FR2668324A1 - Methode et systeme de lissage et de controle de debits de communications temporelles asynchrones. - Google Patents
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Abstract
Les communications sont formées de cellules portées par un multiplex temporel asynchrone entrant (XE) et qui sont traitées pour délivrer un multiplex temporel asynchrone sortant (XS). Chaque cellule entrante est rangée dans une mémoire tampon (MT) à une adresse (Add) correspondant à son heure réelle de réémission (t) sur le multiplex temporel sortant (XS). Elle consiste à comparer le nombre de cellules (N) d'une même communication qui sont mémorisées dans la mémoire tampon (MT) et qui n'ont pas été encore émises à l'heure d'arrivée d'une cellule entrante appartenant à ladite communication à un nombre maximal (NM) attribué à la communication et, dans le cas où le premier nombre dépasse le second, à ne pas prévoir de réémettre ladite cellule entrante.
Description
La présente invention concerne une méthode ct un système de lissage et de contrôle de débits de communications temporelles asynchrones par circuits virtuels.
On connait déjà des systèmes de contrôle des flux de paquets ou de cellules portés par des multiplex temporels asynchrones. L'acheminement de débits quelconques et le partage des mêmes ressources de transmission constituent l'intérêt de la technique temporelle asynchrone. On rappelle qu'un multiplex temporel asynchrone a la structure de celui qui est décrit dans le document EP-A-108 028. Dans un tel multiplex, les données sont transmises par paquets de même longueur chacun précédé d'une étiquette de longueur fixe identifiant le circuit virtuel auquel le paquet appartient. Dans la suite, pour se conformer à la désignation maintenant usuelle, on désignera par "cellule" l'étiquette suivie du paquet.Le multiplexage temporel asynchrone permet notamment de transmettre sur un même support, c'est-à- dire le multiplex temporel asynchrone, des cellules appartenant à des circuits virtuels différents. Le nombre maximal de circuits virtuels sur un multiplex est déterminé par la longueur en bits de la partie de l'étiquette qui identifie chaque circuit virtuel.
L 'allocation des multiplex temporels s ' appuie généralement sur des statistiques des taux d'activité des différentes sources pouvant y avoir accès si bien qu'il a un risque non nul de pertes d ' informations par débordement des files d' attente dû à des surcharges instantanées. Il faut évidemment minimiser ces pertes, mais la solution n'est pas facile car les flux délivrés par les différentes sources sont de caractère discontinu et sont sporadiques. De plus, des terminaux malveillants sont susceptibles d'injecter dans le réseau des cellules à un débit supérieur à celui qui leur a été attribué lors de l'établissement de leur communication.
Les documents EP-A-293 314 et EP-A-293 315 décrivent déjà chacun des méthodes et des sytèmes de contrôle de flux de paquets, particulièrement ceux qui sont portés par des multiplex temporels asynchrones. Les documents US-A-4 475 192 et
US-A-4 6111 322 traitent également les contrôles de trafics. A ce sujet, on peut aussi se reporter à l'article intitulé "The
Challenge of Multipoint Communication" par Jonathan S. Turner, 5th tTC Seminar, Lake Como, mai 1987, chapitre 5 - Congestion
Control. Ce document définit notamment le dispositif connu sous la dénomination anglaise "leaky bucket".D'une manière générale dans ces contrôles de flux, on élimine les cellules en trop lorsque le nombre de cellules reçues dépasse la quantité prévue lors de l'établissement de la communication, ce nombre étant évalué sur un temps correspondant à la dispersion de temps de propagation maximale admissible. Cette dispersion de temps de propagation est couramment évaluée pour un taux de perte associé très faible, de l'ordre de 10 10.
US-A-4 6111 322 traitent également les contrôles de trafics. A ce sujet, on peut aussi se reporter à l'article intitulé "The
Challenge of Multipoint Communication" par Jonathan S. Turner, 5th tTC Seminar, Lake Como, mai 1987, chapitre 5 - Congestion
Control. Ce document définit notamment le dispositif connu sous la dénomination anglaise "leaky bucket".D'une manière générale dans ces contrôles de flux, on élimine les cellules en trop lorsque le nombre de cellules reçues dépasse la quantité prévue lors de l'établissement de la communication, ce nombre étant évalué sur un temps correspondant à la dispersion de temps de propagation maximale admissible. Cette dispersion de temps de propagation est couramment évaluée pour un taux de perte associé très faible, de l'ordre de 10 10.
Ces méthodes, systèmes et dispositifs connus satisfont bien aux conditions d ' écrêtage de débit, mais s ' il se présente une rafale de cellules consécutives ou presque consécutives appartenant à un même circuit virtuel, même si le nombre de cellules n ' excède pas dans la rafale le nombre autorisé pendant l'inter- valle de mesure considéré, la rafale risque de créer une surcharge instantanée dans la partie aval du réseau de commutation temporel. En effet, la durée des rafales assimilables par le réseau est nettement inférieure à l'amplitude de la dispersion de temps de propagation attendue. I1 faut noter que ces rafales ou "grumeaux" de cellules peuvent être produites, non seulement, par les sources, mais encore par le multiplexage amont de flux temporels asynchrones.
Un objet de la présente invention consiste à prévoir une méthode et un système qui, non seulement réalise un contrôle du trafic en éliminant les cellules en trop, mais encore en lissant les rafales mentionnées ci-dessus.
Suivant une caractéristique de l'invention, il est prévu une méthode de lissage de débits de communications temporelles asynchrones formées de cellules portées par un multiplex temporel asynchrone entrant pour délivrer un multiplex temporel asynchrone sortant, chaque cellule entrante étant rangée dans une mémoire tampon à une adresse correspondant à son heure réelle de réémission sur le multiplex temporel sortant, ladite heure réelle de réémision étant déterminée en fonction d'une période attribuée à la communication à laquelle appartient ladite cellule entrante, ladite période correspondant à la période minimale théorique entre cellules réémises dans le multiplex temporel asynchrone sortant.
Suivant une autre caractéristique ladite période est attribuée à la communication selon le débit de la source émettant les cellules de la communication et peut être choisie entre zéro et la valeur du débit du multiplex entrant.
Suivant une autre caractéristique, ladite adresse de rangement de la cellule entrant dans ladite mémoire tampon est déterminée en calculant en fonction de ladite période une heure théorique d'émission, puis en cherchant dans la mémoire tampon la première adresse libre correspondant à une heure réelle d'émission qui soit chronologiquement au-delà de ladite heure théorique d'émission.
Suivant une autre caractéristique, ladite heure théorique d'émission d'une cellule entrante est: - soit l'heure calculée en ajoutant ladite période attribuée à
ladite communication à laquelle appartient la cellule entrante
à l'heure théorique d'émission déterminée pour la cellule
précédente de la même communication, si l'heure d'arrivée de
ladite cellule entrante n'est pas au-delà de l'heure théorique
d'émission ainsi calculée, - soit, dans le cas contraire, l'heure d'arrivée de ladite cellule
entrante.
ladite communication à laquelle appartient la cellule entrante
à l'heure théorique d'émission déterminée pour la cellule
précédente de la même communication, si l'heure d'arrivée de
ladite cellule entrante n'est pas au-delà de l'heure théorique
d'émission ainsi calculée, - soit, dans le cas contraire, l'heure d'arrivée de ladite cellule
entrante.
Suivant une autre caractéristique, un système ou ensemble de moyens est prévu pour mettre en oeuvre les méthodes mentionnées ci-dessus, le système comprenant, outre la mémoire tampon, une mémoire d'état, une base de temps et une unité arithmétique et logique, la mémoire tampon étant divisée en case de mémoire, chaque case de la mémoire tampon comprenant trois sections: - une première section dans laquelle est mémorisé le champ des
données utiles d'une cellule, - une seconde section dans laquelle est mémorisée l'étiquette de
ladite cellule, - une troisième section dans laquelle est mémorisé un bit indi
quant l'occupation ou la disponibilité de la case, la mémoire d'état étant divisée en zones, chaque zone correspondant biunivoquement à une comrtunication transmise par le multi plex temporel asynchrone entrant et comprenant trois sections:: - une première section dans laquelle est mémorisée l'heure théori
que d'émission de la cellule précédente appartenant à la même
communication que la cellule entrante, - une seconde section dans laquelle est mémorisée la période
attribuée à la communication, - une troisième section dans laquelle est mémorisée le nombre de
cellules de la communication qui sont mémorisées dans la
mémoire tampon et qui n'ont pas été encore émises à l'heure
d'arrivée de la cellule entrante de la même communication, la base de temps délivrant l'heure réelle dont chaque temps élémentaire correspond à une adresse de case de la mémoire tampon, et l'unité arithmétique et logique effectuant le calcul conduisant à l'heure théorique d'émission, la comparaison de celle-ci avec l'heure d'arrivée et déterminant l'adresse de la cellule entrante courante en fonction du résultat de la comparaison.
