FR2922804A1 - Trusquin pour plaquiste. - Google Patents

Abstract

Ce trusquin est remarquable en ce qu'il est apte à permettre un traçage sur tout matériau et coupe de plaque de plâtre de grande dimensions comprend une base fixe (10) portant une règle graduée (11) et une poignée de préhension (12) et un corps mobile (CM) coulissant sur ladite règle avec un moyen de blocage en position selon la distance choisie de coupe, et en ce que le corps mobile (CM) comprend un boîtier (13) et un couvercle (14) assemblés et agencés intérieurement avec des moyens autorisant la réception d'un coulisseau (15) porte-lame (16) dans une position de réversibilité, et son déplacement alternatif en situation de coupe ou de non usage, le rangement des lames de coupe en situation de stockage, le positionnement d'un outil de traçage (17), le verrouillage en position du coulisseau porte-lame en situation d'utilisation du crayon.

Description

TRUSQUIN POUR PLAQUISTE

L'invention se rattache au secteur technique des appareils et instruments de traçage utilisés notamment dans le domaine du bâtiment, et plus particulièrement les trusquins de plaquistes.

Le demandeur fabrique et commercialise, depuis de nombreuses années, des trusquins de plaquiste qui sont agencés pour venir en appui contre les chants de plaques de plâtre en incorporant un dispositif de coupe du type lame cutter pour permettre une découpe à une largeur pré-établie et réglée desdites plaques.

On a ainsi illustré, au titre de l'art antérieur, un trusquin de plaquiste fabriqué par le demandeur. Ce trusquin comprend un corps (1) présentant une configuration en U avec deux branches parallèles (la) définissant entre elles un passage (2) pour l'introduction partielle de la plaque de plâtre. Une butée (3) réglable en position sert d'appui de fond de la plaque de plâtre. Un réglet (4), fixé le long de l'une des branches (lb) du corps, permet le positionnement adapté de la butée. Le corps se prolonge à l'arrière par une forme en poignée (5) de préhension pour l'utilisateur. Sur sa face avant, le corps reçoit le porte-lame (6) avec une ou deux lames (6a) pour pénétrer dans l'épaisseur de la plaque de plâtre et la découper. Ce type de trusquin de plaquiste est utilisé pour permettre la découpe de plaques de plâtre jusqu' à une profondeur de 10 cm, c'est-à-dire pour travailler essentiellement le long des bordures de plaques de plâtre.

Si l'on considère que ces plaques de plâtre peuvent avoir des largeurs de 0,6, 0,9 ou 1,20 m, selon les standards actuels de fabrication, il est évident que les trusquins de plaquiste, du type de celui illustré figure 1, ne sont utilisables pour découper des plaques que sur des profondeurs peu conséquentes, sauf à faire successivement plusieurs passes de découpe jusqu'à la dimension voulue.

Il n'existe pas sur le marché des appareils et instruments du type trusquin permettant d'obtenir en une seule passe la découpe d'une plaque de plâtre afin d'atteindre toute dimension de largeur comprise entre O et 1,20 m sur la totalité de l'amplitude de ces dimensions. Si l'opérateur ne veut pas procéder à différentes passes successives avec le trusquin de plaquiste du type précité, il n'a plus qu'à utiliser un outil de coupe électroportatif avec toutes les contraintes que cela pose, et surtout avec une finition de coupe très variable et selon une ligne de coupe pas forcément très régulière. De plus, s'il procède avec le trusquin illustré au titre de l'art antérieur en procédant à différentes passes successives, il perd la chute qu il aurait pu récupérer en la coupant en une seule passe.

La démarche du demandeur a donc été de réfléchir à la conception d'un trusquin de plaquiste qui réponde parfaitement à ce besoin permettant de travailler sur de grandes longueurs et de traiter la plaque de plâtre dans la totalité de sa largeur jusqu'à 0,9 m ou 1,20 m, ou plus si nécessaire.

Dans l'étude de ce trusquin, d'autres paramètres ont été inclus afin d'optimiser la conception et l'utilisation d'un nouveau trusquin de plaquiste.

Ces paramètres sont ceux inhérents à l'opérateur, qu'il soit droitier ou gaucher, afin de faciliter les opérations de traçage et de coupe.

Un autre paramètre était celui de concevoir un trusquin de plaquiste qui soit multifonctions en combinant, selon les besoins, les fonctions de traçage et de découpe, le traçage pouvant concerner tous type de matériaux.

Un autre paramètre a été ensuite de s'assurer d'un positionnement constant et contrôlé entre l'outil de traçage et l'outil de découpe et la sécurité d'utilisation de l'outil de traçage par rapport à l'outil de découpe.

