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FR3044234A1 - Dispositif d'accueil d'une chaussure pour un engin de glisse - Google Patents

Dispositif d'accueil d'une chaussure pour un engin de glisse Download PDF

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FR3044234A1
FR3044234A1 FR1502492A FR1502492A FR3044234A1 FR 3044234 A1 FR3044234 A1 FR 3044234A1 FR 1502492 A FR1502492 A FR 1502492A FR 1502492 A FR1502492 A FR 1502492A FR 3044234 A1 FR3044234 A1 FR 3044234A1
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shoe
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FR1502492A
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Henri Rancon
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Salomon SAS
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Salomon SAS
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  • Footwear And Its Accessory, Manufacturing Method And Apparatuses (AREA)
  • Chairs For Special Purposes, Such As Reclining Chairs (AREA)

Abstract

Dispositif d'accueil (1) d'une chaussure (8) sur un engin de glisse (9), le dispositif d'accueil comprenant : - une assise (2) s'étendant selon une direction longitudinale (X) depuis une extrémité arrière (24) jusqu'à une extrémité avant (23), et en largeur, d'un premier bord (21) jusqu'à un deuxième bord (22) selon une direction transversale (Y), l'assise présentant une surface supérieure (20) sur laquelle vient en appui la chaussure (8) ; - un arceau (3) solidaire de l'assise (2), l'arceau étant autoporté et positionné au niveau de l'extrémité arrière (24) de l'assise, l'arceau (3) supportant une première face d'appui (310) destinée à coopérer directement avec une partie postérieure (81) de la chaussure (8) lorsque celle-ci est logée dans le dispositif d'accueil (1), - un premier lien (4) solidaire de l'assise (2), le premier lien reliant le premier bord (21) au deuxième bord (22), au niveau de l'extrémité avant (23) de l'assise (2), le premier lien (4) supportant une deuxième face d'appui (411) destinée à coopérer directement avec une partie antérieure (82) de la chaussure (8) lorsque celle-ci est logée dans le dispositif d'accueil (1). Le premier lien (4) et/ou l'arceau (3) est déformable élastiquement de sorte que, lorsque la chaussure (8) est logée dans le dispositif d'accueil (1), celle-ci est maintenue enserrée entre les première (310) et seconde (411) faces d'appui grâce au retour élastique du premier lien (4) et/ou de l'arceau (3).

Description

Dispositif d'accueil d'une chaussure pour un engin de glisse L’invention concerne les fixations de chaussures sur des engins de glisse tels que des surfs des neiges.
De telles fixations sont notamment décrites dans le brevet US 6,886,850. Elle comprend une assise s'étendant selon une direction longitudinale entre une extrémité arrière et une extrémité avant. Une face supérieure de l'assise est prévue pour accueillir la semelle de la chaussure. Une face inférieure de l'assise est prévue pour venir au contact de la planche de glisse. La face supérieure de l'assise est délimitée, transversalement, par des flasques latéraux assurant un calage transversal de la chaussure. Un arceau d'appui relie les flasques latéraux entre eux, au niveau de leur extrémité arrière. L'arceau d'appui forme une butée pour le talon de l'utilisateur. La fixation comprend, en outre, une sangle de cheville et une sangle d'orteil s'étendant, transversalement, à l'aplomb de l'assise et joignant les flasques latéraux. La sangle de cheville permet notamment d'assurer la retenue du cou-de-pied de l'utilisateur, au niveau de la cheville, et peut être sélectivement ouverte ou fermée. La sangle d’orteil maintient l’avant du pied et peut être également sélectivement ouverte ou fermée.
Un problème récurrent de ce type de fixations vient de son utilisation. En effet, lorsque l’utilisateur souhaite solidariser une de ses chaussures avec une fixation, il doit ouvrir les sangles, en grand, pour insérer sa chaussure, puis les resserrer pour immobiliser la chaussure. Cette opération n’est pas pratique et nécessite que l’utilisateur s’abaisse pour effectuer ces multiples manipulations. Pour l’étape inverse, étape consistant à désolidariser la chaussure de la fixation, la problématique est similaire.
Le but de l’invention est de proposer une fixation pour planche de glisse améliorée.
Un but est notamment de proposer une fixation facilitant la mise en place de la chaussure.
Un autre but est de proposer une fixation permettant de réduire le nombre d’opérations pour solidariser/désolidariser la chaussure avec la fixation.
Un autre but est de proposer une fixation permettant un léger maintien de la chaussure dans la fixation sans que l’utilisateur ait besoin de s’abaisser pour manipuler la fixation. L’invention porte sur un dispositif d’accueil d’une chaussure sur un engin de glisse, le dispositif d’accueil comprenant : - une assise s’étendant selon une direction longitudinale depuis une extrémité arrière jusqu’à une extrémité avant, et en largeur, d’un premier bord jusqu’à un deuxième bord selon une direction transversale, l’assise présentant une surface supérieure sur laquelle vient en appui la chaussure ; - un arceau solidaire de l’assise, l’arceau étant autoporté et positionné au niveau de l’extrémité arrière de l’assise, l’arceau supportant une première face d’appui destinée à coopérer directement avec une partie postérieure basse de la chaussure lorsque celle-ci est logée dans le dispositif d’accueil, - un premier lien solidaire de l’assise, le premier lien reliant le premier bord au deuxième bord, au niveau de l’extrémité avant de l’assise, le premier lien supportant une deuxième face d’appui destinée à coopérer directement avec une partie antérieure de la chaussure lorsque celle-ci est logée dans le dispositif d’accueil.
Le premier lien et/ou l’arceau est déformable élastiquement de sorte que, lorsque la chaussure est logée dans le dispositif d’accueil, celle-ci est maintenue enserrée entre les première et seconde faces d’appui grâce au retour élastique du premier lien et/ou de l’arceau.
Cette construction permet à l’utilisateur de rapidement solidariser ou désolidariser une de ses chaussures avec le dispositif d’accueil. Cette opération peut être réalisée sans que l’utilisateur ait besoin de se baisser pour manipuler le premier lien. Du fait que la chaussure soit enserrée, cela permet d’avoir un maintien de la chaussure. L’utilisateur peut glisser sur des légères pentes avec un bon contrôle de la planche de glisse. Pour des pentes plus engagées ou sauts, il est préférable de maintenir la chaussure avec un deuxième lien, par exemple, au niveau du cou-de-pied.