données utiles d'une cellule, - une seconde section dans laquelle est mémorisée l'étiquette de
ladite cellule, - une troisième section dans laquelle est mémorisé un bit indi
quant l'occupation ou la disponibilité de la case, la mémoire d'état étant divisée en zones, chaque zone correspondant biunivoquement à une comrtunication transmise par le multi plex temporel asynchrone entrant et comprenant trois sections:: - une première section dans laquelle est mémorisée l'heure théori
que d'émission de la cellule précédente appartenant à la même
communication que la cellule entrante, - une seconde section dans laquelle est mémorisée la période
attribuée à la communication, - une troisième section dans laquelle est mémorisée le nombre de
cellules de la communication qui sont mémorisées dans la
mémoire tampon et qui n'ont pas été encore émises à l'heure
d'arrivée de la cellule entrante de la même communication, la base de temps délivrant l'heure réelle dont chaque temps élémentaire correspond à une adresse de case de la mémoire tampon, et l'unité arithmétique et logique effectuant le calcul conduisant à l'heure théorique d'émission, la comparaison de celle-ci avec l'heure d'arrivée et déterminant l'adresse de la cellule entrante courante en fonction du résultat de la comparaison.
Suivant une autre caractéristique, la méthode de lissage mentionnée ci-dessus est complétée par un traitement de contrôle de flux consistant à comparer le nombre de cellules d'une même communication qui sont mémorisées dans la mémoire tampon et qui n'ont pas été encore émises à l'heure d'arrivée d'une cellule entrante appartenant à ladite communication à un nombre maximal attribué à la communication et, dans le cas où le premier nombre dépasse le second, à ne pas réémettre ladite cellule entrante.
Suivant une autre caractéristique, chaque zone de la mémoire d'état comprend une quatrième section dans laquelle est mémorisé le nombre maximal ci-dessus et l'unité arithmétique et logique effectue la comparaison entre ledit premier nombre et le second ou nombre maximal, et inhibe le traitement de la cellule entrante.
Suivant une autre caractéristique, le système destiné à mettre en oeuvre les méthodes de lissage ci-dessus comprend encore une mémoire d'adresses disponibles comportant autant de cases à un bit que la mémoire tampon comporte de cases, chaque case à un bit recopiant le contenu de la troisième section de la case associée de la mémoire tampon, ladite mémoire d'adresses disponibles comportant des moyens pour explorer ses cases à un bit dans l'ordre d'adressage croissant à partir d'une adresse déterminée et pour arrêter l'exploration quand ils trouvent la première case à un bit indiquant la disponibilité, l'adresse déterminée correspondant à l'heure théorique d'émission de la cellule entrante traitée et la fin de l'exploration déterminant l'heure réelle de sa réémission et l'occupation de la case associée de la mémoire tampon.
Suivant une autre caractéristique, quand les valeurs binaires à comparer sont situées de part et d'autre de la valeur zéro du cycle de la base de temps, un "1" est ajouté à leur bit de poids fort de manière à réaliser les comparaisons sur des valeurs translatées à l'intérieur d'une zone temporelle ne comportant pas de valeur nulle.
Suivant une autre caractéristique, le système comprend un circuit de détection de voisinage de zéro dont la sortie est activée quand les valeurs à comparer sont voisines de zéro, les bits de poids fort des valeurs à comparer étant respectivement appliqués aux premières entrées de portes OU-exclusif correspondantes dont les secondes entrées sont reliées à la sortie du circuit de détection de voisinage de zéro, les sorties desdites portes étant reliées aux entrées correspondantes des comparateurs correspondants.
Les caractéristiques de l'invention mentionnées ci-dessus, ainsi que d'autres, apparaîtront plus clairement à la lecture de la description suivante d'un exemple de réalisation, ladite description étant faite en relation avec les dessins joints, parmi lesquels:
la Fig. 1 est un schéma-bloc d'un système suivant l'inven- tion,
la Fig. 2 montre des structures de mots correspondants à des heures ou à des intervalles de temps utilisés dans le système de la Fig. 1,
la Fig. 3 est un bloc-diagramme d'une unité arithmétique et logique utilisée dans le système de la Fig. 1,
la Fig. 4 est un schéma de la partie arithmétique de l'unité de la Fig. 3,
la Fig. 5 montre des organigrammes temporels illustrant un cas de fonctionnement du système de l'invention,
la Fig. 6 montre aussi des organigrammes temporels illustrant un autre cas de fonctionnement, et
les Figs. 7 à 9 montrent les tables des décisions logiques prises dans la partie logique de l'unité de la Fig. 1.
la Fig. 1 est un schéma-bloc d'un système suivant l'inven- tion,
la Fig. 2 montre des structures de mots correspondants à des heures ou à des intervalles de temps utilisés dans le système de la Fig. 1,
la Fig. 3 est un bloc-diagramme d'une unité arithmétique et logique utilisée dans le système de la Fig. 1,
la Fig. 4 est un schéma de la partie arithmétique de l'unité de la Fig. 3,
la Fig. 5 montre des organigrammes temporels illustrant un cas de fonctionnement du système de l'invention,
la Fig. 6 montre aussi des organigrammes temporels illustrant un autre cas de fonctionnement, et
les Figs. 7 à 9 montrent les tables des décisions logiques prises dans la partie logique de l'unité de la Fig. 1.
Le système de la Fig. 1 comprend une file d'attente d'entrée FiFo, une mémoire d'état MCO, associée à une unité arithmétique et logique UAL et à un multiplexeur d' adressage
MX1, une mémoire d'adresses disponibles MAD associée à un multiplexeur d'adressage MX2, une mémoire tampon MT associée à un multiplexeur d'adressage MX3, des portes ET P1 et P2, une base de temps BT et une unité de commande à microprocesseur UC.
MX1, une mémoire d'adresses disponibles MAD associée à un multiplexeur d'adressage MX2, une mémoire tampon MT associée à un multiplexeur d'adressage MX3, des portes ET P1 et P2, une base de temps BT et une unité de commande à microprocesseur UC.
A l'entrée de la mémoire d'attente FiFo est appliqué le multiplex entrant XE. Les portes P1 délivrent le multiplex sortant XS.
Dans l'exemple de réalisation décrit, le multiplex XE est un multiplex temporel asynchrone du type de celui qui est décrit dans le document EP-A-108 028, mais dont les paquets, maintenant appelés "cellules", sont supposés avoir été mis sous forme parallèle à 424 bits. Cette taille de 424 bits correspond à celle d'une cellule qui a été adoptée en juin 1989 par le CCITT. La mémoire FiFo est une file d'alignement, semblable à celle qui est décrite dans le document EP-A-113 307, dont le rôle est d'adapter le débit entrant sur l'horloge locale t du système de la Fig. 1.
Chaque cellule sortant de la file FiFo est donc synchrone de l'horloge locale et est présentée sur un faisceau Fe de 424 fils, dont les seize premiers EQe transmettent les seize premiers bits qui constituent l'étiquette Vcie qui identifie le circuit virtuel qui achemine la cellule, c'est-à-dire qui identifie la communication concernée. La file FiFo a encore une sortie PP qui porte un signal du même nom qui indique si l'intervalle de temps entrant est libre ou occupé. Le signal PP est obtenu comme montré à la
Fig. 1 du document EP-A-113 307. Il en résulte un faisceau de 425 fils sortant de la mémoire FiFo, le 425e fil portant le signal
PP et étant relié à l'entrée du même nom du circuit UAL.
Fig. 1 du document EP-A-113 307. Il en résulte un faisceau de 425 fils sortant de la mémoire FiFo, le 425e fil portant le signal
PP et étant relié à l'entrée du même nom du circuit UAL.
La mémoire d'états MCO est une mémoire vive à accès aléatoire comportant autant de zones que de communications que peut traiter le système. Chaque zone est divisée en six sections respectivement destinées à mémoriser:
- l'heure d'émission théorique de la dernière cellule arri
vée tde,
- la période minimale théorique ,
- l'heure d'émission théorique de la dernière cellule émise
tdl,
- le délai maximum dm,
- le nombre NM, et
- le nombre N.
- l'heure d'émission théorique de la dernière cellule arri
vée tde,
- la période minimale théorique ,
- l'heure d'émission théorique de la dernière cellule émise
tdl,
- le délai maximum dm,
- le nombre NM, et
- le nombre N.
