FR2807963A1 - Moules en maneges, moules mobiles a postes fixes, d'injections simultanees avant solidarisation d'elements complementaires comme une fermeture monobloc-paille d'aspiration pour capacitaires avec boissons - Google Patents
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Abstract
Dispositifs de Moules (A-B) et (C-D) sur manèges " UN " et " DEUX " pour injections simultanées d'éléments complémentaires, par exemple : une " Fermeture monobloc " et une " Paille d'aspiration ". Les moules à coquilles (A-B) et (C-D) sont fixés sur deux bras disposés sur le diamètre de chaque manège, séparés par le moyeu, avec une rotation à quatre pauses décalées sur plans séparés, avec un point de convergence sur leurs tangentes, qui correspond à une pause commune, alternée (deux) et (une). Se situent (non figurés) à chacune des pauses (une), à postes fixes : en position basse un moule mobile verticalement du bas vers le haut, en position haute un poste d'injection verticale se mouvant vers le bas. Les moules (A-B) ont un point d'injection unilatérale (13a) correspondant au poste d'injection horizontale situé dans l'aire du manège "UN " permettant à cette pause commune, et par translation, de rendre solidaire par surmoulage les éléments complémentaires.
Description
1 Depuis le Brevet français n 98.09983 du 4 Août 1998, il est connu que la
tubulure interne et saillante qui constitue la "paille d'aspiration"d'un Flacon-Chalumeau, suivant le Brevet français n 96.08141 du 28 Juin 1996 (PCT entré en phase nationale), passe par l'intérieur du goulot, solidarisé avec la paroi interne de celui-ci. Suivant ce même brevet français du 4 Août 1998, il est également connu d'utiliser un dispositif de fermeture inamovible, prolongé d'un capuchon amovible, pour obturer simultanément le goulot et l'orifice de la partie saillante
de la tubulure.
Jusqu'à ce jour, ce dispositif de fermeture obture inamoviblement le goulot, et d'une manière amovible la partie saillante de la tubulure interne du Flacon-Chalumeau dans lequel elle est intégrée, rendant interdépendants ce dispositif de fermeture et ce type de Flacon-Chalumeau, ce qui restreint son
champ d'application.
Pour permettre une extension de celui-ci aux capacitaires venus d'extrusion-soufflage, et qui ne peuvent, pour des raisons techniques évidentes, avoir une tubulure interne et saillante, sans l'obligation de matricer longitudinalement, dans un moule à coquilles la paraison extrudée (Voir le Brevet français n 1453848 du 24 Mars 1965, et ses Additions n 88.270 du 5 Juin 1965, n 93.060 du 22 Octobre 1966 et n 95. 492 du 18 Mars 1968). Ainsi qu'aux capacitaires obtenus par l'injection- soufflage d'une préforme du type "éprouvette" qui, pour des raisons techniques différentes, ne peuvent avoir une tubulure interne et saillante, (Voir le Brevet français du 28 Juin 1996) obstacle à l'élongation de cette préforme si le matériau thermoplastique injecté est un Polyéthylènetéréphtalate (PET) difficilement étirable pour l'allonger et l'amincir (Bi-Orientation). Egalement aux capacitaires en verre et
autres de toutes natures.
Contrairement à son Brevet français du 4 Août 1998, qui solidarise la tubulure, injectée dans ce qui devient le corps du Flacon, avec la paroi interne de son goulot, le demandeur dans le cadre de la présente invention injecte notamment, à partir de manèges, la fermeture inamovible prolongée d'un capuchon amovible, et qui comporte les aménagements permettant la solidarisation de la face interne de sa partie inamovible, avec une tubulure
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également injectée, celle-ci comportant les aménagements complémentaires correspondants à ceux de la partie inamovible de la fermeture. Les différentes solutions de leurs solidarisations représentées sur les Figures à l'appui de la présente invention, sont susceptibles de se combiner entre elles et peuvent s'appliquer indifféremment à un ensemble destiné pour un capacitaire de boissons plates ou lactées, ou au contraire gazéifiées, ce qui amène le demandeur à faire l'impasse sur des Figures, celles utilisées étant suffisantes
pour comprendre la présente invention.
Cette invention permet entre autres, d'installer la tubulure de cet ensemble à l'intérieur du flacon déjà conditionné, quel que soit son mode de fabrication, et d'en effectuer sa fermeture, par exemple en utilisant l'un des moyens thermiques connus, ce qui a pour effet de transformer ce capacitaire en Flacon-Chalumeau; également de permettre la solidarisation de deux éléments complémentaires ou leur assemblage à partir d'une injection de
matière plastique séparée et simultanée, ou bien aussi par auto-soudage.
Parmi les avantages qu'apportent la présente invention, l'un d'eux permet de pouvoir transformer, une partie ou la totalité d'une production déterminée d'un capacitaire donné, en Flacon-Chalumeau, sans avoir à intervenir sur la technique choisie, donc du matériel de mise en oeuvre pour
obtenir ce capacitaire, de quelques natures qu'il soit, venu d'extrusion-
soufflage, et ou notamment de l'injection-souffage d'une préforme, qui ne peut être que de type "éprouvette", ou encore en verre ou toutes autres matières
utilisées dans ce domaine, ce qui a un aspect économique important.
Un autre avantage est de pouvoir utiliser un matériau thermoplastique différent pour la tubulure, que celui utilisé éventuellement pour l'obtention de ce capacitaire. Les seuls critères à retenir sont la compatibilté de la tubulure avec la boisson dans laquelle elle se trouve immergée. Quant à la partie saillante de cette tubulure, elle est protégée du milieu extérieur, par le capuchon amovible du dispositif de fermeture
inamovible.
Par commodité pour les explications à l'appui des Figures choisies pour la présente invention, le demandeur désignera l'ensemble de la tubulure interne et saillante simplement par: "la paille d'aspiration", il en sera
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de même pour la fermeture inamovible, prolongée d'un capuchon amovible
qui sera simplement désignée par: "la fermeture monobloc".
Pour la numérotation des éléments constitutifs, aussi bien des moules, de la "paille d'aspiration" et du "dispositif monobloc", le demandeur reprendra, dans la mesure du possible, celle qu'il avait utilisée dans ses
Brevets français des 28 Juin 1996 et 4 Aout 1998.
Pour l'utilisation des techniques de refroidissement et des aménagemens internes de certains moules, le demandeur en fera seulement l'évocation, en se référant à son brevet français du 28 Juin 1996 pour leurs applications. Certains éléments constitutifs des moules, qui sont au contact de la matière injectée, pourront être revêtus d'une matière antiadhésive comme par exemple le Polyététrafluoréthylène, suivant son brevet français
n 1.326.210 du 15 Janvier 1963.
Dans son Brevet français déjà mentionné du 28 Juin 1996, le demandeur avait utilisé, sans revendication, un manège ayant des caractéristiques et des similitudes avec celui de son Brevet français
n 1.505.492 du 2 Novembre 1966.
