FR2630896A2 - Compact de maquillage pour les yeux - Google Patents

Abstract

Le compact de maquillage est composé d'un mascara contenu dans le corps 4, de fards à paupières contenus dans les pétales 8 avec un applicateur fixé sur le pétale, d'un produit pour souligner la ligne des paupières contenu dans le pistil 2, un miroir fixé sur le pétale 13. Le tout est compris, une fois replié, dans un volume cylindrique, optimisé pour occuper un volume minimum, qui se déploie au moment de la mise en service pour être d'un accès facile.

Description

1.a présente invention est un perfectionnement de la demande de brevet numéro 66-03386 du 6 mars 1986 concernant un nécessaire de maquillage compact et multifonctions.

Le nécessaire de maquillage suivant le brevet cité est constitué d'un corps cylindrique allongé qui comporte sur la partie latérale des alvéoles qui peuvent contenir soit des bacs fixes, soit des pétales mobiles dont l'accès est autorisé par une virolle qui coulisse parallêlement à l'axe du cylindre, et aux extrémités, un logement coaxial au cylindre pouvant contenir des produits cosmétiques ou des accesspires. Le problème est que pour rendre l'objet commercialisable il est indispensable de maximiser les volumes utiles et de minimiser les volumes morts. Il faut en effet que la quantité de chaque produit soit suffisante et cohérente avec les autres.

L'objet de l'invention concerne l'optimisation des volumes utiles du compact de maquillage objet du brevet cité. Nous allons décrire ci-dessous un compact de maquillage destiné à la reCouche du maquillage des yeux mais les solutions adoptées pourront s'appliquer aussi bien à un compact de maquillage spécifique aux retouches de maquillage des lèvres et des joues.

Le compact de maquillage Fig.1 comporte dans ce cas trois zones principales: d'abord une première zone dite zone supérieure (1) comportant des pétales mobiles (3) Fig.2A, avec un conteneur axial (2),puis une zone dite inférieure (4) Fig.1 avec seulement un conteneur axial, enfin une zone internédiaire (6) compienant le noyau (5) Fig.2A sur lequel viennent se fixer ou s'articuler les éléments des deux autres zones et sur lequel coulisse la virolle (7).

Les pétales mobiles (3) Fig.1B ne viennent plus se loger dans une alvéole latérale, mais viennent en appui les uns sur les autres lorsqu'ils sont fermés de manière A constituer directement la surface cylindrique du compact.

Dans cette configuration, les pétales viennent entourer et également s'appuyer sur le conteneur coaxial (2) qui a lui-mtme une torme- cylindrique. Si bien que, lorsque les pétales sont ouverts, il n'y a plus de séparations entre les alvéoles latérales et tout le volume autour du conteneur axial (2) Fig.2A est dégagé. Dans une version préférée de l'invention, la forme cylindrique a une section Fig.1B de forme sensiblement carrée. Il y a quatre pétales Fig.2B dont deux pétales (8) et (9) situéc face à face contiennent des fards à paupières (10), le troisième (11), l'applicateur (12), le quatrième (13), un miroir (14).Comme le miroir (14) est peu épai et que l'applicateur (12) est de faible diamètie, .les logements des becs (15), contenant les fards a es, peuvent empiéter sur l'espace situé entre le tiroir (14) CT. le conteneur axial (2), et d'autre part sur l'espace laissé de part et d'autre de l'applicateur (12).

Le conteneur axial supérieur (.) contient soit une pette pour souligner la paupière, avec un pinceau, soit un crayon (16)
Fig.3 assurant la même fonction mais plus facile d'emploi.