La mémoire MCO a six entrées al à a6, 5 correspondant respectivement aux six sections mentionnées ci-dessus. Elle comporte également six sorties portant respectivement les mêmes désignations que les sections. Enfin, son entrée d'adressage est reliée à la sortie du multiplexeur à trois entrées MX1.
La première entrée du multiplexeur MX1 est reliée au faisceau EQe portant l'étiquette Vcie de la cellule entrante, sa seconde entrée est reliée au faisceau EQs portant l'étiquette vcis de la cellule sortante, et sa troisième entrée UCa est reliée à une sortie correspondante de l'unité de commande UC. L'entrée de commande du multiplexeur MX1 est reliée aux sorties E, S et
U de la base de temps BT.
U de la base de temps BT.
La base de temps BT délivre l'heure locale t dont chaque temps élémentaire correspond à la réception d'une cellule entrante et à l'émission d'une cellule sortante. Comme le montre la
Fig. 2, l'heure t, servant à suivre la chronologie des événements, est donnée sur vingt-quatre bits dont une première partie de poids forts composée de huit bits et suivie d'une seconde partie de poids plus faible de seize bits. Comme on le verra plus tard, la première partie permet de repérer les événements à long terme et la seconde sert à l'adressage de la mémoire MT et donc à repérer les événements dans chaque cycle de fonctionnement de la mémoire MT.
Fig. 2, l'heure t, servant à suivre la chronologie des événements, est donnée sur vingt-quatre bits dont une première partie de poids forts composée de huit bits et suivie d'une seconde partie de poids plus faible de seize bits. Comme on le verra plus tard, la première partie permet de repérer les événements à long terme et la seconde sert à l'adressage de la mémoire MT et donc à repérer les événements dans chaque cycle de fonctionnement de la mémoire MT.
L 'heure tde définie plus haut est donnée sur trente-deux bits dont une première partie de huit bits et une seconde de seize bits, comme pour t, plus une troisième partie de huit bits de poids faibles constituant une partie décimale dont on verra le rôle plus tard. En fonctionnement normal, l'heure tse se déduit de l'heure théorique d'émission de la cellule précédente de la même communication en y ajoutant la valeur E qui représente la période minimale théorique de réémission des cellules de la communication concernée. L heure tde est dite théorique car l'heure réelle d'émission de la cellule concernée pourra en différer, étant donné les conflits possibles entre les temps d'émission théoriques de cellules appartenant à des communications différentes.
La période pm est donnée sur vingt-quatre bits dont la partie de seize bits servant indirectement à l'adressage de la mémoire MT et la partie décimale de huit bits. La période g correspond au temps minimum qui doit théoriquement séparer les temps de réémission de deux cellules consécutives pour éviter l'effet de "grumeaux" et, par conséquent, lisser le débit des cellules. La partie décimale permet de sélectionner un débit quelconque qui n'est pas nécessairement un sous-multiple du débit du multiplex sortant XS.
L'heure d'émission théorique de la dernière cellule émise tdl est codée sur trente-deux bits, comme tde, correspond à l'heure théorique à laquelle la dernière cellule de la communication concernée aurait dû être émise, même si son heure réelle d'émission a été un peu plus tardive.
Le délai maximum dm est codé sur vingt-quatre bits, comme et et correspond au temps de retard maximum admissible que peut prendre une cellule dans le réseau, compte tenu de la dispersion de temps de propagation admise qui a été mentionnée dans le préambule. Pour tenir compte de cette dispersion, on accepte de lisser les débits jusqu'à cette valeur de temps dm.
Si, par suite de rafales de cellules consécutives dans la même communication on ne peut garantir ce délai, la cellule concernée est détruite. Le délai dm peut varier en fonction d'éventuelles priorités entre des cellules de communications différentes.
La base de temps BT délivre, en plus de l'heure locale t et pour chaque temps élémentaire, six signaux successifs tl à t6 qui occupent ensemble un temps élémentaire. Les temps tl et t2 sont utilisés pour le traitement correspondant à 1 'arrivée d ' une cellule entrante, les temps t3 et t4 pour le traitement correspondant à l'émission d'une cellule sortante, et les temps t5 et t6 pour le traitement de l'accès à la mémoire MCO par l'unité de commande UC. De plus, les sorties tl et t2 sont réunies pour délivrer le signal E, les sorties t3 et t4 pour donner le signal S et les sorties t5 et t6 pour donner le signal U. Les signaux E, S et U servent notamment à commander les multiplexeurs MX1 à MX3.
La lecture des mémoires s'effectue en tl, t3 et t5 tandis que la réécriture, après calculs, s'effectue en t2, t4 et t6.
La mémoire tampon MT est une mémoire vive à accès aléatoire comportant des cases dont le nombre sera défini dans la suite. Chaque case est divisée en quatre sections respectivement destinées à mémoriser:
- le champ des données DON utiles d'une cellule,
- l'étiquette Vcie de la cellule correspondante,
- l'heure théorique tde d'émission de cette cellule, et
- un bit bs qui, quand il est à "1", indique que la case
adressée en lecture contient une cellule utile à transmet
tre.
- le champ des données DON utiles d'une cellule,
- l'étiquette Vcie de la cellule correspondante,
- l'heure théorique tde d'émission de cette cellule, et
- un bit bs qui, quand il est à "1", indique que la case
adressée en lecture contient une cellule utile à transmet
tre.
La mémoire MT a quatre entrées correspondant respectivement aux données DON, à l'étiquette Vcie, à l'heure théorique d'émission hte et au bit be. Elle comprend également quatre sorties portant respectivement les références DON, vcis, tdse et bes. Les sorties DON et Vcis sont regroupées dans un faisceau de 424 fils reliés respectivement aux premières entrées de 424 portes
ET P1 dont les secondes entrées sont reliées à la sortie bes.
ET P1 dont les secondes entrées sont reliées à la sortie bes.
L'entrée d'adressage de la mémoire MT est reliée à la sortie du multiplexeur MX3.
La première entrée du multiplexeur MX3 est reliée à la sortie de la mémoire MAD et sa seconde entrée reçoit l'heure courante t de la base de temps BT. Son entrée de commande est reliée aux sortie E et S de la base de temps BT.
La mémoire MAD est une mémoire vive à accès aléatoire comportant autant de cases que la mémoire MT, chaque case ayant une capacité de un bit et correspondant biunivoquement à une case de la mémoire MT. Elle a une entrée dispo qui est mise à "1" ou à "0" selon que la mémoire MT est en mode d'écriture ou de lecture. Elle a une sortie Add. Elle comprend deux entrées d'adressage Adrl et Adr2. L'entrée Adrl est reliée à la sortie du multiplexeur MX2 dont une entrée est reliée à la sortie Add de la mémoire MAD et dont la seconde entrée reçoit l'heure locale t de la base de temps BT. L'entrée de commande du multiplexeur
MX2 a son entrée de commande reliée aux sorties E et S de la base de temps BT. L'entrée d'adressage Adr2 est reliée la sortie de la porte P2.
MX2 a son entrée de commande reliée aux sorties E et S de la base de temps BT. L'entrée d'adressage Adr2 est reliée la sortie de la porte P2.
La sortie Add de la mémoire MAD est reliée à la première entrée du multiplexeur MX3.
Dans la mémoire MAD, une case contient un "0" pour indiquer qu'elle est libre et un "1" pour indiquer qu'elle est occupée. La mémoire MAD fournit en permanence à sa sortie Add l'adresse d'une case libre, cette adresse étant sélectionnée prioritairement à partir de la valeur binaire d'un champ de seize bits extraits de l'heure d'émission théorique hte de la cellule considérée, c'est-à-dire du signal al, que l'on décrira plus tard, et qui est appliqué à la première entrée des portes
P2. Les secondes entrées de ces portes P2 sont reliées à la sortie E de la base de temps BT, ce qui signifie que l'entrée
Adr2 de la mémoire MAD n'est active que pendant le traitement d'une cellule entrante et, précisément, pour trouver une adresse
Add de case libre dans la mémoire MT.Une mémoire telle la mémoire MAD est décrite dans le document FR-A-2 617 602 intitulé "Circuit pour mémoriser des états de disponibilité de ressources logiques, telles que cellules de mémoire, et établir des adresses de ressources libres". En pratique, la mémoire MAD comprend des moyens pour explorer la case qui est désignée par hte et, quand cette case n'est pas libre, les cases suivantes, et arrêter l'exploration à la première cellule libre, dont l'adresse est alors délivrée par Add.