Le demandeur revendique la conception de manèges différents, mettant en oeuvre deux manèges qui, en dehors de leur utilisation dans le cadre de la présente invention, peuvent être utilisés pour d'autres types de fabrication o l'assemblage, par solidarisation ou non de deux éléments injectés simultanément, facilitent industriellement celle-ci avec des avantages économiques indéniables, comme par exemple l'électricité, l'automobile entre autres. Le double manège schématisé aux Figures 1 et 2, permet de suivre le processus de fabrication qui s'effectue en Quatre Phases avec Quatre Pauses. En utilisant au besoin, notamment pour des éléments industriels injecté-moulés, un système accéléré de refroidissement, découlant du Brevet français du 28 Juin 1996, et ou par ventilation à température et pression
variable, découlant du Brevet français n 70.44637 du 11 Décembre 1970.
Suivant la présente invention, le demandeur utilise deux Manèges "UN" et "DEUX", chacun comporte sur son diamètre deux bras séparés par un moyeu central de rotation, sur ces bras sont installés, au moins un moule à
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1 coquilles de préférence en acier, comme les manèges. La rotation peut s'effectuer sur un plan horizontal ou verticale, suivant le type projeté de fabrication, qui sont selon l'invention multiples et variés. Cette rotation est caractérisée selon l'invention, par la position à 180 des bras de chacun des manèges et toujours perpendiculaire en regard de l'autre. La disposition des manèges est également caractérisée suivant l'invention pour comporter dans leur circuit rotatoire un point de convergence sur leur tangente. Cette particularité permet à ces Moules à coquilles, ayant une pause commune de ne jamais y être en même temps. Les bras du manège "UN" tournent de droite à gauche et portent les Moules à coquilles, A et B pour l'injection de la "fermeture monobloc", ils sont caractérisés pour avoir une partie ayant aussi un rôle mâle d'injection. Les bras du manège "DEUX" tournent de gauche à droite et portent les moules à coquilles caractérisés pour tenir, également, un rôle mâle d'injection C et D pour l'injection de "la paille d'aspiration". Toutefois les sens de rotation sont arbitraires, on peut très bien les faire tourner dans le sens contraire, ou dans le même sens. L'ouverture de chacune des coquilles
des moules, s'effectue notamment dans le sens de la rotation des manèges.
Eléments à Postes Fixes dépendants du manège "UN" - à la pause1, un poste d'injection verticale situé en position haute (non figuré) capable avec un vérin, pouvant entre autres, être hydraulique ou oléo-pneumatique, de descendre au point d'injection 13 situé sur la ligne d'affrontement supérieure du Moule à coquilles A (ou B), suivant les Figures 6
ou 11.
- à la Pause1, mais situé en position basse, le moule mâle 7a, caractérisé pour avoir une partie femelle, est capable de se mouvoir verticalement avec un vérin semblable, pour venir en affrontement par sa face supérieure, avec la face inférieure des moules A (ou B), suivant les mêmes Figures.6 ou 11 - à la Pause2, en position médiane et intérieure sur le circuit du manège, un poste d'injection horizontale, perpendiculaire au passage des moules A (ou B) capables avec un vérin semblable, de venir au point d'injection 13a situé sur la ligne d'affrontement des coquilles 5a et 5a' des
moules A (ou B), suivant les Figures 10 ou 12.
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1 Elements à Poste Fixe dépendant du manège "DEUX" - à la Pause1, un poste d'injection verticale de préférence double, situé en position haute (non figuré), capable avec un vérin semblable, de descendre aux points d'injection 13 situés sur la ligne d'affrontement de la face supérieure des moules à coquilles C (ou D) suivant la Figure 3 (et valable
pour la Figure 13).
- à la Pause1 mais situé en position basse, un moule femelle 7 caractérisé pour avoir une partie mâle, capable de se mouvoir verticalement avec un vérin identique, pour venir en affrontement par sa face supérieure, avec la face inférieure des moules C (ou D) suivant la même Figure 3 (et
valable pour la Figure 13).
PROCESSUS D'INJECTIONS SIMULTANEES
Manège UN. Phase 1 A la pause 1 d'injection, le moule A, coquilles en affrontement, reçoit le moule mâle 7a remontant de sa position basse, tandis que le moule B est à la pause 3. Après l'injection de la "fermeture monobloc" le moule mâle 7a revient à sa position basse, laissant le produit d'injection entre les coquilles toujours en affrontement du moule A. Manège DEUX.Phase 1 A la pause 1 d'injection, le moule C, coquilles en affrontement, reçoit le moule femelle 7 remonté de sa position basse, tandis que le moule D est à la pause 3. Après injection de la "paille d'aspiration" pour boissons plates ou lactées, le moule femelle 7 revient à sa position basse, mais avec la "paille d'aspiration", pour permettre aux coquilles 5 et 5' du moule C qui comportent une partie venue s'insérer dans le moule femelle 7 de ne plus être en affrontement Alors que pour ces mêmes moules C et D en même position, mais pour "une paille d'aspiration" pour boissons gazéifiées, il faut d'abord que les coquilles 5 et 5' cessent leur affrontement pour pouvoir amener le moule femelle 7 à sa position basse avec la "paille d'aspiration"; On peut revêtir les faces d'affrontement de certains éléments de ces Moules, de la matière ayant des qualités anti-adhésives comme mentionné par le
demandeur à la page 3, lignes 12 et 13.
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1 Manège UN. Phase 2 De la paue 1 le moule A va à la pause 2, tandis que le moule B
de la pause 3, avec ses coquilles ouvertes va à la pause 4.
Manèges UN et DEUX. Phase 2 Parallèlement au moule A du Manège UN, le moule C du manège DEUX quitte la pause 1 pour la pause 2, tandis que le moule D va à la pause 4. Cette translation simultanée, permet au moule femelle 7 du manège DEUX en poste fixe à la pause 1, toujours avec la "paille d'aspiration", de remonter en position haute et de pénétrer dans le moule A de "la fermeture monobloc", limité par l'affrontement de sa face terminale supérieure, avec la face terminale inférieure du moule A du manège UN, ce qui autorise l'injection de la matière plastique pour solidariser la "paille d'aspiration" avec la jupe de la partie inamovible de "la fermeture monobloc", depuis le poste d'injection horizontale du point d'injection 13a situé perpendiculairement à la rotation du manège et en arrière de celui-ci sur de la ligne d'affrontement des coquilles a et 5a' des moules A ou B, suivant les Figures10, 12 18 ou 19, dans certains cas la solidarisation peut s'obtenir avant solidification complète des éléments
injectés simplement par auto-soudage.
Manège UN. Phase 3
De la pause 2, le moule A, avec l'ensemble "fermeture monobloc-
paille d'aspiration", va à la pause 3, tandis que le moule B qui a quitté la pause 4 vient à la pause 1 d'injection, pour recommencer le processus
effectué par le moule A à la Phase 1.
Manège DEUX. Phase 3 De la pause 2, le moule C va à la pause 3, avec à nouveau les coquilles en position d'affrontement, tandis que le moule D quitte la pause 4 et vient à la pause 1 d'injection, pour recommencer le processus effectué par le
moule C à la Phase 1.
