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FR2980171A1 - Dispositif stable, autonome et fiable, en sustention au dessus de l'eau, via des lances a jets d'eau propulses, alimentees par une pipe, pouvant se deplacer rapidement sur de longues distances - Google Patents

Dispositif stable, autonome et fiable, en sustention au dessus de l'eau, via des lances a jets d'eau propulses, alimentees par une pipe, pouvant se deplacer rapidement sur de longues distances Download PDF

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FR2980171A1
FR2980171A1 FR1102832A FR1102832A FR2980171A1 FR 2980171 A1 FR2980171 A1 FR 2980171A1 FR 1102832 A FR1102832 A FR 1102832A FR 1102832 A FR1102832 A FR 1102832A FR 2980171 A1 FR2980171 A1 FR 2980171A1
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Matondo Wansulama
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JUGE VALERIE
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Abstract

Dispositif stable, autonome et fiable, en sustentation au dessus de l'eau, via des lances à jets d'eau propulsés, alimentées par une pipe, et pouvant se déplacer rapidement sur de longues distances. Le domaine technique de l'innovation est le transport individuel, en commun, de masse, maritime, fluvial ou par canaux. L'invention concerne un dispositif comprenant un habitacle (14) ou une plateforme (50) reliés mécaniquement par une sellette (19) ou non à un compartiment de motorisation (20) équipé du matériel qui permet la sustentation et le déplacement du dispositif au dessus de l'eau (9). Ce matériel comprend : une pipe rigide (40) ou à bras articulés (7) placée sur le compartiment (20) pour permettre une aspiration permanente d'eau (9) vers le réservoir d'eau interne (2) et alimenter plusieurs lances (1) à jets d'eau (8) via des pompes motorisées (12), des tuyaux (4), des câbles (55), et divers systèmes de distribution (56).

Description

-1- Domaine technique de l'innovation concerne un nouveau système de véhicules en sustentation à une certaine hauteur au dessus de l'eau (9) pouvant transporter sur de petites et/ou de longues distances, tous les types de marchandises, produits, passagers et autres à un moindre coût et pouvant atteindre des vitesses ultra rapides avec une sécurité et un confort inégalé jusque là dans le domaine des transports sur l'eau. Le choix d'un mode de transport peut être effectué en fonction de la disponibilité du moyen de transport, de ses qualités (capacité, rapidité, sécurité, conformité aux réglementations applicables aux marchandises, au commerce ...), et de son coût, par exemple. Pour le transport de marchandises dangereuses ou sensibles, la notion de sûreté est aussi prise en compte. Cette innovation répond aux exigences demandées par le choix du mode de transport. Elle révolutionne le concept du transport individuel, en commun, de masse, maritime, fluvial ou par canaux sur l'eau en assurant une grande stabilité de son contenu. Son principe de base permet de s'adapter aux besoins des utilisateurs en lui permettant une grande autonomie via l'alimentation en continue de l'eau. Tous les transports sur l'eau vont pouvoir devenir possibles quelque soit les conditions climatiques et environnementales maritimes. Le dispositif peut transporter des passagers dans le but de réaliser des grands voyages sur l'eau avec des aménagements de type couchettes, restaurants, hôtels sur l'eau, voire habitation sur l'eau, avec atterrissage et/ou amerrissage. De plus, la fonte de la calotte glaciaire des pôles, sous l'effet de serre, permettra prochainement d'ouvrir de nouvelles opportunités pour la navigation. Cette innovation de part sa simplicité de disposition des différents moyens hydrauliques et électriques, laisse place à une architecture d'espaces vitrés de différentes tailles permettant aux passagers qui sont dans l'habitacle (14) de bénéficier d'une vue panoramique grâce à de grandes baies vitrées. Le dispositif est adéquat pour les visites sur l'eau comme dans les canaux pour les touristes sur de grandes ou de petites distances. Le dispositif peut également être à la portée du particulier pour un usage personnel comme moyen de locomotion privé sur l'eau. Dans des lieux immergés comme les îles - 2 - ou encore les villes sur l'eau, le dispositif peut être utilisé comme moyen de transport et/ou de locomotion. Le dispositif appartient aux véhicules en sustentation à une certaine hauteur, à une certaine hauteur, à jets d'eau propulsés au dessus de l'eau, et peut compléter la gamme des véhicules déjà existants. Le dispositif peut aussi intervenir dans la réalisation de chantiers navals en pleine mer en offrant une maniabilité à distance ou à proximité des éléments de montage. De même lors de grandes expéditions en mer, le dispositif sera adéquat et résistant pour ce type d'épopées.
Les premières embarcations fluviales furent les pirogues construites à partir d'un tronc d'arbre évidé pour allier flottabilité, maniabilité et rapidité de déplacement. Puis vinrent, les premiers navires égyptiens munis d'une charpente en bois, suffisamment vastes pour transporter 20 rameurs, ainsi que plusieurs têtes de bétail, ou un poids équivalent de marchandises, équipées de deux mâts, reliés à leur sommet, auxquels on suspendait des voiles, hissées au moyen de poulies. Sur tous ces premiers navires, la direction était assurée par une rame-gouvernail placée à la poupe. Puis vinrent les navires de guerre, ainsi que des embarcations marchandes capables de transporter de lourdes charges. Ces dernières présentaient des formes à l'allure de bateaux ronds. Elles étaient propulsées grâce à leurs voiles, les avirons n'étant utilisés qu'au voisinage des ports. Afin de progresser encore, des navires de haute mer très performants, propulsés à la fois par des avirons et par des voiles arrivèrent. Pouvant atteindre une vingtaine de mètres de longueur, ils disposaient d'une quinzaine de paires d'avirons. Ils se composaient de lattes de pin ou de chêne, reliées par des rivets de bronze. Puis, pour encore pouvoir recevoir plus de marchandises et répondre au marché de commerce arrivèrent les navires de commerce mesurant environ 50 m de long et 15 m de large. Ces grands navires de commerce étaient munis de voiles carrées disposées sur trois mâts. Pour répondre aux nombreux naufrages arrivés par ces types de navigation arriva la jonque au fond plat et ne possédant ni quille, ni étrave et ni étambot, munie d'une coque divisée en compartiments - 3 - étanches par de solides cloisons disposées longitudinalement et transversalement, renforçant la structure des coques. Ce système de cloisons empêchait la jonque de couler. Ce type d'embarcation est pourvu d'une rame-gouvernail massive, située à l'intérieur d'un puits étanche. Les voiles d'une jonque sont constituées de panneaux horizontaux étroits, tissés ou tressés. Chacun d'entre eux est relié à sa propre écoute, de manière à ce que chaque voile puisse être déployée ou ramenée rapidement. Ainsi toutes ces avancées contribuèrent à l'essor de la navigation, en augmentant les quantités de marchandises, la fiabilité et la vitesse des moyens de navigation. Puis vinrent de nombreux types de bateaux à voiles. La caravelle a relativement petit et de faible tonnage, dotée de trois ou quatre mâts équipés de voiles triangulaires, excepté le mât de misaine qui portait une voile carrée. Par cette innovation, la conquête des continents américains via de longues expéditions virent le jour. Trois siècles plus tard, le principe des navires à voiles est encore utilisé et connait simplement une augmentation progressive de leurs dimensions. Arriva le clipper, muni de trois-mâts, rapide battant même des records de vitesse et tenant remarquablement la mer, utilisé dans le commerce de longue distance. Malgré l'avènement progressif des bateaux à vapeur, on continua à construire des bateaux à voiles qui tentèrent de rivaliser avec les cargos. Pour proposer des prix plus avantageux sur le fret que ceux qui étaient pratiqués par leurs concurrents, les constructeurs durent augmenter les tonnages de ces voiliers. Ceux-ci, souvent en acier, étaient dotés de quatre ou cinq mâts et transportaient généralement du charbon, des céréales ou des minerais. En 1690, Denis Papin avait eu l'idée d'utiliser la détente de la vapeur d'eau comme source d'énergie. C'est en 1783 que Jouffroy d'Abbans expérimenta avec succès le premier bateau à vapeur, le Pyroscaphe, sur la Saône. Par la suite, les essais se multiplièrent en Grande-Bretagne et aux États-Unis : en 1807, l'inventeur américain Robert Fulton commercialisa le premier bateau à roues à aubes, le Clermont, qui reliait Albany à New York. En l'espace de quelques années, l'utilisation de ce type de bateaux se développa en Grande-Bretagne - 4 - et en Amérique. La découverte du moteur à combustion interne à la fin du XIXe siècle, et en particulier du moteur Diesel, constitua une étape décisive dans les progrès de la construction navale. En effet, des navires munis de ce type de moteur offrirent des rendements bien supérieurs à ceux des moteurs à vapeur traditionnels. Il faut savoir qu'un moteur performant est particulièrement important pour un bateau, car il lui permet d'emporter moins de carburant et davantage de cargaison. Les premiers bateaux à moteur Diesel furent construits au début du XXe siècle. Ils étaient alors relativement petits. C'est après la Première Guerre mondiale qu'on mit en service plusieurs grands paquebots à moteur qui connurent instantanément un grand succès. Aujourd'hui, les bateaux à moteur représentent environ les trois quarts de la flotte mondiale des navires de plus de 90 000 tonnes.
Les pétroliers, conçus pour transporter les énormes quantités de pétrole qui circulent dans le monde depuis la Seconde Guerre mondiale, sont d'une construction extrêmement simple. Mis à part l'ensemble des machines qui est regroupé dans la poupe, tout le reste ou presque de l'intérieur du bâtiment est destiné à la cargaison de pétrole. Les effectifs des équipages sont limités, d'autant plus qu'une grande partie du pilotage du navire est automatique. Cette simplicité de construction des pétroliers a entraîné une grande augmentation de leur taille : certains d'entre eux pèsent plusieurs centaines de milliers de tonnes. Ces dernières années, de nouveaux types de navires ont été expérimentés, résultant tous d'une recherche constante d'augmentation de la vitesse. Les aéroglisseurs glissent sur un coussin d'air, alimenté par de grands ventilateurs. Des jupes descendent jusqu'à la surface de l'eau afin de confiner le coussin d'air. De tout temps, le transport maritime a été la composante principale des échanges commerciaux internationaux. Toutes les améliorations techniques qui ont été étudiées ont touché surtout l'augmentation de la puissance propulsive installée à bord, ainsi que l'accroissement des tonnages. Mais alors que, sur terre et dans les airs, l'homme se déplace de 35 plus en plus vite, on constate sur mer une certaine stagnation dans - 5 - cette course à la vitesse, due principalement à la résistance hydrodynamique à l'avancement. Alors que la masse volumique de l'air est voisine de 1,25 kg/m3, celle de l'eau est voisine de 1000 kg/ m3 ; elle est 800 fois plus grande. Le comportement hydrodynamique de l'aéroglisseur fait que celui-ci ne se comporte pas comme un navire dont la coque est partiellement, mais en permanence immergée. Quand il s'élève au dessus de l'eau de quelques dizaines de centimètres par mer calme, sa structure, jupes comprises, n'est que très localement et le plus souvent par intermittence, en contact avec 10 l'eau. Pour un navire classique, la puissance nécessaire à la propulsion varie à peu près au cube de la vitesse, à tel point que tout gain notable de vitesse doit provenir de solutions techniques nouvelles qui cherchent à diminuer cette résistance à l'avancement plutôt qu'à accroître la puissance installée à bord. Ces navires 15 profitent des technologies de pointe qui permettent d'atteindre des performances élevées. Il existe des aéroglisseurs qui sont des véhicules évoluant sur un coussin d'air les maintenant à une certaine distance du sol (25) ou de l'eau (9) (quelques dizaines de cm). Ce phénomène est appelé sustentation. La sustentation est 20 assurée par l'effet de sol (25) ou de l'eau (9) qui est la force qui s'oppose au poids et qui permet de maintenir l'aéroglisseur en équilibre au-dessus du sol (25) ou de l'eau (9). L'effet de sol (25) ou de l'eau (9) est engendré par la pression de l'air envoyé sous l'aéroglisseur dans l'espace confiné par la jupe. Et donc pour 25 réussir à obtenir le phénomène de sustentation avec un aéroglisseur les conditions de confinement de l'air qui doit s'échapper de façon homogène sous la jupe, dépend de la régularité de l'état de surface de l'eau (9) ou du sol (25), et de la qualité du bon type de jupe en ce qui concerne son choix, qui est prépondérant car il prédétermine 30 la sortie uniforme de l'air tout autour du véhicule, de manière à obtenir une meilleure portance par rapport au sol (25) et un engin qui flotte. Donc les conditions de la sustentation avec un aéroglisseur dépendent d'une bonne qualité de l'état des surfaces (eau (9) ou sol (25)), de jupe associée à un moteur de grande 35 puissance qui lui confère la sustentation pour soulever des charges. - 6 - Cependant, les pertes d'homogénéité des gonflements de la jupe ne permettent pas de garder une stabilité constante. Il y a principalement deux types de jupes. Le premier est celui à jupe simple où la jupe est alimentée par de l'air sous pression qui la soulève et laisse échapper l'air par l'intervalle de fuite ainsi créée entre le bord inférieur de la jupe et le sol (25) ou de l'eau (9). Le second est la jupe à jets périphérique. C'est une jupe double dans laquelle on fait entrer l'air pour améliorer la pression interne et ainsi favoriser la force portante. Pour réduire la puissance nécessaire à la sustentation, il faut que la hauteur par rapport à l'eau (9) ou le sol (25) soit la plus faible possible; dans ce cas, les obstacles franchissables sont alors très petits. Si on