P2. Les secondes entrées de ces portes P2 sont reliées à la sortie E de la base de temps BT, ce qui signifie que l'entrée
Adr2 de la mémoire MAD n'est active que pendant le traitement d'une cellule entrante et, précisément, pour trouver une adresse
Add de case libre dans la mémoire MT.Une mémoire telle la mémoire MAD est décrite dans le document FR-A-2 617 602 intitulé "Circuit pour mémoriser des états de disponibilité de ressources logiques, telles que cellules de mémoire, et établir des adresses de ressources libres". En pratique, la mémoire MAD comprend des moyens pour explorer la case qui est désignée par hte et, quand cette case n'est pas libre, les cases suivantes, et arrêter l'exploration à la première cellule libre, dont l'adresse est alors délivrée par Add.
L 'unité arithmétique et logique UAL associée à la mémoire
MCO est représentée dans le bloc-diagramme de la Fig. 3. Il comprend une partie arithmétique UAR et une partie de décisions logiques UDL. La partie UAR, Fig. 4, comprend quatre additionneurs ADD1 à ADD4, un circuit de test de voisinage à zéro TVZ, cinq portes OU-exclusif P3 à P7 et cinq comparateurs COM1 à
COM5.
MCO est représentée dans le bloc-diagramme de la Fig. 3. Il comprend une partie arithmétique UAR et une partie de décisions logiques UDL. La partie UAR, Fig. 4, comprend quatre additionneurs ADD1 à ADD4, un circuit de test de voisinage à zéro TVZ, cinq portes OU-exclusif P3 à P7 et cinq comparateurs COM1 à
COM5.
Le circuit UAR comporte les entrées tde, tdl, dm, E, L, N,
NM, t et pm. Il comporte également les sorties t-pm, N-+l, tse, bl, b2, b3, cl, dl, el, e2, fl et f2.
NM, t et pm. Il comporte également les sorties t-pm, N-+l, tse, bl, b2, b3, cl, dl, el, e2, fl et f2.
Le circuit ADD1 est un additionneur arithmétique qui a ses deux entrées reliées respectivement aux entrées tde et , et sa sortie à la sortie tse qui délivre l'heure (tde+pm).
Le circuit ADD2 est un additionneur arthmétique qui a trois entrées dont l'une est reliée à l'entrée tdl, la seconde à l'entrée dm et la troisième reçoit en permanence la valeur CMT qui correspond au nombre de cases dans la mémoire MT. A titre d'exemple, cette valeur peut être de 216, soit 65 536. L'exposant 16 correspond aux seize bits de la seconde partie de t, Fig. 2.
Les huit bits de poids fort de t permettent de ne pas avoir de valeur zéro à chaque cycle de la mémoire tampon MT, mais un passage par zéro uniquement tous les 224 temps élémentaires de la base de temps BT, ce qui correspond à une période T de celle-ci.
La sortie P de l'additionneur ADD2, qui délivre la valeur (tdl+dm+216), est reliée, indirectement par la porte P5 pour son bit de poids fort, à la seconde entrée Pc du comparateur COM4.
Le circuit ADD3 est un additionneur algébrique qui a deux entrées de commande respectivement reliées aux entrées E et L, et deux entrées dont 1 ' une est reliée à l'entrée N et l'autre reçoit en permanence la valeur "1". Ainsi, quand l'entrée E est activée, le circuit ADD3 ajoute "1" à la valeur N tandis que quand l'entrée L est activée, il soustrait "1" de la valeur N.
Ainsi, la sortie du circuit ADD3 délivre soit (N+1), soit (N-l), et est reliée à la sortie N-+l et à la première entrée du comparateur COM3.
Le circuit ADD4 est un soustracteur arithmétique qui a ses deux entrées reliées respectivement aux entrées t et . Sa sortie délivre la valeur (t-pm) et est reliée à la sortie
Le circuit TVZ a trois entrées zl à z3 et une sortie Y. Les entrées zl à z3 sont respectivement reliées aux fils de bit de poids fort de l'entrée tdl, de la sortie P de l'additionneur ADD2 et de l'entrée t, ces fils étant également respectivement reliés aux premières entrées des portes P4 à P6. La sortie Y est à "1" quand, parmi les trois bits de poids forts appliqués à ses entrées, la valeur binaire de l'un d'entre eux diffère de celles des deux autres. La sortie Y est reliée aux secondes entrées des portes P4 à P6.Par ailleurs, le fil de bit de poids fort de l'entrée tde est relié à la première entrée de la porte P3 dont la seconde entrée est reliée à la sortie Y du circuit TVZ. Enfin, le fil de bit de poids fort de la sortie tse est relié à la première entrée de la porte P7 dont la seconde entrée est aussi reliée à la sortie Y.
Le circuit TVZ a trois entrées zl à z3 et une sortie Y. Les entrées zl à z3 sont respectivement reliées aux fils de bit de poids fort de l'entrée tdl, de la sortie P de l'additionneur ADD2 et de l'entrée t, ces fils étant également respectivement reliés aux premières entrées des portes P4 à P6. La sortie Y est à "1" quand, parmi les trois bits de poids forts appliqués à ses entrées, la valeur binaire de l'un d'entre eux diffère de celles des deux autres. La sortie Y est reliée aux secondes entrées des portes P4 à P6.Par ailleurs, le fil de bit de poids fort de l'entrée tde est relié à la première entrée de la porte P3 dont la seconde entrée est reliée à la sortie Y du circuit TVZ. Enfin, le fil de bit de poids fort de la sortie tse est relié à la première entrée de la porte P7 dont la seconde entrée est aussi reliée à la sortie Y.
Dans le cas où Y = 0, le bit de poids fort de chacune des valeurs tde, tse, tdl, P et t n'est pas altéré en passant dans sa porte OU-exclusif associée. Dans le cas où Y = 1, le bit de poids fort change de valeur à la sortie des portes P3 à P7, ce qui conduit, une fois qu'il a été associé au reste des bits de poids faible, à avoir toutes les valeurs dans une zone ne comprenant pas la valeur zéro d'un cycle complet de la base de temps BT et donc de pouvoir les comparer, sans ambiguité, dans les comparateurs COM1, COM2, COM4 et COM5, autour de la valeur
T/2.
T/2.
Le comparateur COM1 a ses deux entrées tdlc et tdec respectivement reliées aux sorties des portes P4 et P3. Sa sortie bl est activée quand tdec est supérieur tdlc, la sortie b2 est activée quand tdle est égal à tdlc, et la sortie b3 est activée quand tdec est inférieur à tdlc.
Le comparateur COM2 a une entrée tc reliée à la sortie de la porte P6 et une entrée tdlc reliée à la sortie de la porte P4.
Sa sortie cl est activée quand tc est inférieur à tdlc et sa sortie c2 quand tc est égal cu supérieur à tdlc.
Le comparateur COM3 a ca première entrée qui reçoit N-+l et sa seconde entrée reliée à l'entrée NM. Sa sortie dl est activée quand N-+l est supérieur NM.
Le comparateur COM4 a une entrée tc reliée à la sortie de la porte P6 pour le bit de poids fort et à l'entrée t pour les bits de poids faible et une entrée Pc reliée à la sortie de la porte P5 pour le bit de poids fort et la sortie P pour les reste des bits de poids faible. Sa sortie el est activée quand tc est supérieur Pc et sa sortie e2 est activée quand tc est égal ou inférieur à Pc.
Le comparateur COM5 a une entrée tc reliée en parallèle sur l'entrée tc du comparateur COM4 et une entrée tsec reliée à la sortie de la porte P7 pour le fil de poids fort et à la sortie de l'additionneur ADD1 pour le reste des bits de poids faible. Sa sortie f1 est activée quand tc est inférieur à tsec ce qui est un cas normal d'un premier type tandis que sa sortie f2 est activée quand tc est supérieur à tsec ce qui est un cas normal d'un second type.
Le signal de sortie tse produit par l'additionneur ADD1 correspond à une heure qui est la somme de l'heure théorique d'émission de la cellule précédente tde et de la période minimum . La Fig. 2 montre que l'heure tse (tde+pm) est, comme tde, codée sur trente-deux bits dont une partie décimale. Le signal t-pm produit par le soustracteur ADD4 correspond à une heure qui précède le temps courant t d'une valeur égale à la période minimale pm. L'heure t-pm est aussi codée sur trente-deux bits dont une partie décimale. Elle est utilisée dans le cas de réinitialisation, comme on le verra dans la suite en relation avec la Fig. 7. Les signaux NM et N-+l sont codés sur vingt-quatre bits, sans partie décimale.Le signal NM correspond à un nombre qui représente, pour une communication, le nombre maximum de cellules en attente dans la mémoire MT. Le signal
N-+1 est également un nombre qui est comparé au nombre NM dans le comparateur COM3. Le signal P, produit par l'addi- tionneur ADD2, correspond à une heure qui est la somme de l'heure tdl, c'est-à-dire 1 ' heure d'émission théorique de la dernière cellule émise, plus le délai maximum dm entre deux cellules, plus le nombre de cases de la mémoire MT. Il est donc certain qu'à l'heure P, toutes les cellules en attente dans la mémoire MT ont été émises, d'où l'intérêt de la comparaison du temps courant t avec le temps P, comme on le verra plus loin.
