
place du forum, ceinte à l’origine par un portique
T
Plan de la ville antique d’Aléria.
© S. Painsonneau, A. Coutelas,
ArkeMine
Ville antique d’Aléria, vue du plateau
vers l’est, hameau du Fort au nord.
© S. Aude, Balloïde photo CTC
1. Plan hippodamien : plan de ville
en damier, où les rues se croisent à
angle droit pour former des îlots
carrés ou rectangulaires, du nom de
l'urbaniste Hippodamos de Milet
(Ve siècle avant J.-C.)
2. Ludus : lieu de casernement et
d’entraînement des gladiateurs.
n° 370 / Dossiers d’Archéologie / 43
L’ANTIQUE ALÉRIA. UNE PERSPECTIVE SCIENTIFIQUE ÉLARGIE
Vue depuis le nord-ouest
du sanctuaire occidental,
avec la branche nord du
portique au premier
plan, puis le temple (dit
« capitole »). La place du
forum apparaît au
second plan. Photo S.
Painsonneau, ArkeMine.
3. Capitole : colline
de Rome où se situe
le temple dédié à la triade
Jupiter-Junon-Minerve.
Le terme désigne aussi les
temples dédiés à la même
triade construite dans
certaines colonies de
l'Empire en imitation
de la capitale.
4. Tegula (pl. tegulae) :
tuile romaine, plate
et à rebords latéraux.
5. Adobe : brique en terre
crue.
(excepté à l’ouest). Au nord se trouvent une basilique
et une domus, tandis qu’au sud se sont implantées des
boutiques et une autre domus. À l’est s’observe le temple dit « de Rome et Auguste », un édifice de
13,60 m par 10,60 m, hors escalier. Son identification
pose en réalité souci, et il conviendrait de lui donner
une appellation neutre (« temple oriental »). Son
implantation se fait au détriment du portique de la
place, condamné à l’est, peut-être sous Auguste.
À l’ouest se trouve un complexe communément
appelé « prétoire », accueillant un temple identifié
comme étant le capitole3. Ce secteur a été entièrement revu. L’ensemble n’est pourtant pas un praetorium, terme indiqué pour désigner la demeure du
gouverneur. Il s’agit d’un vaste complexe cultuel
(« sanctuaire occidental »), constitué d’un temple
inscrit dans une porticus triplex d’environ 43 m par
38 m, c’est-à-dire un portique à trois branches perpendiculaires, celle qui est située au nord étant à
une nef, les deux autres étant à deux nefs. Le temple
mesure, hors escalier, 15 m par 15 m. Les dimensions internes de la cella sont de 7,4 m par 6,5 m.
Les fouilleurs y voyaient un temple toscan entouré
de colonnes sur trois côtés (périptère sine postico)
avec six d’entre elles en façade (prostyle hexastyle).
Les dernières observations nous amènent à le comprendre comme étant un temple de type étrusco-ita-
44 / Dossiers d’Archéologie / n° 370
lique avec seulement quatre colonnes en façade (prostyle tétrastyle). On sait aujourd’hui que nombre de
temples dominant le forum ne sont pas des capitoles.
L’interprétation de capitolium ne peut être formellement retenue en l’absence d’argument direct : dédicaces, représentations de la triade capitoline…
DE CHAUX ET DE TERRE : L’HABITAT
ANTIQUE
L’aménagement par le département de HauteCorse d’un espace d’interprétation à côté du musée
d’Archéologie, dans la maison Rossi, a nécessité un
diagnostic archéologique puis une petite fouille d’archéologie préventive en 2013. Situées à proximité
du fort de Matra, abritant le musée, les parcelles
concernées ont livré des constructions appartenant
à la ville romaine. Même si les emprises des observations sont modestes, elles révèlent la présence de
maisons, dont une partie a été victime d’un incendie. Les murs sont parfois conservés en élévation sur
une hauteur de près de 1 m. Ils sont bâtis en utilisant, en dehors des galets et des briques, deux types
de matériaux de construction : la chaux et la terre.
Ainsi, la plupart des parties basses des murs sont
constituées de galets liés à l’aide d’un mortier de
chaux très solide. Toutefois, une autre base de mur
est bâtie avec de l’argile mêlée de chaux liant de gros
Solin de mur
à l’argile mêlée
de chaux liant
des fragments
de tegulae.
Photo L. Vidal,
Inrap.
Sous les
effondrements de
terre rubéfiée, des
éléments de bois
cloués carbonisés.
