FR3111061A1 - Appareil culinaire avec dispositif d’entrainement a corde a commande amovible - Google Patents

Abstract

Le domaine de l’invention est celui des enrouleurs de câbles à rappel automatique, actionnés manuellement, non électriques, permettant de transmettre un mouvement d'une pièce à une autre pièce par traction d’un câble ou d’une corde. L’invention a pour objet un appareil culinaire comprenant un dispositif (1) d’entrainement à corde autonome et une unité de travail (2), le dispositif (1) est destiné à mettre manuellement en rotation une unité de travail (2) autour d’un axe de rotation par traction d’une corde transversalement à l’axe de rotation A, - le dispositif (1) comprenant une roue d’entrainement (4), un ressort (5) de rappel, un capot de guidage (6), le tout disposé coaxialement par rapport à l’axe de rotation A, une corde (7) dont une extrémité est enroulée autour de la roue d’entrainement (4) et dont l’autre extrémité est reliée à une poignée (8) ; - l’unité de travail comprenant un couvercle (21) fermant un bol (22) ; caractérisé en ce que le couvercle (21) comprend une pièce mâle (25) ou femelle (26) liée à une interface d’entrainement (27), de manière à coopérer avec la roue d’entrainement (4) par accouplement mécanique afin de transmettre un mouvement de rotation provenant du dispositif (1) à l’unité de travail (2). Figure à publier avec l’abrégé : Figure 5

Description

APPAREIL CULINAIRE AVEC DISPOSITIF D’ENTRAINEMENT A CORDE A COMMANDE AMOVIBLE

Le domaine de l’invention est celui des enrouleurs de câbles à rappel automatique, actionnés manuellement, non électriques, permettant de transmettre un mouvement d'une pièce à une autre pièce par traction d’un câble ou d’une corde.

La présente invention concerne un appareil culinaire comprenant un dispositif d’entrainement à corde à commande manuelle, ce dispositif d’entrainement étant amovible et adaptable sur différents appareils culinaires.

Il est à noter que, dans l’ensemble de ce document, les termes « longitudinal », « transversal », « horizontal », « vertical », « inférieur », « supérieur », « haut », « bas », « coaxial », « radial » employés pour décrire l’invention, font référence à cette invention en situation d’usage, lorsqu’elle est posée sur un plan horizontal. Le terme « coaxialement » au sens de l’invention, signifie que les pièces sont alignées sur un même axe, sans forcément passer par le centre géométrique des pièces.

Il est déjà connu des mécanismes d’entrainement à corde destinés à transmettre un mouvement de rotation à un objet ou une unité de travail. Ces mécanismes sont souvent mis en œuvre en tant que dispositif d’entrainement à main dans des appareils domestiques comme des appareils culinaires tels des essoreuses à salade, des hachoirs, des presse-purées, des extracteurs de jus ou des mélangeurs.

Il est connu du document US 2008/0164357 un appareil culinaire à corde à commande manuelle. Cet appareil permet de hacher les aliments en mettant en rotation des lames de coupe lorsque l’utilisateur tire sur la poignée reliée à la corde. Ce hachoir est muni d’un mécanisme d’entrainement à corde à commande manuelle disposé à l’intérieur du couvercle de l’appareil. Le montage de ce mécanisme d’entrainement est complexe car les pièces du mécanisme coopèrent entres elles et le montage ne peut se faire que pendant l’assemblage du couvercle de l’appareil culinaire. Un des inconvénients est que une fois le mécanisme d’entrainement disposé dans le couvercle, il n’est plus accessible et devient solidaire dans son usage du couvercle à l’intérieur duquel il est installé.

Un autre inconvénient est que l’assemblage de tels mécanismes d’entrainement dans le couvercle est fastidieux et complexe et ne peut être automatisé. Il n’est donc pas possible de dissocier l’assemblage de l’appareil culinaire, de l’assemblage du mécanisme d’entrainement.

Le but de l’invention est de remédier aux inconvénients précités et de simplifier l’assemblage du mécanisme d’entrainement en créant un sous-ensemble autonome indépendant du couvercle qui représente l’appareil selon l’invention. Le dispositif de l’appareil selon l’invention présente l’avantage de pouvoir s’adapter facilement à toutes les différentes formes et géométries d’appareils culinaires et d’être fabriqué de façon indépendante du reste du bol et du couvercle de l’appareil culinaire. Ainsi le dispositif de l’appareil selon l’invention est indépendant et prêt à fonctionner à tout moment. L’accès au dispositif de l’appareil selon l’invention est total car ce dernier n’est pas préassemblé dans le couvercle ce qui limiterait sa manipulation. De plus, Le dispositif de l’appareil selon l’invention présente l’avantage d’être un sous-ensemble autonome, déplaçable d’un appareil culinaire à un autre, voir remplaçable ou réparable. En effet, il peut être envisagé de déplacer le dispositif de l’appareil selon l’invention d’un couvercle à un autre couvercle, en le déplaçant le couvercle.

