La présente invention concerne un châssis dormant pour ouverture de bâtiment. Elle concerne particulièrement l'industrie du bâtiment et celle de la fabrication de structures, en particulier à base de profil d'aluminium, utilisées pour équiper les ouvertures des bâtiments, qu'il s'agisse de fenêtre ou encore par exemple de porte fenêtres. L'invention s'adresse plus particulièrement à la réalisation de dormants, notamment pour vantaux coulissants, le dormant étant réalisé suivant la technique dite de dormant périphérique. On entend par dormant périphérique, un dormant réalisé sous la forme d'un cadre présentant deux montants et deux traverses, chaque montant étant joint respectivement en partie basse et en partie haute par une traverse basse et une traverse haute. L'ensemble constitue généralement une structure géométriquement rectangulaire lorsqu'elle est regardée depuis une des faces de l'ouverture. Un tel dormant est dit périphérique lorsque la jonction entre traverse et montant est opéré via une ligne de jonction dirigée sensiblement suivant un angle de 45° relativement aux directions des montants et des traverses. Une autre technique consiste à juxtaposer traverses et montants sans réaliser de découpe à 45°. La figure 1 présente un exemple de structure d'une partie d'un cadre de châssis dormant périphérique suivant l'état de la technique. Plus précisément, on a représenté une section suivant un plan vertical ou horizontal d'un ensemble apte à constituer l'un parmi les montants et les traverses. Dans l'exemple, la section transversale comprend deux profilés assemblés tout en réalisant une rupture de pont thermique par l'intermédiaire de profils 2a généralement en matière isolante thermiquement. Une feuillure 4a est disposée entre les deux profils ainsi assemblés. La face des profils opposée à la feuillure 4a (elle-même dirigée du coté du vantail) est configurée pour être applicable sur une ouverture. Une zone d'ancrage 5a est à cet effet réservée pour recevoir des moyens complémentaires permettant l'ancrage du châssis dormant la ainsi constitué sur la paroi du bâti. Pour assurer l'assemblage des montants et des traverses, ceux-ci sont équipés de cages internes aptes à coopérer avec des équerres de liaison 3a de section rectangulaire tel que représenté en figure 1. Les équerres présentent deux branches chacune configurée pour coopérer avec une cage constituant une réservation interne dans un profilé d'un montant, une autre branche coopérant avec une cage réalisée dans une traverse. Cet ensemble donne globalement satisfaction en terme de cohérence mécanique.
Cependant, l'emploi d'équerres impose des réservations dans les profilés utilisés ce qui induit un certain encombrement en hauteur de ces profilés. S'en suivent une consommation importante de matière, particulièrement pénalisante lorsque les profilés sont en aluminium, ainsi qu'un accroissement de la hauteur du châssis dormant si bien que la surface disponible pour les vantaux et donc pour la surface éventuellement vitrée est limitée. Cette dernière conséquence est généralement dommageable en terme d'isolation thermique. Il existe par conséquent un besoin de proposer un châssis dormant assemblé suivant la technique dite de dormant périphérique, avec des jonctions à 45°, remédiant en tout ou partie aux inconvénients des techniques connues jusqu'à présent. A cet effet, la présente invention concerne un châssis dormant pour ouverture de bâtiment, comprenant un cadre dont un côté extérieur est fixable sur l'ouverture, le cadre comprenant deux traverses et deux montants reliés deux à deux par des zones de jonction dirigées suivant un plan de jonction incliné à 45° relativement aux directions longitudinales des montants et des traverses, les montants et les traverses comportant chacune au moins un profilé pourvu d'une cage configurée pour recevoir une branche d'une équerre au niveau de chaque zone de jonction, le au moins un profilé comportant une feuillure basale, ouverte sur une face du châssis et située entre la cage et le côté extérieur. Avantageusement, le châssis dormant est tel que la cage présente une section transversale en « L » avec une portion de base s'étendant suivant une dimension en profondeur (x) du cadre et une portion oblique s'étendant depuis la portion de base vers le côté extérieur, à l'arrière de la feuillure relativement à ladite face. Un effet de la présente invention est d'abaisser le lieu de positionnement des équerres de liaison, c'est-à-dire de les ramener à proximité du coté extérieur apte à être appliqué sur la surface du bâti. Ce rapprochement permet de limiter l'encombrement latéral (c'est-à-dire sensiblement perpendiculaire au coté extérieur) de sorte à limiter l'exposition du châssis et la largeur du cadre. Dans le même temps, les moyens nécessaires au montage du châssis sont préservés et en particulier la feuillure basale est toujours disponible. Un autre avantage potentiel de la présente invention est de réaliser des cages pouvant coopérer avec des équerres, l'ensemble de ce système coopérant présentant une section spécifique de rigidité importante et ce dans les trois directions. Dans ce cas, on peut augmenter ou préserver la rigidité des liaisons nécessaires à la formation du cadre tout en réduisant l'encombrement en largeur de ce dernier. La présente invention concerne également une ouverture de bâtiment équipée d'un châssis de l'invention.