Ce conteneur (2) est appelé pistil. Le problème est que si on veut utiliser le miroir (14), le pistil (2) gene son accès s'il reste dans sa position axiale,et si on est distrait, on peut se le mettre dans l'oeil. il est donc utile de le rendre pivotant suivant un axe horizontal (17) perpendiculaire au plan de symétrie du pétale (13) supportent le miroir (14). Cette particularité permet au pistil (2) Fig.2A de s'escamoter du côté opposé au miroir (14), d'en rendre l'accès plus facile et surtout moins dangereux. il est important qu'en position non escamotée, le pistil (2) Fig.1B soit correctement verrouillé de manière constituer pour les pétales (3) un appui suffisant lorsqu'ils sont en position fermée.Dans ce cas. les pétales s'appuient par leur extrémité (18) sur l'extrémité du pistil (2) qui se verrouille sur le noyau (5) Fig.3. On peut créer d'autres appuis pour consolider l'ensemble. Dans cette configuration, la virolle (7) Fig.1A verrouille les pétales (3) Fig.2A , dans leur partie basse (19), hors de la zone (20) contenant les éléments servant. au maquillage. Cela permet de dégager du volume dans la zone utile des pétales, et de limiter la course en translation de la virolle (7) permettant de les ouvrir.Une manibre simple d'articuler le pistil (2) consiste à fabriquer le noyau (5) sur lequel s'articulent les pétales (3) en deux parties Fig.5A et
Fig.5B qui s'assemblent suivant le plan de symétrie (21)
Fig.2B des logements d'axes (22) Fig.5A des pétales (13)
Fig.2B et (11) supportant le miroir (14) d'une part et l'applicateur (12) d'autre part. Il est aisé de faire deux
logements (22) Fig.5A permettant de recevoir les extrémités d'un axe (17) Fig.4B solidaire du pistil (2) Fig.4À. Dans
ces conditions, le pistil (2) Fig.3 est monté au moment de l'assemblage des dux pièc@s constituant le noyau (5) qui emprisonne au moment de son assemblage les extrémités de l'axe t17) du pistil (2).L'axe (17) de pivotement du pistil (2) étant fixe par rapport au noyau (5), on peut positionner sur le noyau (5) un verrouillage par encliquetage (24). L'avantage principel de la réalisation du noyau (5) en deux parties réside dans le fait que dans le cas où cette piece est -moulde, le moule est simplifié à l'extrême, et permet la réalieation de la pièce en grande
série à bas prix. Le noyau (5) après assemblage est lu@@même verrouill@ par le corps (25) du conteneur coaxial inférieur (4), à l'intérieur duquel il vient s'encliqueter.

En ce qui concerne le onteneur inférieur (4), dans l'hypothèse où il contient un mascara, possède un bouchon
(26) équipé d'une brosse (27) cylindrique dont la longueur do,t être suffisante pour éviter que le bouchon (27) qui est de gresse section ne constitue une une. On pourrait diviser le bouchon er, deux parties en faisant d'une part un bouchon de faible section supportant la brosse mascara, et d'autre part un capot coiffant le tout et venant s'encliquetel par exemple sur le conteneur inférieur, mais on perdrait une des performances principales du compact qui est de laisser toujours une main de libre pour tenir un accessoire, puisqu'il y aurait dans ce cas trois pièces à tenir qui sont le compact le capot et la brosse. La brosse mascara (27) a donc une longueur minimum qui constitue un facteur d'allongement 'du compact de maquillage. Or il existe des normes de longueur qu'il ne faut pas dépasser, si on veut vendre un article ambulatoire. Nous avons donc choisi pour réduire cette longueur au maximum, de réaliser un corps de piston (28) creux de manière a ce qu'il vienne coiffer le fond (29) du conteneur (4), de forme appropriée, lorsque les pétales (3) sont fermis. En effet lorsque les pétales (3) sont fermés, le piston 128) est repousse vers le conteneur inférieur (4), et le ressort (30) est comprimé.

Dans cette position, le picton (28) vient coiffer le fond (25) du conteneur inférieur (4) qui a une forme généralement de révolution qui est soit sensiblement conique, sojt cylindrique.

Enfin, dans l'hypothèse où la section du compact est d'une forme autre que de révolution, il est nécessaire, lorsque les bouchans (31) et (26) des conteneurs supérieurs (2) et inférieurs (4) Cont vissés, d'avoir un controlc précis de la porition en fin de vissage, de manière à ce qu'il y ait continuité de la ligne. Nous allons dans ce qui suit prendre comme exemple le cas du conteneur (4) inférieur dans l'hypothèse où il est vissé, mais l'explication reste valable pour le conteneur supérieur quand il est visse, ce qui n'est pas le cas représenté par les figures. Pour réaliser ce positionnement on réalise un bouchon (eb) ayant une jupe extérieure (32) relativement mince pour qu'elle ait une souplesse suffisante.Si on suppose, pour simplifier les explications, que cette jupe (32) est cylindrique dans a zone (33) qui vient en contact avec le corps (25) du conteneur (4), il existe une surface cylindrique de révolution venant s'y inscrire. Aux points de contact de cette surface avec la jupe on peut réaliser des gaudronc (34) qui viendront s'encliqueter dans des alvéoles (35) réalisée dans des butées (36) positionnées, sur la partie du conteneur (4) située entre son goulot (37) et la paroi latérale de son corps (25), de telle sorte qu'elles sont tangentes à une surface cylindrique de même diamètre que ctlui du cylindre inscrit dans la jupc (32) du bouchon (26).