Un autre avantage de l’invention est que le dispositif d’entrainement de l’appareil selon l’invention est conçu de façon à être fabriqué et être transporté indépendamment du reste de l’appareil dans lequel il sera utilisé, ce qui représente une grande autonomie industrielle.

Un autre avantage de l’invention est que l’unité de travail peut être désolidarisée du dispositif d’entrainement et être lavé séparément.

Un autre avantage de l’invention est que le dispositif d’entrainement de l’appareil selon l’invention est accessible et remplaçable en le retirant de l’appareil. Ceci peut être très avantageux pour nettoyer l’appareil culinaire avec son couvercle dans un lave-vaisselle, en otant au préalable le dispositif d’entrainement.

Un autre but de la présente invention est de remédier aux inconvénients mentionnés plus haut et de proposer un appareil culinaire avec un dispositif d’entrainement à corde à commande manuelle simple, mobile et indépendant du reste de l’appareil.

L’invention a pour objet un appareil culinaire comprenant un dispositif d’entrainement à corde autonome et une unité de travail, le dispositif est destiné à mettre manuellement en rotation une unité de travail autour d’un axe de rotation par traction d’une corde transversalement à l’axe de rotation A,

- le dispositif comprenant une roue d’entrainement, un ressort de rappel, un capot de guidage, le tout disposé coaxialement par rapport à l’axe de rotation A, une corde dont une extrémité est enroulée autour de la roue d’entrainement et dont l’autre extrémité est reliée à une poignée ;

- l’unité de travail comprenant un couvercle fermant un bol ;

caractérisé en ce que le couvercle comprend une pièce mâle ou femelle liée à une interface d’entrainement, de manière à coopérer avec la roue d’entrainement par accouplement mécanique afin de transmettre un mouvement de rotation provenant du dispositif à l’unité de travail.

Le dispositif d’entrainement à corde est autonome ainsi l’unité de travail comprenant un couvercle fermant un bol peut être lavée séparément du dispositif d’entrainement. Avantageusement, les aliments présents dans l’unité de travail ne sont jamais en contact avec le dispositif d’entrainement à corde grâce au couvercle formant une interface entre la partie moteur de l’appareil et sa partie alimentaire. De plus comme la pièce mâle ou femelle est liée à l’interface d’entrainement, il n’y a pas de remontée des aliments vers le moteur manuel.

Selon une autre caractéristique de l’invention, le dispositif d’entrainement à corde de l’appareil selon l’invention est autonome c’est-à-dire amovible, libre, attachable ou détachable du couvercle. Il est adaptable sur différents appareils culinaires pour transmettre un mouvement de rotation, ces appareils culinaires pouvant variés dans leur forme et la capacité de leur contenance.

Selon une autre caractéristique de l’invention, l’accouplement mécanique est du type mâle / femelle.

Selon une autre caractéristique de l’invention, la roue d’entrainement comprend une pièce femelle et l’unité de travail une pièce mâle.

Selon une autre caractéristique de l’invention, la roue d’entrainement comprend une pièce femelle coopérant avec la pièce mâle du couvercle de l’unité de travail.

Selon une autre caractéristique de l’invention, la pièce femelle de la roue d’entrainement comprend un espace du côté inférieur pour la réception par accouplement mécanique de l’unité de travail afin de transmettre le mouvement de rotation.

Selon une autre caractéristique de l’invention, l’espace du côté inférieur de la roue d’entrainement présente une section de forme hexagonale.

Selon une autre caractéristique de l’invention, la roue d’entrainement comprend une pièce mâle coopérant avec la pièce femelle du couvercle de l’unité de travail.

Selon une autre caractéristique de l’invention, l’interface d’entrainement et la pièce mâle du couvercle, ou l’interface d’entrainement et la pièce femelle du couvercle sont immobilisées les unes par rapport aux autres, formant ainsi un ensemble technique qui est solidaire. Cet ensemble technique est capable de se mettre en rotation sous l’action d’un moteur comme celui du dispositif d’entrainement à corde autonome de l’appareil selon l’invention. L’interface d’entrainement est ainsi la partie centrale de cet ensemble technique tournant en libre rotation par rapport au couvercle. Cet ensemble technique est l’équivalent d’un assemblage roue / moyeu. L’interface d’entrainement transmet des efforts à l’arbre d’entrainement de l’unité de travail.

Selon une autre caractéristique de l’invention, l’interface d’entrainement et la pièce mâle, ou l’interface d’entrainement et la pièce femelle sont reliés par des moyens de blocages, par exemple des vis, des clavettes ou des goupilles.

Selon une autre caractéristique de l’invention, l’interface d’entrainement comprend un logement pour recevoir l’arbre d’entrainement disposé dans l’unité de travail.

Selon une autre caractéristique de l’invention, le capot de guidage 6 présente un système de fixation au couvercle du bol de l’unité de travail, par exemple un système de fixation par baïonnettes.