Manège UN et DEUX. Phase 4 Alors que le moule D, coquilles ouvertes, du manège DEUX quitte la pause 1 pour la pause 2, ce qui permet au moule femelle 7 du manège DEUX en poste fixe à la pause 1 avec "la paille d'aspiration", de refaire le processus déjà effectué avec le moule C à la Phase 2, ce dernier allant à la
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1 pause 4. Simultanément le moule B quitte la pause 1 pour venir à la pause 2 du manège UN, et effectue le même processus que le moule A, quand celui-ci était à la pause 2. Quant au moule A, il quitte la pause 3 pour venir à la pause
4 o ses coquilles s'ouvrent pour libérer l'ensemble "fermeture monobloc -
paille d'aspiration" pour le diriger par un dispositif de translation (non figuré) vers les postes de conditionnement et de fermeture avec les protections d'hygiène qui s'imposent et qui sont multiples et connues, en soutenant ou saisissant cet ensemble par les saillies formées par le capuchon amovible de la "fermeture monobloc" à partir de la ligne de moindre épaisseur, ou bien encore sous la jupe de la "fermeture monobloc", alors que pour les capacitaires en générale, ce soutient s'effectue sous la collerette ou le méplat circulaire, situé sur le goulot, et qui servent également d'arrêt pour la mise en
place d'un dispositif de fermeture, capuchons ou autres.
Pour les différents mouvements décrits avec les manèges UN et DEUX selon l'invention, le demandeur tient compte du cycle d'injection le plus long, pour que les vitesses de rotation des manèges qui peuvent être différentes, fassent coîncider les pauses des Moules A et B, lors de leur collaboration d'injection avec le moule mâle 7a, ou le moule femelle 7, ainsi que pour l'injection horizontale de solidarisation. Pour ce faire, on effectuera I'automatisation et la régulation des cycles de fabrication à l'aide d'un ordinateur, ainsi que la surveillance par thermorégulateur, des températures d'injection et du circuit de refroidissement, visualisés sur écran avec tableau de contrôle, suivant une technique connue et utilisée, notamment dans la fabrication par injection-soufflage de capacitaires à partir de préformes, aussi
bien en cycle chaud qu'en cycle froid.
Un espace d'injection est aménagé entre les moules à coquilles 5 -
' et 5a-5a', fixés amoviblement aux moules 7 et 7a ayant un mouvement verticale d'affrontement, à partir d'un point d'injection verticale 13 qui se situe
à l'affrontement des dites coquilles sur leurs faces supérieures.
Le point d'injection horizontale 13a est constitué par une canule, en acier de préférence (non figurée), qui est solidarisée sur la face interne d'un des deux demi-tunnels creusés sur la face d'affrontement des coquilles 5a et a', suivant la technique décrite dans le Brevet français du 28 Juin 1996. Lors
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de cet affrontement, se constitue un tunnel dont l'ouverture interne se trouve obturée par le moule mâle 7a, ce qui empêche l'injection à partir du point d'injection verticale 13, mais pas autour de cette canule, en occasionnant dans la jupe 1, un orifice qui, après le retrait du moule mâle 7a, n'a plus son orifice intérieur obturé pour permettre, ultérieurement, une injection à partir du
point d'injection 13a, tout en le rebouchant en fin d'injection.
Le capuchon amovible de la "fermeture monobloc" comporte, selon le Brevet français du 4 Aout 1998, deux arêtes verticales en saillies 3' obtenues par des aménagements creusés sur les faces d'affrontement des coquilles 5a et 5a' Dans le cadre de la présente invention les arêtes 3' viennent d'un creusement du fond des coquilles 5a et 5a' dans l'axe d'ouverture de celles-ci pour que ces arêtes ne soient pas un obstacle à leur ouvertures. En ce qui concerne les capuchons mentionnés dans le Brevet français obtenu par injection-moulage pour ceux en matière plastique, aux stries verticales actuelles ayant une saillie extrêmement faible, peu propices à une bonne préhension, et occasionnant souvent un ripage, suite à l'effort nécessaire employé pour rompre par torsion la ligne de moindre épaisseur continue ou discontinue située sur la partie inférieure de la jupe. Le demandeur dans le cadre de la présente invention, apporte une amélioration aux stries verticales actuelles en augmentant sensiblement la saillie sur au moins deux de celles-ci et de préférence sur celles situées à environ 180 o l'une de l'autre, ce qui permettra au pouce et à l'index généralement utilisés, d'avoir un point d'appui suffisant pour effectuer la torsion, sans effort et sans risque de ripage, pour rompre la partie circulaire de moindre épaisseur comme déjà indiqué. On peut également supprimer les stries au profit d'au moins deux arêtes verticales et saillantes disposées notamment verticalement et de préférence à 180 I'une de l'autre pour obtenir le même résultat. Cette technique est également revendiquée pour être appliquée aux jupes des couvercles métalliques à vis, ou et notamment aux couvercles de certains produits fermés sous vide, comme par exemple les confitures. Dans ces types de couvercles ayant un diamètre nettement plus grand que pour un capuchon de fermeture d'un capacitaire de boissons, il est préférable d'installer plus de
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deux arêtes verticales et saillantes, disposées à 90 I'une de l'autre, qu'il y en
ait trois ou quatre.
En ce qui concerne les capuchons comportant sur la jupe un filetage spirolé interne et externe, comme c'est le cas notamment avec les capuchons métallique, et compte tenu de leurs tailles longitudinalement réduites, ce qui ne facilitent pas de bons points d'appuis sans ripage. Le demandeur dans le cadre de la présente invention, dispose de préférence entre les creux spirolés du filetage, deux arêtes situées toujours à environ l'une de l'autre et ayant une saillie suffisante permettant de servir de point d'arrêt à la prise des mêmes doigts, sans avoir à serrer très fort la jupe du capuchon, pour effectuer la torsion nécessaire permettant de rompre la
ligne continue ou discontinue de moindre épaisseur à faiblesse contrôlée.
Ces arêtes sont obtenues comme on obtient un bossoire sur un couvercle métallique par exemple, ou bien en effectuant à la place, un surmoulage si
c'est un capuchon plastique en utilisant la technique de la présente invention.
Quant aux mêmes, mais métallique, il est possible d'effectuer une opération équivalente avec un matériel qui existe en métallurgie, notamment dans celui de l'industrie des capacitaires de toute nature, qui d'ailleurs fabrique les capuchons métallique actuels. Que ce soit un capuchon plastique ou métallique, les nouveaux aménagements selon l'invention ne doivent pas être un obstacle redhibitoire pour le dispositif de mise en place des capuchons sur les capacitaires de toutes natures. L'investissement de la mise en place, ainsi que le supplément de matière plastique ou métallique seront très faibles et largement compensés par la facilité accrue de la préhension, sans risque de ripage en nécessitant un effort de torsion moindre, ce qui sera apprécié notamment par les consommatrices et les enfants, et apportera un avantage
commercial certain.
