FR3001836A1 - Dispositif de fixation d'un appareillage electrique sur une paroi et procede de deconnexion associe - Google Patents

Abstract

La présente invention concerne un dispositif de fixation (1) d'un appareillage électrique (2) sur une paroi, par exemple une liseuse sur un mur, caractérisé en ce qu'il présente une partie fixe (3) et une partie mobile (4) : la partie fixe (3) formant support de la partie mobile (4), la partie fixe (3) étant destinée à être fixée à la paroi et comprenant un mécanisme (5) d'appareillage électrique, lequel mécanisme (5) comprend des moyens de liaison (6) électrique ; la partie mobile (4) présentant à une première extrémité (41), une base (7) destinée à coopérer de façon amovible, dans une position de connexion du dispositif (1), avec la partie fixe (3) suivant un axe de référence (A), et à une deuxième extrémité (42) l'appareillage électrique (2) relié électriquement à une connectique (8) intégrée à la base (7) ; ces moyens de liaison (6) étant agencés pour recevoir en contact électrique et bloquer de façon amovible la connectique (8) de l'appareillage électrique (2) de la partie mobile (4) pour assurer, dans la position de connexion du dispositif, la liaison électrique entre l'appareillage électrique (2) et son mécanisme (5), cette dite liaison électrique étant, dans ladite position de connexion, distincte de la connexion amovible de la base (7) par rapport à la partie fixe (3).

Description

DISPOSITIF DE FIXATION D'UN APPAREILLAGE ÉLECTRIQUE SUR UNE PAROI ET PROCEDE DE DECONNEXION ASSOCIÉ DOMAINE TECHNIQUE DE L'INVENTION [0001] La présente invention concerne un dispositif de fixation d'un appareillage électrique sur une paroi et un procédé de déconnexion 10 associé. ETAT DE LA TECHNIQUE ANTERIEURE [0002] La problématique de la fixation d'un appareillage électrique sur une paroi, par exemple un mur, connait déjà plusieurs solutions. [0003] A ce titre, il est généralement connu des appareillages 15 électriques de type liseuse, prévus pour être fixés dans un mur par encastrement. [0004] Ces liseuses présentent généralement une source lumineuse déportée d'un support par un flexible d'une certaine longueur afin d'éclairer un utilisateur, par exemple pour lire. Par ailleurs, ces liseuses sont souvent 20 à portée de préhension pour permettre à un utilisateur d'en orienter le faisceau lumineux. Cette position permet également de s'y accrocher involontairement pour se retenir en cas de chute ou d'autres manoeuvres manuelles. [0005] Néanmoins, dans le cas où ce type d'action humaine sur le 25 produit entraine un arrachement incontrôlé de l'appareillage électrique de son support mural, cela entraine un risque de danger pour l'utilisateur en ayant directement accès aux parties actives, en particulier les parties alimentées électriquement. [0006] Une telle situation dangereuse pour un utilisateur n'est pas seulement limitée à des liseuses électriques mais se rencontre plus généralement pour tout type d'appareillage électrique destiné d'une part à être fixé à une paroi, généralement une paroi murale, tout en étant à portée de préhension. EXPOSE DE L'INVENTION [0007] Le dispositif décrit par la suite vise à remédier à tout ou partie des inconvénients de l'état de la technique et notamment à réaliser de manière simple et fiable un dispositif de fixation d'un appareillage électrique sur une paroi, facile à mettre en place tout en garantissant une sécurité accrue de l'utilisateur en cas d'arrachement dudit appareillage électrique. [0008] Pour ce faire est proposé selon un premier aspect de l'invention un dispositif de fixation d'un appareillage électrique sur une paroi, par exemple une liseuse sur un mur, caractérisé en ce qu'il présente une partie fixe et une partie mobile : la partie fixe formant support de la partie mobile, la partie fixe étant destinée à être fixée à la paroi et comprenant un mécanisme d'appareillage électrique, lequel mécanisme comprend des moyens de liaison électrique ; la partie mobile présentant à une première extrémité, une base destinée à coopérer de façon amovible, dans une position de connexion du dispositif, avec la partie fixe suivant un axe de référence, et à une deuxième extrémité l'appareillage électrique relié électriquement à une connectique intégrée à la base ; ces moyens de liaison étant agencés pour recevoir en contact électrique et bloquer de façon amovible la connectique de l'appareillage électrique de la partie mobile pour assurer, dans la position de connexion du dispositif, la liaison électrique entre l'appareillage électrique et son mécanisme, cette dite liaison électrique étant, dans ladite position de connexion, distincte de la connexion amovible de la base par rapport à la partie fixe. [0009] Un tel dispositif présente donc une partie fixe et une partie mobile déconnectable de façon amovible l'une de l'autre, d'une part mécaniquement entre la partie fixe et la base, et d'autre part de façon distincte, électriquement, entre la connectique et les moyens de liaison.