Selon une autre caractéristique de l’invention, le système de fixation du dispositif d’entrainement au couvercle est un système de fixation par baïonnettes où des moyens du dispositif d’entrainement coopèrent avec des moyens équivalents placé sur l’unité de travail. Pour réaliser la fixation avec de tels systèmes à baïonnettes, le dispositif d’entrainement à corde doit être placé au-dessus de l’unité de travail et doit entrer en rotation pour atteindre la position fermée et vice-versa pour la position ouverte. L’enclenchement des baïonnettes assure un maintien du dispositif d’entrainement à corde avec l’unité de travail. Le système des baïonnettes permet en plus du positionnement de verrouiller le dispositif d’entrainement sur l’unité de travail par rotation du dispositif d’entrainement et de le déverrouiller par rotation inverse.

Selon une autre caractéristique de l’invention, l’appareil selon l’invention comprend un système de verrouillage en translation pour immobiliser en translation le dispositif d’entrainement à corde par rapport au couvercle.

Ce système de verrouillage en translation permet entre autres d’aligner le dispositif d’entrainement à corde autonome et l’unité de travail selon l’axe de rotation A. Ainsi cela évite que lors du tirage de la corde ou lors d’une pression exercée par les aliments, pendant leur transformation dans le bol, il n’y ait une déviation par rapport à l’axe de rotation A du dispositif d’entrainement et de l’unité de travail, induisant un désalignement par rapport à l’axe de guidage du bol. La pression des aliments n’est pas continue et s’exerce à chaque traction de la corde. Le système de verrouillage en translation permet à l’unité de travail de travailler normalement alignée sur l’axe de rotation A.

Selon une autre caractéristique de l’invention, le système de verrouillage en translation comporte un point d’arrêt disposé du côté inférieur du dispositif, coopérant avec un logement du couvercle pour aligner la roue d’entrainement et l’unité de travail. En effet le tirage de la corde pour actionner le bras de traitement des aliments applique généralement une force sur le dispositif d’entrainement dans la direction du tirage de la corde. Cette force ainsi appliquée a tendance à déporter le dispositif d’entrainement et son axe de façon régulière (à chaque tirage de corde) dans la direction du tirage de corde. Ainsi, ce système de verrouillage permet d’éviter ces mouvements et de stabiliser l’axe de rotation.

Selon une autre caractéristique de l’invention, le couvercle présente un système de liaison au bol de l’unité de travail. Ainsi, cela permet de centrer efficacement le couvercle sur le bol et de maintenir l’axe du couvercle confondu avec l’axe du bol, ainsi qu’avec l’axe de rotation A.

Selon une autre caractéristique de l’invention, le système de liaison est un système de fixation par baïonnettes ou un système de verrouillage.

Selon une autre caractéristique de l’invention, le capot de guidage du dispositif d’entrainement de l’appareil selon l’invention peut comprendre une butée d’arrêt de la poignée. Ainsi la butée d’arrêt permet de stopper la course de la corde, notamment lors du retour de la corde qui est rappelée par la force de rappel du ressort de rappel. La butée peut être incorporée directement au dispositif d’entrainement de l’appareil selon l’invention, et par exemple peut faire partir intégrante du capot de guidage. Selon une variante, la butée d’arrêt forme l’une des extrémités du capot de guidage. Il peut être envisagé que la butée d’arrêt soit une pièce distincte du capot de guidage.

Selon une autre caractéristique de l’invention, le guide corde, recevant la corde, est agencé sur le capot de guidage dans un logement du capot de guidage. Avantageusement, ce logement sert d’orifice de sortie de la corde et de guidage de la corde. Le guide corde est agencé dans le logement du capot de guidage qui est destiné à recevoir le guide corde. Le logement du capot de guidage présente une forme complémentaire à celle du guide corde de manière à recevoir le guide corde.

Selon une autre caractéristique de l’invention, le logement du capot de guidage du dispositif d’entrainement de l’appareil selon l’invention est intégré à la butée d’arrêt.

Selon une autre caractéristique de l’invention, la poignée du dispositif d’entrainement de l’appareil selon l’invention est en contact seulement avec le guide corde et/ou avec la butée d’arrêt en phase de repos du dispositif d’entrainement. La phase de repos est la phase où la corde est enroulée autour de la roue d’entrainement, la corde est rétractée à son maximum et l’opérateur ne manipule pas le dispositif d’entrainement. Dans cette phase de repos, selon une première variante la poignée touche seulement le guide corde, dans une seconde variante la poignée touche seulement la butée d’arrêt, dans une troisième variante la poignée touche simultanément le guide corde et la butée d’arrêt. Dans la première variante, le guide corde est saillant par rapport au logement du capot de guidage, ainsi la poignée n’entre pas en contact avec le capot de guidage dans la phase de repos. Dans la seconde variante, le guide corde n’est pas saillant du logement du capot de guidage mais inséré dans le logement du capot de guidage. Ainsi la poignée entre en contact avec la butée d’arrêt du capot de guidage dans la phase de repos. Dans la troisième variante, le guide corde n’est pas saillant du logement du capot de guidage mais bord à bord avec le logement du capot de guidage. Ainsi la poignée entre en contact avec la butée d’arrêt du capot de guidage et le guide corde dans la phase de repos.

