FR3051289A1 - Appareillage electrique equipe de systemes de fixation a griffes - Google Patents

Abstract

L'invention concerne un appareillage électrique (1) comprenant une plaque de support (2) munie d'une ouverture centrale (22), un mécanisme agencé au niveau de l'ouverture centrale, et au moins un système de fixation (6, 7) de la plaque de support sur un pot d'encastrement, le système de fixation comprenant une patte munie d'au moins une griffe (16, 17) et une vis montée par vissage direct ou indirect avec la patte, la rotation de la vis dans un sens permettant de déplacer ladite griffe d'une position dégagée vers une position d'ancrage sur une paroi interne du pot d'encastrement, et inversement dans l'autre sens de rotation. L'appareillage électrique (1) comprend des moyens de montage (21) du système de fixation (6, 7) sur la plaque de support (2) mis en œuvre entre au moins ladite plaque de support et ledit système de fixation pour effectuer ledit montage en conservant la vis vissée sur la patte.

Description

APPAREILLAGE ELECTRIQUE EQUIPE DE SYSTEMES DE FIXATION A GRIFFES Domaine technique

La présente invention se rapporte au domaine des appareillages électriques, tels que des prises de connexion pour une alimentation en courant fort ou en courant faible d’un appareil (machine électrique, ordinateur, haut-parleur, téléphone, télévision, ...), tels que des interrupteurs simple allumage ou va-et-vient, des boutons poussoirs, des variateurs ou autres pour la commande d’un appareil (luminaire, volet roulant ...), voire tels que des sorties de câbles et des obturateurs.

Un tel appareillage électrique est conçu pour être fixé à un pot d’encastrement qui le réceptionne, ledit pot d’encastrement étant logé dans un mur ou une cloison sèche et fixé à celui-ci. L’invention porte tout particulièrement sur des moyens de montage de systèmes de fixation à griffes agencés sur l’appareillage électrique, lesdits systèmes de fixation à griffes permettant l’ancrage dudit appareillage avec le pot d’encastrement.

Etat de la technique

Les appareillages électriques conçus pour être réceptionnés par un pot d’encastrement (également appelé boîte d’encastrement) sont bien connus de l’homme du métier, la gamme d’appareillages électriques actuelle étant très large et couvrant aussi bien des fonctions dans le domaine des courants forts que dans le domaine des courants faibles, de tels appareillages électriques pouvant servir à alimenter ou à commander un appareil électrique, voire à empêcher l’accès à un câble d’alimentation laissé en attente dans un pot d’encastrement. A titre d’exemple, un appareillage électrique peut consister en une prise de courant pour alimenter en courant fort des appareils électriques tels qu’un téléviseur, un réfrigérateur, un four à microondes, un ordinateur. Un tel appareillage peut être un interrupteur, un bouton poussoir, un variateur ou autre, pour la commande de luminaires, de moteurs de volets roulants, ou autres. Un tel appareillage peut être également une prise de connexion pour alimenter en courant faible un appareil, telle qu’une prise de téléphone, une prise RJ45, une prise USB, une prise TV, une prise de raccordement hifi, voire autres. Un tel appareillage électrique peut consister en une sortie de câble pour le raccordement direct d’une machine à un câble d’alimentation, par le biais d’un bomier de connexion. Il peut également s’agir d’un obturateur, permettant de laisser des câbles en attente dans un pot d’encastrement en vue d’un raccordement électrique ultérieur à un autre appareillage électrique.

Un tel appareillage électrique est raccordé à un ou plusieurs câbles électriques disposés dans un mur ou une cloison sèche. Un pot d’encastrement permet d’effectuer une réservation dans le mur ou la cloison, puis de réceptionner et fixer l’appareillage électrique, en le raccordant au préalable aux câbles qui débouchent dans ledit pot d’encastrement. Les câbles peuvent également être laissés en attente dans le pot d’encastrement en vue d’un raccordement ultérieur, dans quel cas l’appareillage électrique posé initialement comprend un obturateur ayant pour fonction d’empêcher l’accès à ces câbles.

Un appareillage électrique comprend généralement une plaque de support, un mécanisme, une plaque d’habillage et un masque. La plaque de support, couramment appelée support, est fixée en façade du pot d’encastrement. Le mécanisme remplit une fonction, c’est-à-dire la fonction de connexion, de commande, de sortie de câble ou d’obturation, tel que cela est précité. La plaque d’habillage, couramment appelée plaque, se positionne autour du mécanisme et recouvre la plaque de support. Le masque, également appelé enjoliveur, se positionne sur la face externe du mécanisme et est entouré par la plaque d’habillage, dans le même plan que cette dernière.

Selon des variantes existantes, la plaque de support et le mécanisme peuvent être constitués d’une seule pièce monobloc ou, au contraire, de deux pièces indépendantes.

Dans le premier cas, la plaque de support présente une ouverture centrale au niveau de laquelle se situe le mécanisme afin de le rendre accessible par la face externe de ladite plaque de support.

Dans le second cas, la plaque comprend une ouverture centrale, des moyens d’assemblage amovible étant agencés entre la plaque de support et le mécanisme pour fixer de manière démontable le mécanisme avec la plaque de support, au niveau de cette ouverture centrale, afin de permettre son accès depuis la face externe de la plaque de support. Les moyens d’assemblage amovible consistent notamment en un système d’encliquetage/décliquetage, L’installation de l’appareillage électrique dépend de sa conception.

Lorsque la plaque de support et le mécanisme forment une seule pièce monobloc, les câbles en attente dans le pot d’encastrement sont connectés au mécanisme, puis la plaque de support est rapportée en façade du pot d’encastrement, le mécanisme étant logé dans ledit pot d’encastrement.

Lorsque la plaque de support et le mécanisme sont indépendants, deux modes de pose sont possibles, selon la configuration des moyens d’assemblage amovible. Soit les câbles sont préalablement raccordés au mécanisme qui est ensuite assemblé avec la plaque de support, du côté de sa face interne, ladite plaque de support étant alors rapportée en façade du pot d’encastrement, le mécanisme étant logé dans ledit pot d’encastrement. Soit la plaque de support est d’abord rapportée en façade du pot d’encastrement, les câbles passant alors au travers de l’ouverture centrale pour être connectés au mécanisme, lequel est ensuite inséré dans le pot d’encastrement par l’ouverture centrale puis assemblé avec la plaque de support par sa face externe.

La fixation de l’appareillage électrique avec le pot d’encastrement est réalisée par l’intermédiaire de la plaque de support et de moyens de fixation. Deux types de moyens de fixation sont généralement prévus sur l’appareillage.

Selon le premier type de moyens de fixation, celui-ci prévoit sur la plaque de support des œillets ou boutonnières, généralement quatre ou plus, qui présentent chacun une configuration en deux parties. La première partie, constituée d’un orifice, permet la traversée d’une tête de vis d’assemblage agencée sur le pot d’encastrement. La seconde partie, constituée d’une rainure courbe sécante avec la première partie, permet l’insertion d’un corps de cette vis d’assemblage, puis le blocage de la tête de vis d’assemblage contre le contour de cette seconde partie lors du vissage de ladite vis d’assemblage. Lors de la pose de l’appareillage électrique avec ces premiers moyens de fixation, l’installateur desserre légèrement les vis d’assemblage sur le pot d’encastrement, insère les têtes de vis d’assemblage au travers de la première partie des œillets respectifs, effectue une légère rotation de la plaque de support pour insérer les corps des vis d’assemblage dans les secondes parties des œillets respectifs, puis resserre les vis d’assemblage dont les têtes viennent en appui contre le contour externe des secondes parties d’œillets, ce qui permet de plaquer la face interne de la plaque de support contre le contour externe du pot d’encastrement et contre la face externe du mur ou de la cloison.