Ceci permet notamment d'éviter un arrachement incontrôlé des éléments entre eux donc d'accroitre la sécurité du dispositif. [0010] Les moyens de liaison étant agencés pour recevoir en contact électrique et bloquer de façon amovible la connectique lorsque celle-ci est dans la position de connexion, cela permet d'assurer la liaison électrique, ou connexion électrique, entre : l'appareillage électrique, située sur la partie mobile ; et son mécanisme, situé dans la partie fixe sur la paroi. [0011] Un tel mécanisme est généralement connecté avec le réseau électrique d'un bâtiment pour alimenter en courant électrique, dans la position de connexion, l'appareillage électrique alors connecté audit réseau électrique. Le caractère amovible de la liaison électrique permet une déconnexion aisée sans arrachement incontrôlé des parties actives. [0012] Ainsi, dans le cas où un arrachement se produit, la déconnexion est alors contrôlé au niveau de la connectique et des moyens de liaison, ce qui permet d'assurer la sécurité des utilisateurs et de les protéger d'un éventuel contact électrique. [0013] Par ailleurs, bien que les connexions mécaniques et électriques soient distinctes, la connectique étant intégrée à la base permet que la déconnexion mécanique du dispositif de fixation et la déconnexion électrique du dispositif soient directement liées l'une à l'autre. Ceci est d'autant plus avantageux du fait que les connexions mécanique et électrique sont distinctes l'une de l'autre. [0014] Un tel dispositif permet donc de contrôler l'arrachement de l'appareillage électrique par rapport à la paroi qui le supporte, et de sécuriser cet arrachement par la dissociation de la connexion électrique et de la connexion mécanique. Une fois le dispositif arraché, l'utilisateur dispose donc d'un appareillage électrique désassemblé tout en étant protégé de l'alimentation électrique. [0015] Un autre avantage technique d'un tel dispositif de fixation est qu'après un arrachement, la partie mobile peut, dans la mesure du 15 possible, être réutilisé. Ceci dépend toutefois de la violence de l'arrachement et des contraintes mécaniques exercées. [0016] Selon une caractéristique avantageuse, la partie mobile est déconnectable de la partie fixe sous l'action d'une force prédéterminée. Ainsi, et de manière avantageuse, une telle force est choisie de sorte 20 qu'elle soit : assez importante pour que la partie mobile ne se déconnecte pas trop facilement à la moindre sollicitation, par exemple d'un simple geste involontaire ; et assez faible pour que la partie mobile se déconnecte de la 25 partie fixe sans endommager la paroi, et de préférence encore, sans endommager la partie fixe. [0017] Par ailleurs, et avantageusement la tenue à l'arrachement de la partie mobile à la partie fixe est inférieure à la tenue à l'arrachement de la partie fixe à la paroi. [0018] Selon une caractéristique particulière, la partie mobile comprend un flexible sensiblement tubulaire reliant sa base à l'appareillage électrique, la connectique de l'appareillage électrique étant disposée dans ledit flexible. [0019] Un tel flexible permet d'une part de permettre le déport de l'appareillage électrique par rapport à la paroi, et d'autre part d'assurer le conditionnement de la connectique dans la partie mobile, cette dite connectique étant intégrée à la base. [0020] Par ailleurs, la longueur de ce flexible permet de contrôler la distance à laquelle l'appareillage est déporté. [0021] Avantageusement encore, dans la position de connexion, la connectique est disposée et bloquée, de façon amovible, axialement par rapport aux moyens de liaison. [0022] Une telle caractéristique permet notamment de faciliter la déconnexion de la liaison électrique entre le connectique de la partie mobile et les moyens de liaison électrique de la partie fixe, évitant ainsi tout endommagement du mécanisme électrique. [0023] Dans un mode de réalisation particulier, le mécanisme présente une carte électronique sur laquelle sont connectés électriquement les moyens de liaison. Dans le cas où la connectique est connectée axialement par rapport aux moyens de liaison, c'est-à-dire sensiblement colinéaire à l'axe de référence suivant lequel la base coopère avec la partie fixe, une force d'arrachement de la partie mobile présenterait une composante axiale facilitant la déconnexion mécanique et électrique. [0024] Dans le cas contraire, où la connectique n'est pas connectée axialement par rapport aux moyens de liaison, par exemple transversalement à cet axe, une déconnexion de la connectique soumettrait les moyens de liaison à un moment de forces pouvant endommager la carte électronique sur laquelle il est connecté. [0025] De préférence, la connectique est un élément souple, par exemple un ou des fil(s) électrique(s), et, dans la position de connexion, la connectique présente une réserve de longueur, aussi communément appelé un « mou », entre l'appareillage électrique et les moyens de liaison, de préférence au niveau de la base. [0026] En effet, une telle réserve de longueur permet de différer la déconnexion mécanique de la déconnexion électrique. [0027] Ainsi, une réserve de longueur, ou « mou », au moyen de la connectique souple, par exemple un ou des fil(s) électrique(s) peut être agencée de sorte que cette dite connectique présente sensiblement une forme de « goutte » ou de « û », une telle réserve de longueur de la connectique étant située de préférence