Tous ces paramètres qui résultent d'une réflexion très extensive sur l'intérêt d'un nouveau trusquin, paramètres issus de problèmes posés par le demandeur, ont amené ce dernier à la conception d'un nouveau trusquin de plaquiste optimisé.

La solution apportée par le demandeur répond à l'ensemble de ces besoins et paramètres, d'une manière simple, pratique pour l'opérateur et simplifie le travail de traçage et de découpage des plaques de plâtre de manière substantielle.

Selon une première caractéristique, le trusquin pour plaquiste du type incorporant un porte-lame de coupe et un réglet de positionnement pour assurer le réglage de coupe, est remarquable en ce que ledit trusquin apte à permettre un traçage et coupe de plaque de plâtre de grande dimensions comprend une base fixe portant une règle graduée et une poignée de préhension et un corps mobile coulissant sur ladite règle avec un moyen de blocage en position selon la distance choisie de coupe, et en ce que le corps mobile comprend un boîtier et un couvercle assemblés et agencés intérieurement avec des moyens autorisant la réception d'un coulisseau porte-lame dans une position de réversibilité, et son déplacement alternatif en situation de coupe ou de non usage, le rangement des lames de coupe en situation de stockage, le positionnement d'un outil de traçage, le verrouillage en position du coulisseau porte-lame en situation d'utilisation du crayon. Ces caractéristiques et d'autres encore ressortiront bien de la suite de la description.

Pour fixer l'objet de l'invention illustrée de manière non limitative aux figures des dessins où : - La figure 1 est une vue d'un trusquin de plaquiste, selon l'art antérieur, fabriqué par le demandeur, complétée par une vue partielle à grande échelle faisant apparaître les lames de coupe. - La figure 2 est une vue en perspective d'un trusquin de plaquiste, selon l'invention. - La figure 3 est une vue partielle en perspective du trusquin, selon la figure 2, dans son utilisation crayon. - La figure 4 est une vue en perspective du trusquin, selon la figure 2, en vue de dessous pour illustrer la position de la lame de coupe en situation d'utilisation. - La figure 5 est une vue en perspective éclatée avant montage du corps mobile du trusquin agencé pour la réception de l'outil de coupe comprenant le porte-lame et des lames de coupe, et de l'outil de traçage du type crayon. Dans cette figure, le porte-lame est représentée selon une première position. - La figure 6 est une vue en perspective éclatée avant montage du corps, le porte-lame n'étant pas représenté pour la compréhension de l'agencement intérieur de la coque du corps moulé réceptrice des composants de l'outil de coupe. Les lames stockées ne sont pas représentées afin de montrer le logement dans lequel elles sont placées. - Les figures 7A et 7B sont des vues en perspective du coulisseau porte-lame dans la position 3/4 gauche 3/4 droite. - La figure 8 est une vue en perspective du trusquin de plaquiste, selon l'invention, selon une autre orientation pour l'identification de la lecture directe de la position du corps mobile par rapport à son bras support. - La figure 9 montre le corps mobile avec ses deux éléments séparés, boîtier et couvercle séparés avant montage.

Afin de rendre plus concret l'objet de l'invention, on le décrit maintenant d'une manière non limitative illustrée aux figures des dessins.

Le trusquin de plaquiste, selon l'invention, est référencé dans son ensemble par (T) et est conçu et adapté pour travailler, c'est-à-dire tracer et pour couper des plaques de plâtre de grandes dimensions, selon les standards actuels de 0,9 m à 1,20 m, mais il est conçu et adapté pour des dimensions plus conséquentes.

Le trusquin de plaquiste (T) comprend ainsi une base fixe (10) qui porte la règle graduée (11) de toute manière appropriée, et est équipé d'une poignée de préhension (12) ergonomique facilitant la prise en mains. La fixation de l'extrémité de la règle s'effectue par collage, vissage ou autre. Cette base fixe présente un épaulement inférieur (10a) pour permettre son appui contre le chant de la plaque de plâtre à travailler ou tout autre matériau dans le cas du traçage.. La règle est de configuration méplate en matériau métallique ou autre et présente, sur sa face apparente, une graduation. En l'espèce, la règle peut présenter une longueur utile graduée de 60 cm par rapport à la largeur d'une plaque de plâtre de 120 cm permettant sa réversibilité d'utilisation.