Selon le second type de moyens de fixation, celui-ci comprend des systèmes de fixation à griffes, traditionnellement deux agencés en opposition sur les côtés latéraux de la plaque de support, voire sur ses côtés supérieur et inférieur. Chaque système de fixation comporte une vis, une patte en « U » munie de deux griffes et, éventuellement, une plaquette formant un écrou qui reçoit par vissage le corps de la vis et est assujettie à la patte. La plaque de support comprend deux orifices disposés respectivement sur deux côtés opposés à proximité de l’ouverture centrale, ces orifices permettant le passage du corps de la vis et le blocage de la tête de la vis. Des moyens de butée sur la plaque de support ou sur le mécanisme permettent de guider la patte en translation dans le sens longitudinal de la vis et de bloquer sa rotation autour de la vis, durant la rotation de ladite vis. Ainsi, cette rotation de la vis assure concomitamment le déplacement de l’écrou et de la patte, cette dernière s’écartant pour venir ancrer ses griffes dans la paroi interne du pot d’encastrement. L’action simultanée des deux systèmes de fixation en opposition permet d’agripper et d’immobiliser convenablement la plaque de support sur le pot d’encastrement. La plaquette formant l’écrou peut être remplacée par la mise en œuvre d’un taraudage directement sur la base de la patte en forme de « U », dans une variante de mise en œuvre.

Ce second type de moyens de fixation vient souvent en substitution du premier type de moyens de fixation, lorsque les pots d’encastrement ne sont pas équipés de vis d’assemblage telles que précitées, voire également dans le cadre de rénovation ou de remplacement des appareillages électriques sur des anciennes installations dont les pots d’encastrement, d’ancienne génération, ne disposaient pas de telles vis d’assemblage ou/et n’étaient pas au même standard de dimensions que les pots d’encastrement actuels. L’utilisation de ces seconds moyens de fixation intervient également lorsque le pot d’encastrement n’est pas installé correctement, celui-ci étant positionné de biais ou en oblique avec ses vis d’assemblage qui, en conséquence, ne sont pas alignées avec les œillets des premiers moyens de fixation sur la plaque de support en position convenable. Cela est également le cas lorsque le pot d’encastrement est scellé dans un mur au moyen de matériaux de scellement tels que du plâtre ou du mortier adhésif, et que les têtes des vis d’assemblage sont malencontreusement bouchées ou que lesdites vis d’assemblage sont scellées, rendant inutilisables le premier type de moyens de fixation.

Le second type de moyens de fixation peut être préinstallé sur l’appareillage électrique, ce qui permet un gain de temps évident puisque les systèmes de fixation à griffes sont déjà en place et qu’il ne reste qu’à ancrer les griffes dans la paroi interne du pot d’encastrement en agissant sur les vis. Dans ce cas, cependant, l’installateur paye ces accessoires quand bien même il n’en a pas l’utilité, c’est-à-dire lorsqu’il est en mesure d’utiliser le premier type de moyens de fixation. Cela augmente donc inutilement le coût de l’installation. Dans certains cas, en outre, ces seconds moyens de fixation, inutiles, perturbent l’installation de l’appareillage et nécessitent donc une opération de démontage par l’installateur. En effet, la présence des fûts taraudés sur le pot d’encastrement, qui reçoivent par vissage les vis d’assemblage, peut gêner l’insertion des systèmes de fixation à griffes préinstallés lors de la mise en place de la plaque de support sur le pot d’encastrement. En outre, ces systèmes à griffes encombrent inutilement l’espace disponible dans le pot d’encastrement, une fois la plaque de support et le mécanisme installés sur ledit pot d’encastrement, alors que cet espace sert à des fins utiles pour le placement et le raccordement convenables des câbles et/ou fils conducteurs de pontage sur les mécanismes. C’est pourquoi, dans un second cas, l’appareillage électrique peut être livré sans prémontage des systèmes de fixation à griffes, afin de réduire le coût, l’installateur pouvant monter lui-même les systèmes de fixation à griffes, s’il en éprouve le besoin. Les systèmes de fixation à griffes sont vendus à titre accessoire soit en pièces assemblées, c’est-à-dire avec la vis passée au travers de la patte en forme de « U » et la plaquette en forme d’écrou vissée sur la vis, soit en pièces détachées, c’est-à-dire avec la vis, la patte en forme de « U » et la plaquette en forme d’écrou séparées. Le système de fixation à griffes en pièces assemblées a pour avantage de disposer d’un accessoire complet, avec certitude. Mais cela a pour inconvénient de nécessiter de séparer la vis, la plaquette et la patte afin d’insérer le corps de la vis au travers de l’orifice sur la plaque de support, par sa face externe, puis de positionner convenablement la patte et la plaquette du côté de la face interne de la plaque de support, afin de revisser le corps de la vis sur la plaquette ou la patte. La vente en pièces détachées évite cette étape préalable de séparation des pièces, mais augmente le risque de perdre certaines pièces. Résumé de l’invention

La présente invention a pour objectif de pallier les inconvénients précités du second type de moyens de fixation comportant des systèmes de fixation à griffes, afin de vendre lesdits systèmes de fixation en tant qu’accessoire, en pièces préassemblées, et de faciliter leurs mises en place sur la plaque de support, pour un gain de temps considérable lors de montage. A cet effet, l’invention concerne un appareillage électrique comprenant une plaque de support munie d’une ouverture centrale, au moins un mécanisme agencé au niveau de l’ouverture centrale, et au moins un système de fixation de la plaque de support sur un pot d’encastrement, la plaque de support étant rapportée sur le pot d’encastrement. Un tel pot d’encastrement est également appelé une boîte d’encastrement. Généralement, un seul mécanisme est agencé au niveau de l’ouverture centrale ; il est cependant possible de monter deux mécanismes présentant une largeur de moitié comparée à la largeur du précédent mécanisme, ces deux mécanismes étant reçus par l’ouverture centrale sur la plaque de support.

Le système de fixation comprend une patte munie d’au moins une griffe, et une vis montée par vissage direct ou indirect avec la patte. De préférence la patte présente la forme d’un « U », les deux branches de la forme en « U » formant deux griffes. On entend par vissage direct, le fait que la patte comprend un taraudage et que le corps fileté de la vis est vissé directement sur ce taraudage de la patte. On entend par vissage indirect, le fait que le système de fixation comprend en complément une plaquette en forme d’écrou munie d’un taraudage sur laquelle est vissé le corps fileté de la vis, ladite plaquette étant assujettie à la patte.

La rotation de la vis dans un sens permet de déplacer ladite griffe d’une position dégagée vers une position d’ancrage sur une paroi interne du pot d’encastrement, et inversement dans l’autre sens de rotation. Dans la position dégagée, le mécanisme et l’au moins un système de fixation peuvent être encastrés dans le pot d’encastrement pour rapporter la face interne de la plaque de support contre le contour externe dudit pot d’encastrement. Dans la position d’ancrage, le mécanisme et l’au moins un système de fixation sont encastrés dans le pot d’encastrement et l’au moins une griffe est écartée pour venir s’ancrer dans la paroi interne du pot d’encastrement.