au voisinage de sa connexion avec les moyens de liaison. En d'autres termes, la réserve de longueur est assurée par une longueur excédentaire de la connectique, cet exédent de connectique, en particulier de fil électrique, formant une « goutte ». Une fois la partie mobile déconnectée mécaniquement de la partie fixe, la liaison électrique peut être conservée, généralement provisoirement, entre la connectique et les moyens de liaison du mécanisme. C'est seulement si l'arrachement présente une ampleur plus grande que la réserve de longueur prévue à cet effet que la déconnexion électrique est alors effective. [0028] Dans un mode de réalisation avantageux, la partie fixe comprend un support intermédiaire de fixation comprenant une embase destinée à venir se fixer à un socle en étant sensiblement bordé par un pourtour d'une ouverture, de préférence orientée axialement, la partie mobile coopérant de façon amovible au niveau de sa base sur le support intermédiaire de fixation, de préférence par clipsage. [0029] Ce socle permet la fixation et/ou l'encastrement de la partie fixe dans la paroi, le mécanisme étant prévu pour être logé dans un espace délimité par le socle et le support intermédiaire de fixation. [0030] Avantageusement, la partie fixe comprend également un support principal de fixation comprenant une embase destinée à venir se fixer à un boitier d'encastrement en bordant sensiblement un pourtour d'une ouverture dudit boitier d'encastrement, de préférence orientée également axialement, de sorte que le socle puisse coopérer de façon amovible sur le support principal de fixation, de préférence aussi par clipsage et se loger dans ledit boitier d'encastrement. [0031] Un tel boitier d'encastrement permet un encastrement de la partie fixe dans la paroi. Par ailleurs, dans une telle configuration, un socle agencé pour recevoir une partie mobile, et qui est spécifique à l'appareillage électrique, peut être fixé à un boitier d'encastrement, pouvant quant à lui être un boitier d'encastrement standard. Ainsi, il est possible d'adapter un tel dispositif de fixation sur des installations déjà existantes sans devoir effectuer de travaux sur la paroi elle-même. [0032] Dans une telle configuration, et dans la position de connexion : la liaison mécanique est assurée par la fixation amovible, de préférence par clipsage, de la base de la partie mobile avec le support intermédiaire de fixation de la partie fixe ; et la liaison électrique est assurée par le contact électrique et le blocage amovible de la connectique par les moyens de liaison du mécanisme. [0033] Avantageusement encore, la tenue à l'arrachement de la connectique aux moyens de liaison du mécanisme est inférieure à la tenue à l'arrachement du socle au boitier d'encastrement et/ou à la paroi. Ainsi, lorsqu'un utilisateur arrache le produit, le mécanisme est conservé dans la paroi. Les parties actives restant dans le mur après arrachement, la sécurité est accrue. [0034] Dans une configuration avantageuse, il peut être prévu que le mécanisme est maintenu fixement dans l'espace délimité par le socle et le support intermédiaire de fixation, ledit support intermédiaire de fixation retenant ledit mécanisme en cas d'arrachement. Dans un tel cas, la tenue à l'arrachement de la connectique aux moyens de liaison du mécanisme est inférieure, soit plus faible, à la tenue à l'arrachement du support intermédiaire de fixation par rapport au socle. Ainsi, lorsqu'un utilisateur arrache le produit, le mécanisme est conservé dans la paroi. [0035] Selon une caractéristique particulière, la partie fixe du dispositif, de préférence le support intermédiaire de fixation, comprend au moins orifice adapté pour être traversé par la connectique de la partie mobile, la liaison électrique assurée par le blocage amovible de la connectique par les moyens de liaison du mécanisme étant située dans l'espace délimité par le socle et le support intermédiaire de fixation fermant sensiblement l'ouverture dudit socle. De préférence encore, les dimensions de cet orifice sont telles qu'il ne peut pas être traversé par un doigt d'un utilisateur. [0036] Une telle caractéristique permet de confiner le mécanisme dans le socle et de bloquer un accès audit mécanisme. [0037] D'autres orifices peuvent être prévus sur ce support intermédiaire de fixation, par exemple pour le clipsage de la base de la partie mobile. Dans ce cas ces orifices présentent des dimensions de telle sorte qu'ils ne peuvent pas être également traversés par un doigt d'un utilisateur. [0038] De préférence l'orifice adapté pour être traversé par la connectique est sensiblement circulaire et, de préférence encore, présente un diamètre inférieur à 12,5mm de sorte à ce qu'un doigt d'un utilisateur ne puisse pas le traverser. Tout contact électrique entre un utilisateur et le mécanisme est donc évité renforçant par conséquent la sécurité de l'utilisateur, [0039] Selon des modes de réalisations particuliers, les moyens de liaison sont des connecteurs ou des broches métalliques autodénudantes ou des bornes automatiques ou des soudures. [0040] Selon une caractéristiques particulière, la base de la partie mobile présente une paroi élastique disposée, dans la position de connexion, au voisinage de la partie fixe, de préférence du support intermédiaire de fixation, la paroi élastique formant doigt de commande. [0041] Un tel doigt de commande permet de commander l'appareillage électrique. En