Selon des aspects avantageux mais non obligatoires de l'invention, une telle fixation pour planche de glisse peut incorporer une ou plusieurs des caractéristiques suivantes, prises dans toute combinaison techniquement admissible :
La hauteur du bord supérieur d’une portion support de l'arceau au niveau d'un plan médian perpendiculaire à la direction transversale est inférieure à 10 cm par rapport à la surface supérieure de l’assise.
La hauteur du bord inférieur d’une portion support de l’arceau au niveau d’un plan médian perpendiculaire à la direction transversale est inférieure à 6 cm par rapport à la surface supérieure de l’assise.
Le bord supérieur de l’arceau comporte une partie antérieure présentant une pente d’insertion. L’arceau est dissymétrique par rapport à un plan médian perpendiculaire à la direction transversale, le bord supérieur présentant des hauteurs différentes au niveau du premier bord et au niveau du deuxième bord.
Des moyens de fixation solidarisent le premier lien respectivement audit bord droit et audit bord gauche de l’assise de sorte que la position longitudinale du premier lien par rapport à l’assise est réglable.
Le premier lien est autoporté.
Le premier lien est dimensionné de manière à positionner la face d’appui de sorte qu’elle puisse coopérer directement avec la partie antérieure de la chaussure lorsque celle-ci est insérée dans le dispositif d’accueil.
Le dispositif d’accueil comprend en outre un deuxième lien, solidaire dudit arceau, muni d’une surface de maintien destinée à venir en contact avec le cou-de-pied de la chaussure et une butée assure le positionnement du deuxième lien, lorsqu’il bascule vers l’avant, dans une configuration stable de chaussage pour laquelle la surface de maintien est placée, sensiblement, en vis-à-vis du cou-de-pied de la chaussure.
Chaque extrémité du deuxième lien est fixée sur un organe de liaison souple reliant l’assise avec, respectivement, une extrémité latérale droite ou gauche d’une portion de support de l’arceau. D'autres caractéristiques et avantages de l'invention ressortiront clairement de la description qui en est faite ci-après, à titre indicatif et nullement limitatif, en référence aux dessins annexés, dans lesquels : - la figure 1 est une vue en perspective d'un engin de glisse muni d'un dispositif d'accueil selon un mode de réalisation de l'invention, dans lequel une chaussure est logée ; - les figures 2 et 3 sont des vues en perspective du dispositif d'accueil de la figure 1 dont on a retiré une garniture de maintien de la chaussure ; - la figure 4 est une vue de dessus du dispositif d’accueil ; - la figure 5 est une vue de derrière du dispositif d'accueil ; - la figure 6 est une vue en coupe selon VI-VI de la figure 4 ; - la figure 7 est une vue en coupe identique à celle de la vue 6 dans laquelle on a représenté une chaussure en prise avec le dispositif d’accueil ; - les figures 8 et 9 sont des vues en coupe partielle selon VIII-VIII de la figure 6 représentant l’accroche d’un lien dans deux configurations différentes.
Dans la suite de la description, il sera fait usage de termes tels que « horizontal », « vertical », « longitudinal », « transversal », « supérieur », « inférieur », « haut », « bas », « avant », « arrière ». Ces termes doivent être interprétés en fait de façon relative en relation avec la position normale que la chaussure d’un utilisateur occupe dans un dispositif d'accueil. Par exemple, une direction « longitudinale » correspond à l’axe longitudinal du dispositif d'accueil et est illustrée par la direction X. Cette direction X est inclinée d’un angle d’au moins 20° par rapport à l’axe longitudinal d’une planche de glisse sur laquelle ce dispositif d'accueil est fixé. Par exemple, une direction « transversale » s'entend par rapport à un axe transversal du dispositif d'accueil et est illustrée par la direction Y. Par exemple, une direction « verticale » s’entend par rapport à un axe vertical du dispositif d'accueil et est illustrée par la direction Z. D’autre part, dans la description, certaines directions sont qualifiées en relation avec un référentiel. Pour ne pas limiter l’interprétation, il sera fait usage du terme « sensiblement » afin de préciser que l’invention porte également sur une variation angulaire de cette direction de plus ou moins 30° par rapport à cette qualification.
La figure 1 est une vue illustrant un dispositif d'accueil 1 selon un mode de réalisation de l'invention. Une chaussure 8 est logée dans le dispositif d'accueil 1, lequel est fixé sur un engin de glisse 9. Pour faciliter la compréhension, dans les figures 2 à 7, un des liens de la fixation est représenté partiellement. En effet, ce lien est représenté, sur ces figures, sans garniture de confort.
Le dispositif d'accueil 1 comporte, de façon connue en soi, une assise 2. L'assise 2 s'étend, selon une direction longitudinale X, depuis une extrémité arrière 24 jusqu'à une extrémité avant 23. L'assise 2 s'étend, en largeur, d'un bord droit 21 jusqu'à un bord gauche 22, selon une direction transversale Y. L'assise 2 comporte, par ailleurs, une surface supérieure 20, contre laquelle la chaussure 8 vient en appui lorsqu’elle est logée dans le dispositif d'accueil 1.
Un élément « autoporté » désignera par la suite un élément dont la fixation à l’assise 2 permet de le maintenir dans une position déterminée, de façon autonome, par rapport à cette assise 2. Autrement dit, en usage, l’élément « autoporté » conserve une position stable fixe par rapport à l’assise. La position de l’élément « autoporté » peut néanmoins être réglable, avant usage, pour s’adapter au besoin, par exemple, pour correspondre à la pointure de la chaussure. Une fois réglé, l’élément « autoporté » n’est pas mobile relativement à l’assise.
Le dispositif d'accueil 1 comporte un arceau 3 autoporté, solidaire de l'assise 2. Au sens de l’invention, un élément est « solidaire » d’une pièce lorsque cet élément et la pièce sont liés entre eux. L’élément peut être un élément distinct, assemblé à la pièce. Alternativement, l’élément et la pièce peuvent former une seule pièce, une même pièce monobloc. Dans cet exemple, l’arceau et l’assise forment une pièce unitaire, monobloc. L'arceau 3 est positionné au niveau de l'extrémité arrière 24 de l'assise 2. L'arceau 3 supporte une face d'appui 310. La face d’appui 310 est destinée à coopérer directement avec une partie postérieure basse 81 de la chaussure 8 lorsque celle-ci est logée dans le dispositif d'accueil 1. Ainsi, contrairement à une majorité de constructions de dispositifs d’accueil pour lesquels l’arrière de la chaussure coopère directement avec un élément d’appui, appelé « spoiler », reposant sur un arceau solidaire de l’assise, l’arrière de la chaussure 8 s’appuie directement sur l’arceau 3. Dans cet exemple, la face d’appui 310 est sensiblement verticale et orientée vers l’avant du dispositif d’accueil.