Selon l'invention, le trusquin de plaquiste intègre l'utilisation d'un corps mobile (CM) susceptible de coulisser le long de la règle, en pouvant être fixé et bloqué en position à un endroit donné précis à l'aide d'une vis de blocage (8), et ce en fonction de la mesure. Ce corps mobile (CM) est constitué d'une coque de réception (13) formant boîtier et d'un couvercle (14) agencé différemment et de configurations complémentaires destinées à être assemblées entre elles le long de leur pourtour périphérique (13a û 14a) complémentaire. Le corps mobile (CM) est agencé intérieurement pour autoriser la réception d'un coulisseau (15) porte- lame dans une position de réversibilité pour faciliter la manipulation de l'opérateur, droitier ou gaucher, le rangement de lames de coupe (16) de stockage, le positionnement d'un outil de traçage (17) du type crayon, le verrouillage en position du coulisseau porte-lame en situation d'utilisation du crayon.

Le corps mobile (CM) est ainsi agencé avec des moyens permettant son réglage en position sur la règle et aussi le réglage en position du coulisseau porte-lame en position usage ou non usage.

Plus précisément, le corps mobile (CM), disposé perpendiculairement à la règle, présente une configuration allongée avec un emplacement central médian d'un axe support horizontal (18) permettant l'assemblage du boîtier (13) et du couvercle (14) d'une part, et le positionnement du coulisseau (15) porte-lame. Le boîtier (13) présente, dans sa partie basse, de part et d'autre de l'axe (18), des zones échancrées (19) obliques d'appui et de déplacement du coulisseau formant chambre de guidage. Ces zones sont orientées angulairement de sorte que la lame de coupe, montée sur le coulisseau porte-lame, puisse sortir du corps (CM) par sa partie basse horizontale en vue de la coupe, ou se rétracter selon les besoins, ainsi qu'il sera précisé par la suite.

Dans sa partie supérieure haute, le boîtier (13) présente un logement (20) défini par une forme plate en relief (20a) et deux demi-cylindres (20b) permettant le rangement des lames de coupe (16). Latéralement, et de chaque côté par rapport au plan médian de l'axe support (18), le boîtier (13) et le couvercle (14) sont aménagés avec une ouverture verticale (21) définissant, après assemblage, un conduit pour le passage de l'outil de traçage, à savoir le crayon de traçage (17). Cette ouverture (21) peut être agencée avec des formes en saillie (21a) sous forme de stries, par exemple, semi cylindriques, pour faciliter la prise du crayon et sa tenue. Les deux zones échancrées obliques (19) et identiques sont opposées par rapport à l'axe (18) et permettent le montage réversible en position du coulisseau porte-lame. Ces deux zones (19) permettent l'appui et le guidage du coulisseau dans chacune de ses positions qui correspondent à la manipulation du trusquin par un opérateur droitier ou gaucher. Les deux zones (19) de réception du coulisseau porte-lame sont prolongées pour donner, à l'ensemble, une configuration en X avec, dans la partie supérieure des branches (19a), l'emplacement de l'axe (18) support du coulisseau porte-lame. En pratique, lesdites zones (19) ont un profil trapézoïdal, comme il apparaît aux dessins, avec, dans le plan supérieur, une découpe (22) permettant le logement d'une des extrémités de l'axe (23) en opposition de celle dans la lumière (14c). Le coulisseau lui-même (15) est agencé dans une configuration méplate avec une partie médiane (15a) comprenant, à sa base, un profil (15b) pour venir en appui dans la chambre (19) correspondante du boîtier (13). Dans son plan inférieur, le coulisseau présente une saillie (15c) d'appui de la lame de coupe. Dans son plan supérieur, le coulisseau présente, sur chacun de ses flancs (15d) latéraux, une autre saillie (15e) similaire, parallèle à la précédente, de même profil pour autoriser le passage et le portage de la lame de coupe. Sur son chant supérieur (15f), le coulisseau présente un axe (23) en débordement, de chaque côté, qui sert à la manipulation dudit coulisseau manuellement en sortie ou rétractée de la lame. En outre, ledit coulisseau présente, dans sa partie arrière, un talon (15g) aménagé avec une ouverture oblongue (15h) orientée selon l'axe longitudinal du coulisseau et permettant le passage de l'axe (18) support. Dans sa partie avant, le coulisseau présente une face de butée (15m) d'appui qui est inclinée de sorte que, lorsque le coulisseau se trouve en position de sortie de la lame de coupe, la face avant formant butée du coulisseau se trouve dans un plan vertical pour une fonction explicitée ci-après.

Lors de l'utilisation du crayon (17) le porte lame se trouve en position rétractée, la lame n'apparaissant plus hors du corps mobile (CM), la face de butée (15m) vient en contact avec le crayon, ce qui empêche la lame de sortir, l'utilisateur peut donc tracer en toute sécurité. Lors de son transport et en cas de non utilisation, la lame du trusquin est facilement rétractable et peut être verrouillée en position de non usage ce qui optimise la sécurité pour l'utilisateur.