particulier la paroi élastique peut se déformer élastiquement par une pression manuelle rapprochant ladite paroi élastique de la partie fixe. Lorsque le doigt de commande entre en contact avec la partie fixe, un contact électrique peut être assuré, par exemple grâce à un ergot venant buter contre un bouton poussoir du mécanisme, de sorte que le doigt de commande actionne ou éteint l'appareillage électrique associé. [0042] Par ailleurs, est proposé selon un autre aspect de l'invention, un procédé de déconnexion d'une partie fixe d'une partie mobile d'un dispositif de fixation d'un appareillage électrique selon l'invention, le dispositif de fixation étant initialement dans une position de connexion, le procédé de déconnexion comprenant les étapes suivantes : une étape de déconnexion amovible de la base par rapport à la partie fixe ; et, distinctement, une étape de déconnexion électrique entre la connectique et les moyens de liaison. ou inversement. [0043] L'invention est décrite dans ce qui précède à titre d'exemple. Il est entendu que l'homme du métier est à même de réaliser différentes variantes de réalisation de l'invention, par exemple en associant différentes caractéristiques prises seules ou en combinaison en fonction de son besoin, sans pour autant sortir du cadre de l'invention. BREVE DESCRIPTION DES FIGURES [0044] D'autres caractéristiques et avantages de l'invention ressortiront à la lecture de la description qui suit, donnée uniquement à titre d'exemple, en référence aux figures annexées, qui illustrent : figure 1, une vue en perspective d'un dispositif de fixation d'un appareillage électrique sur une paroi selon un mode de réalisation ; figure 2, une vue en perspective et éclatée d'un dispositif de fixation selon ce mode de réalisation ; figure 3, une vue en perspective et partiellement éclatée d'un dispositif de fixation selon ce mode de réalisation ; figure 4, une vue en perspective d'un dispositif de fixation selon ce mode de réalisation en position connectée, où est illustré la connexion électrique, le socle ne recouvrant pas tout le mécanisme ; figures 5a, 5b et 5c, une vue en perspective d'un dispositif de fixation et deux vues en perspective et détaillées du dispositif de fixation dans une position connectée ; figures 6a, 6b et 6c, une vue en perspective d'un dispositif de fixation et deux vues en perspective et détaillées du dispositif de fixation dans une position mécaniquement déconnectée ; figures 7a, 7b et 7c, respectivement une vue en perspective et une vue détaillée d'un dispositif de fixation, en position connectée, et figure 7c, une vue détaillée d'un dispositif de fixation, en position déconnectée, selon un mode de réalisation, les moyens de liaison comprenant un connecteur ; figures 8 et 9, deux vues en perspective et détaillées d'un dispositif de fixation, selon deux autres modes de réalisation, dans une position connectée, les moyens de liaison comprenant respectivement des broches métalliques autodénudantes et des bornes automatiques. [0045] Pour plus de clarté, les éléments identiques ou similaires sont repérés par des signes de référence identiques sur l'ensemble des figures. DESCRIPTION DETAILLEE D'UN MODE DE REALISATION [0046] Les figures 1-7 illustrent des vues en perspective d'un dispositif de fixation d'un appareillage électrique sur une paroi selon un mode de réalisation. [0047] Pour améliorer la clarté des figures, la paroi n'est pas illustrée. [0048] En particulier, est représenté un dispositif de fixation 1 d'un appareillage électrique 2, ici un appareillage pour éclairer un utilisateur, le dispositif de fixation étant destiné à fixer ledit appareillage électrique 2 sur une paroi, par exemple une paroi murale. [0049] Le dispositif de fixation présente une partie fixe 3 et une partie mobile 4: la partie fixe 3 formant support de la partie mobile 4, la partie fixe 3 étant destinée à être fixée à la paroi et comprenant un mécanisme 5 d'appareillage électrique, lequel mécanisme 5 comprend des moyens de liaison 6 électrique ; la partie mobile 4 présentant à une première extrémité 41, une base 7 destinée à coopérer de façon amovible, dans une position de connexion du dispositif 1, avec la partie fixe 3 suivant un axe de référence A, et à une deuxième extrémité 42 l'appareillage électrique 2 relié électriquement à une connectique 8 intégrée à la base 7. [0050] Ces moyens de liaison 6 sont agencés pour recevoir en contact électrique et bloquer de façon amovible la connectique 8 de l'appareillage électrique 2 de la partie mobile 4 pour assurer, dans la position de connexion du dispositif, la liaison électrique entre l'appareillage électrique 2 et son mécanisme 5, cette dite liaison électrique étant, dans ladite position de connexion, distincte de la connexion amovible de la base 7 par rapport à la partie fixe 3. [0051] La position de connexion est en particulier illustrée figures 1, 4, 5a, 5b, 5c, 7a, 7b, 8 et 9. [0052] La partie mobile 4 comprend ici un flexible 9 sensiblement tubulaire reliant sa base 7 à l'appareillage électrique 2, la connectique 8 de l'appareillage électrique 2 étant disposée dans ledit flexible 9. [0053] Plus précisément dans ce mode de réalisation, l'appareillage électrique présente une coque 20 à l'intérieur de laquelle est logée un mécanisme électrique d'éclairage 21 et un hublot transparent 22 pour laisser passer la lumière (voir en particulier figures 2 et 3). La coque 20 est