Le dispositif d'accueil 1 comporte également un premier lien 4 solidaire de l'assise 2. Le premier lien 4 relie le bord droit 21 et le bord gauche 22, au niveau de l'extrémité avant 23 de l'assise 2. Le premier lien 4 supporte une face d'appui 411. La face d’appui 411 est destinée à coopérer directement avec une partie antérieure basse 82 de la chaussure 8 lorsque celle-ci est logée dans le dispositif d'accueil 1. Dans cet exemple, la face d’appui 411 est sensiblement verticale, voire légèrement inclinée, et orientée vers l’arrière du dispositif d’accueil. Selon ce mode de réalisation, le premier lien 4 comprend également une autre face d’appui 421 sensiblement horizontale et orientée vers le bas, en direction de la surface supérieure 20.
Selon l’invention, le premier lien 4 et/ou l'arceau 3 est déformable élastiquement de sorte que la chaussure 8, lorsqu’elle est logée dans le dispositif d'accueil 1, est maintenue enserrée entre les faces d'appui 310 et 411. Ce serrage est ainsi obtenu grâce aux retours élastiques du premier lien 4 et/ou de l'arceau 3. En conséquence, une déformation élastique du premier lien 4 et/ou de l'arceau 3, lors de l'insertion de la chaussure 8 dans le dispositif d'accueil 1, participe au maintien de la chaussure 8 dans le dispositif d'accueil 1. En effet, lorsque le premier lien 4 et/ou l’arceau 3 se déforme élastiquement, ces éléments tendent à retrouver leur configuration initiale, par retour élastique. Ce mouvement de retour élastique de l’élément déformé vient interférer avec la chaussure 8. Ainsi, ce retour élastique se traduit par un effort exercé par l’élément déformé sur la chaussure 8 de sorte à provoquer le déplacement de la chaussure 8 vers le premier lien 4 ou l’arceau 3. La chaussure 8 est alors prise en sandwich entre le premier lien 4 et l’arceau 3. Elle est alors maintenue en place par les pressions de contact respectivement entre la chaussure 8 et le premier lien 4 et entre la chaussure 8 et l’arceau 3. Ces pressions de contact résultent du retour élastique du ou des éléments déformés. L'invention permet ainsi d'obtenir une solidarisation simple entre le dispositif d'accueil 1 et une chaussure 8.
Les figures 6 et 7 permettent d’illustrer le retour élastique longitudinal entre les surfaces d’appui 310 et 411. Au repos, les faces d’appui 310 et 411 sont espacées d’une distance « dar », comme illustré à la figure 6. Lorsque l’utilisateur insère sa chaussure 8 dans le dispositif d’accueil 1, la chaussure 8 vient déformer le premier lien et/ou l’arceau jusqu’à ce que les faces d’appui 310 et 411 soient espacées d’une distance « dcl », comme illustré à la figure 7. Cette distance « dcl » correspond sensiblement à la longueur de la semelle de la chaussure 8. Avec une distance dcl supérieure à la distance dar, le premier lien 4 et/ou l’arceau 3 sont déformés élastiquement de sorte à permettre, d’une part, de loger une chaussure 8 de pointure plus grande que la valeur dar et, d’autre part, d’assurer son maintien en lui appliquant des efforts longitudinaux résultant du retour élastique des éléments déformés. On peut, par exemple, envisager que si la différence entre dcl et dar est de 1 cm, écartement longitudinal induit par la chaussure 8 entre les faces d’appui 310 et 411 par rapport à leur position au repos, l’effort de retour élastique longitudinal appliqué par l’arceau 3 et le premier lien 4 sur la chaussure 8 est compris entre 50 et 200 N, de préférence entre 100 et 150 N.
Dans cet exemple, l’arceau 3 forme une arche, selon un plan vertical YZ, au-dessus de l’assise, et s’étend selon un arc de cercle dont le centre se situe au niveau de l’assise 2, selon un plan horizontal XY. L'arceau 3 comporte un bord supérieur 313. Le bord supérieur 313 comporte un point médian haut 3131 au niveau de sa section par un plan médian longitudinal XZ1 du dispositif d’accueil 1. La hauteur H313 du point médian haut 3131 par rapport à la surface supérieure 20 de l'assise 2 est avantageusement inférieure à 10 cm. Une telle configuration favorise, à la fois, l'insertion de la chaussure 8, et, à la fois, une liberté de mouvement de cette chaussure 8 après son introduction dans le dispositif d'accueil 1, notamment l’inclinaison de sa tige vers l’arrière. L'arceau 3 est ici dissymétrique, par rapport au plan médian XZ1. En particulier, le bord supérieur 313 présente des hauteurs différentes entre ses extrémités 311,312, respectivement au niveau du bord droit 21 et gauche 22 de l’assise. Une telle construction facilite l’insertion dans le dispositif d'accueil 1 de la chaussure 8 lorsqu’elle est inclinée latéralement. Cette configuration d’insertion peut se produire lorsque l'utilisateur a déjà engagé une première chaussure dans un autre dispositif d'accueil 1. Dans notre exemple, le bord supérieur 313 est plus haut au niveau de son extrémité droit 311. Il s’avère utile d’avoir une des extrémités du bord supérieur 313 plus haute afin de renforcer la tenue de l’arceau et d’assurer un bon maintien de la chaussure. Ce maintien contribue au guidage de l’engin de glisse. La différence de hauteur du bord supérieur 313 entre ses extrémités 311, 312 peut avantageusement être d’au moins 8 mm. En particulier, la projection du bord supérieur 313 sur un plan vertical YZ présente avantageusement une inclinaison a, comme cela ressort de la figure 5. Cette inclinaison a est par exemple d'au moins 10°, et de préférence d'au moins 15°. Une telle inclinaison a s'avère ergonomique car elle correspond sensiblement à l'inclinaison de la jambe de l'utilisateur lors de l'insertion de la chaussure 8 dans le dispositif d'accueil 1 lorsque l’utilisateur a déjà inséré son autre chaussure dans un autre dispositif d'accueil. Cette construction dissymétrique implique qu’un dispositif d’accueil est dédié pour une chaussure droite ou une chaussure gauche. Le dispositif d’accueil 1 n’est donc plus polyvalent. Pour obtenir la facilité d’insertion évoquée précédemment, il faut que l’extrémité 311, 312 du bord supérieur 313 de l’arceau 3 d’un premier dispositif d’accueil qui est positionnée la plus proche du deuxième dispositif d’accueil soit la plus basse. Dans l’exemple illustré, l’extrémité 312 la plus basse est celle correspondant au bord gauche. Le dispositif d’accueil 1 est ainsi dédié à une chaussure droite.