Les dessins annexés, donnés à titre d'exemples non limitatifs,
permettront de mieux comprendre la présente invention.
Les Figures 1 et 2 sont une représentation schématisée des Manèges UN et DEUX selon l'invention, leurs processus ayant été expliqués précédemment.
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1 - La Figure 3 représente la coupe longitudinale de la "paille d'aspiration" pour boissons plates ou lactées et la coquille 5 du moule d'injection fixé amoviblement à un moule femelle 7 capable de se mouvoir
verticalement au moyen au moins d'un vérin.
- La Figure 4 est la coupe longitudinale et limitée des coquilles 5 et ' avec les puits aménagés, et du moule femelle 7, suivant la ligne A A de la
Figure 3.
- La Figure 5 est la coupe transversale de l'ensemble des coquilles et 5' d u moule d'injection et du moule femelle 7, suivant la ligne B B de la Figure 3 - La Figure 6 représente la coupe longitudinale d'une "fermeture monobloc" pour boissons plates ou lactées et la coquille 5a du moule d'injection fixé amoviblement à un moule mâle 7a, pouvant se mouvoir
verticalement au moyen au moins d'un vérin.
- La Figure 7 est une coupe limitée des coquilles 5a et 5a' du
moule 7a, suivant la ligne C C de la Figure 6.
-- La Figure 8 représente la coupe longitudinale de la "paille d'aspiration" et le moule femelle 7 de la Figure 3, et de la "fermeture
monobloc" avec la coquille Sa de la Figure 6.
- La Figure 9 est une coupe limitée des coquilles 5a et 5a' et du
moule femelle 7, suivant la ligne D D de la Figure 8.
- La Figure 10 est la coupe transversale de l'ensemble des Moules
de la figure 8, suivant la ligne E E de la Figure 9.
- La Figure 11 est la coupe longitudinale d'une "fermeture monobloc" pour boissons gazéifiées, de la coquille 5a du moule d'injection fixé amoviblement au moule mâle 7a représenté sans sa partie terminale,
identique à celle de la Figure 6.
- La Figure 12 est la coupe transversale des coquilles Sa et 5a', et des autres éléments de la Figure 11, suivant la ligne F F de la Figure 11. En pointillés verticaux et circulaires, les éléments de la Figure 16, installés sur la
Figure 17, vus par en dessous.
1 - La Figure 13 est la coupe longitudinale limitée d'une "paille d'aspiration" pour boissons gazéifiées, et de la coquille 5 du moule
d'injection, ainsi que celle du moule femelle 7 identique à celle de la Figure 3.
- La Figure 14 est la coupe transversale des coquilles 5 et 5' et des éléments inclus, suivant la ligne G G de la Figure 13. -La Figure 15 est la coupe longitudinale des coquilles 5 et 5' et du moule femelle 7 avec les éléments inclus, vue à partir de la sécante de la
ligne H H de la Figure 14.
- La Figure 16 est la coupe longitudinale de la "paille d'aspiration" pour boissons gazéifiée, ainsi que celle du moule femelle 7 représenté sans
sa partie inférieure, identique à celle de la figure 3.
- La Figure 17 est la coupe longitudinale limitée de "la paille d'aspiration", ainsi que celle du moule femelle 7 et de "la fermeture
monobloc",et la coquille 5a de la figure 11.
- La Figure 18 est la coupe transversale suivant la ligne i i de la Figure 17, représentant les deux coquilles 5a et 5a' et le moule 7, avant la
solidarisation de la "fermeture monobloc" avec "la paille d'aspiration".
- La Figure 19 est la même représentation que celle de la Figure 18, mais après la solidarisation de "la fermeture monobloc" avec "la paille
d'aspiration" qui peut aussi s'obtenir par auto-soudage.
- La Figure 20 est la coupe longitudinale, d'un ensemble "fermeture
monobloc-paille d'aspiration" pour boissons plates ou lactées.
- La Figure 21 est la coupe longitudinale, d'un ensemble "fermeture
monobloc-paille d'aspiration" pour boissons gazéifiées.
- La Figure 22 représente schématiquement, et en élévation avec arrachement partiel, un capacitaire venu d'extrusion-soufflage pour boissons
plates ou lactées avec son dispositif "fermeture monobloc-paille d'aspiration".
- La Figure 23 représente schématiquement, et en élévation avec arrachement partiel, un capacitaire venu d'injection-soufflage pour boissons
gazéifiées, avec son dispositif "fermeture monobloc-paille d'aspiration".
- La Figure 24 représente schématiquement et en élévation, deux possibilités d'obtenir un capuchon fileté spirolé, selon qu'il soit en matière
plastique, ou métallique.
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Il doit être entendu que les descriptions qui précèdent ou qui vont
suivre, ne sont données qu'à titre d'exemples et qu'elles ne limitent nullement le domaine de l'invention, dont on ne sortirait pas en remplaçant les détails
d'exécutions décrits par tout autre équivalent.
Le demandeur précise que les techniques de mise en oeuvre pour la fabrication et l'aménagement des moules, sont les mêmes que celles décrites dans son Brevet français du 28 Juin 1996 déjà cité (avec les améliorations autorisées apportées à son dépot PCT du 30 Juin 1997, entré en phase national). Se limitant, à ce sujet, de renvoyer à ce Brevet, pour se consacrer à fournir les explications techniques sur les moyens mis en oeuvre pour la solidarisation de "la fermeture monobloc" avec "la paille d'aspiration" ainsi que celles concernant les précisons et les améliorations apportées au capuchons de fermeture de toute nature, filetés spirolés ou non, en regard du
Brevet français du 4 Août 1998, dans le cadre de la présente invention.