Photo L. Vidal,
Inrap.
fragments de tegulae4. La partie supérieure de ces
soubassements est soigneusement régularisée par un
lit de mortier de chaux. Au-dessus, l’élévation des
murs se poursuit alors en terre. Les effondrements
observés montrent qu’il s’agit d’une mise en œuvre
massive de terre argileuse damée recelant des tessons de poterie et des fragments de tuiles. Un sol de
terre observé au pied d’un mur livre des éléments
de bois carbonisés, qui pourraient indiquer la présence d’une architecture en pan de bois ou en
colombage. Les murs sont recouverts d’un enduit au
mortier de chaux pouvant être peint.
La découverte d’une brique de terre crue et de
fragments d’autres exemplaires se trouvant dans un
remblai montre qu’il existe aussi des constructions
en adobe5. Cette technique est ancienne à Aléria,
puisqu’elle est illustrée par un tronçon du rempart
préromain daté de la fin du IVe siècle avant J.-C.,
dans lequel sont joints l’appareil en calcaire et le
noyau de briques crues.
UN QUARTIER PÉRIPHÉRIQUE,
MIROIR DE L’HISTOIRE URBAINE
Un autre secteur d’étude est situé dans le quartier dit « du fort » (église San Marcello), à l’extrémité septentrionale du plateau. Une campagne de
fouille y a été réalisée en 2011 ; elle a mis en évidence les prémices tardives d’une urbanisation de
cette zone localisée aux marges de l’agglomération
antique.
C’est seulement au IIe siècle avant J.-C. que les
premiers éléments du bâti sont mis en place. Au
changement d’ère, les bâtiments primitifs sont abann° 370 / Dossiers d’Archéologie / 45
L’ANTIQUE ALÉRIA. UNE PERSPECTIVE SCIENTIFIQUE ÉLARGIE
Une brique
d’argile crue
(adobe).
Photo L. Vidal,
Inrap.
Évolution du
quartier du fort du
IIe siècle avant J.-C.
jusqu’au VIe siècle
après J.-C. Levée
topographique C.
Bioul, P. Sarassin DAO A. Recolin,
A. Bergeret
46 / Dossiers d’Archéologie / n° 370
donnés et les nouvelles constructions, encore peu
nombreuses, sont aménagées, légèrement décalées
vers l’est. Ce n’est qu’aux IIe-IIIe siècles après J.-C. que
l’agglomération s’affranchit des limites de l’assise
urbaine, jusqu’alors assujetties à la proximité des
espaces publics, sans doute dans le cadre de l’expansion de la cité, et une véritable trame apparaît, qui
matérialise plusieurs bâtiments. Les observations,
contraintes au sein de sondages restreints, n’ont pas
permis de caractériser le réseau de rues, et la nature
exacte de l’occupation n’est pas renseignée : zone
d’habitat ou zone artisanale pouvant coexister.
Deux siècles plus tard, durant l’Antiquité tardive,
les vestiges révèlent une image encore différente de
l’occupation, avec l’édification de nouveaux bâtiments présentant une ultime orientation, le tout
étant construit sur les ruines des îlots antérieurs.
Cette période de rétractation de l’habitat correspond
avant tout à un temps de transition, qui voit la mise
en place d’un évêché, le premier évêque, Martin,
étant mentionné en 591. Cette zone à l’écart de la
cité, placée en tête de plateau, servira d’assiette à la
matérialisation du pouvoir épiscopal, avec la
construction d’une cathédrale, dont les vestiges sont
encore à découvrir.
AUTOUR D’ALÉRIA,
DES EXPLOITATIONS LITTORALES
En périphérie d’Aléria, le territoire était exploité
afin de répondre aux besoins de l’agglomération
romaine. L’existence de plusieurs domaines destinés
aux productions alimentaires a été pressentie, grâce
à des prospections pédestres et des découvertes fortuites (à Bravone, à Tallone), mais aucun établissement n’a été dégagé. Des recherches récentes ont
permis de caractériser et d’appréhender l’organisation d’un petit établissement sur la commune de
Pianello. Une opération de fouille programmée s’est
déroulée en avril 2015.
Les vestiges sont situés sur un cordon de terre
qui sépare la mer de l’étang de Diana, à environ
5 km au nord de la ville antique. Cinq sondages ont
mis en évidence des murs appartenant à au moins
un bâtiment ainsi que des structures excavées. Le
mobilier en céramique découvert dans les niveaux
d’abandon couvre l’intégralité des Ier et IIe siècles
Étang de Diana (Haute-Corse),
îlot constitué de coquilles
d’huîtres perforées.