Ainsi, après montage du coulisseau dans l'une ou l'autre chambre de guidage (19), ledit coulisseau est tenu, d'une part, par l'axe (18) support, l'appui de la chambre (19) correspondant tout en laissant déborder la lame de coupe, et aussi par des zones de bossage (14b) établies sur la face intérieure du couvercle (14). A cet égard, le couvercle (14) comprend, de manière complémentaire, des ouvertures oblongues (14c) pour le passage de l'axe (23) de réglage en position du porte-lame. Ces zones de bossage (14b) ont une configuration en C pour venir en appui contre la lame de coupe portée par le coulisseau, et ainsi assurer un maintien complet de celle-ci.

Enfin, pour assurer une parfaite adaptation du couvercle (14) sur le boîtier, le couvercle peut présenter des formes (14d) curvilignes en saillie destinées à venir en appui sur des logements complémentaires (24) établis sur la coque de réception.

Dans leur partie inférieure, le boîtier (13) et le couvercle (14) présentent des ouvertures (25) et (14e) pour le passage et coulissement du corps mobile sur la réglette du trusquin. Le boîtier (13) se prolonge à l'opposé de la cavité de réception des différents constituants, coulisseau et lame de coupe, avec une base (26) en forme de plaque horizontale à l'intérieur de laquelle débouche l'ouverture (25) pour le passage de la réglette. Le blocage et la fixation du couvercle sur le boîtier s'effectue par un écrou à ailettes (27) ou similaire.

Ces caractéristiques du corps mobile (CM) ayant été décrites, il y a lieu d'exposer les modalités d'utilisation de celui-ci par l'opérateur en charge de découper une plaque de plâtre.

En situation de non utilisation, le coulisseau porte-lame est en position rétractée, c'est-à-dire en position haute, la lame de coupe n'apparaissant pas. Selon que l'opérateur est droitier ou gaucher, le coulisseau est présenté dans l'une ou l'autre position, comme représenté aux figures des dessins.

L'opérateur procède au réglage de longueur à découper effectué par le positionnement du corps mobile par sa face côté couvercle à l'opposé de la partie talon. Ensuite, l'opérateur déverrouille le coulisseau porte-lame amène la lame en position de coupe, verrouille à nouveau le coulisseau et ainsi peut effectuer l'opération.

Lors d'opération de traçage, le crayon se trouve être disposé et introduit dans l'ouverture formée du corps en regard de la butée avant du coulisseau porte-lame ce qui empêche la lame de coupe de sortir.

Ainsi, selon l'invention, le trusquin de plaquiste est parfaitement aménagé pour permettre la découpe de plaques de plâtre, selon des grandes dimensions. La réversibilité en position du trusquin avec une longueur de règle de l'ordre de 60 cm permet un travail sur toute plaque standard actuellement sur le marché de l'ordre de 0,9 m à 1,20 m. Le corps mobile a ainsi été conçu dans une optimisation de son agencement permettant à tout opérateur, droitier ou gaucher, de travailler, et ce en toute sécurité.

Outre les fonctions de découpe de plaques de plâtre et de traçage sur tout matériau résultant de la conception du trusquin et de ses composants, un autre avantage est qu'il permet, par la grande longueur de sa règle, de tirer un trait perpendiculaire à un bord droit à la manière d'un Té utilisé en dessin industriel.

Claims (1)