Selon une solution alternative, l’arceau 3 est symétrique avec une pente, de chaque côté du plan médian XZ1 du dispositif d’accueil 1, s’étendant vers le bas du point médian haut 3131. Cette variante rend le dispositif d’accueil polyvalent, pour chaussure droite ou gauche. Cependant, le maintien de la chaussure 8 est moins bon.
Selon un mode de réalisation, le bord supérieur 313 de l'arceau 3 comporte une partie antérieure présentant une pente d'insertion 3132. Une telle pente d'insertion 3132 est ainsi positionnée à la jonction entre le bord supérieur 313 et la face d’appui 310, comme on le voit à la figure 6. Au sens de l’invention, une pente d’insertion est une forme présentant un plan incliné par rapport à un plan vertical de sorte à créer une rampe de chaussage contre laquelle vient appuyer le talon de la chaussure. En conséquence, lorsque l’utilisateur engage sa chaussure dans le dispositif d’accueil, il place la pointe de la chaussure 8 à l’extrémité avant 23 de l’assise 2, près du premier lien 4. Puis, il abaisse son talon pour venir en contact avec l’arceau 3, et plus particulièrement, la pente d’insertion 3132. La pente d’insertion 3132 convertit alors le mouvement vertical du talon en déplacement longitudinal, vers l’avant de la chaussure 8, jusqu’à ce que la partie antérieure 82 chaussure bute contre le lien 4 ou commence à déformer le lien 4 si la chaussure est déjà en contact avec celui-ci. En poursuivant son effort vertical, au niveau du talon, l’utilisateur provoque la déformation élastique du premier lien 4 et/ou de l’arceau 3. La chaussure 8 est alors maintenue par serrage entre la face d’appui 411 du premier lien 4 et la face d’appui 310 de l’arceau 3.
La pente d'insertion 3132 peut être formée par un biseau, un arrondi ou un chanfrein au niveau de la partie antérieure du bord supérieur 313. L’inclinaison de la pente d’appui par rapport à un plan vertical peut être comprise entre 30 et 60 degrés. Dans le cas d’un arrondi, l’inclinaison de la pente d’insertion est variable et progressive.
Avantageusement, la pente d'insertion 3132 présente un état de surface configuré pour réduire les frottements avec la chaussure 8. La pente d'insertion 3132 présente par exemple un état de surface lisse. Avantageusement, le matériau de la pente d'insertion 3132 présente un coefficient de frottement réduit avec les matériaux usuels des chaussures 8.
Cette pente d'insertion 3132 permet ainsi de faciliter l'introduction de la chaussure 8 dans le dispositif d'accueil 1. Cette aide au chaussage est d’autant plus significative que le chanfrein ou l’arrondi est marqué. Par exemple, le chaussage est bien facilité lorsque la projection de la pente d’insertion sur un plan horizontal XY, au niveau du point médian haut, s’étend sur une distance supérieure à 5 mm, de préférence 10 mm. L'arceau 3 est solidaire de l'assise 2. Il comprend une partie support 31 délimitée en hauteur par le bord supérieur 313 et un bord inférieur 314. Cette partie support 31, supportant la face d’appui 310, est reliée à l’assise 2 par des bras de liaison 32 et 33. Le bras de liaison 32 relie ainsi la face d'appui 310 au bord droit 21 de l'assise 2. Le bras de liaison 33 relie alors la face d'appui 310 au bord gauche 22 de l'assise 2. Avantageusement, l'arceau 3 est formé d'un seul tenant ou monobloc avec l'assise 2. En conséquence, l’arche formée par l’arceau 3 définit une ouverture délimitée par le bord inférieur 314, les bras de liaison 32, 33 et la partie postérieure 24 de l’assise 2. Cette ouverture est en particulier destinée à permettre le passage du talon ou de la partie postérieure 81 de la chaussure 8. Le bord inférieur 314 comporte un point médian bas 3141 au niveau de sa section par le plan médian longitudinal XZ1 du dispositif d’accueil. La hauteur H314 du point médian bas 3141 par rapport à la surface supérieure 20 de l'assise 2 est avantageusement inférieure à 6 cm. Cette configuration permet d'éviter d'arracher la semelle 83 de la chaussure 8 lors du retrait de celle-ci par rapport au dispositif d'accueil 1. L'arceau 3 est dépourvu de support de mollet. L'absence de support de mollet permet de faciliter l'insertion, depuis l’arrière, de la chaussure 8 dans le dispositif d'accueil 1. Un tel arceau 3 dépourvu de support de mollet coopère en particulier avantageusement avec une chaussure 8 comportant une languette rigide s'étendant de la partie postérieure basse 81 jusqu'au mollet. L'absence de support de mollet permet d'alléger l'arceau 3 et ainsi de déplacer le centre de gravité du dispositif d'accueil 1 vers l'avant. En plaçant le centre de gravité davantage vers l’avant, cela permet de modifier le transfert d’appui entre la chaussure 8 et l’engin de glisse 1 et donc de modifier le pilotage de l’engin de glisse 1.
Dans cet exemple, l'assise 2 comporte un flanc droit 25 au niveau du bord droit 21, s'étendant verticalement depuis la surface supérieure 20. L'assise 2 comporte également un flanc gauche 26 au niveau du bord gauche 22, s'étendant verticalement depuis la surface supérieure 20. Les flancs 25 et 26 favorisent un maintien latéral de la chaussure 8, et la rigidité de l'assise 2 sollicitée en flexion autour d'une direction transversale Y. L’assise 2 et les flancs 25, 26 peuvent être construits de sorte à ramener le centre de gravité du dispositif d'accueil 1 vers l'avant. Par exemple, les flancs 25, 26 sont plus hauts et/ou l’assise 2 est plus épaisse dans la partie antérieure du dispositif d’accueil 1.