N-+1 est également un nombre qui est comparé au nombre NM dans le comparateur COM3. Le signal P, produit par l'addi- tionneur ADD2, correspond à une heure qui est la somme de l'heure tdl, c'est-à-dire 1 ' heure d'émission théorique de la dernière cellule émise, plus le délai maximum dm entre deux cellules, plus le nombre de cases de la mémoire MT. Il est donc certain qu'à l'heure P, toutes les cellules en attente dans la mémoire MT ont été émises, d'où l'intérêt de la comparaison du temps courant t avec le temps P, comme on le verra plus loin.
Le signal bl du comparateur COM1 est à "1" quand tdec est supérieur à tdlc, ce qui exprime que, à l'arrivée de la cellule faisant partie d'une correspondance, l'heure théorique d'émission de la cellule qui est arrivée juste avant est plus tardive que 1 ' heure théorique à laquelle la dernière cellule de la même communication a été émise. I1 s'agit d'un cas normal. Le signal b2 à "1" correspond aussi à un cas normal, celui où les deux heures théoriques sont égales. Par contre, le signal b3 à "1" exprime un cas de faute. Il n'est pas possible que 1 ' heure théorique d'émission d'une cellule appartenant à une conversation précède l'heure théorique d'une cellule de la même conversation déjà émise.
Le signal cl produit par le comparateur COM2 à "1" exprime que tc est inférieur à tdlc. Il s'agit d'un cas de faute, étant donné que tdlc correspond, au temps tc, à une cellule déjà émise. Le signal de sortie c2 à "1" correspond à un cas normal.
Le signal de sortie dl du comparateur COM3 à "1" correspond au cas où la mémoire accepterait un nombre de cellules d'un conversation supérieure à ce qui a été convenu au début de la conversation, le nombre convenu étant NM. C'est donc aussi un cas de faute.
Le signal de sortie el du comparateur COM4 à "1" exprime que tc est supérieur à Pc. Le signal e2 à "1" correspond à un cas normal.
Le signal de sortie fl du comparateur COM5 à "1" exprime que tc est inférieur ou égal à tsec ce qui correspond à un cas normal d'un premier type, comme on le verra dans la suite. Le signal de sortie f2 à "li' exprime que tc est supérieur à tsec, ce qui correspond à un cas normal d'un second type.
Les signaux f1 et f2 du comparateur COM5 correspondent à deux types de cas normaux comme on le verra plus tard.
Avant de considérer en détail comment le circuit de décisions logiques UDL traite les différents cas en fonction des signaux bl à e2 qui lui sont appliqués, on va illustrer en relation avec les Figs. 5 et 6 deux cas de fonctionnements courants et normaux, la valeur de g étant de quatre temps élémentaires.
Dans les diagrammes temporels de la Fig. 5:
- la ligne t) montre partiellement le déroulement de l'heure
locale t, soit ici les temps élémentaires t19 à t41,
- la ligne i) indique les cellules entrantes de la conversa
tion i, soit ici il à i6, étant supposé qu'il ne s'agit
pas d'un début de conversation,
- la ligne tde) montre les différentes valeurs tde inscrites
successivement dans la zone correspondant à la conversa
tion i de la mémoire MCO,
- la ligne tse) indique les différentes valeurs de tse à la
sortie correspondante du circuit UAR,
- la ligne hte) indique les valeurs successives de hte,
- la ligne Adr2) indique les différents adresses initiales
appliquées à la mémoire MAD pour qu'elle cherche
l'adresse d'une case suivante disponible dans la mémoire
MT,
- la ligne add) indique les adresses de la mémoire MT
successivement 'déterminées par la mémoire MAD, en notant
que chaque valeur hte est aussi enregistrée à la même
adresse de MT, bien que cette valeur puisse être diffé
rente de cette adresse,
- la ligne tdle) indique les valeurs successives de tdle à
chaque lecture de cellule, la valeur de tdle étant
appelée à être mémorisée sous forme de tdl dans la zone
correspondant à la conversation i dans la mémoire, après
traitement dans le circuit de décisions logiques UDL,
- la ligne tdl) indique précisément les valeurs successives
de tdl,
- la ligne N) indique les nombres successifs de cellules de
la conversation i qui sont dans la mémoire MT, et
- la ligne i') indique les temps de sortie des cellules de
la conversation i, soit ici i'1 à i'5, correspondant à il
à i5.
- la ligne t) montre partiellement le déroulement de l'heure
locale t, soit ici les temps élémentaires t19 à t41,
- la ligne i) indique les cellules entrantes de la conversa
tion i, soit ici il à i6, étant supposé qu'il ne s'agit
pas d'un début de conversation,
- la ligne tde) montre les différentes valeurs tde inscrites
successivement dans la zone correspondant à la conversa
tion i de la mémoire MCO,
- la ligne tse) indique les différentes valeurs de tse à la
sortie correspondante du circuit UAR,
- la ligne hte) indique les valeurs successives de hte,
- la ligne Adr2) indique les différents adresses initiales
appliquées à la mémoire MAD pour qu'elle cherche
l'adresse d'une case suivante disponible dans la mémoire
MT,
- la ligne add) indique les adresses de la mémoire MT
successivement 'déterminées par la mémoire MAD, en notant
que chaque valeur hte est aussi enregistrée à la même
adresse de MT, bien que cette valeur puisse être diffé
rente de cette adresse,
- la ligne tdle) indique les valeurs successives de tdle à
chaque lecture de cellule, la valeur de tdle étant
appelée à être mémorisée sous forme de tdl dans la zone
correspondant à la conversation i dans la mémoire, après
traitement dans le circuit de décisions logiques UDL,
- la ligne tdl) indique précisément les valeurs successives
de tdl,
- la ligne N) indique les nombres successifs de cellules de
la conversation i qui sont dans la mémoire MT, et
- la ligne i') indique les temps de sortie des cellules de
la conversation i, soit ici i'1 à i'5, correspondant à il
à i5.
Dans les diagrammes temporels de la Fig. 6, on a adopté les mêmes conventions.
Dans le cas de la Fig. 5, les cellules il à i5 arrivent à l'entrée du système de l'invention en respectant la période E! de quatre temps élémentaires, sauf pour i4 qui arrive avec un temps de retard. La recherche d'une adresse libre dans la mémoire MAD est immédiate, sauf pour la mémorisation de la cellule i2. Donc, les cellules i'l à i'5 sortent à peu près espacées comme sont arrivées les cellules il à i5. On rappelle que la période E! est la période théorique minimum d'espacement entre deux cellules réémises. Dans le cas de la Fig. 5, on a supposé que les cellules entrantes respectaient pratiquement cette même période E! et on constate que normalement les cellules réémises la respectent aussi.
Dans le cas illustré à la Fig. 6, à partir de la cellule i2, la période minimale p! n'est plus respectée, les cellules entrantes i3 à i5 arrivent très rapprochées, alors que la cellule suivante arrive nettement plus tard. Mais on notera que les cellules sortantes i'l à i'4 sont bien espacées, ce qui confirme que le système de l'invention effectue un lissage. La Fig. 6 montre également que le nombre N peut augmenter rapidement en cas de rafales. Si la rafale i3 à i5 avait continué, le nombre N aurait pu dépasser un maximum NM, ce qui aurait entraîné l'élimination des dernières cellules de la rafale.
Les deux cas illustrés aux Figs. 5 et 6 ne constituent que des exemples de cas normaux qui permettent d'apprécier le cas de fautes ou d'autres cas normaux qui vont maintenant être décrits en détail en considérant les Figs. 7 à 9.
Comme le montre la Fig. 3, les entrées du circuit de décisions logiques sont: N-+1, t-pm, tse, bl, b2, b3, cl, c2, dl, el, e2, fl, f2, AM, bs, PP, tdle, t, et tl à t6. On va maintenant décrire successivement les traitements exécutés à l'arrivée d'une cellule entrante, à l'émission d'une cellule sortante et à l'accès de l'unité centrale.
A l'arrivée d'une cellule entrante, celle-ci est traitée en tl, puis t2, Fig. 7. La zone de la mémoire MCO, qui correspond à la communication i à laquelle appartient la cellule entrante, est adressée, à travers le multiplexeur MX1 commuté par l'entrée
E = tl+t2, par l'étiquette Vcie de la cellule. L'état de ladite zone de la mémoire MCO est lu en tl et ses signaux de sorties appliqués au circuit UAR qui délivre les signaux bl à f2.