cherche à augmenter cette hauteur par rapport à l'eau (9), la force nécessaire pour faire augmenter la portance sera alors très grande, car c'est une relation qui est exponentielle. Il est donc préférable de trouver le juste milieu pour un maximum de rendement. Un aéroglisseur sait se déplacer sur différentes surfaces et parcourir de longues distances, cependant l'état de surface doit être sans obstacle. L'aéroglisseur n'a pas les moyens pour franchir des obstacles d'une certaine hauteur sur l'état de surface. A chaque obstacle rencontré par un aéroglisseur celui-ci perd de son altitude de la différence de la hauteur d'obstacle rencontrée qui perturbe le gonflement de la jupe et perd aussi de sa stabilité. Pour élever l'aéroglisseur d'une dizaine de centimètres au dessus de l'eau (9), il faut une puissance énorme avec un gros moteur. Par contre, une fois l'aéroglisseur mis en sustentation par air au dessus de l'eau (9), ce dernier peut atteindre une vitesse élevée avec une puissance de propulsion modeste. Ainsi, l'état antérieur montre divers types de navigation sur l'eau. Pour répondre à un besoin spécifique lié entre autre aux extinctions des incendies, un nouveau type d'engin est apparu ; l'hydravion pouvant voler et amerrir sur l'eau, en transportant de grandes masses sur de longues distances. Il existe deux types d'hydravions : on distingue les hydravions à « coque », et ceux de types classiques d'avions, auxquels ont été ajoutés des flotteurs. Le profilage de la coque ou du flotteur de tout hydravion - 7 - est rompu par un redan transversal, dont l'effet recherché est de diminuer la traînée hydrodynamique et de faciliter le basculement en arrière pendant le déjaugeage. L'hydravion arrive à une situation d'hydroplanage entre 20 et 40 noeuds par l'effet d'accroissement rapide de la vitesse du flotteur (ou de la coque). Autorisant les hydravions à décoller et à amerrir en grande courbe, cette manoeuvrabilité en situation déjaugée, permet d'utiliser des plans d'eau de forme particulière sous certaines conditions. Conçus donc pour offrir une traînée hydrodynamique la plus faible possible, les hydravions souffrent par contre d'une prise au vent importante tenant à la fois à leur plan de voilure et à la nécessité de maintenir leurs groupes motopropulseurs à l'abri de l'eau. Combinée à leur faible aptitude au freinage, l'importante prise au vent des hydravions engendre leur sensibilité aux vents et courant fort de traversiers et leur faible manoeuvrabilité à vitesse réduite. La limite admissible de vent de travers sur un plan d'eau calme varie avec la masse et la voilure de l'appareil. Elle est une donnée propre à chaque hydravion. Bien que ce phénomène s'amoindrisse avec l'accroissement de vitesse, les décollages et amerrissages s'effectuent de préférence face au vent. Les vagues et le courant influent également sur la stabilité de l'appareil qui peut en être affecté de façon dangereuse. L'utilisation de l'hydravion par mauvais temps ou vagues d'eaux plus ou moins importantes est difficile. L'amerrissage et le décollage de l'hydravion requiert des 25 pistes aménagées en vue de garantir une sécurité pour l'appareil et les personnes. Elles sont situées de manière à ne pas gêner l'évolution des navires ou des autres hydravions à l'amerrissage, au décollage ou en circulation. C'est ainsi que, les zones de courant fort n'étant pas propices à une utilisation normale des hydravions, 30 celles où se rencontrent plusieurs courants seront particulièrement évitées de même que celles où se produisent des turbulences. Le décollage de l'hydravion requiert également une distance minimale libre d'obstacles de 30 m. Si l'hydravion donne la possibilité d'être un avion qui puisse amerrir ou décoller sur l'eau cependant 35 il requiert des conditions de décollage et d'amerrissage liés au - 8 - temps, à la stabilité de l'eau, et la surface de dégagement nécessaire. En réalité, la variabilité de l'état de surface des plans d'eau, la corrosion saline en milieu marin, la difficulté d'embarquer les passagers, les performances inférieures des hydravions, les progrès dans la fiabilité des moteurs ainsi que la généralisation de grands aéroports ont eu raison des hydravions, ne leur gardant un rôle que dans des zones géographiques ou des activités très liées à l'eau. Aujourd'hui, les hydravions de gros tonnage pour le transport de fret et/ou de passagers ont totalement disparu. Notre innovation répond aux problématiques suivantes. D'une part, quelque soit l'état de surface de l'eau (9) ; calme, agitée notre dispositif est capable de se déplacer à grandes vitesses et de parcourir de longues distances sans être freiné par son environnement extérieur maritime. De plus, l'innovation réside également sur son type de sustentation à une certaine hauteur au dessus de l'eau (9) via des lances propulsant des jets d'eau (1) sous hautes pressions munies ou non de blocs de propulsion (16) alimentées en continue par des pompes motorisées (3) reliées au réservoir interne d'eau (2) lui-même alimenté en continue en eau par la pipe. Le dispositif est capable d'atteindre de grandes hauteurs au dessus de l'eau, (9) par la propulsion de jets d'eau (8) des lances (1), sous de hautes pressions, munies ou non de blocs de propulsion (16), alimentées en continu par une pipe, ((7) ou (40)) d'aspiration via des pompes motorisées (12) et un réservoir interne d'eau (2). Par cette prise de hauteur, même en cas d'obstacles, le dispositif sait les franchir sans aucune difficulté. Pour améliorer la direction du dispositif, les lances à jets d'eau (1) sont directionnelles et permettent de diriger le système comme l'utilisateur (49) le souhaite. L'innovation permet ainsi de par son système de gestion de hauteur et son amortissement dynamique de franchir n'importe quel obstacle lié aux vagues plus ou moins importantes. D'autre part, l'innovation répond aux aléas de naufrages rencontrés auparavant par son un amerrissage forcé et amorti via un arceau (51) de sécurité situé sous sa structure en se - 9 - déployant automatiquement en cas de dysfonctionnement. De plus, le dispositif grâce à son réservoir interne en eau (2) permet d'assurer la sustentation à une certaine hauteur au dessus de l'eau pendant un laps de temps dans le cas où la pipe perdrait le contact avec l'eau.
Le réservoir interne permet ainsi au circuit d'eau de circuler sans interruption vers la propulsion d'eau des lances (1). Si le laps de temps est dépassé, le dispositif est mis en amerrissage forcé sur l'eau. Ce réservoir interne en eau (2) permet également au dispositif d'être amphibien et de pouvoir atterrir sur le sol avec la pipe en contact dans l'eau. Afin de répondre aux problématiques de sécurité dans le cas d'une chute dans l'eau, le dispositif sait flotter à la surface de l'eau (9) et ne coule pas par la présence d'une ceinture (13) ou de plots. De plus, le problème du mal de mer souvent connu sur les moyens de navigation actuels, est résolu par la solution de cette innovation en combinant différents types d'amortissements. En effet, en supplément du comportement amorti de l'eau, le compartiment de motorisation (20) grâce à ses lances à jets d'eau (1) entre autre, assure une très bonne stabilité horizontale par rapport à l'eau (9). La pression d'eau exercée par les lances (1) est fonction de deux facteurs essentiels, l'état de surface et la direction assistée via des calculateurs et automates qui renforcent le système hydraulique. L'innovation peut encore améliorer sa stabilité par grandes vagues, par l'ajout d'une sellette (19) entre la partie habitacle (14) ou plateforme (50) et 25 le compartiment de motorisation (20). Cette sellette (19), montée sur actionnaires linéaires (10) à titre d'exemple, assure une stabilité d'assiette horizontale (22) quelque soit la masse à transporter encore plus importante en cas de grosses tempêtes sur l'eau (9). En effet, le système permet une bonne répartition des 30 masses à déplacer. Les vitesses des moyens de navigation sont intéressantes, cependant cette innovation offre des perspectives pour faire naviguer des véhicules sur l'eau (9) à de très grandes vitesses sans problème de stabilité, de poids ni de sécurité comme précisé en amont, en diminuant les consommations énergétiques de 35 carburants et respectant l'environnement. -10- Dispositif stable en sustentation à une certaine hauteur au dessus de l'eau (9) avec une certaine autonomie par la propulsion de jets d'eau (8) des lances (1) pouvant atteindre de très grandes vitesses de déplacements caractérisé par une structure de forme quelconque simple munie d'un compartiment de motorisation (20) morpho adaptable à l'utilisation et pilotée par des commandes internes (habitacle (14) ou plateforme (50)) ou externes (télécommande à distance). Le dispositif accepte le modèle d'énergie thermique et électrique. Le compartiment de motorisation (20) du dispositif comporte des moyens hydrauliques et électriques et tout son matériel de fonctionnement à savoir des réservoirs de carburant (18), des réservoirs d'eau (2) dits réservoirs internes, des pompes motorisées (12), système de production d'énergie électrique (59) (groupe électrogène et batteries), divers filtres (filtres standards, filtres d'autoprotection), des clapets thermiques, une ou des pipes rigides (40) ou à bras articulés (7) situées à divers emplacements du compartiment pour permettre une prise d'eau (9) aisée en dessous du dispositif, plusieurs lances à jets d'eau (1) sous forte pression unidirectionnelles ou bidirectionnelles ou multidirectionnelles munies ou non de blocs de propulsion (16), des tuyaux (4), des calculateurs, des automates de commande de puissance et d'énergie, des régulateurs automatiques de pression, des contrôleurs automatisés de débit, des systèmes de distribution (56) automatiques (tels que vannes motorisées à une ou plusieurs voies, clapets (58) à ressort et motorisés), des régulateurs de débits, des manomètres, des variateurs de vitesse, des vannes d'amorçage automatiques (54) intégrées dans les pompes motorisées (12), des hélices latérales, un ou plusieurs arceaux (51) de sécurité anti chute. L'équipement du compartiment de motorisation (20) permet de proposer un principe qui conduit n'importe quels systèmes ou structures équipés de ce dernier d'être en sustentation à une certaine hauteur au dessus de l'eau (9) et de se diriger suivant plusieurs types de mouvements de décollage, d'amerrissage ou atterrissage, rotation, avance, et recul via la propulsion de l'eau (9) à forte pression et variable par les lances (1). Le dispositif comporte une ou plusieurs ceintures (13) ou plots, placés ou non sur le compartiment de motorisation (20) dans le but d'assurer la flottabilité du dispositif par mesure de sécurité. Le dispositif est aussi amphibien car il permet l'accès sur terre. Cette innovation conduit à un dispositif stable. Le dispositif peut également comporter une sellette (19) pour par exemple maintenir une assiette de stabilité au niveau d'un habitacle (14) ou d'une plateforme (50) par rapport au mouvement de tangage important de la surface agitée de l'eau (9) en contact direct avec les jets d'eau (8) des lances (1) et de la pipe ((7) ou (40)). Le dispositif peut être muni ou non de systèmes de propulsion horizontaux à hélices (32) ou (46) en fonction du type de lances (1), d'hélices latérales, pour augmenter sa stabilité. La structure (5) est constituée de tubes assemblés de façon étanche formant ainsi une structure suffisamment résistante aux conditions mécaniques exigeantes telles que la corrosion, le tangage, les effets liés aux conditions maritimes. La structure tubulaire (5) peut comporter un habitacle (14) fermé et/ou ouvert, étanche pour recevoir des passagers, divers produits, des marchandises, des bagages de voyage; aménagé suivant le type de transport à réaliser.
D'autre part, elle peut également être de type plateforme (50) pour réaliser divers types de transports répondant aux normes maritimes. A titre indicatif, la structure (5) peut également comporter un ou des coffres de rangement pour les bagages des passagers dans le cas où le dispositif serait utilisé à des fins de voyages touristiques.
La structure (5) assemblée agence la forme extérieure du dispositif et peut conduire à de multi formes en respectant le principe de fonctionnement du dispositif (fig.96). La structure est morpho adaptable au domaine d'application et au souhait des utilisateurs. La structure tubulaire (5) une fois assemblée, subie un prétraitement mécanique et chimique, ensuite par le biais d'un ou plusieurs perçages prédéfinis, une mousse polyuréthane expansive ou un produit équivalent sera injecté de façon à être présente dans toute la structure tubulaire (5) et à renforcer l'étanchéité des zones internes. Ce procédé permet également de réduire l'épaisseur des tubes de façon à avoir une structure tubulaire (5) plus légère. - 12 - Les structures tubulaires (5) peuvent être en aluminium, en matériaux composites, en bois, en acier et tous les types de matériaux susceptibles de répondre aux conditions d'assemblages mécaniques. Si la structure du dispositif est étanche alors un système automatique de circulation d'air sera nécessaire, à titre indicatif des bouteilles d'oxygène, des systèmes de climatisation ou encore des trappes automatiques et obstructives à aération contrôlée peuvent être intégrées. Le compartiment de motorisation (20) est muni de moyens hydrauliques de production et propulsion à jets d'eau (8) à hautes pressions. Ces moyens peuvent être à titre indicatif des lances à jets d'eau (1) sous forte pression munies ou non de blocs de propulsion (16) qui assurent une gestion de puissance par couple propulsif de jets d'eau (8). La position des lances est variable, les lances peuvent être placées géométriquement selon la position d'équilibre de la configuration géométrique du dispositif. Les lances (1) munies ou non de blocs de propulsion (16) sont indépendantes les unes des autres via des pompes motorisées (12). A titre indicatif, ces pompes motorisées (12) peuvent être des motopompes ou des électropompes.