Le premier lien 4 est solidarisé au bord droit 21 et au bord gauche 22 de l'assise 2. Le premier lien 4 présente une forme allongée et courbe s'étendant entre les flancs 25, 26. Le premier lien 4 est avantageusement déformable élastiquement sur la longueur de cette courbe. Un allongement élastique du premier lien 4 d’une valeur X sur cette longueur aboutit à déplacer la face d'appui 411 sensiblement d’une valeur X/2 longitudinalement par rapport à l'assise 2. Le premier lien 4 est avantageusement dimensionné de sorte qu'en appliquant, à 20°C, un effort de traction longitudinale de 50 N, c'est-à-dire dans le sens de la longueur du premier lien, celui-ci s'allonge d'au moins 8 mm, de préférence entre 10 et 20 mm. Cette déformation minimum permet d’obtenir une conformation du premier lien 4 avec l’avant de la chaussure 8 pour un moindre effort sur le lien 4. La chaussure 8 peut être mise en place avec un effort d’insertion acceptable par l’utilisateur. Le premier lien 4 est avantageusement dimensionné de sorte qu'en appliquant, à 20°C, un effort de traction longitudinale de 50 N, il s'allonge d'au maximum 60 mm, et avantageusement d’au maximum 50 mm. Ainsi, le premier lien 4 est assez « nerveux » pour exercer un effort de retour élastique suffisant permettant de maintenir la chaussure 8 comprimée longitudinalement entre les faces d'appui 310 et 411.
Le premier lien 4 peut, par exemple, être réalisé en élastomère thermoplastique tel qu’un TPE, comme Γ HYTREL®, ou un PEBA, comme le PEBAX®, ou encore un TPU. A titre d’exemple, le premier lien 4, envisagé pour une chaussure 8 de pointure comprise entre 36 et 40 selon le standard italien, présente une longueur de 200 mm, une largeur de 50 mm ajourée, une épaisseur de 4 mm, pour un matériau commercialisé sous la référence PEBAX®. En fonction des pointures des chaussures 8 devant être logées dans le dispositif d’accueil, on peut envisager un premier lien 4 présentant une longueur typiquement comprise entre 100 et 250 mm.
Le premier lien 4 est ici solidarisé au bord droit 21 et au bord gauche 22 de l'assise 2 par des moyens de fixations adaptés. Ces moyens de fixations sont avantageusement conçus pour permettre un réglage de la position longitudinale du premier lien 4 par rapport à l'assise 2. Un tel réglage de la position longitudinale du premier lien 4 par rapport à l'assise 2 permet d'adapter le dispositif d'accueil 1 à la pointure de la chaussure 8.
Les figures 8 et 9 sont des vues en coupe d'un exemple de moyens de fixation dans deux configurations de fonctionnement. Dans la configuration de la figure 8, la position longitudinale du premier lien 4 est verrouillée par rapport à l'assise 2. Dans la configuration de la figure 9, la position longitudinale du premier lien 4 est déverrouillée par rapport à l'assise 2.
La position longitudinale du premier lien 4 est ici sélectivement verrouillée/déverrouillée en solidarisant ou désolidarisant sélectivement une crémaillère 261 solidaire de l'assise 2 d'une pièce crantée 431 solidaire du premier lien 4. Une telle configuration permet de régler rapidement et sans outil le dispositif d'accueil 1 pour une pointure de chaussure 8 souhaitée.
Pour simplifier la description, nous allons décrire le moyen de fixation de l’extrémité latérale gauche 43 du premier lien 4 avec le flanc gauche 26 de l’assise 2. De façon symétrique, l’extrémité latérale droite 43 du premier lien 4 est solidaire du flanc droit 25 de l’assise 2 par un moyen de fixation analogue.
Dans ce mode de réalisation, une crémaillère 261 est ménagée sur la face interne du flanc gauche 26. Cette crémaillère 261 s'étend selon une direction légèrement inclinée par rapport à un axe longitudinal. Un trou oblong 262 est ménagé dans l’épaisseur du flanc gauche 26, dans la partie médiane de la crémaillère 261 et s’étend selon la direction de la crémaillère 261. D’autre part, la face externe du flanc gauche 26 comprend un évidement externe 263 définissant une surface d’appui verticale 2631 positionnée au droit de la crémaillère 211.
Par ailleurs, l’extrémité latérale gauche 43 du premier lien 4 comprend une partie crantée 431 sur sa face externe et est percée par un trou médian 433 traversant le premier lien 4 dans son épaisseur. La partie crantée 431 est destinée à coopérer avec la crémaillère 261. La partie crantée 431 est donc orientée vers l’extérieur pour être positionnée en vis-à-vis de la crémaillère 261.
Pour permettre cette coopération entre la partie crantée 431 et la crémaillère 261, le moyen de fixation comporte un moyen de blocage 5. Le moyen de blocage 5 comporte, de façon connue en soi, une butée 51, un levier 52 et une goupille 53.
La butée 51 comprend une plaque 512 fixée perpendiculairement à une première extrémité d’une tige 511. Le levier 52 est monté pivotant autour de la goupille 53 fixée transversalement à une deuxième extrémité de la tige 511. La tige 511 traverse le trou médian 433 de l’extrémité du premier lien 4, le trou médian 433 étant dimensionné sensiblement au diamètre de la tige 511. La tige 511 traverse également le trou oblong 262 du flanc gauche 26. Le moyen de blocage 5 est positionné de sorte que la plaque 512 soit placée de manière à pouvoir prendre appui sur la partie interne 432 de l’extrémité 43 du premier lien 4 et que le levier 52 soit placé de manière à pouvoir prendre appui sur la partie externe du flanc gauche 26. La plaque 512 est dimensionnée de sorte que, lorsque l’on tire sur la tige vers l’extérieur, la butée 51 vient en appui dans un logement 432 de la face interne du premier lien 4. Le levier 52 comprend une came 521 destinée à coopérer avec la surface d’appui verticale 2631 de l’évidement externe 263, lorsque le levier 52 pivote autour de la goupille 53. Ainsi, en fonction de la position angulaire du levier 52, le contact entre la surface de came et la surface d’appui verticale varie, ce qui provoque le déplacement transversal de la goupille 53 et donc de la tige 511. En conséquence, on peut rapprocher ou écarter la partie crantée 431 de la crémaillère 261 associée.
Dans la configuration représentée à la figure 8, le contact entre la came 521 et la surface d’appui verticale 2631 de l’évidement externe 263 tend à écarter la goupille 53 du flanc 26. La crémaillère 261 et la partie crantée 431 sont prises en sandwich entre la butée 51 et la came 521. Dès lors, l’extrémité latérale 43 du premier lien 4 est immobilisée du fait de la coopération entre les dents de la partie crantée 431 et celles de la crémaillère 261.