E = tl+t2, par l'étiquette Vcie de la cellule. L'état de ladite zone de la mémoire MCO est lu en tl et ses signaux de sorties appliqués au circuit UAR qui délivre les signaux bl à f2.
Les différentes cases indiquées dans le tableau de la
Fig. 7 représentent les actions à entreprendre en fonction des événements définis par les signaux bl à f2 (première ligne), associés aux conditions inscrites à la deuxième ligne. On rencontre donc les cas suivants: 1) b3 est à "1", quels que soient les autres signaux b2 à e2.
Fig. 7 représentent les actions à entreprendre en fonction des événements définis par les signaux bl à f2 (première ligne), associés aux conditions inscrites à la deuxième ligne. On rencontre donc les cas suivants: 1) b3 est à "1", quels que soient les autres signaux b2 à e2.
Normalement, l'heure tde est toujours supérieure ou égale à
l'heure tdl puisque tdl correspond à une cellule émise et tde
à cette même cellule ou à une cellule suivante. C'est donc un
cas de faute. Cependant, suivant le système de l'invention,
la décision est prise de prendre en compte la cellule entrante.
l'heure tdl puisque tdl correspond à une cellule émise et tde
à cette même cellule ou à une cellule suivante. C'est donc un
cas de faute. Cependant, suivant le système de l'invention,
la décision est prise de prendre en compte la cellule entrante.
En t2, les signaux al à a6 prennent les valeurs suivantes: t,
c'est à dire l'heure courante, x, t-pm, x, x, 1, x indiquant
que la valeur existant déjà dans la zone correspondante de
MCO est inchangée. On voit notamment qu'à l'heure tdl est
attribuée la valeur t-pm pour que tdl soit différente de tde,
ce qui est utile pour des cas suivants, et que le nombre N
prend la valeur 1 pour indiquer qu'il y a une cellule de la
communication i qui a été mémorisée.
c'est à dire l'heure courante, x, t-pm, x, x, 1, x indiquant
que la valeur existant déjà dans la zone correspondante de
MCO est inchangée. On voit notamment qu'à l'heure tdl est
attribuée la valeur t-pm pour que tdl soit différente de tde,
ce qui est utile pour des cas suivants, et que le nombre N
prend la valeur 1 pour indiquer qu'il y a une cellule de la
communication i qui a été mémorisée.
De plus, les seize bits du signal al, correspondant aux seize
bits de poids faible de t, sont appliqués, par les portes P2
ouvertes par le signal E, à l'entrée Adr2 de la mémoire MAD
qui va chercher l'adresse égale ou supérieure à t d'une case
libre dans la mémoire MT. Le faisceau des 32 fils de al,
toujours par les portes P2, est prolongé vers l'entrée hte de
la mémoire MT. Le fil be est à "1". La mémoire MT adressée
par le multiplexeur MX3 mémorise la cellule entrante, l'heure
hte et le bit be dans la case correspondante.
bits de poids faible de t, sont appliqués, par les portes P2
ouvertes par le signal E, à l'entrée Adr2 de la mémoire MAD
qui va chercher l'adresse égale ou supérieure à t d'une case
libre dans la mémoire MT. Le faisceau des 32 fils de al,
toujours par les portes P2, est prolongé vers l'entrée hte de
la mémoire MT. Le fil be est à "1". La mémoire MT adressée
par le multiplexeur MX3 mémorise la cellule entrante, l'heure
hte et le bit be dans la case correspondante.
Enfin, la mémoire MAD inscrit le bit "1" présent à l'entrée
dispo reliée au fil be dans la case d'adresse Add, l'adressa
ge d'écriture étant transmis par le multiplexeur MX2 comman
dé par E.
dispo reliée au fil be dans la case d'adresse Add, l'adressa
ge d'écriture étant transmis par le multiplexeur MX2 comman
dé par E.
2) cl est à "1", quels que soient les signaux el, b2, dl, c2 et
e2.
e2.
Ce cas ne peut normalement se produire et c'est donc un cas
de faute. On décide de prendre la cellule entrante en compte
et on prend les mêmes actions qu'en 1) ci-dessus.
de faute. On décide de prendre la cellule entrante en compte
et on prend les mêmes actions qu'en 1) ci-dessus.
3) el et b2 sont à "1", quels que soient les signaux dl, b2, c2
et e2.
et e2.
Ce cas signifie qu' au bout du temps P, qui est la somme de
tdl, de dm et d'un cycle de lecture de la mémoire MT, soit
71
2 dans l'exemple décrit, on est certain que toutes les
cellules de la communication i en attente dans la mémoire MT
ont été lues, si une nouvelle cellule de cette communication
ne s'est pas présentée très récemment. On décide de prendre
la cellule entrante en compte et les actions sont les mêmes
qu'en 1) ci-dessus.
tdl, de dm et d'un cycle de lecture de la mémoire MT, soit
71
2 dans l'exemple décrit, on est certain que toutes les
cellules de la communication i en attente dans la mémoire MT
ont été lues, si une nouvelle cellule de cette communication
ne s'est pas présentée très récemment. On décide de prendre
la cellule entrante en compte et les actions sont les mêmes
qu'en 1) ci-dessus.
4) dl est à "1", quels que soient b2, c2 et e2.
En tl, à la lecture de la zone de la mémoire MCO, il
apparaît que le nombre N de cellules de la communication i
en attente dans la mémoire MT est supérieur à NM, c'est-à
dire supérieur au nombre convenu lors de l'établissement de
la communication i. On prend la décision de ne pas écrire la
cellule entrante qui se trouve éliminée, les données déjà
existantes dans la zone correspondante de la mémoire MCO
étant inchangées.
apparaît que le nombre N de cellules de la communication i
en attente dans la mémoire MT est supérieur à NM, c'est-à
dire supérieur au nombre convenu lors de l'établissement de
la communication i. On prend la décision de ne pas écrire la
cellule entrante qui se trouve éliminée, les données déjà
existantes dans la zone correspondante de la mémoire MCO
étant inchangées.
5) b2 et f2 sont à "1", quels que soient c2 et e2.
Ce cas correspond à une absence de cellule à émettre pour la
communication i. On prend la cellule entrante en compte et
les actions sont les mêmes qu'en 1) ci-dessus.
communication i. On prend la cellule entrante en compte et
les actions sont les mêmes qu'en 1) ci-dessus.
On notera que ce cas correspond au cas initial après établis
sement de la communication i.
sement de la communication i.
6) b2 et fl sont à "1", quels que soient c2 et e2.
C'est un cas normal de fonctionnement du second type. La
cellule entrante va être prise en compte, En t2, la valeur de
tse va devenir la nouvelle heure tde et, par al et les portes
P2, va adresser l'entrée Adr2 de la mémoire MAD et la fin
des actions va être la même que celle du cas 7) ci-dessous.
cellule entrante va être prise en compte, En t2, la valeur de
tse va devenir la nouvelle heure tde et, par al et les portes
P2, va adresser l'entrée Adr2 de la mémoire MAD et la fin
des actions va être la même que celle du cas 7) ci-dessous.
De plus, la valeur de N va être incrémentée d'une unité.
7) c2 et e2 sont à "1".
C'est un cas normal de fonctionnement de premier type. La
cellule entrante va être prise en compte. En t2, la valeur de
tse va devenir la nouvelle heure tde et, par al et les portes
P2, va adresser l'entrée Adr2 de la mémoire MAD. Les
contenus de a2 à a5 sont inchangés. La valeur de N va être
incrémentée d'une unité et rangée en a6.
cellule entrante va être prise en compte. En t2, la valeur de
tse va devenir la nouvelle heure tde et, par al et les portes
P2, va adresser l'entrée Adr2 de la mémoire MAD. Les
contenus de a2 à a5 sont inchangés. La valeur de N va être
incrémentée d'une unité et rangée en a6.
Ce septième cas est illustré par les diagrammes des Figs. 5
et 6.
et 6.
A l'émission d'une cellule sortante, la zone de la mémoire
MCO, qui correspond à la communication i à laquelle appartient la cellule sortante, est adressée, à travers le multiplexeur MX1 commuté par l'entrée S = t3+t4, par l'étiquette Vcis de la cellule, qui est délivrée par la mémoire MT. L'état de ladite zone de la mémoire MCO est lu en t3 et ses signaux de sortie appliqués au circuit UAR qui délivre les signaux bl à f2.