La Figure 3 représente en coupe longitudinale un Moule d'injection d'une "paille d'aspiration" pour boissons plates ou lactées, obtenue à partir des deux orifices d'injection 13, situés sur la ligne d'affrontement de la face supérieure des coquilles 5 et 5' (non figurée). Le dit moule étant fixé amoviblement à un Moule femelle 7 qui est solidarisé ou encastré dans un plateau circulaire 7'. L'ensemble de ces deux éléments pouvant se mouvoir verticalement au moyen des vérins 7". Pour la formation du tunnel 12, creusé à travers la masse du moule, ici femelle 7, qui se prolonge dans le moule d'injection, une fois ses coquilles 5 et 5' non figurée) creusées chacune verticalement sur leur face d'affrontement, sont en position d'affrontement. La mise en place d'un tube 12a, fermé à son extrémité supérieure, dans le tunnel 12 creusé dans le moule femelle 7 et son prolongement entre les coquilles 5 et 5' (non figurée), s'effectue a partir d'une ouverture pratiquée dans le plateau 7'. La canule 4b fixée à l'intérieur du tube 12a est raccordée avec un tuyau 4a qui est interne à un tuyau 4 raccordé à l'orifice inférieure du tube 12a pour le circuit de refroidissement de celui-ci. Le tube 12a ayant un rôle mâle d'injection, et le tunnel 12 un rôle femelle, avec entre eux un espace annulaire d'injection qui permet d'obtenir une tubulure 16 prolongée par une tubulure 16a. Les techniques utilisée sont décrites par le demandeur dans le Brevet
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1 français du 28 Juin 1996, et dans le dépôt PCT du 30 Juin 1997 ainsi que pour les tuyaux 4a et 4 de préférence métalliques, bien que situés l'un dans l'autre avec des coudes. Suivant la présente invention le moule femelle 7 est caractérisé pour avoir, dans la zone d'affrontement, un diamètre R inférieur à celui de sa partie terminale, par l'aménagementd'un aplat (a). Cet aménagement, suivant la Figure 8, permet lors de l'affrontement de la face frontale de ce moule femelle 7 avec la face frontale du moule à coquilles 5a et a' (non figurée) de pouvoir pénétrer à l'intérieure de la jupe 1 au contact de la paroi interne de celle-ci. Contrairement au Brevet français du 4 Août 1998, la face d'affrontement du moule, ici femelle 7, n'est pas creusée d'une tranchée verticale dont l'orifice est recouvert par la face d'affrontement des coquilles 5 et 5' du moule secondaire. Suivant la présente invention la face d'affrontement du moule femelle 7 est creusée dans son diamètre, de chaque coté du tunnel 12, d'un canal C en forme de U, non visible sur cette figure, à l'exception du fond. Ce canal C est pénétré par la partie en saillie 5", non visible sur cette figure, de la face d'affrontement des coquilles 5 et 5' (non figurée) et d'une taille permettant de ménager, entre les branches du U, un espace d'injection pour obtenir sur celles-ci deux membranes verticales M', ce qui confère également aux coquilles de ce moule a rôle femelle, un rôle mâle d'injection. Le tunnel 12 comporte deux fentes (non figurées) dans l'axe de chacun des canaux C pour permettre leur injection suivant la technique
mentionnée dans le Brevet français du 4 Août 1998.
La Figure 4 représente les éléments de la Figure 3 en coupe longitudinale limitée, suivant la ligne A A de la Figure 3. On retrouve le moule femelle 7 avec sa partie supérieure ayant un diamètre réduit R obtenu par l'aplat (a). Sa face d'affrontement creusé d'un canal C. Le moule d'injection à coquilles 5 et 5' qui comportent sur leur face terminale inférieure une saillie 5" qui au moment de l'affrontement avec le moule femelle 7, pénètre dans le canal C, tout en laissant un espace d'injection entre cette saillie 5" et les parois latérales du canal C pour obtenir l'injection de deux membranes M'. En arrière plan et en pointillés verticaux et parallèles, le tunnel 12 à l'extérieur, le tube creux 12a à l'intérieur avec, entre eux, la paroi de la tubulure 16 dans le
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moule à coquille 5 et 5', et qui se prolonge dans le moule femelle 7 par la
tubulure 16a.
La Figure 5 représente en coupe transversale, suivant la ligne B B de la Figure 3, les coquilles 5 et 5' du moule, avec sa partie saillante 5" à lI'intérieur du canal C figuré en pointillés obliques de gauche à droite, entre le parois M' qui viennent de l'injection de la tubulure 16, entre le tunnel 12 et le
tube creux 12a avec sa canule 4b du circuit de refroidissement.
La Figure 6 est la coupe longitudinale d'une "fermeture monobloc" pour boissons plates ou lactée, et la coquille 5a du moule d'injection, ainsi que la coupe du moule mâle 7a se mouvant verticalement par son vérin 7a" pour venir en affrontement avec le moule d'injection représenté par la coquille Sa, en aménageant entre eux un espace d'injection pour former, selon le Brevet français du 4 Aout 1998, la jupe 1, prolongée par la partie couvrante 2 et le capuchon 3 comportant sa ligne circulaire de moindre épaisseur 19, avec les arêtes en saillies 3' et sa partie terminale 4 qui sont injectés à partir du point d'injection 13 aménagé sur la ligne d'affrontement des coquilles 5a et a' (non figurée). Selon la présente invention la face d'affrontement du moule mâle 7a, est creusée de deux cavités 2a dont le fond C' correspond à la face d'affrontement d'une forme identique au canal C et aux dimensions plus petites que les parties saillantes 5" des coquilles 5 et 5' représentée à la Figure 4. Ces cavités 2a qui communiquent avec la partie partiellement couvrante 2 sont injectées en même temps, mais ces cavités 2a n'arrivent pas jusqu'à la jupe 1 par suite de la présence du moule mâle 7a dans la zone circulaire jouxtant la jupe 1 qui obture provisoirement l'orifice pratiqué à travers la paroi de celle-ci suivant les indications techniques fournies par le demandeur de la ligne 30 de la page 7 à la ligne 6 de la page 8 de la
description de la présente invention, pour former le point d'injection
horizontale 13a. Le retrait du moule mâle 7a et son remplacement par le
moule femelle 7 formera l'espace d'injection 2a' visible à la Figure10.
La Figure 7 représente en coupe longitudinale suivant la ligne C C de la Figure 6, les coquilles 5a et 5a' du moule mâle 7a avec sa cavité 2a délimitée par la face affrontement des coquilles 5a et 5a' du moule d'injection suivant la ligne C' correspondant au fond de la cavité 2a. Cette cavité 2a est
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1 injectée en même temps que la partie partiellement couvrante 2 qui rejoint la jupe 1. En arrière plan et en pointillés verticaux et parallèles les limites du
capuchon 3 et sa ligne de moindre épaisseur 19.
La Figure 8 représente en coupe longitudinale la "fermeture monobloc" pour boisson plates ou lactées, et la coquille 5a du moule d'injection suivant la Figure 6, "la paille d'aspiration", ainsi que la coupe du moule femelle 7 correspondant seuls à la Figure 3, ayant interne le tube creux 12a, la tubulure 16a et le tube creux 12a. Libéré des coquilles 5 et 5', le tube creux 12a et le prolongement 16 de la tubulure 16a de "la paille d'aspiration" pour boissons plates ou lactée, positionnée entre la paroi interne du capuchon amovible 3, ce qui a été possible par le diamètre réduit R constitué par l'aplat (a) du Moule Femelle 7 lui permettant de s'insérer dans le moule à coquilles 5a et 5a' (non figuré). Non visible sur cette Figure la partie injectée 2a suivant la Figure 6, qui vient s'insérer entre les membranes parallèles M' suivant la Figure 5 et avec son fond C du canal en forme de U suivant la Figure 4, en conservant toujours libre les deux espaces d'injection 2a' selon la Figure 6, I'un des deux s'ouvrant sur le point d'injection horizontale 13a après le retrait du moule mâle 7a de la Figure 6. On reconnait la jupe 1 avec son ouverture provoquée par la canule déterminant le point d'injection horizontale 13a et la partie couvrante 2 solidarisée partiellement avec la partie injectée 2a. La partie 2 se prolonge par le capuchon 3 avec sa ligne de moindre épaisseur 19 et les deux arêtes verticales en saillies 3' perpendiculaires à l'axe d'affrontement suivant les indications fournies à la page 8 de la ligne 7 à
la ligne 13 de la description de la présente invention. La partie terminale 4 du
capuchon 3 n'obture pas, de préférence, complètement. l'orifice de la "paille d'aspiration" 16, pour laisser un espace, même minime, pour que la mise en place de celle-ci dans le capacitaire, en pénétrant dans la boisson conditionnée, laisse l'air se trouvant dans "la paille d'aspiration" s"évacuer au fur et à mesure de sa pénétration dans la boisson. Après la mise en place de ce complexe "fermeture monobloc-paille d'aspiration", et au cours de manipulations diverses, la quantité de boisson s'échappant par cet espace sera extrêmement faible et ne pourra que retourner dans le capacitaire avec la
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1 boisson en empruntant l'espace devant constituer l'évent 17, sans affecter
extérieurement celui-ci.
