Des tonnerres d’applaudissements ont retenti cet après-midi, à la quatrième Conférence internationale sur les petits États insulaires en développement lors de l’adoption par acclamation de son document final, le Programme d’Antigua-et-Barbuda pour les PEID: une déclaration renouvelée en faveur d’une prospérité résiliente.
L’avant-dernier jour de la quatrième Conférence internationale sur les petits États insulaires en développement (PEID) a vu aujourd’hui défiler à la tribune États Membres, organisations de la société civile et organismes onusiens qui ont été majoritaires à réclamer une percée dans le financement du développement afin de placer ces pays sur la voie d’une « résilience partagée ».
Le deuxième jour de travaux de la quatrième Conférence internationale sur les petits États insulaires en développement a été marquée par l’intervention de la Première Ministre de la Barbade, figure de proue du financement climatique et de la justice économique des PEID.
La quatrième Conférence internationale sur les petits États insulaires en développement (PEID) s’est ouverte aujourd’hui à Saint John’s, la capitale d’Antigua-et-Barbuda, en présence d’une vingtaine de chefs d’État, de 75 ministres et de plusieurs hauts fonctionnaires de l’ONU, dont le Secrétaire général.
« Nous demandons la multiplication de toutes les formes de partenariat avec et pour les petits États insulaires en développement. » Tel est le message clef issu des quatre jours de réunions et du Document final, « Samoa, la Voie à suivre », adopté à l’issue de la troisième Conférence internationale des Nations Unies sur les petits États insulaires en développement (PEID), qui a pris fin aujourd’hui à Apia, Samoa.