FR2531477A1 - Serrure a commande electrique pour portiere de vehicule automobile - Google Patents

Abstract

CETTE SERRURE COMPREND UN TRAIN DE TROIS BIELLETTES QUI SONT ARTICULEES LES UNES SUR LES AUTRES ET DANS LE BOITIER 1 DE LA SERRURE POUR SERVIR DE DISPOSITIF DEMULTIPLICATEUR DE L'EFFORT EXERCE PAR LA GACHE SUR LA BIELLETTE INTERMEDIAIRE. CETTE DERNIERE EST DESTINEE A RETENIR LA GACHE LORSQUE LA SERRURE EST FERMEE. POUR ASSURER UNE COMMANDE DE DEVERROUILLAGE AUTOMATIQUE, IL EST PREVU UN MOTEUR ELECTRIQUE 31, UNE ROUE DENTEE 28 ET UN LEVIER D'ACTIONNEMENT 21 PIVOTANT SOUS L'ACTION DU MOTEUR. EN PIVOTANT, CE LEVIER LIBERE UN DOIGT DE BLOCAGE 25 COUPLE A L'UNE DES BIELLETTES DU TRAIN DE BIELLETTES. UN DISPOSITIF 35 DE DEVERROUILLAGE DE SECOURS EST EGALEMENT PREVU.

Description

Laprésente invention est relative à une ser-

rure pour portière de véhicule.

Dans le FR 2 439 284, on décrit déjà une tel-

le serrure qui comporte un boîtier pour le mécanisme de serrure, une gâche mobile par rapport au bottier, un or- gane d'actionnement destiné à libérer le mécanisme de serrure et la gâche en vue de l'ouverture de la portière, des moyens moteurs couplés à l'organe d'actionnement pour permettre la commande automatique de cette serrure et des

moyens pour démultiplier l'effort exercé sur ledit orga-

ne d'actionnement par la gâche lors de l'ouverture de la serrure, ces moyens de démultiplication comprenant un train de trois biellettes articulées l'une sur l'autre,

la biellette intermédiaire étant pourvue de moyens d'ac-

l S crochage de-la gâche et les biellettes extrêmes étant

articulées sur le bottier autour d'axes respectifs paral-

lèles l'un à l'autre et aux axes d'articulation de la biellette intermédiaire, tandis que l'une des biellettes extrêmes coopère pour le verrouillage de la serrure avec

l'organe d'actionnement au moyen d'au moins un cran d'ar-

rêt. Dans cette serrure connue, les moyens moteurs qui en permettent l'ouverture automatique sont formés

par un électro-aimant qui agit sur l'organe d'actionne-

ment se présentant quant à lui sous la forme d'un levier

articulé sur le boîtier.

Or, il s'est avéré que l'utilisation d'un tel

électro-aimant présente des inconvénients.

Tout d'abord, sa consommation de courant se

situe à une intensité relativement élevée ( 15 A, par exem-

ple) et lors de son actionnement il charge donc de maniè-

re importante l'installation électrique du véhicule En outre, son poids pour une puissance donnée est important, tandis que pour obtenir une action efficace, il convient que le noyau de l'électro-aimant agisse brusquement sur le levier d'actionnement en le frappant, ce qui provoque

un bruit désagréable susceptible d'incommoder l'utilisa-

teur Enfin, comme en règle générale, les noyaux plon-

geurs des électro-aimants sont montés flottantsdans leur

bobine, il se produit un bruit métallique dû aux vibra-

tions lorsque le véhicule est en marche.

C'est à ces inconvénients de la technique

antérieure que l'invention tente d'apporter une solu-

tion.

Elle a donc pour objet une serrure du type indiqué ci-dessus qui est caractérisée en ce que ledit cran d'arrêt est prévu sur l'organe d'actionnement et coopère avec un doigt de blocage prévu sur la biellette

extrême correspondante et en ce que lesdits moyens mo-

teurs comprennent un moteur électrique à arbre tournant qui est destiné à agir sur ledit organe d'actionnement par l'intermédiaire d'une transmission convertissant le mouvement de rotation de cet arbre en un mouvement dans

un pl-an dudit organe d'actionnement.

Il résulte de ces caractéristiques un plus faible poids de la serrure ainsi qu'une consommation en courant réduite ( de l'ordre de 5 A) pour une puissance

fournie équivalente, le moteur électrique étant nécessai-

rement excité plus longuement que l'électro-aimant de la

serrure antérieure Toutefois, instantanément, une tel-

le consommation faible constitue un avantage En outre, le moteur électrique est silencieux et ne provoque pas un bruit brusque désagréable Enfin, le moteur électrique

est peu encombrant et s'intègre facilement dans le bol-

tier de la serrure.