REVENDICATIONS
1. -1- Trusquin pour plaquiste du type incorporant un porte-lame de coupe et un réglet de positionnement pour assurer le réglage de coupe, caractérisé en ce que ledit trusquin (T) apte à permettre un traçage sur tout matériau et coupe de plaque de plâtre de grande dimensions comprend une base fixe (10) portant une règle graduée (11) et une poignée de préhension (12) et un corps mobile (CM) coulissant sur ladite règle avec un moyen de blocage en position selon la distance choisie de coupe, et en ce que le corps mobile (CM) comprend un boîtier (13) et un couvercle (14) assemblés et agencés intérieurement avec des moyens autorisant la réception d'un coulisseau (15) porte-lame (16) dans une position de réversibilité, et son déplacement alternatif en situation de coupe ou de non usage, le rangement des lames de coupe en situation de stockage, le positionnement d'un outil de traçage (17), le verrouillage en position du coulisseau porte-lame en situation d'utilisation du crayon. -2- Trusquin pour plaquiste selon la revendication 1, caractérisé en ce que le corps mobile (CM), disposé perpendiculairement à la règle, présente une configuration allongée avec un emplacement central médian d'un axe support horizontal (18) permettant l'assemblage du boîtier (13) et du couvercle (14) d'une part, et le positionnement du coulisseau (15) porte-lame, en ce que le boîtier (13) présente, dans sa partie basse, de part et d'autre de l'axe (18), des zones échancrées (19) obliques d'appui et de déplacement du coulisseau formant chambre de guidage, et en ce que ces zones sont orientées angulairement de sorte que la lame de coupe, montée sur le coulisseau porte-lame, puisse sortir du corps (CM) par sa partie basse horizontale en vue de la coupe, ou se rétracter selon les besoins.- 3- Trusquin pour plaquiste selon la revendication 2, caractérisé en ce que dans sa partie supérieure haute, le boîtier (13) présente un logement (20) défini par une forme plate en relief (20a) et deux demi-cylindres (20b) permettant le rangement des lames de coupe (16). - 4- Trusquin pour plaquiste selon la revendication 2, caractérisé en ce que latéralement et de chaque côté par rapport au plan médian de l'axe support (18), le boîtier (13) et le couvercle (14) sont aménagés avec une ouverture verticale (21) définissant, après assemblage, un conduit pour le passage de l'outil de traçage, à savoir le crayon de traçage (17), et en ce que cette ouverture (21) est agencée avec des formes en saillie (21a). - 5- Trusquin pour plaquiste selon la revendication 2, caractérisé en ce que les deux zones échancrées obliques (19) et identiques sont opposées par rapport à l'axe (18) et permettent le montage réversible en position du coulisseau porte-lame, son appui et son guidage dans chacune de ses positions, et en ce que les deux zones (19) de réception du coulisseau porte-lame sont prolongées pour donner, à l'ensemble, une configuration en X avec, dans la partie supérieure des branches (19a), l'emplacement de l'axe (18) support du coulisseau porte-lame. - 6- Trusquin pour plaquiste selon la revendication 2, caractérisé en ce que lesdites zones (19) ont un profil trapézoïdal avec, dans le plan supérieur, une découpe (22). - 7- Trusquin pour plaquiste selon l'une quelconque des revendications 2, 5 et 6, caractérisé en ce que le coulisseau lui-même (15) est agencé dans uneconfiguration méplate avec une partie médiane (15a) comprenant, à sa base, un profil (15b) pour venir en appui dans la chambre (19) correspondante du boîtier (13), dans son plan inférieur, le coulisseau présente une saillie (15c) d'appui de la lame de coupe, dans son plan supérieur, le coulisseau présente, sur chacun de ses flancs (15d) latéraux, une autre saillie (15e) similaire, parallèle à la précédente, de même profil pour autoriser le passage et le portage de la lame de coupe. -8- Trusquin pour plaquiste selon l'une quelconque des revendications 2, 5, 6 et 7, caractérisé en ce que sur son chant supérieur (15f), le coulisseau présente un axe (23) en débordement, de chaque côté, qui sert à la manipulation dudit coulisseau manuellement en sortie ou rétractée de la lame, en ce que ledit coulisseau présente, dans sa partie arrière, un talon (15g) aménagé avec une ouverture oblongue (15h) orientée selon l'axe longitudinal du coulisseau et permettant le passage de l'axe (18) support, et en ce que dans sa partie avant, le coulisseau présente une face de butée (15m) d'appui qui est inclinée de sorte que, lorsque le coulisseau se trouve en position de sortie de la lame de coupe, la face avant formant butée du coulisseau se trouve dans un plan vertical, et vient en contact avec le crayon lors de l'opération de traçage. -9- Trusquin pour plaquiste selon l'une quelconque des revendications 2, 5, 6, 7 et 8, caractérisé en ce que le couvercle (14) comprend des ouvertures oblongues (14c) pour le passage de l'axe (23) de réglage en position du porte-lame, et en ce que ces zones de bossage (14b) ont une configuration en C pour venir en appui contre la lame de coupe portée par le coulisseau, et ainsi assurer un maintien complet de celle-ci.-10- Trusquin pour plaquiste selon la revendication 2, caractérisé en ce que dans leur partie inférieure, le boîtier (13) et le couvercle (14) présentent des ouvertures (25) et (14e) pour le passage et coulissement du corps mobile sur la réglette du trusquin, et en ce que le boîtier (13) se prolonge à l'opposé de la cavité de réception des différents constituants, coulisseau et lame de coupe, avec une base (26) en forme de plaque horizontale à l'intérieur de laquelle débouche l'ouverture (25) pour le passage de la réglette.