Ces pompes motorisées (12) assurent l'acheminement de l'eau (9) sous forte pression aux lances de jets d'eau (1). Ses pompes motorisées (12) sont ainsi gérées à l'aide d'un ou plusieurs automates qui tiennent compte du paramètre de la stabilité d'assiette horizontale (22) par rapport à la masse du système, aux oscillations plus ou moins importantes de l'eau (9), et selon les cas où le dispositif est en sustentation statique à une certaine hauteur ou se déplace horizontalement au dessus de l'eau (9). Les lances à jets d'eau (1) peuvent avoir plusieurs types de liaisons différentes: une liaison directe où les lances (1) sont fixes et perpendiculaires à la surface de l'eau (9), une liaison en rotation simple, une liaison rotule motorisée ou non associée à ces lances (1), ou une liaison passant par l'intermédiaire de bras munis d'un actionnaire linéaire (10), qui ensembles tiennent un bloc dit de propulsion (16). Dans le dernier cas, la liaison des lances (1) ressemble à une liaison rotule avec des mouvements complexes dans les trois axes - 13 - directionnels. Pour la propulsion d'eau par les lances, les différents types de lances peuvent être associés (par exemple lances fixes à l'avant et multidirectionnelles à l'arrière). Par ailleurs, l'association dans le même dispositif des lances à jets d'eau (1) et des blocs de propulsion (16) est possible. Le bloc de propulsion (16) est composé d'un caisson (39), d'une biellette (15), d'un tuyau (4), d'un bâti (34), d'un amortisseur linéaire (36), d'un actionnaire rotatif, d'un pignon. Le tuyau (4) qui relie le bloc de propulsion (16) à la lance (1) est muni d'un raccord rotatif à sa sortie. Le bloc de propulsion (16) est en pivot (26) avec le volant cranté (38) fixé lui-même en pivot (26) par rapport aux bras de biellette (52) qui sont eux mêmes liés en pivot (26) sur la structure (5) du dispositif. La rotation de l'actionnaire rotatif (33) en prise pignon avec le volant cranté (38) fixe, entraîne la rotation du bloc de propulsion (16) dans l'axe transversal du dispositif. Les bras de biellettes (52) sont pilotés par un actionnaire linéaire lié en pivot (26) sur la structure (5) du dispositif. A titre indicatif, l'amortisseur linéaire (36) peut être de type ressort, ou actionnaire linéaire (10) motorisé ou actionnaire linéaire (10) à huile, ou actionnaire linéaire (10) à gaz, et/ou les différents types d'actionnaires linéaires combinés aux ressorts. Le déploiement des bras de biellettes (52) entraîne la rotation du bloc de propulsion (16) dans l'axe longitudinal du dispositif. Les blocs de propulsion (16) peuvent ainsi que les lances (1), par ce système d'articulation dans plusieurs axes, faire varier l'angle de poussée de jets d'eau (8) à la sortie, et contribuer à la sustentation à une certaine hauteur du dispositif. Les blocs de propulsion (16) ainsi que les lances (1) peuvent également faire avancer ou reculer le dispositif selon que le système de propulsion tourne dans l'axe transversal de la structure (5), et dans le cas où les blocs de propulsion (16) tournent autour de l'axe longitudinal, le dispositif change de direction en tournant à gauche ou à droite. Le changement de direction du dispositif est plus ou moins incisif selon que les blocs de propulsion (16) tournent indépendamment les uns des autres et dans le sens contraire - 14 - dit de rotation déphasée. Les lances à jets d'eau (1) sous forte pression, à liaison rotules, peuvent être motorisées pour effectuer un mouvement circulaire conique rapide de la propulsion d'eau, afin d'augmenter la surface d'appui sur l'eau (9) et de réduire le nombre de lances (1) ou de blocs de propulsion (16) engagés pour la sustentation à une certaine hauteur du dispositif. Des hélices latérales peuvent être ajoutées au dispositif précédent pour lui faciliter la direction gauche ou droite. Le pivotement longitudinal des lances (1) ou des blocs de propulsion (16) qui s'écartent du centre du dispositif, alors que celui-ci garde une pression de jets d'eau (8) constante et suffisante, permet de faire un amerrissage progressif sans modifier la pression des jets d'eau (8) de sortie des lances (1). Le même procédé dans le sens de pivotement des blocs de propulsion (16) vers le centre du dispositif permet de faire décoller progressivement le dispositif et cela sans modifier la pression des jets d'eau (8) qui reste constante et suffisante en poussée à la sortie des lances (1). Des tuyaux (4) assurent l'alimentation des lances de jets d'eau (1). Par ailleurs, dans le compartiment de motorisation (20) un ou plusieurs réservoirs d'eau (2) sont présents. Ce réservoir d'eau (2) permet selon son volume le maintien pendant un laps de temps en toute sécurité du dispositif en sustentation à une certaine hauteur sur l'eau (9) si la pipe ((7) ou (40)) d'aspiration n'est plus en contact dans l'eau (9). L'alimentation du système accepte le modèle d'énergie thermique et électrique. Des réservoirs de carburants (18) sont nécessaires, au minimum deux réservoirs sont installés, l'un permet d'assurer l'alimentation de fonctionnement normal, l'autre en cas de dysfonctionnement peut dans ce cas jouer le rôle de réservoir de secours. Dans le compartiment de motorisation (20), il est nécessaire d'avoir au minimum deux pompes motorisées (12). Les deux pompes motorisées (12) sont justifiées par le fait que, la première sert d'extraction d'eau (9) via la pipe ((7) ou (40)) en entrée de réservoir d'eau (2) situé dans le système, et que la seconde (12) placée à la sortie de ce même réservoir d'eau (2) permet de refouler de façon continue l'eau (9) ainsi pompée via les pompes motorisées -15- (12) vers les lances (1) et assure la sustentation à une certaine hauteur du système sans risque de rupture en alimentation d'eau (9) et de chute de celui-ci. Cette disposition doit avoir plusieurs pompes motorisées à titre d'exemple deux pompes permettent de permuter les fonctions des unes des autres en cas de dysfonctionnement, les deux pompes motorisée (12) sont raccordées entre-elles de telle façon que le maintien en sustentation à une certaine hauteur du dispositif sur l'eau (9) soit assuré même si l'une (12) d'entre elle tombe en panne et ne refoule plus l'eau (9).
A ce moment, l'autre (12) prend le relais et assure un refoulement continu de l'eau (9) en toute sécurité. Les pompes motorisées (12) peuvent être des groupes de motopompe ou système équivalent en électropompe alimenté par des batteries ou des groupes électrogènes (11). Les pompes motorisées (12), les réservoirs et les batteries rechargeables, le groupe électrogène (11) sont isolés ainsi de l'habitacle (14) ou de la plateforme (50) et placés dans des caissons étanches convenablement ventilés avec admission et évacuation d'air les protégeant ainsi des entrées d'eau (9). Le caisson est en acier ou plastique selon les besoins mécaniques. Les lances (1) simples unidirectionnelles sont utilisées généralement avec des hélices de propulsion (32) ou (46) placées de façon à aider aux mouvements de déplacements horizontaux. Les hélices (32) ou (46) sont placées de telle sorte que la poussée horizontale du dispositif soit parallèle à la surface de l'eau (9). Le système de propulsion est une hélice qui grâce à la réaction propulsée de l'air oppose un effort de propulsion suffisant pour déplacer horizontalement le dispositif. L'hélice peut être substituée par un système à turbine afin d'augmenter de façon significative l'effort de poussée horizontale de propulsion du dispositif.
La pipe ((7) ou (40)) est située dans un emplacement idéalement optimisé dans la structure. A titre indicatif, la pipe ((7) ou (40)) peut se situer à l'arrière de l'habitacle (14) pour assurer l'aspiration de l'eau (9) par son extrémité au compartiment moteur, en alimentant ainsi le réservoir d'eau (2) via la pompe motorisée 35 (12) d'extraction. L'eau (9) aspirée par la pompe motorisée (12) -16- d'extraction est ensuite redistribuée via les pompes motorisées (12) de refoulement sous forte pression aux lances (1) situées à titre indicatif sous la structure et qui assurent ainsi la sustentation à une certaine hauteur du dispositif au dessus de l'eau (9). La dite pipe ((7) ou (40)) d'aspiration est systématiquement placée en contact de l'eau (9) et permet d'alimenter de façon continue via des pompes motorisées (12) un ou plusieurs réservoirs d'eau internes (2) qui rendent le dispositif autonome en aspirant en continue l'eau (9). La pipe ((7) ou (40)) est raccordée à la pompe motorisée (12) d'aspiration par des raccords tournants. La pipe du dispositif a plusieurs configurations possibles ; la première configuration est une pipe à tuyau rigide (40), la seconde est une pipe à bras articulés (7), la troisième est une pipe à bras articulés (7) avec un dévidoir (17) en supplément. La pipe (40) est constituée d'un tuyau rigide d'aspiration dont le tuyau susceptible d'être fait avec plusieurs types de matériaux résistants de forme monobloc avec deux points d'articulations (31) dont une réservée pour le pilotage de l'actionneur linéaire ou rotatif. La pipe à bras articulés (7) est constituée d'un tuyau semi rigide d'aspiration d'eau (9) protégé par plusieurs structures rigides appelées bras repliables (28) et (29), pouvant s'articuler les uns et les autres par des liaisons pivots (26). Ces bras repliables (28) et (29) sont munis d'éléments de glissement pour faciliter le déroulement ou l'enroulement du tuyau d'extraction de l'eau (9) en fonction de la hauteur du dispositif par rapport à la surface de l'eau (9). Pour allonger en supplément si besoin et mieux ajuster les différents allers retours du tuyau, un dévidoir (17) peut être ajouté sur la structure à l'entrée de la pipe (7). Dans le cas où la pipe est à bras articulés (7) avec ou sans dévidoir (17), le déroulement de la pipe (7) pour rentrer ou sortir de l'eau (9) est assuré par des actionnaires linéaires (10). Sa structure rigide peut être de matériaux quelconque idéalement étudiés dans des matériaux légers et résistants. La pipe à bras rigide (40) garde une longueur fixe alors que la pipe à bras articulés (7) a une longueur variable. Cependant pour les deux types 35 de pipes, les points de prise d'eau sont variables sur l'eau (9). -17- Les pipes à bras rigides (40) ou à bras articulés (7) comportent un cordon muni à une de ses extrémités d'une lance (1) de type raccord rapide pompier et à l'autre d'une crépine (24) placée à son extrémité et qui permet de filtrer les impuretés liées à l'extraction de l'eau (9). La relation cinématique de la pipe ((7) ou (40)) confère à celle-ci un mouvement indépendant par rapport à la structure (5) ou au compartiment (20). Ainsi cette relation cinématique de chaque pipe ((7) ou (40)) se fait par des rotules (27). Ce qui permet aux mouvements de chaque pipe ((7) ou (40)) d'être limités par des actionnaires linéaires (10) qui lui permettent également de se positionner toujours en position favorable à l'aspiration d'eau. Le manque de pression d'eau (9) dans la pipe ((7) ou (40)) est détecté par un ou des capteurs raccordés à un ou plusieurs calculateurs. Dans ce cas, la pipe ((7) ou (40)) est 15 aussitôt repositionnée dans l'eau (9) grâce à l'action des actionnaires linéaires (10). Le mouvement de la pipe ((7) ou (40)) pour la prise d'eau (9) se déroule de façon indépendante de la position du dispositif. Des détecteurs et des capteurs permettent d'ajuster la cinématique de la pipe ((7) ou (40)) de façon à assurer 20 cette prise d'eau (9) en continue quelque soit la position du dispositif. Les différentes vibrations liées aux oscillations d'eau ainsi que les chocs dans le sens du parcours du dispositif sont mieux résorbés par la cinématique de la pipe (7) que la pipe (40), car la pipe (7) se compose de plusieurs morceaux. A titre indicatif 25 deux morceaux relient les bras de la pipe (7) qui se comportent de par leur mouvement et leurs liaisons (pivots à crans d'arrêt) en une structure homocinétique. En effet, tout l'ensemble de la pipe ((7) ou (40)) est relié par des actionnaires linéaires (10) amortisseurs ce qui contribue à une forte absorption des effets oscillatoires des 30 vagues d'eau (9) et de contre choc occasionnés lorsque le dispositif avance et que la pipe ((7) ou (40)) heurte un obstacle dans ou sur l'eau (9). D'autre part, la pipe (7) étant composée de deux ou plusieurs parties, elle peut en phase de stationnement «parking» du dispositif, se plier et se calfeutrer dans une poche arrière 35 réservée dans le dispositif. La pipe (40) aura une forme idéalement -18- étudiée et prédéfinie à la morphologie du dispositif auquel elle est destinée. La prise d'eau (9) de la pipe ((7) ou (40)) se fait à titre indicatif à 0.5 mètres de profondeur au minimum en partant de son extrémité. La pipe ((7) ou (40)) a une longueur suffisante pour atteindre l'extraction d'eau (9) lorsque le dispositif atteint sa hauteur maximale. La pipe ((7) ou (40)) peut recevoir une pompe motorisée (12) placée autant à son entrée qu'à sa sortie. En cas d'utilisation en températures extrêmement basses voire glaciales, la pipe ((7) ou (40)) peut être équipée d'un moyen de préchauffage agissant