L'invention est exposée ci-après plus en dé-

tail à l'aide de dessins représentant seulementdes modes d'éxécution, sur lesquels

la Fig 1 est une vue en élévation de la ser-

rure suivant l'invention montrant la face extérieure du fond du bottier (C position fermée de la serrure);

la Fig 2 est une vue en coupe de cette ser-

rure suivant la ligne 2-2 de la Fig l; la Fig 3 est une vue analogue à celle de la Fig l, la serrure étant ouverte;

la Fig 4 est une vue en coupe suivant la li-

gne 4-4 de la Fig 3; les Fig 5 et 6 montrent schématiquement la position du train de biellettes lorsque la serrure se trouve verrouillée en " premier cran " et en second cran" respectivement;

les Fig 7 et 8 montrent par des vues analo-

gues à celle de la Fig l, une variante de la serrure sui-

vant l'invention;

les Fig 9 A à 9 F montrent un circuit de com-

mande de cette serrure au cours des différentes phases

de fonctionnement.

Les Fig 1 à 6 montrent un premier mode de réa-

lisation de l'invention La serrure comprend un bottier 1 dans lequel est logé un mécanisme de serrure 2 ( Fiqg 5

et 6) Ce boitier présente un fond 3 < Fig 2) qui est des-

tiné, dans la plupart des cas,à être fixé sur le chant d'une portière de véhicule, le montant correspondant de la

carrosserie de ce véhicule portant une gâche 4, se présen-

tant sous la forme d'un tronçon de tige cylindrique comme

cela est représenté sur les Fig 5-et 6 Ces figures mon-

trent également que le mécanisme de serrure comprend un train 5 de trois bielletes 6,7 et 8 qui sont articulées entre-elles respectivement autour d'axes 9 et 10, tandis que les biellettes extrêmes 6 et 8 sont articulées en

outre autour de broches fixées dans le bottier et défi-

nissant des axes 11 et 12 Tous ces axes d'articulation sont parallèles, c'est-à-dire perpendiculaires à la

plaque de fond 3.

La biellêtte intermédiaire 7 qui se présente

ici sous la forme d'une plaque de tôle épaisse est pour-

vue d'une entaille 13 dont le bord comporte deux crans 14 et 15 servant à retenir la gâche 4, respectivement dans les positions " premier cran et "second cran"

bien connues des spécialistes On notera qu'afin d'a-

méliorer la souplesse de mouvement de la biellette in-

termédiaire ou plaque 7, les broches 11 et 12 sont en-

tourées de manchons de guidage 16 et 17 qui pénètrent dans des lumières arquées 18 et 19 pratiquées dans la

biellette intermédiaire 7.

Un ressort de rappel 20 sollicite le mécanis-

me de la serrure dans le sens de l'ouverture Ce res-

sort prend appui d'une part sur l'un 17 des manchons de guidage et d'autre part sur l'articulation 10 entre

la biellette extrême 8 et la biellette intermédiaire 7.

Les Fig 1 à 3 montrent les organes de la ser-

rure qui sont logés en dehors du boîtier 1 Tout d'abord, il est prévu un organe d'actionnement 21 qui a la forme

d'un levier pivotant sur le fond autour d'une broche fi-

xe 22 Ce levier comprend une première branche 2 la sur le bord extérieur de laquelle sont prévus deux crans 23 et 24 coopérant avec un doigt de blocage 25 qui fait partie de l'articulation 10 et qui s'étend à travers une lumière 26 du fond 3 dans une direction perpendiculaire

à celui-ci.

Le levier 21 comporte une seconde branche dont le bord intérieur présente une forme légèrement arquée

et fait office de chemin de came 21 b Le levier est cons-

tamment sollicité dans une position dans laquelle le bord pourvu des crans 23 et 24 sont en contact avec le doigt

de blocage 25.

La came 21 b coopère avec un pion 27 qui est prévu sur l'une des faces d'une roue dentée 28 montée à rotation autour d'un rivet 29 fixé sur le fond 3 Cette roue coopère avec la vis sans fin 30 d'un moteur électri que d'entraînement 31 également fixé sur le fond 3 La vis sans fin comporte de préférence un filet trapézoïdal

tandis que la denture de la roue 28 est hélicoïdale Mal-

gré le fait que la théorie des engrenages rejette en gé-

néral cette solution en raison des contraintes ponctuel-

les trop fortes et son faible rendement, cette solution est particulièrement adaptée au cas de la serrure suivant l'invention, car les efforts sont faibles tandis que le

rendement n'entre pas en ligne de compte En outre, la -

roue 28 peut être moulée et peut donc être fabriquée à faible coût Enfin, la position relative de la'roue et de la vis peut être affectée de larges tolérances, ce

qui n'est pas le cas avec la solution classique de l'en-

traînement par vis sans fin dans laquelle la roue a en

général une denture de type globique.