Selon une autre caractéristique de l’invention, le guide corde du dispositif d’entrainement de l’appareil selon l’invention forme une pièce distincte de la butée d’arrêt. Lorsque la corde effectue un mouvement de va et vient, les frottements occasionnés contre les pièces rencontrées par la corde, comme le capot de guidage génèrent de la chaleur. Aussi afin de protéger celles-ci de l’échauffement, un guide corde est agencé sur le capot de guidage. Avantageusement, le guide corde a la forme d’une bague ou d’un anneau cylindrique avec un espace intérieur circonscrit par les parois de la bague ou de l’anneau permettant le passage de la corde. Avantageusement le guide corde peut être en laiton, en céramique ou en métal, ou tout matériau qui en contact avec la corde ne sera pas altéré par l’échauffement de la corde, provenant des frottements de celle-ci lors de son déplacement. Ainsi le guide corde devra être en matériau résistant à l’échauffement de la corde.

La corde peut être nommée câble, chaîne de traction, courroie, et peut être en matière naturelle, métallique ou plastique.

Selon une autre caractéristique de l’invention, le guide corde du dispositif d’entrainement de l’appareil selon l’invention est amovible. Avantageusement le guide corde peut être désolidarisé du capot de guidage par simple pression, par exemple manuelle, opérée par un opérateur. Selon une variante, le guide corde n’est pas solidaire du capot de guidage et peut être inséré ou retiré dans le logement du capot de guidage par simple pression, par exemple manuelle, ce qui facilite l’assemblage.

Selon une autre caractéristique de l’invention, le capot de guidage du dispositif d’entrainement de l’appareil selon l’invention peut comprendre un élément de déportation pour éloigner la poignée dans une direction radiale par rapport à l’axe de rotation et mettre sous tension la corde dans une direction radiale par rapport à l’axe de rotation. Avantageusement, cet élément de déportation est disposé transversalement par rapport à l’axe de rotation et permet de recevoir la corde. Il permet avantageusement de tenir la corde tendue dans une direction radiale par rapport à l’axe de rotation. Avantageusement, cet élément de déportation comprend un logement où vient se loger la corde. Il peut être envisagé que l’élément de déportation soit suffisamment étroit pour guider la corde. Avantageusement, cet élément de déportation fait partie intégrante du capot de guidage. Dans ce cas, le capot de guidage et l’élément de déportation ne forment qu’une seule pièce. Il peut aussi être envisagé que l’élément de déportation forme une pièce distincte par rapport au capot de guidage.

Selon une autre caractéristique de l’invention, la butée d’arrêt du capot de guidage du dispositif d’entrainement de l’appareil selon l’invention fait partie de l’élément de déportation. Selon une variante, la butée d’arrêt forme l’une des extrémités de l’élément de déportation. Avantageusement, il peut être envisagé que la butée d’arrêt soit une pièce distincte de l’élément de déportation et du capot de guidage.

Selon une autre caractéristique de l’invention, la roue d’entrainement du dispositif d’entrainement de l’appareil selon l’invention peut comprendre un premier point d’ancrage d’une première extrémité du ressort de rappel. Ce premier point d’ancrage généralement localisé sur la roue permet de fixer le ressort en coopération avec le second point d’ancrage localisé sur le capot de guidage. Avantageusement le ressort de rappel est un ruban de section rectangulaire, généralement élastique, en métal ou acier trempé, enroulé autour de l’axe de rotation sur la roue d’entrainement dans une cavité. Il s’agit généralement, d’un ressort spiral. Le ruban élastique s'enroule dans la cavité en prenant la forme d'un rouleau à spires jointives. Le plan d’enroulement du ressort de rappel est disposé perpendiculairement à l’axe de rotation. Le premier point d’ancrage situé au niveau de la roue d’entrainement permet de fixer le ressort et de l’enrouler autour de l’axe de rotation. Une fois maintenu dans la cavité, le ressort est pré tendu, c’est-à-dire sous une certaine tension.

Selon une autre caractéristique de l’invention, le ressort de rappel du dispositif d’entrainement de l’appareil selon l’invention comprend un premier point de fixation qui coopère avec le premier point d’ancrage, ce premier point de fixation est généralement à une extrémité du ressort, en particulier l’extrémité externe du ressort.