Dans la configuration représentée à la figure 9, le contact entre la came 521 et la surface d’appui verticale 2631 de l’évidement externe 263 tend à permettre le rapprochement entre la goupille 53 et le flanc 26. Ce déplacement conduit à l’éloignement des dents de la partie crantée 431 des dents de la crémaillère 261. Ainsi, l’extrémité latérale 43 du premier lien 4 est libérée et peut se déplacer longitudinalement par rapport à la crémaillère 261.
Lorsque la position de l’extrémité latérale 43 du premier lien 4 est réglée à la bonne pointure, il suffit d’actionner le levier 52 pour immobiliser de nouveau l’extrémité latérale 43 du premier lien 4.
Ainsi, dans cet exemple, le moyen de fixation comprend le moyen de blocage 5, la crémaillère 261 et l’extrémité latérale 43 et, notamment, sa partie crantée 431.
Selon une autre solution de réglage de la position longitudinale du premier lien 4 par rapport à l'assise 2, on peut prévoir plusieurs orifices, d'une part, sur le flanc droit 25 et, d'autre part, sur le flanc gauche 26. Ces orifices sont répartis longitudinalement et destinés à être traversés par un arbre de solidarisation passant également à travers un orifice traversant l’épaisseur d’une extrémité latérale 43 du premier lien 4. En plaçant un arbre de solidarisation, par exemple, la tige d'un boulon, dans un orifice donné de l’assise 2, l’utilisateur peut régler la position longitudinale du premier lien 4 par rapport à l’assise 2. Cela permet d’ajuster la distance entre les deux faces d'appui 310 et 411 pour correspondre à une pointure souhaitée. On peut également prévoir de réaliser plusieurs orifices à différentes positions sur chaque extrémité latérale 43 du premier lien 4. Ces orifices peuvent coopérer avec des arbres solidaires respectivement du flanc droit 25 et du flanc gauche 26 de l'assise 2. En plaçant chacun de ces arbres dans un orifice donné du premier lien 4, l’utilisateur peut régler la position longitudinale du premier lien 4 par rapport à l’assise 2. Cela permet d’ajuster la distance entre les deux faces d'appui 310 et 411 pour correspondre à une pointure souhaitée.
Le premier lien 4 est avantageusement autoporté. Un tel premier lien 4 autoporté permet d'éviter son affaissement, évitant à l'utilisateur d'avoir à le saisir à la main avant d'insérer sa chaussure 8 dans le dispositif d'accueil 1. Le premier lien 4 présente ici une forme de sangle s'étendant entre le bord droit 21 et le bord gauche 22 de l'assise 2. Le premier lien 4 est solidaire de l'assise 2. Il est agencé de sorte qu’il comprend une portion, inclinée d’un angle β d'au moins 30° par rapport à un plan horizontal XY. Cet agencement permet de positionner la face d’appui 411 de sorte qu’elle puisse coopérer directement avec la partie antérieure 82 de la chaussure, lors de l’insertion de la chaussure dans le dispositif d’accueil, sans avoir à manipuler le premier lien 4. En étant autoporté, lorsque le premier lien 4 est réglé longitudinalement, celui-ci est assemblé de manière fixe à l’assise, sans mouvement relatif entre le premier lien 4 et l’assise 2. La liaison est de type encastrement. Le premier lien 4 peut, néanmoins, se déformer par rapport à l’assise 2, conformément à l’invention.
Le premier lien 4 présente avantageusement une forme enveloppante pour la partie antérieure 82 de la chaussure 8. Le premier lien 4 illustré comporte une portion supérieure 42 et une portion inférieure 41, reliées, de part et d'autre, par des jonctions latérales formant les extrémités 43 du premier lien 4. La portion inférieure 41 supporte la face d’appui 411 servant de butée contre les mouvements longitudinaux de la partie antérieure 82 de la chaussure 8. La portion supérieure 42 supporte une deuxième face d’appui 421 servant de butée contre les mouvements verticaux de la partie antérieure 82 de la chaussure 8. Les portions 41 et 42 sont indépendantes l'une de l'autre dans leur partie médiane, afin de mieux s'adapter à la forme de la partie antérieure 82 de la chaussure 8. Les portions 41, 42, 43 du premier lien 4 sont composées d’un matériau élastique afin de pouvoir se déformer pour se conformer à la partie antérieure 82 de la chaussure.
Avantageusement, le premier lien 4 est formé d'un seul tenant pour éviter à l'utilisateur d'avoir à solidariser deux parties latérales indépendantes. Cela permet un chaussage rapide. On réduit le nombre d’opérations de l’utilisateur pour solidariser sa chaussure avec le dispositif d’accueil 1 correspondant. Avantageusement, le premier lien 4 est dépourvu de mécanisme d'ouverture permettant de désolidariser ses extrémités latérales. Cela permet d’obtenir un serrage maîtrisé au niveau du premier lien 4.
Selon un mode de réalisation, l'arceau 3 est déformable élastiquement lors de l'application d'un effort longitudinal X sur la face d'appui 310. Cette déformation élastique permet notamment d’écarter les faces d'appui 310 et 411, lors de l'insertion de la chaussure 8 dans le dispositif d'accueil 1. L’arceau 3 peut par exemple être dimensionné pour que la surface d’appui 310 se déforme longitudinalement d’une distance d’au moins 5 mm, de préférence d’au moins 10 mm, lorsqu’on applique un effort longitudinal de 100 N sur la face d’appui 310. Avantageusement, cette déformation est au maximum de 15 mm pour cet effort longitudinal de 100 N sur la face d’appui 310, afin de ne pas déformer excessivement le dispositif d’accueil 1 durant l’utilisation.
Dans l'exemple illustré, les bras de liaison 32 et 33 présentent une forme échancrée, afin de favoriser leur flexion autour d’un axe Y, ce qui permet d'éloigner la face d'appui 310 de la face d'appui 411.
Selon un mode de réalisation, le serrage de la chaussure entre l’arceau et le premier lien résulte de la combinaison de la déformation élastique de l’arceau 3 et du premier lien 4, lors de l'insertion de la chaussure 8 dans le dispositif d'accueil 1.