emboitée d'une part avec le mécanisme électrique d'éclairage 21 et d'autre part avec le hublot transparent 22, ceci au moyen d'une vis 23, la coque 20 venant coopérer en recouvrant l'extrémité du flexible 9 de la partie mobile. [0054] La connectique 8 comprend ici, de manière non limitative, deux fils électriques 8', ceux-ci étant souples. Ces fils électriques sont connectés au mécanisme électrique d'éclairage 21 de l'appareillage électrique 2 et traversent le flexible 9, en particulier à l'intérieur de la partie tubulaire dudit flexible 9 de la deuxième extrémité 42 à la première extrémité 41. [0055] A cette première extrémité 41 de la partie mobile 4, est disposée la base 7 de la partie mobile. Cette base 7 présente un embout 71, de préférence vissé dans la partie tubulaire du flexible 9, ledit embout présentant une saillie 72 s'étendant sensiblement radialement par rapport à l'embout 71 et présentant une forme sensiblement annulaire. Dans des modes de réalisations alternatifs, l'embout 71 peut également être serti ou collé avec la partie tubulaire du flexible 9. [0056] La base 7 de la partie mobile 4 présente par ailleurs un enjoliveur de base 73. Cedit enjoliveur de base 73 présente une surface principale 74 sensiblement plane et présente un orifice 75 au travers duquel le flexible 9 peut passer. [0057] Cet enjoliveur de base 73 comprend à deux de ses bords, sur sa périphérie, deux pattes 76 sensiblement élastiques, dressées sensiblement orthogonalement par rapport à sa surface principale 74 et positionnées à l'opposée l'une de l'autre. Ces deux pattes 76 présentent chacune à leur extrémité un crochet 77 orienté du côté opposé par rapport à l'orifice 75 de la surface principale 74. [0058] Ces crochets 77 sont destinés à coopérer de façon amovible, dans la position de connexion, avec des fentes d'accrochage 31 de la partie fixes 3. [0059] L'orifice 75 de la surface principale 74 est conformé de sorte à ce que ses dimensions caractéristiques soient inférieures aux dimensions caractéristiques de la saillie 72, laquelle est sensiblement radiale par rapport à l'embout 71. Dans ce mode de réalisation l'orifice 75 étant sensiblement cylindrique, son diamètre est inférieur au diamètre de la saillie 72, laquelle est sensiblement annulaire. [0060] Pour assurer la connexion mécanique de la partie mobile 4 avec la partie mobile 3, l'enjoliveur de base 73 est disposé autour du flexible 9, c'est à dire dans une position dans laquelle le flexible 9 traverse l'orifice 75 de la surface principale 74 et se situe alors entre les extrémités du flexible 9. En outre, ledit enjoliveur de base 73 est orienté de sorte que les pattes 76 sont dirigées vers la partie fixe 3, soit en d'autres termes, dans une direction opposée à l'appareillage électrique 2. [0061] Par la translation de l'enjoliveur de base 73 le long du flexible et en direction de l'embout 71, celui ci va venir en butée contre la saillie radiale 72. Par ailleurs, par la translation sensiblement axiale de l'enjoliveur de base 73 de la base 7 vers la partie fixe 3, les pattes 76 munies des crochets 77 vont venir pénétrer dans les fentes d'accrochage 31, ces dites pattes vont se déformer élastiquement par le contact des crochets 77 avec des parois intérieures des fentes d'accrochage 31 puis revenir dans une position initiale, une fois que les crochets les ont traversé. [0062] La connexion mécanique amovible de la partie mobile 4 par rapport à la partie fixe 3 est donc assurée par la saillie 72 sensiblement radiale de l'embout 71 solidaire du flexible, ladite saillie 72 étant disposée en contact et en butée d'une part contre l'enjoliveur de base 73, aux abords de l'orifice 75, et d'autre part contre ladite partie fixe 3. L'enjoliveur de base 73 de la base 7 bloque ainsi le flexible 9 entre sa paroi principale 74 et la partie fixe 3, dans la position de connexion. [0063] Est en outre illustré figures 2 et 3, dans des vues éclatées, un enjoliveur 78 coopérant également avec la partie fixe par clipsage et entourant l'enjoliveur de base 73 assurant un effet visuel amélioré pour l'utilisateur. [0064] La partie fixe 3 forme quant à elle un support de la partie mobile, la partie fixe 3 étant destinée à être fixée à la paroi. Par « support » il est entendu que c'est la partie fixe 3 soutient, ou encore porte, la partie mobile 4, lorsque ces parties fixe 3 et mobile 4 sont dans la position de connexion. [0065] La partie fixe 3 comprend ici un socle 12, destiné à être fixé et/ou encastré dans une paroi, par exemple une paroi murale. [0066] Plus précisément dans ce mode de réalisation, le socle 12 est destiné à venir se loger et se fixer dans un boitier d'encastrement 33, ledit boitier d'encastrement 33 étant quant à lui destiné à être encastré dans la paroi, c'est-à-dire être inséré dans un orifice de la paroi. Une fois inséré dans l'orifice de la paroi, le boitier d'encastrement 33est fixé à ladite paroi par des griffes actionnées par des vis, l'action de la vis sur la griffe permettant de serrer l'ensemble en déployant la griffe pour se verrouiller dans le mur. [0067] La partie fixe 3 comprend également un support principal de fixation 34 comprenant une embase destinée à venir se fixer au boitier d'encastrement 33 en bordant sensiblement un pourtour 331 d'une ouverture 332 dudit boitier d'encastrement 33, l'ouverture 332 étant orientée axialement, de sorte que le socle 12 puisse se loger dans ledit boitier