Photo G. Brkojewitsch.
n° 370 / Dossiers d’Archéologie / 47
L’ANTIQUE ALÉRIA. UNE PERSPECTIVE SCIENTIFIQUE ÉLARGIE
Étang de Diana
(Haute-Corse),
fouilles
de l’établissement
littoral.
Photo G.
Brkojewitsch.
6. Lidar : acronyme de Light
Detection and Ranging, le
lidar est une technologie de
télédétection ou de mesure
optique fonctionnant
comme un radar.
7. Tombe en bâtière : type
de sépulture où l'on agence
des tuiles plates pour former
un toit à double pan sur le
corps inhumé. Les interstices
peuvent être obstrués par
des tuiles creuses.
après J.-C. Les murs ont été édifiés sur des fondations
de galets solidarisés au mortier de chaux. Le plan
partiel qui se dessine montre un établissement
orienté sud-ouest/nord-est et doté d’une galerie
ouverte à l’ouest vers l’étang. Les limites de trois
espaces ont pu être relevées. Au bas des murs, des
fragments d’enduit peint suggèrent que l’aménagement de la partie nord de l’édifice était soigné. Un
foyer, des fosses et des canalisations permettent de
définir l’aile septentrionale comme un espace à
vocation domestique. Des activités halieutiques ont
été suspectées grâce à la présence proche d’une île
artificielle, de près de 1 ha, constituée de coquilles
d’huîtres. À l’exception d’un lest de filet, qui renvoie
à ce type d’activité, aucune preuve tangible n’a pu
être apportée à l’hypothèse d’une production ostréicole au sein de cette villa.
En outre ont été découverts un dolium complet
lors de travaux agricoles, plusieurs gros fragments de
dolia dans les niveaux de démantèlement et de nombreux fragments d’amphores vinaires d’origines italique, gauloise et ibérique. La répartition des tessons
de vases de stockage, découverts en position secondaire, conduit à proposer l’existence d’un chai, situé
au sud la villa, hors de l’emprise décapée.
■
48 / Dossiers d’Archéologie / n° 370
LA RECHERCHE À ALÉRIA :
LE TEMPS DU BILAN POUR
DE NOUVELLES PERSPECTIVES
Après une première époque de recherche
marquée par la révélation d’un potentiel
archéologique considérable grâce au travail de
Jean et Laurence Jehasse, le site antique d’Aléria franchira bientôt le cap de la « mise à plat »
des données scientifiques anciennes, pour se
préparer au chantier de conservation des vestiges, à la reprise des recherches et à la mise
en place d’une valorisation évolutive (voir p.
80-83).
Cette phase préliminaire de bilan a nécessité un investissement humain et financier de
la part des partenaires impliqués dans cette
démarche concernant le site dans sa globalité
et son territoire immédiat. Les différents axes
de travail sont répartis entre la collectivité territoriale de Corse, le musée départemental
d’Archéologie Jérôme Carcopino, l’État et la
municipalité d’Aléria. Le programme a permis
de constituer un corpus documentaire autour
d’un système d’information géographique
(SIG) qui sera désormais le support de toutes
les données topographiques et cartographiques collectées et générées. Il a nécessité la
réinterprétation des données disponibles et la
compilation d’anciens rapports de fouille. Le
mobilier archéologique issu des fouilles de la
ville romaine est parallèlement réinventorié par
les services de l’État et le musée d’Aléria à des
fins de récolement. Cette première phase
marque clairement le besoin d’ancrer les
recherches futures dans un contexte scientifique clarifié.
La seconde partie de l’étude concernera
l’acquisition d’informations nouvelles, essentiellement de nature topographique et géomorphologique,
concernant
le
bâti
(ArkeMine), l’emprise de la ville, son environnement immédiat et son territoire sur plusieurs
centaines d’hectares. La prospection géophysique livrera dans le meilleur des cas une
bonne partie de la trame urbaine enfouie sous
les 8 ha non fouillés (sur les 11 constituant
l’emprise de la ville antique). La couverture par
Lidar6 aérien devrait permettre la visualisation
et la caractérisation des microreliefs révélant
des informations sur les axes de communication, les carrières ou d’autres traces d’activités
humaines sur le territoire autour et dans le
périmètre urbain. Sur le site ouvert au public,
une mission Lidar terrestre, élaborée en collaboration avec le professeur Priscilla Paolini
(université La Sapienza de Rome), vise la réalisation d’une couverture 3D de l’intégralité des
vestiges exhumés. Il s’agira ainsi, en associant
les observations de terrain, de mieux comprendre et illustrer les phases de destructionreconstruction-modification du bâti et des
réseaux le desservant.