sur tout l'ensemble du corps de la pipe ((7) ou (40)) afin d'assurer l'aspiration en continue de l'eau (9) dans le réservoir interne (2). Le dispositif dispose des moyens nécessaires de sécurité durant son utilisation normale ou défaillante. Le dispositif est équipé de moyens de flottement sur l'eau dans le cas ou celui-ci viendrait à chuter ou à faire un amerrissage forcé sur l'eau. Ces moyens de flottaison peuvent se caractériser soit par l'ajout d'une ou plusieurs ceintures encerclant le dispositif soit des éléments à géométrie indépendants en forme de plots accolés ou encastrés sur le pourtour du dispositif. La ceinture ainsi que les plots sont faits de matériaux dont les densités sont inférieures à celle de l'eau (9), ce qui permet de maintenir le dispositif en flottement. La ceinture (13) ou les plots, délimitent la partie immergée de la partie submergée, ils délimitent ainsi la ligne de flottaison du dispositif. La ceinture (13) ou les plots assurent que la masse submergée flotte proportionnellement à la masse totale immergée du dispositif. Le compartiment de motorisation (20) est équipé d'un arceau (51) de sécurité rétractable pour amortir l'impact du choc d'un amerrissage forcé. Le système mécanique de sécurité situé en dessous du compartiment voire du dispositif, est muni de bras à déploiement rapide permettant d'amortir la chute du dispositif lors de sa pénétration brutale dans l'eau (9) afin d'induire un effet d'amortissement de choc sur les passagers. Les bras sont couverts d'éléments dérivés de plastique ou de mousse, ou de matière plus légère que l'eau (9) ce qui augmente la résistance de pénétration -19- dans l'eau (9) et crée un effet amorti. Les bras se déplient en «V» et forme une résistance naturelle lors de la tombée du dispositif dans l'eau (9). Cette résistance augmente au fur et à mesure que le dispositif s'enfonce dans l'eau (9) entraînant ainsi un ralentissement lors de sa pénétration brutale et incontrôlée dans l'eau. Les bras de sécurité anti chute peuvent aussi servir d'amerrissage. Le dispositif en sustentation à une certaine hauteur au dessus de l'eau (9) déclenche un amerrissage forcé dans le cas où la pipe ((7) ou (40)) ne serait plus en contact avec l'eau (9) et que le réservoir interne (2) se retrouverait utilisé jusqu'au 2/3 de sa capacité volumique d'eau (9). Dans ce cas les différents automatismes du dispositif forceront de façon automatique l'amerrissage ou l'atterrissage du dispositif afin de le freiner dans cet amerrissage ou atterrissage d'urgence. Le mouvement d'amerrissage ou atterrissage sera lent du dispositif à la surface de l'eau (9) et il sera amorti à la surface du sol (25). Dans le cas où le dispositif chuterait brutalement malgré les différentes dispositions de sécurité, il est prévu d'utiliser le jets d'eau (8) à hautes pressions dit de sécurité pour les lances (1) ou les blocs de propulsion (16), qui déclencheraient une hautes pressions de jets en utilisant le 1/3 d'eau (9) restant dans le réservoir interne (2) pour à la fois stabiliser pendant la chute du dispositif et amortir l'impact de sa chute au sol (25) ou sur l'eau (9). Le dispositif est amphibien sous deux conditions. La première est que la pipe ((7) ou (40)) reste toujours en prise dans l'eau (9) à une profondeur minimale et alimente toujours le réservoir d'eau interne (2) au système, la deuxième condition est d'utiliser jusqu'à la moitié du volume total de réserve d'eau contenu dans le réservoir interne. Le dispositif possède deux types de réseau de circulation de fluide hydraulique, pour acheminer d'une part l'eau (9) sortie de la pipe ((7) ou (40)) vers la pompe motorisée (12) d'extraction au réservoir interne (2) et, d'autre part, les différentes pompes motorisée (12) de refoulement via les tuyaux de circulation du fluide (4). Le réseau d'acheminement de fluide hydraulique principale est appelé le réseau de fluide primaire (57). Le réseau de sécurité d'acheminement - 20 - de fluide hydraulique est appelé réseau de fluide secondaire (53). L'arrêt impromptu de la pompe d'acheminement ou d'extraction de fluide vers le réservoir d'eau interne (2), déclenche les différents systèmes de distribution (56) qui permettent aux différents pompes motorisées de refoulement de puiser l'eau (9) directement à la sortie de la pipe ((7) ou (40)) en passant par le réseau de fluide secondaire (53). La panne de réservoir interne ou voire même des pompes de refoulement déclenchent inversement ce processus de sécurité. La prise de relais d'acheminement de fluide par le réseau de fluide secondaire (53) permet aux différents moyens remplissant des fonctions transférables de se substituer en cas de dysfonctionnements. Lors de l'utilisation des systèmes de distribution (56) et du réseau de fluide secondaire (53), le réservoir d'eau (2) a reçu la quantité d'eau (9) nécessaire au fonctionnement du dispositif et devient dans ce cas, une réserve pour l'utilisation du dispositif. Le réseau de fluide secondaire (53) alimente en direct les lances (1) du dispositif sous la pression d'eau (9) nécessaire à la sustentation à une certaine hauteur du dispositif en passant directement de la pipe aux pompes motorisées (12) de refoulement. En cas de dysfonctionnement des lances à jets d'eau (8), l'amerrissage forcé en automatique prendra aussi le relais dans ce cas. Tous ces moyens de sécurité peuvent être combinés et utilisés pour la sécurité accrue du dispositif. Le décollage du dispositif est assuré par la projection de l'eau (9) sous forte pression via les jets d'eau (8) propulsés des lances (1). Le décollage et l'amerrissage sont gérés par la variation de pression exercée dans les jets d'eau (8) et l'inclinaison des lances (1). Lors de la sustentation à une certaine hauteur du dispositif au dessus de l'eau (9), la pression des jets d'eau (8) dans les lances (1) augmente jusqu'à atteindre une position verticale à une hauteur souhaitée, c'est la phase de décollage. Une fois la hauteur atteinte, la pression d'eau (9) dans les lances (1) reste stable et le dispositif fera les mouvements nécessaires à son déplacement souhaité. Quant à l'amerrissage, la pression d'eau (9) dans les lances (1) diminue progressivement jusqu'à ce que la ceinture (13) -21- ou les plots soient en contact avec la surface de l'eau (9) et assure que le dispositif flotte. Le dispositif peut décoller de deux manières différentes. La première façon de décoller se fait via des lances (1) fixes en faisant varier la pression de jets d'eau, la seconde est le décollage en maintenant une pression constante des jets d'eau (8) avec des lances (1) multidirectionnelles munies ou non de blocs de propulsion (16) et faisant varier leur angle par rapport à l'assiette horizontale (22) et parallèle à la surface de l'eau (9). Le changement de direction du dispositif pour le déplacement avant/arrière ou latéral gauche/droite, est assuré par la projection de l'eau (9) sous forte pression via les lances à jets d'eau (1) qui changent leur angle de poussée de façon perpendiculaire à la surface horizontale de l'eau (9). Les différentes configurations de changement de direction du dispositif pour son déplacement dans les quatre sens cardinaux, peut être plus ou moins incisif selon que les lances à jets d'eau (1) soient indépendantes les unes des autres, disposées selon que les unes tournent dans un sens et les autres dans l'autre sens. La position des lances à jets d'eau (1) les unes par rapport aux autres et la pression des jets d'eau (8) conditionnent la vitesse d'avance du dispositif si celui-ci n'est pas muni d'hélice de propulsion horizontale. Le dispositif peut atteindre une vitesse maximale (voir fig.91 et fig.92) qui est fonction de la vitesse de débit des jets d'eau (8). Sous ces conditions, le dispositif peut ainsi atteindre de très grandes vitesses. Le dispositif peut être équipé d'une sellette (19) en option pour augmenter sa stabilité d'assiette horizontale (22) par rapport à la surface de l'eau (9). Le rajout du module mécanique de la sellette a pour but d'absorber les ondes de chocs provoquées par de mauvaises conditions climatiques et environnementales maritimes. Dans le compartiment de motorisation (20), une sellette (19) équipée de plusieurs actionnaires linéaires (10) permet d'assurer sa stabilité d'assiette horizontale (22) quelque soit l'état de surface d'oscillations de l'eau (9). Plusieurs actionnaires linéaires (10) 35 sont placés de part et d'autre de cette sellette (19) ce qui permet - 22 - d'absorber les irrégularités des oscillations d'eau (9) pour maintenir la sellette (19) horizontale. La sellette est un plateau (48) muni de plusieurs actionnaires linéaire et d'un croisillon (21) en liaison pivot sous le plateau (48). Le croisillon (21) est relié également en pivot au compartiment de motorisation (20). Les actionnaires linéaires associés en rotule avec le plateau (19) sont également en liaison rotules avec le compartiment de motorisation (20). Le plateau (19) est muni d'actionnaires linéaires situés de part et d'autre de ce dernier, placés en vertical et portant l'habitacle (14) ou la plateforme (50) en liaisons rotules. C'est pourquoi, l'habitacle (14) ou la plateforme (50) placé(e) sur la sellette (19) garde ainsi une stabilité d'assiette horizontale (22). Grâce à ce système, la stabilité d'absorption des oscillations de l'environnement extérieur est accrue dans l'habitacle (14) ou sur la plateforme (50) et permet un transport de marchandises et/ou de passagers en toute sûreté. Le mode de contact par pression d'eau (9) de la sustentation à une certaine hauteur du dispositif généré par le jets d'eau (8) permet en considérant les modèles de viscosité et d'oscillations mathématiques que l'eau (9) se comporte comme un oscillateur à amortissement forcé comparable aux actionneurs linéaires amortis par le fluide, qui permet de constater que la version de l'invention du dispositif sans sellette (19) a une stabilité supérieure à la stabilité des véhicules navigants sur l'eau (9) qui existent aujourd'hui. Et ce quelque soient les oscillations petites et moyennes à la surface de l'eau (9). De plus, la gestion de la stabilité tient compte également de l'action combinée â celle du vent et de la vitesse de déplacement du dispositif. En cas de courant d'air, le dispositif dérive mais ne se retourne pas. Des capteurs placés dans le dispositif avec ou sans sellette (19), permettent de détecter et de corriger les positions du compartiment moteur via les lances (1) sur l'eau (9). En effet, dès que les besoins sont nécessaires les capteurs envoient des informations à un automate central pour ajuster la pression des jets d'eau (8) des lances (1) et les repositionner si nécessaire immédiatement afin de corriger tous les remous de l'eau (9) -23- engendrés par les houles et remettre la sellette (19) de telle sorte que l'assiette horizontale (22) soit dans une même position stable. Ainsi, les conditions d'équilibre du dispositif en sustentation à une certaine hauteur au dessus de l'eau (9) ou en flottant sont complétées par la poussée des jets d'eau (8) des lances (1) si besoin. En munissant le dispositif d'hélices latérales, il aura une stabilité latérale supplémentaire pour palier à de grands vents sur l'eau. D'autres éléments tels que des ailettes peuvent être rajoutées à l'extérieur du dispositif pour participer à sa stabilisation. Le dispositif respecte l'environnement et contribue au développement durable. En effet, le système de propulsion par les jets d'eau (8) des lances (1) améliore la qualité de l'eau (9) dans laquelle il circule en sustentation à une certaine hauteur. Si l'eau (9) absorbée par la pipe ((7) ou (40)) est la même que celle rejetsée par les lances (1), le système sert également à une ré-oxygénation de l'eau (9) dans certains contextes, puisque le passage de propulsion des jets d'eau (8) au niveau des lances (1), entraîne le contact de l'eau (9) avec l'air. Lors de ce contact, les molécules d'eau exercent une captation des molécules d'air systématiquement avant de retomber dans l'eau (9). Par ailleurs, ce dispositif permet une consommation d'énergie plus faible que les moyens actuels de navigation et de transports. - 24 - LISTE DES DESSINS Les numéros présents dans la description précédente sont intégrés dans cette dernière et appartiennent aux figures suivantes annexées au brevet. Les différents modes de réalisations de l'innovation pris à titre d'exemple et non limitatif, sont illustrés par les figures annexées selon lesquelles : La figure 1 (fig.1), la figure 6 (fig.6), la figure 15 (fig.15), la figure 30 (fig.30), la figure 37 (fig.37), et la figure 57 (fig.57), représentent le principe de l'invention sous différents schémas et configurations. La figure 2 (fig.2) représente une vue isométrique d'ensemble d'un exemple d'application de l'invention en sustentation à une certaine hauteur au dessus de l'eau (9), et dotée d'une pipe rigide (40) à l'arrière. La figure 3 (fig.3), représente une vue de coté d'un exemple d'application de l'invention en sustentation à une certaine hauteur au dessus de l'eau (9), et dotée d'une pipe rigide à l'arrière (40).