d'encastrement 33 et coopérer de façon amovible sur le support principal de fixation 34. Ce socle 12 présente deux éléments complémentaires, un élément inférieur 12a et un élément supérieur 12b, qui, assemblés deux à deux, présentent un espace dans lequel est logé le mécanisme 5. Par ailleurs, cette partie fixe 3 comprend un support intermédiaire de fixation 11 comprenant une embase destinée à venir se fixer audit socle 12 en étant ici sensiblement bordé par un pourtour d'une ouverture orientée axialement. [0068] De préférence, lorsque le socle 12 est positionnée dans une position encastrée, le pourtour de l'ouverture du socle est disposé en étant sensiblement affleurant à une surface extérieure de la paroi, tout comme le pourtour 331 de l'ouverture 332 du boitier d'encastrement 33. [0069] Par ailleurs, le support intermédiaire de fixation 11 présente sensiblement une forme plane traversée axialement par les fentes d'accrochage 31, ouvertes axialement, lesquelles sont destinées à recevoir les pattes 76 de l'enjoliveur de base 73 de la base 7. Ainsi, dans la position de connexion, l'enjoliveur de base 73 de la base 7 bloque le flexible 9 entre sa paroi principale 74 et le support intermédiaire 11 de la partie fixe 3. [0070] Le mécanisme 5 présente en outre une carte électronique 51 sur laquelle sont connectés des moyens de liaison 6. Ces moyens de liaison 6 sont agencés pour recevoir en contact électrique et bloquer de façon amovible la connectique 8 de la partie mobile 4 de sorte à assurer, dans la position de connexion, la liaison électrique entre l'appareillage électrique 2 et son mécanisme 5. [0071] Dans le mode de réalisation illustré figures 1 à 7, les moyens de liaison 6 comprennent des connecteurs 61. Plus précisément, ces moyens de liaison 6 présentent un connecteur femelle soudée à la carte électrique 51 et un connecteur mâle connecté aux extrémités, alors dénudées, des fils électriques 8'. [0072] La connexion électrique est assurée lorsque le connecteur mâle coopère dans le connecteur femelle. Dans cette position de connexion, les connecteurs mâle et femelle coopèrent axialement. La connectique 8, ici les fils électriques 8', est alors disposée et bloquée, de façon amovible, sensiblement axialement par rapport aux moyens de liaison 6, permettant une déconnexion sans endommagement de la carte électrique 51 en cas d'arrachement. [0073] De préférence, la partie mobile 4 est déconnectable de la partie fixe 3 sous l'action d'une force prédéterminée. Dans le présent cas, les connecteurs mâle et femelle sont choisis de sorte à ce que la force nécessaire à la déconnexion de ces connecteurs mâle et femelle, lorsqu'ils coopèrent l'un avec l'autre, soit prédéterminée. Une telle force est choisie notamment de sorte qu'elle soit : assez importante pour que la partie mobile 4 ne se déconnecte pas trop facilement, par exemple de préférence supérieure à 50 N ; et assez faible pour que la partie mobile 4 se déconnecte de la partie fixe 3 sans endommager la paroi, et de préférence encore, sans endommager ladite partie fixe 3, c'est à dire de préférence encore, inférieure à 100 N. [0074] Dans le présent mode de réalisation, il est avantageusement choisi une force entre 55 et 90 N, celle-ci étant en l'espère sensiblement égale à 60 N. [0075] Par ailleurs, le support intermédiaire de fixation 11 de la partie fixe 3 présente un orifice 32 (voir en particulier figure 6b) adapté pour être traversé par la connectique 8 de la partie mobile 4, c'est à dire ici par les fils électriques 8'. [0076] La liaison électrique est alors assurée par le blocage amovible des fils électriques 8' par les connecteurs 61 du mécanisme 5, ce mécanisme 5 étant situé dans l'espace délimité par le socle 12 et le support intermédiaire de fixation 11. Dans une telle position de connexion, les fils électriques 8' sont connectés au mécanisme 5, traversent l'orifice 32 du support intermédiaire de fixation 11, l'embout 71 de la base 7, la partie tubulaire du flexible 9 et assurent la délivrance du courant au mécanisme électrique d'éclairage 21. [0077] Les dimensions caractéristiques de cet orifice 32 sont ici inférieures à 12,5mm de sorte, d'une part, que le connecteur mâle puisse traverser cet orifice 32 sans risquer d'endommager le support intermédiaire de fixation 11 lors d'un éventuel arrachement et, d'autre part, de telle sorte qu'un doigt d'un utilisateur ne puisse pas le traverser. Il serait en effet dangereux qu'un utilisateur puisse insérer ses doigts dans l'espace à l'intérieur duquel est logé la carte électrique 51 alimentée en courant par le réseau électrique. [0078] Une telle caractéristique permet de confiner le mécanisme 5 dans le socle 12 et de bloquer l'accès audit mécanisme 5 de tout intrusion éventuelle. [0079] Par ailleurs, dans la position de connexion, les fils électriques 8' présentent une réserve de longueur 10 entre le mécanisme électrique d'éclairage 21 et les moyens de liaison 6, cette réserve de longueur étant située ici, au voisinage des moyens de liaison 6, en particulier dans l'espace où est logé le mécanisme 5. [0080] Dans ce mode de réalisations, les deux fils électriques 8' sont agencés de sorte à ce qu'ils ne soient, pas mécaniquement sous tension et qu'ils décrivent une forme de « goutte » ou de « û ». Une fois la partie mobile 4 déconnectée mécaniquement de la partie fixe 3, la liaison électrique peut être conservée entre la connectique 8 et le mécanisme 5.