En outre, selon l’invention, l’appareillage électrique comprend des moyens de montage du système de fixation sur la plaque de support mis en œuvre entre au moins la plaque de support et le système de fixation pour effectuer ledit montage en conservant la vis vissée sur la patte, c’est-à-dire de conserver l’accessoire en pièces préassemblées sans nécessiter de le séparer en pièces détachées afin d’effectuer l’insertion de la vis sur la plaque de support. L’appareillage électrique comprend autant de moyens de montage que de système de fixation. Ainsi, la présente invention présente tout son intérêt de vendre les systèmes de fixation à griffes en pièces préassemblées, à titre d’accessoire, pour être utilisés si le montage de l’appareillage électrique sur le pot d’encastrement le nécessite, tout en favorisant un gain de temps considérable lors de leurs montages sur la plaque de support.

Dans une réalisation préférentielle, les moyens de montage du système de fixation sur la plaque de support sont mis en œuvre entre la plaque de support, le mécanisme et le système de fixation pour effectuer ledit montage en conservant la vis vissée sur la patte ou la plaquette. La contribution du mécanisme à la mise en œuvre desdits moyens de montage facilite la conception globale de la plaque de support et dudit mécanisme.

Dans une mise en œuvre préférentielle de l’appareillage électrique selon l’invention, ledit appareillage comprend deux systèmes de fixation agencés en opposition l’un par rapport à l’autre, respectivement à proximité de deux côtés opposés de l’ouverture centrale. Cela permet d’ancrer la plaque de support vis-à-vis de deux côtés opposés du pot d’encastrement, pour une immobilisation parfaite de l’appareillage électrique. Cette mise en œuvre se retrouve quasiment sur tous les appareillages électriques, voire sur tous.

Dans un premier mode de conception de l’appareillage électrique selon l’invention, les moyens de montage comprennent une paroi qui est sécante à l’ouverture centrale et qui s’étend plus ou moins en équerre du côté d’une face interne de la plaque de support. En outre, les moyens de montage comprennent un premier œillet dont une première partie est ménagée sur la paroi et une seconde partie est ménagée sur la plaque de support, la première partie de l’œillet étant dimensionnée pour permettre l’introduction d’une tête de la vis et la seconde partie de l’œillet étant dimensionnée pour y insérer un corps fileté de la vis depuis ladite première partie, et pour bloquer le passage de ladite tête de la vis. Ainsi, l’installateur prend le système de fixation préassemblé, passe la tête de la vis dans la première partie de l’œillet sur la paroi, puis insère le corps de la vis dans la seconde partie de l’œillet sur la plaque de support, la translation du système de fixation étant bloquée dans la seconde partie de l’œillet, du côté de la face externe par la tête de la vis et du côté de la face interne par la patte dont les dimensions sont également supérieures à celles de la seconde partie de l’œillet, et de préférence également à celles de la première partie de l’œillet.

Selon ce premier mode de conception de l’appareillage électrique, des moyens de butée sont mis en œuvre sur un côté externe de la paroi, c’est-à-dire le côté de la paroi disposé en vis-à-vis de la paroi interne du pot d’encastrement. Ces moyens de butée sont configurés pour bloquer la rotation de la patte et la guider en translation le long de ladite paroi. Cela garantit un positionnement convenable de la patte lors de son ancrage sur la paroi interne du pot d’encastrement.

Selon ce premier mode de conception de l’appareillage électrique, dans une première variante, la plaque de support et le mécanisme sont constitués d’une seule pièce, le mécanisme intégrant la paroi sur l’un de ses côtés.

Selon ce premier mode de conception de l’appareillage électrique, dans une seconde variante, la plaque de support et le mécanisme sont indépendants, la paroi étant intégrée à la plaque de support et présentant préférentiellement la forme d’une patte qui s’étend vers l’intérieur du pot d’encastrement lorsque la plaque de support est rapportée sur ledit pot d’encastrement. En outre, des moyens d’assemblage amovible sont agencés entre la plaque de support et le mécanisme, notamment un système d’encliquetage. La paroi est positionnée sur le côté du mécanisme lorsque celui-ci est assemblé avec la plaque de support.

Selon un second mode de conception de l’appareillage électrique objet de l’invention, la plaque de support et le mécanisme sont indépendants, des moyens d’assemblage amovible étant agencés entre la plaque de support et le mécanisme. En outre, les moyens de montage comprennent un second œillet débouchant sur l’ouverture centrale de sorte à y définir un passage dimensionné pour insérer un corps fileté de la vis dans ce second œillet depuis l’ouverture centrale. Par ailleurs, ce second œillet est dimensionné pour bloquer le passage d’une tête de la vis. Ainsi, l’installateur prend le système de fixation préassemblé, passe la tête de la vis au travers de l’ouverture centrale de la plaque de support, insère le corps fileté de la vis dans le second œillet par le passage sur la plaque de support, ledit système de fixation se trouvant alors bloqué en translation au travers du second œillet, d’un côté par la tête de vis et de l’autre par la patte également de dimensions supérieures à celles du second œillet.

Selon ce second mode de conception, dans une première variante, le mécanisme est configuré pour bloquer le passage entre le second œillet et l’ouverture centrale lors de son assemblage avec la plaque de support, le système de fixation étant mis en place dans le second œillet préalablement à l’assemblage du mécanisme avec la plaque de support. Cette mise en œuvre présente pour avantage de maintenir convenablement en position le système de fixation dans le second œillet. Elle nécessite cependant de démonter le mécanisme vis-à-vis de la plaque de support afin de pouvoir retirer le système de fixation en mode préassemblé.

Selon ce second mode de conception, dans une seconde variante, le mécanisme comprend un contour de forme complémentaire à l’ouverture centrale de sorte à venir se loger dans celle-ci. En outre, le contour comprend au moins une encoche agencée en correspondance avec le second œillet lors de l’assemblage du mécanisme avec la plaque de support. Cette encoche est dimensionnée pour y introduire la tête de la vis afin d’insérer ensuite le corps fileté de cette vis dans le second œillet par le passage sur l’ouverture centrale, ledit mécanisme étant assemblé avec la plaque de support préalablement à la mise en place du système de fixation dans le second œillet. Cette mise en œuvre facilite le montage de l’appareillage électrique et permet de retirer facilement le système de fixation sans nécessiter le démontage du mécanisme vis-à-vis de la plaque de support.

Selon cette seconde variante, le mécanisme comprend préférentiellement un rebord prolongeant perpendiculairement vers l’extérieur le contour de sorte à venir en appui contre la plaque de support lors de l’assemble dudit mécanisme avec ladite plaque de support. En outre, l’encoche sur le contour se prolonge sur le rebord de sorte à dégager l’accès au second œillet sur la plaque de support une fois le mécanisme assemblé avec ladite plaque de support.

Selon l’appareillage électrique objet de l’invention, le mécanisme est configuré pour remplir une fonction de connexion, une fonction de commande, une fonction de sortie de câble ou une fonction d’obturation. A titre d’exemple, il peut s’agir d’une prise de connexion courant fort ou courant faible, d’un interrupteur simple ou double allumage, d’un bouton poussoir, d’un variateur, d’une sortie de câble, d’un obturateur.

Selon l’invention, l’appareillage électrique comprend une plaque d’habillage configurée pour entourer le mécanisme et recouvrir la plaque de support. Un système d’encliquetage est agencé entre la face interne de la plaque d’habillage et la face externe de la plaque de support, pour une fixation amovible de ladite plaque d’habillage. On peut toutefois envisager d’autres variantes sans sortir du cadre de l’invention. Dans une première variante, l’appareillage électrique peut comprendre une plaque d’habillage formant un élément monobloc avec la plaque de support, le mécanisme étant rapporté sur ledit élément grâce à des moyens d’assemblage amovible. Dans une seconde variante, l’appareillage électrique peut comprend une plaque d’habillage, une plaque de support et un mécanisme formant un élément monobloc.