D'autres caractéristiques, buts et avantages de la présente invention apparaitront à la lecture de la description détaillée qui suit, en regard des dessins annexés, donnés à titre d'exemples, non limitatifs, et sur lesquels : - La figure 1 présente une vue en coupe d'un châssis suivant l'état de la technique. - La figure 2 présente une vue en coupe d'une portion de châssis dans un mode de réalisation de l'invention. - La figure 3 est une vue en coupe horizontale d'une ouverture équipée de la présente invention. - La figure 4 est une vue en coupe verticale correspondant au mode de réalisation vue en coupe horizontale à la figure 3. - La figure 5 est une vue en perspective d'une équerre utilisable selon la présente invention. Avant d'entrer dans le détail de modes de réalisation de l'invention notamment en référence aux exemples fournis dans les dessins, des aspects non limitatifs et purement optionnels de l'invention sont ci-après énoncés. Ils peuvent être mis en oeuvre individuellement ou suivant toute combinaison entre eux : - elle comporte autant d'équerres que de profilés pourvus d'une cage, chaque équerre comprenant deux branches comprenant chacune une partie de base configurée pour être encastrée dans une portion de base d'une cage et une partie oblique configurée pour être encastrée dans une portion oblique de ladite cage. - au moins une branche d'au moins une équerre comporte un relief sur une surface d'encastrement dans la cage. - la portion oblique des cages est perpendiculaire à leur portion de base. - chacun des montants et des traverses comportent deux profilés pourvus d'une cage, les profilés étant parallèles, leurs feuillures basales étant ouvertes sur des faces différentes du châssis. - les cages des deux profilés sont symétriques suivant un plan perpendiculaire à la dimension en profondeur. - les deux profilés sont espacés suivant la dimension en profondeur et raccordés par au moins un profil de rupture de pont thermique. - un premier profil de rupture de pont thermique est situé de manière adjacente au côté extérieur et comporte une section transversale concave en direction du côté extérieur de sorte à ménager une zone d'ancrage du châssis dans l'ouverture. - elle comporte au moins un deuxième profil de rupture de pont thermique parallèle au premier profil de rupture de pont thermique et comportant une section transversale concave en direction du côté extérieur. - la zone d'ancrage est délimitée par le premier profil de rupture de pont thermique et deux pattes d'appui applicable sur l'ouverture et délimitant une ouverture de la zone d'ancrage vers le côté extérieur. Les figures 1 et 2 offrent une vue comparative d'une technique existante reflétée par la figure 1 et d'un mode de réalisation de l'invention reflétée par la figure 2. La figure 2 montre suivant une coupe qui peut être aussi bien horizontale que verticale la section d'une partie de châssis de la présente invention. Notamment, la section représentée peut correspondre aussi bien à une partie de montant qu'à une partie de traverse. Il est rappelé que la présente invention s'applique tout particulièrement à la réalisation de châssis dormant 1 à base d'un cadre formé de deux traverses et de deux