Dans cet exemple, la hauteur des flancs 25 et 26 est décroissante en partant de l'extrémité avant 23 de l'extrémité arrière 24 de l'assise 2. Une telle configuration permet d'assouplir la liaison entre l'arceau 3 et l’assise 2, afin de favoriser la flexion des bras 32 et 33 autour d'un axe X. Cela permet également de déplacer le centre de gravité du dispositif d’accueil vers l’avant pour améliorer les appuis de l’utilisateur.
Selon un mode de réalisation, le dispositif d'accueil 1 comporte un deuxième lien 6, relié à l’arceau, de sorte à enserrer la chaussure 8, au niveau du cou-de-pied. Ce deuxième lien 6 comprend deux sangles 62, 63 reliées à une garniture 61. Une première extrémité de chaque sangle 62, 63 est fixée sur un élément latéral, respectivement gauche et droit, de l’assise 2. L’autre extrémité de chaque sangle 62,63 est reliée sur une extrémité, respectivement gauche et droite, de la garniture 61. La garniture 61 est munie d’une surface de maintien destinée à venir en contact avec le cou-de-pied de la chaussure 8. La garniture surplombe la surface supérieure 20 de l’assise.
Le deuxième lien 6 comporte avantageusement une structure empêchant la séparation de ses extrémités latérales ou une rupture de l'arc formé entre les bords 21 et 22. Dans l'exemple, les sangles 62 et 63 ne peuvent pas être séparées sans outillage de la garniture 61. En maintenant le deuxième lien 6 en forme d'arc fermé au-dessus de la surface supérieure 20, on évite que l'utilisateur ait à réaliser une opération d’association entre les éléments du deuxième lien 6, qui peut être délicate, après avoir insérer sa chaussure 8 dans le dispositif d'accueil 1. En conséquence, le chaussage peut être plus rapide. La longueur de l'arc du deuxième lien 4 peut bien entendu être réglable de façon connue en soi. En particulier, dans l'exemple illustré, les sangles 62 et 63 sont crantées, afin de permettre une fixation de la garniture 61 à un emplacement approprié sur leur longueur.
Dans cet exemple, le deuxième lien 6 est monté pivotant par rapport à l’assise 2, autour d'un axe Y. Le dispositif d’accueil 1 comprend en outre, de chaque côté de l’assise 2, une butée 71 destinée à coopérer avec une partie latérale du deuxième lien 6, de sorte à limiter la rotation du deuxième lien 6 vers l’avant. Cette butée 71 assure le positionnement du deuxième lien 6, lorsqu’il bascule vers l’avant, dans une configuration stable de chaussage pour laquelle la surface de maintien est placée, sensiblement, en vis-à-vis du cou-de-pied de la chaussure 8. Dans cette configuration de chaussage, un plan médian du deuxième lien 6 forme avantageusement un angle δ d'au moins 30° par rapport à un plan horizontal XY. Cette configuration de chaussage permet d'éviter l’affaissement du deuxième lien 6. Ainsi, l'utilisateur n’a pas à le saisir à la main avant d'insérer sa chaussure 8 dans le dispositif d'accueil 1. Le chaussage est ainsi facilité. Le deuxième lien 6 ne gêne pas l’insertion de la chaussure 8 dans le dispositif d’accueil 1. Par ailleurs, le deuxième lien 6 peut basculer vers l’arrière par rapport à l’assise 2, afin de dégager un accès à la surface supérieure 20. Ce peut être utile, par exemple, pour retirer de la neige.
Selon un mode de réalisation, le deuxième lien 6 est solidaire de la partie support 31 de l'arceau 3, afin d’assurer un serrage efficace de la tige de la chaussure. C’est ce maintien de la chaussure 8 qui permet à l’utilisateur un meilleur contrôle du guidage de la planche de glisse 9.
Afin d'éviter d'appliquer un effort excessif sur l'arceau 3 par l'intermédiaire du deuxième lien 6, chaque extrémité du deuxième lien 6 est assemblée à un organe de liaison latéral 7, respectivement droit et gauche, reliant une extrémité 311, 312 de la partie support 31 de l'arceau 3 à un bord 21, 22 de l’assise 2.
Dans cet exemple, chaque organe de liaison 7 constitue une plaque plastique en forme de « L », sensiblement dans un plan XZ. Chaque extrémité du deuxième lien 6 est montée rotatif au niveau de la jonction des deux bras du « L ». Ainsi, lorsqu’on serre le deuxième lien, on obtient une bonne répartition des efforts au niveau de l’arceau et de l’assise, ce qui permet de moins solliciter l’arceau. La plaque présente une faible épaisseur, selon la direction Y, entre 1 et 7 millimètres, ce qui lui permet de fléchir facilement afin de mieux épouser la forme de la chaussure 8 lors du serrage du deuxième lien 6. Le plaquage de chaque liaison 7 contre la chaussure 8, dans la direction Y, assure un maintien latéral optimal de cette chaussure 8. Avec ce type de liaison souple 7, les extrémités latérales 311, 312 de la partie support 31 peuvent être distantes transversalement, selon une direction Y, de sorte que l’écartement de ces extrémités est supérieure à la largeur de la chaussure 8. Cette spécificité permet de faciliter fortement l’insertion de la chaussure. Cet écart de largeur est compensé par la souplesse des liaisons 7. Ainsi, lorsqu’on serre le deuxième lien, l’arceau 3, les liaisons 7 et le deuxième lien 6 se conforment pour assurer un bon maintien de la chaussure 8 au niveau du cou-de-pied.
Les liaisons 7 peuvent présenter d’autres formes, par exemple, une forme courbe. Les liaisons 7 peuvent par exemple présenter un rayon de courbure positionné à l’arrière de ces liaisons 7.
Dans l'exemple illustré, les liaisons 7 comportent des butées latérales respectives 71, configurées pour interférer avec le deuxième lien 6, lorsque celui-ci bascule vers l’avant. Comme décrit précédemment, ces butées latérales limitent la rotation vers l’avant du deuxième lien 6 ce qui permet de le maintenir dans la configuration de chaussage définie précédemment.
La surface supérieure 20 de l'assise 2 est avantageusement définie au moins partiellement par une mousse compressible 201. Le matériau de la mousse 201 est par exemple choisi dans le groupe comprenant l’EVA, le PU ou le PP. Une telle mousse compressible 201 est destinée à apporter du confort de chaussage en accroche et en amortissement. La mousse 201 peut être fixée par tout moyen approprié à la structure de l’assise 2, par exemple par collage.