Selon l’invention, l’appareillage électrique comprend un masque configuré pour être positionné sur une face externe du mécanisme. Un système d’encliquetage est agencé entre la face interne du masque et la face externe de la plaque de support pour une fixation amovible dudit masque.

Brève description des figures

Les caractéristiques et avantages de l’invention apparaîtront à la lecture de la description suivante de plusieurs modes de conception s’appuyant sur des figures, parmi lesquelles : - Les figures 1 et 2 illustrent deux vues d’une plaque de support avec deux systèmes de fixation à griffes montés en opposition sur deux côtés opposés de ladite plaque de support, selon un premier mode de conception d’un appareillage électrique objet de l’invention ;

Les figures 3 à 5 illustrent trois vues de la plaque de support selon les figures 1 et 2 ; Les figures 6 et 7 illustrent deux vues d’un système de fixation à griffes, selon un mode de conception préféré ;

La figure 8 illustre une plaque de support avec un mécanisme de type prise de courant, lesdits éléments formant un ensemble monobloc, selon un second mode de conception d’un appareillage électrique objet de l’invention ;

La figure 9 illustre ledit appareillage électrique selon le second mode de conception, montrant le mécanisme, la plaque de support et la plaque d’habillage, selon un angle de vue du côté interne ;

La figure 10 illustre une plaque d’habillage, vue depuis sa face interne - La figure 11 illustre un masque, vue depuis sa face interne, adapté au mécanisme de type prise de courant ;

La figure 12 illustre l’appareillage électrique de la figure 9, vu depuis sa face externe et comportant la plaque d’habillage et le masque des figures 10 et 11 ;

La figure 13 illustre une plaque de support avec un mécanisme de type bouton variateur de commande, lesdits éléments formant un ensemble monobloc, selon le second mode de conception d’un appareillage électrique objet de l’invention ;

La figure 14 illustre une plaque de support avec un mécanisme de type prise de connexion d’antenne de téléviseur, lesdits éléments formant un ensemble monobloc, selon le second mode de conception d’un appareillage électrique objet de l’invention ; La figure 15 illustre une plaque de support avec un mécanisme de type prise de connexion informatique RJ45, lesdits éléments formant un ensemble monobloc, selon le second mode de conception d’un appareillage électrique objet de l’invention ;

La figure 16 illustre une plaque de support avec un mécanisme de type prise de connexion audio pour une enceinte hifi, lesdits éléments formant un ensemble monobloc, selon le second mode de conception d’un appareillage électrique objet de l’invention ;

La figure 17 illustre une plaque de support avec un mécanisme de type bouton de commande montée/descente pour volet roulant, par exemple, lesdits éléments formant un ensemble monobloc, selon le second mode de conception d’un appareillage électrique objet de l’invention ;

La figure 18 illustre une plaque de support avec un mécanisme de type prise de connexion téléphonique, lesdits éléments formant un ensemble monobloc, selon le second mode de conception d’un appareillage électrique objet de l’invention ;

La figure 19 illustre une plaque de support avec un mécanisme de type double prise de connexion informatique USB, lesdits éléments formant un ensemble monobloc, selon le second mode de conception d’un appareillage électrique objet de l’invention ;

Les figures 20 et 21 illustrent une plaque de support avec un mécanisme de type double prise de courant, lesdits éléments formant un ensemble monobloc, selon le second mode de conception d’un appareillage électrique objet de l’invention ; - Les figures 22 et 23 illustrent deux variantes d’un masque adaptées à l’un et/ou l’autre des mécanismes des figures 13 à 19, - La figure 24 illustre une plaque d’habillage adaptée à l’ensemble plaque de support et mécanisme illustré en figures 20 et 21 ;

La figure 25 illustre une plaque de support et un mécanisme de type sortie de câble, lesdits éléments étant indépendants, selon le premier mode de conception d’un appareillage électrique objet de l’invention ;

La figure 26 illustre une plaque de support et un mécanisme de type obturateur, lesdits éléments étant indépendants, selon le premier mode de conception d’un appareillage électrique objet de l’invention ;

Les figures 27 et 28 illustrent le mécanisme de type sortie de câble de la figure 25, selon deux angles de vue différents ;

La figure 29 illustre un cache permettant la mise en œuvre du mécanisme obturateur de la figure 26, en combinaison avec le mécanisme de sortie de câble des figures 27 et 28;

La figure 30 illustre une plaque de support selon un troisième mode de conception de l’appareillage électrique, sur laquelle deux systèmes de fixation à griffes sont en train d’être positionnés ;

La figure 31 illustre la mise en place d’un mécanisme de type prise de courant sur la plaque de support de la figure 30, après la mise en place préalable des deux systèmes de fixation à griffes ; - La figure 32 illustre l’appareillage électrique complet selon ce troisième mode de conception ; - La figure 33 illustre la mise en place d’un mécanisme de type prise de courant sur une plaque de support, selon un quatrième mode de conception, - La figure 34 illustre le positionnement des systèmes de fixation à griffes après l’assemblage du mécanisme sur la plaque de support, selon ce quatrième mode de conception.

Description détaillée

Dans la description suivante, les mêmes références sont utilisées pour décrire les caractéristiques identiques ou similaires selon les diverses variantes. On utilise en outre le terme « appareillage » pour définir l’appareillage électrique selon l’invention.

Une variante d’appareillage 1, complète, est illustrée en figures 9 et 12, la figure 9 montrant le côté interne la qui vient se loger dans un pot d’encastrement (non illustré) et la figure 12 montrant le côté externe qui permet la connexion d’une prise de courant d’un appareil électrique, par exemple un aspirateur, pour le faire fonctionner.

Tel qu’illustré en regard des figures 1 à 34, selon diverses variantes de conception possibles et non limitatives, un appareillage 1 comprend une plaque de support 2 munie d’une face interne 2a et d’une face externe 2b, un mécanisme 3 configuré pour remplir une fonction, une plaque d’habillage 4, et un masque 5. En outre, l’appareillage 1 est fixé vis-à-vis du pot d’encastrement (non illustré) logé dans une cloison ou un mur (non illustré), au moyen de deux systèmes de fixation 6, 7 qui se positionnent chacun d’un côté 8, 9 de la plaque de support 2 et permettent sa fixation par ancrage dans la paroi interne du pot d’encastrement (non illustré), en plaquant sa face interne 2a contre ledit pot d’encastrement et contre la cloison ou le mur.

Tel qu’illustré en figure 6 et 7, ces systèmes de fixation 6, 7 sont de préférence identiques, et comportent chacun une vis 8, une patte 9 et une plaquette 10. La vis 8 comprend une tête 11 et un corps 12 qui est fileté. La tête 11 présente un diamètre supérieur à celui du corps 12, comme l’illustrent ces figures 6 et 7. La patte 9 présente la forme générale d’un « U » avec une base 13 et deux branches 14, 15 dont les extrémités 14a, 15a présentent chacune une griffe 16, 17. La base 13 présente un trou 18 de diamètre supérieur au diamètre du corps 12 de la vis 8, mais inférieur au diamètre de la tête 11, de sorte à permettre le passage flottant du corps 12 et le blocage de la tête 11. La plaquette 10 comprend en son centre un trou taraudé qui permet la réception par vissage du corps 12 fileté. Cette plaquette 10 a une forme plus ou moins rectangulaire, identique à celle de la base 13, mais est de dimension légèrement inférieure à celle-ci pour permettre son positionnement entre les faces internes 19, 20 respectives des pattes 14, 15, sous la base 13. Cet agencement permet le blocage en rotation de la plaquette 10 entre les pattes 14, 15, de sorte que la rotation de la vis 8 entraîne une translation de la plaquette 10 et de la patte 9 le long du corps 12 de cette vis 8.