Les figures 4 (fig.4) et 5 (fig.5) , les figures 13 (fig.13) et 14 (fig.14), les figures 27 (fig.27), 28 (fig.28) et 29(fig.29), les figures 33 (fig.33), 34 (fig.34) , 35 (fig.35) et 36 (fig.36), les figures 48 (fig.48), 49 (fig.49) et 50(fig.50), les figures 61 (fig.61), 62 (fig.62) et 63 (fig.63), représentent les vues isométriques d'ensemble des structures tubulaires (5) de l'invention. La figure 7 (fig.7), représente une vue de coté isométrique d'ensemble d'un exemple d'application de l'invention en sustentation à une certaine hauteur au dessus de l'eau (9), et dotée d'une pipe à 30 corps rigide (40) à l'avant. La figure 8 (fig.8), représente une vue de dessus isométrique d'ensemble d'un exemple d'application de l'invention en sustentation à une certaine hauteur au dessus de l'eau (9), et dotée d'une pipe rigide (40) à l'avant 35 La figure 9 (fig.9) et 10 (fig.10), représentent des vues -25- isométriques d'ensemble d'un exemple d'application de l'invention en amerrissage au dessus de l'eau (9), et dotée d'une pipe à corps rigide (40) à l'avant en train de se replier. La figure 11 (fig.11), représente une vue isométrique d'ensemble 5 d'un exemple d'application de l'invention en flottaison sur l'eau (9), et dotée d'une pipe à corps rigide (40) à l'avant. La figure 12 (fig.12), représente une vue isométrique d'ensemble de côté d'un exemple d'application de l'invention au décollage au dessus de l'eau (9), et dotée d'une pipe à corps rigide (40) à 10 l'avant. La figure 16 (fig.16), représente une vue isométrique de dessous d'ensemble d'un exemple d'application de l'invention en sustentation à une certaine hauteur au dessus de l'eau (9), et dotée à l'arrière d'une pipe à bras articulés (7). 15 La figure 17 (fig.17), représente une vue isométrique arrière de coté d'ensemble d'un exemple d'application de l'invention en sustentation à une certaine hauteur au dessus de l'eau (9), et dotée à l'arrière d'une pipe à bras articulés (7). La figure 18 (fig.18), représente une vue de face d'ensemble d'un 20 exemple d'application de l'invention en sustentation à une certaine hauteur au dessus de l'eau (9), et dotée à l'arrière d'une pipe à bras articulés (7). La figure 19 (fig.19), représente une vue isométrique du coté gauche avant d'ensemble en train de changer de direction grâce à la lance 25 arrière d'un exemple d'application de l'invention en sustentation à une certaine hauteur au dessus de l'eau (9), et dotée à l'arrière d'une pipe à bras articulés (7). La figure 20 (fig.20), la figure 21 (fig.21), et la figure 22 (fig.22), représentent une vue de coté d'ensemble d'un exemple 30 d'application de l'invention en amerrissage sur l'eau (9), et dotée d'une pipe à bras articulés (7) à l'arrière en cours de repliement. La figure 23 (fig.23), représente une vue de coté d'ensemble d'un exemple d'application de l'invention en amerrissage sur l'eau (9), et dotée d'une pipe à bras articulés (7) à l'arrière et repliée. 35 La figure 24 (fig.24), représente une vue de coté d'ensemble d'un -26- exemple d'application de l'invention en flottaison sur l'eau (9) grâce à la ceinture (13) ou les plots, et dotée à l'arrière d'une pipe à bras articulés (7). La figure 25 (fig.25), représente une vue isométrique d'ensemble d'un exemple d'application de l'invention en flottaison sur l'eau (9) via la propulsion de jets d'eau des lances, et doté à l'arrière d'une pipe à bras articulés (7). La figure 26 (fig.26), représente une vue isométrique d'ensemble d'un exemple d'application de l'invention lors du décollage du dispositif au dessus de l'eau (9), et dotée à l'arrière d'une pipe à bras articulés (7). La figure 31 (fig.31), représente une vue isométrique d'ensemble d'un exemple d'application de l'invention en sustentation à une certaine hauteur au dessus de l'eau (9), avec habitacle (14) à multiples passagers et charges qui intègre le compartiment de motorisation (20), et dotée d'une pipe à bras articulés (7) au centre du dispositif de l'invention. La figure 32 (fig.32), représente une vue de coté d'ensemble d'un exemple d'application de l'invention en flottaison sur l'eau (9), avec habitacle (14) à multiples passagers et charges qui intègre le compartiment de motorisation (20), et dotée d'une pipe à bras articulés (7) au centre du dispositif de l'invention. La figure 38 (fig.38), représente une vue de dessus en coupe d'un exemple d'application de l'invention dotée à l'arrière d'une pipe à 25 bras articulés (7). La figure 39 (fig.39), représente une vue isométrique générale de la structure architecturale de distribution d'énergie hydraulique suivant l'exemple d'application de l'invention dotée à l'arrière d'une pipe à bras articulés (7) avec dévidoir (17). 30 La figure 40 (fig.40), la figure 41 (fig.41), et la figure 42 (fig.42), représentent une vue de coté d'ensemble d'un exemple d'application de l'invention avec habitacle (14) et compartiment de motorisation (20) séparés par la sellette (19), et en sustentation à une certaine hauteur au dessus de l'eau (9), et dotée à l'arrière 35 d'une pipe à bras articulés (7) avec dévidoir (17). - 27 - La figure 43 (fig.43), représente une vue isométrique de dessus d'ensemble d'un exemple d'application de l'invention avec habitacle (14) et compartiment de motorisation (20) séparés par la sellette (19), en sustentation à une certaine hauteur au dessus de l'eau (9) et en phase de changement de direction, et dotée à l'arrière d'une pipe à bras articulés (7) avec dévidoir (17). La figure 44 (fig.44), représente une vue de face d'ensemble d'un exemple d'application de l'invention avec habitacle (14) et compartiment de motorisation (20) séparés par la sellette (19), en sustentation à une certaine hauteur au dessus de l'eau (9) et en phase de changement de direction, et dotée à l'arrière d'une pipe à bras articulés (7) avec dévidoir (17). La figure 45 (fig.45), représente une vue isométrique d'ensemble d'un exemple d'application de l'invention avec habitacle (14) et compartiment de motorisation (20) séparés par la sellette (19), en amerrissage sur l'eau (9), et dotée à l'arrière d'une pipe à bras articulés (7) avec dévidoir (17). La figure 46 (fig.46), représente une vue de coté d'ensemble d'un exemple d'application de l'invention avec habitacle (14) et compartiment de motorisation (20) séparés par la sellette (19), en flottaison sur l'eau (9), et dotée à l'arrière d'une pipe à bras articulés (7) avec dévidoir (17) calfeutrée dessous et à l'arrière de la structure de compartiment de motorisation (20) et de l'habitacle (14).
La figure 47 (fig.47), représente une vue de coté de l'ensemble d'un exemple d'application de l'invention avec habitacle (14) et compartiment de motorisation (20) séparés par la sellette (19), en flottaison et qui avance grâce aux blocs de propulsion des lances arrières sur l'eau (9), et dotée à l'arrière d'une pipe à bras articulés (7) avec dévidoir (17). La figure 51 (fig.51), représente une vue de dessus isométrique en coupe d'application de l'invention sur le compartiment de motorisation (20) seul avec la sellette (19), avec blocs de propulsion (16), et dotée à l'arrière d'une pipe à bras articulés 35 (7). -28- La figure 52 (fig.52), représente une vue de coté éclatée et d'ensemble d'un exemple d'application de l'invention avec habitacle (14) et compartiment de motorisation (20) séparés par la sellette (19), en sustentation à une certaine hauteur au dessus de l'eau (9), et dotée à l'arrière d'une pipe à bras articulés (7) avec dévidoir (17). La figure 53 (fig.53), représente une vue isométrique d'application de l'invention associée à la sellette (19) d'assiette horizontale (22) du dispositif.
La figure 54 (fig.54) et la figure 55 (fig.55), représentent une vue de coté d'ensemble d'un exemple d'application de l'invention avec habitacle (14) séparé du compartiment de motorisation (20) par la sellette (19), en sustentation à une certaine hauteur au dessus de l'eau, la figure montre la stabilité d'assiette au dessus de l'eau (9) avec vagues de grandes amplitudes, et dotée à l'arrière d'une pipe à bras articulés (7) avec dévidoir (17). La figure 56 (fig.56), représente une vue isométrique de l'ensemble d'un exemple d'application de l'invention avec la plateforme (50) séparé du compartiment de motorisation (20) par la sellette (19), en sustentation à une certaine hauteur au dessus de l'eau (9), et dotée à l'arrière d'une pipe à bras articulés (7). La figure 58 (fig.58), représente une vue isométrique de coté de l'ensemble d'un exemple d'application de l'invention avec habitacle (14) à multiples passagers et charges, séparés de compartiment de motorisation (20) par des actionnaires linéaires (10) de stabilité, en sustentation à une certaine hauteur au dessus de l'eau (9), et dotée sur les côtés des pipes à bras articulés (7). La figure 59 (fig.59), représente une vue isométrique de dessus d'un exemple d'application compartiment du motorisation (20) isolé de 30 l'habitacle (14) par des actionnaires linaires, et dotée sur les cotés des pipes à bras articulés (7). La figure 60 (fig.60), représente une vue isométrique de dessus de l'ensemble d'un exemple d'application de l'invention avec habitacle (14) à multiples passagers et charge et compartiment de motorisation 35 (20) intégré, et en sustentation à une certaine hauteur au dessus de -29- l'eau (9), et dotée sur les côtés de pipes à bras articulés (7). La figure 64 (fig.64), représente une vue de coté de l'ensemble de la pipe à corps rigide (40), dotée d'un système linéaire et de points d'articulations (31).
La figure 65 (fig.65), la figure 66 (fig.66), la figure 67 (fig.67), représente une vue isométrique de l'ensemble de la pipe à bras articulés (7), dotée de systèmes linéaires et de points d'articulations (31). La figure 68 (fig.68), représente une vue partielle de coté de la 10 crépine (24) de l'invention de la pipe à bras articulés (7). La figure 69 (fig.69), représente une vue isométrique de la cinématique de repliage de l'ensemble de l'invention de la pipe à bras articulés (7), dotée d'un dévidoir (17), de systèmes linéaires et de points d'articulations (31) 15 La figure 70 (fig.70), représente une vue isométrique des lances de l'ensemble de l'invention avec des jets d'eau (9) verticaux (8). La figure 71 (fig.71), représente une vue isométrique de rotation angulaire des lances de l'ensemble de l'invention avec changement de direction des jets d'eau (8). 20 La figure 72 (fig.72), représente une vue isométrique de la cinématique des lances de l'ensemble de l'invention avec jets d'eau (8) vertical pour le décollage où l'atterrissage du dispositif. La figure 73 (fig.73), représente une vue isométrique de la cinématique des lances de l'ensemble de l'invention avec changement 25 de direction des jets d'eau (8) pour l'avance ou le recul du dispositif. La figure 74 (fig.74), représente une vue isométrique de la cinématique des lances de l'ensemble de l'invention avec changement de direction des jets d'eau (8) pour le changement de direction 30 gauche et droite du dispositif. La figure 75 (fig.75), représente une vue isométrique de la cinématique des lances de l'ensemble de l'invention avec changement de direction des jets d'eau (8) en écartement du centre de dispositif pour le décollage où atterrissage du dispositif. 35 La figure 76 (fig.76), représente une vue isométrique des blocs de -30- propulsion (16) de l'ensemble de l'invention avec jets d'eau (8). La figure 77 (fig.77), représentent une vue isométrique des blocs de propulsion sans son capot de protection de l'ensemble de l'invention avec jets d'eau (8).
La figure 78 (fig.78), la figure 79 (fig.79), la figure 80 (fig.80), la figure 81 (fig.81), la figure 82 (fig.82), et la figure 83 (fig.83), représentent une vue de coté de l'ensemble de l'invention des positions cinématiques de sortie sous le dispositif des blocs de propulsion (16) avec jets d'eau (8).
La figure 84 (fig.84) représente une vue isométrique d'ensemble d'un exemple d'application de l'invention en sustentation à une certaine hauteur au dessus de l'eau (9), et dotée à l'arrière d'une pipe rigide (40), et des hélices de propulsion(32). La figure 85 (fig.85), représente une vue isométrique de l'ensemble 15 de l'hélice de propulsion (32). La figure 86 (fig.86) représente une vue isométrique d'ensemble d'un exemple d'application de l'invention en sustentation à une certaine hauteur au dessus de l'eau (9), et dotée à l'arrière d'une pipe rigide (40), et d'une hélice de propulsion avec pales de direction 20 (46). La figure 87 (fig.87), représente une vue isométrique de l'ensemble de l'hélice de propulsion avec pales de direction (46). La figure 88 (fig.88), représente une vue de coté de l'ensemble d'un exemple d'application de l'invention en sustentation à une certaine 25 hauteur au dessus de l'eau (9) et qui avance sur le sol (25), et qui intègre l'habitacle (14) à multiples passagers et charges, et le compartiment de motorisation (20), et qui est dotée d'une pipe à bras articulés (7) à l'arrière du dispositif de l'invention. La figure 89 (fig.89), représente une vue de coté de l'ensemble d'un 30 exemple d'application de l'invention suffisamment avancée et en atterrissage sur le sol (25), et qui intègre l'habitacle (14) à multiples passagers et charges, et le compartiment de motorisation (20), et qui est dotée d'une pipe à bras articulés (7) à l'arrière du dispositif de l'invention. 35 La figure 90 (fig.90), représente une vue de coté de l'ensemble d'un -31- exemple d'application de chargement de l'invention atterrie au sol (25), et qui intègre l'habitacle (14) à multiples passagers et charges, et le compartiment de motorisation (20), et qui est dotée d'une pipe à bras articulés (7) à l'arrière du dispositif de l'invention. La figure 91 (fig.91), et la figure 92 (fig.92), représentent une vue de coté de l'ensemble d'un exemple d'application de l'invention pouvant atteindre les grandes vitesses avec possibilité de variation de la hauteur et, est dotée d'une pipe.
La figure 93 (fig.93), et la figure 94 (fig.94), représentent une vue des schémas cinématiques sur le coté de l'ensemble de l'invention de déploiement du système de l'arceau (51) de sécurité du dispositif. La figure 95 (fig.95), représente une vue de schéma cinématique sur le coté de l'ensemble de l'invention de déploiement du système de l'arceau (51) de sécurité du dispositif. La vue montre que les bras de l'arceau (51) peuvent atteindre l'eau avant que le dispositif ne touche l'eau (9). L'abrégé est la figure 96 (fig.96) et représente le principe général 20 de l'innovation en sustentation à une certaine hauteur au dessus de l'eau. Les différents modes de réalisation des principes de l'innovation pris à titre d'exemple et non limitatif, sont illustrés par les 25 figures annexées selon lesquelles : La figure 57 (fig.57) est le principe sous forme circulaire. La figure 37 (fig.37) est le principe pour l'habitacle (14) à forme de trapèze et la plateforme (50). La figure 30 (fig.30) est le principe pour des véhicules de types longitudinaux. Les figures 1, (fig.l), 6 30 (fig.6) et 15 (fig.15) illustrent le mode de réalisation à usage individuel, ou familiale, ou de petit groupe. De ces modes de réalisation de principe, il en découle à titre d'exemple dans le brevet divers modes de réalisation de structure par les figures annexées selon lesquelles : 35 Les figures 4 (fig.4), 5 (fig.5), 13 (fig.13), 14 (fig.14), 27 -32- (fig.27), 28 (fig.28), 29 (fig.29) montrent un exemple de structure pour une utilisation de type individuel, ou familiale, ou de petit groupe. Dans la description, il a été évoqué que la pipe du dispositif à plusieurs configurations possibles. A titre d'exemple dans le brevet, les figures annexées suivantes les illustrent de telle façon que : La figure 64 (fig.64) montre la pipe à tuyau rigide (40). La figure 65 (fig.65) montre la pipe à bras articulés (7).