La jupe externe (32) du bouchon est positionnée pour qu'en fin de viesage la continuité des surfaces soit sensiblement réalisée avec celle du corps (25). En fin de vissage les gaudrons t34) de la jup (32) viennent au contact des butées (36). Lorsqu'on continue le serrage, la jupe (32) prenant appui sur les butées (36) par l'intermédiaire-des gaudrons (34) se déforme élastiquement jusqu'd ce que les gaudrons (34) arrive à hauteur de l'alvéole (35). à ce moment là, le gaudron (34) pénètre dans l'alvéole (35) , la jupe (32) reprend sa position initiale en faisant entendre un déclic annonçant que le serrage est optimum.Une méthode simple pour positionner la surfaces du corps (25) et celle du bouchon (26), est de réaliser le bouchon (26) en en deux parties qui sont constituées t'un premier bouchon interne (38) comportant un filetage (40) ayant une forme de révolution qui supporte la brosse (27) ou le pinceau et que l'on visse et serre au serrage nominal sur le goulot (37), équipe du fletage mâle correspondant h celui du bouchon interne (38) > du conteneur (4). Ensuite on présente la partie extérieure (39) qu'on fixe sur le bouchon interne (38) par collage, encliquetage, fortage, en position telle que les gaudrons (34) soient en position dans leurs alvéoles (351. De cette maniere chaque fois qu'en fin de serrage on entend le déclic, on est sur d'*tre au serrage nominal, et en position d'alignement des surfaces.

Claims (5)

1. REVENDICATIONS

   -Le compert de maquillage suivant la revendication 3 de la demande de b@evet numéro 86-03386 est caractérisé en ce que les pétales (3), logsqu'ils sont fermés, occupent tout le volume entourent le conteneur axial (2), en s'appoyant les un contre les autres et sur ce dernier, le verrouillage étant assuré par la virolle (7) prenant appui uniquement dans la partie (19), proche de l'articulation, dégageant ainsi un espere maximun pour les produit6 de maquillage.
2. 2-Le corrpact de maquillage suivant l'une quelconque des revendications précédentes est caractérisé en ce qu'il est constitué d'une zone supérieure (1) contenant quatre pétales (3) ont deux pétales opposés (8) et (q) contiennent des fards & paupières, ut autre pétale (13) un miroir (14), le dernier (11) un applicateur (12), ainsi qu'un conteneur coaxial (12) contenant un produit pour souligner la ligne des paupières, d'une zone inférieure (4), comprenant seulement un conteneur contenant un mascara.
3. 3-Le conipact de maquillage suivant l'une quelconque des revendications précédentes, est caractérisé en ce que le pistil (2) pivote autour d'un axe (17), de manière a dégager l'accès au miroir (14).
4. 4-Le compact de maquillage suivant la revendication précédente est caractérisé en ce que l'axe (17) est emprisonné dans des logements (23) effectués dans le noyau (5) composé de deux parties assemblées après moulage qui sont verrouillées par encliquetage dans le corps (25) -du conteneur inférieur (4).
5. 5-Le compact de maquillage suivant l'une quelconque des revendications précédentes est caractérisé en ce que le piston (28) est creux de manière a venir coiffer le fond t29) d conteneur inférieur (4), lorsque les pétales sont fermés, permettant ainsi de diminuer l'encombrement en longueur de l'ensemble du compact.

   @-Le compact de maquillage, suivant l'une quelconque des revendications précédentes, est caractérisé en ce que le bouchon des conteneurs, lorsqu'ils sont vissée et ne sont pas de révolution, out un système d'indexage constitué de gaudrons (34) situés à l'intérieur de leur jupe externe (32), vent se loger, en fin de serrage, dans des alvéoles (35) faisant partie de butées (36) tangentes intérieurement à la jupe (32) lorsque cette dernière arrive en fin de serrage.