Deux commutateurs 32 et 33 sont associés au moteur 31 L'un 32 est associé à la roue 28 et son bras de contact 32 a est en appui contre une came circulaire

prévue sur la roue 28 et dont la partie basse 34 de fai-

ble étendue angulaire se trouve pratiquement devant le commutateur lorsque la serrure est en position ouverte, Le commutateur 33 par contre est associé au

doigt de blocage 25 et son bras de contact 33 a est main-

tenu dans sa position-instable lorsque ce doigt se trou-

ve dans la position dans laquelle la serrure est ouverte (Fig 3) En d'autres termes, le commutateur 33 bascule, dès que le doigt 25 amorce son mouvement correspondant

à la fermeture de la serrure.

Celle-ci comporte également des moyens 35 (Fig 3 et 4) pour permettre son actionnement manuel, au cas, par exemple, o la tension d'alimentationviendrait à être supprimée Ces moyens comprennent un levier 36 articulé autour de la broche 22 et pourvu d'une patte de fixation latérale 37 à laquelle est fixé un câble de traction 38 ou autre organe analogue Le câble 38 est fixé à une tirette 39 qui peut être prévue à un en-

droit approprié sur le panneau intérieur de la portière.

Le câble passe dans une gaine 40 de façon connue en soi.

Le levier 36 est pourvu d'une autre patte latérale 41 s'étendant dans un sens opposé à la patte 37 et coopérant avec le bord extérieur de la branche 21 a

du levier 22.

On notera également que le boîtier 1 comporte une encoche 42 pour recevoir la gâche 4 et que la paroi de cette encoche présente une languette élastique 42 a qui pénètre légèrement dans l'espace délimité par l'encoche afin de servir d'amortisseur lors de la pénétration de

la gâche dans la serrure.

Les Fig 9 A à 9 F représentent le circuit élec-

trique d'alimentation du moteur électrique, les commu-

tateurs 32 et 33 étant également représentés comme d'ail-

leurs un troisième commutateur 43 qui constitue le bouton d'actionnement de la serrure Naturellement, l'agencement

de ce dernier est tel que la serrure puisse être comman-

dée aussi bien de l'intérieur que de l'extérieur du véhi-

cule.

On notera qu'un ressort 44 monté autour de la

broche 22 est associée au levier d'actionnement 21 de ma-

nière à le solliciter contre le doigt de blocage 25, ce

qui maintient également le levier 36 dans sa position nor-

male inactive.

Le fonctionnement de cette serrure est le sui-

vant. La Fig 9 A représente le circuit électrique au repos Le moteur ne tourne pas et est court-circuité par le

commutateur 32 et la serrure est supposée verrouillée com-

me représenté sur la Fig 1 Lorsqu'en Fig 9 B, l'utilisa-

teur actionne le commutateur 43, (ordre de déverrouillage), le moteur 31 est excité et commence à tourner Le pion 27 se déplace angulairement et le commutateur 32 bascule puis- qu'après quelques degrés de rotation, le bras 32 a est

repoussé par la roue ( plage haute de sa came annulaire).

Le pion 27 remonte la came 21 b en repoussant le levier 21 qui commence a pivoter autour de la broche 22, En Fig 9 C, il est supposé que le commutateur 32 a déjà basculé et que l'utilisateur maintient encore

sa pression sur le bouton commandant le commutateur 43.

En Fig 9 D, ce bouton est relâché, mais dans-les deux cas, le moteur reste alimenté et continueà tourner si bien que le pion 27 en poursuivant son trajet commence à libérer

le doigt de blocage 25 d'abord du cran 24 puis du cran 23.

Lorsque la roue a fait à peu près un demi-

tour, le doigt 25 est parvenu au fond de la lumière 26

faisant basculer le commutateur 33 qui coupe ainsi le cir-

cuit du moteur (Fig 9 E) Cependant, entretemps, le doigt de verrouillage 25 étant libéré, le ressort 20 déplace le

train 5 des biellettes 6,7 et 8 vers la position d'ouver-

ture { non représentée) car les biellettes sont alors éga-

lement libérées La gâche 4 peut alors sortir d l'encoche

42 et la portière être déverrouillée.