Les figures 66 (fig.66), 67 (fig.67), 68 (fig.68), 69 (fig.69) montrent la pipe à bras articulés (7) avec dévidoir (17). Par ailleurs, la pipe ((7) ou (40)) peut être disposée à différents emplacements du dispositif. A titre d'exemple dans le brevet, les figures annexées suivantes les illustrent de telle façon que : Les figures 2 (fig.2) et 3 (fig.3) montrent la pipe à tuyau rigide (40) située à l'arrière du dispositif. Les figures 7 (fig.7) à 12 (fig.12) montrent la pipe à tuyau rigide (40) située à l'avant du dispositif. Les figures 16 (fig.16) à 26 (fig.26) montrent la pipe à bras articulés (7) située à l'arrière du dispositif. La figure 31 (fig.31) montre la pipe à bras articulés (7) avec dévidoir (17) placée au centre du dispositif. La figure 59 (fig.59) montre plusieurs pipes à bras articulés (7) placées de part et d'autre du dispositif.
De plus, les lances (1) peuvent être disposées à différents emplacements du dispositif. A titre d'exemple dans le brevet, les figures annexées suivantes les illustrent de telle façon que : La figure 16 (fig.16) montre deux lances placées à l'arrière et une placée à l'avant.
La figure 9 (fig.9) montre deux lances placées à l'avant et une placée à l'arrière. La figure 31 (fig.31) montre les lances sont placées le long des bords latéraux droite et gauche du dispositif. La figure 59 (fig.59) montre les lances placées en périphérie circulaire du dispositif. - 33 - Dans la description, il a été évoqué que le dispositif à plusieurs modes de propulsion possibles. A titre d'exemple dans le brevet, les figures annexées suivantes les illustrent de telle façon que : Les figures 70 (fig.70) et 71 (fig.71) montrent les lances fixes, bidirectionnelles et multidirectionnelles. Les figures 76 (fig.76) à 83 (fig.83) montrent les lances munies de blocs de propulsion (16). Les figures 84 (fig.84) et 86 (fig.86) montrent un exemple de réalisation de véhicule équipé de turbines.
De ces modes de réalisation de principe et de structure, il en découle à titre d'exemple dans le brevet plusieurs modes de réalisation de dispositif par les figures annexées selon lesquelles : Les figures 2 (fig.2) et 3 (fig.3) sont des exemples d'un véhicule 15 en sustentation à une certaine hauteur sur l'eau équipé de la structure de la figure 4 (fig.4), équipé de trois lances (1) et d'une pipe à tuyau rigide (40), muni d'une ceinture (13) ou de plots, offrant la possibilité de transporter de 1 à 3 personnes. Il est aussi équipé du principe de la figure 1 (fig.1).
20 Les figures 7 (fig.7) à 12 (fig.12) sont des illustrations d'un exemple de véhicule en sustentation à une certaine hauteur sur l'eau équipé de la structure de la figure 13 (fig.13), équipé de trois lances (1) et d'une pipe à tuyau rigide (40), muni d'une ceinture (13) ou de plots, offrant la possibilité de transporter de 1 à 2 25 personnes. Il est aussi équipé du principe de la figure 6 (fig.6). Les figures 16 (fig.16) à 26 (fig.26) sont des illustrations d'un exemple de véhicule en sustentation à une certaine hauteur sur l'eau équipé de la structure de la figure 27 (fig.27), équipé de trois lances (1) et d'une pipe à bras articulés (7) , muni d'une ceinture 30 (13) ou de plots, offrant la possibilité de transporter de 1 à 6 personnes. Il est aussi équipé du principe de la figure 15 (fig.15). Les figures 31 (fig.31) et 32 (fig.32) sont des illustrations d'un exemple de véhicule en sustentation à une certaine hauteur sur l'eau équipé de la structure de la figure 34 (fig.34), équipé de plusieurs 35 lances (1) et d'une pipe à bras articulés (7) avec dévidoir (17), -34- muni d'une ceinture (13) ou de plots, offrant la possibilité de transporter de 1 à 100 personnes. Il est aussi équipé du principe de la figure 30 (fig.30). Les figures 40 (fig.40) à 47 (fig.47), 52 (fig.52) à 57 (fig.57) sont des illustrations d'un exemple de véhicule en sustentation à une certaine hauteur sur l'eau équipé de la structure de la figure 48 (fig.48), équipé de plusieurs lances (1) munies de blocs de propulsion (16) et d'une pipe à bras articulés (7) avec dévidoir (17), muni d'une ceinture (13) ou de plots, offrant la possibilité de transporter de 1 à 20 personnes. Il est aussi équipé du principe de la figure 37 (fig.37). Cet exemple de véhicule est séparé en deux parties rattachées entre-elles par une sellette (19). Les deux parties sont d'une part un habitacle (14) et d'autre part un compartiment de motorisation (20). Par ailleurs les figures 54 15 (fig.54) et 55 (fig.55) sont des illustrations d'un exemple d'application de la sellette (19). La sellette (19) par ses liaisons avec l'habitacle (14) et le compartiment de motorisation (20) permet d'une part que l'habitacle (14) reste horizontal par rapport à la ligne d'assiette de stabilité horizontale (22) et, d'autre part la 20 sellette (19) permet d'absorber les mouvements du compartiment de motorisation (20) induit par les oscillations de l'eau (9). La figure 56 (fig.56) est une illustration d'un exemple de véhicule en sustentation à une certaine hauteur sur l'eau équipé d'une plateforme (50), équipé de plusieurs lances (1) munies de blocs de 25 propulsion (16) et d'une pipe à bras articulés (7) avec dévidoir (17), offrant la possibilité de transporter des marchandises, muni d'une ceinture (13) ou de plots. Il est aussi équipé du principe de la figure 37 (fig.37). Cet exemple de véhicule est séparé en deux parties rattachées entre-elles par une sellette (19). Les deux 30 parties sont d'une part une plateforme (50) et d'autre part un compartiment de motorisation (20). La plateforme (50) est équipée d'un poste de conduite. Les figures 59 (fig.59) et 60 (fig.60) sont des illustrations d'un exemple de véhicule en sustentation à une certaine hauteur sur l'eau 35 respectivement équipés de la structure de la figure 62 (fig.62) -35- d'une part, et de la structure de la figure 61 (fig.61) d'autre part, équipé de plusieurs lances (1) et de deux à plusieurs pipes à bras articulés (7), offrant la possibilité de transporter de 1 à 1000 personnes, muni d'une ceinture (13) ou de plots. Il est aussi équipé du principe de la figure 57 (fig.57). D'autre part, la figure 59 (fig.59) illustre un exemple de véhicule séparé en deux parties, une partie habitacle (14) d'une part et, d'autre part une autre de compartiment de motorisation (20). Les deux parties sont raccordées part une série d'actionnaires linéaires (10) stabilisateurs imitant 10 la sellette (19). Ainsi au vue des modes de réalisation donnés à titre d'exemple par les figures annexées au brevet, cette innovation est industrialisable. La structure (5) est un ensemble d'assemblages 15 mécaniques étanches. Les divers appareils proposés pour le fonctionnement du principe de sustentation à une certaine hauteur au dessus de l'eau (9), par le réservoir interne (2) via la pipe ((7) ou (40)) et les lances à jets d'eau (1), existent déjà dans le monde industriel. Quant aux diverses applications présentées via les 20 diverses figures à titre d'exemple comme des véhicules de formes innovantes liées au principe protégé par le brevet, les industriels de chaque domaine concernés sauront adapter leurs moyens de production à ces nouveaux types de produits sur le marché de demain au vue du potentiel qu'ils ouvrent. Le dispositif peut être utilisé 25 à titre indicatif dans les domaines des transports de personnes, de commerce, de marchandises, des compétitions sportives, par des particuliers, par des sociétés, des associations, des entreprises et toutes les composantes des sociétés souhaitant en faire usage dans un but lucratif, de loisir. Un autre domaine d'application annexe 30 est le monde du jouet, du modélisme de véhicule de ce type de sustentation à une certaine hauteur au dessus de l'eau.

Claims (9)

  1. REVENDICATIONS1) Dispositif stable en sustentation à une certaine hauteur au dessus de l'eau (9) avec une certaine autonomie par la propulsion de jets d'eau (8) des lances (1) pouvant atteindre de très grandes vitesses de déplacements caractérisé par une structure de forme quelconque simple munie d'un compartiment de motorisation (20) morpho adaptable à l'utilisation et pilotée par des commandes internes (habitacle (14) ou plateforme (50)) ou externes (télécommande à distance). Le dispositif accepte le modèle d'énergie thermique et électrique. Le compartiment de motorisation (20) du dispositif comporte des moyens hydrauliques et électriques et tout son matériel de fonctionnement à savoir des réservoirs de carburant (18), des réservoirs d'eau (2) dits réservoirs internes, des pompes motorisées (12), système de production d'énergie électrique (59) (groupe électrogène et batteries), divers filtres (filtres standards, filtres d'autoprotection), des clapets thermiques, une ou des pipes rigides (40) ou à bras articulés (7) situées à divers emplacements du compartiment pour permettre une prise d'eau (9) aisée en dessous du dispositif, plusieurs lances à jets d'eau (1) sous forte pression unidirectionnelles ou bidirectionnelles ou multidirectionnelles munies ou non de blocs de propulsion (16), des tuyaux (4) de circulation de fluide et des flexibles, des calculateurs, des automates de commande de puissance et d'énergie, 25 des régulateurs automatiques de pression, des contrôleurs automatisés de débit, des systèmes de distribution (56) automatiques (tels que vannes motorisées à une ou plusieurs voies, des clapets (58) à ressort et motorisés), des régulateurs de débits, des systèmes anti bélier, des manomètres, des variateurs de vitesse, des 30 vannes d'amorçage automatiques (54) intégrées dans les pompes motorisées (12), des collecteurs, étrangleurs, coudes d'alimentation, obturateurs, diviseurs (60), des hélices latérales, un ou plusieurs arceaux (51) de sécurité anti chute. L'équipement du compartiment de motorisation (20) permet de proposer un principe qui 35 conduit n'importe quels systèmes ou structures équipés de ce dernier-37- d'être en sustentation à une certaine hauteur au dessus de l'eau (9) et de se diriger suivant plusieurs types de mouvements de décollage, d'amerrissage ou atterrissage, rotation, avance, et recul via la propulsion de l'eau (9) à forte pression et variable par les lances (1). Le dispositif comporte une ou plusieurs ceintures (13) ou plots, placés ou non sur le compartiment de motorisation (20) dans le but d'assurer la flottabilité du dispositif par mesure de sécurité. Le dispositif est aussi amphibien car il permet l'accès sur terre. Cette innovation conduit à un dispositif stable. Le dispositif peut également comporter une sellette (19) pour par exemple maintenir une assiette de stabilité au niveau d'un habitacle (14) ou d'une plateforme (50) par rapport au mouvement de tangage important de la surface agitée de l'eau (9) en contact direct avec les jets d'eau (8) des lances (1) et de la pipe ((7) ou (40)). Le dispositif peut être muni ou non de systèmes de propulsion horizontaux à hélices (32) ou (46) en fonction du type de lances (1), d'hélices latérales, pour augmenter sa stabilité.
  2. 2) Dispositif selon la revendication 1 caractérisé en ce que la structure (5) est constituée de tubes assemblés de façon étanche formant ainsi une structure suffisamment résistante aux conditions mécaniques exigeantes telles que la corrosion, le tangage, les chutes, les effets liés aux conditions maritimes. La structure tubulaire (5) peut comporter un habitacle (14) fermé et/ou ouvert, étanche pour recevoir des passagers, divers produits, des marchandises, des bagages de voyage; aménagé suivant le type de transport à réaliser. D'autre part, elle peut également être de type plateforme (50) pour réaliser divers types de transports répondant aux normes maritimes. A titre indicatif, la structure (5) peut également comporter un ou des coffres de rangement pour les bagages des passagers dans le cas où le dispositif serait utilisé à des fins de voyages touristiques. La structure (5) assemblée agence la forme extérieure du dispositif et peut conduire à de multi formes en respectant le principe de fonctionnement du dispositif (fig.96). La structure est morpho adaptable au domaine d'application et au souhait des utilisateurs. La structure tubulaire (5) une fois-38- assemblée, subie un prétraitement mécanique et chimique, ensuite par le biais d'un ou plusieurs perçages prédéfinis, une mousse polyuréthane expansive ou un produit équivalent sera injecté de façon à être présente dans toute la structure tubulaire (5) et à renforcer l'étanchéité des zones internes. Ce procédé permet également de réduire l'épaisseur des tubes de façon à avoir une structure tubulaire (5) plus légère. Les structures tubulaires (5) peuvent être en aluminium, en matériaux composites, en bois, en acier et tous les types de matériaux susceptibles de répondre aux conditions d'assemblages mécaniques. Si la structure du dispositif est étanche alors un système automatique de circulation d'air sera nécessaire, à titre indicatif des bouteilles d'oxygène, des systèmes de climatisation ou encore des trappes automatiques et obstructives à aération contrôlée peuvent être intégrées.