Selon un mode de réalisation, au niveau de l'extrémité avant 23 de l'assise 2, la surface supérieure 20 présente une alternance de bandes de mousse compressible 201 et de bandes 202 composées d'une structure rigide, selon une direction Y. Ces bandes 202 peuvent être formées d’un seul tenant avec l'assise 2. Ces bandes permettent de limiter des mouvements verticaux de la chaussure 8 par enfoncement de la surface 20, une fois que la chaussure 8 est logée dans le dispositif d'accueil 1. Par ailleurs, ces bandes 202 présentent une surface lisse permettant de faciliter le glissement longitudinal de la chaussure sur la surface supérieure 20. L’invention n’est pas limitée à ces modes de réalisation. Il est possible de combiner ces modes de réalisation. L'invention s'étend également à tous les modes de réalisation couverts par les revendications annexées.
Nomenclature 1- Dispositif d’accueil 2- Assise 20- Surface supérieure 201- Mousse compressible 202- Bande lisse 21- Bord droit 22- Bord gauche 23- Extrémité avant 24- Extrémité arrière 25- Flanc droit 26- Flanc gauche 261- Crémaillère interne 262- Trou oblong 263- Evidement externe 2631- Surface d’appui vertical externe 3- Arceau 31- Portion support 310- Face d’appui 311- Extrémité droit 312- Extrémité gauche 313- Bord supérieur 3131- Point médian haut 3132- Pente d’insertion 314- Bord inférieur 3141- Point médian bas 32- Bras de liaison droit 33- Bras de liaison gauche 4- Premier lien 41- Portion inférieure 411- Face d’appui 42- Portion supérieure 421- Face d’appui 43- Extrémité latérale 431- Crantage externe 432- Logement interne 433- Trou médian 5- Moyen de blocage 51- Butée 511- Tige 512- Plaque 52- Levier 521- Came 53- Axe 6- Deuxième lien 61- Garniture 62- Sangle gauche 63- Sangle droite 7- Organe de liaison 71- Butée 8- Chaussure 81- Partie postérieure 82- Partie antérieure 83- Semelle 9- Engin de glisse

Claims (10)

  1. REVENDICATIONS
    1- Dispositif d’accueil (1) d’une chaussure (8) sur un engin de glisse (9), le dispositif d’accueil comprenant : - une assise (2) s’étendant selon une direction longitudinale (X) depuis une extrémité arrière (24) jusqu’à une extrémité avant (23), et en largeur, d’un premier bord (21) jusqu’à un deuxième bord (22) selon une direction transversale (Y), l’assise présentant une surface supérieure (20) sur laquelle vient en appui la chaussure (8) ; - un arceau (3) solidaire de l’assise (2), l’arceau étant autoporté et positionné au niveau de l’extrémité arrière (24) de l’assise, l’arceau (3) supportant une première face d’appui (310) destinée à coopérer directement avec une partie postérieure (81) de la chaussure (8) lorsque celle-ci est logée dans le dispositif d’accueil (1), - un premier lien (4) solidaire de l’assise (2), le premier lien reliant le premier bord (21 ) au deuxième bord (22), au niveau de l’extrémité avant (23) de l’assise (2), le premier lien (4) supportant une deuxième face d’appui (411) destinée à coopérer directement avec une partie antérieure (82) de la chaussure (8) lorsque celle-ci est logée dans le dispositif d’accueil (1), caractérisé en ce que : le premier lien (4) et/ou l’arceau (3) est déformable élastiquement de sorte que, lorsque la chaussure (8) est logée dans le dispositif d’accueil (1), celle-ci est maintenue enserrée entre les première (310) et seconde (411) faces d’appui grâce au retour élastique du premier lien (4) et/ou de l’arceau (3).
  2. 2- Dispositif d'accueil (1) selon la revendication 1, dans lequel la hauteur du bord supérieur (H313) d’une portion support (31) de l'arceau (3) au niveau d'un plan médian perpendiculaire à la direction transversale est inférieure à 10 cm par rapport à la surface supérieure (20) de l'assise (2).
  3. 3- Dispositif d'accueil (1) selon la revendication 1 ou 2, dans lequel la hauteur du bord inférieur (H314) d’une portion support (31) de l'arceau (3) au niveau d'un plan médian perpendiculaire à la direction transversale est inférieure à 6 cm par rapport à la surface supérieure (20) de l'assise (2).
  4. 4- Dispositif d'accueil (1) selon l'une quelconque des revendications précédentes, dans lequel le bord supérieur (313) de l'arceau (3) comporte une partie antérieure présentant une pente d'insertion (3132).
  5. 5- Dispositif d'accueil (1) selon l'une quelconque des revendications précédentes, dans lequel l'arceau (3) est dissymétrique par rapport à un plan médian perpendiculaire à la direction transversale, le bord supérieur (313) présentant des hauteurs différentes au niveau du premier bord (21) et au niveau du deuxième bord (22).
  6. 6- Dispositif d'accueil (1) selon l'une quelconque des revendications précédentes, dans lequel des moyens de fixation (261,43, 5) solidarisent le premier lien (4) respectivement audit bord droit (21) et audit bord gauche (22) de l'assise (2) de sorte que la position longitudinale du premier lien (4) par rapport à l'assise (2) est réglable.
  7. 7- Dispositif d'accueil (1) selon l'une quelconque des revendications précédentes, dans lequel le premier lien (4) est autoporté.
  8. 8- Dispositif d'accueil (1 ) selon la revendication précédente, dans lequel le premier lien (4) est dimensionné de manière à positionner la face d’appui (411) de sorte qu’elle puisse coopérer directement avec la partie antérieure (82) de la chaussure (8) lorsque celle-ci est insérée dans le dispositif d’accueil.
  9. 9- Dispositif d’accueil (1) selon l'une quelconque des revendications précédentes, comprenant en outre : un deuxième lien (6), solidaire dudit arceau (3), muni d’une surface de maintien destinée à venir en contact avec le cou-de-pied de la chaussure (8) et une butée (71) assurant le positionnement du deuxième lien, lorsqu’il bascule vers l’avant, dans une configuration stable de chaussage pour laquelle la surface de maintien est placée, sensiblement, en vis-à-vis du cou-de-pied de la chaussure (8).
  10. 10- Dispositif d'accueil (1) selon la revendication précédente, dans lequel chaque extrémité du deuxième lien (6) est fixée sur un organe de liaison souple (7) reliant l’assise (2) avec, respectivement, une extrémité latérale droite (311) ou gauche (312) d’une portion support (31) de l’arceau (3).
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