Il est aussi connu un système de fixation 6, 7 comprenant uniquement une vis 8 et une patte 9, la patte 9 comprenant sur sa base 13 un trou taraudé (en lieu et place du trou 18) qui reçoit directement par vissage le corps 12 fileté de la vis 8, la rotation de la vis 8 entraînant une translation de la patte 9 le long du corps 12. D’autres variantes de systèmes de fixation 6, 7 restent envisageables sans sortir du cadre de l’invention.

De manière remarquable, selon les différentes conceptions qui sont détaillées ci-après, l’appareillage 1 comprend des moyens de montage 21 de chaque système de fixation 6, 7 sur la plaque de support 2, permettant leur mise en place sans aucun démontage de ses éléments, à savoir la vis 8, la patte 9 et éventuellement la plaquette 10, en la présence de celle-ci. La plaque de support 2 et le mécanisme 3 peuvent être deux pièces indépendantes l’une de l’autre, qui sont dans ce cas assemblées lors de la pose de l’appareillage 1. La plaque de support 2 et le mécanisme 3 peuvent, au contraire, être constitués d’une seule pièce monobloc. Le mécanisme 3 est positionné au niveau d’une ouverture centrale 22 agencée sur la plaque de support 2. La forme de l’ouverture centrale 22 est circulaire ou rectangulaire, de préférence. Sur les modes de conception détaillés ci-après, les moyens de montage 21 sont mis en œuvre entre la plaque de support 2, le mécanisme 3 et le système de fixation 6, 7, au niveau de cette ouverture centrale 22.

Selon la variante de conception illustrée en figures 1 à 5, la plaque de support 2 est indépendante du mécanisme 3. L’ouverture centrale 22 présente deux méplats 23a, 23b latéraux. La plaque de support 2 comprend deux parois 24, 25 en forme de pattes qui prolongent respectivement les deux méplats 23a, 23b du côté de la face interne 2a, en s’étendant perpendiculairement à cette face interne 2a. Ces parois 24, 25 définissent chacun un côté interne 26, 27 et un côté externe 28, 29. Les côtés internes 26, 27 sont disposés en vis-à-vis et ont de préférence une surface lisse. Le mécanisme 3 vient se loger entre ces deux côtés internes 26, 27 lors de son positionnement et de son assemblage, notamment au moyen d’un système d’encliquetage (non illustré), avec la plaque de support 2, au niveau de son ouverture centrale 22. Les côtés externes 28, 29 comportent chacun deux nervures 30a, 30b, 31a, 31b qui s’étendent longitudinalement et constituent en combinaison des rainures 32, 33 qui permettent respectivement la réception et le guidage des pattes 6, 7, comme l’illustrent les figures 1 et 2, de sorte que la rotation de la vis 8 entraîne la translation de la patte 9 et de la plaquette 10, le long de la rainure 32, 33. Des moyens de maintien sont mis en œuvre respectivement entre chaque rainure 32, 33 et chaque patte 9 pour assurer un montage serré des branches 14, 15 entre les deux nervures 30a, 30b, 31a, 31b. On peut notamment prévoir un écartement ajusté entre les deux nervures 30a, 30b, 31a, 31b très légèrement inférieur à l’écartement entre les deux branches 14, 15, voire prévoir deux petits bossages (non illustrés) sur les côtés externes des branches 14, 15 qui assurent un serrage desdites branches 14, 15 entre les deux nervures 30a, 30b, 31a, 31b lors de l’insertion de la patte 9 dans la rainure 32, 33.

Tel que l’illustrent les figures 1 à 5, la plaque de support 2 comprend deux premiers œillets 34, 35 disposés en opposition au niveau de l’ouverture 22. Chaque œillet 34, 35 comprend deux parties 36, 37 sécantes entre elles au niveau des méplats 23a, 23b, la première partie 36 étant ménagée sur la paroi 24, 25 et la seconde partie 37 étant ménagée sur le plan 38 de la plaque de support 2. La première partie 36 de l’œillet 34, 35 est dimensionnée pour permettre le passage de la tête 11 de la vis 8 et pour bloquer le passage de la base 13 de la patte 9. Sur les figures 1 à 5, cette première partie 36 présente une forme d’encoche rectangulaire débouchant sur le méplat 23a, 23b, mais la forme pourrait être différente, par exemple circulaire, l’essentiel étant de permettre le passage de la tête 11 de la vis 8. En outre, la seconde partie 37 de l’œillet 34, 35 est dimensionnée pour bloquer le passage de la tête 11 de la vis 8 et pour permettre le passage du corps 12 de cette vis 8. Cette seconde partie 37 présente une forme de lumière débouchant sur le méplat 23a, 23b et communiquant avec la première partie 36, cette forme pouvant varier légèrement tout en permettant le blocage de la tête 11 et le passage du corps 12 de la vis 8. Cette mise en œuvre permet d’installer le système de fixation 6, 7 sur la plaque de support 2, sans aucun démontage de la vis 8, de la patte 9 et de la plaquette 10. L’installateur positionne simplement le système de fixation 6, 7 en insérant la tête 11 de la vis 8 au travers de la première partie 36 de l’œillet 34, 35, puis en introduisant le corps 12 de la vis 8 dans la seconde partie 37 de l’œillet 34, 35, et enfin en plaçant la patte 9 dans la rainure 32, 33 avec ses griffes 16, 17 orientées vers l’extérieur de la paroi 24, 25. La tête 11 de la vis 8 se trouve alors positionnée du côté de la face externe 2b de la plaque de support 2 et la patte 9 se trouve positionnée du côté de la face interne 2a de ladite plaque de support 2, calée dans la rainure 32, 33 de guidage, avec le corps 12 de la vis 8 qui passe au travers de la seconde partie 37 de l’œillet 34, 35.

Les figures 8 et 9 montrent une variante de conception selon laquelle l’appareillage 1 est mis en œuvre à partir d’une plaque de support 2 et d’un mécanisme 3 formant un ensemble monobloc, le mécanisme 3 étant positionné au niveau de l’ouverture centrale 22 sur le plan 38 de la plaque de support 2. Le mécanisme 3 intègre les deux parois 24, 25 comportant les nervures 30a, 30b, 31a, 31b de sorte à constituer les rainures 32, 33 de guidage des pattes 9 et des plaquettes 10 des systèmes de fixation 6, 7. On retrouve également les premiers œillets 34, 35 comportant chacun une première partie 36 et une seconde partie 37, tel que cela est décrit précédemment pour la variante de conception des figures 1 à 5. Le principe de montage des systèmes de fixation 6, 7 reste identique à celui décrit précédemment.