- La Figure 9 représente, limité à la partie inférieure des coquilles a et 5a', ainsi qu'à la partie supérieure du moule femelle 7, suivant la ligne D D de la Figure 8. On retrouve le moule femelle 7 avec son diamètre réduit R constitué par l'aplat (a) et sa face 7 terminale qui se trouve en affrontement avec la partie partiellement couvrante 2 et son prolongement 2a dans le moule à coquilles 5a et 5a' suivant la Figure 7, venu se loger dans la cavité en forme de U, entre les membranes parallèles M' de la Figure 4, obtenues avec
le concours de la partie saillante 5" des coquilles 5 et 5' de la même Figure.
Les membranes parallèles M', avec le canal dont on distingue son fond C font parties du moule femelle 7, qui s'est inséré entre la jupe 1 des coquilles 5a et a', en laissant un espace d'injection 2a". En pointillés verticaux et parallèles on retrouve le capuchon amovible 3, avec sa ligne de moindre épaisseur 19,
entourant, sans la toucher, la tubulure 16 avec entre eux un espace libre 17.
- La Figure 10 représente en coupe transversale selon la ligne E E de la Figure 9, I'ensemble des Moules de cette Figure avec les coquilles 5a et a', le point d'injection horizontale 13a sur leur ligne d'affrontement qui débouche sur l'espace d'injection 2a', constitué entre le diamètre réduit du moule femelle 7, et la jupe 1 dans la zone jouxtant la partie couvrante 2, et se continuant par le deuxième espace circulaire d'injection 2a" constitué entre la partie plus étroite du moule femelle 7 et la jupe 1. On retrouve les coquilles 5a et 5a' avec le point d'injection horizontale 13a qui communique avec l'un des espaces provisoires 2a', mais les deux cavités 2a sont injectées par I'intermédiaire de la partie partiellement couvrante 2 depuis le point d'injection 13, non visible sur cette Figure, et autour desquelles en l'encadrant, sont venues avec le moule femelle 7, les membranes parallèles M' suivant la Figure 4, qui communiquent avec la tubulure 16 située entre le tunnel 12 et le
tube creux 12a comportant interne sa canule 4b du circuit de refroidissement.
La Figure 11 représente en coupe longitudinale une "fermeture monobloc" pour boissons gazéifiées, et la coquille 5a du moule d'injection, en affrontement avec le moule mâle 7a représenté en coupe longitudinale sans sa partie inférieure identique à celle de la Figure 6. On retrouve à partir
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1 du point d'injection 13, la partie terminale 4 le capuchon 3 et ses arêtes saillantes 3' la ligne de moindre épaisseur 19 la partie surélevée 2' suivie de la partie partiellement couvrante 2, la jupe 1 ayant un orifice provisoire provoqué par la canule du point d'injection 13a selon les explications fournies de la ligne 30 de la page 7 à la ligne 6 de la page 8. La Figure 12 représente en coupe transversale suivant la ligne F F de la Figure 11, les coquilles 5a et 5a' en affrontement, et le point d'injection horizontale 13a. Venus par le point d'injection 13 de la Figure 11, la jupe 1 comporte l'orifice provoqué par la canule suivant les explications fournies avec les Figures 6 et 1 1. Le premier cercle intérieur représente, entre lui et la jupe 1, la partie couvrante 2. Entre ce cercle et celui interne correspondant au capuchon 3, se situe la partie couvrante surélevée 2'. A l'intérieur du capuchon 3 se situe sa partie terminale 4. Par anticipation et en pointillés circulaires, les éléments faisant parties des moules de la Figure 13, à partir du cercle délimitant le capuchon 3: Le tube creux 12a et le tunnel 12, avec entre eux la tubulure 16. Entre la tubulure 16 et le capuchon 3, I'évent 17. En pointillés extérieurs entre le capuchon 3 et la partie couvrante surélevée 2' la fine lamelle L. Entre cette partie couvrante 2' jouxtant la jupe 1, la limite interne de l'espace provisoire 2a", suivant la Figure 9. En pointillés verticaux et parallèles les limites d'une membrane pleine M', se prolongeant dans sa partie inférieure par la membrane M" venant jusqu'au point d'injection 13a, suivant la Figure 13 mais pouvant aussi s'auto-souder avec la partie couvrante 2. La canule 4b située dans le tube creux 12a n'est pas représentée. - La Figure 13 représente, en coupe longitudinale limitée, une "paille d'aspiration" pour boissons gazéifiées qui comporte déjà à cet effet la fine lamelle L décrite dans le Brevet français du 4 Août 1998. La coquille 5 du Moule d'injection en affrontement avec le moule femelle 7 avec son aplat (a) et son diamètre R réduit, comporte un deuxième aplat (a') avec un diamètre plus réduit R' non visible sur cette Figure, mais qui le seront dans les Figures suivante, et leur utilités expliquées. Cette face terminale R' est creusée sur son diamètre de canaux Ca, de chaque coté du tunnel 12 et communiquent avec lui par des ouvertures obtenues suivant la technique décrite dans le Brevet
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français du 4 Août 1998. A partir des points d'injection 13 disposés comme ceux de la Figure 3, la matière injectée forme la tubulure 16, puis la tubulure 16a entre le tunnel 12 et le tube creux 12a comportant interne la canule 4b de son circuit de refroidissement, et la fine lamelle circulaire L. La face d'affrontement des coquilles 5 et 5' qui recouvrent l'orifice de chaque canal Ca et pénètre partiellement dans leur parties latérales en devenant éléments mâles d'injection, permettent d'obtenir les membranes M' et provisoirement les membranes M" à partir de la matière injectée par les ouvertures pratiquées à travers le tunnel 12 et figurés en pointillés verticaux, suivant la technique
décrite également dans le brevet français du 4 Août 1998.