Selon une autre caractéristique de l’invention, le capot de guidage du dispositif d’entrainement de l’appareil selon l’invention peut comprendre un second point d’ancrage d’une seconde extrémité du ressort. Ce second point d’ancrage généralement localisé sur le capot de guidage permet d’immobiliser l’extrémité interne du ressort. Ainsi, le ressort de rappel ou ressort moteur ou ressort de barillet pourra emmagasiner de l'énergie lorsqu'il est tendu ou sous tension, et la restituer lors de la détente (restitution du couple). L'énergie restituée est généralement transmise à l’unité de travail.

Selon une autre caractéristique de l’invention, le ressort de rappel du dispositif d’entrainement de l’appareil selon l’invention peut comprendre un second point de fixation qui coopère avec le second point d’ancrage, ce second point de fixation est généralement à une extrémité du ressort, en particulier l’extrémité interne du ressort.

Le dispositif d’entrainement de l’appareil selon l’invention comprend une roue d’entrainement. Selon une caractéristique de l’invention, la roue d’entrainement du dispositif de l’appareil d’entrainement selon l’invention comprend une gorge pour recevoir la corde. Avantageusement, cette roue d’entrainement est un tambour enrouleur comprenant une gorge où vient se loger la corde en s’enroulant autour de l’axe de rotation.

Selon une caractéristique de l’invention, la roue d’entrainement du dispositif d’entrainement de l’appareil selon l’invention peut comprendre une cavité destinée à recevoir le ressort de rappel. Avantageusement, la cavité est disposée de manière à placer le ressort de rappel transversalement à l’axe de rotation. Avantageusement, la cavité se présente sous une forme complémentaire de celle du ressort pré-tendu, comme par exemple la forme d’un cylindre.

Avantageusement, la corde est enroulée dans la gorge de la roue d’entrainement, dans le sens anti-horaire par rapport à l’axe de rotation et le ressort de rappel est disposé dans la cavité de la roue d’entrainement enroulé dans le sens horaire par rapport à l’axe de rotation. Il peut être envisagé que la corde soit enroulée dans la gorge de la roue d’entrainement, dans le sens horaire par rapport à l’axe de rotation et le ressort de rappel soit disposé dans la cavité de la roue d’entrainement enroulé dans le sens anti-horaire par rapport à l’axe de rotation.

Selon une autre caractéristique de l’invention, la roue d’entrainement du dispositif d’entrainement de l’appareil selon l’invention est mobile en rotation par rapport au capot de guidage. Selon une autre caractéristique de l’invention, le capot de guidage peut être fixe par rapport à la roue d’entrainement du dispositif d’entrainement selon l’invention.

Selon une caractéristique de l’invention, la roue d’entrainement du dispositif d’entrainement de l’appareil selon l’invention peut comprendre un moyen pour permettre l’accouplement mécanique de l’unité de travail afin de transmettre le mouvement de rotation. Ce moyen peut présenter une forme spécifique mâle ou femelle destinée à transmettre le mouvement.

Selon une caractéristique de l’invention, la roue d’entrainement du dispositif d’entrainement de l’appareil selon l’invention peut comprendre un espace du côté inférieur pour la réception par accouplement mécanique de l’unité de travail afin de transmettre le mouvement de rotation. Avantageusement cet espace du côté inférieur de la roue d’entrainement présente une section de forme hexagonale. Avantageusement cet espace du côté inférieur de la roue d’entrainement présente une forme de cylindre de section hexagonale. Avantageusement, cet espace permet de recevoir un arbre d’entrainement et de coopérer avec cet arbre d’entrainement pour transmettre un mouvement de rotation.

Selon une caractéristique de l’invention, le dispositif de l’appareil selon l’invention peut être disposé coaxialement par rapport à l’axe de rotation A entre une partie supérieure et une partie inférieure, ces deux parties étant des éléments d’un couvercle. Selon une caractéristique de l’invention, la poignée du dispositif selon l’invention n’est jamais en contact avec ces parties supérieure ou inférieure dans la phase de repos du dispositif d’entrainement. Le terme « coaxialement » au sens de l’invention, signifie que les pièces sont alignées sur le même axe, sans forcément passer par le centre géométrique des pièces.

L’invention a également pour objet un appareil culinaire. Il peut par exemple s’agir d’essoreuses à salade, de hachoirs, de presse-purées, d’extracteurs de jus ou de mélangeurs ou tout autre appareil nécessitant un enrouleur de câble à rappel automatique, actionné manuellement, non électrique, permettant de transmettre un mouvement d'une pièce à une autre pièce par traction d’un câble ou d’une corde.

Selon une autre variante de l’invention, le dispositif d’entrainement de l’appareil selon l’invention peut soit former la base de l’appareil culinaire, soit être logé dans la base de l’appareil culinaire.