montants assemblés deux à deux par la technique dite de cadre périphérique, c'est-à- dire mettant en oeuvre des zones de jonction inclinées à 45° aux zones d'assemblages des montants et des traverses. Le châssis 1 présenté en figure 2 comporte globalement deux profilés latéraux 26, 27. Chaque profilé 26, 27 définit une face respectivement 32, 33 du châssis 1. A titre d'exemple, la face 32 peut correspondre à une partie située vers l'intérieur du bâtiment et la face 33 à une partie située vers l'extérieur. L'inverse peut être tout aussi vrai. Un espace intermédiaire entre les profilés latéraux 26, 27 définit une feuillure 4. On voit notamment en figure 3 que cette partie du châssis peut permettre la coopération avec une partie de vantail 14. En particulier, dans l'exemple de la figure 2, les profilés 26, 27 comportent chacun une rainure en U apte au guidage d'un vantail en fin de translation, comme, dans l'exemple, la baie coulissante de la figure 3. A l'opposé du coté intérieur 31 du châssis, par lequel s'effectue la coopération avec les vantaux, le cadre comporte un coté extérieur 30 correspondant à la partie du châssis apte à venir en contact avec une surface d'assemblage située sur l'ouverture dont partie du bâti. Avantageusement, le coté extérieur 30 comporte une pluralité d'éléments de surface permettant l'application sur le pourtour de l'ouverture, généralement suivant un plan. En outre, les profilés 26, 27 comportent chacun une feuillure basale 8 située à proximité du coté extérieur 30 et par exemple simplement délimitée du coté extérieur 30 par un pan d'application sur la paroi du bâti. La feuillure 8 permet notamment de positionner un couvre joint 15 tel que cela ressort de la figure 3.
Alors que selon l'état de la technique, la feuillure 8 est simplement positionnée entre la cage de réception de branche d'équerre et le coté extérieur 30, la présente invention réalise une parfaite imbrication de ces parties structurelles de profilés. En particulier, comme le montre l'exemple de la figure 2, la cage 6 est cette fois formée avec une portion de base sensiblement dirigée suivant la profondeur du châssis (correspondant à la dimension x indiquée sur le repère orthonormé en figure 2) et une portion oblique dirigée de manière oblique relativement à la portion de base. On comprend qu'étant oblique, la partie coopérant avec la portion de base s'étend vers le bas en direction du coté extérieur en passant à l'arrière de la base de la feuillure basale 8. La feuillure 8 et la cage 6 se trouvent donc imbriquées suivant la dimension correspondant au repère y. Toujours à titre préféré, les portions de base et oblique sont avantageusement réalisées avec un coude de sorte à être perpendiculaires. Ainsi, les deux portions sont en continuité avec un angle droit entre elles. On forme aussi un virage à 90°. Cependant, une autre configuration est éventuellement possible. On notera que la formation d'une telle disposition de cage 6 avec une section en L accroit la rigidité dans les directions x et y. En outre, les cages 6 ainsi formées peuvent coopérer avec des équerres de liaison 3 de formes complémentaires et susceptibles d'être amenées en encastrement à l'intérieur des cages 6.