Sur une troisième variante de conception schématisée en figures 30 à 32, la plaque de support 2 et le mécanisme 3 sont indépendants l’un de l’autre, le mécanisme 3 étant monté de manière amovible grâce à un système d’encliquetage (non illustré) semblable à ceux connus sur les appareillages électriques existant. La plaque de support 2 comprend uniquement un plan 38 sur lequel est définie l’ouverture centrale 22 de forme rectangulaire, préférentiellement. La plaque de support 2 comprend deux seconds œillets 39, 40 dont la configuration est identique à celle des deux secondes parties 37 des premiers œillets 34, 35 sur les deux variantes de conception précédemment décrites, ces deux seconds œillets 39, 40 débouchant sur deux côtés opposés 41a, 41b de l’ouverture centrale 22. L’installateur positionne le système de fixation 6, 7 au travers de l’ouverture centrale 22, sans aucun démontage dudit système de fixation 6, 7, puis insère le corps 12 de la vis 8 dans l’œillet 39, 40, la tête 11 de la vis 8 étant placée du côté de la face externe 2b de la plaque de support 2 et la patte 9 étant positionnée du côté de la face interne 2a de cette plaque de support 2, avec les griffes 16, 17 des deux systèmes de fixation 6, 7 orientées en opposition, vers l’extérieur.

Sur cette troisième variante de conception, le mécanisme 3 comprend un contour 42 et un rebord 43 formant un épaulement. Le contour 42 est de dimension adaptée pour être introduit dans l’ouverture centrale 22 depuis la face externe 2b de la plaque de support 2. Puis le rebord 43 vient en appui contre le contour 44 de l’ouverture centrale 22 lors de l’insertion du mécanisme 3. Un système d’encliquetage (non illustré) permet l’assemblage amovible du mécanisme 3 vis-à-vis de la plaque de support 2. Un tel système d’encliquetage est à la portée de l’homme du métier et déjà connu sur les appareillages électriques existant. Le contour 42 comprend deux côtés opposés 45a, 45b sur lesquels viennent respectivement en appui les pattes 9 des systèmes de fixation 6, 7. On prévoira également sur cette troisième variante de conception des nervures (non illustrées) sur les côtés opposés 45a, 45b, similaires aux nervures 30a, 30b, 31a, 31b décrites précédemment, de sorte à constituer deux rainures similaires au rainures 32, 33 sur le mécanisme 3, permettant le guidage de la patte 9 et de la plaquette 10 de chaque système de fixation 6, 7 lors de la rotation de la vis 8. Le rebord 43 comprend deux encoches 46, 47 dimensionnées pour permettre le passage de la tête 11 de la vis 8. Une fois les systèmes de fixation 6, 7 mis en place sur la plaque de support 2 puis le mécanisme 3 assemblé sur la plaque de support, les corps 12 des vis 8 sont emprisonnés dans les œillets 39, 40, grâce aux encoches 46, 47, les têtes 11 des vis 8 passant au travers des encoches 46, 47 pour venir en appui contre la face externe 2b sur les contours des œillets 39, 40.

Sur la quatrième variante de conception illustrée en figures 33 et 34, la plaque de support 2 et le mécanisme 3 sont indépendants l’un de l’autre, un système d’encliquetage (non illustré) étant mis en œuvre entre lesdits éléments. La plaque de support 2 est de conception similaire à celle de la figure 30, pour le troisième mode de conception précité. On retrouve donc les deux seconds œillets 39, 40 débouchant sur le contour 44 de l’ouverture centrale 22, sur deux côtés opposés 41a, 41b. Le mécanisme 3 présente également des caractéristiques similaires au mécanisme de la figure 31, pour le troisième mode de conception, excepté qu’il présente deux encoches 48, 49 en lieu et place des encoches 46, 47. Tel qu’illustré sur la figure 33, les deux encoches 48, 49 comprennent chacune une première partie 50 agencée sur le rebord 43 et une seconde partie 51 agencée sur les côtés opposés 45a, 45b du contour 42. La largeur L1 de l’encoche 48, 49 est dimensionnée pour laisser passer la tête 11 de la vis 8 et bloquer le passage de la base 13 de la patte 9. Le mécanisme 3 est assemblé sur la plaque de support 2 en insérant le contour 42 dans l’ouverture centrale 22 jusqu’à ce que le rebord 43 vienne en appui contre la face externe 2b de ladite plaque. Dans cette position assemblée, telle que l’illustre la figure 34, la seconde partie 51 de l’encoche 49 et l’œillet 40 présentent en combinaison une configuration identique à celle des première 36 et seconde 37 parties de l’œillet 35 pour les deux premières variantes de conception de l’appareillage 1 décrites aux figures 1 à 5 et 8 et 9. Il en est de même pour la seconde partie 51 de l’encoche 48 et l’œillet 39 qui présentent en combinaison une configuration similaire à celle des première 36 et seconde 37 parties de l’œillet 34 pour les deux premières variantes de conception de l’appareillage 1. La mise en place des systèmes de fixation 6, 7 s’effectue donc de manière similaire aux deux premières variantes de conception, en passant la tête 11 de la vis 8 au travers de la seconde partie 51 de l’encoche 48, 49, puis en insérant le corps 12 de la vis 8 dans l’œillet 39, 49, sans aucun démontage dudit système de fixation 6, 7, tel que l’illustre la figure 34.

Sur les figures 8 et 9, le mécanisme 3 présente une fonction de connexion de type prise de courant, par exemple pour un raccordement en 230 Volts avec phase, neutre et terre. Des conceptions similaires à celle des figures 8 et 9 apparaissent sur les figures 13 à 21 avec des variantes du mécanisme 3 intégrées à la plaque de support 2, les moyens de montage 21 restant toutefois similaires.

Sur la figure 13, le mécanisme 3 comporte une fonction de commande de type variateur 52 pour la commande d’un luminaire (non illustré).

Sur la figure 14, le mécanisme 3 comporte une fonction de connexion de type prise 53 pour un raccordement d’une antenne de téléviseur (non illustré).

Sur la figure 15, le mécanisme 3 comprend une fonction de connexion de type prise 54 au format RJ45 pour un raccordement de câble informatique (non illustré).

Sur la figure 16, le mécanisme 3 comporte une fonction de connexion du type connecteur 55 de câble de haut-parleur ou d’enceinte (non illustré).

Sur la figure 17, le mécanisme 3 comporte une fonction de commande de type interrupteur ou bouton poussoir 56 à trois positions pour une commande montée/descente/arrêt d’un moteur de volet roulant (non illustré).

Sur la figure 18, le mécanisme 3 comporte une fonction de connexion de type prise 57 de téléphone (non illustré).

Sur la figure 19, le mécanisme 3 présente une fonction de connexion de type double prise informatique 58 avec deux connecteurs 58a, 58b au format USB, les premiers œillets 34, 35 des moyens de montage 21 étant en positions haute et basse plutôt qu’en positions latérales pour obtenir les deux prises USB alignées horizontalement. Il est cependant tout à fait envisageable d’avoir les deux prises alignées verticalement et d’avoir ainsi les griffes en positions droite et gauche.

Sur les figures 20 et 21, le mécanisme 3 présente une fonction de connexion de double prise de courant 59 permettant le branchement de deux prises d’appareils électriques (non illustrées). Le mécanisme 3 présente une partie saillante 60 qui s’étend du côté de la face externe 2b de la plaque de support 2. Le mécanisme 3 comprend deux entailles 61, 62 qui s’étendent longitudinalement sur les côtés externes 28, 29 et se prolongent sur la partie saillante 60. Ces entailles 61, 62 sont dimensionnées pour recevoir complètement la tête 11 de la vis 8, ce qui permet de constituer la première partie 36 du premier œillet 34, 35. La tête 11 de la vis 8 est donc insérée dans l’entaille 61, 62 par le côté de la face interne 2a de la plaque de support 2, puis passe au travers de la première partie 36 de l’œillet 34, 35 pour son positionnement du côté de la face externe 2b de ladite plaque de support 2, afin d’insérer ensuite le corps 12 de la vis 8 dans la seconde partie 37 de l’œillet 34, 35.