On comprendra mieux les buts, aspects et avantages de la présente invention, d’après la description donnée ci-après de modes particuliers de réalisation de l’invention présentés à titre d’exemples non limitatifs, en se référant aux dessins annexés dans lesquels :

la figure 1 est une vue en perspective d’un appareil culinaire selon l’invention, de type hachoir, comprenant un dispositif d’entrainement dans sa phase de repos, le dispositif est disposé sur le couvercle du bol de l’unité de travail selon un mode particulier de réalisation de l'invention.

la figure 2 est une vue en perspective de l’appareil de la figure 1 présentant la corde du dispositif d’entrainement en extension, dans une phase de travail.

la figure 3 est une vue éclatée en perspective d’un dispositif d’entrainement de l’appareil selon l’invention un mode particulier de réalisation de l'invention.

la figure 4 est une vue en coupe et en perspective de la roue d’entrainement et de la corde du dispositif de la figure 3.

la figure 5 est une vue en perspective d’un appareil culinaire selon l’invention, présentant une roue d’entrainement comprenant une pièce mâle et une unité de travail comprenant une pièce femelle.

la figure 6 est une vue en perspective du dispositif d’entrainement mis en œuvre à la figure 5 représenté avec sa corde en extension, dans une phase de travail.

la figure 7 est une vue en coupe de l’appareil culinaire représenté à la figure 5, avec son dispositif d’entrainement disposé sur l’unité de travail.

la figure 8 est une vue en perspective du couvercle de l’unité de travail de l’appareil selon l’invention représenté à la figure 5.

la figure 9 est une vue en coupe du couvercle de l’unité de travail de l’appareil selon l’invention représenté à la figure 5.

la figure 10 est une vue en perspective d’un appareil culinaire selon l’invention, présentant une roue d’entrainement comprenant une pièce femelle et l’unité de travail comprenant une pièce mâle.

la figure 11 est une vue en perspective du dispositif d’entrainement mis en œuvre à la figure 10 représenté avec sa corde en extension, dans une phase de travail.

la figure 12 est une vue en coupe de l’appareil culinaire représenté à la figure 10, avec son dispositif d’entrainement disposé sur l’unité de travail.

la figure 13 est une vue en perspective et de dessus de l’appareil présenté à la figure 10.

la figure 14 est une vue en perspective du couvercle de l’unité de travail de l’appareil selon l’invention représenté à la figure 10.

la figure 15 est une vue en coupe du couvercle de l’unité de travail de l’appareil selon l’invention représenté à la figure 10.

la figure 16 est une vue en perspective et de dessous du couvercle de l’unité de travail de l’appareil selon l’invention.

La figure 1 représente un appareil culinaire selon l’invention qui est un hachoir et dont l’unité de travail 2 comprend des lames de coupes. L’appareil culinaire comprend un dispositif 1 d’entrainement dans sa phase de repos, c’est-à-dire qu’il n’y a pas d’énergie transmise pour générer un mouvement. Le dispositif 1 est disposé sur le couvercle 21 du bol 22 de l’unité de travail 2.

La figure 2 représente le même appareil culinaire qu’à la figure 1 représenté dans une de ses situations d’usage avec la poignée tirée et la corde déroulée et tendue.

La figure 3 représente une vue éclatée en perspective du dispositif 1 d’entrainement selon un mode particulier de réalisation de l'invention. Le capot de guidage 6 est disposé transversalement à l’axe de rotation A. Le capot de guidage 6 comprend un élément 63 de déportation qui n’est pas disposé coaxialement avec l’axe de rotation A mais se trouve déporté par rapport à l’axe de rotation A. L’élément 63 de déportation permet d’éloigner la position d’arrêt de la corde par rapport à l’axe de rotation A et d’allonger dans un plan transversal par rapport à l’axe de rotation A le capot de guidage 6. L’élément 63 de déportation est facultatif et pourrait être supprimé ainsi la position d’arrêt de la corde serait au plus près de l’axe de rotation A. Le capot de guidage 6 comprend une butée d’arrêt 61 qui stoppe la course retour de la corde quand elle est rappelée par le ressort 5 de rappel. Il s’agit d’une surface plane disposée transversalement à la course de la corde. Le capot de guidage 6 comprend un logement 62 capable de recevoir le guide corde 9. Le logement 62 présente la forme d’un trou de serrure qui est complémentaire à la forme du guide corde, ce qui permet au guide corde 9 de se loger dans le logement 62. Le guide corde 9 comprend 2 rebords, un rebord 91 antérieur et un rebord 92 postérieur par rapport à la distance de l’axe de rotation A. Les rebords 91 et 92 permettent d’immobiliser le guide corde dans son logement 62 dans une direction transversale à l’axe de rotation A et permettent de laisser mobile le guide corde 9 dans la même direction que l’axe de rotation A. Les rebords 91 et 92 permettent au guide corde 9 de se maintenir en place lors du va et vient de la corde 7, sans être entrainé par le mouvement de la corde. Le dispositif 1 d’entrainement comprend une poignée 8, comprenant 2 pièces, la base 81 de la poignée et le capot 82 de la poignée. La poignée 8 a une forme courbe venant épouser la forme ronde du couvercle 10. Le ressort 5 de rappel est enroulé autour de l’axe de rotation A.