La Figure 14 est la coupe transversale des coquilles 5 et 5' des Moules de la Figure 13, suivant la ligne G G de cette Figure, qui représente en son entier ce moule avec ses coquilles 5 et 5' et le moule femelle 7 avec son premier diamètre réduit R, son aplat n'est pas visible sur cette Figure, mais on voit son deuxième aplat (a') et la deuxième réduction R' de son diamètre qui sont recouverts par les coquilles 5 et 5' du moule d'injection. Les deux canaux Ca sont également recouverts, mais pour la clarté de la Figure, le demandeur n'a pas voulu faire chevaucher les différents traits obliques.On remarque les parois Ca des canaux, les membranes M' injectées à partir des ouvertures pratiquées dans le tunnel 12 et figurées en pointillés semi-circulaires, la tubulure 16a injectée entre le tunnel 12 et le tube creux 12a dans lequel se situe la canule 4b de son circuit de refroidissemen. Aux deux extrémités des
membrannes M', et en pointillés les membranes M" de moindre hauteurs.
La Figure 15 est la coupe longitudinale des éléments vus à partir de la sécante de la ligne H H de la Figure 14. On retrouve le moule femelle 7, avec les aplats (a) de la premiere réduction R de son diamètre, les coquilles 5 et 5' du moule d'injection, I'aplat (a') de la deuxième réduction R' du diamètre du moule femelle 7 dans sa partie terminale creusée du canaux Ca, recouvert par les faces terminales des coquilles 5 et 5', en affrontement avec le moule femelle 7 dans sa partie réduite R et la partie latérale du canaux Ca dans lequel est injecté la membrane M". Les éléments de la Figure 14 au delà de la sécante, sont représentés en pointillés sans être référencés, mais simplement décrits. Au dessus de la membrane M" et en pointillés obliques, la membrane
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M' avec de chaque coté en pointillés parallèles et verticaux le tube creux 12a, le tunnel 12,avec entre eux la tubulure 16 et en pointillés horizontaux et parallèles la fine lamelle L. La Figure 16 représente, en coupe longitudinale le moule femelle 7, une fois libéré des coquilles 5 et 5' du moule d'injection suivant la Figure 13. On retrouve ce moule avec son diamètre réduit R et son aplat (a); le deuxième aplat (a') et la deuxième réduction R' de son diamètre ne peuvent être représentés Les membranes M' reposant dans les canaux Ca dont on ne voit que le fond, la membrane M". Le tunnel 12 qui permet par ses ouvertures figurées en pointillés l'injection des Membranes M' et M", ainsi que la fine lamelle circulaire L. La tubulure 16 libérée du prolongement du tunnel 12 creusés dans les coquilles 5 et 5' se situe autours du tube creux fermé 12a avec à l'intérieur de celui-ci la canule 4b de son circuit de refroidissement. La tubulure 16 se prolonge dans le corps du moule femelle 7 par la tubulure 16a,
qui, quant à elle, est toujours entre le tunnel 12 et le tube creux 12a.
La Figure 17 représente en coupe longitudinale limitée les éléments situés dans les moules des Figures 11 et 13 qui se trouvent maintenant en affrontement. La coquille 5a du moule d'injection et en coupe longitudinale le moule femelle 7. La partie du capuchon amovible 3, ses arêtes verticales et saillantes 3' et sa ligne de moindre épaisseur 19. Le capuchon 3 est prolongé d'une partie couvrante surélevée 2' qui constitue un logement 17', pour la lamelle L, et qui communique avec l'espace 17, est suivie d'une partie partiellement couvrante 2 reliée à la jupe 1 constituant la partie inamovible. Cette jupe 1 comporte une ouverture formée autour de la canule en acier qui constitue le point d'injection horizontal 13a dont l'orifice interne était provisoirement fermé par la présence du moule mâle 7a en affrontement avec la coquille 5a et la coquille 5a'(non figurée), évoquée avec la Figure 6 et expliqué de la ligne 30 de la page 7 à la ligne 6 de la page 8. Ce point d'injection13a débouche dans un espace d'injection Co au dessus de la membrane M" qui est le prolongement de la membrane M' solidaire de la tubulure 16 encore située contre le tube creux 12a comportant à l'intérieure la canule 4b de son circuit de refoidissement, cette tubulure 16 se prolonge 16a
dans le Moule femelle 7, entre le tunnel 12 et le tube creux 12a.
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La Figure 18 représente en coupe transversale et vue de plan suivant la ligne ii de la Figure 17, avant la solidarisation de "la paille d'aspiration" avec "la fermeture monobloc", les coquilles 5a et 5a' en affrontement pour former le point d'injection horizontale 13a qui débouche au dessus de la membrane M" dans l'espace d'injection qui est prolongé circulairement par un corridor circulaire Co constitué par l'aplat (a'), la partie terminale R' du moule femelle 7 et la paroi interne de la jupe 1, cette membrane M" est le prolongement de la membrane M' reliée à la tubulure 16 encore accolée au tube creux 12a et sa canule 4b de son circuit de
refroidissement.
- La Figure 19 est la même vue de plan représentée à la Figure 18 mais une fois,qu'à partir du point d'injection horizontale 13a, le corridore circulaire Co a été injecté pour se transformer en une membrane circulaire Ma, reliée à la membrane M' et à la paroi interne de la jupe 1. La membrane M" ayant disparue ou plutôt à été surmoulée. On retrouve les autres éléments
c'est à dire la tubulure 16, le tube creux 12a avec la canule 4b.
-La Figure 20 est la représentation en coupe longitudinale d'un ensemble "fermeture monobloc-Paille d'aspiration" pour boissons plates ou lactée. On retrouve le capuchon amovible 3 avec sa partie coiffante 4, ses arêtes saillantes 3, sa ligne de moindre épaisseur 19. La partie partiellement couvrante 2 qui se prolonge par la jupe 1, et qui constituent la partie inamovible. La jupe 1 est solidarisée avec la lamelle M' de chaque coté de la tubulure 16 qui se prolonge par la tubulure 16a. Entre le capuchon et la tubulure 16, un espace libre 17 qui se transforme en évent, dès qu'il y a
séparation, sur sa ligne de faiblesse 19, du capuchon 3.
- La Figure 21 est la représentation en coupe longitudinale d'un
ensemble "fermeture monobloc -paille d'aspiration" pour boissons gazéifiées.
On retrouve le capuchon amovible 3 avec sa partie coiffante 4, ses arêtes saillantes 3', sa ligne de moindre épaisseur 19, la partie surélevée 2', reliée à la partie partiellement couvrante 2 qui rejoint la jupe 1. Celleci est solidarisée avec une lamelle M' qui rejoint la tubulure 16 se prolongeant par la tubulures 16a. Entre la lamelle M' et la partie surélevée 2', le logement 17' de la fine lamelle L. Ce logement 17' communique avec l'espace libre 17 formant
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l'évent; une fois que le capuchon amovible 3 est séparé sur sa ligne de
moindre épaisseur 19.