Dans la position ouverte, la roue 22 ne peut

revenir à sa position initiale que si le btuton du commu-

tateur 43 n'est pas actionné (Fig 9 E) Si ce bouton n'est pas actionné, le circuit du moteur 31 est ferme à travers le commutateur 32, la roue 28 fait un demi-tour jusqu'à ce que le bras 32 a retombe dans la partie basse 34 de la carme de la roue 26 Le moteur s' arrête im/adéiatement car il est courtrcircuité et la serrure retrouve la configuration

de la Fig 9 A que la portière soit ouverte ou fermée.

Le déverrouillage non automatique peut être réalisé de l'intérieur de la voiture par la tirette 39

qui fait basculer le levier 36 pour à son tour faire pi-

voter le levier 21 comme s'il était actionné par le pion' 27 de la roue 28 - Les Fig 7 et 8 représentent une variante de la serrure dans laquelle on prévoit un levier 36 A qui au lieu d'agir par l'intermédiaire d'une patte latérale sur le levier 21 comporte un bord en forme de came 44 qui agit directement sur le doigt de blocage 25 Celui-ci

lorsqu'on actionne la tirette 39 fait basculer le le-

vier 21 en s'échappant des crans 23 et 24 de celui-ci.

La variante que l'on vient de décrire permet le déverrouillage manuel de la serrure non seulement en

cas d'absence de la tension d'alimentation, mais égale-

ment lorsque le ressort 20 vient à se casser En effet, l'agencement des trois biellettes 6,7,8 est tel que la serrure ne peut pratiquement pas se déverrouiller, si au

début du déverrouillage une légère poussée n'est pas exer-

cée sur la biellette intermédiaire 7 dans le sens de l'ou-

verture Le ressort 20 est prévu à cet effet et également pour compléter la force qui est normalement engendrée à l'ouverture de la portière par les joints élastiques de celle-ci Cependant, après un certain vieillissement du véhicule, ces jcints perdent une grande partie de leur élasticité, de sorte que le ressort 20 est amené à les

supplanter totalement La variante des Fig 7 et 8 présen-

te l'avantage de permettre l'ouverture de la serrure mê-

me si dans ces conditions de vieillissement, le ressort

20 venait à se casser.

Dans la description qui précède, on a supposé

que le boîtier 1 est fixé sur le chant de la portière et la gâche est montée sur le montant de la carrosserie du véhicule Cette disposition peut être inversée sans-sortir du cadre de l'invention et elle peut même, dans certains cas apporter des avantages En effet, il n'est alors pas nécessaire de prévoir de conducteurs électriques dans la portière, tandis que le mécanisme de serrure n'est pas soumis aux chocs dûs au claquement de la portière lors de

la fermeture.

Claims (10)

REVENDICATIONS

1 Serrure du type comportant un boitier ( 1) pour le mécanisme de serrure ( 2), une gâche ( 4) mobile

par rapport au boîtier, un organe d'actionnement ( 21) des-

tiné à libérer le mécanisme de serrure ( 2) et la gâche ( 4) en vue de l'ouverture de la portière, des moyens mo- teurs ( 28,31) couplés à l'organe d'actionnement ( 21) pour permettre la commande automatique de cette serrure et des moyens ( 6,7,8) pour démultiplier l'effort exercé sur ledit

organe d'actionnement ( 21) par la gâche lors de l'ouver-

ture de la serrure, ces moyens de démultiplication com-

prenant un train de trois biellettes ( 6,7,8) articulées l'une sur l'autre, la biellette intermédiaire ( 7) étant pourvue de moyens d'accrochage ( 13) de la gâche et les biellettes extrêmes ( 6,8) étant articulées sur le bottier ( 1) autour d'axes respectifs parallèles l'un à l'autre et aux axes d'articulation de la biellette intermédiaire, tandis que l'une des biellettes extrêmes ( 8) coopère,

pour'le verrouillage de la serrure avec l'organe d'action-

nement ( 21) au moyen d'au moins un cran d'arrêt ( 23,24),

caractérisée en ce que ledit cran d'arrêt ( 23,24) est pré-

vu sur l'organe d'actionnement ( 21) et coopère avec un doigt de blocage ( 25) prévu sur la biellette extreme cort

respondante ( 8) et en ce que lesdits moyens moteurs com-

prennent un moteur électrique ( 31) à arbre tournant qui est destiné à agir sur ledit organe d'actionnement ( 21)

par l'intermédiaire d'une transmission ( 30,28,27) conver-

tissant le mouvement de rotation de cet arbre en un mouve-

ment dans un plan dudit organe d'actionnement ( 21).