MCO, qui correspond à la communication i à laquelle appartient la cellule sortante, est adressée, à travers le multiplexeur MX1 commuté par l'entrée S = t3+t4, par l'étiquette Vcis de la cellule, qui est délivrée par la mémoire MT. L'état de ladite zone de la mémoire MCO est lu en t3 et ses signaux de sortie appliqués au circuit UAR qui délivre les signaux bl à f2.
Il est important de noter qu'une case de la mémoire MT, donc une cellule, ne peut être lue que si le bit be qui est associé est à "1".
Les différentes cases indiquées dans le tableau de la
Fig. 8 représentent les actions à entreprendre en fonction des événements définis par les signaux bl à f2 (première ligne), associés aux conditions inscrites à la deuxième ligne. On rencontre donc les cas suivants: 1) b3 est à "1", quels que soient cl, el, b2, c2 et e2.
Fig. 8 représentent les actions à entreprendre en fonction des événements définis par les signaux bl à f2 (première ligne), associés aux conditions inscrites à la deuxième ligne. On rencontre donc les cas suivants: 1) b3 est à "1", quels que soient cl, el, b2, c2 et e2.
Ce cas correspond à un cas de faute, comme à 1' arrivée
d'une cellule entrante, et pour les mêmes raisons. On attribue
aux heures tde et tdl la valeur de l'heure courante t et on
met N à "0", be à "0", les autres champs , dm et NM de
la case étant inchangés.
d'une cellule entrante, et pour les mêmes raisons. On attribue
aux heures tde et tdl la valeur de l'heure courante t et on
met N à "0", be à "0", les autres champs , dm et NM de
la case étant inchangés.
2) cl est à "1", quels que soient el et b2, c2 et e2.
Pour les mêmes raisons que lors de l'arrivée d'une cellule
entrante, il s'agit d'un cas de faute et les actions prises
sont les mêmes qu'en 1) ci-dessus.
entrante, il s'agit d'un cas de faute et les actions prises
sont les mêmes qu'en 1) ci-dessus.
3) el et b2 sont à "1".
Il s'agit d'un cas anormal. En effet, puisque l'heure tde est égale à 1' heure tdl, il n'y a plus de cellule de la
communication en attente à émettre. Or l'adressage de la
mémoire MCO est effectué par l'étiquette Vcis de la cellule en
cours de lecture dans la mémoire MT. De plus, l'heure t
supérieure à P indique que, depuis la dernière cellule émise,
il s'est écoulé un peu plus d'un cycle de lecture de la
mémoire tampon MT. Cela confirme que toutes les cellules
auraient dû être lues. On effectue les mêmes actions qu'en 1)
ci-dessus.
communication en attente à émettre. Or l'adressage de la
mémoire MCO est effectué par l'étiquette Vcis de la cellule en
cours de lecture dans la mémoire MT. De plus, l'heure t
supérieure à P indique que, depuis la dernière cellule émise,
il s'est écoulé un peu plus d'un cycle de lecture de la
mémoire tampon MT. Cela confirme que toutes les cellules
auraient dû être lues. On effectue les mêmes actions qu'en 1)
ci-dessus.
A noter que si el est à "1", mais b2 à "0", cela signifie que
la dernière cellule entrante est arrivée très récemment. Il
faut alors émettre comme ci-dessous en 4).
la dernière cellule entrante est arrivée très récemment. Il
faut alors émettre comme ci-dessous en 4).
4) c2 et e2 sont à "1", et bl à "1".
Il s'agit d'un cas normal de lecture cellule sortante pour
émission. L'heure tdle délivrée par la mémoire MT est utilisée
pour remettre à jour, par a3, l'ancienne valeur de l'heure
tdl dans la zone correspondante de la mémoire MCO. Par
ailleurs, par a6, le nombre N est décrémenté puisque l'addi
tionneur ADD3 du circuit UAR a fonctionné en soustracteur.
émission. L'heure tdle délivrée par la mémoire MT est utilisée
pour remettre à jour, par a3, l'ancienne valeur de l'heure
tdl dans la zone correspondante de la mémoire MCO. Par
ailleurs, par a6, le nombre N est décrémenté puisque l'addi
tionneur ADD3 du circuit UAR a fonctionné en soustracteur.
Par le multiplexeur MX2, commandé par S, la mémoire MAD est
adressée par l'heure courante t et le fil be remet la case
correspondante de - la mémoire MAD à "0", ce qui signifie que
cette case redevient libre. Enfin, le fil be remet aussi à "0"
le bit correspondant de la mémoire MT. Les autres champs de
la zone de la mémoire MCO restent inchangés.
adressée par l'heure courante t et le fil be remet la case
correspondante de - la mémoire MAD à "0", ce qui signifie que
cette case redevient libre. Enfin, le fil be remet aussi à "0"
le bit correspondant de la mémoire MT. Les autres champs de
la zone de la mémoire MCO restent inchangés.
5) c2 et e2 sont à "1" et b2 et fl à "1".
Il s'agit d'un cas normal et on prend les mêmes actions
qu'en 4) ci-dessus.
qu'en 4) ci-dessus.
6) c2 et e2 sont à "1" et f2 et b2 à "1".
Il s'agit d'un cas de faute puisqu'on lit une cellule et qu'il
n'y en a théoriquement plus. On prend donc les mêmes actions
qu'en 1) ci-dessus.
n'y en a théoriquement plus. On prend donc les mêmes actions
qu'en 1) ci-dessus.
Pour l'accès de l'unité centrale UC à la mémoire MCO, le multiplexeur MX1 est commuté par le signal U = t5+t6 et l'unité centrale UC délivre elle-même l'adresse UCa de la zone qu'elle va analyser. L'état de la zone sélectée est lu en t5 et ses signaux de sortie appliqués à l'unité UAR. En t6, on réécrit dans la zone les données résultant des calculs et des décisions logiques sortant de l'unité UDL. Dans le fonctionnement du système concerné par l'invention, l'unité UC n'intervient pas sur les mémoires MAD et MT.
L 'accès de l'unité centrale UC à la mémoire MCO correspond à plusieurs fonctions: la mise à jour horaire et l'initialisation d'une communication.
Les différentes cases indiquées dans le tableau de la
Fig. 9 représentent les actions à entreprendre pour la mise à jour horaire en fonction des événements définis par les signaux b3, cl, b2 et c2 et e2 (première ligne), associés aux conditions inscrites à la deuxième ligne. On rencontre donc les cas suivants: 1) b3 est à "1", quel que soit l'état de cl, b2, c2 et e2.
Fig. 9 représentent les actions à entreprendre pour la mise à jour horaire en fonction des événements définis par les signaux b3, cl, b2 et c2 et e2 (première ligne), associés aux conditions inscrites à la deuxième ligne. On rencontre donc les cas suivants: 1) b3 est à "1", quel que soit l'état de cl, b2, c2 et e2.
Il s'agit d'un cas de faute car l'heure tdl ne peut dépasser
l'heure tde. On écrit dans la zone concernée des valeurs de
tde et de tdl égale à l'heure courante t, et on donne au
nombre N la valeur "0", les autres champs , dm et NM
étant inchangés.
l'heure tde. On écrit dans la zone concernée des valeurs de
tde et de tdl égale à l'heure courante t, et on donne au
nombre N la valeur "0", les autres champs , dm et NM
étant inchangés.
2) cl est à "1", quel que soit l'état de b2 et c2 et e2.
Il s'agit aussi d'un cas de faute et on prend les mêmes
actions qu'en 1) ci-dessus.
actions qu'en 1) ci-dessus.
3) b2 est à "1", quel que soit c2 et e2.
Il s'agit du cas normal de remise à l'heure avec aucune
cellule en attente d'émission pour la communication considé
rée. En effet, la communication n'a pas été active pendant un
certain temps et les valeurs horaires de tde et de tdl
présentes dans la zone de la communication considérée sont
dues soit à une activité précédente, soit à une précédente
remise à l'heure par l'unité centrale UC. Les actions prises
sont les mêmes qu'en 1) ci-dessus.
cellule en attente d'émission pour la communication considé
rée. En effet, la communication n'a pas été active pendant un
certain temps et les valeurs horaires de tde et de tdl
présentes dans la zone de la communication considérée sont
dues soit à une activité précédente, soit à une précédente
remise à l'heure par l'unité centrale UC. Les actions prises
sont les mêmes qu'en 1) ci-dessus.
4) b2 et f2 sont à "1".
C'est un cas normal et aucun changement dans les champs de
zone n ' est entrepris.
zone n ' est entrepris.
5) c2 et e2 sont à "1".
C'est un cas normal et aucun changement dans les champs de
la zone n'est entrepris.
la zone n'est entrepris.