Tel qu’illustré en regard des figures 25 à 28, la plaque de support 2 et le mécanisme 3 sont indépendants l’un de l’autre et assemblés entre eux de manière amovible grâce à un système d’encliquetage. Le mécanisme 3 présente deux fonctions selon le sens d’utilisation de celui-ci. Dans un premier sens illustré en figure 25, le mécanisme 3 remplit une fonction de sortie de câble pour le raccordement direct d’un câble d’un appareil (non illustré) à un câble d’alimentation électrique (non illustré) en attente dans un pot d’encastrement, ledit raccordement se faisant au moyens d’un bornier de connexion (non illustré). Dans un second sens illustré en figure 26, le mécanisme 3 remplit la fonction d’obturateur permettant de laisser un câble d’alimentation en attente dans le pot d’encastrement, pour son raccordement ultérieur. Le mécanisme 3 comprend une pièce 63, illustrée en figures 27 et 28, constituant une sortie de câble qui peut être fixée soit du côté de la face externe 2b de la plaque de support 2 pour remplir ladite fonction de sortie de câble, soit du côté de la face interne 2a de la plaque de support 2 pour remplir la fonction d’obturateur en association avec un cache 64 illustré en figure 29. Un serre-câble 65 est monté en glissière sur la pièce 63 tel qu’illustré en figures 26 et 28, pour effectuer le serrage d’un câble introduit du côté de la face externe 2b de la plaque de support 2, en passant par un orifice d’entrée 66. Ce serre-câble 65 comprend un logement 81 configuré pour recevoir une broche 67 agencée sur la face interne 64a du cache 64, afin de maintenir le cache 64 en position et de mettre en œuvre la fonction d’obturateur illustrée en figure 26. La pièce 63 comprend quatre doigts 68a-68d configurés pour être engagés dans un jeu de six encoches 69a-69d correspondant sur le contour 44 de l’ouverture centrale 22. Quatre encoches 69a-69d sont illustrées seulement sur les figures 25 et 26, les deux autres encoches étant agencées aux points supérieur et inférieur du contour 44 de l’ouverture centrale 22 et dissimulées par le mécanisme 3. La pièce 63 comprend une partie arrière supérieure 70a et une partie arrière inférieure 70b qui sont légèrement décalées vers l’avant par rapport aux doigts 68a-68d, d’une distance correspondant à l’épaisseur de la plaque de support 2, au niveau du contour 44. Les parties arrières supérieure 70a et inférieure 70b comprennent respectivement une excroissance 71a, 71b. Ces excroissances 71a, 71b viennent respectivement se loger dans les encoches agencées respectivement au niveau desdits points supérieur et inférieur du contour 44, soit du côté de la face interne 2a et soit du côté de la face externe 2b de la plaque de support 2. Les doigts 68a-68d sont donc insérés dans les encoches 69a, 69d ou 69b, 69c et dans les encoches aux points supérieur et inférieur du contour 44, en inclinant légèrement la pièce 63. Les parties arrières supérieure 70a et inférieure 70 sont ensuite plaquées contre la face externe 2b de la plaque de support 2 au niveau du contour 44, dans le cas où la fonction de sortie de câble est remplie par le mécanisme 3, les doigts 68a-68d étant alors positionnés du côté de la face interne 2a au niveau du contour 44. Inversement lorsque la fonction d’obturateur est remplie, les parties arrières supérieure 70a et inférieure 70b sont plaquées contre la face interne 2a et les doigts 68a-68d sont alors positionnés du côté de la face externe 2b. La pièce 63 subit ensuite une rotation pour être ramenée en position verticale illustrée en figures 25 à 28, ce qui permet l’encliquetage des excroissances 71a, 71b dans les encoches agencées respectivement au niveau desdits points supérieur et inférieur du contour 44 et leur maintien dans cette position verticale. L’appareillage 1 comprend également un masque 5 dont plusieurs variantes sont illustrées en figures 11, 22 et 23, selon le mécanisme 3 et la fonction que remplit celui-ci. Le masque 5 illustré en figure 11 est notamment conçu pour être positionné sur la face externe 2b de la plaque de support 2, au-dessus du mécanisme 3 illustré en figure 8, de sorte à recouvrir le mécanisme 3 ainsi que les moyens de montage 21. Le masque 5 comprend de préférence une forme rectangulaire ou carrée, une forme circulaire ou ovale étant également envisageables. Le masque 5 comprend quatre pattes 72a-72d qui sont configurées sur la face interne 5a dudit masque 5, pour venir s’encliqueter dans quatre entailles 73a-73d complémentaires agencées sur le plan 38 de la plaque de support 2, comme l’illustrent les figures 8, 9 et 11, par exemple. Le masque 5 de la figure 22 est conçu pour recouvrir notamment les mécanismes 3 illustrés en figures 17 à 19, 25 et 26. Le masque 5 de la figure 23 est conçu pour recouvrir notamment les mécanismes 3 illustrés en figures 13 à 16. Sur les figures 22 et 23, le masque 5 comprend une ouverture 82 de forme adaptée au mécanisme 3 pour pouvoir y accéder. L’appareillage 1 comprend également une plaque d’habillage 4 qui est fixée par encliquetage sur la face externe 2b de la plaque de support 2, autour du masque 5, comme l’illustre la figure 12. La plaque d’habillage 4 permet de recouvrir l’ensemble de la plaque de support 2 et de dissimuler également le pot d’encastrement logé dans la cloison ou le mur. La plaque d’habillage 4 comprend une ouverture centrale 74 dont la forme est adaptée à celle du mécanisme 3. Tel qu’illustré en figures 8 à 10, la face interne 4a de la plaque d’habillage 4 comprend des broches 75a-75d qui viennent s’encliqueter dans des entailles 76a-76d agencées sur le plan 38 de la plaque de support 2.

Sur la figure 24, illustrant une variante de plaque d’habillage 4, l’ouverture centrale 74 de comprend une forme ovale adaptée à la forme de la partie saillante 60 du mécanisme 3 illustré en figures 20 et 21. Le masque 5 est dans ce cas intégré au mécanisme 3 et constitué directement par cette partie saillante 60.

La description détaillée qui précède de plusieurs modes de conception de l’invention n’a aucun caractère limitatif. Bien au contraire, elle a pour objectif d’ôter toute éventuelle imprécision quant à sa portée. Ainsi, de nombreuses variantes pourront être envisagées dans le cadre de l’invention, notamment quant à la conception des moyens de montage 21 du système de fixation 6, 7 sur la plaque de support 2, sans effectuer aucun démontage de la vis 8, de la patte 9 et de la plaquette 10 éventuelle. On peut aussi envisager des variantes de plaques de support 2, de mécanismes 3, de plaques d’habillage 4 et de masques 5, en restant dans le cadre de l’invention.