2 Serrure suivant la revendication 1, dans laquelle ledit organe d'actionnement ( 21) est un levier pivotant dans le bottier ( 1), caractérisée en ce que les moyens de transmission comprennent une vis sans fin ( 30) couplée au moteur électrique ( 31), une roue dentée ( 28) ll

montée rotative dans le bottier ( 1) et un organe de pous-

sée ( 27) solidaire de la roue ( 28), et en ce que ledit le-

vier d'actionnement ( 21) comporte un chemin de came, ( 21 b)

avec lequel ledit-organe de poussée est destiné à coopé-

rer lorsque ledit moteur ( 31) est excité pour dégager le doigt de blocage ( 25) du ou des crans ( 23,24) dudit levier

d'actionnement ( 21).

3 Serrure suivant la revendication 2, carac-

térisée en ce que ladite vis sans fin ( 30) comporte un fi-

let trapézoïdal et en ce que la denture de ladite roue ( 28)

est hélicoïidale.

4 Serrure suivant l'une quelconque des reven-

dications 2 et 3, caractérisée en ce qu'un ressort ( 44)

est associé audit levier d'actionnement ( 21) pour le solli-

citer en permanence contre le doigt de blocage ( 25).

Serrure suivant l'une quelconque des reven- dications 1 à 4, caractérisée en ce qu'il est prévu un dispositif d'actionnement manuel de secours ( 35) permettant d'agir sur 11 lorgane d'actionnement ( 21) en cas d'absence

de la tension d'alimentation du moteur électrique ( 31).

6 Serrure suivant la revendication 5, lors-

qu'elle dépend de l'une quelconque des revendications 2 à

, caractérisée en ce que ledit dispositif d'actionnement manuel comporte un levier ( 36,36 A) articulé sur le bottier ( 1) relié à une tirette ( 39) destinée à être prévu sur la face intérieure de la portière, et pourvu de moyens ( 41 ou 44) permettant de dégager le doigt de blocage ( 25) du ou

des crans ( 23,24) du levier d'actionnement ( 21).

7 Serrure suivant la revendication 6, carac-

térisée en ce que ledit levier d'actionnement manuel ( 36)

comporte une patte latérale ( 41) destinée à venir en con-

tact avec le levier d'actionnement ( 21) lorsqu'on agit

sur ladite tirette ( 39).

8 Serrure suivant la revendication 6, carac-

térisée en ce que ledit levier ( 36 A) est pourvu d'une ca-

me ( 44) destinée à venir en contact avec le doigt de blocage ( 25) pour dégager celui-ci des crans ( 23,24) du

levier d'actionnement, lorsqu'on agit sur ladite tiret-

te ( 39).

9 Serrure suivant l'une quelconque des reven-

dications 6 à 8, lorsqu'elles dépendent de la revendica-

tion 4, caractérisée en ce que le levier d'actionnement ( 21) et le levier d'actionnement manuel ( 36,36 A) sont montés pivotants autour d'une broche commune ( 22) autour de laquelle est enroulée ledit ressort ( 44), ce dernier

rappelant les deux leviers dans leur position correspon-

dant au verrouillage de la serrure.

Serrure suivant l'une quelconque des re-

vendications 1 à 9, caractérisée en ce que ladite biel-

lette intermédiaire ( 8) revêt la forme d'une plaque dans laquelle est pratiquée d'une part, une encoche ( 13) munie d'au moins un cran ( 15,16) pour la gâche ( 4) et d'autre part, deux lumières arquées au moyen desquelles cette plaque est guidée sur les axes d'articulation respectifs

( 11 et 12) des biellettes extrêmes ( 6,8).

11 Serrure suivant l'une quelconque des reven-

dications 1 à 10, caractérisée en ce-qu'un ressort ( 20) est associé audit train de biellettes( 6,7,8) pour les

solliciter vers leur position de déverrouillage de la ser-

rure.

12 Serrure suivant l'une quelconque des reven-

dications 2 à 11, caractérisée en ce que ledit moteur ( 31) est monté dans un circuit d'alimentation comprenant un premier commutateur ( 32) sensible à la position de la dite roue ( 28), un second commutateur ( 33) sensible à la position dudit doigt de blocage ( 25) et un troisième commutateur ( 43) de commande manuelle du moteur prévu sur la portière, ces commutateurs étant connectés de manière à provoquer un cycle de marche du moteur -en deux temps, l'un pour le déverrouillage de la serrure et l'autre pour la remise en la configuration initiale de celle- ci sous

la commande dudit troisième commutateur.