La figure 5 montre un exemple de réalisation d'une équerre 3 avec une première branche 28 et une deuxième branche 29. Chaque branche peut coopérer avec une cage 6 d'un, différent, parmi un montant et une traverse devant être joint. On note que la section transversale des branches 28, 29 adopte une même configuration en L que la section des cages 6 précédemment décrite. En particulier, chaque branche 28, 29 comporte une partie de base 11 apte à coopérer avec la portion de base de la cage 6 et une partie oblique 12 apte à coopérer avec la portion oblique (l'autre partie du « L » notamment) de la cage 6. Les dimensions de l'équerre 3 sont avantageusement configurées pour permettre l'introduction des branches 28, 29 dans les cages 6 de sorte à permettre l'encastrement à ce niveau et la formation à la jonction à 45°. Les branches 28, 29 sont réunies par l'intermédiaire d'un angle 21 qui est amené à se trouver au niveau de la jonction entre montant et traverse. Bien que non limitative, la figure 5 illustre l'exemple de branches 28, 29 comportant des reliefs 22. Les reliefs permettent d'améliorer la fonction d'accrochage des branches 28, 29 dans les cages 6. Leur forme n'est pas limitée. Dans l'exemple, on forme des reliefs 22 entre eux définissant, en négatif, des saillies dont les sommets sont amenés à s'appliquer sur la surface intérieure des cages 6. Les saillies sont avantageusement du côté extérieur pour sertissage et assemblage en refoulant la matière. Les figures 3 et 4 montrent respectivement en coupe horizontale et en coupe verticale un exemple d'implantation du châssis selon l'invention. Auparavant, il est remarqué que les modes de réalisation illustrés font apparaître une section de châssis disposant de deux profilés 26, 27. Cependant, cette disposition n'est pas limitative de la présente invention. En figure 3, un bâti 17 est équipé d'un châssis 1 selon l'invention. Dans ce cadre, de part et d'autre de l'ouverture, deux montants sont formés. Avantageusement, la section des montants est identique aussi bien pour la partie droite que pour la partie gauche du châssis 1 illustrée en figure 3. Les parties de profilés situées du coté intérieur 31 comportent comme précédemment décrit deux éléments, repérés 13, sous forme de bordures permettant la coopération avec un vantail 14. Chaque section de dormant au niveau des montants comporte deux profilés 26, 27 comme précédemment, profilés assemblés par l'intermédiaire de deux profils de rupture de pont thermique 2 superposés et sensiblement parallèles entre eux dans l'exemple. Entre le premier profil 2 et le coté extérieur 31, une réservation 5 est formée sous forme de zone d'ancrage permettant de recevoir un système d'ancrage repéré 16 comportant en particulier un système de boulonnage permettant l'encastrement de cette partie de châssis 1 sur le bâti 17. On pourra utiliser des techniques d'ancrage traditionnelles à cet effet. Néanmoins, on notera que dans l'exemple des figures 2 à 4, la zone d'ancrage 5 est relativement évasée suivant la direction large du châssis (y) grâce à une disposition spécifique des profils de rupture de pont thermique 2. En revenant à la figure 2, on constate que le profil de rupture de pont thermique 2 situé à proximité du coté extérieur 30 présente un profil sensiblement concave avec deux pans latéraux 25 situés de part et d'autre d'une portion de base sensiblement parallèle au coté extérieur 30, les pans latéraux 25 étant susceptibles d'être sertis sur l'un des profilés 26, 27. Cette caractéristique peut éventuellement être employée séparément de celle de la cage en « L ». Avantageusement, l'autre profil 2, superposé au premier suivant la direction y, a la même configuration et la même orientation. De part la concavité procurée au profil de rupture de pont thermique 2 le plus proche du coté extérieur 30, la zone d'ancrage 5 est augmentée en taille. Cela permet plus facilement d'accommoder le système d'ancrage 16. En outre, la base des profilés 26, 27 comporte avantageusement une patte 23 faisant saillie vers la zone d'ancrage de sorte à constituer des éléments d'appui sur lesquels peut reposer le système d'ancrage 16. On forme ainsi une reprise d'effort efficace tout en libérant suffisamment de place pour une intervention facile des monteurs à ce niveau de zone d'ancrage généralement fort peu épais. On notera que grâce à la disposition de la présente invention, les cages 6 sont telles que leur partie de fond 9 correspondant à leur paroi située à proximité du