- La Figure 22 représente, schématiquement et en élévation avec arrachement partiel, un capacitaire venu d'extrusion-soufflage avec son corps 14 et son fond 14b, incurvé pour une meilleure assise, découlant du Brevet français n 1.310.475 du 9 Décembre 1960, son goulot 15 avec la collerette (ou méplat) 18', sur laquelle repose la jupe 1 qui est solidarisée avec la face externe du goulot 15 par les moyens thermiques connus, ainsi qu'avec la membrane M' elle même solidarisée avec la face interne de la partie partiellement couvrante 2 et de la tubulure 16. Cette partie 2 est suivie du capuchon 3 avec ses arêtes 3' et sa partie coiffante 4 qui recouvre l'orifice de la tubulure 16, qui est séparée du capuchon 3 par un espace libre 17 formant un évent, est prolongée par la tubulure 16a qui arrive très près du fond 14b et forment ensemble, la paille d'aspiration pour boissons plates ou lactées du dispositif "Fermeture monobloc-Paille d'aspiration" suivant la présente invention. La Figure 23, représente schématiquement et en élévation avec arrachement partiel, une capacitaire venu d'injection-soufflage avec son corps 14 et son fond 14b également incurvé, son goulot 15 avec sa collerette 18' (ou méplat), sur laquelle repose la jupe 1 qui est solidarisée avec la face externe du goulot 15 par les moyens thermiques connus, ainsi qu'avec la membrane M', elle même solidarisée avec la face interne de la partie partiellement couvrante 2 et avec la tubulure 16. Quant à la partie partiellement couvrante 2, elle se prolonge par une partie surélevée 2' qui rejoint la base du capuchon 3 en constituant un logement 17' pour la fine lamelle L solidaire de la tubulure 16 qui se trouve séparée du capuchon 3 avec ses arêtes 3', par l'espace libre 17 formant un évent. La tubulure 16 se prolonge par la tubulure 16a qui arrivent très près du fond 14b, en formant ensemble, la paille d'aspiration pour boissons gazéifiée du dispositif "Fermeture monobloc-Paille d'aspiration"
suivant la présente invention.
-- La Figure 24 représente schématiquement et en élévation, différentes techniques pour obtenir un capuchon fileté spirolé, selon qu'il soit en matière plastique ou métallique. Si ce capuchon 3 est obtenu en matière
22 2807963
l plastique, suivant la technique d'injection-moulage, sa jupe 20 peut n'être que filetée spirolée uniquement sur sa face interne, et à cet effet on utilisera un moule à coquilles intérieurement lisse, mais adjoignant un noyau mâle qui sera fileté spirolé à l'identique que celui du goulot du capacitaire auquel le capuchon est destiné. Pour permettre à ce noyeau mâle de pouvoir effectuer son retrait en fin d'injection- moulage et avant l'ouverture des coquilles du moule, il sera capable de pivoter sur son axe, dans le sens contraire des spires, technique découlant du Brevet français n 1.602.863 du 29 Février 1964 (FIG.X Vl et XVII). Dans ce cas les arêtes saillantes et verticales 3' sont situées sur l'ensemble du capuchon 3 et disposés à 180 , soit dans le plan de l'affrontement des coquilles, suivant la technique décrite dans le Brevet français du 4 Août 1998, soit dans le fond de chacune des coquilles, perpendiculairement à leur affrontement de façon à ne pas être un obstacle à leur séparation, suivant les explications de la page 8 aux lignes 7 à 13 de la
présente description de l'invention. La partie terminale de la jupe 20
comporte une ligne circulaire de moindre épaisseur 19, continue ou discontinue, à points intermittants ou non. Selon une autre technique et si la jupe 20' du capuchon 3' est filetée spirolée interne et externe, ce capuchon (3a) pourra être longitudinalement plus petit que le capuchon 3, et dans ce cas le creux d'une des spires et notamment la première, sera par surmoulage pourvue de deux arêtes 3" disposées environ à 180 ou bien à 90 si il y en a plus jusqu' à quatre. Pour ce qui sont des capuchons métalliques correspondants à celles en matière plastique décrites immédiatement avant, la technique sera celle utilisée dans cette industrie, les références étant les
mêmes.
23 2807963
Claims (1)
1 Moules A et B.du Manage UN
7- Manèges doubles selon les Revendications
de 1 à 5, caractérisés pour obtenir "une Paille d'aspi-
ration", avec les coquilles en affrontement (5/5') et avec le 7Moule unitaire Femelle (7) à la Pause 1 du Ianege DEUX, avec les MIoules C et D.
8- Manages doubles selon les Revendications
de 1 à 7, caractérisés pour permettre la réunion et la solidarisations par surmoulage ou autres et à partir d-scoa4uilles (Sa/Sa') des Moules A ou B retanant la "Fermeture MIonobloc" et du Moule unitaire femelle (7) Venant en affrontement avec les coquilles (Sa/5a') en
y faisant pénétrer "la Paille d'aspiration" par l'in-
jection horizontale effectuée à partir du poste d'in---
jectuon horizontale dans le point d'injection (13a) situé sur les faces latérales des coquilles (Sa/Sa')
9- Manèges doubles selon les Revendications
de 1 à 8, caractérisés pour permettre d'obtenir un dispositif deFermeture Monobloc-Paille d'aspiration" pou Boissons Plates ot lactées et un dispositif de Fermeture MIonobloc-Paille d'apsiration" pour Boissons gazéifiées.
- Manèges doubles selon les Revendications '6-9
caractérisés pour pouvoir installer dans un capacitaire
avec Boisson, l'un ou l'autre des Dispositifs de "Fer-
moture iMonobloc-Paille d'aspiratuon", caractérisés pour pouvoir effectuer cette installation sur un capacitaire obtenu par extrusion- soufflage, par injection-moulage
en verre, en-dart,6h' plastjfié ott-mtal qI ntre autre.
Priority Applications (4)
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|---|---|---|---|
| FR9905199A FR2807963A1 (fr) | 1999-04-23 | 1999-04-23 | Moules en maneges, moules mobiles a postes fixes, d'injections simultanees avant solidarisation d'elements complementaires comme une fermeture monobloc-paille d'aspiration pour capacitaires avec boissons |
| EP00922744A EP1173321A1 (fr) | 1999-04-23 | 2000-04-25 | Moules en maneges, moules mobiles a postes fixes, d'injections simultanees avant solidarisation, d'elements complementaires comme une fermeture monobloc-paille d'aspiration pour capacitaires avec boissons |
| AU43042/00A AU4304200A (en) | 1999-04-23 | 2000-04-25 | Carousel moulds, mobile moulds with fixed stations, simultaneous injections before being made integral with matching elements as single-piece closure-drinking straw for drink containers |
| PCT/FR2000/001095 WO2001005576A1 (fr) | 1999-04-23 | 2000-04-25 | Moules en maneges, moules mobiles a postes fixes, d'injections simultanees avant solidarisation, d'elements complementaires comme une fermeture monobloc-paille d'aspiration pour capacitaires avec boissons |
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Family Applications (1)
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|---|---|---|---|---|
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| JP3104859B2 (ja) * | 1996-12-19 | 2000-10-30 | 日精樹脂工業株式会社 | 中空成形品の射出成形方法及び装置 |
| AU5169399A (en) * | 1998-08-04 | 2000-02-28 | Paul Nataf | Improvements to fixed closures with removable cap, interdependent of tubular arrangements of a bottle-straw for beverages, even carbonated drinks and methods for making same |
-
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-
2000
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