On peut par exemple prévoir des variantes de mécanisme 3 comparables à celles illustrées en figures 31 à 34, en supprimant toutefois le rebord 43, le contour 42 étant positionné à fleur de l’ouverture centrale 22 et maintenu en position grâce à un système d’encliquetage adapté. L’appareillage 1 comprendra notamment, en complément des moyens de montage 21 selon l’invention, des moyens de fixation complémentaires qui pourront être utilisés en substitution des systèmes de fixation 6, 7 à griffes, lorsque le pot d’encastrement comprend des vis permettant la fixation directe de la plaque de support 2 audit pot d’encastrement. Dans ce cas, ces moyens de fixation complémentaires sont constitués, tel que cela est bien connu sur les appareillages électriques actuels, de quatre troisièmes œillets 77a-77d tels qu’illustrés par exemple en figure 3. Ces œillets 77a-77b comprennent chacun un orifice 78 de diamètre supérieur à la tête des vis montées sur le pot d’encastrement, et une lumière 79 permettant l’insertion du corps desdites vis, ladite tête venant en appui contre le contour 80 de la lumière 79 lors du vissage de la vis. L’appareillage 1 pourrait comprendre des moyens de montage 21 selon l’invention présentant des quatrièmes œillets mis en œuvre directement sur le plan 38 de la plaque de support 2 et dont la forme s’apparenterait à celle des troisième œillets 77a-77b précités qui sont mis en œuvre pour les moyens de fixation complémentaires, pour permettre le montage des systèmes de fixation 6, 7 sans aucun désassemblage de ceux-ci. Cette mise en œuvre pourrait cependant fragiliser la plaque de support 2 et serait confrontée à un problème d’encombrement sur le plan 38 de ladite plaque de support 2.

On peut également prévoir un appareillage 1 qui comprend deux mécanismes présentant chacun une largeur de moitié par rapport aux mécanismes 3 illustrés au travers des variantes décrites précédemment, et qui comprend une plaque de support 2 telle que celle illustrée en figures 1 à 5, par exemple, ladite plaque de support 2 recevant par encliquetage lesdits deux mécanismes logés dans l’ouverture centrale 22. De tels mécanismes présentant une largeur de moitié par rapport à la largeur du mécanisme 3, peuvent être des mécanismes de commande tels que des interrupteurs simple-allumage ou va-et-vient, ou des boutons poussoirs, à titre d’exemple.

Claims (14)

1. REVENDICATIONS E Appareillage électrique (1) comprenant une plaque de support (2) munie d’une ouverture centrale (22), au moins un mécanisme (3) agencé au niveau de l’ouverture centrale, et au moins un système de fixation (6, 7) de la plaque de support sur un pot d’encastrement, le système de fixation comprenant une patte (9) munie d’au moins une griffe (16, 17) et une vis (8) montée par vissage direct ou indirect avec la patte, la rotation de la vis dans un sens permettant de déplacer ladite griffe d’une position dégagée vers une position d’ancrage, et inversement dans l’autre sens de rotation, caractérisé en ce que l’appareillage électrique (1) comprend des moyens de montage (21) du système de fixation (6, 7) sur la plaque de support (2) mis en œuvre entre au moins ladite plaque de support et ledit système de fixation pour effectuer ledit montage en conservant la vis (8) vissée sur la patte (9).
2. 2. Appareillage électrique (1) selon la revendication 1, lequel comprend deux systèmes de fixation (6, 7) agencés en opposition l’un par rapport à l’autre, respectivement à proximité de deux côtés (23a, 23b, 41a, 41b) opposés de l’ouverture centrale (22).
3. 3. Appareillage électrique (1) selon l’une des revendications 1 ou 2, dans lequel les moyens de montage (21) du système de fixation (6, 7) sur la plaque de support (2) sont mis en œuvre entre ladite plaque de support, le mécanisme (3) et ledit système de fixation.
4. 4. Appareillage électrique (1) selon la revendications 3, dans lequel les moyens de montage (21) comprennent une paroi (24, 25) qui est sécante à l’ouverture centrale (22) et qui s’étend plus ou moins en équerre du côté d’une face interne (2a) de la plaque de support (2), lesdits moyens de montage comprenant un premier œillet (34, 35) dont une première partie (36) est ménagée sur la paroi et une seconde partie (37) est ménagée sur la plaque de support, la première partie (36) du premier œillet étant dimensionnée pour permettre l’introduction d’une tête (11) de la vis (8) et la seconde partie (37) du premier œillet étant dimensionnée pour y insérer un corps (12) de la vis depuis ladite première partie et pour bloquer le passage de ladite tête de la vis.
5. 5. Appareillage électrique (1) selon la revendication 4, dans lequel des moyens de butée (32, 33) sont mis en œuvre sur un côté externe (28, 29) de la paroi (24, 25) pour bloquer la rotation de la patte (9) et la guider en translation le long de ladite paroi.
6. 6. Appareillage électrique (1) selon l’une des revendications 4 ou 5, dans lequel la plaque de support (2) et le mécanisme (3) sont constitués d’une seule pièce, le mécanisme intégrant la paroi (24, 25) sur l’un de ses côtés.
7. 7. Appareillage électrique (1) selon l’une des revendications 4 ou 5, dans lequel la plaque de support (2) et le mécanisme (3) sont indépendants, la paroi (24, 25) étant intégrée à la plaque de support, des moyens d’assemblage amovible (68a-68d, 69a-69d) étant agencés entre la plaque de support et le mécanisme.
8. 8. Appareillage électrique (1) selon la revendication 3, dans lequel la plaque de support (2) et le mécanisme (3) sont indépendants, des moyens d’assemblage amovible étant agencés entre la plaque de support et le mécanisme, les moyens de montage (21) comprenant un second œillet (39, 40) débouchant sur l’ouverture centrale (22) de sorte à y définir un passage dimensionné pour insérer un corps (12) de la vis (8) dans le second œillet depuis l’ouverture centrale, ledit second œillet étant dimensionné pour bloquer le passage d’une tête (11) de la vis.
9. 9. Appareillage électrique (1) selon la revendication 8, dans lequel le mécanisme (3) est configuré pour bloquer le passage entre le second œillet (39, 40) et l’ouverture centrale (22) lors de son assemblage avec la plaque de support (2), le système de fixation (6, 7) étant préalablement mis en place dans le second œillet.
10. 10. Appareillage électrique (1) selon la revendication 8, dans lequel le mécanisme (3) comprend un contour (42) de forme complémentaire à l’ouverture centrale (22) de sorte à venir se loger dans celle-ci, le contour comprenant au moins une encoche (48, 49) agencée en correspondance avec le second œillet (39, 40) lors de l’assemblage du mécanisme avec la plaque de support (2), ladite encoche étant dimensionnée pour y introduire la tête (11) de la vis (8) afin d’insérer ensuite le corps (12) de cette vis dans le second œillet par le passage sur l’ouverture centrale, ledit assemblage du mécanisme avec la plaque de support étant préalablement réalisé.
11. 11. Appareillage électrique (1) selon la revendication 10, dans lequel le mécanisme (3) comprend un rebord (43) prolongeant perpendiculairement vers l’extérieur le contour (42) de sorte à venir en appui contre la plaque de support (2) lors de son assemble avec le mécanisme, l’encoche (48, 49) sur le contour se prolongeant sur le rebord de sorte à dégager l’accès au second œillet (39, 40) sur la plaque de support.
12. 12. Appareillage électrique (1) selon l’une des revendications 1 à 11, dans lequel le mécanisme (3) est configuré pour remplir une fonction de connexion, une fonction de commande, une fonction de sortie de câble ou une fonction d’obturation.
13. 13. Appareillage électrique (1) selon l’une des revendications 1 à 12, lequel comprend une plaque d’habillage (4) configurée pour entourer le mécanisme (3) et recouvrir la plaque de support (2).
14. 14. Appareillage électrique (1) selon l’une des revendications 1 à 13, lequel comprend un masque (5) configuré pour être positionné sur une face externe du mécanisme (3).