C'est seulement si l'arrachement présente une ampleur plus grande que la réserve de fils électriques 8' prévue à cet effet que la déconnexion électrique est alors effective. [0081] De préférence, dans le cas où la connectique 8 présente une pluralité de fils électriques 8', par exemple deux comme c'est le cas dans ce mode de réalisation, chacun des fils électriques 8' présente une réserve de longueur sensiblement égale deux à deux. [0082] Par ailleurs, la base 7 de la partie mobile 4 présente une paroi élastique 13 disposée, dans la position de connexion, au voisinage du support intermédiaire de fixation 11, la paroi élastique formant doigt de commande. [0083] Cette paroi élastique 13 formant doigt de commande permet de commander l'appareillage électrique 2. En particulier la paroi élastique 13 peut se déformer élastiquement par une pression manuelle rapprochant ladite paroi élastique 13 du support intermédiaire de fixation 11. Lorsque ladite paroi élastique 13 entre en contact au moyen d'un premier ergot avec un deuxième ergot électriquement conducteur du support intermédiaire de fixation 11 et relié au mécanisme électrique, le doigt de commande actionne ou éteint l'appareillage électrique associé. [0084] Lors d'une utilisation normale et usuelle d'un tel appareillage électrique 2 muni d'un tel dispositif de fixation 1, ce dernier est en position de connexion, étant entendu une position dans laquelle la connexion mécanique et la connexion électrique, distinctes l'une de l'autre, sont assurées conjointement. [0085] Le procédé de déconnexion d'une partie fixe 3 d'une partie mobile 4 d'un dispositif de fixation 1 d'un appareillage électrique 2 tel que décrit ci-dessus, le dispositif de fixation 1 étant initialement dans une position de connexion, comprend les étapes suivantes : une étape de déconnexion amovible de la base 7 par rapport à la partie fixe 3; et, distinctement, une étape de déconnexion électrique entre la connectique 8 et les moyens de liaison 6. ou inversement. [0086] Dans ce mode de réalisation l'étape de déconnexion est mise en oeuvre avant l'étape de déconnexion électrique. [0087] Toutefois, dans la pratique il peut être envisagé que ces deux étapes soient inversées lors de la mise en oeuvre du procédé de déconnexion. Ce cas se présente par exemple, s'il est prévu qu'une précontrainte d'arrachement exercée sur le dispositif de fixation 1 soit plus faible que l'arrachement mécanique et que, par mesure de sécurité, il est prévu que cette précontrainte d'arrachement suffise à assurer la déconnexion électrique avant la déconnexion mécanique. Ceci est particulièrement avantageux s'il existe par exemple des risques d'arcs électriques lors de l'arrachement, ces arcs électriques étant alors confinés dans le socle 12. [0088] La durée qui sépare ces deux étapes lors de la mise en oeuvre du procédé durant l'arrachement dépend de plusieurs facteurs notamment, la vitesse à laquelle l'arrachement est effectué, l'ampleur de cet arrachement et la longueur de réserve de longueur 10 prévue à cet effet. [0089] Les figures 4, 5a, 5b et 5c illustrent des vues du dispositif de fixation 1 selon ce mode de réalisation, celui-ci étant agencé pour mettre en oeuvre l'étape de déconnexion mécanique avant l'étape de déconnexion électrique, lors de la déconnexion. [0090] Lors d'un arrachement, le dispositif de fixation étant initialement dans la position de connexion, une contrainte est exercée sur la partie mobile 4 dans une direction opposée à la paroi sur laquelle est fixée la partie fixe 3. En outre, la précence d'une reserve de longueur 10 suffisamment importante pour chacun des fils électriques 8' permet un effet de détente au moment de la déconnexion. Cette réserve de longueur 10 est de préference comprise entre 1 et 100 mm, de préférence encore comprise entre 5 et 20 mm. [0091] Dans un premier temps, et du fait d'une contrainte minimum, ici supérieure à la tenue à l'arrachement de l'enjoliveur de base 73 de la base 7 au support intermédiaire de fixation 11 de la partie fixe 3, les pattes 76 sont sorties des fentes d'accrochage 31 (voir figure 6b). La déconnexion mécanique s'étant opérée, le dispositif de fixation 1 est dans une position intermédiaire de déconnexion dans laquelle seule la connexion électrique est maintenue. [0092] Par ailleurs, l'effort d'arrachement, ou d'extraction, de la partie mobile 4 par rapport à la partie fixe 3 entraine l'effet de détente permettant notamment la déconnexion électrique des fils électriques 8' des moyens de liaison 6. [0093] Ainsi, lorsque l'arrachement se poursuit, l'effet de détente se décompose dans un premier temps par la mise sous tension mécanique des fils électriques 8' (voir figures 7a et 7b). Puis, dans un second temps et par l'application d'une contrainte minimum prédeterminée, l'effet de détente se poursuit par la déconnexion totale du connecteur mâle au connecteur femelle (voir figure 7c), assurant la sécurité des utilisateurs. [0094] Grâce à la longueur de chacun des fils électriques 8' fournie par les réserves de longueur 10, cela permet la détente de chacun de ces fils électriques 8' permettant ainsi le décilpsage des connecteurs mâle et femelle. [0095] Une fois arrachée, l'utilisateur dispose donc d'une liseuse désassemblée tout en étant protégé du secteur. [0096] Les dispositifs de fixations 1 illustrés figures 8 et 9 diffèrent principalement du mode de réalisation décrit ci-avant par leur moyens de liaison 6. [0097] En effet, est représenté figure 8 un dispositif de fixation 1 dans lequel les moyens de liaison 6 sont des broches métalliques autodénudantes 62. Les fils électriques 8' viennent chacun se fixer dans des broches métalliques autodénudantes 62. Ces broches viennent percer un isolant de chacun des fils 8' pour assurer la liaison électrique avec la carte électronique 51. [0098] Par ailleurs, est représenté figure 9 un dispositif de fixation 1 dans lequel les moyens de liaison 6 sont des bornes automatiques 63. Dans ce cas, les fils électriques 8' sont chacun dénudé à leur extrémité et viennent chacun se loger dans une borne automatique 63. Ces bornes automatiques 63 viennent pincer les fils électriques 8' pour assurer la liaison électrique avec la carte électronique 51. [0099] D'aurtes moyens de liaison 6 peuvent être utilisés sans sortir du cadre de l'invention. Ainsi, il peut être envisagé que les moyens de liaison 6 comprennent des soudures pour souder les fils électriques 8' avec la carte électronique 51 du mécanisme 5 d'appareillage électrique. Dans ce cas, et pour que la connectique 8 soit bloquée de façon amovible, il est important de veiller à ce que la soudure, lors d'une rupture en cas de déconnexion, n'endommage pas ladite carte électronique 51 du mécansime et soit agencé pour assurer cette fonction. [00100] L'invention est décrite dans ce qui précède à titre d'exemple. Il est entendu que l'homme du métier est à même de réaliser différentes variantes de réalisation de l'invention sans pour autant sortir du cadre de l'invention. [00101] Par exemple, la connectique 8 peut être différentes, il peut s'agir de tout moyen permettant de conduire un courant électrique et d'assurer la connexion électrique du mécanisme jusqu'à l'appareillage électrique. [00102] Les moyens assurant les connexions mécanique et électrique peuvent également différer tout en assurant leur fonction associée. L'enjoliveur de base 73 peut par exemple présenter un nombre différent de pattes élastiques, peut être clipsé différement, ou bien encore emmanché de force, en prédéterminant au préalable la force nécessaire à la déconnexion mécanique. Le support intermédiaire de fixation 11 peut quant à lui s'étendre transversalement au delà du pourtour de l'ouverture du socle 12. [00103] Par ailleurs, le socle 12 peut s'encastrer directement dans la paroi, c'est-à-dire sans l'intermédiaire du boitier d'encastrement 33. [00104] Le flexible n'est pas non plus décrit à titre limitatif et peut être remplacé par tout élément intermédiaire approprié pour l'usage qui sera fait de l'appareillage électrique, ledit appareillage électrique pouvant également différer. [00105] Enfin le doigt de commande peut être différent. Il peut être envisagé d'aures mode de réalisations assurant la même fonction. Par exemple, un ergot solidaire de la paroi élastique peut venir en contact avec un bouton poussoir du mécanisme, l'ergot étant agencé pour traverser un orifice du support de fixation en le guidant.