Dans la seconde fonction, l'unité centrale UC intervient aussi dans la mémoire MCO, soit pour initialiser celle-ci, soit pour établir une nouvelle communication, soit pour une mise à jour. Dans ce cas l'adresse UCa comporte un bit d'adresse sup lémentaire de poids plus fort mis à "1" pour différencier cette fonction de celle d'une simple mise à jour horaire. Il en résulte qu ' indépendamment des calculs et des décisions dans l'unité
UAL, l'unité centrale UC accède aux fils de sortie al à a6 par l'intermédiaire de la liaison AM. Les six sections de la zone considérée sont ainsi positionnées directement. A noter que dans ce cas les heures tde et tdl prennent la valeur de l'heure courante t.
UAL, l'unité centrale UC accède aux fils de sortie al à a6 par l'intermédiaire de la liaison AM. Les six sections de la zone considérée sont ainsi positionnées directement. A noter que dans ce cas les heures tde et tdl prennent la valeur de l'heure courante t.
La mise à jour de la mémoire MCO par l'unité centrale UC a lieu cycliquement. L'unité centrale explore toute la mémoire
MCO au moins en un temps inférieur à T/2, où T correspond, comme on l'a déjà mentionné, à un cycle de la base de temps
BT. Ansi, l'unité centrale UC maintient toutes les valeurs affectées à une communication à proximité de 1 ' heure exacte t délivrée par la base de temps BT, de façon que toutes ces heures soient toujours distantes les unes des autres d'un valeur inférieure à T/2.
MCO au moins en un temps inférieur à T/2, où T correspond, comme on l'a déjà mentionné, à un cycle de la base de temps
BT. Ansi, l'unité centrale UC maintient toutes les valeurs affectées à une communication à proximité de 1 ' heure exacte t délivrée par la base de temps BT, de façon que toutes ces heures soient toujours distantes les unes des autres d'un valeur inférieure à T/2.
De cette façon, si le poids fort d'une quelconque des heures diffère, pour une communication, du poids fort d'une autre heure, c'est que l'ensemble de ces heures se trouvent au voisinage du passage de la base de temps BT à zéro. I1 convient, dans ce cas, d'effectuer la comparaison des heures en rajoutant la valeur T/2 à toutes heures avant comparaison; elles se retrouveront au voisinage de T/2 et l'ordre chronologique sera respecté dans les comparaisons. C'est cette addition qui est effectuée ou non, par le circuit TVZ et les portes P3 à P7, Fig.
3.
Le système peut être simplifié en prenant une marge supérieure pour le calcul de la valeur P. On peut n'effectuer des remises à jour que si N=0, lorsque t est supérieur à tde. En effet, si N est différent de zéro, les remises à jour ont lieu en permanence puisque la communication est active.
Si t est inférieur à tde, on tombe dans le cas de faute de non remise à 0 par l'unité centrale ou autres et les remises à jour s'imposent.
Cette simplification conduit à supprimer les champs tdl et dm dans la mémoire MCO et le champ tdle dans la mémoire MT.
De plus la condition tde = tdl est remplacée par la condition N = 0.
Si N =0, les pointeurs sont remis à jour dans tous les cas.
De plus, en réception de cellule entrante, celle-ci est prise en compte et N prend la valeur N = 1. En réémission de cellule sortante ou mise à jour par l'unité centrale UC, N prend la valeur 0. Toutes les valeurs sont positionnées comme dans la colonne 1 des Figs. 7 à 9, sauf que le champ a3 n'existe pas.
Si N est différent de 0 et que t est supérieur à tde, une cellule entrante est prise en compte avec la valeur (N+1) dans le champ a6. Une cellule sortante est prise en compte avec la valeur (N-1) dans le champ a6. La mise à jour par l'unité centrale ne modifie rien.
Si t est inférieur à tde, il y a remise à l'heure.
A l'initialisation par l'unité centrale UC, les champs tde, pm, tdl et dm sont positionnés à 0, puis les zones correspondant aux circuits virtuels choisis pour véhiculer des communications sont progressivement initialisées, d'abord les champs E et dm, puis les champs tde et tdl par remise à l'heure.
A noter encore que si la mémoire tampon MT déborde, on aura une absence d'adresse libre dans la mémoire MAD et la cellule entrante sera rejetée.
Claims (2)
1) Méthode de contrôle de flux de communications temporelles asynchrones formées de cellules portées par un multiplex temporel entrant (XE) pour délivrer un multiplex temporel asynchrone sortant (XS), chaque cellule entrante étant rangée dans une mémoire tampon (MT ) à une adresse (Add) correspondant à son heure réelle de réémission (t) sur le multiplex temporel sortant (XS), caractérisée en ce que qu'elle consiste à comparer le nombre de cellules (N) d'une même communication qui sont mémorisées dans la mémoire tampon (MT) et qui n'ont pas été encore émises à l'heure d'arrivée d'une cellule entrante appartenant à ladite communication à un nombre maximal (NM) attribué à la communication et, dans le cas où le premier nombre dépasse le second, à ne pas prévoir de réémettre ladite cellule entrante.
2) Moyens de mise en oeuvre de la méthode suivant la revendication 1, caractérisés en ce qu'ils comprennent, outre la mémoire tampon (MT), une mémoire d'état (MCO) et une unité arithmétique et logique (UAL), la mémoire d'état (MCO) étant divisée en zones, chaque zone correspondant biunivoquement à une communication transmise par le multiplex temporel asynchrone entrant (XE) et comprenant deux sections, une première section (N) dans laquelle est mémorisée le nombre de cellules de la communication qui sont mémorisées dans la mémoire tampon (MT) et qui n'ont pas été encore émises à l'heure d'arrivée de la cellule entrante de la même communication, et un seconde section (NM) dans laquelle est mémorisé le nombre maximal attribué à la communication, l'unité arithmétique et logique (UAL) effectuant la comparaison entre le premier nombre (N) et le second nombre (NM), et inhibant la réémission de la cellule entrante, quand le premier nombre dépasse le second.
Priority Applications (1)
Application Number | Priority Date | Filing Date | Title |
---|---|---|---|
FR9113065A FR2668324B1 (fr) | 1990-01-19 | 1991-10-18 | Methode et systeme de lissage et de controle de debits de communications temporelles asynchrones. |
Applications Claiming Priority (2)
Application Number | Priority Date | Filing Date | Title |
---|---|---|---|
FR909000770A FR2657482B1 (fr) | 1990-01-19 | 1990-01-19 | Methode et systeme de lissage et de controle de debits de communications temporelles asynchrones. |
FR9113065A FR2668324B1 (fr) | 1990-01-19 | 1991-10-18 | Methode et systeme de lissage et de controle de debits de communications temporelles asynchrones. |
Publications (2)
Publication Number | Publication Date |
---|---|
FR2668324A1 true FR2668324A1 (fr) | 1992-04-24 |
FR2668324B1 FR2668324B1 (fr) | 1993-08-13 |
Family
ID=26227815
Family Applications (1)
Application Number | Title | Priority Date | Filing Date |
---|---|---|---|
FR9113065A Expired - Fee Related FR2668324B1 (fr) | 1990-01-19 | 1991-10-18 | Methode et systeme de lissage et de controle de debits de communications temporelles asynchrones. |
Country Status (1)
Country | Link |
---|---|
FR (1) | FR2668324B1 (fr) |
Citations (2)
Publication number | Priority date | Publication date | Assignee | Title |
---|---|---|---|---|
US4475192A (en) * | 1982-02-16 | 1984-10-02 | At&T Bell Laboratories | Data packet flow control scheme for switching networks |
EP0293315A1 (fr) * | 1987-05-26 | 1988-11-30 | FRANCE TELECOM, CNET (Centre National d'Etudes des Télécommunications) | Système et méthode de contrôle de flux de paquets |
-
1991
- 1991-10-18 FR FR9113065A patent/FR2668324B1/fr not_active Expired - Fee Related
Patent Citations (2)
Publication number | Priority date | Publication date | Assignee | Title |
---|---|---|---|---|
US4475192A (en) * | 1982-02-16 | 1984-10-02 | At&T Bell Laboratories | Data packet flow control scheme for switching networks |
EP0293315A1 (fr) * | 1987-05-26 | 1988-11-30 | FRANCE TELECOM, CNET (Centre National d'Etudes des Télécommunications) | Système et méthode de contrôle de flux de paquets |
Non-Patent Citations (1)
Title |
---|
REVUE HF. vol. 14, no. 5 /6, Novembre 1989, OPHAIN BE pages 155 - 164; J.BOUWENS ET AL.: 'Architecture of the local exchange in the Belgian broadband experiment' * |
Also Published As
Publication number | Publication date |
---|---|
FR2668324B1 (fr) | 1993-08-13 |
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Legal Events
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ST | Notification of lapse |