  3. 3) Dispositif selon les revendications 1 et 2, caractérisé en ce que le compartiment de motorisation (20) est muni de moyens hydrauliques de production et propulsion à jets d'eau (8) à hautes pressions. Ces moyens peuvent être à titre indicatif des lances à jets d'eau (1) sous forte pression munies ou non de blocs de propulsion (16) qui assurent une gestion de puissance par couple propulsif de jets d'eau (8). La position des lances est variable, les lances peuvent être placées géométriquement les unes par rapport aux autres selon la position d'équilibre de la configuration géométrique du dispositif. Les lances (1) munies ou non de blocs de propulsion (16) sont indépendantes les unes des autres via des pompes motorisées (12). A titre indicatif, ces pompes motorisées (12) peuvent être des motopompes ou des électropompes. Ces pompes motorisées (12) assurent l'acheminement de l'eau (9) sous forte pression aux lances de jets d'eau (1). Ses pompes motorisées (12) sont ainsi gérées à l'aide d'un ou plusieurs automates qui tiennent compte du paramètre de la stabilité d'assiette horizontale (22) par rapport à la masse du système, aux oscillations plus ou moins importantes de l'eau (9), et selon les cas où le dispositif est en sustentation statique à une certaine hauteur ou se déplace horizontalement au dessus de l'eau (9). Les lances à jets d'eau (1) peuvent avoir plusieurs types de-39- liaisons différentes: une liaison directe où les lances (1) sont fixes et perpendiculaires à la surface de l'eau (9), une liaison en rotation simple, une liaison rotule motorisée ou non associée à ces lances (1), ou une liaison passant par l'intermédiaire de bras munis d'un actionnaire linéaire (10), qui ensembles tiennent un bloc dit de propulsion (16). Dans le dernier cas, la liaison des lances (1) ressemble à une liaison rotule avec des mouvements complexes dans les trois axes directionnels. Pour la propulsion d'eau par les lances, les différents types de lances peuvent être associés (par exemple lances fixes à l'avant et multidirectionnelles à l'arrière). Par ailleurs, l'association dans le même dispositif des lances à jets d'eau (1) et des blocs de propulsion (16) est possible. Le bloc de propulsion (16) est composé d'un caisson (39), d'une biellette (15), d'un tuyau (4), d'un bâti (34), d'un amortisseur linéaire (36), d'un actionnaire rotatif, d'un pignon. Le tuyau (4) qui relie le bloc de propulsion (16) à la lance (1) est muni d'un raccord rotatif à sa sortie. Le bloc de propulsion (16) est en pivot (26) avec le volant cranté (38) fixé lui-même en pivot (26) par rapport aux bras de biellette (52) qui sont eux mêmes liés en pivot (26) sur la structure (5) du dispositif. La rotation de l'actionnaire rotatif (33) en prise pignon avec le volant cranté (38) fixe, entraîne la rotation du bloc de propulsion (16) dans l'axe transversal du dispositif. Les bras de biellettes (52) sont pilotés par un actionnaire linéaire (10) lié en pivot (26) sur la structure (5) du 25 dispositif. A titre indicatif, l'amortisseur linéaire (36) peut être de type ressort, ou actionnaire linéaire (10) motorisé ou actionnaire linéaire (10) à huile, ou actionnaire linéaire (10) à gaz, et/ou les différents types d'actionnaires linéaires combinés aux ressorts. Le déploiement des bras de biellettes (52) entraîne la 30 rotation du bloc de propulsion (16) dans l'axe longitudinal du dispositif. Les blocs de propulsion (16) peuvent ainsi que les lances (1), par ce système d'articulation dans plusieurs axes, faire varier l'angle de poussée de jets d'eau (8) à la sortie, et contribuer à la sustentation à une certaine hauteur du dispositif. 35 Les blocs de propulsion (16) ainsi que les lances (1) peuvent-40- également faire avancer ou reculer le dispositif selon que le système de propulsion tourne dans l'axe transversal de la structure (5), et dans le cas où les blocs de propulsion (16) tournent autour de l'axe longitudinal, le dispositif change de direction en tournant à gauche ou à droite. Le changement de direction du dispositif est plus ou moins incisif selon que les blocs de propulsion (16) tournent indépendamment les uns des autres et dans le sens contraire dit de rotation déphasée. Les lances à jets d'eau (1) sous forte pression, à liaison rotules, peuvent être motorisées pour effectuer un mouvement circulaire conique rapide de la propulsion d'eau, afin d'augmenter la surface d'appui sur l'eau (9) et de réduire le nombre de lances (1) ou de blocs de propulsion (16) engagés pour la sustentation à une certaine hauteur du dispositif. Des hélices latérales peuvent être ajoutées au dispositif précédent pour lui faciliter la direction gauche ou droite. Le pivotement longitudinal des lances (1) ou des blocs de propulsion (16) qui s'écartent du centre du dispositif, alors que celui-ci garde une pression de jets d'eau (8) constante et suffisante, permet de faire un amerrissage progressif sans modifier la pression des jets d'eau (8) de sortie des lances (1). Le même procédé dans le sens de pivotement des blocs de propulsion (16) vers le centre du dispositif permet de faire décoller progressivement le dispositif et cela sans modifier la pression des jets d'eau (8) qui reste constante et suffisante en poussée à la sortie des lances (1). Des tuyaux (4) assurent l'alimentation des lances de jets d'eau (1). Par ailleurs, dans le compartiment de motorisation (20) un ou plusieurs réservoirs d'eau (2) sont présents. Ce réservoir d'eau (2) permet selon son volume le maintien pendant un laps de temps en toute sécurité du dispositif en sustentation à une certaine hauteur sur l'eau (9) si la pipe ((7) ou (40)) d'aspiration n'est plus en contact dans l'eau (9). L'alimentation du système accepte le modèle d'énergie thermique et électrique. Des réservoirs de carburants (18) sont nécessaires, au minimum deux réservoirs sont installés, l'un permet d'assurer l'alimentation de fonctionnement normal, l'autre en cas de dysfonctionnement peut dans ce cas jouer le rôle de réservoir de-41- secours. Dans le compartiment de motorisation (20), il est nécessaire d'avoir au minimum deux pompes motorisées (12). Les deux pompes motorisées (12) sont justifiées par le fait que, la première sert d'extraction d'eau (9) via la pipe ((7) ou (40)) en entrée de réservoir d'eau (2) situé dans le système, et que la seconde (12) placée à la sortie de ce même réservoir d'eau (2) permet de refouler de façon continue l'eau (9) ainsi pompée via les pompes motorisées (12) vers les lances (1) et assure la sustentation à une certaine hauteur du système sans risque de rupture en alimentation d'eau (9) et de chute de celui-ci. Cette disposition doit avoir plusieurs pompes motorisées à titre d'exemple deux pompes permettent de permuter les fonctions des unes des autres en cas de dysfonctionnement, les deux pompes motorisée (12) sont raccordées entre-elles de telle façon que le maintien en sustentation à une certaine hauteur du dispositif sur l'eau (9) soit assuré même si l'une (12) d'entre elle tombe en panne et ne refoule plus l'eau (9). A ce moment, l'autre (12) prend le relais et assure un refoulement continu de l'eau (9) en toute sécurité. Les pompes motorisées (12) peuvent être des groupes de motopompe ou système équivalent en électropompe alimenté par des batteries ou des groupes électrogènes (11). Les pompes motorisées (12), les réservoirs et les batteries rechargeables, le groupe électrogène (11) sont isolés ainsi de l'habitacle (14) ou de la plateforme (50) et placés dans des caissons étanches convenablement ventilés avec admission et évacuation d'air les protégeant ainsi des entrées d'eau (9). Le caisson est en acier ou plastique selon les besoins mécaniques. Les lances (1) simples unidirectionnelles sont utilisées généralement avec des hélices de propulsion (32) ou (46) placées de façon à aider aux mouvements de déplacements horizontaux. Les hélices (32) ou (46) sont placées de telle sorte que la poussée horizontale du dispositif soit parallèle à la surface de l'eau (9). Le système de propulsion est une hélice qui grâce à la réaction propulsée de l'air oppose un effort de propulsion suffisant pour déplacer horizontalement le dispositif. L'hélice peut être substituée par un système à turbine afin d'augmenter de façon significative l'effort de poussée-42- horizontale de propulsion du dispositif.
  4. 4) Dispositif selon les revendications 1, 2 et 3 caractérisé en ce que la pipe ((7) ou (40)) est située dans un emplacement idéalement optimisé dans la structure. A titre indicatif, la pipe ((7) ou (40)) 5 peut se situer à l'arrière de l'habitacle (14) pour assurer l'aspiration de l'eau (9) par son extrémité au compartiment moteur, en alimentant ainsi le réservoir d'eau (2) via la pompe motorisée (12) d'extraction. L'eau (9) aspirée par la pompe motorisée (12) d'extraction est ensuite redistribuée via les pompes motorisées (12) 10 de refoulement sous forte pression aux lances (1) situées à titre indicatif sous la structure et qui assurent ainsi la sustentation à une certaine hauteur du dispositif au dessus de l'eau (9). La dite pipe ((7) ou (40)) d'aspiration est systématiquement placée en contact de l'eau (9) et permet d'alimenter de façon continue via des 15 pompes motorisées (12) un ou plusieurs réservoirs d'eau internes (2) qui rendent le dispositif autonome en aspirant en continue l'eau (9). La pipe ((7) ou (40)) est raccordée à la pompe motorisée (12) d'aspiration par des raccords tournants. La pipe du dispositif a plusieurs configurations possibles ; la première configuration est 20 une pipe à tuyau rigide (40), la seconde est une pipe à bras articulés (7), la troisième est une pipe à bras articulés (7) avec un dévidoir (17) en supplément. La pipe (40) est constituée d'un tuyau rigide d'aspiration dont le tuyau susceptible d'être fait avec plusieurs types de matériaux résistants de forme monobloc avec deux 25 points d'articulations (31) dont une réservée pour le pilotage de l'actionneur linéaire ou rotatif. La pipe à bras articulés (7) est constituée d'un tuyau semi rigide d'aspiration d'eau (9) protégé par plusieurs structures rigides appelées bras repliables (28) et (29), pouvant s'articuler les uns et les autres par des liaisons pivots 30 (26). Ces bras repliables (28) et (29) sont munis d'éléments de glissement pour faciliter le déroulement ou l'enroulement du tuyau d'extraction de l'eau (9) en fonction de la hauteur du dispositif par rapport à la surface de l'eau (9). Pour allonger en supplément si besoin et mieux ajuster les différents allers retours du tuyau, 35 un dévidoir (17) peut être ajouté sur la structure à l'entrée de la- 43 - pipe (7). Dans le cas où la pipe est à bras articulés (7) avec ou sans dévidoir (17), le déroulement de la pipe (7) pour rentrer ou sortir de l'eau (9) est assuré par des actionnaires linéaires (10). Sa structure rigide peut être de matériaux quelconque idéalement étudiés dans des matériaux légers et résistants. La pipe à bras rigide (40) garde une longueur fixe alors que la pipe à bras articulés (7) a une longueur variable. Cependant pour les deux types de pipes, les points de prise d'eau sont variables sur l'eau (9). Les pipes à bras rigides (40) ou à bras articulés (7) comportent un cordon muni à une de ses extrémités d'une lance (1) de type raccord rapide pompier et à l'autre d'une crépine (24) placée à son extrémité et qui permet de filtrer les impuretés liées à l'extraction de l'eau (9). La relation cinématique de la pipe ((7) ou (40)) confère à celle-ci un mouvement indépendant par rapport à 15 la structure (5) ou au compartiment (20). Ainsi cette relation cinématique de chaque pipe ((7) ou (40)) se fait par des rotules (27). Ce qui permet aux mouvements de chaque pipe ((7) ou (40)) d'être limités par des actionnaires linéaires (10) qui lui permettent également de se positionner toujours en position 20 favorable à l'aspiration d'eau. Le manque de pression d'eau (9) dans la pipe ((7) ou (40)) est détecté par un ou des capteurs raccordés à un ou plusieurs calculateurs. Dans ce cas, la pipe ((7) ou (40)) est aussitôt repositionnée dans l'eau (9) grâce à l'action des actionnaires linéaires (10). Le mouvement de la pipe ((7) ou (40)) 25 pour la prise d'eau (9) se déroule de façon indépendante de la position du dispositif. Des détecteurs et des capteurs permettent d'ajuster la cinématique de la pipe ((7) ou (40)) de façon à assurer cette prise d'eau (9) en continue quelque soit la position du dispositif. Les différentes vibrations liées aux oscillations d'eau 30 ainsi que les chocs dans le sens du parcours du dispositif sont mieux résorbés par la cinématique de la pipe (7) que la pipe (40), car la pipe (7) se compose de plusieurs morceaux. A titre indicatif deux morceaux relient les bras de la pipe (7) qui se comportent de par leur mouvement et leurs liaisons (pivots à crans d'arrêt) en une 35 structure homocinétique. En effet, tout l'ensemble de la pipe ((7)-44- ou (40)) est relié par des actionnaires linéaires (10) amortisseurs ce qui contribue à une forte absorption des effets oscillatoires des vagues d'eau (9) et de contre choc occasionnés lorsque le dispositif avance et que la pipe ((7) ou (40)) heurte un obstacle dans ou sur l'eau (9). D'autre part, la pipe (7) étant composée de deux ou plusieurs parties, elle peut en phase de stationnement «parking» du dispositif, se plier et se calfeutrer dans une poche arrière réservée dans le dispositif. La pipe (40) aura une forme idéalement étudiée et prédéfinie à la morphologie du dispositif auquel elle est destinée. La prise d'eau (9) de la pipe ((7) ou (40)) se fait à titre indicatif à 0.5 mètres de profondeur au minimum en partant de son extrémité. La pipe ((7) ou (40)) a une longueur suffisante pour atteindre l'extraction d'eau (9) lorsque le dispositif atteint sa hauteur maximale. La pipe ((7) ou (40)) peut recevoir une pompe motorisée (12) placée autant à son entrée qu'à sa sortie. En cas d'utilisation en températures extrêmement basses voire glaciales, la pipe ((7) ou (40)) peut être équipée d'un moyen de préchauffage agissant sur tout l'ensemble du corps de la pipe ((7) ou (40)) afin d'assurer l'aspiration en continue de l'eau (9) dans le réservoir interne (2).