LES ÉTABLISSEMENTS LITTORAUX DU BAS-EMPIRE DE LA CÔTE OUEST
Franck Allegrini-Simonetti
Les recherches menées depuis plusieurs années sur le littoral ouest de la Corse ont mis en évidence de nombreux
indices d’implantations côtières pour une période comprise entre les IIIe et Ve siècles. Ce constat est marqué par l’abondance et la cohérence typo-chronologique des marqueurs archéologiques observés à terre comme en mer. Il s’agit de sites
non étudiés pour la plupart, caractérisés par des épandages de productions nord-africaines essentiellement, dont les restes
d’amphores de Byzacène ou plus rarement de Tripolitaine sont associés à de la vaisselle africaine de cuisine et à de la céramique claire.
Si les vestiges de matériaux de construction associés sont souvent observables, ils sont limités aux restes de toitures en
tuiles, aucune trace de chaux ni même de briques sur les épandages, ce qui pose la problématique d’un éventuel mode de
construction mêlant pierre sèche, matériaux périssables et tuiles romaines. Ces installations, dont la nature reste encore à définir, occupent systématiquement les arrière-plages au fond de baies ou de golfes à proximité d’espaces cultivables. Globalement, outre quelques découvertes sporadiques de monnaies ou de céramiques du Haut-Empire relayées au fond des
ports-abris par des vestiges relativement rares, c’est bien à partir du Bas-Empire et avec l’apparition des premières importations d’Afrique du Nord que l’on constate l’abondance manifeste des marqueurs, à terre comme en mer, sur pratiquement
tous les sites littoraux de la côte ouest.
Dans cette dynamique et à titre d’exemples, L’Île-Rousse et Calvi semblent intégrer dès le début du Bas-Empire romain
un réseau d’implantations principales ou secondaires établies sur le littoral ouest en bordure des plaines et bassins côtiers.
Ce réseau est systématiquement complété par une multitude d’épandages, qui lui sont contemporains, situés à l’intérieur
des terres, notamment sur les plaines de Reginu et de Figarella, attenantes aux sites de L’Île-Rousse et Calvi. Les découvertes de monnaies, sarcophages et tombes en bâtière7 effectuées dans ces deux villes à la fin du XIXe siècle évoquent une
population pérenne montrant une certaine richesse, qui bâtira, comme à Calvi, des édifices religieux chrétiens dès le
début du haut Moyen Âge, tout comme les communautés occupant les trois grands golfes du sud de la Corse.
L’Île-Rousse : fragment de sarcophage tardo-romain
inclus dans une façade de magasin (milieu XIXe siècle),
détail du fragment, 40 x 20 cm environ, marbre blanc.
Sculpture représentant un Éros, élément probable
d’un motif composé de deux Éros tenant un médaillon
central. Photo F. Allegrini-Simonetti 2015.
Calvi, port : col d’amphore africaine 2 C, marque circulaire sous le rebord
et type Keay VII (Keay 1984). Photo F. Allegrini-Simonetti 2013.
>> Bibliographie
• CHAZELLES-GAZZAL (C.-A. de) — Les maisons en terre de la Gaule méridionale, Montagnac,
Monique Mergoil, 1997.
• JEHASSE (J.) — Circonscription de Corse, dans Gallia, n° 36 / 2, 1978, p. 461-469.
• JEHASSE (J.), JEHASSE (L.) — Aléria ressuscitée - Aleria rediviva,
quarante ans de découvertes archéologiques, Ajaccio, La Marge, 1997.
--• JEHASSE (J.), JEHASSE (L.) — Aleria métropole : les remparts
préromains et l’urbanisation romaine, Ajaccio, Éditions du Journal de la Corse, 2004.
• LASFARGUES (J.) dir. — Architectures de terre et de bois. L’habitat privé dans les provinces
occidentales du monde romain. Antécédents et prolongements, protohistoire, Moyen Âge et quelques
expériences contemporaines, actes du IIe Congrès archéologique de Gaule méridionale, Lyon,
2-6 novembre 1983, Paris, Maison des sciences de l’homme, 1985.
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