La figure 4 est une vue en coupe et en perspective de la roue d’entrainement 4 et de la corde 7 du dispositif de la figure 3. La première étape de montage du dispositif de ‘appareil selon l’invention est la formation d’un premier nœud 71 à une des extrémités de la corde 7. Puis l’autre extrémité de la corde (non nouée) est insérée dans un trou de corde 45. Le trou de corde 45 présente une section dont l’aire est inférieure à l’aire de la plus petite section du nœud 71. La corde 7 est tirée jusqu’à ce que le nœud 71 soit retenu par les parois entourant le trou de corde 45. Puis la corde 7 est enroulée dans le sens anti-horaire partiellement dans une gorge 42. Ainsi la fixation de la corde 7 à la roue d’entrainement 4 est réalisée et le nœud 71 permet de retenir la corde.

La figure 5 est une vue en perspective d’un appareil culinaire selon l’invention, présentant une roue d’entrainement 4 comprenant une pièce mâle 49 et une unité de travail 2 comprenant une pièce femelle 26. L’appareil selon l’invention présente une unité de travail 2 comprenant un bol 22 et un couvercle 21. Le couvercle 21 présente un système de verrouillage en translation 15 comportant un point d’arrêt 47 saillant disposé du côté inférieur du dispositif 1 coopérant avec un logement 23 du couvercle 21 pour aligner la roue d’entrainement 4 et l’unité de travail 2 selon l’axe de rotation A. La pièce mâle 49 présente une section de forme hexagonale du côté inférieur de la roue d’entrainement 4. La pièce femelle 26 du côté supérieur du couvercle 21 présente une forme complémentaire de la pièce mâle 49 afin de coopérer mécaniquement et transmettre un mouvement de rotation. Le système de fixation 46 du capot de guidage 6 est un système de fixation par baïonnettes, où les baïonnettes s’enclenche sur le couvercle 21. Ainsi le capot de guidage 6 est verrouillé par rapport au couvercle 21, empêchant le dispositif (1) de tourner par rapport au couvercle (21).

La figure 6 est une vue en perspective du dispositif 1 d’entrainement mis en œuvre à la figure 5 représenté avec sa corde 7 en extension, dans une phase de travail.

La figure 7 est une vue en coupe de l’appareil culinaire représenté à la figure 5, avec son dispositif d’entrainement disposé sur l’unité de travail. L’interface d’entrainement 27 est représentée solidarisée avec la pièce femelle 26. Les baïonnettes du système de fixation 46 sont enclenchées sur le couvercle 21. Le couvercle 21 est verrouillé sur le bol 22 grâce au système de liaison 24 qui est un second système de fixation par baïonnettes, différent des baïonnettes du système de fixation 46.

La figure 8 est une vue en perspective du couvercle 21 de l’unité de travail de l’appareil selon l’invention représenté à la figure 5. L’interface d’entrainement 27 est une roue se logeant dans la pièce femelle 26 de forme complémentaire. Deux vis sont représentées sur la pièce femelle 26 pour la solidariser avec l’interface d’entrainement 27.

La figure 9 est une vue en coupe du couvercle 21 de l’unité de travail de l’appareil selon l’invention représenté à la figure 8.

La figure 10 est une vue en perspective d’un appareil culinaire selon l’invention, présentant une roue d’entrainement 4 comprenant une pièce femelle 48 et l’unité de travail comprenant une pièce mâle 25. L’appareil selon l’invention présente une unité de travail 2 comprenant un bol 22 et un couvercle 21. Le couvercle 21 présente un système de verrouillage en translation 15 comportant un point d’arrêt 47 saillant disposé du côté inférieur du dispositif 1 coopérant avec un logement 23 du couvercle 21 pour aligner la roue d’entrainement 4 et l’unité de travail 2 selon l’axe de rotation A. La pièce mâle 25 présente une section de forme hexagonale du côté supérieur du couvercle 21. La pièce femelle 48 du côté inférieur de la roue d’entrainement 4 est un espace 43 présentant une forme complémentaire de la pièce mâle 49. Le système de fixation 46 du capot de guidage 6 au couvercle 21 est un système de fixation par baïonnettes, où les baïonnettes s’enclenchent sur le couvercle 21.

La figure 11 est une vue en perspective du dispositif 1 d’entrainement mis en œuvre à la figure 8 représenté avec sa corde 7 en extension, dans une phase de travail.

La figure 12 est une vue en coupe de l’appareil culinaire représenté à la figure 8, avec son dispositif 1 d’entrainement disposé sur l’unité de travail 2. L’interface d’entrainement 27 est représentée solidarisée avec la pièce mâle 25. Les baïonnettes du système de fixation 46 sont enclenchées sur le couvercle 21. Le couvercle 21 est verrouillé sur le bol 22 grâce au système de liaison 24 qui est un second système de fixation par baïonnettes, différent des baïonnettes du système de fixation 46.