Claims (9)

1. REVENDICATIONS1 Dispositif de fixation (1) d'un appareillage électrique (2) sur une paroi, par exemple une liseuse sur un mur, caractérisé en ce qu'il présente une partie fixe (3) et une partie mobile (4) : la partie fixe (3) formant support de la partie mobile (4), la partie fixe (3) étant destinée à être fixée à la paroi et comprenant un mécanisme (5) d'appareillage électrique, lequel mécanisme (5) comprend des moyens de liaison (6) électrique ; la partie mobile (4) présentant à une première extrémité (41), une base (7) destinée à coopérer de façon amovible, dans une position de connexion du dispositif (1), avec la partie fixe (3) suivant un axe de référence (A), et à une deuxième extrémité (42) l'appareillage électrique (2) relié électriquement à une connectique (8) intégrée à la base (7), ces moyens de liaison (6) étant agencés pour recevoir en contact électrique et bloquer de façon amovible la connectique (8) de l'appareillage électrique (2) de la partie mobile (4) pour assurer, dans la position de connexion du dispositif, la liaison électrique entre l'appareillage électrique (2) et son mécanisme (5), cette dite liaison électrique étant, dans ladite position de connexion, distincte de la connexion amovible de la base (7) par rapport à la partie fixe (3).
2. 2. Dispositif de fixation (1) selon la revendication 1, caractérisé en ce que la partie mobile (4) est déconnectable de la partie fixe (3) sous l'action d'une force prédéterminée.
3. 3. Dispositif de fixation (1) selon la revendication 1 ou 2 caractérisé en ce que la partie mobile (4) comprend un flexible (9) sensiblementtubulaire reliant sa base (7) à l'appareillage électrique (2), la connectique (8) de l'appareillage électrique (2) étant disposée dans ledit flexible (9).
4. 4. Dispositif de fixation (1) selon l'une quelconques des revendications précédentes, caractérisé en ce que, dans la position de connexion, la connectique (8) est disposée et bloquée, de façon amovible, axialement par rapport aux moyens de liaison (6).
5. 5. Dispositif de fixation (1) selon l'une quelconques des revendications précédentes, caractérisé en ce que la connectique (8) est un élément souple, par exemple un ou des fils électriques (8'), et, dans la position de connexion, la connectique (8) présente une réserve de longueur (10) entre l'appareillage électrique (2) et les moyens de liaison (6), de préférence au niveau de la base (7).
6. 6. Dispositif de fixation (1) selon l'une quelconques des revendications précédentes, caractérisé en ce que la partie fixe (3) comprend un support intermédiaire de fixation (11) comprenant une embase destinée à venir se fixer à un socle (12, 12a, 12b) en étant sensiblement bordé par un pourtour d'une ouverture, la partie mobile (4) coopérant de façon amovible avec la partie fixe (3) par clipsage de sa base (7) sur le support intermédiaire de fixation (11).
7. 7. Dispositif de fixation (1) selon l'une quelconques des revendications précédentes, caractérisé en ce que les moyens de liaison (6) sont des connecteurs (61) ou des broches métalliques autodénudantes (62) ou des bornes automatiques (63) ou des soudures.
8. 8. Dispositif de fixation (1) selon l'une quelconques des revendications précédentes, caractérisé en ce que la base (7) de la partie mobile (4)présente une paroi élastique (13) disposée, dans la position de connexion, au voisinage de la partie fixe (3), de préférence du support intermédiaire de fixation (11), la paroi élastique formant doigt de commande.
9. 9. Procédé de déconnexion d'une partie fixe (3) d'une partie mobile (4) d'un dispositif de fixation (1) d'un appareillage électrique (2) selon l'une quelconque des revendications précédentes, le dispositif de fixation (1) étant initialement dans une position de connexion, caractérisé en ce qu'il comprend les étapes suivantes : - une étape de déconnexion amovible de la base (7) par rapport à la partie fixe (3), et, distinctement, - une étape de déconnexion électrique entre la connectique (8) et les moyens de liaison (6), ou inversement.