coté extérieur 30 sont fortement rapproché du dit coté extérieur 30. Ainsi, relativement à l'état de la technique l'ensemble est plus ramassé et le fond 9 est situé plus proche des pattes d'appui 23 de sorte que la rigidité du système assemblé à ce niveau est augmentée. Au final, l'ensemble est plus compact mais aussi plus résistant. La feuillure basale précédemment décrite peut avoir une configuration classique sous forme de rainure dans laquelle peut s'insérer un couvre joint 15 comme dans l'exemple de la figure 3 ou à titre non limitatif un profilé de seuil 20 comme dans l'exemple de la figure 4. D'une manière générale, il est avantageux de former la feuillure 8 avec une forme en U dont les deux branches sont formées respectivement par un pan latéral d'appui sur le coté extérieur 30 et un décrochement 10 formant la géométrie en L de la cage 6. On notera que les profilés 26, 27 présentés aux figures 3 et 4 diffèrent légèrement du mode de réalisation présenté en figure 2. En particulier, les cages 6 sont formées, dans les figures 3 et 4 dans une réservation interne des profilés. Néanmoins, alors que l'un des profilés présente une cage conforme au cas précédemment décrit, l'autre profilé employé pour le cas des figures 3 et 4 comporte une réservation plus importante que celle nécessaire et suffisante à l'intégration des branches 28, 29 d'équerre. Ainsi, une nervure 34 présentée en figure 4, délimite, dans la réservation interne, la partie de cage coopérant avec l'équerre et une partie non coopérante avec l'équerre. Il est noté qu'il n'est pas absolument nécessaire que les branches d'équerre coopèrent avec l'intégralité de la surface périphérique des cages 6. Le mode de réalisation des figures 3 et 4 en est un exemple. Toujours en figure 4, on a représenté un exemple d'implantation de l'invention en coupe verticale. En conséquence, les sections présentées correspondent ici à des sections de traverses. Cependant, il est avantageux d'utiliser des sections similaires voire strictement identiques pour les traverses et les montants par économie de conception pour la fabrication des pièces. En particulier, les sections présentées en figure 4 sont identiques à celles présentées en figures 3 pour les coupes horizontales. On notera que la bordure 13 qui servait dans une direction verticale à accommoder une tranche verticale d'un vantail 14, sert ici à recevoir un rail de guidage 18 par exemple pour coopérer avec un système de roulage de baie coulissante. Cependant, cette disposition n'est pas limitative. Il faut par ailleurs noter que l'invention peut s'appliquer à tous vantaux à frappe ou coulissant. De manière particulièrement avantageuse, les profilés 26, 27 utilisés selon la présente invention sont en aluminium et peuvent être obtenus par extrusion d'aluminium. Les profils de rupture 2 sont avantageusement en matière moins conductrice thermiquement que l'aluminium, il peut s'agir de barrettes en matériau plastique éventuellement chargées de fibres. Des accessoires tels des caches peuvent éventuellement être rapportés à l'ensemble du système pour des raisons thermique ou esthétique.
Un procédé d'assemblage du châssis selon l'invention comprend les étapes consistant à : - réaliser une découpe oblique à 45° relativement à la direction longitudinale sur chacun des montants et des traverses, - insérer une branche 28 d'une équerre 3 dans une cage 6 d'un profilé 26, 27 d'un montant et insérer de façon correspondante l'autre branche dans une cage d'un profilé d'une traverse de sorte à réaliser la zone de jonction entre le dit montant et la dite traverse, - répéter ces opérations jusqu'à formation complète du cadre de châssis, - on peut ensuite rapporter le cadre ainsi formé sur une ouverture de bâtiment en particulier dans l'épaisseur de l'ouverture, - raccordement du châssis et du bâti 17 par intermédiaire de système d'ancrage 16 coopérant avec les profilés assemblés par les profils 2.25 REFERENCES 1 - la. Châssis dormant 2 - 2a. Profil de rupture de pont thermique 3 - 3a. Equerre de liaison 4. Feuillure 5 - 5a. Zone d'ancrage 6. Cage 8. Feuillure basale 9. Fond de cage 10. Décrochement 11. Partie de base 12. Partie oblique 13. Bordure 14. Vantail 15. Couvre-joint 16. Système d'ancrage 17. Bâti 18. Rail 19. Goulotte 20. Profilé de seuil (ou barrette) 21. Angle 22. Relief 23. Pattes d'appui 24. Base 25. Pan latéral 26. Profilé 27. Profilé 28. Première branche 29. Deuxième branche 30. Coté extérieur 31. Côté intérieur 32. Face 33. Face 34. Nervure