La figure 13 est une vue en perspective et de dessus de l’appareil présenté à la figure 8.

La figure 14 est une vue en perspective du couvercle 21 de l’unité de travail de l’appareil selon l’invention représenté à la figure 10. L’interface d’entrainement 27 est une roue se logeant dans la pièce mâle 25 de forme complémentaire. Deux vis sont représentées sur la pièce mâle 25 pour la solidariser avec l’interface d’entrainement 27.

La figure 15 est une vue en coupe du couvercle 21 de l’unité de travail de l’appareil selon l’invention représenté à la figure 14.

La figure 16 est une vue en perspective et de dessous du couvercle 21 de l’unité de travail de l’appareil selon l’invention représentant l’interface d’entrainement 27 comprenant un logement pour recevoir l’arbre d’entrainement 29.

Bien que l’invention ait été décrite en liaison avec des exemples particuliers de réalisation et d’application, il est bien évident qu’elle n’y est nullement limitée.

Des modifications restent possibles, notamment du point de vue de l’agencement et de la constitution des différents éléments ou par substitution d'équivalents techniques, sans sortir pour autant du domaine de protection de l'invention.

Claims (14)

1. Appareil culinaire comprenant un dispositif (1) d’entrainement à corde autonome et une unité de travail (2), le dispositif (1) est destiné à mettre manuellement en rotation une unité de travail (2) autour d’un axe de rotation par traction d’une corde transversalement à l’axe de rotation A,
   - le dispositif (1) comprenant une roue d’entrainement (4), un ressort (5) de rappel, un capot de guidage (6), le tout disposé coaxialement par rapport à l’axe de rotation A, une corde (7) dont une extrémité est enroulée autour de la roue d’entrainement (4) et dont l’autre extrémité est reliée à une poignée (8) ;
   - l’unité de travail comprenant un couvercle (21) fermant un bol (22) ;
   caractérisé en ce que le couvercle (21) comprend une pièce mâle (25) ou femelle (26) liée à une interface d’entrainement (27), de manière à coopérer avec la roue d’entrainement (4) par accouplement mécanique afin de transmettre un mouvement de rotation provenant du dispositif (1) à l’unité de travail (2).
2. Appareil culinaire selon la revendication 1 caractérisé en ce que le dispositif (1) d’entrainement à corde est amovible, libre, attachable ou détachable du couvercle (21).
3. Appareil culinaire selon l’une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que l’accouplement mécanique est du type mâle / femelle.
4. Appareil culinaire selon l’une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que la roue d’entrainement (4) comprend une pièce femelle (48) coopérant avec la pièce mâle (25) du couvercle (21) de l’unité de travail (2).
5. Appareil culinaire selon l’une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que la pièce femelle (48) comprend un espace (43) du côté inférieur pour la réception par accouplement mécanique de l’unité de travail (2) afin de transmettre le mouvement de rotation.
6. Appareil culinaire selon la revendication 5 caractérisé en ce que l’espace (43) du côté inférieur de la roue d’entrainement (4) présente une section de forme hexagonale.
7. Appareil culinaire selon l’une quelconque des revendications 1 à 3 caractérisé en ce que la roue d’entrainement (4) comprend une pièce mâle (49) coopérant avec la pièce femelle (26) du couvercle (21) de l’unité de travail (2).
8. Appareil culinaire selon l’une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que l’interface d’entrainement (27) et la pièce mâle (25), ou l’interface d’entrainement (27) et la pièce femelle (26) sont immobilisées les unes par rapport aux autres.
9. Appareil culinaire selon l’une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que l’interface d’entrainement (27) et la pièce mâle (25), ou l’interface d’entrainement (27) et la pièce femelle (26) sont reliées par des moyens de blocages, par exemple des vis, des clavettes ou des goupilles.
10. Appareil culinaire selon l’une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que l’interface d’entrainement (27) comprend un logement (29) pour recevoir l’arbre d’entrainement disposé dans l’unité de travail (2).
11. Appareil culinaire selon l’une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que le capot de guidage 6 présente un système de fixation (46) au couvercle (21) du bol (22) de l’unité de travail (2), par exemple un système de fixation par baïonnettes.
12. Appareil culinaire selon l’une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce qu’il comprend un système de verrouillage en translation (15) pour immobiliser en translation le dispositif (1) d’entrainement à corde par rapport au couvercle (21).
13. Appareil culinaire selon la revendication 12 caractérisé en ce que le système de verrouillage en translation (15) comporte un point d’arrêt (47) disposé du côté inférieur du dispositif (1), coopérant avec un logement (23) du couvercle (21) pour aligner la roue d’entrainement (4) et l’unité de travail (2).
14. Appareil culinaire selon l’une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que le couvercle (21) présente un système de liaison (24) au bol (22) de l’unité de travail (2), par exemple un système de fixation par baïonnettes ou un système de verrouillage.