  5. 5) Dispositif selon les revendications 1, 2 et 3 caractérisé en ce que le dispositif dispose des moyens nécessaires de sécurité durant son utilisation normale ou défaillante. Le dispositif est équipé de moyens de flottement sur l'eau dans le cas ou celui-ci viendrait à chuter ou à faire un amerrissage forcé sur l'eau. Ces moyens de flottaison peuvent se caractériser soit par l'ajout d'une ou plusieurs ceintures encerclant le dispositif soit des éléments à géométrie indépendants en forme de plots accolés ou encastrés sur le pourtour du dispositif. La ceinture ainsi que les plots sont faits de matériaux dont les densités sont inférieures à celle de l'eau (9), ce qui permet de maintenir le dispositif en flottement. La ceinture (13) ou les plots, délimitent la partie immergée de la partie submergée, ils délimitent ainsi la ligne de flottaison du dispositif. La ceinture (13) ou les plots assurent que la masse submergée flotte proportionnellement à la masse totale immergée du-45- dispositif. Le compartiment de motorisation (20) est équipé d'un arceau (51) de sécurité rétractable pour amortir l'impact du choc d'un amerrissage forcé. Le système mécanique de sécurité situé en dessous du compartiment voire du dispositif, est muni de bras à déploiement rapide permettant d'amortir la chute du dispositif lors de sa pénétration brutale dans l'eau (9) afin d'induire un effet d'amortissement de choc sur les passagers. Les bras sont couverts d'éléments dérivés de plastique ou de mousse, ou de matière plus légère que l'eau (9) ce qui augmente la résistance de pénétration dans l'eau (9) et crée un effet amorti. Les bras se déplient en «V» et forme une résistance naturelle lors de la tombée du dispositif dans l'eau (9). Cette résistance augmente au fur et à mesure que le dispositif s'enfonce dans l'eau (9) entraînant ainsi un ralentissement lors de sa pénétration brutale et incontrôlée dans 15 l'eau. Les bras de sécurité anti chute peuvent aussi servir d'amerrissage. Le dispositif en sustentation à une certaine hauteur au dessus de l'eau (9) déclenche un amerrissage forcé dans le cas où la pipe ((7) ou (40)) ne serait plus en contact avec l'eau (9) et que le réservoir interne (2) se retrouverait utilisé jusqu'au 2/3 de 20 sa capacité volumique d'eau (9). Dans ce cas les différents automatismes du dispositif forceront de façon automatique l'amerrissage ou l'atterrissage du dispositif afin de le freiner dans cet amerrissage ou atterrissage d'urgence. Le mouvement d'amerrissage ou atterrissage sera lent du dispositif à la surface 25 de l'eau (9) et il sera amorti à la surface du sol (25). Dans le cas où le dispositif chuterait brutalement malgré les différentes dispositions de sécurité, il est prévu d'utiliser le jets d'eau (8) à hautes pressions dit de sécurité pour les lances (1) ou les blocs de propulsion (16), qui déclencheraient une hautes pressions de jets 30 en utilisant le 1/3 d'eau (9) restant dans le réservoir interne (2) pour à la fois stabiliser pendant la chute du dispositif et amortir l'impact de sa chute au sol (25) ou sur l'eau (9). Le dispositif est amphibien sous deux conditions. La première est que la pipe ((7) ou (40)) reste toujours en prise dans l'eau (9) à une profondeur 35 minimale et alimente toujours le réservoir d'eau interne (2) au- 46 - système, la deuxième condition est d'utiliser jusqu'à la moitié du volume total de réserve d'eau contenu dans le réservoir interne. Le dispositif possède deux types de réseau de circulation de fluide hydraulique, pour acheminer d'une part l'eau (9) sortie de la pipe ((7) ou (40)) vers la pompe motorisée (12) d'extraction au réservoir interne (2) et, d'autre part, les différentes pompes motorisée (12) de refoulement via les tuyaux de circulation du fluide (4). Le réseau d'acheminement de fluide hydraulique principale est appelé le réseau de fluide primaire (57). Le réseau de sécurité d'acheminement de fluide hydraulique est appelé réseau de fluide secondaire (53). L'arrêt impromptu de la pompe d'acheminement ou d'extraction de fluide vers le réservoir d'eau interne (2), déclenche les différents systèmes de distribution (56) qui permettent aux différents pompes motorisées de refoulement de puiser l'eau (9) directement à la sortie de la pipe ((7) ou (40)) en passant par le réseau de fluide secondaire (53). La panne de réservoir interne ou voire même des pompes de refoulement déclenchent inversement ce processus de sécurité. La prise de relais d'acheminement de fluide par le réseau de fluide secondaire (53) permet aux différents moyens remplissant 20 des fonctions transférables de se substituer en cas de dysfonctionnements. Lors de l'utilisation des systèmes de distribution (56) et du réseau de fluide secondaire (53), le réservoir d'eau (2) a reçu la quantité d'eau (9) nécessaire au fonctionnement du dispositif et devient dans ce cas, une réserve 25 pour l'utilisation du dispositif. Le réseau de fluide secondaire (53) alimente en direct les lances (1) du dispositif sous la pression d'eau (9) nécessaire à la sustentation à une certaine hauteur du dispositif en passant directement de la pipe aux pompes motorisées (12) de refoulement. En cas de dysfonctionnement des 30 lances à jets d'eau (8), l'amerrissage forcé en automatique prendra aussi le relais dans ce cas. Tous ces moyens de sécurité peuvent être combinés et utilisés pour la sécurité accrue du dispositif.
  6. 6) Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que le décollage du dispositif est assuré par la 35 projection de l'eau (9) sous forte pression via les jets d'eau (8)- 47 - propulsés des lances (1). Le décollage et l'amerrissage sont gérés par la variation de pression exercée dans les jets d'eau (8) et l'inclinaison des lances (1). Lors de la sustentation à une certaine hauteur du dispositif au dessus de l'eau (9), la pression des jets d'eau (8) dans les lances (1) augmente jusqu'à atteindre une position verticale à une hauteur souhaitée, c'est la phase de décollage. Une fois la hauteur atteinte, la pression d'eau (9) dans les lances (1) reste stable et le dispositif fera les mouvements nécessaires à son déplacement souhaité. Quant à l'amerrissage, la pression d'eau (9) dans les lances (1) diminue progressivement jusqu'à ce que la ceinture (13) ou les plots soient en contact avec la surface de l'eau (9) et assure que le dispositif flotte. Le dispositif peut décoller de deux manières différentes. La première façon de décoller se fait via des lances (1) fixes en faisant varier la pression de jets d'eau, la seconde est le décollage en maintenant une pression constante des jets d'eau (8) avec des lances (1) multidirectionnelles munies ou non de blocs de propulsion (16) et faisant varier leur angle par rapport à l'assiette horizontale (22) et parallèle à la surface de l'eau (9). Le changement de direction du dispositif pour le déplacement avant/arrière ou latéral gauche/droite, est assuré par la projection de l'eau (9) sous forte pression via les lances à jets d'eau (1) qui changent leur angle de poussée de façon perpendiculaire à la surface horizontale de l'eau (9). Les différentes configurations de changement de direction du dispositif pour son déplacement dans les quatre sens cardinaux, peut être plus ou moins incisif selon que les lances à jets d'eau (1) soient : indépendantes les unes des autres, disposées selon que les unes tournent dans un sens et les autres dans l'autre sens. La position des lances à jets d'eau (1) les unes par rapport aux autres et la pression des jets d'eau (8) conditionnent la vitesse d'avance du dispositif si celui-ci n'est pas muni d'hélice de propulsion horizontale. Le dispositif peut atteindre une vitesse maximale (voir fig.91 et fig.92) qui est fonction de la vitesse de débit des jets d'eau (8). Sous ces conditions, le dispositif peut ainsi atteindre de très grandes vitesses.-48-
  7. 7) Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que le dispositif est stable. Le mode de contact par pression d'eau (9) de la sustentation à une certaine hauteur du dispositif générée par les jets d'eau (8) des lances (1) permet d'avoir un dispositif d'une stabilité parfaite et ce quelque soient les oscillations et les obstacles rencontrés pendant les déplacements du dispositif. En effet, les jets d'eau propulsés (8) par les lances (1) se brisent et s'effacent devant les obstacles sans affecter l'équilibre du dispositif. Les jets d'eau (8) absorbent l'énergie liée aux oscillations et empêchent la transmission des oscillations liées aux obstacles ou à la surface de l'eau (9) au dispositif. Cette particularité liée au comportement dynamique de l'eau (9), montre que l'eau (9) se comporte comme un ressort avec l'avantage d'absorber l'énergie cinétique dissipée par la viscosité de l'eau. En effet, en considérant les modèles de viscosité et d'oscillations mathématiques de l'eau, elle se comporte comme un oscillateur à amortissement forcé comparable aux actionneurs linéaires amortis par le fluide, qui permet de constater que l'invention du dispositif a une stabilité supérieure à la stabilité des véhicules navigants sur l'eau (9) qui existent aujourd'hui, et ce quelque soient les oscillations à la surface de l'eau (9). De plus, la gestion de la stabilité tient compte également de l'action combinée à celle du vent et de la vitesse de déplacement du dispositif. En cas de courant d'air, le dispositif 25 est soumis à l'action de dérive mais ne se retourne pas. En munissant le dispositif d'hélices latérales, il aura une stabilité latérale supplémentaire pour palier à de grands vents sur l'eau ainsi que l'effet de dérive. Des capteurs placés dans le dispositif, permettent de détecter et de corriger les positions du compartiment 30 moteur (20) via les lances (1) sur l'eau (9). En effet, dès que les besoins sont nécessaires les capteurs envoient des informations à un automate central pour ajuster la pression des jets d'eau (8) des lances (1) et les repositionner si nécessaire immédiatement afin de corriger les grandes amplitudes oscillatoires de l'eau (9) engendrés 35 par les houles. Ainsi, les conditions d'équilibre du dispositif en- 49 - sustentation à une certaine hauteur au dessus de l'eau (9) ou en flottant sont complétées par la poussée des jets d'eau (8) des lances (1) si besoin. D'autre part, le dispositif décrit en amont, peut être également équipé d'une sellette (19) en option pour augmenter sa stabilité d'assiette horizontale (22) face à ces grandes amplitudes oscillatoires par rapport à la surface de l'eau (9). Le rajout du module mécanique de la sellette a pour but d'absorber les ondes de chocs provoquées par de mauvaises conditions climatiques et environnementales maritimes. Dans le compartiment de 10 motorisation (20), une sellette (19) équipée de plusieurs actionnaires linéaires (10) permet d'assurer sa stabilité d'assiette horizontale (22) quelque soit l'état de surface d'oscillations de l'eau (9). Plusieurs actionnaires linéaires (10) sont placés de part et d'autre de cette sellette (19) ce qui permet d'absorber les 15 irrégularités des oscillations d'eau (9) pour maintenir la sellette (19) horizontale. La sellette est un plateau (48) munie de plusieurs actionnaires linéaires (10) et d'un croisillon (21) en liaison pivot sous le plateau (48). Le croisillon (21) est relié également en pivot au compartiment de motorisation (20). Les actionnaires 20 linéaires (10) associés en rotule avec le plateau (19) sont également en liaison rotules avec le compartiment de motorisation (20). Le plateau (19) est muni d'actionnaires linéaires (10) situés de part et d'autre de ce dernier, placés en vertical et portant l'habitacle (14) ou la plateforme (50) en liaisons rotules. C'est 25 pourquoi, l'habitacle (14) ou la plateforme (50) placé(e) sur la sellette (19) garde ainsi une stabilité d'assiette horizontale (22). Grâce à ce système, la stabilité d'absorption des oscillations de l'environnement extérieur est accrue dans l'habitacle (14) ou sur la plateforme (50) et permet un transport de marchandises et/ou de 30 passagers en toute sûreté. D'autres éléments tels que des ailettes peuvent être rajoutées à l'extérieur du dispositif pour participer à sa stabilisation.
  8. 8) Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que le dispositif respecte l'environnement et 35 contribue au développement durable. En effet, le système de-50- propulsion par les jets d'eau (8) des lances (1) améliore la qualité de l'eau (9) dans laquelle il circule en sustentation à une certaine hauteur. Si l'eau (9) absorbée par la pipe ((7) ou (40)) est la même que celle rejetée par les lances (1), le système sert également à une ré-oxygénation de l'eau (9) dans certains contextes, puisque le passage de propulsion des jets d'eau (8) au niveau des lances (1), entraîne le contact de l'eau (9) avec l'air. Lors de ce contact, les molécules d'eau exercent une captation des molécules d'air systématiquement avant de retomber dans l'eau (9). Par ailleurs, ce dispositif permet une consommation d'énergie plus faible que les moyens actuels de navigation et de transports.
  9. 9) Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que le dispositif se décline en un principe général déclinable en plusieurs modes de réalisations qui entraînent 15 plusieurs modes de réalisations de structures, principes et systèmes de véhicules. Le dispositif peut être utilisé à titre indicatif dans les domaines des transports de personnes, de commerce, de marchandises, des compétitions sportives, par des particuliers, par des sociétés, des associations, des entreprises et toutes les 20 composantes des sociétés souhaitant en faire usage dans un but lucratif ou non, de loisir. Le dispositif peut aussi être utilisé dans le domaine du monde des jouets et du modélisme de véhicules de ce type de sustentation à une certaine hauteur.
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